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 Good Girls Go Bad - Auréa, Lily, Kasey

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MessageSujet: Good Girls Go Bad - Auréa, Lily, Kasey   Good Girls Go Bad - Auréa, Lily, Kasey EmptyMer 7 Avr - 14:58

    New York, une ville remplie de fêlés. Des bruits assourdissant venant du couloir s'amplifiait à chaque seconde. Hell est une jeune fille qu'il ne faut pas énerver dès les premiers reflets d'aube. Contrariée, elle se leva en grommelant quelques insultes grossières bien à elle. La veille, elle avait passé sa journée à jouer à Superwoman et cela l'avait visiblement exténuée. Elle s'était accrochée à son baladeur et s'était endormie avec les écouteurs au cou, pas très ingénieux. Après avoir enfilé un t-shirt qui passait par là, la jeune fille se pressa dans le couloir. Ses parents lui rendaient une visite surprise, ils n'allaient donc jamais arrêter de la couver? - Maman, si je suis partie habiter ailleurs, c'est pas pour que tu viennes tout les matins m'apporter le petit déjeuner. Elle les mit gentiment dehors, et elle passa à la salle de bain pour se préparer. La jeune fille au cheveux blond platine n'avait plus rien à se mettre étant donner qu'elle venait de déménager, ses cartons étaient toujours dans l'ancienne maison. Elle avait vite trouver la solution, prendre une chemise qui tombait en tunique, avec des collants à motif qui laissaient apparaître sa chair. Peu habillé mais c'était suffisant, elle restait dans la provocation. Un peu de maquillage charbonneux, des lèvres rouges pétant pour agrémenter le tout.

    Elle se dirigeait en bus vers l'adresse que Sydney lui avait envoyer. Là où il habitait, il lui avait demandé de s'occuper d'Auréa qui était un peu pensive ces temps-ci. Une bonne sortie entres filles devrait lui faire changer ça. Le jour était parfait pour une virée entres filles, les cours recommençaient le lendemain. Il fallait en profiter. La jeune fille sonna, la porte s'ouvrit brusquement et un jeune homme à l'air mystérieux vint lui ouvrir. Elle l'avait déjà croisé la veille et avait passait une soirée en sa compagnie. Il était très posé, trop discret et son teint était pâle comme de la farine, il avait quelque chose de particulier. Son corps ressemblait à celui d'une femme et à celui d'un homme, son visage se dessinait avec une douceur naturelle. Elle lui dit bonjour et qu'elle venait chercher Auréa. Il lui répondit qu'elle était dans le jardin.

    Parfait, aussitôt qu'il eut prononcé ses mots, la jeune blonde hyperactive avait accouru dans le jardin en mettant ses écouteurs et en cherchant une chanson au hasard. Elle ouvrit la porte, et vit une jeune fille étendue dans l'herbe qui contemplait les nuages. C'était Auréa, Hell était intriguée par cette jeune fille. Dès la première approche, Auréa l'avait mise devant une réalité qui courrait dans l'air. Hell était paralysée devant certaines choses dues à son enfance et à sa maladie, il était très dur pour elle d'en prendre conscience. Hell sauta sur Auréa, en chantant – LALALALALALALA LALALALALALALA LOVE ME HATE ME SAY WHAT YOU WANT ABOUT ME BUT ALL OF THE BOYS AND ALL OF THE GIRLS ARE BEGGING TO IF YOU SEEK AMY -

    Hell ne cessait de danser sur son amie, en s'excitant dessus comme une folle, en dansant. Les contacts physiques, elle n'en n'avait jamais eu. Auréa avait une peau ambrée qui capturait à merveille les rayons du soleil. Auréa possédait elle aussi un short, Hell sentait la chair d'Auréa sous la sienne ça l'amusait. Hell posa les mains sur le visage d'Auréa, elle avait l'air pensive comme lui avait décrit Sydney.

    «  Aujourd'hui tu te pose pas de questions, je t'emmène on va manger une glace, trouver une tenue pour ce soir et aller en boîte. On va s'amuser tu vas voir. »

    Hell n'avait pas vu la présence de Sydney, ni même de celui à qui Auréa avait sauver la vie. Les jeune filles se relevèrent, on pouvait constater un contraste assez important. Auréa avait des allures de perfection et de petite fille, quand à Hell elle semblait beaucoup moins sage. Et pourtant ce n'était que des apparences car il était bien connu que les filles parfaites sous tous les angles, faisaient des choses mal. Hell ne croyait pas aux airs d'anges d'Auréa et elle allait s'amuser ce soir à le prouver. Elles s'avançaient vers la sortie, et Auréa prit la voiture tout en continuant de parler.

    «  On va manger une glace, va sur Soho. Tu l'as laisser seul ? T'as pas peur qu'il se coupe avec une feuille ? »



    Good Girls Go Bad - Auréa, Lily, Kasey 345etso

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MessageSujet: Re: Good Girls Go Bad - Auréa, Lily, Kasey   Good Girls Go Bad - Auréa, Lily, Kasey EmptyMer 7 Avr - 16:20

Quelques rayons de lumière pénétrèrent ma chambre, m'éveillant doucement. C'était une journée comme les autres, le temps était assez gris mais malgré les nuages, je pouvais apercevoir quelques coins de ciel bleu pâle. Le soleil était toujours aux abonnés absents, ce qui ne me dérangeait pas plus que cela; ces-derniers temps, la météo ne m'importait pas. Depuis le 23 Septembre, cette nuit que je n'arrivais pas à effacer de ma mémoire, c'était comme si la Terre s'était arrêtée de tourner, ou bien m'avait oubliée dans son cycle infini. Je m'étais renfermée sur moi-même comme jamais, j'avais de plus en plus de mal à supporter la vision que j'avais dès que je fermais les yeux. Je revoyais Joe, étendue sur le sol, son sang gisant partout autour d'elle, son regard sans vie. Je pensais à elle à chaque seconde, j'aurais tout donné pour qu'elle me revienne, j'aurais même sacrifié ma vie si cela avait pu la sauver. Mais je savais que je ne pouvais rien faire, elle était partie et je devais continuer à vivre avec. Cependant je ne pouvais pas m'empêcher de me dire que c'était de ma faute. Si je n'avais pas eu cette stupide maladie, elle n'aurait pas eu besoin d'aller à la rencontre de ce monstre. Elle serait encore près de moi, nous vivrions encore en Californie, nous serions heureuses. Mais ce n'était qu'un rêve..

Reprenant mes esprits, je décidai de me lever, sans aucune motivation. Cela allait être une journée monotone, la même que les autres. J'irais travailler au fast-food sur Soho, ne parlant qu'aux clients et à mon patron. Ensuite je déciderais sûrement d'aller quelque part, me rendant invisible, peut-être allais-je passer la nuit sur le toit d'un immeuble, admirant la vue de New York. Dès que j'étais arrivée dans cette ville, avec Joe, j'en étais tombée amoureuse. Les centaines de gratte-ciel la rendaient vivante, les lumières présentes dans tous les coins de rues la nuit donnaient l'impression que la ville ne dormait jamais. Il y avait des dizaines de coins à visiter, des parcs magnifiques, de superbes quartiers.
Je n'étais pas en retard, je décidai donc de prendre mon temps pour me préparer. Je me dirigeai vers mon armoire, trop petite pour ranger tous mes vêtements, certains étaient posés au hasard par terre. L'appartement était assez étroit, je n'avais pas les moyens de m'offrir mieux. Je choisis mes vêtements rapidement, optant pour un vieux tee-shirt AC/DC qui avait appartenu à Joe, un slim foncé et mes converses noires, une veste en cuir accompagnant le tout. J'allais ensuite vers la salle de bains, mais je ne me maquillai que très peu, ajoutant du noir à mes yeux bleus clairs et du gloss sur mes lèvres. Mes cheveux longs et bruns refusant de se lisser, je les coiffai simplement et les laissai libres. Je pris mon sac, qui contenait, entre autres, mon iPod, et je sortis de l'appartement.
Le fast-food n'était pas situé très loin, je m'y rendis donc à pied. Sur le chemin, j'écoutai de vieux classiques du rock'n'roll, passant de The Offspring à Aerosmith. Je m'amusais à observer les gens et imaginer quelles pouvaient être leurs vies, j'étais surprise de constater à quel point les hommes en costume, sûrement des hommes d'affaire, étaient nombreux. Il y avait également de nombreux couples, se tenant la main et s'embrassant. Je tournais le regard, ne voulant pas violer leur intimité; cela ne me faisait rien, cependant, de voir des gens s'aimer alors que j'étais seule. Je n'avais jamais recherché l'amour, et même si j'avais déjà eu quelques petits copains, je n'étais jamais tombée amoureuse. J'étais aussi sortie avec deux ou trois filles, j'étais ce que certaines appelaient bisexuelle; peu m'importait le sexe de la personne du moment que je l'appréciais.

Au bout d'une dizaine de minutes de marche, j'arrivais au fast-food. Je posai mes affaires puis enfilai mon tablier. Les clients arrivèrent en masse, je commençai à travailler. Deux jeunes filles entrèrent au bout d'un moment, très belles et séduisantes. Elles ne se ressemblaient pas du tout, elles étaient un peu comme un ange et un démon; la plus petite était brune et avait un air enfantin, la plus grande avait de longs cheveux blond platine et semblait pleine d'énergie. Cette-dernière semblait être la plus jeune. Elles s'avancèrent vers moi, je leur servis une gaufre au chocolat, qui était pour la jeune femme brune, et une dame blanche pour la seconde. Elles s'installèrent à une table proche de la caisse, je ne pus m'empêcher de les suivre du regard.

La jeune fille blonde releva ses cheveux, dévoilant sa nuque. Mon coeur s'arrêta une seconde lorsque je remarquai son tatouage. Un code barre. C'était le même que moi, celui que l'on m'avait fait dans ce centre horrible, Aprilia. Je décidai de prendre ma pause afin d'aller leur parler. Je retirai mon tablier, puis, lentement, je m'approchai vers les deux jeunes femmes. J'entendis leur conversation, celle qui possédait le tatouage parlait d'Aprilia. Apparemment, elle n'avait aucun problème à en parler, j'en conclus que son expérience là-bas n'avait pas été aussi éprouvante que la mienne, ou celle d'autres. J'avais les yeux rivés sur son tatouage, je me rendis compte que je la fixais lorsqu'elle se retourna vers moi. Confuse, je lui expliquai que j'avais aperçu le code barre sur sa nuque. Je lui fis voir le mien.

- Bienvenue au club des marqués à vie, avec le code barre on peut savoir notre prix ?

Je ne pus m'empêcher d'étouffer un rire. J'avais eu raison, elle était très énergique et apparemment, de très bonne humeur. Elle semblait très gentille et amicale, cela faisait longtemps que je n'avais pas rencontré de telle personne.

- Non, ton code d'identification.

La jeune femme brune aussi semblait assez joyeuse, moins que la première cependant. Je les enviais, je me rappelais le temps où j'avais de nombreux amis, où je vivais comme une adolescente normale. J'avais l'impression que cela remontait à tellement loin..
Elles m'invitèrent à m'asseoir près d'elle, ce que je fis. Elles m'apprirent qu'elles s'appelaient Hell et Auréa. Timidement, je leur racontais mon histoire par rapport au centre, excluant cependant la mort de Joe. Je n'étais pas encore prête à en parler, du moins pas à des inconnues. Hell et Auréa me relatèrent également ce qui s'était passé pour elles, leurs histoires étaient très différentes de la mienne. Auréa avait été amnésique et spécialiste du centre, tandis que Hell avait été très malade. Je compris pourquoi elle n'avait pas de mal à parler du centre, car il l'avait aidé à avoir une vie meilleure. Ce n'était pas étonnant qu'elle était de si bonne humeur, elle avait vécu sa vie enfermée et elle était enfin libre.
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Auréa Eden

Sunburn
She burns like the sun.

Auréa Eden


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MessageSujet: Re: Good Girls Go Bad - Auréa, Lily, Kasey   Good Girls Go Bad - Auréa, Lily, Kasey EmptyMer 7 Avr - 16:33

    Les nuages s'enfilés les uns après les autres, comme un collier de perle céleste. Les nuages me fessaient rêver me donner envie de les mangeaient me fessant pensée a de la barbe a papa géante. Je me souvenais même plus de ce que j'avais pu faire dans la matinée, tellement j'étais dans mes pensées, dans mes nuages. Ses derniers jours avaient complètement changé ma vision des choses. Je ressentais une bouffé indescriptible de bonheur nouveau grâce à lui mais je pouvais pas m'arrêter à ces mises en garde sur ce qu'il le rongeait. Je cherchais, sans vraiment comprendre de ce qu'il s'agissait. Syd l'avait traité de Junkie, c'était ça son problème? La drogue ? La drogue était une adiction qui pouvait s'arrêter comme tout les vises d'une mauvaise addiction. Je me sentais si bien avec lui, dans ses bras accompagniez de son odeur et de son souffle que je ne comprenais pas pourquoi il se fessait temps de mal. Tout le monde évité Hayden comme ci il était atteint d'une peste, au fond ce qu'il avait fait c'était pour protéger son frère. Je lui en voulais de l'avoir trahis, je lui en voulais mais il était là tellement désoler. Rongeait par les remords, il s'approcha de moi, et il s'allongea a mes cotés. Je le regardais sans cet colère que j'avais pu avoir contre lui. Il était quelqu'un de bien, tout comme son frère. Ils étaient juste un peu maladroit. Si personne n'était prés a lui pardonner, moi je l'étais à la condition qu'il ne recommence pas. Qu'il parle. J'étais comme ça, je pouvais en vouloir durant quelques minutes a quelqu'un, dire des choses horrible, pensée des choses horrible. Passer d'un état d'hystérie, mais si on me calmer je passais au dessus. A quoi bon en vouloir a quelqu'un pour le reste de sa vie ? Hayden était quelqu'un d'intelligent et on avait une facilité a parler de ce qui gênait les autres, pour me préserver. J'aimais pas qu'on me préserve, je voulais la vérité. Il me la servait naturellement.

    Il me parlait qu'il avait une piste pour ce que me cacher Damon, ce pourquoi les preuves avaient disparues d'un lieu de crime. Il me montrait la photo d'un homme plutot séduisent, aux airs extravertie. Des lunettes blanches, une peau halé des cheveux court, des yeux marrons. Il serait dans une boite apparemment c'était un chanteur, et il avait pris un rendez vous avec Damon. Je savais pourquoi, Damon était un musicien c'était peu être pour ça. Hayden voulait m'accompagner je lui répondais qu'on verrais ça plus tard. Il partait et je retournais a la contemplation de cet océan de nuage. Quand tout a coup, je sentais une masse venu de nul par s'abattre sur mes hanches. C'était Hell qui se trémousser sur moi. En chantant du britney comme une taré. Cette fille était complètement folle, et sa m'amusait , mais je n'étais pas d'humeur. Elle prit ses mains et elle venait les plaquer contre mon visage.


    Citation :
    «  Aujourd'hui tu te pose pas de questions, je t'emmène on va manger une glace, trouver une tenue pour ce soir et aller en boîte. On va s'amuser tu vas voir. » 

    Sa tomber plutôt bien, j'acceptais sa proposition, on se relever et on se dirigeait lentement vers la sortie tout en parlant de chose et d'autre. Elle me confia qu'elle reprenait les cours demain, et j'avais complètement oublier que je les reprenais également. J'avais pas envie d'être enfermer de nouveau dans un amphi-théâtre alors que dehors il fessait beau, alors que je pouvais faire plein d'autre chose que d'aller écouter. En même temps, ca me referais reprendre contacte avec d'autre personne


    Citation :
    « On va manger une glace, va sur Soho. Tu l'as laisser seul ? T'as pas peur qu'il se coupe avec une feuille ? »


    Citation :
    T'en fait pas pour lui, il sait très bien ce défendre tout seul.

    C'était vraie, Damon était quelqu'un de fort déjà parce qu'il était aussi un spécimen, mais mentalement pour ce torturé comme il le fessait il fallait être quelqu'un de très fort. Apparemment sa amusé Hell que je tienne a lui, mais pour moi sa me semblait si naturel. Il n'y avait pas de définition réelle mon décrire a qu'elle point j'aimais qu'il passe ses doigts gelée dans mes cheveux. Chaque moment qu'il me fessait vivre était unique, et a cet instant là il me manquait. J'aimais conduire, je prenais le volant, et je roulais un peu au dessus de la moyenne. La maison était situé un peu a l'écart de New York, et c'était pas plus mal. On s'approcher de Soho, et on tombait déjà dans les embouteillages. New York n'allait pas changé du jour au lendemain, en attendant que les embouteillages s'estompe, Hell allumait la radio, rien de bien. Elle accrocha son ipod aux enceintes de la voiture . Et elle cherchait une musique, elle metta le sons a fond et elle commencait a chanter assasinant la voix du chanteur « There's a party in your bedroom all night long There's a lot of talk about you 'cause there's a party in your bedroom all night long Pretty girl it's a show let it go when you're alone Upstairs all alone one click for a show Your roof is on fire you're losing control » Elle me fessait rire en gesticulant dans tout les sens, j'avais pas autant rie depuis un bon moment. J'avais une réelle complicté avec elle s'était rare que je m'attache a une fille. J'évitais d'avoir des amies filles car ça tournée facilement, mal. Sans savoir pourquoi. Ca me rappeler que Kasey me manquer, et a qu'elle point j'avais été vraiment trop directe avec elle. On entrer dans un restaurent, Soho, sa m'avait manquer. Ses quartiers m'avaient manquer. De me promener en ville m'avait manquer. Tout le monde regarder etrangement Hell, tu fais est qu'elle était peu habiller, et je trouvais sa amusent. On commander là nourriture , pour moi : Gaufre au chocolat et Hell prenait une Dame blanche. On parlait toujours de plein de chose qui nous passer par la tête sans faire attention a qui que ce soit. On parlait d'Aprilia elle me demandait si j'allais garder le chien, la réponse était oui bien entandu. La serveuse venait nous accoster on avait pas était discrète sur le sujet Aprilia, Hell s'en foutait mais je savais qu'il fallait pas ébruité la chose. Hell scruta la nuque de la jeune fille et sa voix se délier ;

    Citation :

    - Bienvenue au club des marqués à vie, avec le code barre on peut savoir notre prix ?

    Elle me demandait sa d'un ton désinvolte et Amusé . On pouvait pas s'empécher de rire.

    Citation :
    - Non, ton code d'identification.


    On invitait la jeune fille qui avait l'air trés timide a notre table. Elle semblait adorable, elle s'appelait Lily. Je trouvais sa adorable , c'était le prénom d'une de mes cousines. On parler un peu de ce qui c'était passer on voyais pas le temps passé en discutant de tout et de rien. Du centre, de nos expériences c'était conviviale. Je proposai a Lily devenir faire les boutiques avec nous et de venir ce soir également avec nous. Elle était timide et hésitante, Hell insista lourdement et la jeune fille fini par accépter. Hell proposa a Lily de lui passait une de ses robes qu'elle avait crée, qui lui irais a merveille . On sortait pour aller faire les boutiques. Aprés quelques heur a avoir trainer dans New York on revenait chez Hell avec plein des affaires. On commençait a se préparer.




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MessageSujet: Re: Good Girls Go Bad - Auréa, Lily, Kasey   Good Girls Go Bad - Auréa, Lily, Kasey EmptyLun 12 Avr - 19:32


    - T'en fait pas pour lui, il sait très bien ce défendre tout seul.

    Hell prenait conscience qu'Auréa prenait toujours la défense de celui qu'elle aimait et en même temps c'était plus ou moins normal. Dans la voiture Hell ne cessait de danser dans tous les sens en chantant. « There's a party in your bedroom all night long There's a lot of talk about you 'cause there's a party in your bedroom all night long Pretty girl it's a show let it go when you're alone Upstairs all alone one click for a show Your roof is on fire you're losing control » Auréa explosait de rire en conduisant, c'était assez comique comme situation.

    Les regards ne cessaient de se poser sur Hell à cause de sa tenue «provocante». Elles commandèrent de la nourriture, la jeune fille blonde prit une Dame blanche. Hell avait vue des représentants de toutes les minorités dans sa vie. Et dernièrement elle avait apprit à connaître bon nombre de spécimens, mais elle attendait le sien. A croire qu'il suffisait de lancer un caillou en l'air pour toucher un spécimen. En espérant ne pas lui faire trop de mal, bien sûr: mieux vaut éviter de contrarier les spécimens qu'on ne connaît pas, même si au final Hell n'avait rien à craindre d'eux. Avant la soirée du bal, la jeune femme n'en avait jamais rencontré. Le premier fut Sydney, il l'avait directement charmé par sa façon d'être. Quand ils l'avaient invitée chez eux pour manger, elle avait ressenti une ambiance électrique entre lui et le jeune homme sombre nommé Hyde. Ils avaient eu comme conversation, leurs passé et comment ils voyaient le centre. La discussion avait aussi tourné sur la nouvelle relation qu'entretenait Auréa avec le membre absent et propriétaire de la maison. Visiblement, il avait en lui des secrets pas très glorieux pour les cacher ainsi. Le lendemain quand ils étaient partis au centre, Sydney avait pris les initiatives il avait l'âme d'un leader. Il avait provoqué Damon sur certains points considérés comme sensibles. Cela avait fonctionné à merveille, il avait fait exploser les portes de colère. Quel sujet l'avait le plus mit hors de lui ? La drogue ? Que son frère soit plus proche d'Auréa ? Que Sydney émette une séparation entre eux? A table, Hell essayait de lire l'expression que pouvait traduire les prunelles de sa seule amie, son visage au teint mat semblable au teint d'une espagnole et les traits finement ciselés. Elle avait un peu la tête dans les nuages, elle pensait à lui ? Les filles parlaient du centre Aprilia et ce qui s'était passé la veille quand tout à coup, la jeune fille brune eut un regard stupéfié, qui faisait vraisemblablement frissonner Hell. La serveuse les avait entendues, elle leur montra son tatouage. Et Hell fit de même avec un ton amusé.


    - Bienvenue au club des marqués à vie, avec le code barre on peut savoir notre prix ?



    Les rires s'égaraient dans la pièce, Auréa remit vite fait les choses au claire.


    - Non, ton code d'identification.

    Elles parlèrent durant plusieurs minutes, Lily était une fille charmante. Aux airs posés, elle aillait certainement bien s'entendre avec Auréa qui avait un même coté posé. Quand Lily avait entamé son histoire, Hell se sentit coupable de remercier le centre pour ce qu'il lui avait apporté. Il avait façonné sa vie, mais détruite celle de Lily. Hell prit son sac à main, ferma soigneusement la porte d'entrée et rejoignit Auréa et Lily. Elles n'échangèrent que quelques mots durant le trajet jusqu'à la rue où les boutiques les plus chics étaient situées, dans la partie la plus ancienne de la ville. Hell prenait de plus en plus conscience qu'elle se socialisait, de la chambre où elle était enfermée H24. Elle sortait, parlait, sautait, chantait. Tout ça sans avoir des tas de tissus accrochés aux murs pour ne pas qu'elle se cogne et se brise contre eux. Il fallait bien entendu qu'elle s'habitue à sa nouvelle vie, mais elle avait toujours un sentiment d'être une étrangère dans un nouveau monde.


    Les filles entrèrent dans d'énormes boutiques, sans doute hors de prix. Hell avait pensé au fait que Lily travaillait dans un fast-food et elle ne devait donc pas avoir forcément les moyens. La jeune fille blonde lui proposa donc une de ses créations. En même temps c'était un honneur pour elle, de savoir que sa robe allait être porter par une fille aussi belle que Lily. Hell, craqua sur une robe rouge avec une ceinture noire en dessous de la poitrine. Auréa avait choisit une robe en soie noire plutôt courte, qui faisait ressortir son buste avec de la dentelle noire, avec des louboutins noires au vernis rouge de la marque en soulier. Hell avait comme conclusion qu' Auréa avait du goût et de l'argent. Les jeunes filles passèrent à l'appartement d'Hell, celle-ci se pressa dans son armoire pour chercher la robe qui allait convenir à Lily. Après quelques minutes de recherche, celle ci l'extirpa enfin de son armoire. Une robe, légèrement volante, assez courte, d'une couleur bleue nuit avec un corsaire à lasser. Sexy, pas trop remarquable ce qui ressemblait visiblement à Lily. Hell lui trouva des escarpins de la même couleur que la robe, avec un sac adapté. La jeune fille blonde était plutôt fière d'elle, car tout s'accordait à merveille chez Lily. L'étape du maquillage fut plus longue, car Hell était très maniaque. Smoky eyes, et lèvres d'un rouge atomique. Hell observa que Auréa, Lily ne se maquillaient pas beaucoup. La jeune blonde prit les choses en main, après elles allaient en boite. Hell dessina des traits aux eye-liner sur les paupières d'Auréa et les voilà d'une poudre légèrement noire qui faisait ressortir ses yeux noisettes. Pour Lily, Hell lui de léger smoky eyes qui faisaient briller ses yeux bleus, et ensuite elle lui lissa les cheveux dans leur entière totalité avec son accord bien sûr. Les cheveux de Lily étaient vraiment doux c'était agréable de la coiffer. Auréa avait de légères boucles naturelles, avec des cheveux lisses. Hell décida de tout lisser sans trop chercher à le faire car ils étaient aussi fins et il étaient lisses quasi-naturellement. Hell ajouta des portes jarretelles visibles, toujours aussi provoquant. Les jeunes filles étaient enfin prêtes, et elles se dirigèrent vers le club en question.



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MessageSujet: Re: Good Girls Go Bad - Auréa, Lily, Kasey   Good Girls Go Bad - Auréa, Lily, Kasey EmptyLun 12 Avr - 22:00

Après trois mois passés en Angleterre, j'avais enfin décidé revenir à New York. La ville lumineuse m'avait manqué, mais pas autant que mon pays natal. Je m'en voulais d'être partie en n'ayant prévenu personne. Je savais que lorsque je reverrais Auréa et Syd, ils m'en voudraient terriblement. Encore une fois, j'avais agi comme une égoïste, alors que je m'étais juré d'être toujours présente pour eux. Je manquais trop souvent à cette promesse. Plusieurs fois, par le passé, je les avais déçu, alors qu'ils étaient les deux personnes les plus importantes de ma vie. Mais cette fois-ci, c'était plus grave; je les avais retrouvé après de longs mois de séparation, et j'avais tout gâché. Ils me manquaient tellement, que parfois j'avais l'impression d'en mourir. C'était comme une grande déchirure dans mon cœur, que j'avais causé et qui ne cessait de s'ouvrir un peu plus chaque jour. Je les aimais plus que tout au monde, même si je ne leur montrais pas. Je ne dévoilais que rarement mes sentiments pour quelqu'un. Cette fois-ci, je ne partirais pas, je ne les décevrais pas; je resterais toujours auprès d'eux. C'en était fini de ce stupide égoïsme. J'allais changer, pour eux. Ils le méritaient.
Mon séjour en Angleterre avait été revitalisant. J'avais quitté mon pays natal l'année précédente, puis j'étais resté un an à Aprilia, la pire année de ma vie. Le fait de revoir Londres m'avait fait énormément de bien, puisque j'y avais passé ma vie entière. C'était chez moi, et le plaisir que j'avais ressenti lorsque j'avais redécouvert les décors de mon enfance avait été intense. J'étais très attachée à cette ville, ma ville natale, celle où j'avais grandi, celle où j'avais rencontré Auréa et Syd. Tous nos souvenirs les plus précieux étaient nés là-bas. Nos sorties ensemble, nos fous rires, nos endroits favoris. J'avais eu besoin d'y retourner, car je n'avais pas eu la chance de le faire avant de me rendre à New York. Peut-être que le fait d'avoir été enfermée trop longtemps, puis de les retrouver tout de suite après, avait été trop d'émotions d'un seul coup. C'est pourquoi j'étais rentrée chez moi, le seul endroit où je pouvais me reposer et réfléchir en paix. Ma mère, Sarah, avait été heureuse de me voir, et c'était réciproque; je ne lui avais pas raconté ce qu'il m'était arrivé. Je lui avais menti en lui disant que je n'avais pas donné de nouvelles car le temps m'avait manqué. Je ne voulais pas qu'elle s'inquiète pour moi. Après tout, j'étais une adulte et je pouvais prendre soin de moi. Elle avait confiance en moi et savait que j'étais indépendante et capable de le faire.
Grâce à l'argent qu'elle m'avait aimablement donné lors de mon séjour au pays, j'avais trouvé un appartement à Manhattan. Je cherchais toujours à me faire remarquer en tant qu'actrice. Le courage m'avait cependant manqué pour aller à la rencontre d'Auréa et Syd. J'avais été tellement stupide que je me demandais même s'ils allaient me pardonner, surtout Syd. J'avais passé la plus belle nuit de ma vie à ses côtés, une nuit que je garderais toujours gravée dans ma mémoire, avant de l'abandonner lâchement. Je me détestais de lui avoir infligé cela. Peut-être que, malgré ce que j'éprouvais pour lui, nous n'étions pas censés être ensemble. Peut-être que j'avais simplement besoin de solitude, de respirer, d'espace. Je ne lui demanderais rien, je ne méritais sûrement pas son pardon, encore moins son amour. Mes sentiments ne s'envoleraient pas, j'agirais comme je l'avais toujours fait dans ces situations: j'enterrerais ma peine et je ferais comme si tout allait pour le mieux.

J'avais besoin de me changer les idées. D'oublier, pendant quelques temps, le bonheur éphémère de cette nuit magique. Des centaines de pensées tournaient dans ma tête tels les chevaux d'un carrousel, je n'avais qu'une envie: qu'elles s'arrêtent. Je voulais hurler à mon esprit de se taire, j'avais besoin de calme, cependant je ne voulais rien effacer, même si j'aurais aimé arrêter de rejouer cette scène des dizaines de fois dans ma tête. Cette nuit avait été parfaite, pour rien au monde je ne l'aurais effacée de mon esprit, même si désormais elle était omniprésente dans mes pensées. J'eus l'idée, sûrement stupide, de me rendre dans une boîte de nuit. Peut-être que me retrouver au milieu de dizaines de gens, dans une ambiance excitante et sous une musique forte, m'aiderait à penser à autre chose, ou à ne plus penser du tout. Je tentai donc de me convaincre que c'était la solution. Après un long quart-d'heure à chercher une robe dans mon armoire, je trouvai enfin la bonne. Blanche à paillettes argentées, elle était courte, comme je les aimais, et brillait de mille feux. J'avais déjà hâte de voir ce que cela allait donner lorsque je me laisserais aller, au rythme de la musique, sur le dancefloor. Je pris des talons hauts, de la même couleur, puis maquillai mes yeux de noir et d'argent. Embarquant mon sac, je sortis de mon appartement.
Je ne savais pas du tout où se trouvaient les boîtes de nuit, je décidai donc de marcher jusqu'à en voir une. C'était une belle nuit, je décidai de profiter du paysage. Cette ville était si belle, avec ses centaines de lumière et ses immenses immeubles, c'était comme si chaque coin de rue débordait de vie. Au bout de quelques minutes de marche, je trouvai une boîte de nuit. J'y entrai sans problèmes. L'endroit était bondé, la musique résonnait dans mes oreilles, les gens dansaient et semblaient heureux, mais c'était sûrement l'effet de l'alcool. Plusieurs couples dansaient ensemble, les femmes ressemblaient parfois plus à des objets qu'à des êtres humains, cela m'exaspérait. Ne se rendaient-elles pas compte que les hommes ne faisaient que s'amuser avec elles ? Je me dirigeai vers le bar puis demandai une vodka. Plusieurs hommes, plus ou moins attirants, vinrent à ma rencontre, mais je les rejetai. Je préférais choisir moi-même celui avec lequel j'allais sûrement passer la nuit. J'étais venue pour me changer les idées, me défouler et oublier le reste, ce que je comptais bien faire, de préférence accompagnée. Apparemment, le seul moyen d'oublier quelqu'un était de tourner le dos à cette personne et d'aller vers une autre. Peut-être que je m'amuserais à tester cette théorie.
Décidée à profiter de cette soirée, je me dirigeai vers la piste de danse. Je vis un homme charmant, sexy, qui me fixait depuis un moment. J'allai à sa rencontre et je jouai avec lui, utilisant mon pouvoir afin de le déboussoler. J'inversais complètement les rôles, le prédateur était désormais chassé. Je m'amusais comme une enfant dans un magasin de jouets. Je voyais bien qu'il était attiré par moi, j'avais l'habitude de provoquer cette réaction chez les hommes. J'avais eu raison, cette soirée m'aidait vraiment à me détendre. Je dansais avec l'homme et j'en oubliais le reste. Je tournoyais comme une hystérique, complètement absorbée par l'ambiance. Il n'arrêtait pas de me fixer, ce qui me plaisait beaucoup. Je me laissais imprégner par la musique, entraînante et dansante, le genre de chanson qu'il est impossible d'écouter sans bouger. Cependant, le jeune homme m'exaspéra au bout de quelques minutes. Je le laissais seul sur la piste de danse, amusée, puis retournai m'installer au bar. Je demandai une autre vodka, me demandant lequel de ces prédateurs j'allais humilier ensuite.

Trois jeunes femmes entrèrent dans la salle, très séduisantes et sexy. Je vis d'ailleurs plusieurs hommes les fixer dès qu'elles arrivèrent. Elles s'approchèrent. La plus grande d'entre elles avait des cheveux longs, blond platine, elle était de loin la plus provocante des trois, vêtue d'une superbe robe rouge et les yeux maquillés de noir. La seconde semblait plus posée, timide; sa robe bleue nuit prouvait en effet qu'elle n'aimait pas trop attirer l'attention. Ses yeux bleus pâles étaient également maquillés de noir, cela rendait sa peau très blanche. Je reconnus soudain la troisième jeune femme, qui n'était autre qu'Auréa. Elle était magnifique; ses cheveux, lissés, brillaient sous la lumière des projecteurs. Sa robe noire la rendait incroyablement charmante, elle était provocante sans en faire trop, c'était parfaitement son style. La voir me fit incroyablement chaud au cœur, des centaines de souvenirs se bousculèrent dans mon esprit, cependant j'avais peur de ce qui allait se passer. M'en voudrait-elle de l'avoir à nouveau abandonnée ? Hésitante, je décidai tout de même d'aller à sa rencontre. Je ne pouvais pas rester assise là, sans rien faire, alors que la personne que j'aimais le plus au monde venait d'entrer.
Mais avant de m'être décidée à me lever, je la vis s'approcher vers moi. Elle m'avait vue et m'observait de son regard si tendre. Mon cœur se mit à battre de plus en plus vite, j'étais stressée comme jamais. En quelques minutes, j'étais passée de celle qui s'amuse avec les hommes à une jeune femme paniquée à la vue de sa meilleure amie. Je finis mon verre d'un coup sec, espérant que cela me soulage, mais cela ne fonctionna pas. J'attendis qu'elle arrive vers moi, ne pouvant pas détacher mon regard de sa silhouette.

- Ahhh Kasey, je suis tellement désolée pour la façon dont je me suis comporté avec toi. On croyait qu'il t'était arrivé quelque chose de grave. Je suis vraiment désolée.

Sa voix était toujours aussi douce, j'avais presque oublié à quel point elle était toujours charmante avec moi; elle avait tout d'un ange, même si je savais que comme tout le monde, elle avait son côté diabolique. Ses paroles me firent tellement de bien, c'était comme si un poids immense s'était envolé de mes épaules en quelques secondes. Cela me fit plaisir, j'avais supporté ce sentiment trop longtemps. Enfin, j'allais pouvoir la retrouver. Je ne savais même plus pourquoi j'avais attendu afin d'aller la retrouver. Notre amitié ne se briserait jamais, car je savais que malgré nos mauvaises passes, nous en ressortirions toujours plus fortes.

- Auréa.. C'est moi qui devrais m'excuser, je suis partie sans prévenir, tu m'as tellement manqué..

Je la pris dans mes bras, incroyablement heureuse d'être à nouveau avec elle. Elle était la seule personne qui comptait autant pour moi, sans elle je n'étais plus rien; j'aurais tout donné pour ne jamais la perdre. Je me rendis compte à quel point j'avais été idiote de l'avoir abandonné. Comment avais-je pu être si stupide et si lâche ? Auréa ne méritait pas cela. J'avais blessé un ange, je m'en voudrais sûrement pendant longtemps.
Les deux autres jeunes femmes arrivèrent ensuite, rejoignant leur amie. Elles se présentèrent, elles s'appelaient Hell et Lily et semblait très amicales, gentilles. Je remarquai cependant que Lily était très timide, réservée, contrairement à la seconde, qui semblait débordante d'énergie. Nous demandâmes des boissons, une autre vodka pour moi, je pris le temps de faire connaissance avec les deux amies d'Auréa, tout en parlant avec cette-dernière. Je lui confiai la raison de mon absence, m'excusant à nouveau. Ce n'était pas mon genre de dire que j'étais désolée, mais je sentais que je le devais à Auréa. Je voulais qu'elle comprenne que je l'aimais, que jamais je n'avais voulu lui faire autant de mal, et que, désormais, je serais toujours là pour elle.
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MessageSujet: Re: Good Girls Go Bad - Auréa, Lily, Kasey   Good Girls Go Bad - Auréa, Lily, Kasey EmptyMar 13 Avr - 20:50

La journée avait passer a une vitesse que je ne l'avais pas vue fondre entre mes doigts. J'avais ris, parler. Et tout ça avec des filles, c'était dotant plus surprenant pour moi, qui était habitué a être qu'avec des garçons. On avait fait les boutique et j'avais choisis une robes en satin qui posséder des allures de soie avec de la dentelle noir. Je la trouvais pas provocante, pas extrément courte. Parfait pour ce que je voulais, me fondre dans la masse en réalité j'avais tout simplement craquer sur les escarpins qui c'était tout simplement magnifique. Je m'interrogeais sur les pouvoirs de Lily n'osant pas vraiment lui demander de quoi il s'agissait. Ca m'intriguait forcément, étant donnée que je n'en n'avais pas, il était tous spécial. Celui qui m'intrigua le plus, était bien entendu Damon. J'avais vite compris que son pouvoir était la glace, et que visiblement il en était pas vraiment au courant. Son seconds était l'électricité, il avait littéralement exploser mais j'avais du mal a comprendre comment il m'avait fait respirer sous l'eau. J'essayais de trouver une réponse, et je songeai tout simplement qu'en gérant l'électricité, il avait du capter les énergies les atomes présents dans l'électricité. L'air avait ces propres atomes. Je cherchais son troisième pouvoir sans grand sucés peut être qu'il n'avait pas encore fait son apparition. Hell nous invita chez elle pour que l'on se prépare, Lily était très timide mais elle s'était vite intégrer. Et c'était tant mieux, car elle semblait quelqu'un de bien. 

Je me trouvais dans la salle de bain, en face de cette grande glace qui refléter mon visage. Ce reflet que j'avais temps haïs que j'avais temps porter en fardeaux. Je m'étais temps demander comment est-ce possible que ma famille me laisse autant que j'avais finis par pensé que c'était de ma faute. Que je n'étais pas la fille qui aurait voulus avoir. Des pensées d'adolescente perdu, c'était une de mes entailles les plus profonde qui régissait ma vie désormer. Cet peur d'aimer, d'être aimé. La vérité c'était que la seul personne qui m'avait vraiment appris ce sens c'était Syd. Il m'inquiétait, je pouvais pas m'empêcher de ne pas lui parler de la journée. Il était un pilier dans ma vie, sans doute le plus solide. Je savais que si tout s'effondrait autour de moi, il resterait a mes cotés. Il avaient dérogé une seul fois à la règle, quand il était parti en Russie. C'était le moment de ma chute. Syd me prouvait que ça ne recommencerai plus. Et pourtant il enchaînait cigarette sur cigarette. Il n'était pas un accro-compulsif, ni un énerver qui avait besoin de ce détendre. Il était tout ce qui avait de plus différent dans se monde. Je lui envoyais des messages pour lui demander ce qu'il fessait, il me répondait des recherches. A quel sujet ? Il me répondait dans la seconds qui suit: Aaron, J'ai trouver le moyen de le joindre. Aaron était mon oncle, mon sang. Sydney et Aaron était très proche, il avait des discutions particulière. J'y participais également mais c'était vraiment fascinant comment Sydney pouvait argumenté ses théories. Aaron nous avais appris bon nombre de chose, il m'avait aider a oublier mes parents, a libérer toute ce qui me torturé dans d'autres choses plus saine, plus physique. Les souvenirs que je possédais avec Sydney et Aaron étaient nombreux, et tous remplie de rire qui ne cessait de raisonné dans une partie de moi. S'il fallait qu'il lui parle, je serais de son coté. Aaron avait crée ma curiosité, il l'avait affûté a tout les niveaux possible. Chaque détaille avait son importance, chaque chose pouvait s'emboîter, si on trouve le bon cotés. J'essayais de prendre un peu de recule face à la situation avec Damon. Ce qui m'empêcher de voir claire dans tout ça, c'était mes sentiments que j'éprouvais pour lui. 

Je voyais mon teint blanchir de plus en plus, semblable aux lys. Ces secrets me rendaient progressivement faible. J'enfilais la robe noir que j'avais choisis. Je n'allais pas a ce club pour faire plaisirs à Hell, je n'allais pas au club pour me changer les idées, ni pour me prouvait que je pouvais séduire tout ce qui se présenter a moi. J'y allais pour une seul raison, trouver cet homme qui avait peut être les réponse que je cherchais. J'avais pas envie d'y aller, ce que j'avais réellement envie, c'était de poser mon front contre le sien et de lui dire que tout ces secrets pouvaient arrêter de le rongeait. L'air circulé avec de plus de difficulté dans mes poumons, mon estomac se serrait de plus en plus. En voulant être bien, je ne me fessais que du mal. Sans un mot, je m'infligeais cet torture mentale qui ne fessait que sonner en moi. Il ne m'avait rien demander. A croire que j'aimais la douleur qui passait dans mes veines. J'essaie mais enfin de compte je n'y arrive pas, ca me frustrer. Sous le coup, des mots qui se promenez dans ma tête, je me laissais tombé contre le mur. Personne ne pouvait voir, ce qui m'attendais. Je sentais que si je n'y arrivais pas, j'allais m'éteindre. Je tenais à lui, plus qu'a ma propre vie. Je pouvais pas m'attacher comme ça à lui, car s'il venait a partir, tout m'écoeurer. J'avais essayer d'oublier tout ça aujourd'hui avec Hell et Lily, mais la réalité c'était que je me sentais peu à peu disparaître. J'envoyais valser assez voilement ce qui avait a mes cotés, me demandant pourquoi je me mettais dans ces état. Je reprenais mon souffle, mettais mon visage entre mes mains accroupie sur le sol geler qui venait apaiser mon mal. La réalité était que dans ses yeux, je me sentais exister. J'étais pas si forte que laisser courir les apparences. J'étais qu 'une brise de vent qui s'évanouissait aux obstacles qui pouvait me condamné. Les nausées s'enchaînaient sans que j'en prenne conscience, j'étais petite parce que j'étais encore perdue. Les larmes coulaient sans que les contrôles, sans comprendre pourquoi elle venait s'écraser contre mes joues. J'avais pas le droit de le montré, il fallait que je me relève dans mon silence. Et d'ailleurs c'est ce que je fessais, doucement. Je me hissais quittant le sol, qui ne pouvait pas me faire tombé plus bas. J'avais besoin de personne pour me faire du mal, j'étais capable de m'en faire moi même. Et pourtant j'ai trouvé le moyen d'y croire. Croire en vivant dans ce qui pouvait s'apparaitre au mal, je me remplissais d'espoirs sur ses rêves brisés qui volait en moi comme des millions de petits éclat de poussière. Les réponses ne sont jamais ce qu'elle paraisse. Si se paradis qu'il me montrait se déroulait en enfer, j'y étais prête. J'étais certainement malade de ses secrets qu'il me dira jamais, pour pas me faire de mal. Je casserais le fardeaux de son silence, parce que ma foi devenait du comme les os d'Hell, incassable. Si je devais caresser l'enfer pour l'avoir dans mon paradis, j'irais le chercher quoi qu'il m'en coute. Je m'étais redresser face à mon reflet qu'il ne pouvait pas me faire tombé deux fois. Je fermais ma robes et enfiler mes bas a motif, pour finir par mettre mes escarpins. J'allais dans le salon, sans laisser apparaître une seul seconds ce qui venait de se passer. Hell proposa de nous maquiller, on accepter et elle nous chouchouter comme des poupées.

Lily, Hell et moi même descendions dans les rues de New York. Hayden m'envoyais un message pour me donner l'adresse exacte du club dans lequel ce gars aller se trouver. Je pressais les filles pour qu'on aille a ce club ci précisément. Hell fessait du charme pour entrer dans le club c'était amusent car elle n'avait que 17 ans. Elle avait charmer correctement le gorille pour qu'il nous laisse passer et qu'il la laisse passer sous condition qu'elle ne boit pas d'alcool. Je pensais sincèrement que Hell n'aller pas respecter cette condition. Dés qu'on entrer, les visages nous fixâmes. Je voyais Hell qui en était amusé, pas moi. On était pas habiller provoquante enfin Hell si. Je cherchai l'homme de la photo. Certain nous regardait comme des objets sexuelle hors qu'il avait qu'un homme qui pouvait me regarder comme ça et il était pas dans cette salle. D'ailleurs je l'avais pas vue de la journée. Tout en cherchant le jeune homme de la photographie, je voyais une jeune femme blonde au bar, qui ressemblait a Kasey. C'était elle, comme d'habitude elle était incroyablement belle dans cette robe qui tailler ses formes. Elle pouvait avoir tout les hommes qu'elle voulait, et je savais qu'il y avait eu des péripéties entre elle et Syd, d'ailleurs c'était sans doute pour sa qu'il était si paumé en se moment. Le blanc lui allait a merveille avec son teint halé qui ressemblait a celui des californiennes. J'avais été audieuse avec elle. C'était quand je ne savais plus comment me sentir avec Sydney. Je voulais pas qu'on lui face du mal , alors j'en avais fait a Kasey. Je prévenais les filles, de la présence de Kasey qui était tout simplement ma meilleur amie.

- Ahhh Kasey, je suis tellement désolée pour la façon dont je me suis comporté avec toi. On croyait qu'il t'était arrivé quelque chose de grave. Je suis vraiment désolée.


- Auréa.. C'est moi qui devrais m'excuser, je suis partie sans prévenir, tu m'as tellement manqué..


Son étreinte me rassurer, ses mots la savoir qu'elle était en sécruité qu'elle allait bien. Ca me rassuré, j'envoyais un message a Sydney pour prévenir qu'elle allait bien. Il me répondit sans trop attendre ; C'est une bonne chose, amusez vous bien. Et fait attention s'il te plait. J'avais envie de lui répondre Oui, papa mais je me retenais. Les filles parlaient et on se raconter quelques petites choses . Je devais leurs avouer, pourquoi on était dans ce club. Je leurs montrai la photographie de mon portable tout en leur parlent. On buvait tous un verre, pour moi c'était Cosmopolitin.

-Les filles, j'ai besoin de vous. Vous voyez ce mec, et bien il a rendez vous avec Damon demain soir. Et c'est important que je sache pourquoi. Il est ici, dans ce club. Je l'espionne pas ni rien, mais Damon ma dit qu'il avait des secrets plutôt sombre et qu'il voulait pas m'en mêler. Il me rejette quand je m'en approche, je dois savoir sinon je pourrais pas l'aider. Faut que je sache pourquoi des preuves on disparu dans une affaire de crime ou son nom avait été cité.

J'espérais sincèrement qu'elle allait m'aider et pas me jugé sur le fait que « j'enquête » sur l'homme que j'aime. Les filles se mirent a chercher et on décidaient de se séparer pour y voir plus claire. Après quelques minutes de recherche, je voyais toujours rien, j'essayais de me glissais entre les personnes en m'excusent. Je regardais le plafond, il fallait prendre de la hauteur pour y voir plus claire. J'approchais des escaliers qui trôner dans la salle, les gens se déchaînaient sur des musiques entraînante et pourtant je n'avais pas envie de les rejoindre. Je me retrouvais sur le balcon métallique, et j'apercevais enfin le jeune homme qui s'éclater a danser. Il était proche de Kasey, je pris mon portable, elle décrocha mais elle n'entendait rien. Je lui envoyais un message pour lui dire qu'il était proche a sa droite. Quand tout a coup, je sentis une présence deriére moi, une main qui frôlait ma colonne vertébrale. Je me retournais et je vis un jeune homme séduisent qui c'était coller a moi, il était pas vraiment question de se genre de rapprochement entre moi et qui que ce soit. Il insistait pour qu'on aille au bar, pour qu'il m'offre un verre, je déclinais gentillement lui fessant comprendre lourdement que je n'étais pas vraiment libre. Il continuait en me disant qu'on était dans le carrée vip et que c'était plus calme, j'en avais rien a faire. Il me répéta un verre au bar et qu'il me laisserai tranquille . Un verre pour qu'il me laisse tranquille, de toute façon je lui avais clairement fait comprendre qu'il ne se passerai rien. Et les verres venaient du serveur donc je n'avais rien a craindre. J'acceptais, en lui demandant un cosmopolitain qu'il m'offra. Une fois but et qu'il est tenter minablement de me séduire sans sucé, il me laissa repartir dans la salle. Il me dit qu'il allait me retrouver en bas pour une dance. Hors de question, mais si sa pouvait lui faire plaisirs de le croire. J'essayais de retrouver les filles, et j'avais d'un seul coup la tête qui tourné. Je voyais la robe de Lily , je m'approcha d'elle sans trop bien comprendre si j'avançais ou pas. Je lui fessais comprendre que je pense qu'on avait mis quelques chose dans mon verre. Au moment de me le donner .
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MessageSujet: Re: Good Girls Go Bad - Auréa, Lily, Kasey   Good Girls Go Bad - Auréa, Lily, Kasey EmptyJeu 15 Avr - 20:25

Hell et Auréa étaient de charmantes jeunes femmes, amicales. J'étais contente de les avoir rencontrées, parler me faisait du bien, j'avais sûrement été silencieuse pendant trop longtemps. Elles m'invitèrent à faire les boutiques avec elles, puis à aller en boîte, mais je refusai d'abord; je n'en avais pas les moyens et je devais travailler. Mais Hell insista beaucoup, elle me fit même des petits yeux de chien battu, je finis par craquer. Peut-être même que j'arriverais à m'amuser un peu. J'avais conscience que je devais sortir de ma bulle, de la solitude. Nous nous dirigeâmes donc vers d'immenses boutiques, je me sentis très nostalgique. Auparavant, j'adorais ce genre d'endroits et j'y passais tout mon temps, mais désormais, tout avait changé. Je ne m'y sentais plus à ma place, certes j'espérais que cela s'atténuerait avec le temps. C'était comme si j'étais devenue agoraphobe, je me sentais mal à cause de la foule. Je ne parlais pas beaucoup, même si Hell essayait de me mettre à l'aise et de m'aider à me sentir mieux. Elle avait remarqué que j'étais très réservée, secrète et privée. C'était adorable de sa part, mais cela ne servait pas à grand chose. Auréa était aussi un peu distante. Je me demandais pourquoi. Hell était de loin la plus énergique de nous trois. C'était à croire qu'elle aurait pu danser toute la nuit. Elle m'amusait, à danser et sauter partout.
Hell me proposa de me prêter une robe pour la soirée, qu'elle avait créée. J'acceptai, ravie. Elle avait visiblement un vrai sens de la mode et du style, j'avais hâte de voir sa création. De plus cela m'arrangeait à cause de mon manque d'argent. Je n'achetai que peu de choses dans les boutiques, me contentant d'admirer les dizaines de vêtements de créateurs. Les robes étaient toutes aussi belles les unes que les autres. Certaines ressemblaient à quelques unes de mes anciennes. J'avais l'habitude de faire les boutiques avec Joe, en Californie. Moi qui avais pensé que cette journée me détendrait, je n'arrivais pas à arrêter de penser à elle. Je l'imaginais dans les plus belles robes, je nous revoyais les essayer toutes, juste pour le plaisir. Hell et Auréa avait acheté beaucoup de vêtements, leurs robes pour la soirée étaient superbes. Tout semblait leur aller à merveille.
Après avoir passé quelques heures dans New York, nous nous rendîmes à l'appartement de Hell, où nous nous préparâmes. La robe qu'elle avait choisie pour moi était magnifique, digne des plus grands créateurs. Bleue nuit, elle était courte, avec un corsaire à lacets. Une robe mystérieuse, digne d'Alice au Pays des Merveilles. Elle était un peu provocante, mais pas trop; Hell avait comprit que je ne voulais pas me faire remarquer. Cela faisait un temps fou que je n'avais pas porté de telle robe, j'étais ravie d'en avoir à nouveau l'occasion. Elle me prêta également des escarpins, pas trop hauts, de la même couleur, et un sac. Ensuite, elle s'amusa à me maquiller et à me lisser les cheveux, elle fit la même chose avec Auréa. J'étais contente du résultat. Je ressemblais encore plus à Joe, elle avait aussi de longs cheveux bruns et lisses. On nous avait souvent dit qu'on aurait pu être jumelles.
Hell et Auréa portaient leurs robes, rouges et noires, elles étaient très belles. Hell jouait à nouveau dans la provocation et cela lui allait très bien, ses vêtements étaient assortis à sa personnalité électrique. Une fois prêtes, nous nous dirigeâmes vers la boîte. Les gens nous dévisagèrent, j'étais mal à l'aise, être l'objet des regards ne me plaisait pas du tout. Surtout de la part des hommes. Je tentai d'éviter de les fixer en retour. Auréa avait aperçu l'une de ses connaissances au bar, la jeune femme l'étreignit lorsqu'elle la vit. Elle était blonde, magnifique, sa robe blanche brillait de mille feux. Si Auréa avait l'air ne de pas vraiment vouloir se trouver là, son amie, qui s'appelait Kasey, semblait s'être bien amusée. Je m'installai au bar en compagnie des trois autres jeunes femmes, puis demandai une tequila. Un seul verre me suffirait. Je fis connaissance avec Kasey, tout comme Hell et Auréa elle avait l'air adorable. Auréa nous parla ensuite d'un homme, nous montrant une photo sur son portable. Il était assez séduisant, de courts cheveux bruns et des yeux noisettes, le genre à aimer faire la fête et à s'amuser.

- Les filles, j'ai besoin de vous. Vous voyez ce mec, et bien il a rendez vous avec Damon demain soir. Et c'est important que je sache pourquoi. Il est ici, dans ce club. Je l'espionne pas ni rien, mais Damon ma dit qu'il avait des secrets plutôt sombre et qu'il voulait pas m'en mêler. Il me rejette quand je m'en approche, je dois savoir sinon je pourrais pas l'aider. Faut que je sache pourquoi des preuves on disparu dans une affaire de crime ou son nom avait été cité.

J'avais compris lors de la conversation que Damon était le petit ami d'Auréa. Je comprenais pourquoi elle voulait voir cet homme, elle voulait juste aider celui qu'elle aimait. J'aurais fait la même chose à sa place, ainsi je ne la jugeai pas sur cela. Nous acceptâmes toutes de l'aider, puis nous nous séparâmes afin de le chercher. Il devait être assez facile à repérer, il avait l'air du genre à attirer l'attention, et les femmes. J'étais assez mal à l'aise quant au fait de m'être retrouvée seule dans une boîte de nuit, mais j'avais envie d'aider Auréa. Je tentai de ne pas trop me faire remarquer, mais des hommes vinrent quand même à ma rencontre. Je les repoussai poliment, soulagée qu'ils ne s'attardent pas. Au bout de quelques minutes à chercher, je n'avais toujours pas trouvé le jeune homme.
Auréa me retrouva, mais elle était étrange; elle semblait complètement déboussolée et tenait à peine debout. Elle m'expliqua que quelqu'un avait glissé quelque chose dans son verre. J'étais dégoutée qu'on puisse faire ça à une femme comme elle, je la voyais comme incapable de faire du mal. Je ne savais pas trop quoi faire, je n'avais pas les numéros de Hell ou Kasey. J'emmenais Auréa dans un coin un peu plus loin, au calme, où elle pourrait respirer un peu. Je l'aidais à s'installer sur une chaise, puis je parcourus la salle du regard afin de trouver les filles, en vain. Comme si cela ne suffisait pas, un autre homme vint à notre rencontre et commença à draguer Auréa, voulant profiter d'elle. J'étais énervée, mais je n'arrivais pas à le faire partir. Je décidai de l'abandonner quelques secondes, le temps de trouver Kasey ou Hell.
La première que j'aperçus fut Kasey, je la mis au courant de la situation puis l'accompagnai jusqu'à Auréa. Elle semblait très inquiète, d'après ce que j'avais compris c'était sa meilleure amie, je compris donc sa réaction. Lorsque nous arrivâmes jusqu'à elle, le jeune homme la touchait d'une manière très inappropriée, alors qu'elle ne pouvait pas se défendre, ce qui mit Kasey dans une colère noire.

- Tu te prends pour qui, merde ?!

L'homme se retourna d'un seul coup, Kasey le gifla violemment. Elle était vraiment hors d'elle. Je ne pus qu'admirer son courage, elle prenait des risques pour aider sa meilleure amie. Cependant elle n'avait pas peur, elle était courageuse et forte. Je m'approchai d'Auréa, qui était très mal, son teint était blanc comme neige et je me demandais si elle n'allait pas s'évanouir. Pendant que Kasey s'occupait de l'autre, qui venait de partir, énervé, je cherchai le portable d'Auréa dans son sac. Je trouvais un iPhone. Je savais qui j'allais appeler, je parcourus la liste de contact pour trouver son prénom: Damon. J'appelai, il répondit presque instantanément.

- Bonsoir, je suis Lily, une amie d'Auréa; elle a des ennuis, il faut que tu viennes la chercher. On est dans une boîte de nuit, je t'envoie l'adresse.

Ne lui laissant pas le temps de répondre, je lui écrivis un message contenant l'adresse du lieu. Hell nous avait rejoint. Kasey resta près d'Auréa, tandis que je m'éloignai un peu afin de respirer. Cette soirée avait mal tourné, j'avais pensé que tout irait bien, que j'allais m'amuser avec de nouvelles amies, mais j'avais eu tord. C'était comme si, à chaque fois que j'étais à peu près heureuse, quelque chose tournait mal. Comme si j'étais maudite. Je me sentais de plus en mal, entourée par des inconnus et fixée par des pervers. Cela aurait pu être moi à la place d'Auréa. Je n'avais qu'une envie, devenir invisible et partir, mais c'était impossible car on risquait de me voir. J'avais peut-être fait une erreur en acceptant de venir.

- Hey, Lily t'inquiète pas, Damon va arriver il va la ramener. La soirée est pas finie on va rentrer à mon appartement.

C'était Hell qui était venue à ma rencontre, voulant me rassurer. Cela ne fonctionna pas vraiment; certes j'étais inquiète pour Auréa, mais j'étais de plus en plus mal à l'aise. Je n'étais pas à ma place dans ce lieu. Cela faisait trop longtemps que je n'étais pas sortie, entourée de tant de gens.

- Merci, Hell. J'espère que Damon arrivera vite, elle a vraiment l'air pas bien..

Je ne lui confiai pas la véritable raison de mon malaise, de peur de l'inquiéter. Nous rejoignîmes Auréa et Kasey. Cette-dernière n'avait pas quitté sa meilleure amie, elle prenait soin d'elle, c'était adorable. Je dus m'avouer que j'étais jalouse de leur relation, ce lien si spécial que j'avais auparavant partagé avec Joe. Un lien si fort, que rien ne peut le briser, même le pire des événements.
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Damon M. Tallis
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    Dust in the wind.

Damon M. «  Dust in the wind.
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MessageSujet: Re: Good Girls Go Bad - Auréa, Lily, Kasey   Good Girls Go Bad - Auréa, Lily, Kasey EmptyVen 23 Avr - 2:11

Good Girls Go Bad - Auréa, Lily, Kasey 20huf85
You feel what I feel, hear what I hear even through
the darkest night. You’ll sleep when I sleep. There’s
a reason to believe in faith cause Heaven sent me you.
When I’m feeling blue, It's you who’s reaching out for me again.
    As long as I'm breathing,
    You can believe it.

Les jours s’enchaînaient aussi vite que les flammes me consumaient. Ils s’écoulaient à travers le temps toujours sans m’attendre, mais je courrais, je courrais encore. Mon âme se déchaînait du jour jusqu’à la nuit. Mes hurlements sourds s’entre-tuaient dans ma gorge pour leur délivrance, mais je contrôlais, je contrôlais encore. J’étais à bout des sentiments qui se mélangeaient en moi. Haine. Amour. Regret. Mal être. Mensonge. Des liens intacts m’induisaient en erreur, mes non-dits me rendaient malsain, j’étais prisonnier d’un coeur qui ne cherchait qu’à imploser. J’avais laissé ma chair brûler sous ses souffles, j’avais vomis par terre en me jurant de ne pas me mettre à genoux… J’aurais aimé n’être que poussière. Dans ses yeux ambrés, je me voyais mourir, je me voyais vivre. Je me voyais me perdre… Non, à vrai dire, je l’étais déjà, je ne savais pas réellement où j’étais, encore moins qui j’étais. Je me rendais aphone de ses cris stridents, des sentiments qui étaient sur le point de causer ma perte mais je me contenais, à tel point que le sang au creux de mes veines se tarissait. J’avais pris ce risque énorme de me morfondre dans le passé pour tenter de vivre au présent mais j’ai eu l’audace de respirer ce fragment de vie qu’elle incarnait. Je le maudissais lorsque je comprenais que mes sentiments étaient la seule et unique raison de ma soumission. Oui, va au Diable. Viens me rejoindre. Observe les évanouissements de ce qu’il me reste de moral, distingue la cruauté de l’inhumanité, si c’est ce que tu veux vraiment… Je suis comme ce tas de cendres ardentes qui se perd dans le vent brutal, que vous cherchez tous à fuir. Je cherche l’oubli mais ne fait qu’attiser la curiosité insolente qui me libérera sans doute de cette damnation que j’ai provoqué. Qu’elle expie ma faute ! Qu’elle m'exorcise, j’étais prêt à payer. Je ne mourrais pas, parce que je veux y croire à nouveau, parce que je ne partirais plus jamais, qu’importe la torture. J’étais l’éclipse, l’ombre de la lune qui se glisse sur le soleil pour éteindre les chimères de sa réalité. J’étais son contraire mais j’étais incontestablement sien malgré tout, malgré ça.

La retenue que je m’infligeais faisait bouillonner mes côtes, elle craquelait mes lèvres. Je disparaissais pour pouvoir reprendre le contrôle de ce que je m’efforçais à être, je n’avais jamais été soumis si ce n’est que par mes sensations. Mon indifférence était ma protection. Ma dignité me rendait impénétrable, je ne serais jamais esclave. Cesser de me torturer les sens pour ma Reine, c’était l’issue. Je n’envisageais plus le pardon d’autrui puisqu’inconsciemment je ne percevais plus que la vengeance, la décharge de tout ce qu’il y a de malsain, de mauvais dans les tréfonds de ma mémoire. Si je parvenais à décharger ces vices, cette haine constante, j’arrêterais de me perdre dans les idéaux obscurs que je dessinais sur sa peau. C’était étrange de se dire qu’il était temps de changer de chemin alors que ma conviction n’avait jamais connu de faille auparavant, mon corps et ma stabilité mentale tiraient l’alarme. J’avais été trop loin, ils avaient été trop loin. L’ambivalence rendait mon indécision joueuse, j’étais toujours entre deux eaux. Phase transitoire d’un homme sentimentalement stagnant ou bien d’un petit garçon qui refusait d’être sous l’emprise de ce qui faisait trembler ses sens. Ce manque de contrôle n’arrangeait pas mon impulsivité qui semblait tellement hors limite, ancrée en moi depuis tant d’années… J’ai cessé de compter les fois où l’on m’avait craché dessus, j’encaissais et rendais la pareille à ma façon. Je n’étais pas ce gars qui parlait, j’étais celui qui agissait en y allant à fond. Je m’énerve donc je me calme comme je peux, sans réfléchir aux conséquences. Pragmatique mais risqué. Je n’avais pourtant pas peur, je laissais mes mains sanglantes s’imprégnées de poussière brûlante. J’allais cerner mon propre fonctionnement, j’en décelais déjà les traits. Instables, certes mais j’étais déterminé à m’apprivoiser pour de bon. Au passé, je m’étais empêtré dans la douleur. Aujourd’hui, je tentais de m’arracher à elle. Il me fallait du temps, du temps et de la volonté. Gratter leur chair pour ne trouver que leur pitié était hors de question.

Il y avait moi. Et puis l’autre. Deux moi pour un unique corps. On m’avait emmené, enfermé comme un enfant qui aurait fait une bêtise. Je n’étais qu’un gamin, je le suis toujours, les couleurs en moins. Je m’étais approprié la folie pour la faire couler dans mes veines, fragiles à l’époque. J’avais joué plus d’une fois avec les pilules colorées pour finalement me retrouver aux urgences et puis je ressortais, sans rien dire à personne. Je signais cette putain de décharge et la liberté s’offrait de nouveau à moi, cette liberté que j’adulais tant, celle qui me balançait dans le vide sans que je ne m’aperçoive de rien. J’étais jeune, jeune et inconscient, insouciant du danger. Caresser les enfers était ma façon d’oublier mais une fois que l’enfer vous tiens, il ne vous lâche pas de sitôt. C’était ce fait qui m’avait échappé. J’étais persuadé que rien ne pouvait me faire tomber, je me sentais fort, incassable mais je n’étais qu’un humain. Mon corps ? J’avais l’habitude de dire qu’il n’avait pas d’importance. Mon esprit contrôlait, mon corps la fermait. Ce que disaient les médecins, ça ne tenait que si on y croyait et à cette période de ma vie, je ne croyais plus en rien. C’était drôle de prendre conscience, des années plus tard, que si le corps crève, je crevais avec. Quelle étrange dissociation que je faisais, entre le corps et l’esprit. C’était comme si les deux étaient bien séparés l’un de l’autre mais il paraît qu’ils sont soudés à vie, je le comprenais. Après toutes ces années de destruction massive.

Promis. Demain, j'arrête de mourir.


Parce que j'avais la rage au ventre, le coeur au bord des yeux et les mensonges qui vrillaient tous dans mon estomac. J'ouvrais les yeux pour voir cette réalité aveuglante mais j'étais debout. Je respirais encore pour la plus précieuse des raisons. J'avais des étoiles dans mes nuits à présent, même des sourires qui venaient m'animer, pas des faux ! Des vrais de vrai, ils remplaçaient ces spasmes de colère, ceux qui vous pourrissent sans demander votre avis. Les nuits restaient blanches mais je les remplissais en brisant les chaînes, en explosant les cadenas et en baissant les dernières armes et même si c'était dur, je m'efforçais à le faire parce que j'avais choisi la vie. La réalité était tellement plus crue lorsque l'on revenait à l'état sauvage, lorsqu'on laissait les gens s'approchaient à nouveau... Tout ce temps à me foutre en l'air, je ne le regrettais pas, il m'avait permis d'apprendre à anticiper mes chutes et je les anticipais à chaque fois à présent. Alors, si je les anticipe, je peux les stopper ? Sûrement. La grande question qui démeure est : Pourquoi un tueur à gages faiblissait sous le poids de ses émotions incontrôlées ? Si quelqu'un venait à me poser cette question, je répondrais simplement par trois choses ; l'incontrôlable, la drogue et mon père. Rejeter la faute sur quelqu'un d'autre était toujours plus facile, je savais que j'avais tort mais c'était cet orgueil mal placé, cette fierté vomitive. C'était plus fort que moi et Dieu seul sait à quel point je pouvais regretter par moment. Que quelqu'un m'arrête, donnez-moi des gifles pour que je comprenne que je ne fais que tout détruire. Faites moi comprendre. Répétez moi encore que j'ai tort.

J'étais rentré tard ce soir, il devait être dans les environs de 23h, j'avais traversé le salon machinalement et m'était affalé dans le canapé en laissant traîner ma veste. Toutes ces pensées m'avaient donné la migraine et elles m'avaient fatigué. Elles avaient cette manie à me sucer le cerveau pour des futilités... Ou alors pour des vérités dérangeantes. Hyde regardait la télé comme toujours, il m'avait demandé comment j'allais, je lui avais répondu avec le même " ca va " que d'habitude. J'avais cherché Auréa du regard mais elle n'était pas là, je ne l'avais même pas vu de la journée... Et son odeur manquait à mes sens. Je voulais la serrer contre moi, la sentir avec moi et c'était étrange qu'elle ne soit pas là. Hyde, voyant que je la cherchais vainement me faisait savoir qu'elle était de sortie avec des amis. J'acquiesçai et allais dans la cuisine pour me servir un verre d'eau, je me demandais ce qu'Auréa faisait. Je m'en voulais de la laisser, de partir pour ne pas m'expliquer mais j'avais tellement peur qu'elle se fasse mal en apprenant la vérité, c'était ma hantise. Ce n'était pas l'image que je voulais qu'elle ait de moi mais c'était moi et le silence devenait de plus en plus douloureux, je voulais que ça s'arrête. Pour de bon alors pourquoi la vérité ne sortait pas ? Pourquoi je mettais cette foutue distance entre elle et moi ? J'étais stupide et le pire dans tout ça, c'est que je le savais. Je prenais un cachet pour ma migraine et terminais mon verre d'eau. Je m'allongeais ensuite dans le canapé en regardant la télé pour tenter de me vider la tête, me distraire mais ça ne fonctionnait pas vraiment. J'appréciais le silence qu'Hyde laissait dans la pièce, ça me faisait du bien de n'entendre personne parler jusqu'à ce que mon téléphone sonne. Je décrochais directement en voyant que c'était Auréa.


- Allo ?

- Bonsoir, je suis Lily, une amie d'Auréa; elle a des ennuis, il faut que tu viennes la chercher. On est dans une boîte de nuit, je t'envoie l'adresse.


Au fur et à mesure que la jeune femme avait parlé, j'avais senti l'anxiété s'étendre dans mes muscles, des ennuies ? Quels ennuis !!? Mais elle ne m'avait pas laissé le temps de répondre. Elle avait parlé assez fortement car l'endroit où elles étaient semblait être très bruyant. Quelques secondes plus tard, je recevais l'adresse du club, je le connaissais, c'était à cet endroit que j'avais rendez-vous avec ce gars. Je me relevais brusquement et enfilais ma veste sans attendre, Hyde semblait intrigué. Des tas de choses défilaient dans ma tête sans que je puisse vraiment en déduire quelque chose mais les palpitations de mon coeur s'accentuaient. S'il lui était arrivé quelque chose...


- Auréa a des problèmes, je vais la chercher.


Les traits d'Hyde s'étaient directement tirés, ce n'était pas le moment, pas le moment pour qu'il me pose des questions. Je sortais de la maison en courant et entrais dans la voiture. Je démarrais dans un crissement de pneus et me dirigeais vers cette boîte de nuit. Je savais quel genre de mec il pouvait y avoir dans ces lieux et ce n'était pas forcément sécurisant pour des jeunes femmes. Il fallait que je me calme, je la ramènerai directement à la maison. Il était hors de question que je la laisse traîner là-bas. Je pouvais percevoir que j'arrivais à destination, je me garais sans faire attention à mon emplacement et sortais de la voiture pour finalement entrer dans la boîte. La foule était immense mais j'en avais rien à faire, je me frayais un passage dans la foule transpirante en les bousculant assez fort pour qu'ils comprennent que je devais passer. La chaleur s'attaquait directement à mon peau hivernale et la musique frappait dans mes tempes. J'avais cherché durant une quinzaine de minute jusqu'à ce que j'aperçoive une femme de dos, elle ressemblait à Kasey. Je continuais à m'avancer et je voyais à présent Hell, la nouvelle amie d'Auréa. Kasey s'était mise à l'endroit où il y avait le moins de monde, elle tenait Auréa dans ses bras. Je m'avançais directement vers elles et l'inquiétude me faisait trembler. Une fois que j'étais à côté d'Auréa, je la prenais dans mes bras directement, je prenais son visage de mon autre main. Elle était complètement ailleurs, ses yeux roulaient sous ses paupières, son teint était terriblement pâle, on lui avait donné quelque chose. C'était pas possible autrement. Il fallait que je la sorte d'ici. Je demandais à Kasey ce qu'il s'était passé, elle m'expliqua rapidement que quelqu'un avait versé quelque chose dans son verre et qu'un gars était venu pour tenter de profiter mais qu'elle l'avait retenue à temps. Je la remerciais sincèrement et je trouvais son geste étonnement courageux. Elle aurait pu avoir des ennuies elle aussi.

En connaissant le propriétaire des lieux, je savais qu'on se situait à quelques mètres seulement de la sortie de secours. Je portais Auréa dans mes bras et je proposais aux filles de me suivre, j'avançais vers la sortie et on arrivait sur le parking arrière. La pâleur qui remplaçait son or me faisait peur, réellement mais je me répétais que c'était temporaire, d'ici 3/4 heures les effets seront estompés. Je la laissais reprendre son souffle quelques minutes en la tenant toujours dans mes bras pour ne pas qu'elle s'effondre. Je caressais son visage pour lui faire sentir qu'elle n'avait plus rien à craindre même si au fond, elle ne se rendait pas compte de grand chose. Je disais aux filles que je ramenais Auréa à la maison, Kasey avait ajouté qu'elle ramènerait la voiture d'Auréa à la maison, j'hochais de la tête et retournais vers la voiture. Elle s'était légèrement reprise mais était encore en état de vide. Je la déposais à l'arrière de la voiture et ouvrais la fenêtre arrière pour qu'elle puisse s'aérer. Je démarrais et reprenais le chemin de la maison, en lançant des regards dans le rétroviseur toutes les 5 secondes pour vérifier qu'elle n'allait pas sombrer. J'avais peur... Réellement et je m'en voulais d'avoir été absent, je m'en voulais de l'avoir laisser... Je prenais le temps de réfléchir. Ce club était le club de mon prochain rendez-vous et cette pensée me chatouillait, me faisait douter. Je savais qu'Auréa désirait connaître ma vérité, celle que je refusais d'avouer, pourquoi la mêler à une chose pareille ? Pour la perdre.. ? J'étais égoïste, certes. Mais j'étais égoïste d'amour. De son amour. Elle ne se rendait pas compte à quel point elle me donnait de l'espoir et de la foi. Elle ne se rendait pas compte à quel point j'avais besoin d'elle pour me dire que je n'étais peut-être pas entièrement fini. Je savais que je voulais avancer avec elle. Qu'est-ce qui vaut plus que son amour ? Rien. Le reste, je peux vivre sans.
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Auréa Eden

Sunburn
She burns like the sun.

Auréa Eden


Moi =D
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MessageSujet: Re: Good Girls Go Bad - Auréa, Lily, Kasey   Good Girls Go Bad - Auréa, Lily, Kasey EmptyMar 27 Avr - 1:09




Tout ce perdait en moi de la façon la plus malsaine qui pouvait exister, je tournais, sans me rendre compte qu'en réalité je chutais.  Le bonheur n'est réelle que lorsqu'il est partager et tout ce qui m'importer ce résumer a ce qu'il était, j'avais peur de dépendre de quelqu'un et la c'est ce qui m'arriver. On m'avait donner quelques chose, et la question que me vain à l'esprit le plus naturellement, était pourquoi moi? Il y avait beaucoup de fille a cet soirée. Pourquoi s'attaquer à mon corps, mon esprit. Il allait venir, ce n'était qu'une question de minute de seconds, il allait venir.  La foule était complètement flou, mes sens s'engourdissaient sous mes tentatives de mouvement. Mes muscles se contractaient avec une rapidité affolante, un forme s'approchait de moi. C'était un homme, qui me parlait mais je m'en contre fiché. Lily m'avait mise à l'écart et elle demandait a cet homme de partir gentillement. Je savais plus ou j'étais je me perdais. J'entendais la voix de Kasey qui s'échouait au loin. Je comprenais rien, les formes la pièces tout était concentré, coller , confiner étouffant. Mes nerfs lâchaient, on crier dans ma tête. On hurlait à la mort, des cries d'hystéries qui ne cessé d'aller dans des octaves encore insoupçonné. Flagrant, démesuré, fatiguant s'accrochant dans le coin de mon cortex cérébrale. Qu'est-ce qui criait d'une tel façon? Je ne savais pas ou j'étais, je sentais quelques chose de froid ce poser sur mon visage.

Peu de temps après, je me réveillais à l'arrière de la voiture de Damon, il était venu. La voiture s'arrêta, on devait être devant la maison, j'avais toujours ce mal de crane. Je sentais plus aucune partie de mon corps, j'essayais de me lever mais j'y arrivais pas. J'étais totalement engourdi, il me pris dans ses bras et je me blottissais contre lui. Il ouvrait la porte, et je fermais les yeux et je commençais étrangement a prendre la parole sans contrôler le moindre de mes mots.


- Je vais sans doute paraître stupide et complètement soumise. C'est sans doute, se qu'on ma fait prendre qui me fait parler et Hell a dit que je me souviendrai de rien. Je risque de faire un monologue, parce que tu veux rien dire. Je sais pas ce que je vais te dire et bien ou pas, mais ; On a un énorme problème parce que je suis amoureuse de toi. Je me suis jetai dans un lac d'eau glacé, je t'ai approché hors que tu pouvais tout faire explosé, je viens d'aller d'en un club étrange pour savoir pourquoi t'avais rendez-vous avec se gars.

Il me déposa dans le lit, je savais pas s'il comprenait tout ce que je disais c'était certainement inaudible.

- La drogue? Tu sais que tu peux me le dire, je suis pas en cristal je ne me briserai pas. Je peux t'aider, si tu le veux vraiment. Cette nuit la, ou tu es rentrer complètement défoncer. Je ne te connaissais pas vraiment, j'ai eu peur pour toi. Tu semblais si détruit, si mal. Tu mérites pas de te traiter comme ça. Je connais pas ce que tu as été, ni ce qui te hante. Je le vois dans tes yeux, tu es quelqu'un de bien. Je me suis endormie avec ma main dans la tienne, et je t'ai promis que tout irais mieux. Je sais qu'on se soigne pas comme ça d'une dépendance, je serais la si tu tombes. Pourquoi tu me fais pas confiance ? Je veux qu'une seul chose, la vérité qu'elle face du bien ou du mal.

Sans aucune raison je passais d'extrêment heureuse, a rongeait de l'intérieur. Mes émotions étaient totalement perturbé. Mes sentiments ressemblaient a un labyrinthe géant. Depuis que je m'étais donnée a lui, il me laissai dans l'ignorance. Je songeai même que je n'aurai pas du montrer mes sentiments. A chaque fois que j'essayais de mettre des mots sur mes sentiments, on les retournée contre moi Je voulais qu'on m'anesthésie tranquillement dans une chambre occulte, mais je l'aimais et c'était plus fort, indescriptible. Je devais tenir.. Il s'allongea a mes cotés, en gardent le silence. Je devais dire n'importe quoi vraiment mais je voulais des réponses. Je le regardai, et je m'approchai de lui, j'enlevais ma robe, et j'enlevais son t-shirt assez rapidement en l'embrassent. Il ne s'y attendait pas . Je me permettais de s'approprier sa dextre, de l'approcher de mon cou et progressivement, ses doigts effleuraient la partie antérieure de mon thorax. Mon organe le plus vital etait d'un calme dérangent le distole n'alternant avec la systole d'une façon la plus sereine qui puisse exister. Son souffle venait aspirer mon âme avec un aplomb démesuré, je laissai sa main se perdre le long de mon abdomaine, je n'avais aucune idée de ce que je fessais c'était les produits qui s'échouaient dans mon corps qui me mettait dans cet état. Je m'approchai de plus en plus de son visage. J'aimais le regarder, avoir ces yeux dans les miens. Je me mettais sur lui, et je laissais mes lippes s'engagé dans son cou. Je venais au creux de son oreille lui chuchotai que j'allais lui faire du chantage jusqu'à temps qu'il me parle sérieusement de ce qui n'allait pas. Je parcourais l'entierté de son corps, laissent mes mains s'approprier chaque millimètre de son épiderme en nous déshabillant dans notre totalité. Je nous recouvrais des draps et je descendais le long de son abdomen. Mon coeur tambouriné, j'étais complètement déconnecter. Je l'effleurais en laissent courir mon souffle en bas de la ceinture. Si je voulais , je pouvais le faire mais je le torturais a ma manière pour qu'il passe aux aveux. Je remontais, je voyais dans son regard qu'il était brulé, je m'allongeai sur lui, en respirant son odeur.

- Tu me diras rien...

Je me relevais , les médicaments qu'on m'avait fait prendre changer clairement mon point de vue, a une vitesse affolante s'en était totalement déboussolant. Plus je regardais Damon, plus je voyais qu'il fuyait les évidences. J'avais ce sentiment qu'il m'avait voulu et maintenant que j'avais été a lui, ça lui suffisait pas. Je voulais fermer le robinet de ces questions qui le torturait tellement parce que finalement il fallait vivre comme ça venait sans chercher a comprendre le pourquoi du comment.  Mes larmes s'échouaient doucement puise que nos mains ne tenaient plus ensemble, et mes mains tremblaient un peu. A croire que je voyais le monde à l'envers, tout était si sombre. C'était comme ci il y avait un énorme pont, que je l'attendais sur ce ponton et qu'il ne venait pas. Je ne cessais d'attendre, d'être la. Au final, je ne croisai que son ombre. Mon cœur se remplissait d'effroi et d'un mal-être que je connaissais bien étant petite, cette sensation d'être abandonnée. Il m'avait promis qu'il ne me lâchait pas, qu'il ne s'éloignerait pas. Il le fessait, il partait a chaque fois, il m'éloignait. Son silence m'arrachait le cœur, me le mastiquer en de petit morceaux. Je voulais plus de ce cœur, j'avais plus le cœur à me battre s'il restai anesthésié de cette façon.  Je voulais plus lui autorisé a me mentir. Pour la première fois, je contrôlais pas mes larmes, je contrôlais plus rien. Il fallait qu'il réfléchisse, et que ce médicament disparaisse de mon sang.  Je reprenais les draps qui nous cachait quelques seconds au par avant, le laissent sans rien, je me dirigeai vers la porte.

- Je vais dormir dans la chambre d'Hyde en attendant que ça passe ...  je risque de dire des choses que je regretterai .


J'ouvrai la porte, et j'eus soudain un haut le coeur, qui me fit faire demi-tour. Je me dirigeais dans la salle de bain, le coeur compresser.  Là derniére fois que j'avais eu cet sensation , j'avais huit ans, j'étais partie de la maison, rien ne m'y attendai de toute façon. J'avais pris toute seule le train pour partir dans un parc d'attraction. Je croyais que si j'étais dans ce parc, je pourais y jouer et être adopter par les mascottes du parc. Arriver là-bas, le seul manége dans lequel il m'était autoriser de monté, c'était les carrousels et les tasses à café, il fallait être accompagner d'un adulte pour faire les autres manège. Je montais dans les tasse à café, et j'ai du y rester pendant des heurs et des heurs , je voulais tourné, tourné de plus en plus vite de plus en plus fort. Tout ce qui était autour de moi n'exister plus. Après quelques heur, Aaron était venu , je ne savais pas comment il m'avait trouver. Il m'avait fait sortir du manège, il s'était a baisser a ma taille, et il m'avait regarder, j'avais craqué et balancer tout ce qui avait autour de moi sur lui. Mes larmes coulaient sans aucun bruits, je le frappais de colére, de haine. De tout ce qui pouvait être de mal en moi. J'avais cet même sensation qu'aujourd'hui le coeur compresser, gentilement étouffé. Il m'avait pris dans ces bras, il avait sorti de son manteaux un petit ourse en peluche. C'était le seul qui avait pas oublié, que c'était mon anniversaire. J'étais jeune et ça m'avait traumatisé de voir que j'étais différente des autres. Je reprenais doucement conscience, les cries dans ma tête avaient cessé.
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Damon M. Tallis
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MessageSujet: Re: Good Girls Go Bad - Auréa, Lily, Kasey   Good Girls Go Bad - Auréa, Lily, Kasey EmptyMer 28 Avr - 21:14

Cette ombre qui m’habite était en train de s’étioler sous la pression qui se diffusait dans l’air mais c’était une chose qui me troublait, je laissais s'en aller la mélancolie pour laisser place à la prise de conscience. C’était malsain, toutes ces choses que je m’infligeais, que j’infligeais aux autres mais j’avais toujours su pourquoi malgré cet air de perdition, elle était bien là, la perdition. Je l’avoue mais c’est moi qui avait été la chercher. Je connaissais sa provenance. Il y avait ce rôle qui se cassait la gueule lamentablement, j’y avais mis tout mon être pourtant mais le public ne m’applaudissait pas. Auparavant, je serai retourné dans ma loge et j’aurais avalé ses cachets pour nourrir encore le mensonge, pour masquer toutes les erreurs que j’avais commises. Auparavant n’est plus maintenant. Les questions étaient toujours les même. Identiques et perpétuelles. J’ai fait cent fois le décompte mais mes souffles s’échappaient encore, je me trouvais exactement à l’endroit où la lucidité reprends ses droits. J’ouvre les yeux et je me dis : « Là, c’est le drame. » J’étais courageux de jouer avec l’ironie, l’ironie n’avait plus de sens moral à présent mais on ne m'a pas appris à rester sage lorsque les poumons sont remplis de rage. Je m’éloignais, d’eux, de moi, de tout. Je me trompe. Maintenant, depuis le début de la descente aux enfers. Tout ça pour me rendre compte que mathématiquement, j’ai passé la moitié de ma vie à me détruire et que depuis quelques temps, ça me pose clairement problème. Détachement de merde. Détachement obligatoire ? Nécessaire. Je comprends, après avoir pris tout mon temps. Mes yeux avaient brûlés, mon nez avait saigné mais tout le monde s’en fou, y compris moi. Les autres ne voient pas. Ni pour toi, ni pour moi, ni pour personne. Auréa Eden, c’était elle qui avait changé cette dernière phrase, elle était la preuve que ce que je disais n’était pas ce qu’il fallait croire. Elle chamboulait toutes ces choses que je pensais ancrées à jamais, elle faisait couler du nouveau sang dans mes veines. Le bonheur conscient exige de l’humilité, beaucoup d’humilité. Je devais arrêter de laisser la douleur aspirer ma vie. Toutes les douleurs sont surmontables si on se donne la peine de se battre. Je devais me prouver que j’avais le courage de le faire même si le moindre mot laissait son entaille dans ce qui me sert de cœur.


« You can hurt yourself, you can laugh, you can cry, carry a cross but it won't make you a man. »


Je me garais facilement dans l’allée de garage, coupais le moteur et sortais de la voiture en ouvrant la porte arrière. Auréa tentait de se lever mais la drogue était toujours dans son sang, ça l’affaiblissait clairement. Je la prenais dans mes bras et refermais la voiture avec la clé automatique. Hyde était monté se coucher à première vue et Hayden devait être dans sa chambre car lorsque j’étais rentré, la maison était complètement éteinte. Si elle avait était toute seule à cette soirée, je n’aurais jamais rien su… Et cette idée me mettait hors de moi. Il était trop tard pour s’excuser, trop tard pour regretter, la seule chose qu’il me restait à faire était d’assumer, entièrement et pas à moitié. Je redoutais la raison pour laquelle elle était allée dans ce club car comme par hasard c’était à cet endroit qu’on m’avait fixé un rendez-vous. J’aurais voulu qu’on me gifle, qu’on me secoue pour que je comprenne, pour que je m’assèche de toutes ces questions lacrymales. Mes appels s’étaient toujours perdus dans le silence dans lequel j’étais en permanence, par volonté car la parole n’était pas ma langue, je parlais les notes, je parlais le language des sons. Je montais à l’étage et je me rendais compte de tout ce que j’avais fait jusqu’ici, je me rendais compte de cet hors contrôle qui m’avait possédé dans tous les sens du terme. Je ne voulais pas tenir comme ça, je ne pensais pas pouvoir le faire encore une année de suite. Perdre mon temps, le disperser partout, nulle part, le gâcher, l’assassiner à coup de retenue, à coup de mensonges qui me liaient à la terre. Briser les chaînes et enlever les enclumes avant que je ne me noie pour de bon. Je ne parvenais plus à me démultiplier en millions de chimères trompeuses. Maintenir l’illusion était une chose que je ne ferais plus à présent, plus jamais. J’ai trop été celui que l’on attend de moi, je récupérais ce terrain neutre, celui où je n’étais plus la personne qu’on voulait que je sois, l’endroit où j’étais à nouveau moi-même. Avec mes défauts, mes fautes et mes dérapages. Avec la vérité.


- Je vais sans doute paraître stupide et complètement soumise. C'est sans doute, se qu'on ma fait prendre qui me fait parler et Hell a dit que je me souviendrai de rien. Je risque de faire un monologue, parce que tu veux rien dire. Je sais pas ce que je vais te dire et bien ou pas, mais ; On a un énorme problème parce que je suis amoureuse de toi. Je me suis jetai dans un lac d'eau glacé, je t'ai approché hors que tu pouvais tout faire explosé, je viens d'aller d'en un club étrange pour savoir pourquoi t'avais rendez-vous avec se gars.


Je n'avais jamais eu cette prétention que certaines personnes ont de se proclamer bien en tout point. Je ne l'ai jamais dit car je savais ce que j'étais aujourd'hui, j'étais un assassin, j'avais sûrement brisé des familles, des gens, commis des deuils et tout cela confirmait mes pensées. Je n'étais pas quelqu'un de bien mais je pouvais changer, j'avais foie en ma force de retourner la situation. Le sang versé ne sèche jamais, les âmes que j'ai volé me hantaient tellement souvent que j'avais appris à vivre avec elles, à travers elles mais pourquoi au juste ? Pourquoi je devrais rester à ce niveau jusqu'à la fin de ma vie ? La lassitude s'appropriait mes veines, je volais en éclat dans une colère que j'essayais de faire taire, encore. Encore et toujours. J'avais des envies étranges, des envies d'ouvrir ma cage thoracique, d'enlever tout ce qui me tue, ce qui glisse sur mes tripes, sur mon envie de vivre et de tourner la page définitivement. Ce secret, ce putain de secret me mettait à terre depuis trop longtemps mais la pire chose était ses raisons. Elles étaient la cause de tout cet étouffement. Crier, crier jusqu'à ce qu'il s'en aille, qu'il se brise, qu'il s'enterre. Crier était la seule solution. Auréa parlait doucement mais j'arrivais à comprendre ces mots, ils s'infiltraient en moi avec violence, c'était comme si sa voix avait enclenché le compte à rebours de cette bombe, j'avais ce pressentiment que l'explosion allait être violente et rédemptrice, à la fois. J'arrivais dans la chambre et je la déposais sur le lit. Je ne savais pas comment elle avait su pour ce rendez-vous, je savais encore moins pourquoi elle s'était aventuré dans cet endroit en sachant que je serai totalement contre et ça m'énervait car elle se foutait du danger, elle risquait sans prendre conscience des conséquences. Elle allait vers les ennuis, tout ça par ma faute. C'était sa curiosité qui la poussait à risquer sa vie pour des mensonges ? Dans quel sens elle voulait aller au juste ? Il y a des secrets qui sont faits pour être gardés, pourquoi elle s'obstinait ?


- La drogue? Tu sais que tu peux me le dire, je suis pas en cristal je ne me briserai pas. Je peux t'aider, si tu le veux vraiment. Cette nuit la, ou tu es rentrer complètement défoncer. Je ne te connaissais pas vraiment, j'ai eu peur pour toi. Tu semblais si détruit, si mal. Tu mérites pas de te traiter comme ça. Je connais pas ce que tu as été, ni ce qui te hante. Je le vois dans tes yeux, tu es quelqu'un de bien. Je me suis endormie avec ma main dans la tienne, et je t'ai promis que tout irais mieux. Je sais qu'on se soigne pas comme ça d'une dépendance, je serais la si tu tombes. Pourquoi tu me fais pas confiance ? Je veux qu'une seul chose, la vérité qu'elle face du bien ou du mal.


Pourquoi répondre ? Elle n'était pas en état d'enregistrer mes paroles, peut-être même qu'elle ne comprendrait pas un mot de ce que je dirais, tout dépendait de la dose qu'elle avait ingurgité... Je m'allongeais à côté d'elle, toujours enfermé dans cette sphère muette que je m'étais forgée au fil du temps. Sphère incassable. Sphère dérangeante pour certains. Je savais utiliser l'indifférence parfaitement, ce secret était la seule chose que je ne cédais pas. Si je l'avouais un jour, ce n'était que par ma volonté et non celle d'autrui. Je savais que l'indifférence était cruelle et froide à souhait mais ce secret l'était sans doute encore plus que ce que l'indifférence représentait pour moi. Je sentais qu'elle me regardait, quelques secondes plus tard elle s'était approché de moi. Je n'avais pas eu le temps de comprendre, elle avait déjà enlevé sa robe et mon t-shirt. Mes lèvres fusionnaient avec les siennes, mes doigts jouaient sur son corps, j'avais senti son coeur faible, c'était ce qui avait perturbé ma respiration. Mes caresses descendaient jusqu'à son ventre, elle s'était laissé emporter sur moi et me regardais avec un air déstabilisé, je savais qu'elle n'était pas maître d'elle-même à cet instant, c'était ce qui s'écoulait dans son sang qui lui faisait perdre le contrôle. Des frissons se perdaient le long de mon échine lorsqu'elle se perdait dans mon cou. Dans un souffle, elle me prévenait du chantage qu'elle était en train de faire, elle continuait à m'effleurer en enlevant nos derniers vêtements et la situation était douloureuse. Ce qu'elle faisait ne changerait rien, je ne dirais rien comme ça et je savais que tout ça était stupide, ce n'est pas comme ça que je voulais me délivrer. Je sentais son oxygène se fondre dans les fibres de ma peau, elle descendait au fur et à mesure et c'était vraiment étrange comme sensation, cette chose qui me pesait, qui rendait mon âme fébrile. Son contact pouvait se montrer tellement rassurant et destructeur à la fois que j'avais envie de lui hurler dessus pour qu'elle arrête. Je sentais qu'elle remontait, son regard entrait dans le mien. Je ne sais pas si elle voyait ce qu'elle était en train de me faire mais je ne parlerais pas... Pas comme ça. Elle s'allongeait contre moi et je laissais courir sa chaleur sur ma peau en essayant de comprendre... De me calmer. Jusqu'où elle était capable d'aller pour que je parle ?


- Tu me diras rien...


C'était vrai, je n'allais rien dire à cet instant. Je laissais mon regard se perdre ailleurs que dans ses yeux, simplement car je ne voulais pas voir ce que je causais... Je ne voulais pas voir le mal que je lui faisais. C'était lâche, cruel. Elle ne méritait pas ce silence mais je continuais à protéger ce que je n'avouais pas. J'étais conscient qu'elle ne pouvait pas avancer avec moi tant que je ne serais pas entièrement honnête avec elle, je savais qu'elle m'attendait. Elle était seulement à quelques centimètres de moi extérieurement mais elle était tellement loin intérieurement, à des kilomètres invisibles. Je pouvais la voir courir vers moi mais je reculais à chaque fois, je reculais. Et c'est quand que je me laisse vivre ? C'est quand que je me permet de l'aimer comme elle le mérite ? Pourquoi je rejetais ce qu'elle me donnait de façon aussi indifférente ? Pourquoi ? Quel genre de gars, j'étais devenu ? Elle se relevait en s'enroulant dans les couvertures, je pouvais voir son coeur débordait de ses yeux. Des cristaux descendaient le long de ses yeux et je sentais mon coeur s'arracher. Je respectais pas mes paroles, je respectais pas mes volontés de tout changer, de changer. Je restais dans ce trou noir et j'attendais qu'on m'enterre alors qu'elle me tendait sa main pour que je sorte de là. Il fallait que je ravale cette fierté mais je continuais le silence. Euripide disait: « Parle si tes mots sont plus forts que le silence, sinon garde le silence. » Je n'avais jamais su expliquer pourquoi, ni comment toutes ces choses étaient arrivées, je sais juste que ça m'avait achevé, que j'avais lâché prise depuis que mon père était parti, depuis qu'Aleesha s'était faite passé pour morte, depuis que Maxim s'était évaporée dans la nature. Toutes ces situations avaient enclenchées le compte à rebours de mon saccage personnel, celui que j'avais fait en moi. J'étais lassé d'effacer les traces de mes propres pas, j'étais lassé de me poser toutes ces questions sans réponses. Je voulais voir la sortie de cette route qui ne menait nulle part. Apprends-moi à respirer ailleurs qu'en enfer s'il te plaît.


- Je vais dormir dans la chambre d'Hyde en attendant que ça passe ... je risque de dire des choses que je regretterai .


Les attaches se rompaient et mettaient fin à ces douleurs muettes et souterraines. Les liens qui m'attachaient, se déchiraient tous les un après les autres sous l'étirement des noeuds qui avait envahit mon estomac des années sans que je ne puisses rien faire. Le déliement qui était en train de se faire sauvegardait ce qu'il me restait de coeur, ses larmes avaient étaient cette chose que je ne pouvais pas laisser entrer. Elles ne devaient pas exister, je n'étais personne pour lui infliger ça. La vérité... La vérité allait sortir, quitte à ce que je me damne. Quitte à ce que je perdes encore une fois. Me dire que le passé était révolu, qu'il n'avait plus de sens et qu'il était coupable de tout ce mal être que j'avais laissé se fondre en moi. Je savais... Il m'avait appris des choses, des choses terribles mais je n'étais pas naïf. Je savais ce que la vie valait, ce que le bonheur valait. La question n'était pas de savoir pourquoi je n'avais pas droit à ce dernier, c'était plutôt pourquoi je ne me l'autorisais pas ? Pourquoi eux et pas moi ? Pourquoi briser son coeur alors que le mien ne vivait que par le sien ? J'étais stupide, je ne la méritais pas, je ne méritais pas ses larmes. Pas une seconde, pas le moins du monde. Mon coeur s'écroulait sous les secousses que sa tristesse m'avait fait voir, le fatalisme me remplissait de courage, c'était moi. Pourquoi j'avais menti ? Je ne me reconnaissais pas, quand est-ce que j'avais été moi ? Ce qu'avait fait mon père m'avait fait comprendre qu'un enfant ne devrait jamais voir la couleur de la douleur dans les yeux de sa mère. Ce mal être... Je crois qu'il avait vu le jour au même moment où les larmes de ma mère s'enchaînaient dans l'ignorance de mon père, dans son silence. Je ne voulais pas devenir comme lui... Je ne voulais pas faire autant de mal qu'il l'avait fait... Non. Je devenais son reflet, secret, menteur, indifférent, cruel. Mes battements cardiaux grimpaient en vitesse, à chaque fois que j'en revenais à cette conclusion. Mes poumons se remplissait d'un air de révolte. Auréa s'était dirigé vers la porte pour finir par faire demi-tour et s'isolait dans la salle de bain. J'avais l'impression que le flou se dissipait de mon esprit, que je reprenais conscience de ce que j'étais. Mes limites avaient été celles que je ne m'étais pas mises. Se ressaisir. Je me rhabillais, sans prendre le temps de remettre mon t-shirt. J'ouvrais ces putains de tiroirs et balançais tout ce qu'il s'y trouvait pour trouver ce dossier... Le dossier où tous les meurtres que j'avais commis étaient classés. Tout était là dedans. J'ouvrais l'armoire que j'avais toujours laissé fermer et sortais l'attaché-case où se trouvait mes couteaux. J'allais lui donner la vérité. Brutale oui, mais la vérité. Parce que je l'aimais et je refusais de lui arracher la vie de cette façon... je tremblais de peur mais les mesonges, c'était fini... Je m'étais fait la promesse de ne plus mourir. J'allais tenir cette promesse. J'allais arrêté la douleur maintenant.

«You never knew me at all but I see you, but I see you. I'm standing across from you. I've dream alone, now the dreams won't do. »


Agir pour arrêter les mensonges, tant pis pour les conséquences et pour les sens interdits que j'enfreignais. Je dépassais ces limites inutiles que j'avais instauré, elles n'avait plus aucun sens, elles n'en avaient jamais eu en réalité. J'allais tout cracher, évacuer les illusions, les faux sourires, les façades qui avaient toujours su protéger la saloperie de réalité, celle que je n'avouais pas par peur de tout briser, de les blesser mais c'était une blessure nécessaire. Sinon ce calvaire ne s'arrêterait jamais, il continuerait à me broyer et je continuerais à broyer les autres par mon silence. Comme mon père avait détruit ma mère des années auparavant. Je n'avais plus le temps pour le passé, je ne voulais plus en avoir pour lui, il m'avait tellement fait de mal, tellement rendu vulnérable que je n'étais plus rien pour moi-même, que je m'étais laisser tomber pour des choses que je n'arriverais jamais à changer. Je ne voulais pas écraser le coeur d'une personne qui ne cherchait qu'à m'aider, alors qu'est-ce que j'avais fait ? Des conneries. Je devais m'arrêter pour le bien des gens que j'aime et pour mon bien. Je me mettais en face de la réalité et je la regardais dans les yeux, je ne veux pas mourir. J'entrais dans la salle de bain, ses joues étaient encore humides et la culpabilité me rongeait en silence. Elle devait me haïr de la laisser dans l'ignorance, elle devait me haïr de lui refuser la vérité, de mentir avec des faux sourires, des faux prétextes, de l'éloigner de moi... De l'empêcher de comprendre. De me comprendre pour me sortir de cette chose qui me collait à la peau. Je m'avançais vers elle et la serrais contre moi, je me perdais dans l'odeur de ses cheveux. Il n'y avait plus que cette odeur qui m'obsédait depuis maintenant quelques mois, j'en été complètement avide. Je refusais qu'elle s'en aille même si je n'avais jamais été vraiment à la hauteur. Mes mots ne la convaincront pas, je ne pense pas qu'elle croira à nouveau à mes promesses mais il fallait qu'elle croit en mes sentiments sinon je n'avais aucun intérêt. Je ne voulais pas avoir d'intérêt si elle ne pouvait pas comprendre que je l'aimais comme je n'avais encore jamais aimé quelqu'un auparavant.


- Auréa je t'aime, que ce soit maintenant ou dans dix jours, je t'aime. Je veux continuer encore longtemps. Je sais que je n'ai pas d'excuse pour toutes ces fois où je t'ai laissé dans l'ignorance... Mais je suis là et j'essaye. J'essaye pour qu'on avance ensemble mais je m'y suis mal pris. Ca peut plus continuer comme ça, j'en suis conscient, je vais tout te dire, tout t'expliquer et je comprendrais que tu veuilles tout arrêter lorsque tu sauras.


Je me détachais d'elle pour retourner dans la chambre, elle me suivait et s'asseyait à côté de moi sur le lit, j'avais en main ce dossier, celui que j'utilisais pour mettre mes recherches sur chaque personne qu'on m'avait demandé d'exécuter. Tout y était. De la naissance à la mort, des noms, des photos, des chiffres, de l'argent et du sang. Elle m'observait et je me sentais mal, mal d'avouer que je n'étais qu'un assassin, que je gardais un secret terrible, que je risquais ma vie si je ne faisais pas les bonnes choses. J'avais refusé leurs rendez-vous, j'avais tout refusé depuis qu'Auréa partageait les sentiments que je ressentais. Je savais que ces gens là n'attendaient pas longtemps et je craignais le fait qu'ils débarquent comme ça. Elle m'observait toujours avec cette insistance discrète, avec ses yeux mouillés par la lassitude de tout ce silence qu'elle ne supportait plus. J'inspirais profondément même si je savais que ça ne servirait à rien, c'était comme si on lacérait mon âme, comme si on la nettoyait en profondeur pour enlever tout ce qui s'était incrusté avec le temps. J'avais changé d'avis si vite lorsque ses larmes étaient tombés, je ne voulais pas laisser son coeur s'égosiller sous le poids de mes silences meurtriers. Et même lorsque je m'efforçais de l'éviter, elle était toujours là, je la voyais partout. J'avais cette fille dans la peau, elle m'habitait de partout. C'était la raison pour laquelle je voulais m'en sortir. Je voulais me perdre encore en elle, je voulais marcher sous le soleil brûlant avec elle. Tant qu'elle restait à mes côtés, je savais que je pouvais tout supporter, tout essayer. Je n'avais plus peur de la vie avec elle. Je la regardais dans les yeux, voir la mélancolie sur son visage me donnait l'envie de tout effacer pour recommencer à zéro. Loin de ma vie d'avant. Loin de tout ce qui m'avait fait mal et de tout ce qui lui brisait les côtes. J'avais une vague idée de la façon dont elle allait réagir mais j'espérais que ça ne ferait que nous renforcer. J'avais tellement besoin d'y croire. Je lui donnais le dossier en main pour qu'elle voit par elle-même que je n'étais pas celui que je paraissais. Je lui donnais en main, la raison de mon silence infernal.


- Tu me demande la vérité, tu l'as dans tes mains. La preuve se trouve dans l'attaché-case qui est sur le sol. Tout ces hommes et ces femmes qui sont dans ce dossier, je les ai traqués, surveillés jusqu'à ce qu'à connaître le moindre détail de leur vie. Des gens me paye pour... Il me paye pour que je les assassine. Je suis un assassin, un criminel, un tueur à gages, appelle ça comme tu veux. Maintenant, tu te demande pourquoi j'en parle avec tellement de détachement et je te dirais qu'on ne s'y habitue jamais, que les regrets sont cette ombre que tu cherche à percer depuis le début. Tout ce mal être, c'est le souvenir de ces gens à qui j'ai ôté la vie pour de l'argent. Du frique, du vent. Du rien. La raison pour laquelle j'ai commencé cette chose est totalement stupide mais je suppose que je n'étais pas apte à contrôler mes sentiments et je pensais que ça serait un moyen comme un autre d'extérioriser toute la haine qui me bouffait. Mon père nous a laisser seuls, moi et ma mère... Ma mère se foutait en l'air, après on m'a annoncé la pseudo mort d'Aleesha, j'y ai cru et ça a été le déclencheur. Je suis tombé dans la drogue, je venais d'avoir mes 15 ans, j'avais pas d'argent alors j'ai commencé à faire des choses qui sont vraiment regrettables. Le centre m'a enlevé au cours de cette même année et le manque me rendait... différent... Ca me semblait tellement vitale sur le coup, j'ai essayé de passer au-dessus mais j'y arrivais pas. Ce don que personne ne sait ici, c'est la raison pour laquelle je fais ça sans qu'il n'y ait de preuve valable. J'ai la capacité de tuer les gens juste par la pensée, juste parce que je le veux... Les premiers mois ont été difficiles mais je parvenais à combler le manque que j'avais pour la drogue, parce que je suis dépendant. C'est vrai. J'avais rendez-vous avec ce gars, ouais, mais j'y serai pas aller parce que j'ai pris la décision d'arrêter. J'ai pas d'excuse, j'ai rien pour me défendre. Tu voulais la vérité... Aussi blessante et horrible qu'elle soit et bien tu l'as... Depuis que j'ai su que je t'aimais et que c'était réciproque, j'ai rejeté leurs appels, j'ai fait comme si ils n'existaient pas et même si c'est risqué de les laisser dans l'ignorance, je le fais. Parce que tu m'as donné envie de changer, d'être quelqu'un de meilleur... Je veux pas que tu reste par pitié, je veux pas tu reste avec une personne qui est contre tout tes principes. Je t'aime et j'ai peur, peur que tu t'en aille et que je retombe dans ce cercle là, je peux m'en sortir mais je veux le faire avec toi Auréa... Je te l'ai pas dit avant parce que je voulais pas que tu te prenne la réalité en pleine face, je voulais pas que tu vois cette partie si dégueulasse de ce que je suis... Je veux pas que tu connaisses la noirceur de ce que j'ai pu être mais c'est trop tard, je peux pas changer ce que je suis... Je peux pas retourner en arrière mais je regrette... Je regrette de ne pas être la personne que tu mérite, dont tu as besoin...


Je ne savais pas ce qu'elle pensait, je ne savais pas et ça m'effrayait. J'avais envie de hurlé, de tout détruire et de me foutre en l'air pour ce que je venais de causer en elle. Je ne pouvais pas prévoir sa réaction mais ses larmes coulaient encore en s'écrasant toutes contre mon âme, elle avait balancé le dossier par terre en laissant les feuilles se disperser dans la pièce. Je pouvais comprendre sa colère, je la méritais. Je méritais le fait qu'elle me déteste le temps qu'elle voulait, le temps qu'elle soulage tous les sentiments néfastes que je lui avais fait ressentir. Je méritais largement sa sentence et je l'accepterais dans sa totalité. Je l'aimais, je l'aimais d'un amour vrai et tellement pur que je me sentais parfois lavé de tous mes pêchés. Je refusais qu'elle s'en aille... Mais si c'était son choix, je m'y opposerai pas. Il y avait mieux que moi, elle méritait mieux. Tellement mieux...

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Auréa Eden

Sunburn
She burns like the sun.

Auréa Eden


Moi =D
▬ Relations:
▬ Armes & Pouvoirs:

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MessageSujet: Re: Good Girls Go Bad - Auréa, Lily, Kasey   Good Girls Go Bad - Auréa, Lily, Kasey EmptyDim 2 Mai - 16:29



Good Girls Go Bad - Auréa, Lily, Kasey 20u8geg
«  Talk is cold and burns like the sun, 
Can't you see these skies are breaking
 »


L'écume de son regard me rendait plus forte. C'était une certitude ostensible qui vivait en moi, quelque chose de flagrant mais d'invisible aux yeux de Damon , même en étant un des spécimen le plus fort que j'avais vu. Il ne le voyait pas.. pas encore. J'étais sur qu'il pouvait ce relever, je croyais en lui. Les ondes qu'ils dégageaient se traduisé par une puissance aux euphonies céleste. J'avais l'impression d'avoir vécu a ces cotés avant cela tellement tout était magnétique entre nous. Il fessait battre mon coeur aux valeurs des cimes des anges, je l'aimais même quand j'avais mal. Il était venu le serrer entre ses bras et son climat polaire venait habité les recoins de ma peau. Mes larmes séchèrent tout doucement. Il pouvait pas me faire ça éternelement, je devais tenir bon. Supporter le fait qu'il ne parle pas entièrement., ça viendra Tout tournée autour d'un garot étrangement serrer, ce qui nous tenait c'était l'attraction de ce qu'on était. Il était obstiné et je l'étais également, j'aimais le fait qu'il veuille toujours avoir le dessus car je voyais son attachement dans ces moments là. Il était vide, glacé mais il était usé, je pouvais arrêter de compter mes respirations quand il était à mes cotés. Avachi sous le poids de ces secrets, je pouvais plus le voir partir s'enfuir et m'éviter. Je pouvais pas le regarder s'éteindre devant moi en restant stoïque. Ce n'était que l'aube de notre amour, le début ce n'était pas le moment de faiblir. C'était lui que je ressentais, qu'il me soufflait qui m'emmenait.


- Auréa je t'aime, que ce soit maintenant ou dans dix jours, je t'aime. Je veux continuer encore longtemps. Je sais que je n'ai pas d'excuse pour toutes ces fois où je t'ai laissé dans l'ignorance... Mais je suis là et j'essaye. J'essaye pour qu'on avance ensemble mais je m'y suis mal pris. Ca peut plus continuer comme ça, j'en suis conscient, je vais tout te dire, tout t'expliquer et je comprendrais que tu veuilles tout arrêter lorsque tu sauras.


Je gardais le silence, a cette instant j'avais peur, peur de ce qu'il le hanté. Mes frissons ce transformaient en tremblement, s'arrachent dans ma poitrine défilent le long de mes artères , se coupent sous un pression invisible. Son silence allait ce détacher, s'envoler. Je savais pas ce qui m'attendait. Je savais juste que si notre vie était un chemin, j'allais tenir sa main un temps. Au fond de moi, j'espérais le plus longtemps possible et ce ne serait pas des bosses ou des montagnes qui me ferait lâcher. Je voulais également avancé avec lui, mais le mensonge ne fessait pas partie de l'équation. On m'avait toujours mentie , je voulais pas qu'il fasse partie de se monde de mensonge. Apparemment j'allais avoir besoin de temps pour encaisser, je le sentais il me préparait à quelque chose. Ce qui nous lier ce lien je pouvais pas imaginer ne serait-ce une seule seconds le laisser dépérir. Et même si je sentais que j'allais avoir mal , je le subirais à ces cotés. Il se sépara de notre étreinte, je suivais ces pas se dirigeant dans l'ombre il s'asseyait et je me mettais a ces cotés. Il tenait dans ses mains un porte documents , j'avais trembler de ce qu'il allait me dire. Plus les seconds se grignoté en le regardent, plus je voulais pensé qu'Hayden c'était mépris, je voulais lui montrer qu'il avait tord. J'attendais heurter par la peur de son souffle. Il me donna le dossier. Mon coeur s'effilocha d'une façon irrégulière .

- Tu me demande la vérité, tu l'as dans tes mains. La preuve se trouve dans l'attaché-case qui est sur le sol. Tout ces hommes et ces femmes qui sont dans ce dossier, je les ai traqués, surveillés jusqu'à ce qu'à connaître le moindre détail de leur vie. Des gens me paye pour... Il me paye pour que je les assassine. Je suis un assassin, un criminel, un tueur à gages, appelle ça comme tu veux. Maintenant, tu te demande pourquoi j'en parle avec tellement de détachement et je te dirais qu'on ne s'y habitue jamais, que les regrets sont cette ombre que tu cherche à percer depuis le début. Tout ce mal être, c'est le souvenir de ces gens à qui j'ai ôté la vie pour de l'argent. Du frique, du vent. Du rien. La raison pour laquelle j'ai commencé cette chose est totalement stupide mais je suppose que je n'étais pas apte à contrôler mes sentiments et je pensais que ça serait un moyen comme un autre d'extérioriser toute la haine qui me bouffait. Mon père nous a laisser seuls, moi et ma mère... Ma mère se foutait en l'air, après on m'a annoncé la pseudo mort d'Aleesha, j'y ai cru et ça a été le déclencheur. Je suis tombé dans la drogue, je venais d'avoir mes 15 ans, j'avais pas d'argent alors j'ai commencé à faire des choses qui sont vraiment regrettables. Le centre m'a enlevé au cours de cette même année et le manque me rendait... différent... Ca me semblait tellement vitale sur le coup, j'ai essayé de passer au-dessus mais j'y arrivais pas. Ce don que personne ne sait ici, c'est la raison pour laquelle je fais ça sans qu'il n'y ait de preuve valable. J'ai la capacité de tuer les gens juste par la pensée, juste parce que je le veux... Les premiers mois ont été difficiles mais je parvenais à combler le manque que j'avais pour la drogue, parce que je suis dépendant. C'est vrai. J'avais rendez-vous avec ce gars, ouais, mais j'y serai pas aller parce que j'ai pris la décision d'arrêter. J'ai pas d'excuse, j'ai rien pour me défendre. Tu voulais la vérité... Aussi blessante et horrible qu'elle soit et bien tu l'as... Depuis que j'ai su que je t'aimais et que c'était réciproque, j'ai rejeté leurs appels, j'ai fait comme si ils n'existaient pas et même si c'est risqué de les laisser dans l'ignorance, je le fais. Parce que tu m'as donné envie de changer, d'être quelqu'un de meilleur... Je veux pas que tu reste par pitié, je veux pas tu reste avec une personne qui est contre tout tes principes. Je t'aime et j'ai peur, peur que tu t'en aille et que je retombe dans ce cercle là, je peux m'en sortir mais je veux le faire avec toi Auréa... Je te l'ai pas dit avant parce que je voulais pas que tu te prenne la réalité en pleine face, je voulais pas que tu vois cette partie si dégueulasse de ce que je suis... Je veux pas que tu connaisses la noirceur de ce que j'ai pu être mais c'est trop tard, je peux pas changer ce que je suis... Je peux pas retourner en arrière mais je regrette... Je regrette de ne pas être la personne que tu mérite, dont tu as besoin...

La confusion était encore plus présente dans mon esprit, j'enregistrai laissent vendre les mots. Ces paroles me fessaient mal, j'avais mal car il était rongé. Assasin, meurtre les mots s'enchaînaient mon coeur s'arracha. J'avais entre vue la possibilité que ce soit vrai, j'avais réfuté jusqu'à temps que ça sorte de sa bouche. Mes veines s'extirpaient de mon bras, mon souffle vibrer d'une façon funeste. Tué des personnes, pour de l'argent... pour ce drogué. Les lignes de conduite avaient était fixée et je ne pouvais pas faire demi tour. Il froissais doucement la passion des lumière de façon désinvolte. Je pouvais pas, pas le voir enlever la vie a quelqu'un et la seconds d'après me prendre dans ces bras. Une aversion s'étendait dans ma tête, je voulais presque lui arracher chaque membre de son torse pour en faire un cendrier. Je m'anesthésiai peu à peu sous les explications de ces actes démesurer. Mon corps ce briser, c'est mot l'osciller le reste de ce que j'étais. Je ne m'étais fais que des illusions sur ce qu'on était, je savais plus qu'il était. Je m'étais froler aux ombres des damnés. Je me sentais taillader par le mensonge, mutilé. Il pouvait pas me faire ça, il avait pas le droit. Mon crane explosa sous les complications, sa serait jamais simple avec lui. On pouvait pas être simpelement être heureux. J'enregistai plus ces mots, ces explications, il pouvait pas me faire ça a chaque fois, faire courir son silence me laisser chercher, comprendre, espérer pour finir par enfin parler. J'arrivais pas a imaginer ce qu'il avait fait, je jetais son dossier à terre. Mes larmes s'enchaînaient je n'avais sans doute pas pleuré comme ça depuis le départ de Sydney en russie. J'avais pas pitié j'étais en colère qu'on me mente. Qu'on me mente, qu'on me cache des choses , comme toujours, comme à chaque fois. Pour me préserver je détestai qu'on essaie de me préserver, car au final ça fessait toujours plus mal de découvrir tout. Il m'avait dis qu'il ne pouvait pas changé ce qu'il était mais il pouvait évoluer. Il pouvait le faire, il disait qu'il ne pas être la personne que je méritais mais il comprenais pas que si, il l'était. C'était lui et personne d'autre malgré tout. Malgré tout ce qui avait comme problème, comme mal. C'était lui. Je me levais et il s'était lever également, mes larmes se tranchaient de plus en plus. Je pouvais même plus le regarder.


- Comment-tu as pu me cacher ça? Comment tu peux continuer a me dire que tu m'aimes et te cacher de ce que tu es? Comment tu peux te taire a chaque fois pour me parler d'un coup de ce qu'il y a. De me tenir éloigner, mais c'est comme ça que tu me fais le plus de mal tu m'as fais la même chose avec Aleesha. Hayden m'avait préparer , il me l'avait fait comprendre, je voulais pas le croire , je voulais pas croire que tu es ôter la vie à des personnes pour de l'argent, pour te drogué. Je pouvais pas le croire et je voulais pas. Et je t'interdit de dire ça, je t'interdit de dire que t'es pas la personne que je mérite. On m'a toujours mentie et tu fais la même chose que les autres, tu veux me préserver alors tu me ment et tu crois que ça me fait moins mal? Et tu crois que je souffre moins ? Damon j'ai toujours était honnête avec toi, alors maintenant je sais plus si tu l'as été. Ou quand tu souriais c'était que du vent, tu te cache sous des apparence alors je sais plus.

Il me prenait dans ces bras mais je le rejetai, mes mots avaient été difficile a prononcer. Plus je parler plus il essayait de me prendre prés de lui. Je me retrouvais exactement comme quand j'étais petite dans les bras d'Aaron a cet soirée qu'il me prenait dans ces bras et que je voulais pas qu'il me touche, je dégageai ces mains sans forces, sans doute en lui donnant des coups avec aucune puissance tellement mon coeur exploser. Je me retournais pour partir dans la salle de bain. Je sentais ces bras m'arrachait en étreinte. Je pleurais et hurler qu'il avait pas le droit de me mentir pas lui. Je me débattais , écrasent le dossier qui se déliéa laissent des photos, des regards des mots partout sur le sol. On m'arrachait encore plus le coeur, je comprenais pas comment ils avaient pu faire ça, en arrivait la. Je lui criais en étant étouffé par mes sanglots de me lâcher. Il avait pas le droit de me faire ça, pas a chaque fois. Je prenais mes sous-vêtements au sol et j'allais dans la salle de bain. Je fermai la porte violemment. Il fallait qu'il me laisse un peu seul, mes larmes ne s'arrêter pas j'avais un poids dans la poitrine. J'enfilais mes sous-vêtements et je mettais de l'eau sur mon visage. Tout était confus, tout. J'essuyai mon visage en regardent dans le miroir pour comprendre ce que je devais faire. Je savais pas, je lui en voulais tellement et je l'aimais tellement malgré ce qu'il avait fait dans son passer. J'aimais ce qu'il était maintenant et ça changerai pas. Je devais prendre ce risque de monté la montagne. Il ouvrait la porte, il avait l'air mal, vraiment mal, il s'approchait de moi son regard était vide. Je nous regardai a travers le mirroir et plus les choses devenait claire. Il était contre moi, je me retournais. Il avait tenu sa promesse de pas me lâcher même si j'étais en colère. Je posai mon front contre le sien, le regardent toujours de la même façon dont je l'avais toujours regarder. C'était sans doute de la folie furieuse, et au fil de mes mots je l'enlaçais tout doucement, je voulais le rassurer car ce que je pensai c'était qu'on devait avancer. Je pouvais pas me détacher de lui..

- Je peux pas changé ton passer, je voudrai te dire que ça me fait rien ce que tu as fait, mais ça serait te mentir mais ça change pas la manière dont je t'aime. Je suis sans doute complètement folle, oui mais ça me fera pas changer d'avis. Tu avais quinze ans, tu en as vingt-deux. Ta mére est heureuse avec ton pére, Aleesha est en vie. Je suis là, Sydney, Hyde et Hayden sont là également . C'est fini, t'es plus seul. Tu peux plus te détruire, tu peux plus mentir. Je peux pas être là et rien faire, te laisser te détruire avec ton passer. Voir la personne qu'on aime ce faire du mal continuellement c'est insupportable. Ce que tu as fais, c'est mal, mais tu le sais et t'essaie de changer. Je peux pas te pardonner de ton passer, j'ai pas se pouvoir. Faut que tu trouve la paix avec ton passer, avec ce que tu as causé, prendre tes responsabilités. Je sais pas qui sont ces gens, mais toi tu sais. Faut qu'on trouve le moyen que tu aille mieux que tu tourne la page. Ce que je t'ai dis tout à l'heur c'est toujours vrai, si tu tombe je serais la. Aprilia c'est fini, le cauchemar il est fini. Je suis là et tu peux parler, faut que tu arrive a me parler. Je veux construire des choses avec toi mais si tu t'enterre dans le silence, si tu me ment, si on profite pas de la vie a deux je vois pas l'intérêt de continuer. Pour moi t'es la bonne personne Damon, tu peux pas me dire que je suis trop bien pour toi or que c'est faux , ça me fait déchire que tu puisse penser ça. Doute pas de mes choix . Tu peux pas changé, tu peux évoluer et tu évolue déjà regarde, tu te renfermai et tu t'ouvre peu à peu. Si tu reste renfermer a chaque fois, ça va être compliquer et douloureux faut qu'on apprenne a se parler, a ce connaitre doucement . Tu vois pas tout ce que tu m'apporte à coté de toi je me sens vivre vraiment. Tu peux pas voir a quel point tu m'apporte parce que même moi j'ai pas les mots pour te les dires. On m'a toujours menti et laisser seul, je veux pas que tu le face. T'es différent de ça, dessous tout ça t'es fragile alors tu te cache. La preuve, tu pensai enchainer les filles mais depuis que tu es avec moi, ta arrêter. Si tu fessais ça c'était pour pas t'attacher, et là tu sais que tu t'attache a moi, tu dois pas avoir peur et je dois pas avoir peur non plus. On y arrivera... On essayera. On trouvera comment éloigner ces hommes. Je reste pas par pitié, je resterai jamais par pitié . Si je cherchais c'était pas parce que je doutais, mais parce que tu as mal. Tout ça c'est la vie, ça peut être horrible, tu as eu la malchance d'avoir un passer difficile, vie dans le présent. Je peux pas te promettre que ton futurs sera lumineux, mais je veux être avec toi, je veux que tu souris pour de vraie sans que tu penses sans arrêt a ce que tu as fais. Faut que tu cicatrise. Tu dois encore faire un choix là je peux pas continuer si tu le veux pas ...

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Good Girls Go Bad - Auréa, Lily, Kasey Empty
MessageSujet: Re: Good Girls Go Bad - Auréa, Lily, Kasey   Good Girls Go Bad - Auréa, Lily, Kasey EmptyJeu 13 Mai - 17:14

    Depuis la sortie de la maison j'envoyais des messages à Sydney via mon téléphone, « Faites attention aux pervers, enfin j'imagine comment tu t'es habillée donc fais attention. » Cela m'amusait car il s'inquiétait pour moi, je lui répondis très rapidement « Tu te trompe, je suis pas vraiment habillée, t'imagine là ? » J'avais le sourire aux lèvres, cela m'amusait de jouer comme ça avec lui, parce qu'il jouait aussi. « Raison de plus, reste bien avec les filles je déconne pas. » Il évitait de répondre à ma question. On était dans la voiture et je regardais les filles qui écoutaient de la musique, je regardais Lily, elle était dans ses pensées je n'osais pas la déranger. On arriva enfin au club, je rentrais avec une certaine difficulté parce que je n'avais pas l'âge requis pour entrer. Rimbaud a écrit « On est pas sérieux quand on a dix-sept ans », visiblement celui-ci me connaissait peut-être, surtout que toutes ces années dans ce bocal m'avait fait passer des années seule. J'avais soif de diverses erreurs, je parlais un peu avec le vigile, lui promettant que je ne consommerais pas d'alcool, il nous laissa entrer. Je répondis à Syd « J'ai failli ne pas entrer, ca t'aurais plutôt arrangé qu'il me recale hein. T'as pas répondu si t'imaginais Smile ». Je l'allumais volontairement, on avançait et les gens nous regardaient, les regards s'étaient posés sur moi et ma tenue qualifiée de « provocante », la provocation pouvait certainement se qualifier par des choses osées dans une société, quelque chose d'inhabituel, ça tombé plutôt bien, j'aimais pas les habitudes. Je regardais pas ces personnes, ils avaient tous le visage vide, il m'intéressaient pas. Auréa se pressait vers le bar, Lily avait l'air gênée je la regardai pour essayer de la rassurer. Visiblement elle ne s'en foutait pas du regard des gens. Vibration, Syd m'avait répondu « Tu m'allume légèrement tu sais ? ». Il savait que je le faisais exprès, c'était d'ailleurs le premier homme avec qui je le faisais. « Non, mais alors t'es la boite d'allumettes, je suis le feu ? » Pourquoi j'avais dis ça? Aucune idée, s'il ne voulait pas jouer, je ne pouvais pas le faire seule. Il me répondait rapidement « Pyromane » , je rigolais forcément en voyant ça. J'appréciais Sydney, intelligent, mystérieux, obstiné et il me semblait fragile. Auréa nous présenta une de ses amies qui était vraiment magnifique et brillante. Je laissai mon portable de coté laissant patienter Syd, je saluai Kasey et je commandai de la vodka, et bien oui c'était certain que je n'allais pas respecter ce que j'avais dis au vigile, mais en même temps j'étais là pour m'amuser et ce n'était pas mon âge qui allait m'handicaper. On faisait connaissance plutôt agréablement, la musique était excitante et l'air était frai et sec, je regardai avec ma vision les conduits d'aération. Les ventilateurs diffusaient des particules, j'étais presque certaine que c'était du sel tout ça, pour que l'air soit frai et sec, pour augmenter la consommation d'alcool et nous on marchait.

    - Les filles, j'ai besoin de vous. Vous voyez ce mec, et bien il a rendez vous avec Damon demain soir. Et c'est important que je sache pourquoi. Il est ici, dans ce club. Je l'espionne pas ni rien, mais Damon ma dit qu'il avait des secrets plutôt sombre et qu'il voulait pas m'en mêler. Il me rejette quand je m'en approche, je dois savoir sinon je pourrais pas l'aider. Faut que je sache pourquoi des preuves on disparu dans une affaire de crime ou son nom avait été cité.


    Aie, déjà qu'à la base je le trouvais louche son mec, et bien là tout ne faisait que s'accentuer, il était pas sincère c'était perceptible, maintenant il était mêlé à une affaire de meurtre. Il fallait avouer que ce n'était pas très rassurant tout ça. Il ne lui disait pas la vérité, je ne comprenais pas pourquoi elle s'accrochait, lui sauvait la vie à chaque fois. C'était ça l'amour ? Et bien soit il était chanceux, soit il était totalement stupide de continuer à lui cacher ces choses car c'était visible que cela la tourmentait. J'étais pour le laisser dans ses problèmes, après tout il les avait cherché, mais Auréa avait l'air si... amoureuse, que je n'avais pas pu refuser. C'était pas une bonne chose qu'elle s'accroche comme ça s'il la faisait subir diverses passades de ce genre. On se sépara, j'entrais en contact avec la foule, ces gens qui se déchaînaient sur des sons. J'avais envie de faire exactement la même chose, un homme commençait a s'approcher de moi, touchant mes cuisses, forcément ça allait pas le faire. Je lui souris bien gentiment et je passai ma main à travers la sienne grâce à mon pouvoir de traverser les éléments, je saisis sa chair et je la rejetai, sa tête changea carrément d'une seconde à l'autre, visiblement il avait eu mal. Un deuxième, un troisième... triple idiot. Je cherchais l'homme de la photographie d'Auréa mais je ne le trouvais pas. Je regardais les hauteurs, Auréa était montée et visiblement elle l'avait vu, elle était au téléphone, un homme se rapprochait d'elle. Là forcément c'était plus compliqué, Auréa n'avait pas de pouvoirs.

    Je me dirigeai vers les escaliers, difficile avec tous ces gens. J'avais pris vingt minutes pour tout retraverser, quel bordel auditif et sensoriel. Lily avait l'air totalement paniquée au téléphone. Auréa... blanche. Kasey pétait un câble sur un mec qui était là. Bon, ce qu'on pouvait comprendre c'était que pour une sortir en boite c'était pas vraiment l'idéal, c'était une boite de pervers. J'allais vers Lily, on la connaissait seulement depuis quelques heures et on lui faisait subir les événements de nos vies. Elle avait prévenu Damon, décidément fallait qu'il se rende compte des risques qu'elle prenait juste pour lui. Je touchais Auréa, on l'avait drogué, j'avais lu quelques chose sur cette drogue, il fallait qu'elle se repose, ça allait passer elle se souviendrait pas de tout, mais tant qu'elle ne tombait pas sur de gros pervers tout irait bien.

    - Hey, Lily t'inquiète pas, Damon va arriver il va la ramener. La soirée est pas finie on va rentrer à mon appartement.

    Je la sentais pas spécialement rassurée par mes paroles, elle se renfermait et c'était dommage. Je sentais qu'elle avait des choses a exprimer et elle ne le faisait pas, à chaque fois que je la regardais je me voyais emprisonnée dans ma chambre. Elle était restée à cet état, à mon état passif, engloutie.

    - Merci, Hell. J'espère que Damon arrivera vite, elle a vraiment l'air pas bien..

    Effectivement elle avait pas l'air bien, je m'inquiétais pour elle c'était pas vraiment juste, j'aurais du rester avec elle, elle n'avait pas de pouvoir, j'avais été cruche. J'envoyai un message à Sydney « On a eu un problème, Damon vient chercher Auréa... je t'expliquerai ça demain en déposant ta voiture. On va rentrer à mon appartement, t'avais raison. ». Il m'avait confié une de ses amies les plus proches et j'avais pas fait assez attention, je me sentais coupable sur ce fait. On attendait que Damon vienne, j'essayais de parler à Lily pour la rassurer, je lui pris la main en lui disant qu'il allait arriver. Kasey était toujours auprès d'Auréa et elle s'occupait d'elle. Je l'apercevais, j'avais envie de l'engueuler, après tout s'il lui était arrivé quelque chose c'était parce qu'il lui ne lui disait pas la vérité. Je me retenais, il était là pour l'aider, il la prit dans ses bras, le teint d'Auréa était blanc ce qui ne lui était pas habituel, depuis que je la connaissais elle avait toujours eu ce teint d'or. Je pris Lily par la main, vu qu'elle ne semblait pas vraiment bien. On suivit Damon vers une sortie qui nous mena vers un parking arrière. Kasey prendrait la voiture d'Auréa pour la ramener à leur maison. Il la déposa a l'arrière de la voiture, s'il comprenait pas ce qu'elle était capable de faire rien que pour lui c'était qu'il était aveugle. J'avais toujours la main de Lily, je voulais pas la lâcher. La voiture de Damon partait dans l'ombre, et tout ce que j'espérais c'était qu'elle aille mieux. Il ne restait plus que Kasey, Lily et moi-même. On avait fait tout ça pour rien au final et c'était la dernière chose que je voulais. Bordel ça servait à quoi d'avoir des pouvoirs si on les utilisait pas ?

    - On se rejoint à l'avant, j'arrive.


    Au centre on m'avait apprit à exploiter mes pouvoirs avant de me libérer. Je les mis en application, je me concentrai sur l'homme de la photo et je mis en place ma vision thermique. C'était assez drôle car je possédais les mêmes pouvoirs que Superman, sauf que lui ne pouvait pas traverser les murs et je ne volais pas. Je regardais partout, quand je le trouvai enfin il était près des platines. Je rentrais en contact avec la foule et je grimpai vers lui, j'avais une certaine envie de lui exploser son visage mais je me retenais. Je le plaquai contre le mur, en m'adressant à lui, on devait parler mais il y avait trop de bruit et les filles m'attendaient.

    - Faut qu'on parle de Damon Tallis, c'est peut être pas l'endroit. Demain, 10 heures au café de la 3éme dans Soho, sois pas en retard, sinon je viendrais te chercher.

    Je traversais sa poche de pantalon je pris son portable et je m'envoyais ses coordonnées personnelles sans qu'il ne s'en rende compte. Je le lâchai et je m'en allai. Je retrouvais les filles à l'avant, elles étaient près de la voiture. Je montrai mon téléphone d'un air satisfait. Lily allait dormir chez moi elle était dans un état second, j'allais m'occuper d'elle. On se mit d'accord pour que Kasey rapporte la voiture le lendemain matin pour avoir des nouvelles d'Auréa, et que j'allais me rendre à ce rendez-vous avec Lily étant donné que je l'avais posé à son lieu de travail.

    Durant le trajet, je restai proche de Lily pour ne pas qu'elle craque. « Auréa va bien ? Ah bordel je le sentais pas. Tu vas bien ? ». Je pouvais pas lui expliquer ce qu'il se passait réellement, pas par téléphone, pas par message. « Auréa est avec Damon, elle est en sécurité avec lui, du moins j'espère. Kasey une amie d'Auréa nous ramène chez moi, elle va déposer la voiture demain matin chez vous ». Il était inquiet et il m'appelait, je décrochais avec hésitation. « Allo... Qu'est ce qui s'est passé pourquoi tu dis qu'avec Damon tu espères qu'elle est en sécurité ? ». J'avais un poids dans la voix mais je lui répondis quand même, « Syd, t'inquiète pas... On était à ce club pour retrouver un gars que Damon connaissait j'ai son numéro je le vois demain, je te dirais ce qu'il en est, on arrive je te laisse, on verra demain, bonne nuit. » ... « D'accord, bonne nuit. » .


    On rentra à l'appartement, on salua Kasey. On montait les étages, je cherchais les clés au fond de mon sac. Lily était pâle elle m'inquiétait. J'allumai la lumière et je vis les cartons encore présents dans tout l'appartement, les murs encore blancs. J'eus un souffle de désespoir, puis je m'approchais de la cuisine, et du frigo. J'avais un bon remontant pour les coup de blues. Je l'ouvrais, et je sortis des canettes. Je lui sortis un verre, mais pas pour moi, toutes ces années je n'avais pas pu boire à la canette alors à chaque fois que je pouvais sentir le métal sur mes lèvres je le faisais.

    - Tiens bois ça, ça ira mieux, le coca en plus de rafraichir ça remonte le moral.

    J'allais chercher dans mes cartons des affaires pour qu'on puisse dormir en paix, je trouvais des t-shirts de band je lui en proposai un, et lui proposai que si elle voulait aller à la douche, il y avait tout ce qu'il fallait dans la salle de bain. Elle me remercia mais je trouvais ça tout a fait normal, elle alla dans la salle de bain et pris sa douche. Je rangeai un petit peu le bazar, j'allais céder mon lit à Lily pour ce bon vieux canapé, ça me gênait pas il était d'un confortable plus que satisfaisant. Je lui préparai des draps propres, elle sortit de la salle de bain. Je lui indiquais qu'elle prendrait mon lit pour cette nuit. Elle s'allongea dans ma chambre, je passais dans la salle de bain. Je pris ma douche pour me détendre, j'espérerais tout simplement que cette histoire finirait bien. Une fois fini, je m'habillais et je me reposais dans le canapé.

    Les rayons de soleil envahissaient le salon, j'aurais bien voulu que tout ça ne soit qu'un mauvais rêve mais hélas c'était bien réel. Merde, il était 9h40. Je me pressai dans ma chambre Lily dormait encore. « Lily grouille on va être en retard j'ai oublié de mettre le réveil », je cherchai dans mon armoire des vêtements, j'enfilai un slim et un t-shirt. Lily était encore dans le lit, « Lily grouille faut pas qu'on le manque, tes affaires sont dans la salle de bain » elle se dépêcha dans la salle de bain, quelques minutes plus tard elle ressortit habillée avec ses affaires avec lesquelles on l'avait rencontré. On se dépêchait d'aller dans Soho, j'envoyai un message à ce mec, « j'espère que tu es déjà a Soho ». On arrivait devant le lieu de travail de Lily, elle ne travaillait pas ce jour là et tant mieux sinon elle aurait été en retard par ma faute. Il était là assit à une table. Lily devait pas avoir peur, je la regardais pour la rassuré. On s'assit en face de cet homme.

    - Merci d'être venu, bon sache que si tu nous dis pas la vérité on peut te faire diverses choses.

    Je traversais sa main a ce même moment il eut mal son visage se froissait, j'enlevais directement mon doigt.

    - Dis-nous pourquoi il cherche à te joindre ?

    Après quelques minutes, il ne voulait toujours rien dire, diverses menaces fusaient dans l'air pour enfin qu'il nous avoue que Damon était un tueur a gage. Mes nerfs étaient à bout, on avait laisser Auréa rentrer avec lui, Sydney, Hyde ne devaient pas être au courant, il fallait l'éloigner d'Auréa, j'essayais de les joindre. Ils ne répondaient pas.. aucun d'entre eux, ni Auréa, Sydney, Hyde et je n'avais pas le numéro de téléphone de Kasey, je leurs envoyais des messages jusqu'à limite les harceler. « Hyde, répond moi Auréa est en danger avec Damon c'est un tueur à gage bordel, répondez » Il ne répondait pas, le gars se se barrait, je m'excitai sur mon téléphone sans espoir.

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Damon M. Tallis
Damon M. «
    Dust in the wind.

Damon M. «  Dust in the wind.
Damon M. Tallis


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MessageSujet: Re: Good Girls Go Bad - Auréa, Lily, Kasey   Good Girls Go Bad - Auréa, Lily, Kasey EmptyLun 17 Mai - 2:26

Une partie de la vérité avait été livrée. Je l’avais laissé tomber comme on laisse tomber des explosifs, il n’était plus questions de se trouver des excuses, je n’avais plus l’âme aux mensonges. Quelque chose m’enchaînait encore, toujours cette même personne… Cette même peine. Je savais à présent que mes jeux devaient cessés, non pas pour eux. Pour elle. Je prenais conscience de ce que j’étais devenu et ça n’avait pas été moi, au grand jamais. Personne ne me connaissait si ce n’est que ma véritable famille, celle qui m’avait brisé mais que j’aimais malgré toute la rage que je ressentais inlassablement. Pouvait-on réellement appelé cela une famille ? Ma mère avait était esclave durant toute sa vie, esclave des conventions et de l’étiquette qui s’étaient toujours avérées sublimement importantes aux yeux de mon géniteur. Je m’étais perdu dans le rôle que je m’étais appliqué à jouer depuis l’âge de mes quinze ans, cachant au monde le véritable Damon. Un secret bien gardé qui plus est et mes plans avaient fonctionner, tout le monde était tombé dans l’arnaque. J’avais risqué de me perdre par simple provocation mais aussi par révolte pour ce que mon père avait fait, pour ce qu’il n’avouait pas. J’écoutais les paroles de mon entourage et les recevait comme des flèches venant percer mon cœur déjà malade, j’avais été conscient de la douleur qu’allait engendrée mes actes. Tout ce qui était en train de se passer faisait partie de mes provocations, je savais jusqu’où j’étais capable d’encaisser.

Ma mère m’avait toujours dit que j’étais spécial, différent des êtres qu’elle avait pu rencontrer tout au long de sa vie et mes professeurs m’avaient assuré que j’étais fait pour briller. La chose semblait rentrer dans les critères d’admission de mon père même s’il ne m’avait jamais réellement éduqué. C’était ma mère et uniquement ma mère qui avait façonné ma façon d’être, je lui devais les bases de ma philosophie. Tout avait commencé le jour où j’avais désiré parler de choses sérieuses avec mon père, autres que du parfait avenir qu’il avait fabriqué pour moi. Je me rappellerais de ce jour pour le restant de ma vie. J’avais osé, pour la première fois, regarder mon propre père dans les yeux et m’opposer à ce qu’il avait décidé pour nous. Son visage avait été marqué par la frustration et l’impuissance face à ma révolte. Non. Je n’étais pas d’accord et oui, il allait le sentir. Malgré mes menaces, il avait suivi ses plans et malheureusement il avait signé son contrat pour l’Enfer en ne m’écoutant pas. C’était toute cette partie que je ne révélerais jamais. Lui seul savait pourquoi j’en été arrivé là, lui seul était capable de changer les choses et me faire redevenir celui que j’étais et non celui que je me dois d’être pour elle, pour qu’elle me revienne. Ce silence ne regardait que moi. C’était ma vie, mon souffle et moi-même qu’il m’avait arraché. Je ne céderais jamais et s’il avait besoin de ma mort pour comprendre et bien j’allais la lui servir sur un plateau d’argent. Toutes ces choses étaient la seule et unique raison de mon autodestruction. Mon seul secret. Imperçable. Inaccessible.

Cependant, l’amour n’était pas censé se mêler à cette destruction. Je n’avais pas anticipé d’aimer une personne, de l’aimer et de la faire souffrir par cet amour par la même occasion. Auréa était la personne que je n’avais pas calculée, que je n’avais pas prévue. Je pensais être apte à faire preuve du détachement nécessaire pour ne pas m’attacher, pour ne pas me laisser aimer et aimer à mon tour. C’est pour cela qu’elle était si unique à mes yeux, que je l’aimais aussi fort que je ne l’avais jamais fait auparavant. Je m’étais promis de ne pas me laisser tenter par l'amour, de ne pas aimer et de me concentrer sur ce que je m’étais apprêté à faire mais mes sentiments ne m’avaient pas attendus. Elle était assise à côté de moi, tremblante, versant des larmes à n’en plus pouvoir et je la regardais simplement car il n’y avait plus rien à dire. Plus rien à faire. Mon silence n’était pas le fruit du hasard, personne n’était apte à délivrer ma voix si ce n’est que mon père. Elle n’était pas apte mais elle me donnait l’envie de me battre, l’envie d’y croire encore malgré tout ce par quoi j’étais passé pour qu’on me permette de respirer à nouveau. D’elle, je me rappelais de tout. La couleur de ses sourires, les effluves de ses soupirs, la douleur s’éteint lorsque mes doigts effleurent sa peau. Comment lui dire ? Comment lui dire que si je trouve la force de respirer ce n’est que grâce à son existence ? Elle avait le droit de me haïr. Cela faisait partie de ce que je devais m’efforcer à faire pour ne pas qu’elle souffre comme elle était en train de le faire à l’instant même.

Je restais silencieux face à ses pleurs, toujours emmuré dans ce silence qui m’entourait depuis tant d’années. Sa ténacité à vouloir me connaître me déstabilisait, me rendait complètement sans réponse. Personne auparavant n’avait daigné me donner l’importance qu’elle m’accordait. Je m’étais simplement approché d’elle, avais perçu notre reflet dans un miroir et eu cette sensation qu’elle pouvait me comprendre, qu’elle était la personne. La seule. Je me rappelais avoir pris la fuite par la suite simplement car je savais que si elle venait à m’apprécier, elle serait en danger. C’était comme si mon regard entretenait une connexion clandestine avec le sien sans mon accord et que mon cœur avait décidé de battre sous le gel qui l’entourait à chaque fois que ses lèvres s’appropriaient les miennes. Elle m’était tellement étrangère, tellement différente de toutes les autres conquêtes que j’avais pu avoir qu’elle était devenue une véritable obsession dont je ne pouvais me défaire. J’avais perdu le fil de ma vie dans ce jeu, dans cette mascarade que j’avais mise en place pour sauver ce qui était cher à mon cœur et personne ne me comprenait car je n’en avais jamais parlé. Je n’en avais pas le droit. Elle s’était levée lentement, sans doute trop lentement et je m’étais empressé de me lever à mon tour. Elle tournait son regard vers un point qui n’existait pas juste pour fuir le mien, combien de temps encore supporterait-elle tout ce que je lui infligeais ? Est-ce que j’étais véritablement certain de vouloir la laisser partir ? Je n’en savais rien. Elle avait ce don de me remettre en question… Elle avait ce don de me permettre de vivre…


- Comment-tu as pu me cacher ça? Comment tu peux continuer a me dire que tu m'aimes et te cacher de ce que tu es? Comment tu peux te taire a chaque fois pour me parler d'un coup de ce qu'il y a. De me tenir éloigner, mais c'est comme ça que tu me fais le plus de mal tu m'as fais la même chose avec Aleesha. Hayden m'avait préparer , il me l'avait fait comprendre, je voulais pas le croire , je voulais pas croire que tu es ôter la vie à des personnes pour de l'argent, pour te drogué. Je pouvais pas le croire et je voulais pas. Et je t'interdit de dire ça, je t'interdit de dire que t'es pas la personne que je mérite. On m'a toujours mentie et tu fais la même chose que les autres, tu veux me préserver alors tu me ment et tu crois que ça me fait moins mal? Et tu crois que je souffre moins ? Damon j'ai toujours était honnête avec toi, alors maintenant je sais plus si tu l'as été. Ou quand tu souriais c'était que du vent, tu te cache sous des apparence alors je sais plus.

Il y a des mots qui vous percutent, qui vous assaillent et qui vous brûlent l'âme. L'expression de son visage, ses larmes, sa voix blessée qui se perdaient dans mon être me rappelait que je n'étais personne pour faire mal à ce point, qu'elle ne méritait pas de souffrir pour des secrets que je ne voulais pas révéler. Elle était innocente, elle m'aimait alors pourquoi lui refusais-je mon histoire ? Pourquoi je restais cette serrure inviolable ? J'avais voulu la serrer contre moi, trouver les mots justes pour qu'elle arrête de s'infliger ces tourments. Je voulais lui prouver qu'elle méritait une autre vie, avec une autre personne qui saurait s'occuper d'elle mais elle me rejetait avec cette souffrance qui s'écoulait de ses yeux, avec cette détresse que je ne comprenais pas encore. Je me retenais de hurler, de lui ordonner de me détester, de me haïr même pour qu'elle arrête de m'offrir ses larmes, ses pensées sombres et ses maladies. Qu'elle me déteste, bon sang ! Pourquoi perdait-elle son temps avec une personne décharnée par la haine et la douleur... Je n'étais rien. J'étais faible. Je me voulais faible, mourant même. Juste pour qu'il comprenne. Elle s'était défaite de mon étreinte et partait mais il était hors de question qu'elle parte, je la retenais de par ma force mais elle hurlait en me disant que je n'avais pas le droit de lui mentir de cette façon, je n'avais jamais été autant touché par des larmes et des cris qu'à cet instant. Je sentais mon coeur faiblir, mes rythmes cardiaux atténuaient de plus en plus leur cadence parce que si elle partait, je n'étais pas certain de tenir encore très longtemps. Sa résistance avait fait que je l'avais lâché, elle avait ramassé ses affaires et s'était réfugié dans la salle d'eau.

Après la violence du claquement de la porte, je m'étais laissé tombé sur le lit en fermant les yeux. J'étais fatigué d'avoir mal, de lui faire du mal, de nous détruire et de ne pas me laisser vivre... Je ne savais plus quoi dire, je ne trouvais pas les mots pour décrire la guerre qui démolissait mon coeur. Je me redressais légèrement et sortait mon briquet instinctivement. J'avais fait naître une flamme de ce dernier par un frottement que j'avais l'habitude de faire depuis longtemps. Mon regard clair s'était perdu dans la beauté du feu. La flamme qui dansait dans mes iris était si enivrante et si... destructrice. Une beauté violente qui ne donnait rien d'autre que tout ce qu'elle incarnait mais qui prenait tout, qui absorbait tout en ne laissant aucune trace de son passage. La plus belle meurtrière, la plus douloureuse des souffrances. Je réfléchissais à une vitesse insoupçonnée et inconsciente; j'avais été toute ma vie durant quelqu'un de libre, sans attache m'assurant ainsi de ne jamais être blessé par une quelconque perte, si ce n'est que la conscience que la mienne se perde volontairement. Ce n'était pas pour rien que mon âme avait été dissimulée derrière cette épaisse couche de glace dont je m'étais rendu prisonnier. Auréa était cette flamme qui me fascinait, qui détruisait la glace. Elle était aussi destructrice et m'embrasait à chaque frôlement. Elle me perçait encore et d'avantage lorsque je lui faisais le don de moi-même. Si c'était celle qui trouvait mon âme, c'est que j'avais besoin d'elle malgré mon rejet automatique. Serait-ce vraiment grave si je m'ouvrais à une personne... ? Je me levais en laissant le briquet sur la table de chevet, je me sentais mal. Je l'éloignais certes mais au final, je ne savais pas ce que je voulais. Je l'aimais, tous mes sens me le disait. Je poussais la porte de la salle de bain doucement et m'avançait vers elle, elle était face au miroir et ne lâchait pas cette air de petite fille perdue dans une foule de sentiments trop douloureux pour son coeur, elle avait beau dire que j'étais blessé, elle l'était elle aussi et me dire que je contribuais à cette douleur me rendait plus malade que je ne l'étais. Je l'avais prise contre moi et elle s'était retourné en posant son front contre le mien. Elle plongeait ses yeux dans les miens avec cette même chaleur que la dernière fois, le genre de chaleur qui me rendait réel et qui me faisait croire que je méritais d'aimer, elle m'enlaçait mais je regrettais toujours avec la même force ce que je lui faisais...


- Je peux pas changé ton passer, je voudrai te dire que ça me fait rien ce que tu as fait, mais ça serait te mentir mais ça change pas la manière dont je t'aime. Je suis sans doute complètement folle, oui mais ça me fera pas changer d'avis. Tu avais quinze ans, tu en as vingt-deux. Ta mére est heureuse avec ton pére, Aleesha est en vie. Je suis là, Sydney, Hyde et Hayden sont là également . C'est fini, t'es plus seul. Tu peux plus te détruire, tu peux plus mentir. Je peux pas être là et rien faire, te laisser te détruire avec ton passer. Voir la personne qu'on aime ce faire du mal continuellement c'est insupportable. Ce que tu as fais, c'est mal, mais tu le sais et t'essaie de changer. Je peux pas te pardonner de ton passer, j'ai pas se pouvoir. Faut que tu trouve la paix avec ton passer, avec ce que tu as causé, prendre tes responsabilités. Je sais pas qui sont ces gens, mais toi tu sais. Faut qu'on trouve le moyen que tu aille mieux que tu tourne la page. Ce que je t'ai dis tout à l'heur c'est toujours vrai, si tu tombe je serais la. Aprilia c'est fini, le cauchemar il est fini. Je suis là et tu peux parler, faut que tu arrive a me parler. Je veux construire des choses avec toi mais si tu t'enterre dans le silence, si tu me ment, si on profite pas de la vie a deux je vois pas l'intérêt de continuer. Pour moi t'es la bonne personne Damon, tu peux pas me dire que je suis trop bien pour toi or que c'est faux , ça me fait déchire que tu puisse penser ça. Doute pas de mes choix . Tu peux pas changé, tu peux évoluer et tu évolue déjà regarde, tu te renfermai et tu t'ouvre peu à peu. Si tu reste renfermer a chaque fois, ça va être compliquer et douloureux faut qu'on apprenne a se parler, a ce connaitre doucement . Tu vois pas tout ce que tu m'apporte à coté de toi je me sens vivre vraiment. Tu peux pas voir a quel point tu m'apporte parce que même moi j'ai pas les mots pour te les dires. On m'a toujours menti et laisser seul, je veux pas que tu le face. T'es différent de ça, dessous tout ça t'es fragile alors tu te cache. La preuve, tu pensai enchainer les filles mais depuis que tu es avec moi, ta arrêter. Si tu fessais ça c'était pour pas t'attacher, et là tu sais que tu t'attache a moi, tu dois pas avoir peur et je dois pas avoir peur non plus. On y arrivera... On essayera. On trouvera comment éloigner ces hommes. Je reste pas par pitié, je resterai jamais par pitié . Si je cherchais c'était pas parce que je doutais, mais parce que tu as mal. Tout ça c'est la vie, ça peut être horrible, tu as eu la malchance d'avoir un passer difficile, vie dans le présent. Je peux pas te promettre que ton futurs sera lumineux, mais je veux être avec toi, je veux que tu souris pour de vraie sans que tu penses sans arrêt a ce que tu as fais. Faut que tu cicatrise. Tu dois encore faire un choix là je peux pas continuer si tu le veux pas ...

C'était stupide, j'étais stupide. Tout ce que j'avais fait jusqu'ici avait été issu de l'abandon que j'avais ressenti lorsque mon père était parti sans m'expliquer quoi que ce soit. Depuis sept ans, j'avais agi de cette manière pour que mon père me voit, pour qu'il comprenne que j'avais mal, qu'il avait fait naître une cicatrise qui me brûlait sans que je ne puisse l'apaiser. Je prenais conscience peu à peu que la haine n'était rien d'autre que l'amour qui n'avait pas voulu s'éteindre. J'aimais mon père, j'aimais mon frère et j'avais souffert de leur absence. Tellement souffert. Mon souhait le plus cher était de vivre, de vivre sans souffrir comme la plupart des gens au fond. On courrait tous après le bonheur et moi je courrais alors que je l'avais dans mes bras... Je m'étais arrêté et j'observais ce que j'avais devant moi, je regardais mon futur dans ses prunelles. Mon coeur m'avait poussé à enlacer mes doigts aux siens, je serrais sa main pour l'ancrer dans la mienne comme si je pouvais nous sceller à jamais. Oublier les ombres pour que le soleil réchauffe tout, cela m'avait tellement semblait utopique il y a quelques mois mais aujourd'hui, tout était différent. Les blessures n'étaient pas entièrement fermées certes mais je n'étais pas seul. Elle était là. Mes meilleurs amis étaient là. Les pensées étaient inutiles, j'étais prêt pour avancer. J'allais parler à mon père à coeur ouvert, lui dire les fautes, le manque et les résultats. Il était temps et je savais qu'elle n'allait pas lâcher ma main, elle ne m'avait jamais voulu de mal. Je lui en avais fait déjà trop.

- Je crois que t'avoir prés de moi c'est ce qu'il m'est arrivé de mieux depuis les sept dernières années. On va sans doute me prendre pour le pire des monstres qui existent dans les prochains jours et je ne pourrais pas dire que je ne le mérite pas mais je ne serais plus un menteur... Je vais certainement avoir du mal mais je ne lâcherais pas parce que je veux vivre autrement et pour vivre autrement je dois recommencer à zéro. Avec toi. Je vais appeler mon père, l'appeler et lui dire ce que j'ai pas été capable de lui dire juste par fierté. Je voulais pas te faire souffrir, je te jure que je voulais pas. Il te faudra sûrement du temps pour que ce que je viens de te faire s'apaise mais sache que je serai là, quand tu sera prête toi aussi.

J'espérais qu'elle entende la sincérité dans ma voix et que dans mes yeux, elle voit la détermination qui m'habitait. Je devais faire taire ma mauvaise conscience, ne plus écouter mes fautes et avancer avec seulement ma propre peau, mon propre sang, mes propres os et surtout le coeur qu'elle m'avait rendu grâce à sa façon de me rassurer. On était restés là à se fixer et j'avais presque mal de me dire que j'étais en face de mon propre miracle, de me dire que j'avais droit à ma chance malgré tous mes actes. Il y avait ce silence qui s'interposait toujours lorsque j'arrivais enfin à parler. Le genre de silence où les mots n'étaient plus importants, le silence qui ne blessait pas, celui que j'aimais apprécier et que je devais apprendre à maîtriser, comme je devais apprendre à me maîtriser. Seulement j'entendais quelqu'un entrer dans la maison et une voix assez rauque n'arrêtait pas d'appeler Auréa, l'expression du visage d'Auréa avait complètement changé. Je la lâchais pour qu'elle puisse aller voir et l'affolement se mettait en place lentement, j'avais ce préssentiment que les choses allaient se compliquer maintenant, la plénitude m'avait semblait trop facile à atteindre.
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MessageSujet: Re: Good Girls Go Bad - Auréa, Lily, Kasey   Good Girls Go Bad - Auréa, Lily, Kasey EmptyVen 21 Mai - 17:34

    - Sydney... Il y a un problème. Un message d'Hell vient de m'annoncer que Damon est un.. est un tueur.

    Ces mots me rendaient malades, complétement il fallait que j'aille la chercher. Je me précipitai de faire imprimer des billets d'avions pour l'italie direction Syracuse. Sydney connaissait bien l'endroit durant son adolescence on l'avait emmener plusieurs fois. J'avais glissé mon numéro de téléphone, il n'aurait cas demander a l'accueille de prendre une voitures. Kasey avait le don de téléportation et elle l'utilisa sur moi. Je me sentais partir en millier de petite poussière infinie à une second et de l'autre je me sentais complètement léger, c'était magique c'est pouvoir, bien sur que Kasey et les garçons auraient pu ce téléporté jusqu'à Syracuse mais je n'étais pas pour utilisé les pouvoirs à tord et a travers.  Kasey m'avait téléporté du coté de New York non loin du Manoir, je connaissais cette maison dans laquelle elle m'avait emmené j'y étais allé plusieurs fois, il y a pas mal d'année maintenant. La décoration avait bien changé, ceci dit l'architecture était  inchangé , je savais que les chambres étaient à l'étages et que je me trouvais dans le couloir. Je ne savais pas les relations qu'elle entretenait avec lui, et sa m'inquiéter. Je remarqué qu'on était le soir Sydney m'envoyait un message pour me dire qu'il avait fait en sorte que j'arrive le soir et que je prenne sa voiture pour l'ouvrir mon empreinte suffirait et il me dit ou prendre les affaires d'Hyde, que les affaires d'Auréa était dans son armoire. . Il était vraiment vif, je comprenais pas pourquoi Auréa n'était pas venu me voir avec Sydney. Je l'appelais en essayant de contrôler ma colère. La colère n'était qu'un sentiment primitif un ressentie du a une blessure et je pouvais affirmé que j'étais effectivement blessé de ce qui se passé en ce moment même, Matthew n'avait pas été capable de remplir le contrat et de s'occupé de son fils. Il y avait dû y avoir certain imprévu comme leurs enlèvement par Vladimir. J'envoyais un dernier message a Matthew pour qu'il comprenne que c'était vraiment urgent  " Damon est  un tueur, si il a touché a ma nièce ton fils il va pas faire long feu" .Toutes ces années de connaissance sur le mondes et le reculs sur moi même m'avaient fait comprendre que la colère étaient quelques chose d'utile mais que ce n'était qu'un outil basique et qu'il fallait évolué cette colère menait généralement a l'attaque, une attaque démesuré parfois folle s'alliant à la fureur débordante de te peur reprise de terreur. Mon sang atfflué dans le haut de mon corps je respirais calmement pour faire taire cette colère malsaine. Si Damon avait touché un seul cheveux de ma nièce, je ne savais pas si j'étais capable de contrôler ce sentiment qui monté en moi comme une injection. Je l'appelais en espérèrent de tout mon coeur qu'elle aille bien. 

    J'entandai les pas s'approchaient j'espérais que ce soit elle. Effectivement c'était une femme qui descendait les escaliers. Elle avait le même regard ocre que sa mére, les yeux brillant et les joues humides. Ces cheveux étaient beaucoup plus long son teint était fade elle semblait malade.  Aesa était un peu plus petite et Auréa était plus fine elle possédé le nez de son père et les courbes affolante de sa mère. La beauté simple d'Auréa me choqua, étant adolescence elle était sublime une beauté peu commune, unique mais la ce n'était plus une petites fille que j'avais en face de moi. C'était belle est bien une femme, elle était habillé d'un simple t-shirt, et ces jambes étaient laisser a vu.  Je la prenais dans mes bras tout ces moments ou je les avais cherché, elle était là seine et sauve. Je la serrais presque jusqu'à l'étouffai. Je l'avais toujours considérer comme ma fille, elle avait mon sang et je défendais quiconque de s'y attaquer. Je le voyais descendre les escaliers un homme fin, en caleçon torse nu apparaissait. C'était Damon, il avait les mêmes yeux que son frère et que son père.  Il me regardait avec un certain air d'inquiétude et d'incompréhension, quand a Auréa c'était visible qu'il l'attendait. Je commençais à avoir de sérieux soupçon sur leurs relations, elle était a demi nue, lui également. Je lui parlais, je lui disais qu'elle m'avait manquer je sentais son souffle qui s'affola dans sa poitrine, je la laissais le temps de reprendre son souffle et elle me répondit qu'elle était contente, ceci dit elle se recula comme pour me présenté l'homme qui ce tenait derrière elle. Je savais... je savais qui il était et ce qu'il fessait. Provoquez la mort d'un être, était quelques chose d'horrible , sanguinaire et il était or de question qu'elle habite sous le même toit. Elle prenait sa main lia ces doigts au sien et les serraient, je comprenais ce qu'il se passait, ca voie avait du mal a sortir mais elle était assez courageuse pour se reprendre.
    Citation :

    - Damon je te présente Aaron, mon oncle... Aaron voici Damon l'homme que j'aime

    - Je sais, je le connais déjà et on doit y aller Sydney, Hyde est Kasey son a la casa di luce. Ils nous attendent, va chercher tes affaire ceux d'Hyde et ceux de Sydney.

    - Comment ? Qu'est-ce qui ce passe ? Pourquoi ils sont la bas ?

    - Discute pas, on par toute suite

    - Je vais pas laisser Damon ici, c'est or de question

    - Tu vas chercher tes affaires, on y va, t'es sous ma responsabilité jusqu'à tes 21 ans, tu en as que 19, soit c'est moi soit c'est tes précurseur et t'en fais pas pour Damon
    Je m'étais exprimer calmement, très calmement pour ne pas éveiller ces soupçons. Je n'aimais pas lui faire ce genre de menace mais je ne voulais pas lui faire plus de mal en lui dissent de s'éloigner de l'homme qu'elle aimait visiblement. C' était étrange, qu'elle se soit attachée. Depuis toute petite, elle souffrait de cette absence et rejetait la plus par des personnes. S'il avait réussi a lui faire comprendre qu'il l'aimait vraiment c'était assez fort. J'étais certain que dans son coeur elle était restée cette petite fille largement perdu. Ces iris angélique s'attaquaient a mon coeur, impossible. Je me sentais coupable de l'éloigner de ce qu'elle aimait, mais c'était mon devoir de le faire. Je pouvais pas laisser faire ca, c' était inimaginable. Il était or de laisser passer ca Matthew devait reprendre les choses en main. J'insistait d'un regard, elle devait comprendre que je ne rigolai pas et si je le fessais il y avait une raison bien valable. Ces paupières se brisaient peu à peu, je voyais une larme s'anéantissait sur sa joue. Je me sentais coupable de la voir dans cette état de la rendre triste, de l'affaiblir. Elle lâchait enfin sa main et elle montait a l'étage. Je me retrouvais seul avec Damon, qu'est-ce qui c'était passer pour qu'il tombe dans cette spirale? C'était bien dommage de cacher son potentiel ainsi. Je ne pouvais pas m'en empêcher, c'était plus fort que moi la colère était la et je ne pouvais plus la faire taire . Ces actes horrible qu'il avait soit dissent commis, je ne pouvais pas le jugé sur les « on dit » mais Hyde était quelqu'un de sur. Je le croyais. Provoqué la mort d'autruie volontairement est un acte abominable l'âme de tout vivant et le souffle de toute chair d'homme éteindre cette flamme c'était violer un des commandements ce condamné soit même aux enfer.

    Citation :
    - Damon, je t'interdit jusqu'a nouvelle ordre ne serait-ce qu'une seule fois de toucher a un cheveux de ma nièce. Hyde a dit que tu es un tueur, je peux pas te laisser t'approcher d'elle, j'ai pas le droit. Pas temps que Matthew est repris les choses en mains.

    Je le regardai, il n'avait l'air d'être ce genre d'homme. Il ressemblait a un gamin perdu, ces deux la se rejoignaient effectivement sur ce point.  Auréa descendait avec un sac remplie d'affaire, je lui prenais pour pas qu'elle est a le porté . Je m'étais montré sympatique, j'étais pas son pére, pas en droit de lui en collé une, pas en droit de le jugé.

    Citation :
    – On y va, Auréa dépêche toi.
    Je les laissais au moins ce dire au revoir, elle prenait son visage entre ces mains et je me retournai pour aller vers la sortie. Je l'entendais dire qu'elle allait revenir le plus vite possible. C'était pas possible, certainement pas le plus vite possible. J'ouvrais la porte et je m'approchais de la voiture de Sydney en question. Il avait vraiment du goûts, il avait du avoir une partie de l'héritage de Kurt car la deuxième partie leurs étaient versé a leurs 21 ans Sydney comme Auréa. C'était une des parties du contrat que leurs parents avaient contracté sur les actions qu'ils possédaient. Je posais mon empreinte sur la poignet et les phares ce mirent a clignoté, une voix féminine se fessait entendre  «  Analyse en cour.. » . «  Autorisation par Mr Moon, Bienvenu Mr Eden. » j'étais impressionné par ce que cette voiture pouvait faire, avec un peu de chance elle pouvait faire le café et se conduire toute seule. J'ouvrais le coffre et j'y déposai les affaires, je m'installai ensuite au volant et j'attendais que Auréa sorte de la maison, quelques minutes passèrent et elle ressortait, un peu plus habillé avec un jeans et le même t-shirt trop grand pour elle, elle rentrait dans la voiture et un chien la suivait et s'incrusta à l'arriére de la voiture. Elle s'installait en claquant la porte violemment. Le conteur ce mettait en route tout seul, j'appuyais sur les pédales directions l'aéroport.
    Citation :

    – Auréa, crois moi c'est mieux comme ça. Oublie le.

    - Tu le connais même pas.

    – Je suis venu te chercher parce que j'ai des raisons. Je connais son pére. Pourquoi tu m'as pas prévenue que tu allais bien?

    - Et alors? t'as pas a te mêler de ma vie. Vu ce que ça donne, j'aurais préféré que tu saches rien.

    – Auréa, dit pas des choses comme ça.

    - tu as pas le droit de te mêler de ma vie comme ça.

    Elles mettaient des écouteurs d'ipod, et elle les mettait a fond. On se dirigeait vers l'aéroport, je ne lui avais pas dis ce que je savais sur Damon. Et pour le moment je n'allais pas la faire souffrir, il fallait un peu de temps avant d'avancer des choses comme ça. On entrer a l'aéroport et visiblement Sydney avait demandé a ce que sa voiture soit mise dans l'avion. Auréa avait son caractère et elle m'en voulait d'avoir fait ça mais c'était pour son bien. Un peu plus tard dans l'avion, elle s'endormit sur le hublot.

    Spoiler:
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Damon M. Tallis
Damon M. «
    Dust in the wind.

Damon M. «  Dust in the wind.
Damon M. Tallis


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MessageSujet: Re: Good Girls Go Bad - Auréa, Lily, Kasey   Good Girls Go Bad - Auréa, Lily, Kasey EmptyVen 28 Mai - 16:10

Des souffles se perdaient en moi, des constatations, des réalités qui ne pouvait pas être négligées. Je savais que les heures qui allaient suivre allaient être décisives. Je ne pouvais plus reculer, je ne voulais plus reculer. J’avais passé une bonne partie de ma vie noyé dans le mensonge et la seule personne à qui je pouvais m’en prendre n’était autre que moi-même. Il y a des sentiments qu’il est impossible de gérer, ma colère était celle que je n’arrivais pas à dompter, elle était là, toujours quelque part au fond de moi. J’avais beau me dire qu’elle n’était que passagère que bientôt, elle s’envolerait pour aller hanter quelqu’un d’autre que moi mais chaque matin, elle était là. Silencieuse, parfois hurlante. Elle ne me lâchait pas et je savais qu’il n’y avait qu’une seule personne qui pouvait me l’arracher, me la faire cracher une bonne fois pour toutes. Cette voix masculine que j’avais perçu quelques instants plutôt n’avait pas cessé de répéter le prénom de cette femme que j’aimais toujours de plus en plus fort. Auréa. Durant tous ces longs mois passés à m’isoler, à mentir, elle avait compris que j’étais un menteur, que ce garçon que je montrais au monde n’était pas réellement ce que j’étais. Elle était descendue vers les échos de cet homme qui l’appelait de façon incessante, je l’avais suivi en espérant comprendre qui était cet homme et pourquoi il était rentré chez nous. L’étreinte que l’homme avait offert à Auréa me faisait savoir qu’ils étaient très proches, il la serrait contre elle avec une telle ferveur qu’il devait sans doute faire partie de sa famille. Il me regardait descendre les escaliers et je l’observais à mon tour avec un questionnement intriguant. La façon dont il me regardait était dure et loin d’être amicale. Sa façon d’être imposant m’inspirait qu’il devait être une personne qu’on devait respecter. Il continuait de me fixer sans que je ne sache pourquoi et j’aurais sans doute dû baisser les yeux mais je ne savais pas qui il était, encore moins ce qu’il faisait à la maison. Je n’étais pas le genre de personne qui baissait facilement des yeux, les choses qui m’étaient arrivé m’avait endurci et m’avait rendu assez impassible mais ce n’était pas de l’impassibilité que je ressentais à cet instant, c’était de l’incompréhension. Auréa avait saisi ma main et avait resserré ses doigts entre les miens. Je commençais à saisir ce qu’elle était en train de faire et je comprenais pourquoi je la sentais si tendue. Pourtant elle avait cet air de détermination dans les yeux qui la rendait admirable, qui faisait d’elle une des femmes les plus fortes que je n’avais jamais vu.

- Damon je te présente Aaron, mon oncle... Aaron voici Damon l'homme que j'aime

- Je sais, je le connais déjà et on doit y aller Sydney, Hyde est Kasey son a la casa di luce. Ils nous attendent, va chercher tes affaire ceux d'Hyde et ceux de Sydney.

- Comment ? Qu'est-ce qui ce passe ? Pourquoi ils sont la bas ?

- Discute pas, on par toute suite

- Je vais pas laisser Damon ici, c'est or de question

- Tu vas chercher tes affaires, on y va, t'es sous ma responsabilité jusqu'à tes 21 ans, tu en as que 19, soit c'est moi soit c'est tes précurseur et t'en fais pas pour Damon


Eloignement était le seul mot qui me venait à l’esprit, il ne cherchait qu’à me distancer d’Auréa. Il fallait être aveugle pour ne pas le voir. Les paroles qu’ils avaient échangées avaient été dures et tranchantes. Je refusais qu’il me l’arrache de cette manière, sans m’expliquer, sans comprendre pourquoi mes meilleurs amis étaient déjà là-bas et que je n’étais pas au courant. Les choses s’enchaînaient, j’avais du mal à saisir ce qu’il était en train de se passer et pourquoi j’allais me retrouver seul du jour au lendemain. La colère qui s’était tu jusqu’à présent était en train d’éclater en million de pièce que je ne pouvais plus rassembler. Il n’avait pas le droit de me la prendre sans m’expliquer le pourquoi du comment, dans mon esprit il était hors de question qu’elle s’en aille mais qu’est-ce que j’avais à dire contre son tuteur ? Je ne faisais pas le poids. Je n’avais pas les capacités de la retenir si elle n’en avait pas elle-même les moyens. Je sentais qu’elle se déliait de moi en me lâchant la main, voir cette image était ce qui m’éteignait le plus. Pouvoir compter les mètres qui m’éloignaient d’elle était une chose insupportable. Je me retrouvais seul face à Aaron et je le fixais à nouveau, avec cette sensation de n’être plus rien. Pourquoi m’éloignait-il d’elle ? Pourquoi ça me semblait si brutal et incensé ? Je ne le connaissais pas et il se permettait de tout faire basculer sans m’expliquer quoi que ce soit ? Je retenais ma respiration de peur de faire sortir la colère que je gardais au plus profond de moi-même. De toute façon, mes hurlements ne serviraient à rien, il allait l’emmener. Avec ou sans mon avis.

- Damon, je t'interdit jusqu'a nouvelle ordre ne serait-ce qu'une seule fois de toucher a un cheveux de ma nièce. Hyde a dit que tu es un tueur, je peux pas te laisser t'approcher d'elle, j'ai pas le droit. Pas temps que Matthew est repris les choses en mains.

J'étais contre ces paroles, contre ce qu'il voulait faire. Je n'arrivais définitivement pas à baisser les yeux, il était brutal, je ne savais pas s'il s'en rendait compte. Il disait me connaître mais que savait-il de moi au juste ? Il ne me connaissait pas. Il ne savait rien, tout comme moi je ne savais rien de lui. C'était toujours lorsque je me sentais prêt à aller de l'avant que je me retrouvais encore face à un obstacle et j'étais fatigué de ça mais je n'abandonnais pas encore. Il ne pouvait pas m'enlever la liberté de dire non, de ne pas être d'accord et personne ne sera jamais apte à le faire tout simplement car ma liberté était la seule chose qu'il me restait. Je préférais mourir que de la perdre. Des prénoms que je connaissais était passé au travers de la voix d'Aaron. Hyde, Matthew. Pourquoi Hyde était au courant ? Pourquoi il l'avait dit ? Pourquoi cet homme me parlait-il de mon père ? Il avait cité son prénom, celui que je ne voulais pas entendre, que je refusais de dire. Je comprenais mieux pourquoi il tenait tant à me distancer d'Auréa, comment pourrais-je lui en vouloir de mettre sa nièce en sécurité ? Qui laisserait un être cher auprès d'un meurtrier ? Personne. Et pourtant j'avais cette rage qui inonder tout ce que j'étais mais que je ne voulais pas encore délivrer. Il n'avait pas le droit, il ne connaissait pas mon histoire et je le détestais de briser la seule chose qui me restait de solide. Auréa était la seule à croire en moi, croire en ce qu'il restait de moi.J'avais toujours préféré être seul pour ne plus blesser personne mais je ne me rendais pas compte de la tournure qu'avait pris les choses. J'avais été loin dans mes paroles mais je les avais honorées et malgré toutes ces choses, je la sentais encore avec moi, depuis la première fois qu'elle était resté. Aaron avait raison, je ne sais pas comment mais il avait raison. Je n'étais pas sain pour elle en ce moment même et c'est toute la personne qu'il incarnait qui m'intriguait, qui m'énervait. Qu'est-ce qu'il savait et pourquoi avait-il cité mon père ? Pourquoi maintenant ? Auréa descendait les marches avec ses affaires, Aaron l'avait débarrassée de ses baguages et elle était venue vers moi. Ses mains glissaient sur mon visage, je ne voulais pas qu'elle s'en aille, est-ce qu'elle sentait à quel point ça me faisait mal de la laisser partir ? J'essayais de graver son image pour la millième fois, de capturer son odeur avant qu'elle ne parte pour de bon mais je savais que tout cela ne servirait à rien parce qu'elle me manquait déjà. J'aurais aimé qu'elle puisse prendre mon âme pour que qu'elle m'emmène avec elle. Elle me disait qu'elle allait revenir très bientôt et j'entendais Aaron me rappelait qu'il l'emmenait dans les secondes qui avaient suivies. J'essayais de la croire, j'essayais mais c'était difficile, sur le coup, ça m'avait brisé. Je l'étais peut-être déjà, je n'en savais trop rien. Besoin d'elle était la seule chose qui tournait dans ma tête à cet instant. Je demandais pas le monde, je demandais juste sa présence. Je liais mes lèvres aux siennes, je savais que je n'allais pas la revoir dans les jours qui allaient venir, je ne savais pas dans combien de temps je pourrais l'avoir encore dans mes bras et j'avouais que ça m'effrayait mais je savais que je tiendrais pour elle, le temps qu'il faudra. Je trouverais les réponses pour le reste plus tard, je devais résoudre la source du problème. Je me détachais d'elle et lui disait de prendre soin d'elle. Ma voix était à peine audible, je me sentais pas prêt à parler maintenant et je n'avais jamais aimé les au revoir de ce genre. Ses yeux m'arrachaient déjà le coeur. Elle était sortie de la maison et j'étais seul, dans le salon.

Inanimé, c'est ce que j'étais à partir du moment où elle avait fermé la porte. Tout allait très vite mais tout était ce que je méritais au final, est-ce que je le méritais ? Quel avis était le plus important ? Le sien ou le leur ? Ca n'avait pas d'importance. Ces gens redevenaient ceux que je détestais. Tout ce qui m'entourait paraissait fade, je ne trouvais pas de sens à mes muscles, encore moins à mon âme. Cette sensation d'inutilité qui revenait toujours à la charge sans que je ne m'y attende, depuis des années. Depuis mes quinze ans. Pourquoi est-ce qu'il m'avait mit de côté de cette façon ? J'avais toujours tout fait pour lui plaire et il me laissait seul, sans réponse. Je montais les escaliers pour atteindre l'étage et rentrais à nouveau dans ma chambre. Je m'habillais et entrait dans la douche pour me rincer le visage à l'eau claire. Il y avait toujours ce miroir en face de moi, je me voyais sans me voir, désabusion criminelle. J'avais envie de frapper dans ce miroir, de le faire taire, de m'effacer, de disparaître. Ils auraient sans doute étaient plus heureux vu qu'ils ne savaient rien faire d'autre à part me juger sur ce qu'ils ne connaissaient pas. Je ne voulais pas de leur amitié, de leurs consolations, je ne voulais pas d'eux. Je sentais la colère se réveillait et briser mes os. Dehors, il faisait nuit. Les lumières vacillaient dans la pièce où je me trouvais et l'électricité me narguer le bout des doigts. Je savais d'où ça venait, l'électricité était la seule qui pouvait trahir ce masque que je portais, elle se traduisait par mes émotions et elle était la seule chose qui me vidait de la haine mais je ne pouvais pas faire ça. Ce n'était pas le moment de faire exploser la maison. Je descendais à la cave et coupait les fusibles pour ne prendre aucun risque. Ma gestuelle était d'un automatisme qui m'exaspérait. Je savais que j'avais changé, entièrement mais qui le savait au fond. Je remontais dans ma chambre et prenais mon téléphone. Mes mains tremblaient, mon coeur était aussi serré que ma gorge. Cela faisait tellement d'années que je ne lui avais plus parlé, que j'avais tenté de l'oublier sans jamais y parvenir. C'était étrange cette fragilité qui venait s'immiscer en moi alors que j'avais défié la mort plusieurs fois. J'avais la sensation d'être un enfant, toujours le même. Je n'ai jamais été ce gosse, assied sur le porche de la porte d'entrée en attendant que son père se pointe, d'ailleurs, il ne l'aurait jamais fait et pourtant je l'attendais toujours, au fond de moi, je me posais toujours cette même question " Est-ce que papa rentre à la maison demain ? " J'avais la possibilité de rester là, à me lamenter sur mon sort ou bien à prendre les choses en main et à me secouer une bonne fois pour toutes. J'avais ce téléphone entre mes mains, il ne me suffisait qu'à appuyer sur la touche d'appel... J'avais l'impression de forcer le destin en appuyant sur cette touche. Je portais l'appareil à mon oreille. Il avait décroché et aucun son ne parvenait à sortir, je restais muet car ça me faisait mal d'aller vers lui mais je n'y arrivais plus. Il avait gagné. Il prenait la parole et je me sentais si... petit. Bouffé par la haine que je ressentais, bouffé par l'indifférence dans laquelle il m'avait laissé... Mais il avait prononcé mon prénom.


- Damon, tu m'appelle enfin. Je ne t'apprends rien en te disant qu'on a beaucoup de chose à se dire mais sache que je regrette. T'avoir laissé toi et ta mère a été la plus grosse erreur de ma vie. Je le reconnais mais ta place n'a jamais changé. J'arrive demain matin. Attend moi.

Je n'avais pas répondu, je n'y arrivais pas. Le ton qu'il avait employé m'était inconnu. Il disait regretter, est-ce que ça suffisait vraiment ? Je raccrochais. Inanimé, je me répète mais il n'y a pas d'autres mots. J'ai vingt-deux ans aujourd'hui et mon père... Il n'était pas là. Il m'impressionnait et pourtant je n'arrivais pas à lui montrer. La vitesse des choses, ils ne comprenaient pas s'ils agissaient comme ça. Est-ce que c'était normal qu'il ne réagisse que maintenant ? Des nuages qui me suivent partout. Je savais que je n'en avais pas fini avec eux, il me restait du chemin à faire. J'avais accepté l'inacceptable, mon père serait là demain. M'y faire me semblait difficile mais c'était peut-être ce moment que j'avais toujours attendu, je ne pouvais pas oublier même si j'aurais aimé le faire. Je m'allongeais, je savais que je n'allais pas dormir, je fixais un point et attendait qu'il vienne. Il fallait que je réfléchisse à tout ce qu'il venait de se passer. Être soi-même. il m'avait toujours dit que c'était sa philosophie.

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