A neuf heures du matin, le réveil se mit à retentir une douce mélodie composé par Serge Gainsbourg. Ethan, était allongé dans le lit, déposant brutalement sa main sur l’appareil électrique éteignant ainsi toute sonorité. Il sentit un corps brûlant se confondre aux siens. Il laissa sa tête déchoir sur le bas-côté, et esquissa un mince sourire en épiant la jeune femme qui se trouvait dans sa demeure. Elle ressemblait étrangement à son ex compagne. Il se releva, & se mit à cheminer en direction de sa salle de bain. Pendant plusieurs temps, il laissa l'eau bouillante émerger sur son corps, tentant une fois de plus d'omettre la seule femme qui avait compté à ses yeux : ses fiancés qui avaient été assassinez quelques années auparavant par son meilleur ami. En sortant de la douche, Ethan entoura son anatomie d'une simple serviette, avança jusqu'à sa mansarde. En passant devant la couche, il jeta un regard âcre à la femme qui avait passé une nuit en sa compagnie. Il n’osa pas tout de suite l’agresser c’est pourquoi, il s'engouffra dans l'immense armoire qui lui servait de dressing. Il attrapa l'un de ses costumes, une chemise blanche Calvin Klein et des chaussures Armani. Il s'habilla hâtivement, et fit glisser pour finir sa Rolex autour de son poignet. Il s’observa dans le miroir, & se désigna comme irrésistible. Il examina l'heure sur le cadran de sa montre. Son véhicule serait là d'ici cinq minutes, lui avait assuré son chauffeur personnel. Il arriva aux pieds du lit, brusquement jeta les vêtements qu’il avait ramassés un peu plus tôt dans le doux visage angélique de sa partenaire.

# C’est bon tu peux décamper, je bosse maintenant, tiens je te laisse un petit pourboire sur la commode se situant à ta droite #
# Tu me prends pour une de tes putains ou quoi Ethan ? #
# T’en ai une non ? #

Enervé, la jeune femme fila tellement vite qu’Ethan n’eut guère le temps de lui rendre la rendue de sa pièce. Un sourire s’esquissa sur son visage, étrangement la plus part des femmes réagissait de la même manière ne prenant donc pas leurs dût sottes comme elles étaient. Il clôtura donc son humble demeure avant de partir besogner avec son confrère. La limousine parvint plus tôt qu’habituellement, se qui permettrait au jeune mafieux d’analyser son travail avant même d’arriver à destination. Aujourd’hui n’était pas un jour que l’ont pourrait qualifier d’ordinaire, certains mafieux Italiens avaient un entretien avec les Russes. Ethan s’était précipité sur l’occasion, il savait pertinemment qu’une de ses conquête s’y trouverait c’est donc de cette pensée qu’il y surgit. Il avait passé en sa compagnie, une agréable & tumultueuse nuit, rien que la souvenance en devenait délicieuse. Elle était d’une beauté inégalable, un charisme admirable, un caractère mémorable !
Arrivé a destination ; le chauffeur s’arrêta & vînt ouvrir la portière tout en souriant. Le jeune homme le remercie d’un sourire amical. Un assistant survint lui signalant ainsi l’arriver d’une certaine APOLLINARIYA E. SADOVSKI.
Lorsqu’il défit la serrure de son cabinet, quelque chose sonnait faux … Il avançât délicatement, près a se servir de ses dons à n’importe quel seconde jusqu'à se qu’une personne se présente face à lui s’était elle …

Ethan ne put prononcer une parole devant le charme de la jeune femme, elle était magnifique, son regard céruléen était aussi envoutant que sa mélodieuse voix, ses traits parfaitement dessinés. Les femmes de ce genre ils les côtoyaient assez souvent dans sa profession. Cependant cette jeune femme paraissait différente des autres. Elle dégageait quelque chose d’intrigant. Celle-ci s’approcha dangereusement du jeune homme, l’examinant ainsi. Leurs visages se retrouvèrent à quelques centimètres l'un de l'autre. Chacun d'eux pouvait sentir la respiration de l'autre sur le sien . . .

# Flashback #

# Allez Ethan vient, c’est ta dernière nuit de célibat ! Tu ne peux pas nous refuser sa ! On enterre ta vie de garçon se soir ! que tu le veuille ou non #
#La preuve je l’ai déjà fait ! #


Cette-fois, ci, il s’était laisser aller dans le genre de lieu qu'il abhorrait fréquenter, ses amis l’avaient imploré après tout c’était sa doute dernière nuit de célibataire, il fallait en bénéficier. La veille au soir, il avait demandé la main de son bien aimé, or il savait très bien qu’il ne ferait rien de mal, c’était claire il aimait sa belle & se sentiment était réciproque. Ethan se retrouvait donc là, dans ce salon privé, entouré de ses quelques amis. Adosser sur un sofa pourpre, la serveuse vînt à eux leurs déposants les boissons qu’avait commandées un jeune brun de la bande, plusieurs verres de vodka ainsi que de la Red-bull, & des desperados. C’était sûrement elle aussi, une de ses strip-teaseuse étant donné qu’elle était assez dénudé, & qu’elle se laissait palper par ses clients. Un des compères du jeune homme la prit par la taille tout en lui déposant des caresses, l’une d’entres elle plaça un billet de 20 euros dans ses sous vêtements.
L’atmosphère était assez détendue, il n’y avait qu’Ethan qui se crispait. Se n’était pas le genre de soirée qu’il appréciait bien au contraires il ne voyait que par sa femme, il l’aimait … La jeune femme se releva, et vint s'asseoir sur ses genoux. Elle débuta des caresses tout en lui suturant de douces paroles aux creux de son oreille. Or cela n’avait aucun impact sur lui. Une autre femme fit son entrer adressant un regard âcre à sa camarade. Elle n’était vêtue que d’un simple peignoir laissant apparaître ses formes… Cette fille c’était elle : APOLLINARIYA. Quelques peu après sa fameuse entrée spectaculaire, elle renvoya l’autre strip-teaseuse à côté. Elle s’installa au centre du salon sentant ainsi tout les regards se porter jusqu’a elle sauf celui d’Ethan qui ne partageait point l’envie des autres. Ses amis ne manquèrent pas d’insinuer qu’il était l’homme de la soirée, la jeune s’avança de lui, son regard était toujours aussi déplaisant : Il n’appréciait pas cette soirée. La jeune femme se mit à lui proposer une danse, celui-ci refusa sous peine qu’il n’avait rien de mander de pareil !
Elle laissa glisser le long de son corps son peignoir, laissant ainsi apparaitre son corps simplement recouvert de sous-vêtements en dentelle noir. Elle détacha de son tanga une paire de menottes, et les agita avec sa main.

Femme : Ton ami m'a dit que tu aimerais sa ...

Ethan eut un sourire mesquin lorsqu’elle annonça d’intensifier le son de la musique. Elle débuta alors sa danse. Les mouvements de son corps étaient très corporels et assez encourageant. Elle continuait de fixer Ethan. Celui-ci la regarder se déhancher, un sourire en coin, presque impassible. Elle descendit de la table, et se mit à agiter les menottes devant lui tout en lui touchant la partie inférieur ... Puis elle se mit sur lui à califourchon. Leurs regards ne purent s'enpêcher de se croiser. Sans s'en détacher, elle lui mit les mains dans le dos et lui passa les menottes. Elle lui sutura quelques paroles à l'oreille, avant de la lui mordre. Puis elle se mit à danser sur lui, en le regardant intensément. Elle faisait des mouvements de bassin contre son corps. Ethan entendait ses amis colporter quelques rires. Mais malgré lui il ne pouvait plus détacher ses yeux d'elle, elle avait gagné...


# Flasback #


Ethan lui alluma sa cigarette tel un gentleman, il connaissait cette femme non plus parce qu’elle était la fille du mafieux Sadovski & qu’il avait déjà couché avec elle à leurs dernières réunion, non parce qu’il avait trompé sa femme avec une strip-teaseuse qui était elle !

« Ethan Dean Morgan, enchantée mademoiselle ? »

Apparemment, Ethan avait eut raison, cette femme, il la connaissait belle & bien. Elle avait réussi à le piéger & l’avait comme ensorceler.


** Flash Back **


Ethan avait allégué une sortie entre amis. Il détestait lui mentir, néanmoins comment pouvait-il lui dire qu’il l’avait trompé avec une strip-teaseuse qu’il ne connaissait même pas. Il était trois heures du matin peut-être un peu plus, il faut dire qu’il avait complètement perdu la notion du temps, Ethan ne sommeillait toujours pas. Il était adossé contre la tige du lit songeant à son acte de tromperie. Pourquoi avait-il commis un tel crime ? Il n'en avait pas la moindre idée. Il aimait sa femme, c’était certain … Mais la fille du club l’avait complètement hypnotisé ! Soudainement, le bruit de l'eau qui jaillissait dans la salle de bain cessa. « Elle » fit son apparition dans la pièce, munie d’une simple serviette de bain assez courte pour dévoiler ses formes. Il la regarda s'approcher finement du lit. Arrivée au pied, elle se pencha et avança à quatre pattes sur celui-ci, observant Ethan avec toujours ce même sourire espiègle. Elle passa au-dessus du corps d'Ethan, et s'assit sur lui réunissant son bassin avec ses genoux. Elle lui déposa un baiser sur le torse avant de relever la tête vers lui.

Ethan : Tu en a mis du temps...

Apollinariya: Je pensais que tu serais venu me rejoindre sous la douche... Comme tu avais l'air de vouloir tester tout les endroits de cette chambre d'hôtel !

Ethan: Tu n'en as pas eu assez peut-être ?

Apollinariya : Apparemment Je ne suis pas la seule dans se cas là ...

Elle se redressa légèrement pour débarrasser le drap qui recouvrait le corps d'Ethan jusqu'à sa taille, puis elle se remit sur lui. Elle lui laissa retirer la serviette, puis elle prit son visage entre ses mains, et l'embrassa à pleine bouche, avant de commencer sur lui des mouvements avec son bassin. Elle colla ses mains dans le cou d'Ethan, et commença à accélérer ses mouvements.



** Fin du Flash Back **


C’était donc elle, ils avaient eux deux relations sexuelles ensemble. Depuis qu’il avait trompé sa bien-aimée, Ethan ne pouvait s’arrêter de penser à cette mystérieuse femme, elle l’obsédait complètement. Il n’avait jamais passé une telle nuit en compagnie d’une si jolie demoiselle ni même sa propre femme pour vous dire. Il avait commis un acte, qu'il se croyait pourtant incapable de faire. Il avait été infidèle. Il l'avait trompé. ll lui avait menti et il continuerait de le faire. Il ne voyait pas d'autre solution. La vérité lui ferait trop de mal Sa fiancée n’était pas du genre sauvage bien au contraire. Quand ils faisaient l'amour c'était avec douceur. A vrai dire, jamais Ethan n'avait connu une nuit aussi passionnée et torride à la fois. Mais s’il avait sut que le lendemain sa femme se serait fait assassiner jamais il ne serait sortis, jamais il n’aurait écouté ses amis & jamais il ne lui aurait été infidèle.

C’est donc de cette commémoration qu’il s’approcha de la mafieuse, des souvenances l’avait envahit des bonnes comme des mauvaises. Elle était toujours aussi splendide qu’auparavant même plus d’ailleurs …


# C’était toi cette strip-teaseuse je me trompe ? C’était une de tes missions n’est-se pas ? Que t’as promis ton père se jours-ci ? #

** Flash Back **


Il remit des mèches de la jeune femme derrière son oreille, et observa quelques seconds sons visage, avant de déposer ses mains sur le bas de ses reins, pour l'obliger à reprendre ses mouvements. Les mains dela jeune femme remontèrent dans le dos d'Ethan, pour se poser sur ses omoplates. Leur étreinte se fit de plus en plus intense. La jeune femme sentit une bouffée de chaleur l'envahir, ses doigts se crispèrent pour s'enfoncer dans la peau d'Ethan avant que sa gorge ne laisse échapper un cri de plaisir.

** Fin du Flash Back **

« Tu as fais l'amour avec moi !! »

Comment pouvait-elle prétendre qu’il lui soit inconnu lorsque l’ont apprend qu’ils ont passé deux prodigieuses nuit ensemble ! En tout cas une chose était certaine pour le jeune mafieux, jamais auparavant il n'avait eu autant estime pour une femme. Surtout depuis la malencontreusement mort de sa fiancé.

Elle l’observait de l'autre bout de la pièce, assise dans un fauteuil noir dont le tissu était brûlé par de nombreuses cigarettes. Ethan hésita, ouvrit la bouche et la referma, n'arrivant plus vraiment à articuler. Quant à elle, elle leva la tête, écrasa sa cigarette contre un cendrier, mais ne dit rien. Ethan, lui la fixa de ses yeux gemme. Il s’approcha délicatement de la belle tout en la scrutant des yeux. Personne ne l'avait jamais regardée ainsi auparavant, de façon aussi perçante .Sa respiration s’accélérait à mesure de leur distance, il fit glisser sa main sur ses cuisses et remonta jusqu'à son nombril. Il l'embrassa lentement dans le coup et l'entraîna sur le bureau. Il ferma les paupières comme pour y retenir les deux lueurs bleues qui s'y étaient perdues ; puis, il voulut résister à ce vertige oppresseur. Habilement, Il lui caressa ses cheveux, & se remit à vouloir gouter ses lèvres. Néanmoins celle-ci esquiva son baiser pour passer à sa droite ainsi se relever.


« Qui aurait crut que le diable avait un visage d'ange n'est-se pas ? Je dois dire que tes lèvres m'avaient énormément manquer , ta déléctueus peau également, tes yeux bleu océan , ton timbre de voix ... Tu m'avais manquer, je n'ai cessé de penser à toi , ose me dire que tu n'as pas ressentis se que moi même ais je ressentis lorsque tu m’as fait l’amour ? »

Révolter par le discours de sa belle, Ethan soupira, ce ne fut pas un soupir d’ennui mais d’irritation. Effectivement son père ne la laissera pas mener sa vie elle-même, Ethan était le premier à le savoir. Il connaissait pertinemment son père, un homme assez admirable dans le monde dans lequel il avait tout deux été élever.
Une pensée lui vînt alors à l’esprit, pourquoi n’emménagerait-elle ici ? Après tout, si elle ne voulait pas rester avec son père n’était-ce pas son droit ? Puis Ethan pouvait toujours la protéger grâce à son don, son père ne pourrait être que contraint à la soumission face au jeune mafieux.


« C’est dommage, mais ici la protection t’aurait été assuré, il n’aurait rien put faire ! Vous les russes avaient vraiment une vision dégradantes de nous les Italiens pourtant vous ne mesurez pas notre force à priori ! » Dit-il ironiquement.


Rapprochant une nouvelle fois son corps de celle de la belle, il esquissa un doux sourire à sa réplique. Ethan songea déjà à l’endroit qui serait le mieux approprier pour une jeune femme de sa stature, néanmoins cela lui sembla un peu trop banale lui commémorant toutes ses conquêtes, des femmes aussi facile qu’il l’était, des femmes éblouies d’un tous petit rien. Cette fois-ci, il ne désirait pas « une partie de jambe en l’air » mais pouvoir ressentir le béguin, bien qu’il l’avait déjà & ne voulait pas lui-même se l’avouer.


« Je te propose un Kebab ? C’est la meilleure bouff qu’il y est au monde ou un MC do … Bon oké je sais, ce n’est pas très subtil pour un rendez vous, mais tu es différentes des autres et je veux que la nourriture elle-même soit différentes de se qui est banale. »