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 No, it's much better to face these kinds of things with a sense of poise and rationality. • Damon •

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No, it's much better to face these kinds of things with a sense of poise and rationality. • Damon • Empty
MessageSujet: No, it's much better to face these kinds of things with a sense of poise and rationality. • Damon •   No, it's much better to face these kinds of things with a sense of poise and rationality. • Damon • EmptyMer 18 Aoû - 13:17

No, it's much better to face these kinds of things
with a sense of poise and rationality.
Pris avec Damon

No, it's much better to face these kinds of things with a sense of poise and rationality. • Damon • Sanstitre12jd
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    Se réveiller le matin et ne pas réussir à ouvrir les yeux. Vous ne demandez que à replongez dans votre rêve. Alors, en espérant un miracle, vous refermez les yeux et vous pensez le plus fort possible à votre rêve et à cet instant là, vous imaginez la suite. Seulement, vous êtes encore dans la réalité et non dans l'imaginaire. La nuit, on quitte le monde pour aller dans son monde et on a tous envie d'y rester. Ceux qui veulent toujours dormir ne sont pas feignants mais veulent tout simplement rester dans leur monde car c'est le seul endroit où ils se sentent bien. Ce matin, ce fut mon cas. Je voulais pas me réveiller ni même me lever mais je devais le faire. Je tournais ma tête vers mon réveil : 10h00. J'enlevais la couette qui me réchauffer et je partis en direction des W.C. Oui, cela est très naturelle d'évacuer ses besoins après une longue nuit de sommeil. Enfin bref ! Je n'avais pas faim se matin donc je me dirigeais vers la salle d'eau pour m'habiller. Enlevant mes vêtements, je monta dans la douche. Je laisser l'eau couler sur mon corps qui me fit beaucoup de bien. Le téléphone sonna mais je m'en foutais ! J'étais sous ma douche, tranquille. Je passa du shampoing sur mon corps et aussi sur mes cheveux. Deux shampoings différents pour un seul corps. C'est fou comme les gens vendent divers produits pour nous faire dépenser plus. Ce ne fut qu'une demi-heure après que je sortais de ma douche. Prenant la première serviette qui me venait sous la main, j'avançais machinalement vers mon miroir. Le regard vide, le corps mince, les cheveux raides et secs, je me détestais ! Je déteste ce que je suis, comment je suis devenue. Je voulais le re-casser mais je ne pouvais pas. Oui, tout d'abord car cela coûte cher et que Benjamin m'aurait encore incendier et serait contraint de venir chez moi pour me surveiller. Ce n'est pas que je ne veux pas vivre avec lui mais je ne veux pas qu'il me voit dans mon quotidien actuelle. La maison est sale, pire que chez Damon ! C'est pour vous dire à quel point c'est pas ranger mais je m'en fous. Je m'en fous de tout, j'ai besoin de rien. Mise à part de Benjamin, et de Thomas, de Lily, de Damon et les autres, fuck. J'ai le reste de mes amis mais c'est pas eux les sauveurs de ma vie. Damon, c'est mon meilleur ami et il m'a héberger quand j'ai quitter le cocon familiale. Thomas, c'est mon frère jumeau et c'est ma seule famille. Lily, c'est ma meilleure amie et même si elle est partie pendant un temps, elle compte énormément pour moi. Quand à Benjamin, c'est Benjamin. Je ne peux pas dire autre chose que sa. Je détournais donc le regard de se miroir et je me dirigeais vers mon armoire pour prendre quelques vêtements, histoire de m'habiller quoi. Je mis un jean, un tee-shirt assez long et un gilet aux manches 3/4. Le tout avec un soutient-gorge, un boxer et des chaussettes. Je m'habillais et je jetais ma serviette dans la salle d'eau. Mettant mes chaussons, je décidais de prendre mon ordinateur histoire de consulter mes mails. " Vous avez 7mails non-lu " . De la pub, encore et encore sauf un. C'est mes parents adoptifs.

    Citation :
    Rosalinda,
    J'espère que tu te porte bien. C'est moi, maman. Je t'écris car je viens t'annoncer le décès de ton père. Il y'a 3ans, nous avons appris qu'il avait un cancer. Rien de très bien grave au tout début. On avait même penser l'avoir enlevé mais il est revenu un an après. Cela c'est révélé être un cancer généralisé et nous avons rien pu faire. Il est mort hier soir, dans notre lit. Je vais l'enterrer Mercredi prochain. J'aimerais que tu sois là pour l'enterrement. Lui aussi il aimerait cela. Je sais que tu veut plus nous parler mais on t'aiment Rosa. On t'aiment de tout notre cœur et je te promet que l'on voulait pas te faire souffrir. Pardonne lui, pardonne moi, pardonne nous. Tient moi au courant pour l'enterrement. J'espère de tout mon cœur que tu sera là.

    Ta mère qui t'aime.


    Les larmes coulaient le long de mon visage et je ne pouvais rien y faire. Je savais pas si je devais aller l-bas ou rester ici. La logique dirait que je reste ici. Le respect me dirait d'aller là-bas. Je fermais la page internet et mon ordinateur par la suite pour le poser sur mon canapé. Je me laisser tomber la tête la première sur le reste du canapé pour pleurer. Pourquoi ils m'ont encore cacher tout ca ? Pourquoi ? Même si je ne leur parlent plus, ils peuvent me le dire. Je veux pas que ma mère me cache encore des choses et si je vais là-bas, je voudrais la vérité. Un tas de choses entraient dans ma tête et cela provoqua ma migraine. Je posais mes mains sur mon crâne et je serrais de plus en plus fort pour enlever cette douleur. Je pensais plus à personne, sauf à mon " père ". Il faut que j'en parle à quelqu'un, au moins à une des quatre personnes qui comptent le plus pour moi. Je ne savais pas quoi faire et c'est alors que je repensais à mon portable qui avait sonner. Je me levais et je me précipitais vers ce dernier pour voir qui m'avait appeler. " Un appel manqué de Benjamin ". Que me voulait t'il ? Pourquoi m'appeler t'il ? Je décidais de le rappeler mais je tombais sur sa boîte vocale. Je me calmais deux secondes et je pris un effervescent pour calmer cette douleur. Je retournais sur mon canapé et je pris une couverture qui se trouvais à côté. J'enlevais mes baskets, j'allumais la télé et je pris mon paquet de cigarette. Je me levais et j'ouvris ma fenêtre. Je pris un cendrier au passage, mon briquet et je retournais sur mon canapé, dessous ma couette. Le plaisir de fumer de nouveau une cigarette me fit du bien. Je me foutais de savoir les conséquence que sa pourrait me faire, je fumais et c'est tout ce qui m'importait. Je terminais ma cigarette, je l' écrasais au fond sur cendrier et je reposais se dernier sur la table. Je regardais la télé, en essayant de me vider l'esprit. J'entendis quelqu'un frappait à ma porte mais je n'avais pas le courage d'ouvrir. Si c'est quelqu'un qui me connait très bien, il ouvrira. Ce que cet personne fit. La porte s'ouvrit sans que j'aille le faire mais j'attendais, fixant mon ordinateur.


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Damon M. Tallis
Damon M. «
    Dust in the wind.

Damon M. «  Dust in the wind.
Damon M. Tallis


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MessageSujet: Re: No, it's much better to face these kinds of things with a sense of poise and rationality. • Damon •   No, it's much better to face these kinds of things with a sense of poise and rationality. • Damon • EmptyVen 20 Aoû - 0:01

« Mégalomane, arrogant petit égoïste, ton orgueil sonnera ta perte. »

Je n’avais jamais été quelqu’un de matinal et pourtant aujourd’hui, je m’étais levé tôt. J’avais vu Maxim la veille, le quelque chose qui me faisait mal hier était toujours présent. C’était la colère qui m’assaillait. J’étais toujours seul chez moi, incapable de prononcer ne fusse qu’un seul mot. Je tournais en rond, touchant à toute sorte d’objet comme pour tenter de me fuir moi-même. Puis je prenais ce carnet, celui où mon poison noir coulait inlassablement. Ma haine respirait entre les pages, je pouvais presque me brûler les doigts avec tout l’acide que j’y avais versé. J’attrapai un stylo et prenait une nouvelle page. J’avais envie de hurler. De pleurer peut-être ? Haha. Les garçons, ça pleure oui, surtout les vilains garçons qui blessent les autres, il n’y a pas plus chialeurs qu’eux, je vous assure. J’écrivais une phrase, avec une écriture nette, brute et violente. « Je vous déteste autant que je me haïs. » Fixer cette phrase était tout ce que j’avais trouvé à faire pendant les dix minutes qui avaient suivies. Puis je balançais le carnet sur le sol de ma chambre. J’avais tellement de secrets muets, tellement d’images que je n’arrivais décidemment pas à décrire. J’étais imprégné du passé, la mort n’était jamais loin de moi, je devenais trop clair. Le noir était plus à mon goût. Je ne dirigeais plus rien, mon corps me faisait mal, des crampes détruisaient mon estomac et des sueurs froides parcouraient ma colonne vertébrale. Cela faisait des mois que j’y pensais, que je m’accrochais à cette promesse même si elle me tuait. Hier, après que Maxim soit partie, j’avais brisé cette promesse en rachetant 15 grammes d’héroïne pure et des amphétamines. Je n’avais rien touché pourtant, absolument rien. Je m’étais contenté de claquer toutes ces merdes sur la table du salon et j’étais monté me coucher. Sauf que ça devenait insupportable, ça me rendait dingue.

Je sortais de ma chambre en claquant la porte violemment, je descendais les marches en comptant mes respirations. Je savais que je ne pourrais pas tenir ma parole, physiquement, ce n’était plus possible. Je prenais l’héroïne, la seringue, la cuillère, mon briquet et je m’asseyais à la table de la cuisine. Je préparais mon fix avec une sérénité étrange, je savais que tout tournerait mal. Je savais où j’allais me retrouver mais je n’étais plus capable et j’étais certainement lâche. Serrer les dents, arracher les draps de lit, faire mes prières et attendre. Attendre dans le vide, ce n’était pas pour moi. J’en avais besoin, mon corps en avait besoin même si mon esprit été fatigué d’appartenir à l’héroïne. Il n’y avait qu’un gramme, seulement un et je savais toutes les conséquences qu’il aura. Ma ceinture avait servi de garrot, je serrais mon poing et transperçais la veine médiane de mon bras gauche avec cette foutue seringue. Je poussais le piston doucement, si doucement que j’avais l’impression de refaire mon entrée dans cet endroit que j’avais tenté d’oublier. Il n’y avait plus que de la chaleur dans mes veines, les rayons du soleil qui se fondaient dans mon sang. Non, c’était le soleil lui-même qui éclatait, qui m’inondait. Je ne m’étais pas rendu compte que mes paupières étaient fermées jusqu’à ce qu’une étrange lumière apparaisse enfin. Je me sentais bien. Je n’avais plus peur, la colère était partie. Tous mes problèmes étaient invisibles. Cette sensation de chaleur était dans mon ventricule. La douleur dans mon estomac était derrière moi. J’enlevais la ceinture de mon bras, la seringue. Je laissais tout sur la table, je me traînais jusqu’au salon pour me caler dans le canapé et regarder le plafond en voyant l’espace au travers. Le sens des réalités n’existait plus. La réalité elle-même s’était endormie. Il était seulement 8h du matin.

« Devenir invisible pour mieux toucher la cime, sentir dans la veine que je suis proche du ciel et puis sentir la haine qui me monte aux yeux. »

L’effet que ce produit avait sur moi me donnait une sensation inqualifiable, c’était tellement parfait. Parfait et cruel. J’avais l’impression que mes muscles se déliaient les uns des autres, mes veines s’élargissaient et mon cœur ralentissait. La lenteur des battements agissait comme un somnifère. Il y aurait pu avoir la guerre dehors, ça m’aurait été complètement égal. Tout semblait être d’une futilité insultante, le problème c’est que l’héro’ me rendait complètement désagréable. Connard devenait le meilleur mot pour me qualifier. Tellement dans mon trip que je snobais l’Humanité toute entière sauf que le ciel s’assombrit vite, deux heures. Deux petites heures de bonheur artificiel. J’ouvrais les yeux difficilement, les nausées arrivaient déjà. Conneries, la réalité me giflait encore plus fort. Tout s’était envolé, la poussière d’Ange s’était résorbée et la plénitude aussi. Je restais dans ce canapé en pensant à ceux que j’aimais et Rosalinda m’était apparue, je savais qu’elle avait passé une période difficile et je n’avais même pas été là. Je m’en voulais, vraiment. Ma meilleure amie avait souffert et je n’avais pas été là pour elle comme j’aurais dû l’être. Parfois je repensais à ces quelques mois où elle était restée à la maison, elle avait l’air perdue mais je voulais qu’elle s’accroche à l’amitié que j’avais décidé de lui offrir. Tout était simple lorsque j’étais avec elle, ma complexité habituelle n’était qu’un souvenir et nos moments ensemble me manquaient. On gardait toujours contact mais quelque chose me poussait à aller la voir, quelque chose me disait qu’il était temps que je retrouve ma meilleure amie.

Il était 11h lorsque je montais prendre ma douche. Après m’être changé, je prenais les clés de ma voiture, les effets de la drogue s’étaient dissipés et tant mieux, je refusais qu’elle me voit stone, bouffé jusqu’à l’os par cette saloperie. Je montais dans la voiture et roulait à une vitesse non autorisée pour arriver plus vite chez elle. Elle me manquait réellement, il était hors de question que je laisse mes problèmes écraser une amitié aussi importante pour moi. Rosie comprenait ma façon d’être et je refusais qu’on lui fasse du mal, ma petite sœur, la personne qui avait été là alors que je n’avais plus personne. Une des raisons pour laquelle je voulais arrêter la drogue, une des raisons qui me donnait envie de vivre réellement et non à travers des mensonges, elle connaissait ma vie. Elle savait que j’étais un spécimen, un criminel, un drogué mais elle restait là à veiller sur moi comme j’essayais de veiller sur elle. Je voulais qu’elle soit fière de moi, la décevoir aurait été le couteau qui s’enfonce dans la plaie. Beaucoup de gens étaient autour de moi mais il n’y avait qu’à elle que j’arrivais à me confier aujourd’hui, je lui disais mes peines, elle me prenait dans ses bras quand elle comprenait que ça n’allait pas et je voulais qu’elle sache que j’étais là moi aussi. Quoi qu’elle dise, même si elle me repousse, je serai derrière elle. Il fallait qu’elle croit en mes paroles parce que je ne lui avais jamais menti, je ne voulais pas lui mentir. Rosie était toujours là en moi, elle m’accompagnait dans les plus terribles moments et je ne savais pas comment lui rendre la pareille. J’arrivais devant chez elle et sortais de la voiture. Je toquais une fois mais elle n’était pas venue m’ouvrir, je décidais donc de rentrer. Je savais qu’elle était chez elle. Elle était face à cet ordinateur, le regard noyé et vide. Je refermais la porte et me dirigeais directement vers elle. Je lui demandais ce qu’il se passait, pourquoi elle était dans cet état, elle ne me répondait pas. Je la prenais dans mes bras et la serrer tout simplement.

- Je suis parti trop longtemps, faut que tu me pardonnes. Je suis là maintenant.

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MessageSujet: Re: No, it's much better to face these kinds of things with a sense of poise and rationality. • Damon •   No, it's much better to face these kinds of things with a sense of poise and rationality. • Damon • EmptyVen 20 Aoû - 1:34

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    Cet ordinateur m'obséder. C'était plus le mail à l'intérieur mais ca m'obséder. Pourquoi cela est t'il arrivé ? Pourquoi à moi ? Je comprenais rien et sincèrement, je ne cherchais pas à comprendre. Je tentais de repenser à mes moments d'insouciances. Oui, je repense à mon enfance. La belle époque. Celle où je ne savais pas que l'on me mentais. Celle où je jouais sans penser aux conséquences que je pourrais avoir dans mon avenir. Je savais pas que à mes 22ans, je vivrais comme une morte-vivante. Je pensais pas que je serais détruite de tout les côtés et sur tout les plans émotionnels. Je me laissais mourir le plus lentement possible en sachant qu'on tenterait de me sauver et je me laisserais faire mais ce n'est pas seule que je vais me relever. Non, ce ne sera jamais seule que je me relaverais. En tout cas, toute seule je n'en ai pas le courage et ce n'est pas moi qui me veut en vie, ce sont les autres donc a eux de faire tout ce qu'il faut pour que je redevienne leur Rosie. C'est fou comme l'amour, l'amitié et la famille peuvent vous tuer. Je n'aurais jamais crue que je pourrais subir tout ca. Chaque coups qu'on me donne atterrissent dans ma poitrine, qui me fait saigner de plus en plus jusqu'à réussir à le vider complétement.

    La porte s'ouvrit et je pouvais le reconnaitre rien qu'a ses pas. Cet personne est comme mon ange gardien quand je sombre dans l'enfer. C'est mon meilleur ami et il le restera quoi qu'il arrive. Je sais quand se moment, on se parlent à peine mais je l'aime quand même. Je m'en voulais de penser que à moi et non à lui. Il a surement des problèmes et je ne suis même pas là pour le soutenir. Quand il va pas bien, je suis toujours là pour l'aider et là, je ne prend même pas de ses nouvelles. Son rire me manque, son visage me manque, ses bras me manque, sa voix me manque, nos conversations me manque, nos délires me manque, tout en lui me manque tellement. C'est la personne qui me comprend le mieux. Il est mon confident, mon meilleur ami, mon grand frère. Sans lui moi je deviens quoi? Il m'a reconstruite quand tout ce en quoi je croyais c'est effondrer. Il restera le seul meilleur ami que j'ai jamais eu. Enfin bref, je l'entendais se rapprocher de plus en plus vite de moi. Il remarqua mon regard vide qui fixait cet ordinateur et les questions inévitables arrivèrent. Pourquoi je suis dans cet état ? Ce qu'il sait passait ? Bien sûr, je ne lui répondais pas et je n'arrivais pas à trouver les bons mots pour le faire. Comment lui dire ? Il se contenta me prendre dans ses bras et de me dire " Je suis parti trop longtemps, faut que tu me pardonnes. Je suis là maintenant." Je le regardais pas et je me laisser tomber de plus en plus dans ses bras. Je profitais de les retrouver, comment cela m'avait tellement manqué ! Je continuais cependant de fixer ce putain d'ordinateur. Alors, je me détacha de Damon, je pris l'ordinateur et je me repositionnais dans ses bras. Je l'ouvrit et je fermais les yeux deux secondes. Juste le temps de respirer calmement. Je me connectais sur ma boite mail et j'ouvris le message de ma mère. Les larmes coulaient à la chaine et je le passa à Damon en lui disant

    - Quand tu lira sa, tu comprendras

    Je me cachais dans ses bras et je ne voulais pas revoir ce mail. Je pleurais, encore et encore. Toutes mes larmes sortaient d'un coup et franchement, sa soulage. Au moins, je sais que je pisserais moins se soir. J'attendais que Damon réagisse mais je ne pouvais pas attendre comme ca, sans rien faire. Alors, je me levais, j'essuyais mes larmes et j'allais nous chercher deux verres d'eau. Je ne savais pas si il en voulait mais il avait pas le choix. Si il a soif, il n'y a que sa. Enfin non, mais dans son verre, si. Je me réinstallais sur le canapé mais sans retourner dans ses bras. Je le regardais tout en fessant semblant de ronger mes ongles. Mes yeux étaient rouges mais je m'en fiche. Ce n'est pas sa qui m'importe. Ce qui m'importe, c'est ce mail.


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Damon M. Tallis
Damon M. «
    Dust in the wind.

Damon M. «  Dust in the wind.
Damon M. Tallis


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MessageSujet: Re: No, it's much better to face these kinds of things with a sense of poise and rationality. • Damon •   No, it's much better to face these kinds of things with a sense of poise and rationality. • Damon • EmptyVen 20 Aoû - 18:29

Je n’avais jamais été doué pour les relations humaines. En fait, je faisais tout pour les fuir. C’était pourtant visible, ils me détruisaient. Je voyais tellement de haine dans leur yeux, de dégoût que j’étais lassé par la société dans laquelle je vivais. Menteurs. Cruels. C’est tout ce qu’ils étaient à mes yeux. Rosie était ma meilleure amie. La seule peut-être. Pour beaucoup de gens, c’était impossible. Tant de choses nous différencier mais au fond, on se ressemblait. Je pouvais relâcher la pression avec elle, je savais que je pouvais montrer mes blessures sans qu’elle ne s’amuse à l’intérieur. Ne me demandez pas pourquoi j’ai autant de facilité à me confier à cette jeune femme, j’avais simplement confiance en son amitié, oui j’avais confiance en elle. En la personne que j’avais découverte au fur et à mesure qu’on se parlait. Elle savait que j’étais quelqu’un de sensible malgré tous mes efforts pour le cacher, je n’avais pas besoin de lui dire lorsque j’avais l’impression que mon monde s’effondrait, elle le devinait dans ma façon de me comporter. J’avais eu raison de m’inquiéter pour elle, raison d’être sorti de chez moi pour la retrouver. Elle était dans un état de tristesse indescriptible, qu’est-ce qu’on lui avait fait et surtout pourquoi je n’avais pas été là à temps ? Si ça se trouve, cela faisait des heures qu’elle n’allait pas bien moralement et où j’étais ? Chez moi en train de m’injecter cette connerie dévastatrice. J’aurais voulu me gifler. Elle ne m’avait toujours pas répondu, je la sentais juste s’accrocher à moi dans une peine immense. Son regard restait figé sur son ordinateur, jusqu’à ce qu’elle bouge enfin pour le reprendre et se remettre dans mes bras. Elle l’ouvrait et après quelques minutes me le passait pour que je lise quelque chose.

- Quand tu lira sa, tu comprendras

Rosalinda s’était connectée à sa boîte mail, elle avait ouvert un mail venant de sa mère à première vue et la nouvelle qu’il y avait dedans était… Tragique. Et même plus encore pour Rosie. Elle tremblait de ses pleurs, sa respiration semblait souffrante à tel point ce mail lui soulevait le cœur. Je connaissais l’histoire de Rosalinda, je savais à quel point elle avait été dévastée lorsqu’elle avait appris qu’elle n’était qu’une orpheline que ces gens avaient recueilli chez eux, pour qu’elle puisse s’épanouir, pour qu’elle puisse avoir une vie comme il se doit mais ce que Rosalinda n’avait jamais supporté était toute ces années de mensonges sur ses véritables origines, elle avait soif de vérité. On lui avait interdit cette vérité et c’est pour cette raison qu’elle avait fuis ses parents adoptifs, à cause de leurs mensonges mais je savais qu’ils l’aimaient. Pourquoi sinon ce mail ? Durant ma lecture, elle s’était levé pour aller nous chercher de quoi boire, de l’eau. Elle semblait aussi perdue que lorsque je lui avais proposé d’habiter chez moi, le temps qu’elle arrive à stabiliser sa vie. Ca me déchirait de la voir dans cet état. Elle connaissait mon avis sur ce qu’elle devait faire avec ses parents adoptifs mais l’étape du pardon était parfois longue et difficile. On ne pouvait en vouloir à personne, s’ils avaient menti, c’était pour ne pas qu’elle les haïsse, pour ne pas qu’elle s’en aille à jamais car justement ils l’aimaient. Elle s’était réinstallée dans le canapé mais sans revenir dans mes bras, ses pleurs semblaient se calmer doucement. Je réfléchissais aux mots que j’allais lui dire sans la blesser, je ne voulais pas qu’elle se sente coupable. Il fallait qu’elle accepte ses choix, sans les regretter. Je savais qu’elle en était capable. Je prenais le verre qu’elle m’avait offert et la remerciais en même temps. Elle me regardait avec cet air de tristesse, je me sentais mal de la voir souffrir de cette façon. Je refusais qu’elle se sente coupable, un cancer est une maladie que personne ne souhaite, ce n’était pas elle la fautive et son départ n’avait absolument rien avoir avec le cancer qui a emportait son père adoptif.

- La perte d’un être cher, c’est toujours quelque chose de terrible Rosie mais ce n’est en aucun cas ta faute. Je t’en prie, ne t’en veux pas. Ton départ n’est pas la raison pour laquelle il est tombé malade… Tu le sais au fond de toi. Je t’ai déjà parlé de ce que je pensais être juste envers tes parents adoptifs… Mais je sais que c’est dur pour toi, de passer au-dessus de ce qu’ils t’ont fait durant toutes ces années. Seulement, n’oublie pas qu’ils t’ont aimé, qu’ils t’on permit d’avoir un endroit où t’épanouir comme il se doit et je sais que tu veux les revoir, même si tu ne veux pas l’admettre. Je le sais que tu les aimes. C’est ton père. Il t’a élevé, aimé. Tu l’as aimé et tu l’aimes encore. Je pense qu’il est temps que tu règles cette histoire car ça te bouffe. Va voir ta mère quelques temps, faites votre deuil en famille… Aucun de tes amis ne pourrait prendre leur place… Personne. Je suis désolé d’enfoncer le couteau dans la plaie… Je veux que tu sois heureuse et je sais que tu as besoin de te réconcilier avec le passé que tu as fuis à ta majorité pour ça.

Je ne savais pas comment elle allait réagir mais je savais ce qu’il se passerait si elle ne le ferait pas, elle apprendrait à vivre avec mais je ne voulais pas qu’elle regrette de ne pas avoir été présente au bon moment, je voulais qu’elle fasse les bon choix et ne pas aller à l’enterrement aurait été un mauvais choix pour elle, pour sa conscience. Elle était quelqu’un de bien et je savais qu’elle s’en voudrait terriblement de ne pas avoir été présente dans un moment aussi noir. Je n’étais certainement pas quelqu’un d’exemplaire, je le savais mais je ne voulais pas qu’elle fasse des erreurs qui pourraient pourrir sa vie pour le restant de sa vie et son absence pourrait en être une. Elle savait que son choix ne changerait rien en ce que je pensais d’elle, elle savait que je serai là même dans ses erreurs, je voulais qu’elle le sache. Qu’importe sa décision. Elle était adulte, et j’étais là pour l’aider si elle acceptait mon aide. Même si elle me rejetait, je resterai. Parce qu’elle était la seule à qui je me confiais, parce que je savais qu’elle aurait fait la même chose pour moi et que son amitié faisait partie de mes bases pour pouvoir créer un lendemain meilleur.
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MessageSujet: Re: No, it's much better to face these kinds of things with a sense of poise and rationality. • Damon •   No, it's much better to face these kinds of things with a sense of poise and rationality. • Damon • EmptySam 21 Aoû - 13:23

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    Perdue, désorientée, éffondrée, je ne savais plus quoi faire ni comment réagir face à tout cela. Je veux juste vivre tranquillement, que la vie arrête de s'acharner sur ma propre personne. Se dire que tes parents ne le sont pas, qu'ils t'ont cacher que l'homme qui t'a élevé a eu un cancer et qu'il en est mort récemment, sa fait mal. Puis, ma mère biologique est morte, mon frère de cœur qui s'est révéler être mon frère jumeaux. Que ton petit-ami t'a menti sur la raison de votre rupture et que son retour est difficile. Que votre meilleure amie était partie et qu'elle est revenue en vous disant les vraies raisons et que vous vous en voulez de pas n'avoir pu l'aider pendant sa période, c'est encore plus dur. Je pris le verre d'eau mais je tremblais énormément que mon verre se retrouva à moitié vide en quelques secondes. J'avais de l'eau partout sur moi mais je fessais comme si de rien était et je regardais Damon, qui m'avait remercier pour le verre. Je savais qu'il était entrain de cogité pour savoir comment me dire les choses sans me blesser. Je savais qu'il arrivera à me faire raisonner dans la bonne direction, comme à chaque fois. Je posais mon verre sur la table et je pris mon ordinateur pour fermer se mail et le reposer sur la table. Je continuais de regarder Damon et c'est là que les souvenirs remontaient. La première fois que je suis venue à New-york, il était là, et il m'a accueillit. J'étais dévastée et ma vie tellement déstabilisée que il me fallut quelques mois avant de trouver ma place dans cette ville. J'aimais qu'on me prouve qu'on était toujours là pour moi et même si je n'accepte pas les aides des gens, j'aimais ca. Enfin bref, il me dit, en essayant de bien faire " La perte d’un être cher, c’est toujours quelque chose de terrible Rosie mais ce n’est en aucun cas ta faute. Je t’en prie, ne t’en veux pas. Ton départ n’est pas la raison pour laquelle il est tombé malade… Tu le sais au fond de toi. Je t’ai déjà parlé de ce que je pensais être juste envers tes parents adoptifs… Mais je sais que c’est dur pour toi, de passer au-dessus de ce qu’ils t’ont fait durant toutes ces années. Seulement, n’oublie pas qu’ils t’ont aimé, qu’ils t’on permit d’avoir un endroit où t’épanouir comme il se doit et je sais que tu veux les revoir, même si tu ne veux pas l’admettre. Je le sais que tu les aimes. C’est ton père. Il t’a élevé, aimé. Tu l’as aimé et tu l’aimes encore. Je pense qu’il est temps que tu règles cette histoire car ça te bouffe. Va voir ta mère quelques temps, faites votre deuil en famille… Aucun de tes amis ne pourrait prendre leur place… Personne. Je suis désolé d’enfoncer le couteau dans la plaie… Je veux que tu sois heureuse et je sais que tu as besoin de te réconcilier avec le passé que tu as fuis à ta majorité pour ça. " Je baissais la tête. Il avait raison, totalement raison. Mais quelque chose me bloqua : C'était de me retrouvée seule avec ma mère. Je ne voulais pas être seule pour aller là-bas. J'ai besoin de mes " piliers " : Benjamin, Damon, Thomas et Lily. Si l'un des quatre n'est pas au moins là, je n'irais pas. Cependant, je n'osais pas lui demander de venir avec moi, en sachant qu'il a surement des occupations à faire. Lais, qui ne tente rien à rien alors je le regardais et je lui demanda, d'une voix assez basse et non rassurée.

    - Je sais que tu as raison, je sais que je dois y aller, je le sais tout ca. Mais je sais aussi que seule, je n'y arriverais pas... Alors, accepte-tu de m'accompagner ? Benjamin sera également là, et je demanderais à Thomas et Lily. Il faut que les gens auquel je tiens le plus m'accompagne. Je t'en supplie Damon..


    Je ne demandais pratiquement rien à Damon, enfin pas des choses comme cela mais ce cas là est très spéciale. Je dois tourner définitivement une page de mon passée avec l'aide de mon présent. J'espérais qu'il accepte, au fond de moi j'espérais qu'il accepte. Puis, cela sera l'occasion de montrer à cette femme que ses quatre personnes m'ont aidé à re-croire en la vie. Je présenterais tout d'abord Lily, qu'elle connait déjà un peu. Ensuite, je passerais à Damon, en lui racontant tout ce qu'il a fait pour moi. Viendra le tour de Thomas, en lui racontant l'histoire de ma vrai famille et cela engendrerait des explications de sa part puis je terminerais par Benjamin, en lui disant que j'ai besoin de lui dans mon quotidien, que c'est lui qu'il me faut pour encore longtemps. En tout cas, je l'espère.


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Damon M. Tallis
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    Dust in the wind.

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MessageSujet: Re: No, it's much better to face these kinds of things with a sense of poise and rationality. • Damon •   No, it's much better to face these kinds of things with a sense of poise and rationality. • Damon • EmptySam 21 Aoû - 23:34

    Ce n’était pas mes consolations qui lui rendront le sourire, je me doutais qu’elle se fichait bien de tout ce que je pouvais lui dire en ce moment même. La peine qu’un humain peut ressentir par moment est tellement aveuglante qu’on risque souvent d’oublier les conseils de ceux qui nous aiment. On peut même aller jusqu’à les rejeter… Personne n’avait besoin de me dire qu’une personne blessée se sent incomprise. A tel point, qu’elle s’isole des autres, d’elle-même jusqu’à se perdre. Je supposais que Rosalinda n’avait rien vu venir, elle voulait simplement essayer d’oublier la blessure que ses parents lui avaient causé. Je n’étais personne pour les juger, elle seule avait les capacités de le faire et je savais que tous ses problèmes la feront grandir, elle se sent certainement étouffée de tous ces malheurs qui s’enchaînent pour l’instant mais elle en sortira gagnante même si elle ne me croyait jamais lorsque je le lui disais. J’avais essayé d’être le plus clair possible en lui parlant, je ne voulais pas qu’elle soit blessée alors que je ne cherchais qu’à l’aider, je suppose que c’était ce qu’un meilleur ami était censé faire pour sa meilleure amie. Quoi qu’il en soit la laisser tomber était quelque chose que je m’interdisais totalement. Son regard était tellement perdu, entre la peur et la tristesse. C’était étrange de la voir si désarmée, elle qui avait toujours l’habitude de sourire, de me faire rire et de rire elle-même. Son caractère était plutôt vive, il ne fallait pas qu’elle se décourage. Les souvenirs sont là pour nourrir notre nostalgie si on en ressent le besoin.

    Elle avait baissé la tête dans un instant de silence, j’espérais qu’elle avait compris ce que j’avais tenté de lui faire comprendre. J’étais certain qu’elle connaissait déjà les réponses à ses propres questions. Elle avait juste besoin d’un peu de lumière pour avancer et j’avais dans l’attente d’être cette lumière aussi vacillante soit-elle. Elle relevait la tête et j’en été content, elle savait qu’elle n’avait aucune raison de baisser les yeux avec moi. Je réfléchissais quelques secondes à ce qu’elle pouvait ressentir en elle, j’essayais inconsciemment de me mettre à sa place et je me rappelais ce jour où on m’avait que Sasha était morte alors que c’était un mensonge, inventé de toute pièce par Aprilia. Je m’étais senti tellement déchiré que je m’étais noyé dans un coma artificiel, dans un liquide venant du ciel. C’était confus de repenser à ces choses, confus de me dire que tout s’était craquelé sous mes pieds à cette époque là. Sans doute qu’elle ressentait la même chose mais elle n’était pas seule, j’étais là. Avec du retard mais là et c’était tout ce qui comptait. Elle me regardait comme si elle s’apprêtait à me dire quelque chose d’assez important. J’étais attentif à ce qu’elle faisait, vu qu’elle semblait si mal. Tout ce que j’espérais c’est que toutes ces angoisses s’effacent vite, je ne voulais pas qu’elle rechute comme la fois où je l’avais rencontré. Et Rosalinda était une personne forte, quoi qu’elle ne pense. Je ne changerais jamais d’avis là-dessus.

    - Je sais que tu as raison, je sais que je dois y aller, je le sais tout ca. Mais je sais aussi que seule, je n'y arriverais pas... Alors, accepte-tu de m'accompagner ? Benjamin sera également là, et je demanderais à Thomas et Lily. Il faut que les gens auquel je tiens le plus m'accompagne. Je t'en supplie Damon..

    Ca me semblait complètement décalé qu’elle me supplie, comment pouvait-elle penser que j’allais refuser ? Refuser aurait été partir, la laisser dans ses problèmes… Elle me connaissait pourtant. Elle savait que je ne la laisserais jamais tomber même si le ciel venait à lui tomber dessus. Je ne savais pas réellement ce que ma présence lui apporterait mais je m’en foutais, si elle me le demandait, c’est qu’elle en avait besoin. J’avais toujours été fier de Rosie dans sa façon de remonter la pente, seule parfois. Sans qu’elle ne demande de l’aide à personne. Elle pensait toujours qu’elle dérangeait, sans doute car on l’avait laissé tomber trop de fois ou bien personne n’avait remarqué qu’en elle les choses ne coordonnait plus ensemble. C’était courageux, de se taire. Oui, courageux de ne rien dire et de faire semblant car la douleur restait silencieuse, on la faisait taire et je savais que c’était difficile, je le savais pour la simple raison que je faisais la même chose depuis des années. Peut-être que c’était une des raisons pour laquelle j’arrivais à me confier, car elle pouvait très bien imaginer ce que je ressentais à force de trop me taire, de faire comme si tout allait bien alors qu’au fond, tout brûlait autour de moi.

    - Me supplie pas. Bien sûr que j’accepte, je vois pas comment je pourrais te laisser alors que tu me demandes d’être là.
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MessageSujet: Re: No, it's much better to face these kinds of things with a sense of poise and rationality. • Damon •   No, it's much better to face these kinds of things with a sense of poise and rationality. • Damon • EmptyDim 22 Aoû - 16:41

No, it's much better to face these kinds of things
with a sense of poise and rationality.
Pris avec Damon

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    Ce n'est pas que je voulais pas l'écouter et accepter entièrement ses conseils mais c'est que je n'y arrivais pas. Je suis renfermée sur moi-même et je n'entend plus rien mise à part la petite voix dans ma tête. Vous savez, cette voix qui vous parle sans cesse. Certains disent que c'est la voix de la raison. Mon cul ouais ! Quand cette petite voix vous dit d'aller parler à se jeune homme, vous vous prenez un râteau. Super la voix de la raison ! Moi, je dis que c'est une petite voix qui fait juste son emmerdeuse et qui t'aide une fois sur deux. Oui, la petite voix est lunatique. Non, plus sérieusement. Je ne savais plus qui écouter : Mon meilleur ami ? ou la petite voix ? C'est comme un éclair que j'eus la réponse à ma question. Mon meilleur ami est de bon conseil et il ne le lâchera pas tant que je n'aurais pas décrocher un sourire sur mes lèvres. Il est comme ca : Protecteur et déterminé. Pourtant, ce n'est pas les malheurs qui lui manquait dans sa vie. J'essaye de l'aider comme je le peux et souvent, sa a l'air de marcher. Je ne souhaite jamais parler des problèmes, sauf si la personne en face le veut. Mais j'essaye de le distraire, et de faire comme si de rien était. Sa n'aide que quelques heures mais au moins, il a sourit. Le sourire d'un être malheureux est ma plus belle récompense. Je ne demande que le bonheur de mes proches, notamment de celui de Damon. Côté cœur, sa ne va pas. Côté familiale, ca ne va pas. Côté professionnel, je ne pense pas que sa n'aille non plus mais pourtant il est là, à d'aider alors qu'il a autre chose à faire. Je trouvais son courage remarquable et je ne pourrais jamais le remercier comme il se doit.

    Je n'avais baisser la tête que quelques secondes, tentant de reprendre mon calme en quelques sortes. Je savais que je n'avais pas à baisser les yeux devant Damon, non. Je peux me confier sans honte, m'exprimer sans limite, raconter mes exploits sans m'arrêter. Je peux tout lui dire et pourtant, ce n'est pas une fille. Oui, la mentalité des gens est de se confier les filles entre elles et les mecs entre eux. Les filles et les mecs, ce n'est que pour l'amour et le sexe. C'est complétement débile. Mon meilleur ami restera mon meilleur confident, le plus solide de mes piliers. Ni l'amour, ni le sexe gâchera notre relation actuelle, qui nous convient très bien au passage. Alors, après lui avoir fait cette demande particulière, j'attendis sa réponse en tentant de le regarder droit dans les yeux pour décrire ses ressentis et ses émotions. Tenter d'imaginer sa réponse. " Me supplie pas. Bien sûr que j’accepte, je vois pas comment je pourrais te laisser alors que tu me demandes d’être là. " Je ne pus m'empêcher de sourire, très légèrement mais cela reste tout de même un sourire. Je fermais les yeux et je soupirais. Relâchement et soulagement, tel était les adjectifs qui décrivait se soupire. Alors, je me précipitais dans ses bras pour lui faire un câlin. Je le serrais pendant quelques secondes puis, je me redressais. J'essuyais mes larmes, enfin ce qui reste de mes larmes et je laisser échapper un sourire de nouveau. Damon, mon distributeur de sourire ? Oui. Damon, c'est un BN en quelques sortes. Enfin bref, je le regardais encore, plongeant mon regard dans le sien qui était d'un bleu époustouflant et je dis.

    - Je sais pas comment je ferrais sans toi, sincèrement.

    C'était ma façon de le remercier sans dire merci directement. Puis, cette phrase est assez vrai : Comment ferais-je sans lui ? C'est lui qui m'a aider à construire ma seconde vie, il restera une sorte de sauveur pour moi. Un BN super-héros, sa existe au moins ?


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