Entre elle & moi ou entre elle & lui... c'est la suite d'une grande amitié, le début d'une belle histoire. {Le trio^^

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Gentiment, Benjamin me proposa son aide afin que je puisse m'occuper de mes cheveux. Je n'avais même pas pris garde au fait qu'ils soient trempés. Son aide fut précieuse et étonnant, je l'entendis très peu de temps après moi se rendre à l'intérieur. Je le rejoins, il pensait, à quoi je ne le su pas, impossible de décrypter son expression à cet instant. Je lui demandais le programme de la journée, certaine qu'il n'était pas venu pour rester là et qu'il prévoyait quelque chose. Mais lorsqu'il me proposa de m'emmener à NY je fus très surprise, mais ravie. Rien de tel qu'une pareille ville pour se changer les idées. NY, la ville qui résume les USA à elle seule, une ville si grande et si extravagante, avec Ben' sa promettait! Je descendis les escalier la première, Benjamin me suivant et je le laissai se diriger vers son bolide pendant que je fermais la porte. Me dirigeant vers la voiture, je ne pû m'empêcher de jeter un coup d'œil au garage qui débordait de cartons. Sa force et sa rapidité m'étonnaient. Avant de descendre, j'avais pris soin de m'emparer d'un CD, une compile de mes morceaux de rock préférés. Une fois dans le coupé, je le mis en route, montant le volume et je ne résista pas à l'envie de bouger sur mon siège en chantonnant, tout comme mon ami.
Une heure de trajet passa rapidement, et lorsque la musique cessa, il me posa quelques questions. C'était donc qu'il s'intéressait à ma vie durant mon absence, et j'en fût flattée. Il faut dire que je lui renvoyais chacune d'elles presque par reflexe. Ca variait de questions banales comme ma couleur préférée qui n'avait pas changée, le cursus scolaire que j'avais suivi, à des questions plus complexes, comme à savoir si les relations avec mes parents étaient toujours aussi compliquées, voir plus qu'avant, ou encore si j'avais quelqu'un dans ma vie. A cette question si, je lui demandai où il en était avec Alice et à ma grande surprise il fit une grimasse. Je trouvai ça bizarre, tout semblait si évident entre eux, au bal, on voyait bien l'amour qu'ils se portaient l'un à l'autre... enfin pour être honnête, plutôt l'amour que Benjamin éprouvait pour elle.
Toute la suite du trajet, nous ne parlions plus que d'elle, de cette petite brune au visage angélique et si pure... et pourtant. Il me parla avec difficulté et peine de son hésitation et de son mensonge. Je me demandais bien pourquoi elle lui avait caché la vérité pour son fiancé. Pourquoi elle n'avait pas été honnête dès le début, pourquoi elle l'avait fait espérer à torr... j'étais triste pour lui, il ne méritait pas d'être pris dans ce genre de filet.

- Que comptes - tu faire?

Je lui demandai cela timidement car je le savais très fidèle, mais je savais aussi qu'il ne pourrait supporter de partager celle qu'il aime, accepter qu'elle dise je t'aime à un autre, après lui avoir dit...
c'était trop cruel. Mais je savais aussi que s'il aimait vraiment Alice, il attendrait son choix, espérant la garder ensuite pour lui seul. Mais l'aimait-il encore? Reconnaissait-il SA Alice? Je n'en était pas convaincu... J'écoutais ses paroles, ses réflexions et acquiesçait d'un accord parfait.

Le trajet passa vite avec toutes ces interrogations et mon regard s'égara dans les lumières de la grande ville. J'eu un soupire d'émerveillement et Ben' se gara à l'entrée de la ville, aux portes de la banlieue assez chique. Nous passâmes par une allée boisée, où tronaient quelques bans et d'un coup je me stoppai nette.

- Attends! Lançais-je en le retenant par l'avant bras.

Je cru rêver, je la reconnu de dos, un livre à la main, comme toujours, assise sur un des bans. Non, j'avais beau plisser les yeux pour vérifier que mon subconscient ne me jouait pas des tours, c'était bel et bien elle, là au milieu de la verdure. Je pris Ben' par la main et le tira jusqu' à elle.

- Ro... Rosie? Prononçais-je d'une voix à peine audible.

Là, je la voyais bien en face, je ne pouvais me tromper, malgré nos 3 ans d'écart et nos 2 ans passés loin l'une de l'autre, elle n'avait guère changé: toujours aussi attirante et magnifique. J'espérai qu'elle me reconnaisse. Je priais pour que ses sentiments envers moi, notre grande amitié soit restée présente dans son cœur, comme elle était encrée dans le mien pour toujours... nerveuse, traqueuse presque, je serrai l'avant bras de Benji.

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Rosalinda était, la veille, chez son meilleur ami Damon avec elle avais passer un agréable moment. Elle apprécier passer du temps avec lui. Il est là, près d'elle. Dans la même ville qu'elle. Elle était heureuse de sa journée de la veille car elle était avec un de ses proches qui l'aime. Amicalement, bien entendue. Puis, quand je fus rentrer chez moi et que je regardait dans un carton posais sur mon bureau, je vis une photo de moi et Lena, mon autre meilleure amie. Celle qui est partie loin de moi mais qui reste dans mon cœur. Qu'était t'elle devenue ? Que fessais t'elle ? Était t'elle en couple, seule ? Et surtout m'avais t'elle remplacer ? J'espèrer que non, pour être franche.

Le lendemain matin, j'avais appris que je ne travailler pas. Pourquoi ? Parce-que j'avais trop travailler dans le mois et elle me donner une semaine de congé. Ce que j'apprécie fortement car je pourrais me consacrer rien qu'as moi. Alors, c'est que a 18 pm je décidait de sortir prendre l'air de la nature. J'aime les ballades dans New-York en fin d'après-midi. J'avais apporter un livre pour m'installer sur un des bancs de la ville qui se situais sous les verdures du parc et je me mettais a lire, tranquillement.

Au bout d'un quart d'heure de cette lecture, j'avais entamer au moins quatre chapitres. J'allais entamer mon tout dernier chapitre et il seras enfin finir. J'aime lire et écrire. Ses deux de mes passions communes. Enfin bon, passons. Je continuais de lire quand j'entendis qu'on prononcer mon prénom d'un air surpris. Je mis mon marque page, posa mon livre a mes côtés et je me retourner. Je la regardait, avec de grands yeux d'étonnement. C'était pas possible, ca peut pas être ... LENA !!!!! Je me levais a une vitesse que elle pue a peine cligner des yeux que je la pris dans mes bras. J'en avais les larmes aux yeux mais je les dissimuler. J'étais heureuse de la retrouver. Se qui s'annoncer une soirée calme, se retrouverais être une soirée de surprise aussi magique les unes que les autres.

Puis, Je m'écarter d'elle légèrement. Elle était accompagner d'un jeune homme. Je l'avais regardait vite fait mais tellement séduisant. Je le regardait qu'as peine et sa y'est, j'ai eu le coup de foudre pour lui. Mais, sa devais être son petit ami. Alors, Je reportait mon regard sur Lena et je lui dit, enthousiaste

- Tu m'as tellement manquée ! Si tu savais ! Alors, comment vas tu depuis tout ce temps ? Je veut tout savoir ! Tu est toujours aussi jolie

Puis, Je reportait mon attention sur celui pour qui, mon cœur s'était emballer très vite alors que je le connait même pas. Pourtant, cette allure, sa tête, ne m'était pas inconnue. Habitant de New-York ? Surement ! Il y'en as tellement que les reconnaitrais même pas ! Puis, Je repris mon souffle calmement et je le regarda, souriante, en lui demandant

- Bonjour, Je suis Rosalinda mais on m'appelle Rosie. Et vous, vous êtes surement un ami de Lena, Je me trompe ?

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A la moitié de la route, le beau brun ne pû s'empêcher de poser des questions à la jeune femme.
Des questions qui paraissent anodines d'un premier abord, mais qui se révélaient d’une grande importance pour Benjamin. Elles lui permettait tout simplement de constater le changement qui avait opéré en elle. Apparemment, très peu, car ses goûts principaux restaient les mêmes. Ben' appris aussi que la jeune femme n'avait personne dans sa vie, et qu'elle ne se sentait pas totalement prête pour sa. Le jeune spécimen en fû soulagé, non pas de la savoir célibataire, mais de ne pas avoir manqué une étape primordiale dans sa vie.
En parlant d'étape primordiale, Jude qui lui renvoyait ses interrogations, évoqua le sujet d'Alice.
Ben' eu du mal a contenir sa rancœur. Un nom si doux... un visage si parfait... et pourtant...
Il lui raconta tout, voulant se rapprocher définitivement d'elle, ne lui cachant rien. Il ne compatit rien lui dissimuler excepté le seul et unique secret que jamais elle ne devrait découvrir: il était un évadé d'Aprilia, un spécimen. Aussi, il ignorait si Lena avait ouï de cet abominable endroit, il espérait que non et ne comptait pas en parler de toute manière.
Celle-ci faisait d'ailleurs une tête déçue, voir choquée en apprenant les dessous de mon histoire avec Alice. Dessous auquels le jeune brun ne m'attendais pas... mais qui avaient surgi, il devais donc faire avec.

- Que comptes - tu faire?

La réponse était simple, Jude devait s'y attendre.

"RIEN! Décréta t'- il en soupirant. J'ai conscience que c'est un choix difficile, mais ni moi ni Julian en sommes responsables! Ce sont ses sentiments, et si elle ne parvient pas à les éclaircir, alors je m'effacerai. Je refuse de rompre un engagement pareil, Alice ou pas, je saurai m'effacer. Je me dis qu'il a été là quand moi je ne pouvait l'être, alors autant qu'il continue de l'être, sans qu'elle se face du mal cette fois. C'est ça que je ne supporterai pas, qu'elle se mutile encore. Je me dis aussi, que si on s'était retrouvé avant, les choses seraient différentes, simples même. Mais elle a trouvé Julian, pas moi, alors... je la laisse faire son choix, mais je ne pourrai attendre très longtemps.

La jeune amie du spécimen buvait ses paroles et acquiesçait, elle semblait d'accord avec lui, après tout c'était la vérité. Elle ne pouvait rien faire... quoi que.
Arrivés dans la ville du brun ténébreux, il se gara puis coupa par une allée boisée accompagnée de Jude, quand celle si lui demanda de s'arrêter, le retenant du bras. Son regard se dirigeais vers une femme d'un brun rayonnant, assise sur un de dos sur un banc, que Ben' ne pû premièrement pas clairement la distinguer. Il ne vit qu'un livre dans ses mains.
Mais la belle blonde la connaissait, c'était certain vu la surprise dont elle faisait preuve à sa vue.
Elle le tira par la manche et alla timidement la saluer.
Sans qu'elle ne s'y attende, la jeune brune se leva et la serra dans ses bras, dissimulant ses émotions, tout comme LJ, s'empressant de lui poser des questions.
Le jeune spécimen se rappela alors de la lettre qu'il avait lu une ou deux heure plus tôt et comprit. Du moins espérait fortement comprendre.
Il laissa son amie lui répondre jusqu'à ce que l'intéressée se présente poliment à lui.

- Bonjour, Je suis Rosalinda mais on m'appelle Rosie. Et vous, vous êtes surement un ami de Lena, Je me trompe ?

A présent, il la voyait de face. Il voulu baisser son regard, ne voulant paraître déplacé, mais il n'y parvint qu'après avoir encré les traits de la jeune femme dans sa tête. Il la trouvait d'une beauté et d'un charme naturel et envoutant. Les traits fins, de grands yeux vert, une bouche fine et des joues de bébé, un visage que l'on ne croise pas tous les jours. Elle avait quelque chose, quelque chose qui plaisait un peu trop au jeune homme pour un premier contact. Il s'empressa de placer son regard sur son amie LJ, jugeant qu'il avait assez insisté et lui jeta un léger coup d'oeil pouratant remplie de fascination pour lui répondre de sa voix de miel.

"Ravi, moi c'est Benjamin Break,". Il lui adressa un doux sourire et son regard se perdit dans le va et vient de ses mèches dorées, volant au dessus de sa chevelure de lionne à cause de la brise. "Oui vous avez raison, nous sommes amis d'enfance, on s'est retrouvé depuis peu."

"Rosie"... son nom raisonnait déjà dans sa tête et un sourire en coin lui échappa, puis il reposa son regard sur son amie, sachant d'avance qu'elle remarquait sûrement son changement d'attitude. Mais que lui avait-elle fait cette brune, pour l'envouter en un regard, en une phrase? Elle hantait déjà ses pensées, il ne souhaitait qu'une chose, tourner son regard en direction du sien, mais il se retenait... difficilement.

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Citation :: - Tu m'as tellement manquée ! Si tu savais ! Alors, comment vas tu depuis tout ce temps ? Je veux tout savoir ! Tu est toujours aussi jolie

Je n'y croyait toujours pas, c'était elle, en face de moi, qui venait de se lever pour se jeter dans mes bras. Comme si rien n'avait changer. J'eu envie de crier de joie, c'était la deuxième amie que je retrouvais après une longue séparation... la vie me souriait enfin. Du moins, j'en avais l'impression.

- Et à moi donc! Je vais bien, mieux maintenant. Je ne sais pas quoi te dire, par où commencer. Tu es toujours la plus belle!

Nous rimes puis son regard se projeta sur Benjamin. Un regard rempli d'étincelles, je n'y crû pas. Mais lorsque j'entendis Benjamin se présenter à son tour à Rosie, quelque chose venait de changer en lui. Il n'était pas comme d'habitude, enfin comme tout à l'heure. Evidemment il me présenta entant qu'ami d'enfance, ce qui parût soulagé Rosalinda. Pourquoi donc? Il me semblait bien qu'ils étaient tombés sous le charme l'un de l'autre mais je ne dis rien, le laissant dévier ses pupilles bleues ciel dans mes iris azures. Je lui lançai un sourire malicieux à la vue de son expression en coin. *Et Alice?*
Il est vrai que Rosalinda était d'une grande beauté, et naturelle qui puisse être, même si elle n'en avait pas conscience. Apparemment Ben' lui en était parfaitement conscient. Pourtant ce n'étais pas son genre d'avoir des coups de foudres comme ça, il n'avait cessé d'être fidèle à son amour pour Alice et s'était accroché pour Maxim dans leur relation fusionnelle. Là, je sentais quelque chose de différent dans ses yeux, une lueur encore inconnue.
Mais je ne m'y attardai pas, me contentant de les observer, ne pouvant décrypter les ressentis de ma meilleur amie. J'avais vraiment hâte qu'on se raconte nos deux années passées l'une sans l'autre, savoir le nouveau dans sa vie. C'est pour cela que je proposais quelque chose, d'un ton fluide et enthousiaste:

- On devrait faire plus ample connaissance dans un café du coin non? Suggérai-je en adressant un clin d'œil complice et discret à Benji'. Et puis, poursuivais-je en me tournant vers Rosie, ça serait plus pratique pour discuter...

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- Et à moi donc! Je vais bien, mieux maintenant. Je ne sais pas quoi te dire, par où commencer. Tu es toujours la plus belle!

Qui aurais crue que je retrouverais celle qui, a notre séparation, m'aurais autant fait souffrir. Sans elle, ma vie a eu moins de moments de pures joies et de bonheurs. Car oui, avec elle, ma vie ressemblait au moins à quelque chose ! Elle est comme une sœur que je n'ai jamais eu. Je ne peut dire que je n'aurais jamais car maintenant, elle est là. Je me posais des questions du genre : Vis t'elle a N-Y ? Vas t'elle y rester longtemps ? J'avais pas envie que se moment se termine mais au contraire, qu'il continue pour l'éternité.

Puis, le jeune homme pour lequel mon regard avais était béat d'admiration, pour qui mon cœur j'emballais sans raison. J'avais beau le connaître depuis quelques minutes a peine et je ne cessais déjà de penser a lui. L'amour rend idiot. Mais, ce sentiment ne s'explique pas mais ce ressent en tout cas. Son visage portait le doux nom de Benjamin Break. L'ami d'enfance de Lena. J'en fus rassurer, d'une part car au moins, cela me laisser croire qu'il est célibataire.

- On devrait faire plus ample connaissance dans un café du coin non? Et puis ça serait plus pratique pour discuter...

J'étais totalement d'accord avec Lena. J'aperçus un café très sympathique et calme. Ce qui est rare dans New-York. Cela serais plus simple pour parler. J'embarqua mon livre qui se situais sur le banc et on avancèrent sur la terrasse de se café. La table était circulaire donc, je me retrouver entre Lena et Benjamin. Ce qui me déplut guère. Quand le serveur arriva, il pris notre commande, qui pour moi, était un cappuccino. Les deux jeunes gens prirent leur commande et il partit nous les chercher. Je regardait Lena, toute enthousiasme et encore surprise de la retrouver. Je débutais la conversation

- J'en reviens pas que tu soit là devant moi. Alors, que fais-tu dans la vie maintenant ?

Le serveur arriva et nous servais notre boisson. Je réglais la note et il partie. Je bus délicatement mon Cappuccino en attendant une réponse de Lena. Je n'osais pas regardait Benjamin. Pour peur qu'il découvre que je sois tomber sur son charme. J'attendais qu'il m'adresse la parole aussi, car j'avais peur de begayer au moindre mots pour m'adresser a lui.

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La jolie brune accepta l'offre de Judy et nous guidâmes même jusqu' à un bar qui semblait sympathique. Un endroit calme et bien exposé, qui pour le plus grand bonheur de Benjamin, ne puait pas la cigarette. Il avait toujours eu du mal avec ce genre de substances, sûrement pourquoi il n'appréciait guère les bars. Mais il trouva celui-ci encore plus accueillant lorsqu'il constata la présence de tables rondes. Suivant Rosalinda, il pria au fond de lui pour qu'elle choisisse l'une d'entre elles et étouffa un petit rire de satisfaction lorsqu'elle s'assit à la première table de ce genre.
Le jeune spécimen se retrouvait maintenant entre la jeune femme qui, jusqu'à présent, comptait le plus pour lui, et cette fille, cette brune extraordinaire qui le fascinait de plus en plus. Pourquoi donc? Il se posait bien la question, mais n'avait pas de réponses. Refusant de la regarder, il tournait la tête en direction de son amie où de la table, jusqu' à ce que le serveur s'occupe d'eux. Rosie choisit un capuccino, LJ un thé et lui pris un café corsé. Le seul coup d'œil qu'il s'autorisait à jeter à la brune, fut lorsqu'il suivit le plateau du regard, apportant les boissons puis débarrassant la table.
Il l'écoutait s'exclamer de si improbables retrouvailles, sans vraiment faire attention à ses mots... mais plutôt à sa voix. Il cru d'ailleurs à cet instant, repérer un regard de la part de la jeune newyorkaise, qu'il ne pu s'empêcher de lui rendre. S'en était assez, il voulait en savoir d'avantage sur elle, sur ses goûts, sa vie, tout qui pourrait prolonger ce moment et lui permettre de penser d'avantage à elle. Il se tourna légèrement vers elle, plongeant délicatement et avec douceur son regard dans le sien, tout en maintenant une distance convenable et lui demanda de sa voix mélodieuse:

" Et toi alors, tu vis aussi ici? "

C'était peu de choses, mais ce n'était qu'un début, il comptait simplement engager la conversation en la centrant plus sur elle. En fait, il ne savait pas trop quoi lui dire...

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Rosalinda A. Dantes a écrit:: - J'en reviens pas que tu soit là devant moi. Alors, que fais-tu dans la vie maintenant ?

Moi non plus je n'en revenais pas, c'était si bon d'être de nouveau auprès des personnes les plus chères à mes yeux. J'avais tellement de choses à lui dire, et elle en avait sûrement d'avantage. Mais je visais toujours l'attention que Ben' lui portait et moi seule parut la remarquer. Aussi je confirmais mon hypothèse, Rosie ne restait pas indifférente au charme de mon ami. Une idée me vins, voulant le bonheur de mes amis avant toute chose, une idée malicieuse, dont Ben comprendrait le message.

- Moi non plus tu sais... c'est fou! Et bien je vis à Three Hill et Ben' me fait visiter, et je vais rentrer en prépa littéraire d'ici 3 jours... j'ai un peur mais je compte m'accrocher. Et toi tu...

Je fis mine de ressentir une vibration provenant de ma poche et colla mon portable à mon oreille, tirant une expression de gène.

- Allo, plaisantais-je, Quoi? Je? Maintenant? ..Hmm bon j'arrive.

A voir leur tête, ils semblait croire à mon petit manège. Je me leva et déposa quelques pièces sur la table puis m'adressa à eux:

- Je suis navrée, une urgence chez moi, enfin rien d'inquiétant, je dois juste y aller. Rosie, je t'inviterai chez moi dans la semaine, je veux qu'on se raconte tout.

Je me tournai ensuite vers Ben' et lui lança une expression ironique, que lui seul pouvait décrypter. Je pris ma veste, posée sur le dossier de ma chaise, me rapprochant de lui pour lui faire la bise et lui murmura:

- Profite!

Il parut impressionné, pensait-il vraiment que je n'avais rien remarqué? Mais très satisfait. Je fis ensuite la bise à ma Rosie et Ben me stoppa, glissant avec insistance de l'argent dans mes poches, exigent que j'appelle un taxi.
Je partis enfin, sourire aux lèvres et confiante... confiante pour ces retrouvailles... mais surtout pour eux. Je savais que Rosa allait lui redonner goût en la vie, quelque chose me le disais...

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- Moi non plus tu sais... c'est fou! Et bien je vis à Three Hill et Ben' me fait visiter, et je vais rentrer en prépa littéraire d'ici 3 jours... j'ai un peur mais je compte m'accrocher. Et toi tu...

- Allo, plaisantais-je, Quoi? Je? Maintenant? ..Hmm bon j'arrive.

- Je suis navrée, une urgence chez moi, enfin rien d'inquiétant, je dois juste y aller. Rosie, je t'inviterai chez moi dans la semaine, je veux qu'on se raconte tout.

- Et toi alors, tu vis aussi ici?

- Oui, Toi aussi tu vis a New-York ? C'est bien ca ... New-York est une belle ville, je trouve.

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Citation :: -Profite!

La jeune blonde avait tout compris, absolument tout. Voilà pourquoi elle prétexta un coup de fils important afin de s'éclipser et de laisser les jeunes gens ensemble. Benjamin adorait le sens de l'observation et de l'initiative que possédait LJ et la remercia d'un sourire flatteur. Mais il n'était pas question qu'elle rentre en transport, il se serait trop inquiété. Il glissa donc quelques billets dans sa poche de veste et lui fit promettre de prendre un taxi jusqu' à chez elle.
Il la regarda partir, puis se concentra de nouveau sur Rosalinda. Seul avec elle désormais.
Se rapprochant un soupçon de lui, elle répondit enfin à sa question:

Citation :: - Oui, Toi aussi tu vis a New-York ? C'est bien ca ... New-York est une belle ville, je trouve

Elle vivait donc à NY aussi, le spécimen échappa encore une fois un sourire. Il remarqua d'ailleurs qu'il souriait beaucoup trop aujourd'hui, contrairement à ses habitude. La jeune femme complimenta ensuite la ville que pour sûre elle appréciait beaucoup. Ben aussi s'épanouissait pleinement dans cette ville, dans les rues ou du haut de son building: il se sentait pleinement humain... vivant presque.

- Oui j'habite de l'autre côté du boulevard, j'aime aussi cette ville, elle est riche en surprise et en éclat...

Il se souvins de sa venue ici, il y a quelques moi, la façon étonnante dont les lumières l'avaient aveuglées, il se rappellerait toujours du sentiment de renouveau et de liberté naissante qu'il avait ressentie enfin.D'un coup, il éprouvait le besoin de bouger, sentant que s'il restait assis là à la dévorer encore du regard, il allait déraper et la faire fuir à jamais.
Il patienta que la jeune femme finisse son capuccino, refusant l'idée d'un éventuel départ. Mais lorsqu'elle bu la dernière gorgée, de la mousse resta en bas de sa lèvre inférieur et elle ne s'en rendit pas compte. Le spécimen hésitait, oserait’ il lui enlever la marque, au risque de ne pouvoir se passer du toucher de sa peau? Le devait’ il tenter? En réalité il en mourrait d'envie et fini par céder.
Il étouffa un rire et approcha sa main de son visage, tout en douceur ne voulant la surprendre ou la repousser:

- Tu as de la ...

Il passa son pousse sur le bas de sa lèvres, ne pouvant résister à l'effleurer un instant, se forçant fortement pour retirer sa main et essuyer la mousse.

- mousse...

Termina t'-il par dire lorsque son regard constata la présence de celle - ci sur ses doigts.
Elle n'avait pas bouger, il appréciait, espérait même ce geste puéril comme un signe.
Voyant qu'un silence s'installa, il renouvela sa proposition qu'il n'avait pu suggérer à la belle.

- Ca te dis de marcher un peu dans le parc d'en face?

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- Oui j'habite de l'autre côté du boulevard, j'aime aussi cette ville, elle est riche en surprise et en éclat...

Cela intéresser car il n'habiter pas très loin de mon domicile. Je pourrais le croiser autant de fois que je souhaiterais et cela me fis sourire. Je ne savais trop quoi lui répondre. Enfin si, mais cela pourrais le faire partir et j'y tenait pas. J'aimerais visiter son cœur pour savoir ce qu'il y'as a l'intérieur. Je voudrais avoir le pouvoir de la télépathie pour lire ses pensées, pour savoir ce qu'il pense de moi. Mais cela n'existe que dans notre imagination, ce que l'on appelle généralement le monde irréelle. Étant gamine, je me demander toujours pourquoi seul les super-héros avaient des pouvoirs et puis pas nous. Maintenant, je me posais plus cette question mais j'aurais aimée en avoir même si c'est impossible.

Un silence régnai et nous en profitions pour terminer respectivement nos boissons commandés. Pour tout vous avouez, je ne sais pas boire un cappuccino sans que la mousse du fond se colle a ma lèvre. J'espèrer que cela n'était pas le cas aujourd'hui. Puis, Je reposais ma tasse et il étouffa un rire en approchant sa main de mon visage. Je le regardait d'abord étonnée mais sans pour autant bougée. Il m'enleva de la mousse. Je ne savais pas comment réagir mais je ne pouvais que le remercier, ce que je fis. Puis, il me demanda

- Ca te dis de marcher un peu dans le parc d'en face?

- Pourquoi pas, ca peut que me faire du bien.

J'en fus toute heureuse. Une promenade tout les deux, je n'y avais pas pensée mais de toute manière, je ne pensais qu'as lui alors pensée a autre chose m'en étais impossible. Tellement impossible que je faillis en oublier mon livre. Benjamin le remarqua et me le pris. Je le remercier et serrer mon bouquin contre moi. On arriva au parc et nous marchions. Je n'osais pas parler mais surtout, je ne savais que dire. Alors, Je marchais en le regardant de temps a autres. Je souriait sans m'en rendre compte. Est-ce ca le phénomène de l'amour ? Si oui, je trouve que c'est un merveilleux mais étrange phénomène mais c'est pas pour autant que je m'en lasserais.

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Le beau brun attendait sa réponse, anxieux, car il n'aurait pas supporté de la voir partir maintenant. Ou qu'elle refuse tout simplement, mais pour sa plus grande satisfaction, c'est avec une mine enjouée qu'elle acquiesça en se levant:

Citation :: - Pourquoi pas, ca peut que me faire du bien.

Le spécimen et la jeune humaine marchèrent donc en direction du parc, silencieux l'un comme l'autre. Elle devait forcément ne pas oser parler, et Benjamin ne savait quoi lui dire. Mais quelque chose ne lui plaisait pas dans la formulation de sa réponse. Le " ça ne peut que" l'intriguait plus qu'autre chose.
Selon lui, cela signifiait que sa vie ne se déroulait pas comme elle le souhaitait et bizarrement, alors qu'il ne la connaissait pas, ce détail l'intéressait. Il ne voulait pas qu'elle aille mal, mais d'un autre côté, il était content de pouvoir lui changer les idées l'espace d'un instant.
Lorsqu'il s'apprêtèrent à traverser, Ben' ne pu s'empêcher d'essayer de lire en elle.

" Quand tu dis que ça ne peut que te faire du bien... ça veut dire que tu ne vas pas aussi bien que tu le prétends? "

La jeune brune parut surprise d'une telle analyse et s'arrêta quelques minutes, tournant la tête vers le jeune homme. Celui si se mordit les lèvres et baissa légèrement son regard vers le sol, certain d'en avoir trop demandé.

Mais, en une fraction de seconde, tout bascula. Une cylindrée rouge éclatante manqua de les percuter, s'étalant au sol. Il faut dire que sans s'en rendre compte, il était au milieu de la rue, pile en face du parc.
Ben' ressenti alors, dans un même et court laps de temps, sa tête bruler, signe d'une prévision de mort, ce dont il avait l'habitude de par son pouvoir. Aussi, il vit la moto raser son profil et chuter en direction de sa compagne. Sans même réfléchir, Benjamin se lança devant elle, l'enfouit dans ses bras, laissant la moto percuter son dos de plein fouet. De part sa force, acquise et développée au centre d'Aprilia, il ne ressentit presque rien, se retournant alors pour la stopper avant qu'elle n'écrase son conducteur à cause de la déviation que venait de provoquer l'impacte sur son dos.
Il évita ainsi un choc violent au conducteur, qui était juste sonné, se lassant tomber doucement sur le sol, au pieds de sa moto.
Soudain, Ben' réalisait qu'il venait de d'utiliser sa force en public, mais constata que la jeune femme n'avais pas bougé, pétrifiée . Ben' avait garder une main sur ses hanches afin qu'elle ne se retourne pas.
Il regarda à présent autour de lui, personne ne se trouvait dans la petite rue. Il enlaça donc la jeune femme à nouveau, détachant un instant sa main pour appeler une ambulance. Lorsqu'il en entendit les sirènes du camion, il guida la jeune femme jusqu'à un banc isolé du parc qu'il rejoignaient enfin. Encore tremblante, il faut dire que le timing fut très juste, il la fit s'assoir et s'accroupit devant elle, prenant ses mains dans les siennes. Il tentait de la rassurer, espérant qu'elle ne le prenne pas pour un monstre, ou mieux, que le choc lui ai au moins permis de ne rien remarquer de surhumain.

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" Quand tu dis que ça ne peut que te faire du bien... ça veut dire que tu ne vas pas aussi bien que tu le prétends? "

Ce que je trouvais touchant, c'est qu'il prenne de mes nouvelles, qu'il relève mes inquiétudes. Je ne croyais pas qu'il serais relevée cette inquiétude dans mes paroles. Alors, je me stoppa net et en fit de même. Pensant qu'il touché un point sensible et privé, il baissa la tête en direction du sol tout en se mordant les lèvres. Je le regardait et c'est en voulant relever sa tête a l'aide de ma main pour lui montrer que se n'étais pas indiscret, qu'un cylindrée rouge nous fonças dessus. Nous étions en pleins milieu de la rue.

Je pensais sincèrement que c'était la fin. C'est dans ses moments la qu'on se demande si c'est réellement notre heure de mourir. On sais qu'au fond de nous que l'on seras jamais prêt a mourir mais la vie en auras décidé autrement. C'est pas nous qui choisiront de mourir mais c'est la mort qui nous prendras. Cependant, je voulais pas que ma vie ce termine ainsi, j'en avais pas le courage et ni l'envie. Puis, dans un élan de rapidité, je fus écarté de la mort. Benjamin me pris dans ses bras au moment de l'impacte. J'en fus tétanisée quand tout fus terminer. Je réaliser toujours pas que j'ai faillis perdre la vie en même pas deux secondes. Puis, il me repris dans ses bras et appela l'ambulance. Il m'emmena près d'un banc ou je m'asseyais. Je tremblais, j'avais peur, encore choquée dans ma tête. Il s'accroupit devant moi et me pris mes mains pour me rassurer, pour me montrer qu'il était là ! Je le regardait, comprenant enfin que c'est lui qui m'as sauvais la vie! Je retrouvais doucement mes esprits et en plongeant mon regard dans le sien. J'enlevais mes mains des siens pour les posées sur son visage et je lui dit.

- Je .. Que c'est t'il passer ? ... Je comprend pas ...

J'avais une envie de l'embrasser mais j'avais peur de sa réaction, peur qu'il me rejette. Peur que sa ne soit pas réciproque mais l'envie de l'embrasser, de sentir ses lèvres sur les miennes fus trop forte alors, mon visage s'avança et je l'embrassais délicatement puis, me retirant de son visage mais en étant qu'as quelques centimètres du sien, je dit

- ... Merci.

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Relevant la tête vers le spécimen, plongeant son regard dans le sien, elle détacha alors ses mains des siennes pour les coller à son visage.

Citation :: - Je .. Que c'est t'il passer ? ... Je comprend pas ...

Benjamin sentait à présent sa peau sur mes joues, il aurait voulu les sentir pour toujours, que jamais elles ne se détachent. Sans bouger il lui répondit.

" Rien... ce n'est rien, oublie Rosie!"

Il fallait qu'elle oublie pensait-il, car sinon elle se rendrait compte que son acte avait dépassé toutes compétences humaines. Et pour le moment Benjamin ne souhaitait pas lui révéler son secret, c'était beaucoup trop tôt et ça l'aurait probablement blessé.
Mais un doux parfum vint le sortir de ses inquiétudes, une odeur sucrée qui l'enivrait dangereusement. C'était les lèvres de la jeune femme et Ben' eu du mal à réaliser son geste mais ne le refusa pas bien au contraire. Ses lèvres se mêlèrent rapidement aux siennes et il ne pu résister à leur goût sucré. Il voulait y goûter encore mais Rosalinda se stoppa, l'air anxieuse à l'idée qu'il ne l'a repousse. Elle ajouta timidement:

Citation :: - ..Merci

Son visage restait à proximité de celui du jeune homme, qui le rapprocha d'avantage, humant son odeur délicieuse.
Il ne répondit pas tout de suite, mais se leva pour venir s'assoir aux côtés de la belle et la serrer doucement dans ses bras. Il hésitait toujours un peu, par peur qu'elle le repousse, mais ce baiser lui donnait du courage.

" Ne me remercie pas..."

C'était plus fort que lui, il ne put s'empêcher de penser qu'un jour sa nature la ferait souffrir...
Il la serra contre lui, passant délicatement sa main dans ses cheveux, frémissant à chaque contact, plissant les yeux comme pour empêcher qu'il cesse.
Le silence se fit de nouveau entre eux, quand Benjamin se rappela ne pas avoir eu de réponse à sa question ... et le sujet l'intriguait toujours. Aussi, il pensait que ça l'empêcherait de cogiter sur l'accident auquel elle venait d'échapper de justesse.

" Ne pense plus à ça, ... dis moi, j'avais raison concernant ma question de tout à l'heure?"

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" Rien... ce n'est rien, oublie Rosie!"

Comment oublier ce qu'il viens d'arriver ? J'en suis choquer, toute retournée, émue et surtout surprise. Surprise de quoi ? De la mort qui m'est passer à même pas quelques centimètres de moi. Cependant, je devais oublier et ne plus y penser. Le principal dans l'histoire c'est que je soit encore en vie ! Puis, je regardait Benjamin avec mes mains poser sur son visage. Je l'avais embrasser et pourtant, je ne regretter pas se geste. L'envie de goutter a ses lèvres pulpeuses était trop forte, trop environnante. Je ne pouvais que succomber a son charme et son odeur.

Puis, il ne semblais pas fuir mais au contraire, rester. Il se mis finalement a mes côtés et me repris dans ses bras tout en me caressant les cheveux. J'en était rassurer de savoir qu'il est a mes côtés. Je mis mes bras autour de lui en étant presque collée a lui. Cela ne semblais pas le gêner et j'en fus soulager ! Puis, il me dit

" Ne pense plus à ça, ... dis moi, j'avais raison concernant ma question de tout à l'heure?"

Je devais lui avouer mon passé comme, la. C'est ce que je craignez : me remémorer mes souvenirs les plus ancrées mais il faillais bien que j'en parle. C'est le seul moyen de me libérer. Me libérer de quoi ? Me libérer de cette souffrance de plus les voir, de cette souffrance de se sentir trahir par les siens mais quand on sais que c'est pour nous défendre. Mais je leur en veut tout de même, alors, restant dans ses bras, je le regardait et dit

- C'est une longue histoire ... enfin, c'est mon histoire ... C'est que je repense au faite que ceux qui m'ont adoptée mon menti tout le long de mon enfance et c'est en les surprenant a parler le jour de mes 18ans que j'ai su toute la vérité et depuis, je repense a toute ma vie gâchée par un mensonge. A comment mes rêves sont devenus des cauchemars. Mes souvenirs par des doutes. En comment une vie bien construite c'est effondrer en quelques mots.

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Tout en se blottissant contre Benjamin, elle lui dit en levant le regard en sa direction:

Citation :: - C'est une longue histoire ... enfin, c'est mon histoire ... C'est que je repense au faite que ceux qui m'ont adoptée mon menti tout le long de mon enfance et c'est en les surprenant a parler le jour de mes 18ans que j'ai su toute la vérité et depuis, je repense a toute ma vie gâchée par un mensonge. A comment mes rêves sont devenus des cauchemars. Mes souvenirs par des doutes. En comment une vie bien construite c'est effondrer en quelques mots.

Il fut surpris d'une telle réponse. Le jeune spécimen ne s'attendait pas à ça. Il soupçonnait une peine de coeur, des problèmes avec ses proches ou encore son travail mais certainement pas ça. Elle n'avait donc pas vu sa famille, enfin ses "parents" depuis sa majorité...
Benjamin repensa aux siens, au fur et a mesure des paroles de Rosalinda. Comment aurait-il réagi lui, s'il avait appris une chose pareille? Mal aussi sans doute. Mais il était si petit et si fragile quand il s'en est séparé.. lui n'a plus la chance d'avoir des parents depuis ses 9 ans! Depuis qu'il a été enlevé un soir de septembre par des dirigeants d'Aprilia. Alors, adopté ou pas, peut lui importerait, il espérait plus que tout les revoir un jour, avant qu'il ne soit trop tard... si seulement c'était possible!
Il redressa le visage de celle qui l'avait frappée en plein cœur et plongea son regard couleur ciel dans ses pupilles émeraudes. Si la jeune femme avait des parents, biologiques ou non, des gens qui l'avaient aimée et élevée depuis toujours, elle ne devait pas les renier, même si un mensonge pareil est toujours difficile à encaisser.

" Tu sais... je pense que tes parents ne t'on rien dit parce qu'ils redoutaient justement ce qu'il se passe maintenant: ne plus te voir, te faire souffrir. Dans une situation pareille, on ne sait pas comment s'y prendre, comment dire à un petit enfant que ses parents ne le sont pas vraiment... et puis le temps passe... ils n'auraient pas dû te cacher une chose pareille c'est vrai, mais je suis sûre qu'ils s'en veulent énormément aujourd'hui et qu'ils souffrent de ton absence encore plus que tu dois en souffrir. Tu sais ... ils t'on élevée et aimée... pour moi c'est ça des parents, pas ceux qui abandonnent... et toi au moins, tu as de la chance de les avoir eu... et de pouvoir les avoir encore et pour toujours si tu le souhaites..."

Pour le jeune homme c'était certain, jamais il ne pourrait revoir les siens.. même si l'envie ne lui manquait pas. Il serra l'étreinte qui s'était formée entre lui et la jeune femme, la consolant.

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" Tu sais... je pense que tes parents ne t'on rien dit parce qu'ils redoutaient justement ce qu'il se passe maintenant: ne plus te voir, te faire souffrir. Dans une situation pareille, on ne sait pas comment s'y prendre, comment dire à un petit enfant que ses parents ne le sont pas vraiment... et puis le temps passe... ils n'auraient pas dû te cacher une chose pareille c'est vrai, mais je suis sûre qu'ils s'en veulent énormément aujourd'hui et qu'ils souffrent de ton absence encore plus que tu dois en souffrir. Tu sais ... ils t'on élevée et aimée... pour moi c'est ça des parents, pas ceux qui abandonnent... et toi au moins, tu as de la chance de les avoir eu... et de pouvoir les avoir encore et pour toujours si tu le souhaites..."

Benjamin avais totalement raison. Mais leur pardonner est trop dur pour moi. C'est pas au jour, de se qui étais censée être un moment de bonheur et de fêtes, c'est vite transformée en cauchemar et mal-être. Le jour de mes 18ans, bordel ! Pourquoi pas me le dire avant, j'aurais pu leur pardonner mais là, j'en ai plus le courage, plus la force. Je veut retrouver mes parents génétiques : un point c'est tout ! Puis, la fin fis une illusion qu'il n'avais plus de famille et cela m'intrigua. Alors, en restant tout aussi près de lui, je lui dit

- Surement mais j'ai pas trouver le courage de leur pardonner, pas pour le moment. Et c'est que tu as perdu ta famille ? ... Je comprendrais que tu ne veuille rien dire, c'est surement douloureux ...

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Citation :: - Surement mais j'ai pas trouver le courage de leur pardonner, pas pour le moment. Et c'est que tu as perdu ta famille ?

" Je suis sûre que tu as assez de place dans ton cœur pour eux, il faudra du temps tout simplement."

Citation :: - ... Je comprendrais que tu ne veuilles rien dire, c'est surement douloureux ...

Ce n'est pas qu'il ne voulait rien dire, mais il ne le pouvait pas. Le deal établi pour l'évasion l'interdissait! Aucun spécimen évadé ne devait parler des enlèvements, du centre, montrer ses pouvoirs... et il fallait éviter de s'amouracher d'humains... pour ça c'était définitivement trop tard, Benjamin le savais bien!
Mais en contemplant Rose dans ses bras, il se dit qu'après tout ce que la jeune femme venait de lui confier, à lui qu'elle connaissait à peine, il n'avait aucune raison d'être réticent. Après tout, qui le saurait? Et puis, il ne divulguerait pas l'identité d'Aprilia... mais d'un autre côté si le jeune homme avait simplement été enlevé, rien ne l'empêcherait de retrouver sa famille, bien au contraire. Le problème était que, s'il les retrouvait, il aurait le choix entre deux options: leur dire la vérité et les conséquences pourraient être très dangereuses, ou faire croire à un ravisseur, mais la police ouvrirait une enquête, ce qui le révélerait au grand jour, soit un véritable suicide!
De toutes les manières possibles et imaginables, il était bloqué! La seule solution pour ne porter préjudice à personne était de ne jamais les revoir... de mentir!
Benjamin n'aimait pas cela, être un présumé mort, disparu depuis tant d'années; un mort parmi les vivants. Il avait ainsi le sentiment de ne trouver sa place nulle part. Sauf peut être, auprès de quelqu'un comme lui... il repensa à Alice. Mais il s'était trompé sur elle, sur tout ce dont il avait besoin! Ce qu'il lui fallait à tout pris, c'était se sentir à sa place: vivant, humain, comme il l'était pour l'instant en la compagnie de LJ et surtout auprès de cette mistérieuse orpheline. Il se pencha à nouveau sur elle, pour mieux la contempler. Il l'admirait presque et refusa donc de lui mentir. Si elle lui posait des questions, alors il y répondrait franchement, peut importe le genre de questions dont il s'agisse. Il savait que le mensonge est comme un long et violent poison, qui fait croire à un monde parfait, mais qui finit toujours, tôt ou tard, par révéler au grand jour la triste vérité. Une vérité qui provoque des souffrances irréparables et qui cause la perte de ce qui nous est cher. Comme Rosalinda et ses parents...
Il ne souhaitait pas cela pour elle, il ne souhaitait pas la faire souffrir par sa faute, et pour rien au monde la perdre. Elle était comme une chance que la vie lui amenait sur son chemin, comme si la vie lui disait de ne pas la perdre, qu'elle serait son unique espoir. Il pensa en cet instant qu'une force inconnue tentait de lui envoyer un message: "garde là pour toujours." Maintenant qu'il la gardait dans ses bras, il comptait la garder pour toujours.

" ... Ce n'est pas sans douleur c'est vrai, mais je ne compte rien te cacher... c'est certainement dure à croire, mais petit, vers 9 ans... j'ai été enlevé près de chez moi, sous la pluie d'un soir de septembre, par une sorte d'organisation ... comment la définir... pas très nette. Il y a eu beaucoup d'autres enfants comme moi et quelques chanceux dans mon genre on put se sauver..."

Le spécimen ne pouvait en dire d'avantage, il ne savait comment exprimer les choses qu'il avait vécu, toutes ces atrocités inimaginables, et en avait déjà trop dit.

" Mais on ne sait pas qui ils sont vraiment et ils se sont évaporés... alors nous devons rester extrêmement prudents..."

Ben' eu peur de l'avoir choquée, il fixait attentivement les bras de la jeune femme l'entourant, espérant qu'ils ne s'écartent pas...

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- Ce n'est pas sans douleur c'est vrai, mais je ne compte rien te cacher... c'est certainement dure à croire, mais petit, vers 9 ans... j'ai été enlevé près de chez moi, sous la pluie d'un soir de septembre, par une sorte d'organisation ... comment la définir... pas très nette. Il y a eu beaucoup d'autres enfants comme moi et quelques chanceux dans mon genre on put se sauver ... Mais on ne sait pas qui ils sont vraiment et ils se sont évaporés... alors nous devons rester extrêmement prudents

Il fixas mes bras qui étaient autour de son corps dont je me refusais de quitter. J'étais bien avec lui. Une chance d'être enfin aimée et heureuse. Malgré que dans ma vie, quand je vivais dans le mensonge, j'étais bien. Mais la vérité à finalement éclatée et a toute une vie; Ma vie ! Maintenant, je souffre. Je souffre de cette absence, de cette vérité éclatée et j'ai appris que mentir ne servait a rien, et pour cela que j'ai dit a Benjamin la stricte vérité.

Puis, J'analysais chaque mots prononcée par Benjamin a propos de sa vie encore plus douloureuse et effrayante que la mienne ! Il me parlais de son enlèvement et de ce centre. La veille, Damon m'avais raconter son histoire et d'où le centre et l'enlèvement semblais être identiques. Saurais-je en compagnie d'un survivant du centre d'Aprilia ? Sa en ai bien le cas ! Mais cela ne m'effrayais pas. Alors, en le serrant d'avantage dans mes bras, je lui répondit

- Le centre ne serais pas Aprilia ? ... Et Je suis sincèrement désolée Benjamin .. Je pensais pas que tu aurais tant souffert dans ta vie. Si tu as besoin d'aide, de réconfort, ou de soutient, je serais là. Jamais je te laisserais, tu peut me faire confiance.

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Contrairement à mes craintes, elle m'entoura d'avantage et le dis calmement:

Citation :: - Le centre ne serais pas Aprilia ? ... Et Je suis sincèrement désolée Benjamin .. Je pensais pas que tu aurais tant souffert dans ta vie. Si tu as besoin d'aide, de réconfort, ou de soutient, je serais là. Jamais je te laisserais, tu peut me faire confiance.

Surpris, il s'écarta légèrement d'elle. Comment connaissait-elle ce centre? Qui avait pu lui en parler? Pourquoi, pourquoi alors que c'était interdit? Pourquoi si ça pouvait la mettre en danger?
Benjamin restait d'apparence calme, mais il bouillonnait à l'intérieur... ne comprenant pas.
Ben' détestait ne pas comprendre quelque chose... mais ce qui le rassura, c'est qu'il n'aurait pas à lui mentir ou à se sentir coupable de quoi que se soit puisqu'elle savait où elle allait avec lui.
De nouveau détendu, il se pencha sur elle et lui dit d'un ton faussement sérieux et narcissique, en réalité amusé:

"Et bien... moi qui croyais pouvoir profiter d'une pauvre humaine innocente... tu es plus informée que je ne le pensais!"

Il lança un regard malicieux à la jeune femme, puis étouffa un rire léger. Ce qu'elle venait de lui dire, qu'elle serait toujours là, lui fit étrangement plaisir, un plaisir démesuré pour une fille qu'il connaissait à peine. Mais il ne doutais pas de sa sincérité, ni de son honnêteté. Son regard parti ensuite dans le vide, le temps de quelques secondes, car sa promesse lui rappelait celle d'Alice.
Ils s'étaient quitté si récemment, c'était encore douloureux... sa fuite après ses belles paroles qu'il s'déforçait de croire sincère également, l'avais laisser perplexe. En fait, déçu sur le coup, il ne savait quoi en penser. Il en était venu à la conclusion qu'Alice était pommée, et qu'il préférait qu'elle reste avec son fiancé: c'était sa place, c'était certain.
Ses yeux se repenchèrent alors sur la jeune brune et il lui sourit, quelque chose lui disait qu'avec elle se serait évident et sans confusion. Mais cela lui paraissait trop facile... beaucoup trop facile, pour lui qui n'avait eu que deux relations sérieuses mais très douloureuses. Le spécimen analysa très attentivement son regard, jusqu'à s'y perdre, mais toujours avec délicatesse, et accepta de lui faire confiance.

"Je te crois et je t'en remercie... je ne te laisserai pas non plus, *ça me serait impossible désormais* ... mais, ce centre, comment le connais-tu? Est-ce que tu connais quelqu'un qui...ça me fais bizarre!"

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"Et bien... moi qui croyais pouvoir profiter d'une pauvre humaine innocente... tu es plus informée que je ne le pensais!"

Il s'était écarté de moi et j'en fus très surprise. Je savais que personne ne connaissait ce centre et pourtant, j'en connaissais l'existence. C'est dans ses moments là que tu te dis que tu vis autour de gens qui se sont retrouver dans se centre alors que vous le saviez même pas. C'est délicat d'en parler en même temps. Il était penché sur moi et me regardait, j'en fis de même ! Puis, Je répondit

- Je sais, Je surprend beaucoup de personnes

Puis, il me regarda toujours, tout en souriant et me répondit

"Je te crois et je t'en remercie... je ne te laisserai pas non plus ... mais, ce centre, comment le connais-tu? Est-ce que tu connais quelqu'un qui...ça me fais bizarre!"

* Si tu savais comme cela me fait plaisir que tu pense la même chose. Est-ce que je t'aime ? C'est en bonne voix *

Je m'ôta de mes pensées et je repris le cours de la conversation : Le Centre d'Aprilia. Je n'osais pas révélé l'existence de Damon mais si Benjamin est un ancien pensionnaire de se centre, tout comme lui, ils devaient obligatoirement se connaître. De toute manière, ils ont vécus la même chose et Damon ne m'en voudras pas de parler de sa avec un autre qui a souffert, tout comme lui. Alors, Je regardait Benjamin, encore un hésitante et je répondit

- Mon meilleur ami ma révélé la veille l'existence de se centre et qu'il en étais un évadé, tout comme toi ... Je n'ai juste entendue parler de Aprilia et je ne l'ai jamais vue et je t'avouerais que cela n'est pas mon attention ... Je sais que cela ne doit jamais être révélé mais je vous promet a tous de ne jamais en parler a qui que se soit

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Citation :: - Je sais, Je surprends beaucoup de personnes!

"Je n'en doute pas!"

En disant cela, elle paraissait surprise que Ben' se soit éloigné, ce qui lui donna d'avantage d'espoir. Il lui sourit de nouveau. Mais, en se rapprochant de son visage, lorsqu'elle lui répondit, buvant ses paroles en attendant ses explications sur le centre, il perçut quelque chose.

* Si ... plaisir que tu penses la même chose .... C'est en bonne voix *

*Encore ce fichu don! Et le pire c'est que pour une fois il ne m'aide pas! Qu'est-ce qui est en de bonne voix? argh!*

Peu avant l'évasion, quelques dirigeants du centre avaient tenté de finir le programme "AZERTY 110" plus familièrement appelé le projet "Break". Ce projet consistait à forger un être dont la pensé dépasserait toute les capacités possibles et imaginable. Mais c'était une chose très difficile.
Souhaitant lui faire voir l'avenir, Ben' voyait et prédisait les morts. Mais il fallait du temps, surtout depuis qu'il ne s'entrainait plus pour que son don s'accomplisse. Et puis, peu après l'incendie, on lui avait inculqué toute sorte de pensées, pour qu'il y soit tellement familier, qu'il puisse lire celles de tout le monde... mais il était parti trop tôt, son pouvoir n'était pas assez élaboré.
En même temps, il se dit que c'était tant mieux, car si la jeune femme ne l'envisageait que comme ami, le choc aurait été trop grand. Mais pourquoi lui dire ça? A quoi cela servirait-il, il se sentait si libre et humain à ses côtés, et ce en si peu de temps.
Mais qu'entendait-elle par là, il ne pouvait le lui demander, un tel don l'aurait vexé!

Elle hésita à lui répondre puis finit par m'avouer:

Citation :: - Mon meilleur ami ma révélé la veille l'existence de se centre et qu'il en étais un évadé, tout comme toi ... Je n'ai juste entendue parler de Aprilia et je ne l'ai jamais vue et je t'avouerais que cela n'est pas mon attention ... Je sais que cela ne doit jamais être révélé mais je vous promets à tous de ne jamais en parler à qui que se soit.

Son meilleur ami... Rêvait-il ou il était jaloux? En tous cas Benjamin appréciait beaucoup la franchise de la jeune femme. Peut - être même qu'il connaissait son ami, il avait croisé beaucoup de monde dans ce centre... du rebelle qui finit toujours mal au véritable légume... c'était à faire frémir n'importe qui! Ben' lui... enfin Isaac de son nouveau nom, se trouvait au milieu. Il avait fait échouer quelques missions, ayant toujours conscience du bien et du mal et s'était fait prendre quelque fois. Il avait subi quelques lavages de cerveaux dont il ne gardait donc aucun souvenir de sa souffrance, mais avait peur que celle-ci surgisse tout d'un coup. Mais il était plutôt fière de son pouvoir... douloureux mais utile. Il avait l'impression avec que sa différence profitait à une noble cause... irréaliste certes mais sage. Lui aussi voulais lui faire par de sa sincérité, il savait que si quelqu'un en relation avec le centre apprenait qu'elle était au courant, ou que les deux jeunes se fréquentaient... ils feraient tout pour la détruire et le traquer. Mais à cet instant il se jura de toujours la protéger.

" N'en parle plus, à personne, c'est trop dangereux! On y fait des choses tellement affreuses... il faut l'avoir vécu pour être conscient de pareille atrocités... et encore... mais je saurai te protéger, même si j'espère ne pas avoir à le faire!"

Il se stoppa un instant, voulant changer de sujet, n'aillant pas envie de gâcher sa joie récente. Observant le ciel qui s'était voilé d'un gris imparable, il réalisa que cela faisait presque 1h qu'ils n'avaient pas bougés d'ici. Le jeune homme commençait à ressentir la fraicheur sur son visage et ses mains. Mais il n'avait pas envie de la quitter... et ne voulait pas à la fois paraitre déplacé ou intéressé en l'invitant quelque part...

" Il se fait tard... tu sais, je n'ai pas très envie de te quitter..."

Il espérait ne pas regretter ses propos...

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- Je n'en doute pas!

Il se rapprocha de mon visage. Mon pouls s'accéléra de plus belles quand je sentait son contact sur ma peau. Est-ce ca l'amour ? Est-ce que c'est cela qu'il se produit quand Cupidon décide de me faire tomber amoureuse de toi ? Je ne sais pas qui il est mais sa présence m'en est indispensable maintenant. J'ai besoin de lui pour avancer, pour être celle que je suis maintenant : Une fille heureuse !

- N'en parle plus, à personne, c'est trop dangereux! On y fait des choses tellement affreuses... il faut l'avoir vécu pour être conscient de pareille atrocités... et encore... mais je saurai te protéger, même si j'espère ne pas avoir à le faire!

- Je te le promet

Je ne savais pas ce que ce centre pouvais me faire mais jamais je ne me mettrais en danger au risque de le perdre. Je m'attache trop vite à lui pour sa0 Puis, Je le regardait, toujours dans ses bras. Le soleil commençais a se coucher pour laisser le rideau de la nuit se fermer de façon a se qu'on ne voient que lui et Benji me dit

- Il se fait tard... tu sais, je n'ai pas très envie de te quitter...

- Je n'y tiens pas non plus, tu sais. ... Je suis bien avec toi

Je ne regrettais pas mes paroles et les siennes me tenaient chaud au cœur. Mon visage n'étais pas loin du sien et je souhaitait qu'une chose : goûter de nouveau ses lèvres.

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Après avoir promis de ne rien divulguer sur ce centre, car le danger était grand, bien qu'elle l'ignorait, Ben acquiesa simplement puis elle lui dit, son visage collé contre le sien:

Citation :: - Je n'y tiens pas non plus, tu sais. ... Je suis bien avec toi.

Sa réponse le ravit amplement, comme jamais rien ne l'avait ravi jusqu'alors. Un simple regard, de simples douces paroles de sa part faisaient de lui et en une simple soirée, le plus heureux des hommes.Ne sachant quoi dire, comment lui répondre, avouer ce qu'il ressentait vraiment, il se tû. Son regard se plongeait dans le sien et il pouvait lire en elle qu'elle appréciait vraiment sa compagnie. Encore hésitant, il se rapprocha son visage de la douce brune et vint avec légèreté et envie, s'emparer de ses lèvres en un frisson. L'envie était plus forte que sa résistance, voyant que la jeune femme appréciait, il laissa ses lèvres descendre sur son coup avant de remonter jusqu'à son front. Stoppant leurs baisers avant qu'ils ne deviennent trop fougueux, ne voulant pas précipiter les choses, il se redressa devant elle et lui tendit les mains pour l'aider à se relever.
En se releva il ressenti une légère douleurs dans son dos et frimassa, mais celle-ci partit quasi instantanément.
La pluit commença à tomber, pas trop fort pour le moment, ce qui ne plut pas au jeune spécimen qui détestait l'humidité. Il fit passer la jeune femme sous sa veste en cuir pour la protéger des goutes, la serrant à nouveau contre son torse. Finalement, il se dit que la pluit n'était pas si blâmable! Accélérant le pas en serrant Rosie à la taille, jusqu'à se réfugier sous la voute de l'entrée d'un bâtiment. Il s'arrêta alors pour se positionner en face d'elle, remettant les mèches de sa vive chevelure en place. Il se retourna un instant de profil pour constater les trompes d'eaux qui frappaient le sol. Qu'allaient-ils faire maintenant? En se repositionnant contre elle, il remarqua que son jean était complètement trempé, mais aussi qu'il connaissait parfaitement cette rue passante, qui n'était autre que celle où il vivait.

" Tu es trempée! Tu habites près ou tu veux te sécher chez moi?"

Benjamin lui proposa cela en montrant le building d'en face du doit, une grande tour où il logeait au dernier étage. Bien évidement, ce n'était pas une simple proposition de service, qui pourrait arranger la jolie brune, mais un refus de la quitter, un désir grandissant de la garder encore auprès d'elle.

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L'envie de sentir sa présence contre mon corps, d'humer cette odeur environnante et envoutante qui n'est autre que la sienne. Je le voulais pour toujours, jus qu'as temps que la vie se retourne contre moi et m'emporte. C'est quelque chose qu'on ne pas expliquer : L'amour. J'en était presque sure, presque sure que je l'aime. Mais pourtant, c'est tout juste récent et je l'aime déjà. Le coup de foudre me dirais vous ? J'espère que cela est réciproque. Avant, j'avançais seule, maintenant je veut avancer a deux : avec lui.

Puis, ses lèvres touchèrent les miennes et cela provoqua un baiser que je prolongeais avec plaisir. Puis, il m'embrassa sur le cou et tout en remontant jus qu'a mon front pour se stopper a mon plus grand regret. Puis, Il se leva et me tendit ses mains pour que je fasse de même. De légères gouttes tombèrent sur nous et cela s'aggrava de plus en plus laissant place a une averse ! Il me fis de la place sous sa veste en cuir. Je fus serrer contre lui, ce qui me plu. Puis, rendue sous un bâtiment, il me dit

- Tu es trempée! Tu habites près ou tu veux te sécher chez moi?

Je regardait son doigt pointée sur un bâtiment qui n'est autre ou celui ou il résidait. J'habiter a l'autre bout de la ville et cela ferais trop loin pour rendrais. Etait-ce un signe pour me dire que mon destin, mon avenir est avec lui ? Je n'en savais rien mais autant profiter du moment présent. Alors, je le regardait et je répondit

- J'habite à l'autre bout de la ville et je serais plus que trempée en rentrant donc si cela ne te gênes pas, me séchais chez toi ne serais pas de refus

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Entre elle & moi ou entre elle & lui... c'est la suite d'une grande amitié, le début d'une belle histoire. {Le trio^^

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