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 We are family • Alek

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Maxim L. Ivanov-Woods

DARKNESS GIRL ♣
Story of broken heart .

Maxim L. Ivanov-Woods


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MessageSujet: We are family • Alek   We are family • Alek EmptyDim 6 Juin - 13:43

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ALEXANDR & LOUNA

    Calme, tout était calme trop calme beaucoup trop calme. Puis cette forêt dont elle avait souvent rêvé alors qu’elle n’était qu’une enfant parmi tant d’autre a Aprilia. Pourtant aujourd’hui tout semblé plus clair, se n’était pas un rêve mais bien un souvenir le seul qui lui restait de son enfance. Il y avait ça mère, cette si belle femme qu’elle n’avait pas eu le temps de connaître et à côté d’elle un homme grand et fort, son père sans aucun doute tout deux porter un regard attendrit sur les deux chérubins qui courraient a toute allure dans la forêt. Deux têtes brunes aux yeux d’un bleu rare leur donnant un charme sans égal. Celle qui a l’époque était encore appeler Louna jouer avec son frère, riait avec lui et était loin de se douter que bientôt le destin mettrais une fin a se bonheur de si courte durée. Pourtant se matin la, le destin qui n’était autre que Vladimir les observait déjà attendant le bon moment. C’est d’ailleurs la première fois que Maxim croisa le regard de l’homme qu’elle haïrait tout le reste de ça vie. Elle courait essayant de rattraper son frère déjà plus fort, plus rapide et ne regardait pas ou elle mettait les pieds et c’est donc sans surprise qu’elle se retrouva le nez dans la terre sous les rires d’Aleksandr. D’abord elle s’était fais mal et son frère se moquer d’elle, la petite fille qu’elle était n’avait sut retenir ses larmes et appelait ça mère qui accourait déjà pour voir si elle n’avait rien de casser. Pourtant ce n’est pas ça mère qui l’aida à se relever mais un homme qu’elle ne connaissait pas encore. Il avait l’air gentil, oui c’est la première chose que Maxim c’était dit en le voyant lui sourire tout en lui demandant si elle n’avait rien de casser. C’est alors que ça mère arriva a ses côté remercia très froidement l’homme et lui dit qu’il n’avait rien a faire ici, qu’il n’était pas le bienvenue que son mari était là et qu’il fallait mieux qu’il parte. C’était des paroles que Maxim n’avait jamais réussi à comprendre, des paroles qu’elle n’avait jamais oublié. Il était certain que ça mère connaissais Vladimir mais elle ignorait tout du lien qui les unissaient et c’est ce qui la déranger le plus. Quand se souvenir venait hanter ses nuits, elle n’arrivait plus à dormir, elle se poser trop de questions… des questions d’on elle n’aurait jamais aucune réponse puisque ça mère n’était plus la pour y répondre. Elle sortit alors de son lit puis se dirigea vers ça petite cuisine ou vers son frigo pour y sortir quelque chose à se mettre sous la dent. Elle regarda alors l’heure, 4 heures du matin… à cette heure ci il n’y avait rien à la télé et elle n’avait plus sommeil. C’est alors qu’on sonna a sa porte… bizarre a une heure si tardive pourtant elle sourie peu importe qui ce pouvait être au moins, elle aurait quelque chose à faire. Elle referma son frigo, ouvrit la porte et se retrouva nez a nez avec son frère. « Alek’ ! je suis contente de te voir même si il est 4 heures du matin… Entre, tu veux quelque chose a boire ou a manger… j’ai faim moi. »
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Aleksandr Ivanov
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MessageSujet: Re: We are family • Alek   We are family • Alek EmptyDim 6 Juin - 15:39


We are family
Maxi toys :D



« Un homme qui perd tout est capable de tout. »





We are family • Alek Max10

    Enfermer dans une pièce où l’obscurité seule est maître, je suis là, inerte, adosser contre une chaise, les mains jointes par une corde. Des hommes sont face à moi, un sourire aux coins des lèvres, un détournement de regard. Mes yeux de teinte naturellement pacifique ne sont plus qu’âcre, océan mêler de sang. Vie violente, fin violente tel était mon destin j’en étais conscient. Ma vie ne se résumait qu’à une vaste branloire pérenne que je dédiais uniquement à mon sang, ma sœur. J’avais décidé avec le temps de n’être que le reflet de cette société, une vulgaire parodie. J’ai vu ce que personne n’avait vu, j’ai vue la société en elle-même, j’ai sus ouvrir les yeux et de ce que j’en ai vus, rien ne m’as plut. Ici, rien n’est beau, tout n’est que mensonge et le pire dans tout ça c’est que pauvre con d’humain que nous sommes nous le resterons ! J’ai commencé à voir les choses d’une manière qui me laisse tenir le monde autour de ma sœur uniquement et rien d’autre. Les événements forgent mon avenir, ma mort. J’ai utilisés mon don contre cette machinerie pittoresque ! Je mets en exécution mon âme pour détruire tout ça. Je suis dans cette salle depuis plusieurs jours déjà, on me soumet à des moyens de pressions, lumières tamisés, coups donnés, souffle expié. Un homme est ici, chaque jour il revient, cet homme est mon ennemi, et je fus loin de me doutés qu’il serait bientôt mon seul ami. Jour après jour je sens mon souffle partir, qui donc pense à moi ? Vladimir m’en apporte écho, personne. La vie à reprit son cours, aucune personne de mon entourage ne se soucie de moi pas même ma sœur. A présent, je ne suis plus rien. Mon cœur anéanti proclame repos, je ne veux plus de cette vie, je ne veux plus de tout ça. Vladimir revient toujours en force, cette fois ci ce n’est plus un ennemie que j’ai en face de moi mais un guérisseur. Il me propose de faire de ma peine une joie, de ma misérable vie, un mythe. Amour, gloire et bonheur sont au rendez-vous à une seule condition bien sûr, que je lui obéisse. Je n’ai plus rien à perdre, ma sœur ne pense même plus à moi, elle rêvasse sûrement comme à son habitude. J’aurais tout fais pour elle, l’amour que je lui dédiais était plus fort que n’importe quel lien. Nous étions tels ces oiseaux inséparables, de véritables jumeaux. J’avais toujours crus être indispensable pour elle, enfin de compte c’est moi qui ne peux vivre sans elle, elle est l’unique raison à mon cœur. Je me souviens de tout, de notre enfance, de son enlèvement, de tout. Un jour, alors que nous nous trouvions dans une immense forêt avec nos parents si je puis dire, je me souviens de m’être amusé avec ma sœur, elle était tombé, je riais, je riais étrangement, une larme s’était échappée de ma joue. Sa douleur fut la mienne, à partir de ce jour je savais que mon âme reposait à l’intérieur de son corps. Je faisais de ses plaisirs les miennes, de ses rires mon cœur.
    Un homme était même venu l’aider à se relever, il portait en lui une innocence enfantine. Ma mère n’avait supporté la présence de cet homme, maintenant je comprends pourquoi, cet homme était mon père, la source de mes cauchemars. Cette journée-là, alors que ma sœur s’était égratigné sa jambe, je lui avais offert une breloque. Son visage étincelant s’était emparé brusquement du soleil comme pour m’illuminé moi-même. C’était une breloque que j’avais fabriqué moi-même à l’aide de mon père adoptif. Plusieurs pendentif y était accroché une boussole, une maison et un ange. Chaque élément devait la protégé. Un jour, je lui avais même rapporté un globe de neige avec un bonhomme de neige à l’intérieur. Elle s’amusait souvent à l’observer durant des heures puis un jour elle m’a demandée si il était heureux, je lui ais répondu simplement qu’il n’était pas seul contrairement à ce qu’elle pensait, je lui ais dis de ne jamais s’inquiéter pour lui, car je serais toujours là pour sa survie, je lui es dis qu’il avait une belle vie, qu’il était pris au piège dans un monde parfait.
    Ce jour là j’ai mentis non seulement à elle mais à moi-même. Ma sœur n’était plus avec moi, ma compagne quant à elle ne l’étais pas vraiment, je n’avais jamais voulus lui avoué mon amour, un tort que je comprenais maintenant. Mon meilleur ami est trop occupé avec ses problèmes, il ne me restait plus rien, rien, je ne suis rien. Mais, un homme qui perd tout est capable de tout j’accepte donc. Un garde apporte une serviette qui me servira de bandeau. Mon âme est au repos, mon cœur ne bat plus. Allongé sur ce qui me parait être une table froide, une lumière monochrome me brûle soudainement les yeux, le paradis céleste était-donc ceci ? Non, au fond de moi je savais, je savais que l’image de ma sœur me hantait, je savais au fond que j’étais qu’une sous-merde de Vladimir cet homme portant en lui une innocence enfantine comme un vieux manteau délavé dans son placard. En réalité, il était le mal en personne. J’étais donc contre cette table, sentant des mains cheminer le long de mon corps, me déchirer ma chemise, mon pouls s’accélérait à mesure que je les entendais. Une douleur lancinante, une main vagabondant, je souffrais en silence. On venait de m’administrer une piqure, je ne pouvais parler, crier, hurler. Mes os tels des pierres se déplacèrent dans mon corps, mon cœur de glace, une neige s’était répandue sur mes organes. Je sentais quelque chose s’ouvrir, en réalité, on me fendait l e torse en deux pour y déposer des graines de haricot. J’étais un cobaye destiné à la science, chemins de brindilles, chemins embuchés ils peinaient à trouvés des baisers assortis, des caresses limés, j’en étais finis. Les éléments qui me constituaient étaient comme retirés. Un corps sans os, un organisme sans cœur. La douleur m’avait fais devenir plus amer qu’auparavant, plus crue. Le prix de ce que je venais de subir avait été la chose la plus miraculeuse de ma vie. La douleur s’intensifiait et peu à peu je plongeais dans un profond sommeil. J’avais survécu, la plaie avait été la fermeture, Vladimir avait été mon guérisseur, il avait réussit à tresser ma cicatrice, son but avait été atteint et le mien aussi d’ailleurs. Le rameau sanglant était passé, j’étais un tout autre homme désormais.



« Rien n’est jamais certain. »





We are family • Alek Uv00310


    Je ne sais plus qui je suis, perdue entre l’ombre et la lumière, je ne sais ce que je fais ici. Je suis amnésique, j’ai perdue ma mémoire il y a peu dans un accident de voiture m’a-t-on dit. Le lendemain je me redécouvre une puissance phénoménale, une vitesse incroyable. Un homme vînt et me révèle ce que je suis, ce que je dois être. Mon destin dit-il, est entre mes mains mais je ne peux réussir sans lui. Il se nomme Vladimir Shelev, un nom qui résonne glorieusement bien, un puissant tout comme moi. Je redécouvre donc mes dons ou pouvoirs appeler donc ça comme vous le voudrez qu’importe après tout. Il m’enseigne tout … Comme un père. Je me nomme Edery Shelev, et Vladimir est mon père. Nous avons des ennemies, je dois les tués. Ils veulent attentés à nos vies ainsi qu’a son centre. Jamais ils ne pourront, je ne les laisserais certainement pas faire. Ce soir nos ennemies seront supprimées. Je dois détruire une certaine Maxim Woods, une Max Evans et un certain Damon Tallis. Ce soir il s gouteront tout droits à l’enfer. Mon père m’a mit entre mes mains chaque noms, chaque données potentielles, chaque adresses. Maxim Woods serait ma première victime. Mes mains posés sur sa tête, une légère pression, et se nuque craquera, elle sera morte mais avant ça jouons, jouons pendant qu’il est temps. J’arrive à destination. La porte est verrouillée, je toque. La fillette m’ouvre, elle me connait.


    Maxim L. Woods a écrit:
    « Alek’ ! Je suis contente de te voir même si il est 4 heures du matin… Entre, tu veux quelque chose à boire ou a manger… j’ai faim moi. »

    Quelle idiote, je m’approche, une lueur scintillante s’offre à moi. Un désir monte en moi, elle est resplendissante, sa gaité me fascine, elle m’intrigue. J’accepte. Je la regarde, observe chacun de ses mouvements, commence à l’aimer. Je m’approche, mes mains prêtes à se poser.


    « Tu as été une méchante fille tu sais. »


    Mes mains sur sa nuque , j’allais la tué
    .


Dernière édition par Aleksandr Ivanov le Dim 6 Juin - 21:26, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: We are family • Alek   We are family • Alek EmptyDim 6 Juin - 17:13

We are family • Alek 288xff4 We are family • Alek 34etidy
ALEXANDR & LOUNA
La peur est un sentiment étrange…



    L’euphorie de Maxim avait disparue à l’ instant même ou elle avait regardé son frère. Elle n’aurait sut dire pourquoi mais elle le trouver étrange, lui qui d’habitude était expressif semblait éteint. Non elle devait simplement se faire des fausses idées, il était tard et elle n’était pas bien réveiller. Pourtant elle sentait bien le regard de son frère dans son dos, un regard qui d’habitude se voulait protecteur lui faisait maintenant peur… non il n’avait aucune raison d’avoir peur. C’était Alek’ derrière elle, son frère son sang, sa raison de vivre il était la dernière personne au monde capable de lui faire du mal. Elle se décida enfin à se retourner pour lui faire face, et quand son regard croisa celui d’Alek c’est crainte ne disparurent pas. Elle lui sourit alors, le plus naturellement possible. Quelque chose n’allait pas, elle connaissait Alek mieux que quiconque sur Terre et c’était comme si elle se retrouver face a un inconnue. « Alek’ ! je suis contente de te voir même si il est 4 heures du matin… Entre, tu veux quelque chose a boire ou a manger… j’ai faim moi. »C’était sortie tous seul, une simple phrase censée détendre l’atmosphère une phrase a laquelle il aurait surement répondu quelque chose comme : « Mais il n’y a pas d’heure pour voir son frère » Pourtant il ne dit rien, se contentant simplement de la regarder, elle prit donc cette réponse pour un oui et se dirigea vers la cuisine pour faire couler un café. Une nouvelle fois elle posa son regard sur lui attendant de sa part un mot quelque chose et une nouvelle fois rien n’arriva. Elle se dirigea alors vers lui, elle était maintenant inquiète. Elle posa une main sur son bras en lui souriant « Tu vas bien Alek’ ? Tu ne parle pas et ça ne te ressemble pas… je m’inquiète pour toi… dis moi que tout vas bien et que je n’ai aucune raison de me faire du souci. »Enfin une réaction se dessina sur son visage, bizarrement il semblait satisfait, chose que Maxim ne comprenait pas. A son tour, il pose ses mains sur son visage, elle s’attendait alors a ce qu’il lui dise ce qu’elle avait envie d’entendre mais elle n’eu hélas pas cette chance. « Tu as été une méchante fille tu sais. »La Maxim éclata de rire, mais qu’est ce qu’il racontait ? C’était incompréhensible… il se fichait d’elle depuis le début, il était venue a une heure si tardive juste pour lui faire peur et bien s’amuser par la même occasion. C’était tout a fait le genre de chose qu’Alek était capable de faire. «Alek… T’as pas honte non ? Faire peur a ta sœur juste pour t’amuser ! J’ai lu dans ton jeu et tu m’as pas eu ! Ça va pas trop déçue ? »Elle attendait maintenant les rire de son frère, rire qui n’arrivais pas et les mains qui quelque minute auparavant étaient sur ses joues se rapprochait dangereusement de son coups. Elle ne dit pourtant rien ne comprenant pas alors que bientôt c’est deux mains allait l’étouffer si elle ne faisait pas quelque chose rapidement. Ce qui devait arriver fini par se produire, Alek resserra alors c’est mains autour de son coups attendant le moment ou elle tomberait par terre, le moment ou elle serait morte. Il se passa alors quelque chose que personne n’aurait put prévoir, quelque chose qui n’était jusqu'alors jamais arrivait à Maxim. Elle ferma les yeux un instant pensant qu’elle aller mourir et qu’elle n’avait même pas eu le temps de comprendre, de se défendre et alors qu’elle fermait les yeux et commencer à partir elle sentit quelque chose la réanimer, lui donner la force de se battre. Tout se passa alors en une fraction de minute, elle mit un coup à son frère et arriva à se défaire de ses bras. La elle courut de l’autre côté du salon, suivit de prés par Alek. Des larmes pleins les yeux, elle essayer de comprendre ce qui avait poussé son frère à faire une chose pareille. Elle passa alors une main sur son coup, elle avait eu de la chance une minute de plus et il était trop tard « Ne t’approche pas de moi ! Tu as essayé de me tuer Alek. Pourquoi tu m’as fait ça ? Tu disais m’aimé plus que quiconque au monde ! Pourquoi tu veux me tuer moi, ta propre sœur jumelle ?! »
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MessageSujet: Re: We are family • Alek   We are family • Alek EmptyMer 9 Juin - 23:01

Maxim L. Woods a écrit:
« Tu vas bien Alek’ ? Tu ne parle pas et ça ne te ressemble pas… je m’inquiète pour toi… dis moi que tout vas bien et que je n’ai aucune raison de me faire du souci. »

«Alek… T’as pas honte non ? Faire peur a ta sœur juste pour t’amuser ! J’ai lu dans ton jeu et tu ne m’as pas eu ! Ça va pas trop déçue ? »



    Je ne pensais qu’à une chose, tuer. Ce sentiment m’avait envahit, mes mains sur son coup, je sentais déjà un frissonnement me prendre, mes mains n’avaient plus qu’a effectué une légère pression ou un simple mouvement et s’en était finit, une vie de moins, un rire de plus. Son coup rêvait un paysage, le paradis céleste. Une admirable harmonie fit alors son apparition dans mon cœur, les orgues frappèrent les premiers exhaussant chaque battement, chaque pulsation de cet organe me tenant en vie. Un chant délicieux d’une voix argentine, suave et douce je me crus rêver. Rien n’est plus beau qu’un assassinat, cet acte si leste à mon goût, ce n’est pas un simple oiseau de proie, une simple chasse mais bien plus. J’attaque une colombe, colombe compatissante qui planerait sûrement dans mes rêveries et mes amours. Les mains tremblantes et maladives, les yeux plombés, le visage morne qui émet un doux sourire, mais qui n’a pas la force de rire, je m’apprête à commettre mon premier crime. Etrangement, je ressens plusieurs sentiments bien distincts, une douleur constante et un désir d’assouvir mon instinct. Elle disait être ma sœur mais je n’avais pas de sœur. Loin d’être stupide, sa phrase me fit rire, j’en conclus qu’elle savait, savait que son heure arrivait. Son timbre de voix pourtant sonnait vrai mais s’était impossible, elle croyait pouvoir me leurrer mais elle n’y était pas. J’étais Edery Shelev, un véritable guerrier, personne ne pouvait se moquer de moi, personne ! Mon envie versée dans une tasse, j’étais entrain de perdre le contrôle de moi-même, une goutte d’envie, une goutte de haine, une goutte de douleur. Je ne pouvais être maitrisé , j’étais un grand tout comme mon père. Une légère pression, le travail avait commencé. La jeune femme avait un regard qui s’étendait à l’infini, un regard qui vous transperce, aucune peur, aucun dégout, une neutralité tel que je n’en n’avais jamais vus auparavant. Elle était à ce moment même non ma victime mais une chose, oui quelque chose séparé de moi tout en étant relié par je ne sais quels liens.


    Mes mains posées sur son coup, j’allais l’anéantir. J’aimais la façon dont ses yeux me regardaient, la façon que son visage exprimait. J’ancrais alors cet instant dans ma mémoire, un instant qui ne s’effacerait jamais. Le souffle de Lucifer expiait en moi, j’étais entrain de créer quelque chose, quelque chose de précieux qui par la suite déterminerait mon avenir. J’étais en elle, je n’étais plus aussi glacé qu’avant son souffle peu à peu s’évanouissant dans l’oublie, le mien quant à lui s’intensifiait toujours plus fort. Je n’étais plus mort mais vivant, je vivais, vivais dans mon monde parfait, un monde où j’aurais une famille, un monde où mon père serait fier de son enfant, mon monde. Le bruit de mon cœur battait comme un marteau sur de l’étoffe, j’étais en train de la tuer, détruire son existence. Je tombais amoureux de ma victime, j’entendais gémir l’amour au loin par les fenêtres, je savais que si je m’arrêtais, mon monde se détruirait et je n’en ressortirais jamais. Je me sentais alors pousser des ailes, son corps flasque hurler secours, son souffle se confondait à ceux des morts, je triomphais le poing levé, j’étais là, heureux à l’idée que mon père puisse déguster cet instant propice à son être.

    Je veux être l'enfant prodige voyez-vous, l'enfant que l'on n'ignore pas. Au diable les rêveurs , je vis dans la réalité , je vis tels que je dois vivre. Je suis ici pour une raison qui m'es propre, raison qui me pousse à tuer bien que cela soit palpitant ce n'est pas un pur plaisir non plus , non , je préfère lire , lire des livres scientifiques , historiques … J'aime le piano , j'aime y jouer , j'aime poser mes doigts sur ces petites touches, y exposer ma mélancolie , ma douleur , ma joie. Je ne sais pas d'où je viens , mais je sais où je finirais ,mon ambition n'est pas de ce monde , je suis bien plus que cela ,je pourrais traverser l'océan à la nage , chavirer de tout flanc, je serais me relever , savez vous pourquoi , tout simplement parce que je n'étais pas un de ces faibles , j'étais Edery , Edery Shelev , fils d'un génie. Je fonce tout droit sans m'arrêter , je suis à bout de souffle , je n'arrives plus à respirer. Rien ni personne ne pourra m'arrêter dans ma foulée , pas même cette fille , elle a le code barre de la mort sur sa nuque. Je ne vois rien ,rien qui n'en vaut la peine du moins. Mon objectif sera réaliser quoi qu'il en soit , mon cœur est au cimetière , mon âme est au repos . Plaie éternelle qui ne cicatrisera jamais, je lui ôterais la vie si bien que la mienne fut ôter. J'attendrais les sommets ,je ne verrais aucun stop, je ne verrais aucun feux , rouge , oui rouge comme mon corps , rouge comme la source qui m'enivre. La plaidoirie d'un ange du mal , un cœur enivrer de la mort, je ne suis que carcasse ambulante s'amusant de peu de chose , voulant se protéger du monde et surtout être la fierté de son père.

    Un agneau dans de l'eau , un agneau dans une geule, mon cœur se serre autant que mes mains l'emprisonne. Son souffle s'éteint, mon regard s'allume , une beauté Océane vînt soudainement lorsque poussière elle devient. J'attends la mort , comme elle m'attend. Je la regarde , les larmes inondent ses yeux brunâtres , se mêlant au brouillard éternel d'un triangle infini. J'attends , j'attends encore rien ne se passe , j'ai mal , un coup , mon jouet s'en va , mon amour avec. Je l'observe , ris , souris , et avance , elle parle.

    Maxim L. Woods a écrit:
    « Ne t’approche pas de moi ! Tu as essayé de me tuer Alek. Pourquoi tu m’as fait ça ? Tu disais m’aimé plus que quiconque au monde ! Pourquoi tu veux me tuer moi, ta propre sœur jumelle ?! »

    Cette fille était aussi dingue que je l'étais , se faire passer pour un de mes connaissances encore mais là une sœur et qui plus ait jumelle en plus. Elle me nomma du nom d'Alek ce qui déclencha mon hilarité . Comment confondre un grain de sable et une roche d'or, impossible. Aussi improbable qu'il le soit , je me prie à son jeu.

    « Je suis désolé sœurette ... »

    Je m'approcha alors de la jeune femme, prêt à savourer mon repas , cette fois-ci , elle s'était éprise à son propre jeu , elle tombait dans mon piège. Mon corps avançait, mon cœur se froissait , mes yeux trépignaient. Mon souffle s'interrompit , si bien que je crus m'abattre moi même. Chaque pas que mon corps exécutait , c'était un coup de poignard dans le dos jusqu'à ce que je sois à quelques centimètres d'elle. J'arrivais à ressentir sa peur, son adrénaline. Mon cœur palpitait aussi vite que le sien , l'amour m'avait envahit , du moins je le pensais. Chaque pas , un véritable supplice , ma main poser sur son épaule ,mon souffle s'éteignait , il fallait qu'elle meurt. Tentant de récupérer un couteau dans l'arrière de ma poche ,j'entendis la porte sonné, aussi vite que je le pus , je pris mon poignard entre mes mains, le cœur battant, nous allions mourir.

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