Premier chapitre; la naissance suivit de l'enfance.

C'était en automne, la saison venait tout juste de commencer. Les feuilles commencèrent petit à petit à tomber sur le sol qui, dans quelques mois, sera recouvert de cette neige épaisse. Je me souviens même de la date, c'était un 26 septembre 1988; au Mexique. La chaleur se fessait encore sentir, l'été à marquer le temps. Ma mère allait enfin accouchée. Cette souffrance était insupportable pour elle, enfin d'après ce qu'elle m'a dit. Attendre neuf mois pour enfin voir sa progéniture, quesque c'est long ! Elle était à la fois sur-excitée et anxieuse. Pourquoi anxieuse ? Car elle avait peur de faire une fausse couche ou que je sois morte ou bien alors moche. Telle sont les mots qu'elle a prononcer. Enfin, ce n'était que deux heures après que je suis apparue, non pas telle un ange mais une erreur de fabrication. Ma mère est assez superficielle et très franche. Quand elle n'aime pas quelqu'un ou qu'elle le trouve horrible à regarder, elle lui dit et c'est exactement ce qu'elle fait depuis ma naissance : me critiquer, me juger et me rabaisser comme personne d'autre n'a pu le faire. Quand à mon père, il était ravi de voir que sa petite fille ne plaira pas à tous ses garçons qui font de la gonflette, selon lui. Ma naissance n'était pas des plus joyeuse mais l'on fait avec. Durant toute ma croissance, ma mère a essayée de me faire des cours de matien et de savoir vivre. Elle voulait que je fasse de la danse pour que je sois plus gracieuse mais je n'aimais pas ca. Ca me fessait mal aux jambes. J'ai voulue essayer l'équitation mais à mes 5ans, je me suis fracturée le bras en tombant d'un poney. Ma mère me traitée de gourde, d'erreur de la nature, de poubelle. C'est horrible de savoir que votre mère ne vous aime pas pour ce que vous êtes mais uniquement pour votre physique. Sa fait mal toutes ses insultes mais le pire, c'est ses coups. Ma mère me tabasser avec un annuaire ou bien à mains nues en insultant le ciel de lui avoir fait un enfant aussi laid. Mon père, quand à lui, il me réconfortait quand ma mère partait travailler. C'est le seul avec qui je pouvais rester moi-même. Il m'aimait pour ce que j'étais et non pour ce que je ressemblais mais à mes 10ans, mon ange gardien partit rejoindre les anges. C'était en Janvier, le 13. Ma mère l'harcelait au téléphone pour savoir où il était et quand il décrocha enfin, on entendit un gros choc au bout de quelques secondes de communication avec lui. Il venait de foncer dans un camion car il avait était déconcentré par la voix de ma mère. Aucune larmes de sa part, juste ses mots blessants et tuant. Elle a tuée mon père en s'acharnant sur lui quand il fut secouru par les pompiers et placer à l'hôpital. Il n'avait plus la force de se battre contre ses remarques. Avant de mourir, il me dit :

Père de Amaryllis; « Ma chérie, tiens bon. Je suis désolée ne pas pouvoir te soutenir plus longtemps mais je crois que c'est mon heure de partir. Dès que tu est en âge de partir, fait le. Commence à faire des petits boulots et mon héritage est sur ton compte, tu aura de quoi tenir. N'oublie pas que je t'aime et que je veillerais toujours sur toi de la-haut. »

Amaryllis; « Je te le promet. »

J'eus a peine le temps de lui dire ceci qu'il fut décéder, à 22h15. Je pris sa main, je le regardais et tout en murmurant des mots du genre : Vit heureux avec les anges ; je penserais toujours à toi. Pour une petite fille de 10ans, c'est dur de voir son père mort. Je me suis mise en tête que c'était la faute de ma mère, ce qui est à moitié réel. Je voulais tenir cette promesse, et je réussirais, pour lui. Ce n'est juste une question de temps...

Deuxième chapitre; On passe par l'adolescence avant de devenir adulte.

Les années passèrent et plus le manque se creusait dans mon cœur. J'ai beau faire comme ci il était là, cela ne marche pas. Ma mère continuait de me battre, de plus en plus souvent et de plus en plus fort. Cela m'arrivait de ne pas aller à l'école car mes blessures devaient trop voyante. Les gens se poseraient des questions, c'est horrible d'expliquer aux gens que t'est tombée de trottinette ou vélo alors quand réalité, c'est ta mère qui te frappe. Il est arrivé un temps où tu commence à accepter ses tortures, se manque, cette vie. Alors que non, je devrais pas l'accepter mais c'est le cas. Pour mes 14ans, elle m'offrit un billet vers les États-Unis et me dit que désormais, on vivra là-bas. Je n'avais pas le choix, je devais la suivre. Alors go to L.A, même si le fait de quitter mon père me tue. Ma mère est originaire de Los Angeles, elle connait parfaitement cette ville. Elle travaille dans la gestion et management. Une femme d'affaire, elle sait se faire respecter mais elle est aussi connue pour ses coucheries avec ses patrons et collègues de travail. Une fois à L.A, ma mère continuait de me frapper, de me tabasser pour me faire comprendre que je suis une moins que rien. J'avais beau aller au Lycée, les gens me fessaient peur. Sauf un jour, j'ai rencontrée une fille. Très gentille, elle m'adressa la parole. Elle décida de m'aider à me relooker et à me faire des amies. Cela marcha. Au bout de quelques mois, je n'étais plus la même. Ma mère en revenait pas mais par raison inconnue, elle continuais à me tabasser en m'accusant de ne pas rester la petite fille moche qui lui sert pour se défouler de ses longues journées insupportable. Je continuais quand même à essayer de me rendre jolie jusqu'à temps que mes blessures deviennent trop importante pour les cachés. Mon amie me demanda se qu'il m'était arrivé et j'avais accusé des jeunes de la ville en me considérant comme victime de leur agression. A mes 18ans, ne supportant plus tout ca, je décidais de partir. J'avais l'héritage intégrale de mon père, plus l'argent de mes petits boulots que je fessais entre mes cours, à l'insu de ma mère. C'est en fessant mes valises un soir, profitant qu'elle soit absente. Sauf qu'elle rentra plutôt que prévue chez nous et elle tenta de me retenir et me frapper pour que je reste. Supportant plus tout ca, je me mis à la pousser et elle attérit sur la commode de derrière et cagna la tête contre le coin. Fessant bouger la commode, le vase tomba et explosa sur elle. N'osant pas m'approchait d'elle, je pris une de mes chaussures et je m'approchais d'elle doucement. Toujours avec ma chaussure à la main, je me baissais pour prendre son pou. Plus rien. Elle est morte, sa y'est. J'avais peur, tellement peur que je partis loin de chez moi en terminant très vite mes valises, prenant mon sac à main, de l'argent dans la boite où elle rangeait la plupart de ses payes et je partis très vite vers ma voiture. Oui, ma mère m'avait fait passer le permis, on sait jamais, sa peut marcher mais pas le droit à une voiture alors obliger de prendre une voiture de fonction qu'elle cachait dans le garage. Je partis direction New-York. Quand à mon amie, je ne l'ai plus jamais revue et j'ai pas pue la prévenir de mon départ accéléré.

Aujourd'hui, j'ai 22ans et je vis à New-York, dans un petit appart. Je suis serveuse dans un bar très réputé dans New-York. Je n'ai pas de nouvelle concernant ma défunte mère. La police ne ma toujours pas retrouver mais ici, j'ai complétement changée. J'ai changée de caractère en prenant des cours d'auto-défense, j'ai commençais à prendre soin de moi, à m'embellir et je tente de faire comme si rien n'avait perturbé ma vie. Je mène une vie normale dans une ville banale. Espérons que cela va marcher.

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