• This machine will, will not communicate, these thoughts and the strain I am under, be a world child, form a circle before we all, go under, fade out again, fade out again •

▬Ce matin la je n'aurais pas voulu me réveiller, comme tous les autres matin d'ailleurs. J'aurais voulu tout simplement resté dans mon rêve et qu'il se répète jusqu'à temps que j'en perde mon souffle. Jusqu' à ce que mon coeur, le muscle le plus puissant du corps humain, s'arrête de tambouriné comme une mélodie redondante qui s'épuise. Non, je n'aurai pas du ouvrir les yeux, encore aujourd'hui. Je flottais dans mes rêves, c'était le seul endroit ou j'étais réellement en sécurité. J'aspirais à un sommeil prolongé, à glissé dans mon extase crée pour convenir une seule et même personne, moi-même. Lorsque je me réveillerai, j'aurais tout oubliée. C'était la où je me cachais le mieux, dans mon sommeil a rêver l'importance du néant. Quand j'avais compris que le soleil c'était levé depuis déjà pas mal de temps, je me redressai légèrement. Le lit était vide, j'étais beaucoup trop grande pour se lit. Je pris mon portable que j'avais laissée sur la table de chevet, puis je me remis sous la couette. J'avais vu les signes qui me montrait que tout s'effacer en quelques seconds. J'avais regardée tout ceux qui m'entourait s'éloigne loin de moi. Pourquoi je me battais ? pour que l'on vois que je retenais sans cesse mon souffle. Thomas m'avait contactée, cela fessait longtemps que je n'avais pas croisé son regard. Il m'avait demandé de le rejoindre. Thomas était ami vraiment spécial pour moi, il était adorable. Je n'avais pas beaucoup de contacte avec les autres personnes. Après quelques minutes, je sortis et je me préparais à la salle d'eau. Les choses qui m'entourer perdait déjà de leurs couleurs. Thomas m'avait promit qu'on allait s'amuser, pourtant mon ventre était liée a l'idée de sortir. Je pris un short, un t-shirt noir avec des motifs qui était dans l'armoire sans savoir à qui il était je l'avais enfilée.


En quittant la maison, je fus éblouie par le soleil qui taper un peu trop fort à mon goût. J'aimais le beau temps, j'adorais le soleil qui se glissait entre mes paupières pour les réchauffer, mais j'avais cette envie que l'automne revienne. Je voulais voir les feuilles suspendu dans les airs, s'apprêtant a tomber le sol humide. Cette odeur, d'humidité étouffée qui venait s'abriter le long de nos vêtements. Par dessus tout, je voulais revoir la pluie. J'avançais vers le lieu que Thomas m'avait indiqué en marchant sur la bordure située entre le trottoir et la chaussée, en imaginant que celle-ci soit remplie d'eau. Suppliant que le ciel me donne un peu d'eau, pour avoir l'occasion de sauter dans une flaque d'eau. Peut-être un orage fessant tremblée les arbres, mais rien de celà. Juste une brise de vent légère qui me donnait des frissons le long de mon épiderme. Je tenais toujours en équilibre, comme-ci ma triste vie en dépendait. Le regard des gens m'étaient plus qu'égale, je ne voulais pas tombé. Après une dizaine de minutes de marche, j'arrivais enfin a l'endroit dis. Il n'y était pas encore. J'étais à la recherche de se visage si familier, si rassurent à mes yeux. Mon regard c'était perdu dans le ciel, avant quand je m'ennuyais je levais mes yeux au ciel et je m'amusais a deviné la forme des nuages. Cela fessait un moment que je ne l'avais pas fais. Tout a coup, lorsque je voyais un poisson clown ressemblant a un héro de dessin annimé sur le point de se faire embroché par le capitaine croché, j'eus un sur seaux. C'était Thomas qui c'était amusée a me faire une blague, je me mis à rire tout naturellement. Je l'avais pris dans mes bras, « ça fessait longtemps » Il avait des sachets de bonbon, et étant donnée que le pêcher de gourmandise était celui que j'enfreignais le plus souvent, je me permis de lui en volée. J'aimais sentir le goût des sucreries se développée sur mon palais. Thomas avançait vers la clairière et je le suivais avec entrain .


- Tu ne t'es jamais demandé si c'était possible d'arrêter le temps pour pouvoir être un enfant à nouveaux ?

J'eus immédiatement un large sourire qui s'affichait sur mon visage. Bien sûre, que je m'étais déjà demander si c'était possible d'arrêter le temps pour pouvoir être un enfant a nouveau. J'enviais Sydney tous les jours pour son pouvoir, d'avoir la faculté de jouer avec le sablier du temps comme ça l'amuse. De pouvoir allez la ou il le souhaité sans que personne ne puisse l'y déranger. J'avais toujours eu le sentiment d'avoir grandi un peu maladroitement et qu'il me restait de lourde séquelle de ce que je n'avais eu l'occasion de vivre étant enfant. D'ailleurs, certain me traiter encore comme-ci j'en étais encore une. Jusqu'ici j'étais arrivé qu'a en parlé avec une seul et unique personne, celui qui était capable de m'écouter. A chaque fois que je parlais de quelques chose de décalé, il me regardait avec ces yeux ronds que j'étais capable de dessiné dans les moindres traits me demandant si j'avais pris quelques chose pour avoir une conversation comme ça. «  Imagine tous les arbres perdant leurs feuilles d'un seul coup de vent, ça serait magnifique. » Il me souriait, sans s'arrêter de me fixée avec cette envie certainement de rire et il me répondait a chaque fois. J'avais pas cette impression d'être ridicule, j'avais juste se sentiment d'être moi-même. C'était dur pour moi, de m'ouvrir avec tous le monde. Je prenais sur moi-même a chaque fois pour essayer d'être quelqu'un de bien, d'être moi. Je le regardais tout en avancent et en me mordant les lèvres a cause de cette appréhension de parler.

– Si j'y ai pensé , mais je penses que cette enfant en nous, il y est toujours. Je lui lansais de l'herbe à la figure.

– Je fessais ça quand j'étais petite, avoir 3 têtes en plus ne m'empêche pas de le faire encore.

J'entraînais Thomas avec moi dans les hautes herbe de la clairière, arrachant l'herbe qui était tout autour de moi et lui envoyant à la figure tous les herbes qui me passer entre les doigts. Je pensais tout simplement, qu'on avait tous une âme d'enfant quelques par et qu'on était trop occupé a tourmenté par nos problèmes de profité du temps qui nous resté a vivre. On était encore ces enfants voulant refusé de grandir.