Depuis quelques semaines, je suis comme une fille morte. Oui, tel est le mot : Morte. Je dors que trois heures, je ne mange plus que quelques sucreries par ci par la , assez pour me faire un goûter. Je ne fait plus aucun effort, qu'il soit vestimentaire ou ménager. Je ne vais pas au travail, décrétant que je suis malade. En effet, on peut dire sa comme ca, je suis malade. Non pas sous le sens que tous croivent. Je ne suis pas une débile mentale non plus et je n'ai pas de maladie grave. Celle que j'ai, elle s'attaque au coeur. j'ai tout simplement la maladie d'amour. Sans sa présence à ses côtés, je me sens pas bien, sans ses baisers, je n'arrive plus a me nourrir, sans son odeur, j'ai du mal a respirer l'air normal. Loin de lui, je suis plus rien. J'ose même plus me regarder dans un mirroir, peur de casser la glace qui verrais mon visage avec toutes ses cernes, cette peau sèche, ronger par mes larmes. Je ne veut même plus être " jolie " , ni présentable. Ce que je veut, c'est juste qu'il me prenne dans ses bras et qu'il me dise, de sa voix si mélodieuse, que c'était juste un cauchemard, que rien n'as changer, qu'on sais jamais engueluer. Malheureusement, c'est faux. Malheureusement, on s'est bel et bien engueuler. C'est pas moi, mais la colère qui parler, c'est la jalousie qui prennait le dessus. Maintenant, c'est trop tard pour dire que je suis désolée, que je regrette. Même si c'est vrai, cela ne sert plus a rien, vraiment plus a rien.

Ce matin, rien n'avait changer. Je me levée, et je marcher jusqu'as la salle d'eau, ou, par colère, j'avais casser la glase avec mon poing. J'avais pas était a l'hopital et la douleur se fessais sentir. Je m'en foutais, la douleur de ne pas être avec lui était plus forte que celle de ma main. J'avais simplement mis un pansement mais la plaie était plus profonde, mais personne ne s'en rendait compte. Non, absolument personne. Ils coryaient tous a une simple égratinure, l'excuse que je sortait a tous pour éviter qu'ils s'inquiètent. Devant les autres, j'essayer de me montrer forte mais seule, je me laisser allez et j'enlever mon masque de joie et euphorie. Devant mon seul reflet, je deviens molle, sans but pour avancer. Mais aujourd'hui, repensant a lui, a mes proches, je décidait de prendre mon portable et d'envoyer un sms a Benjamin, car un appel serais trop douloureux. Alors, ayant lue qu'il serais au rendez-vous, je me dépéchais de me préparer, mettant un jean, et un tee-shirt suivit d'un gilet gris. Je me préparer, soigner un peu mieux ma blessure, j'arranger ma coiffure et je me débarbouiller le visage avec de l'eau froide, histoire de me remettre les idées en place.

15h21; bientot l'heure du rendez-vous. J'angoissais, je stressais, je balbutais, mais j'avais aucune raison d'avoir aussi peur de le revoir. Dans ma tête, la petite voix me disait qu'il allais me dire qu'il m'aime plus, qu'il as trouver quelqu'un d'autre et mon coeur me disait qu'il m'aime, qu'il pardonne ce qu'il sais passer en ce 14 février, dans ce labyrhinte. Je voulais plus y penser mais la nuit, les images défiler au fur et a meusure que je dormais. Ne voulant plus les voirs, je me refuser de dormir. Je ne manque pas de sommeil, je ne vais pas tomber dans les pommes ou faire une crise d'hypoglicémie, non non, je vais très bien. Je tiens le coup, enfin du moins, j'essaye.

16h, l'heure du rendez vous! Je pris mes clefs de voiture et mon sac avec toute mes affaires. Pour me réveiller, je pris mon Ipod et je me mis a l'écouter. Après quelques secondes de réflexions, je décider d'y allez a pied. Sa me feras prendre l'air et comme ca, sa me fait marcher un peu. J'était renfermer dans ma petite bulle musicale et vous ne pouvez pas savoir à quelle point cela me fait du bien! Alors, marchant au rythme de la musique, j'avançais jusqu'as la créperie. Je pense qu'autour d'une bonne crèpe, les aveux seront plus simple et on mangeraient pour combler les blancs. La chanson me parlait en quelques sortes, c'est celle de Papa Roach - To be loved. Entrainante, brutal, sensible, attachante et tuante. Oui, cette musique regroupe tout ca a la fois, étonnant non ? J'arrivais alors a la créperie, souriante, car la musique me fait sourire. Alors, je m'installais a une table en terrasse vue le soleil chaleureux qui se présenter a nos côtés pour cette journée. je pris soin d'en prendre une un peu plus écarter des autres. Encore a écouter toute ma playist, j'attendais Benjamin et je me mise a baisser la tête, regardant ce que j'avais comme musique.

Je rechercher des musiques dans ma playist, celles qui pouvaient me détendre, m'appaisser, me calmer, me faire revivre un petit peu. Je regardais, les écoutant rapidement une par une. On pouvais entendre une douce et belle mélodie et ensuite,une qui bouge. Je n'ai pas de style de musique particulier, cela varie au fur et a meusure de mes envies, de mes pensées. Le style musicale que j'apprécie le plus c'est le Rock, oui, le rock. C'est entrainant, les textes ont un sens, c'est triste comme joyeux et s'est très écouter des jeunes de nos jours. Enfin bref, à force de rechercher en vain la musique idéale, je suis tomber sur une berceuse. Une sublime et magnifique berceuse jouée au piano. Je la laisser, écoutant cette douce mélodie qui m'appaissait et qui me fessais du bien. Je la laisser m'emporter dans mon paradi et le monde, le paysage et les gens qui m'entourais n'exister plus pour moi. Juste pour le temps de cette mélodie en tout cas.

La mélodie se termina et au même moment, Benjamin arriva. Je le regardais avancer vers moi et sa démarche montrer que lui aussi était aussi mal en point que moi. J'enlevais mes écouteurs, éteigna mon ipod et je le rangeais dans mon blouson. Je n'oseais pas le fixer encore plus mais le revoir me fessais chaud au coeur mais le voir dans cette état me provoqua une nouvelle douleur. Je me demander pourquoi il était dans cet état? Pourquoi un si belâtre se détruiser la santé par un manque de sommeil et de nourriture ? Oui, ses cernes, cette blancheur a se visage, cela montrer qu'il était en manque de tout ca. Je le sais car j'ai les mêmes " symptomes " que lui. Plus il se rapprocher, plus je me posais des questions : Comment vas t'il me saluer? Par un baiser ?Par une simple phrase? Je n'en savais rien. Autant laisser les choses se fairent toute seule. Il était a quelques mètre de moi puis, il s'approcha demoi et m'embrassa sur le front. Je me mordillais la lèvre inférieur et je le regardait s'assoir. Il m'adressa la parole, d'un air douteux

" Bonsoir. Tu n'as pas l'air d'aller bien, quelque chose ne va pas?"

Quand il me dit sa, je me mise a le regardait, droit dans les yeux. Certes, mon visage étaient marquer de tous ce que je m'infiliger. Certes, je n'allais pas bien mais lui non plus et mon instinct me fis comprendre que je devais m'interesser plus a lui que à moi. Alors, je cachais ma main droite sous la table et ainsi que mes deux mains, pour faire moins suspect. Je n'avais pas de sentiments dans mes paroles, tout simplement car j'était beaucoup mal en point pour ressentir quoi que se soit. Biensur que j'aime encore Benjamin et je cesserais jamais d'aimer Benjamin I. Break, le seul qui a su faire battre mon coeur et merendre heureuse en un baiser, euphorique en un baiser, amoureuse en une phrase et m'appaisser en plusieurs caresses. Alors, le regardant encore et encore, je répondit, d'une petite voix mais assez audible pour qu'il puisse entendre

- Je pourrais dire la même chose de toi. Tu dors au moins? T'en as pas l'air en tout cas. Puis cesse donc de t'inquièter pour moi.

"Mais qu’est - ce que tu t’ais fait?"

Je savais que cacher quelque chose à l'homme dont je suis éperdument amoureuse ne serais pas une tâche facile. Habituellement, j'arrive a mentir comme je respire. Habituellement, je ne tombe pas dans l'insomnie parce-que avec mon petit-ami, ca n'allais plus, c'était plutot l"inverse. Habituellement, je ne suis pas comme ca. La, depuis ma rencontre avec Benjamin, j'ai changer. Il m'as transformer, je suis devenue plus sensible, plus gentille, je fais de moins en moins de mensonges, je me livre plus facilement, je suis devenue amoureuse. Réelement amoureuse et me voir devenir comme ca me rend étrange, bizzard. Oui, j'ai jamais eu l'habitude d'être comme ca. Et donc, le faite que lui et moi, on est eu une dispute, ca me rend ... coupable de tout. Avant notre idylle amoureuse, je ne me sentais coupable de rien, même si j'était en tord. J'était une sorte de diablesse humaine. J'aimais manipuler les autres, et surtout mes ennemis. Maintenant, cest différent. Tout est différent ...

Comment raconter à Benjamin que, par colère, j'ai casser mon mirroir avec mon poing car je ne supportais plus de me voir en face ? Comment lui dire que je suis entrain de me " foutre en l'air " la santé car il est loin de moi, que depuis cette fête pourtant si joyeuse, rien n'est plus pareille et que je regrette absolument toutes mes paroles de jalousie et de colère. Comment lui dire que sans lui, je suis plus la même tout simplement ? Pour vous, ca peut paraître simple mais pour moi, non ! Un jour, quand on s'étaient retrouvés par hasard dans un bar, il m'as dit de ne jamais douter de son amour pour moi. Tous les deux, on s'est promis tellement de choses que je me demande si ses promesses tiennent toujours de son côté ? Pour moi, tout ce que j'ai dit, je le pense vraiment et je m'y engagerais pour toujours. Oui, toujours. Est-ce simplement des paroles en l'air qu'il m'as sortit tous ses soirs où j'étais dans ses bras ? N'as t'il pas dit sa pendant ses moments de bonheurs a deux, pendant qu'on étaient tous les deux dans l'euphorie même. Est-ce que nous deux, cela n'était t'il pas trop rapide ? On s'est engagés, comme ca, dans un élan de rapidité et maintenant, on bloquent, on as du mal a avancer l'un avec l'autre. Je voulus lui répondre mais il reprit la parole

" Comment veux - tu que je ne m'inquiète pas après avoir vu ça? ... puis non je ne dors plus... je passe mes journées à l'hôpital à veiller sur une personne qui m'est précieuse, je dois être honnête, je me suis complètement coupé du monde depuis son retour soudain."

Je baissais la tête, il avait raison, il as toutes les raisons du monde à s'inquiéter. Mais qu'une chose soit clair, net et précis, je ne fait pas du mal volontairement, je me mutille pas, je ne me taille pas les veines, non non, cela n'est strictement pas mon genre ! Même si, je dois vous l'avouer, quand j'ai casser le mirroir, la douleur m'as comme appaiser et sa ma fait du bien pendant quelques secondes. Je ne pensais plus à lui, à nous, mais juste à moi, à ma blessure. Puis, quand il me parla de cette personne si précieuse pour lui, je pensais automatiquement à une fille mais laquelle ? Ca ne peut pas être Lena, sinon je serais au courant, je ne pense pas que sa soit Jazzleen car son retour s'est fait sous mes yeux. Alors qui est-ce? Je pensais à son ancienne petite amie dont il m'avais déjà parler. Celle qui l'as laisser tomber et donc mon arrivée dans sa vie l'as aider a l'oublier mais apparament, elle serait revenue et ses sentiments pour elle sont encore la, je le sais, les filles savent se genre de choses. Si il l'aime encore, voir même plus que moi, je le laisserais libre. Même si sa me tue, même si sa me fait mal, je le laisserais retourner avec elle. Peut-être qu'il seras encore plus heureux en sa compagnie qu'as la mienne. Entre temps, le serveur était arriver, de son large sourire pour mieux vendre ses produits et on commanda chacun notre plat, et Benjamin demanda une boisson alcoolisé en plus. Pour ne pas le laisser sans réponse, je posais mon bras sur la table, j'enlevais mon bandage et je lui montra ma plaie beaucoup trop profonde pour ne pas la soigner avec des points de soutures. Je me mise a regarder Benjamin et je répondit, de tout mon courage pour pas hurler de douleur ou m'éffondrais en larmes.

- Cette blessure, je me la suis faite en cassant le mirroir de ma salle de bain avec mon poing et toute ma colère. Oui, je me suis fait sa car je devais passer ma colère, et non je suis pas ce genre de filles qui se font du mal volontairement .. Et cette personne, je suppose que tu est amoureux d'elle et que c'est ton ex dont tu m'avais déjà parler, n'est-ce pas? Tu sais Benjamin, si tu l'aime encore je partirais, je te laisserais faire ta vie avec. Je veut pas que tu reste avec moi car je tombe dans la décadence. Non, je souhaite que ton bonheur Benjamin, rien que le tien et ne t'en fais pas pour moi, j'arriverais bien a m'en remettre un jour où l'autre. Ne crois pas que je ne t'aime plus car c'est faux, je suis totallement et éperdument amoureuse de toi Benjamin.

- Non Rosie, cette décadence c'est moi qui l'ai provoqué ce soir là. Bon sang ce n'était rien pourtant! Il englouti son verre pour se stopper sa colère. Oui, c'est elle, c'est Alice... Elle est revenue comme elle m'était apparue, et jamais je n'aurais imaginé ça. Je suis tellement désolé, crois - moi que si j'avais su ça, je ne t'aurai jamais séduit, jamais. Je ne veux pas t'abandonner ainsi, si tu ne vas pas bien, s'il t'arrive quelque chose, dis le moi et je viendrai. Je le sais Rosie, c'est bien là ma difficulté à te quitter, j'espère qu'un jour tu pourras me pardonner, mais je me suis trompé, je ne peux pas me détacher de cette fille, j'y ai vraiment cru, avec toi j'en ai souffert, mais c'est irrévocable, elle m'a ainsi transformé. Un silence s'installa et Ben' ne cacha plus sa frustration. Mais par pitié Rosie soigne moi ça et ne le refais plus jamais!

Je me retenais de pas pleurer, non je ne devais pas pleurer devant lui! Ses paroles attéignèrent mon coeur se qui provoqua sa fissure immédiate. L'entendre parler de cette Alice comme ca me fessais, trop mal pour être franche. J'aurais aimée que ses douces paroles me soient dédiés, qu'elles soient pour moi mais non, c'est pour elle, pour cette fille qu'il aime tant. Je peut pas l'empêcher de la retrouver, non, je peut pas. J'ai beau l'aimer de tout mon coeur, je sais pas donner de l'amour pour deux. J'ai pas appris à faire sa. Je me possais dès tas des questions mais elles resterons sans réponses. Sa rencontre n'était t'elle pas plutôt meurtrière ? N'était t'elle pas pour me punir d'un acte dont je n'est même pas conscience ? Ou alors on voulais me montrer une perfection de l'amour que je n'aurais jamais ? J'en savais rien, et je voulais plus rien savoir. Alors, je me mise a le regarder et une larme coulait sur son visage. Ses nerfs lâchaient mais il fallait que je reste forte, de mon côté. Même si l'envie de pleurer et exploser en sanglot était tentante. Alors, il rajouta.

- Tu n'es pas seule Rosie, tu as une famille qui t'attends, une famille qui a fait une mauvaise erreur, mais une famille qui sera prête à t'accueillir et te rendre heureuse et que tu fais pourtant souffrir comme elle t'a fait souffrance, ne l'oublie jamais.

Il se levas et me donna un ultime et dernier baiser que je tentait d'apprécier, de profiter, de savourer mais je n'y arrivais pas. Je pouvais pas me dire que dans ma tête, je ne serais plus avec lui. Que le matin, je ne réveillerais pas dans ses bras. Que ses baisers ne me sauveraient plus de mes pensées les plus tordues. Que ses bras ne me porteraient et ne berceraient plus. Je ne peut pas me mettre dans la tête que c'est une autre que moi qui auras le droit à tout sa. Je n'y arrivais pas, totut simplement. Je ne veut pas qu'il m'oublie, qu'il oublie l'amour que je lui donner cà chaques secondes et que je continurais a lui donner. Je peut pas oublier Benjamin I. Break; l'homme qui as su me faire découvrir l'amour. Alors, quand il partit, je me mise à pleurer toutes les larmes de mon coeur et je partit de cette endroit, pour rentrer chez moi. Maintenant, je ne le reverais plus, je ne lui parlerais plus. Ou alors, pas volontairement. Je le laisserais vivre son idylle avec elle, le laissant en paix.