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 Le Cavalier Noir .

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MessageSujet: Le Cavalier Noir .   Le Cavalier Noir . EmptyMer 17 Fév - 0:03

J'étais à la fenêtre de la salle de bain, j'admirais quelques secondes le ciel. Je savais exactement ce que j'allais faire ce soir, aux détails prés. Trouver les bons moments, faire des choses pas exactement correctes et dont j'allais sûrement payer les conséquences... Les nuages étaient plus ou moins gris sur un ciel au fond mauve. Mon coeur battait comme si je faisais une action vraiment épuisante or que rien de tout cela, c'était sûrement parce qu'au fond j'étais anxieux. J'avais prévu mes deux tenues, j'allais joué plusieurs cartes ce soir. Les mascarades comme l'indique leur noms n'est que grande tromperie organisée dans le but de s'amuser et de crée le mystère. J'avais parfaitement mes chances de faire tourner tout ce qui s'était imposé jusque là. En face du miroir je me voyais comme une caricature, celle que je montrais à tout le monde était loin d'être ce que j'étais. J'allais astucieusement changer de masque, d'une façon calculée. J'avais tout prévu sauf sa réaction, j'avais émi plusieurs hypothèses toutes plus réalistes les une que les autres mais je savais bien qu'au final, c'était la seule chose que je ne pouvais pas prévoir. Nous n'étions plus que deux dans la maison, j'accordais les derniers détails, tout était assez correct. Je vérifiais mes e-mails pour la dernière fois. Le centre semblait m'avoir un peu lâché, aucun e-mail, c'était plutôt un bon signe. Auréa était dans sa chambre, enfin celle qu'elle partageait avec Syd. Cela me laissait le temps de déposer les derniers micros comme on me l'avait indiqué au préalable. J'étais obligé de le faire, j'en étais pas très fier et il fallait que je trouve un moyen de leur faire comprendre qu'au fond, j'étais coincé, au pied du mur. J'accélérai le pas, quelqu'un venait de sonner à la porte.

C'était un chauffeur que j'avais demander, il me remit une boîte. C'était un membre du centre c'était certain, il me pris mon costume de rechange et le mit dans le coffre. Dans la boîte, il y avait un bracelet en diamant, je comprenais vite que c'était un traceur. Un nouveau message sur mon portable me disait d'installer une application, il y avait un micro et un traceur gps qui permettait de suivre au centimètre prés une personne. En l'occurrence Auréa. Je me sentais coupable de lui infliger ça et je me demandais bien pourquoi le centre lui en voulait à elle. On m'avait fait joindre un fichier dans lequel elle aparaîssait comme spécialiste au centre dans l'étude des sciences. Autrement dit, elle étudiait les réactions qui étaient possible de créer. Rien de bien dangereux pour le centre. Je ne comprenais pas quel était l'intêret de la placer sous écoute ou de la tracer. Elle devait en savoir plus, plus qu'il n'y paraîssait c'était certain ou alors ils avaient peur qu'elle découvre des choses, c'était quitte ou double. On m'avait demander de l'emmener à ce bal et honnêtement ce n'était pas du tout pour me déplaire. Elle était carrément mon style de fille. J'avais eu de la chance qu'elle accepte mon invitation ou j'avais peut-être bien jouer de ses sentiments. Ca allait mettre en colère Damon ou le troubler mais je savais bien qu'il était bien trop fier pour montrer quoi que ce soit. J'allais au bal, avec pour celle qui semblait avoir beaucoup plus qu'une simple relation amicale. Il allait au bal avec Aleesha, j'essayais de me mettre dans la peau de Damon quelques secondes. Aimer Aleesha et ressentir des choses pour Auréa. Compliqué et en plus ça devait forcément créer une faiblesse au niveau d'Auréa. Je savais donc que la faiblesse de leur relation n'était rien d'autre qu'Aleesha.

J'essayais de m'en tenir qu'au travail mais la réalité était qu' Auréa me troublait beaucoup trop pour un simple travail. C'était sa personnalité qui me troublait et bien entendu le corps dans lequel elle était fondue. En général, les femmes ne pouvaient pas aller bien loin dans ma personnalité ou dans ce que j'étais réellement car je les arrêtai avant. Je me demandais tout simplement pourquoi en face d'elle je commençais à baisser la garde sans qu'elle ne s'en rende compte, sans même qu'elle le veuille, elle exerçait une pression sur moi, dans ma tête. J'allais sans doute me crasher mais j'allais au passage troubler quelques certitudes en mettant des incompréhensions. Peut-être de la panique. J'étais devenu étrangement moi avec elle et c'était assez flippant au final. J'étais impatient de voir sa tenue, je l'attendais dans le salon et je faisais pour ainsi dire les cent pas. La manière dont elle s'était habillée jusque là en Russie et aujourd'hui me prouvait qu'elle avait du goût et une certaine classe. J'appréhendais, je soufflais, l'attente me rendait nerveux.

Je me demandais sérieusement si elle allait me laisser mon histoire, me mêler à la sienne. Je commençais à sentir son odeur qui imbibait la pièce d'une façon subtile. Elle descendait les escaliers, la silhouette de ses escarpins se dessinait et d'après ce que je pouvais voir, elle avait choisi la couleur or pour cette soirée. Sa robe la rendait encore plus belle et plus attirante qu'elle ne l'était déjà, c'était troublant pour moi de la trouver attirante et désirante car je n'en avait pas le droit. Sa robe était longue et semblait légére, la façon dont elle était dessinée laissait apparaître sa jambe droite, on pouvait la voir jusqu'au haut de sa cuisse. Elle scintillait, certainement grâce aux petit diamant pailletés incrustés sur le tissu. Son bustier était un corsaire qui s'entrouvait sur le côté par des lacets et capturait sa chair. Sa poitrine était mise en valeur de façon subtile mais aucunement vulgaire. Elle avait cette façon de posséder une beauté qui ne rendait rien de vulgaire en elle, son charme angélique était mis en valeur, sans oublier une facette plus provocante. Elle rayonnait tout simplement de sa beauté qui n'avait pas de limite entre l'exotisme et la douceur. Mon sang commençait à chauffer dans mes veines, j'avais cette envie de lui retirer immédiatement sa robe car elle me troublait beaucoup trop et la tâche de se conscentrer sur ce que j'avais à faire était beaucoup plus difficile maintenant car sa beauté m'assassinait à chaque secondes. Elle ressemblait à la grande duchesse Anastasia fille de Nicolas II, Empreur de Russie. Anastasia aurait survécu au massacre grâce aux bijoux et aux diamants cousus dans sa robe, qui auraient fait ricocher les balles sans la toucher. Elle me faisait penser à cette légende, un sang pur, un sang dit bleu, de la noblesse. Ses cheveux étaient attachés mais laissaient apparaître quelques méches et elle avait ajouté une sorte de diadème discret orné de motifs qui était les mêmes que ceux de sa robe.

- Tu es... Splendide.. Woah, j'ai un présent pour toi si tu veux bien.


Je lui déposais un baiser sur le dos de sa main et j'ouvrais la boîte dans laquelle était installé le bracelet de diamant. J'étais enchanté de lui offrir mais je savais qu'en faisant ça, je l'enchaînais au centre mais je n'avais pas vraiment le choix. Mon costume était plutôt simple, j'avais demandé à mon pére un peu d'argent et je l'avais commandé sur internet par un magasin qui se trouvait sur les avenues de Manhathan, c'était une boutique de luxe et donc, j'étais satisfait, le costume tombait plutôt bien à mes membres et donc il me correspondait. J'avais pas pris le temps d'essayer le second.

- Tu es pas mal dans ton genre. elle rigolait , je savais qu'elle ne le pensait pas entièrement , qu'elle aurait voulus étre avec Damon. Ca me gêne.. C'est magnifique.. J'ai rien pour toi...

- Ta présence est mon cadeau.

On parlait un petit peu durant quelques minutes, je lui accrochais ensuite le bracelet et on entrait dans la voiture, pendant la route elle me parlait assez ouvertement. Je lui demandais qu'elle était sa relation avec Syd, elle m'apprenait que c'était le premier garçon dont elle était tombé amoureuse. Elle était pressée de voir ce que Syd avait préparé à son Manoir, apparemment il avait beaucoup de goût et une imagination sur-développée, ce qui était plutôt bon à savoir. Ca promettait, elle me racontait comment il avait décoré son manoir la dernière fois et elle était vraiment admirative du travail que Syd faisait. Quelque part, je me demandais si elle était toujours amoureuse de Syd ou pas, bien sûr j'étais curieux de savoir la relation qu'elle entretenait avec. Elle dormait tout de même dans le même lit que lui. Je comprenais pourquoi Damon avait des sentiments envers Auréa, c'était tout à fait compréhensible. Enfin nous arrivions au dit Manoir. Je la pris par le bras en l'entraînant vers l'entrée. Il y avait déjà foule.
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Auréa Eden

Sunburn
She burns like the sun.

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MessageSujet: Re: Le Cavalier Noir .   Le Cavalier Noir . EmptyJeu 18 Fév - 4:18

14 Février , un jour , un nuit , ou tout le monde avait proclamer que c'était ce jour qui allait être le jour de l'amour . Je trouvais ça assez minimaliste de designier un jour pour aimé , un jour pour appartenir , un jour montrait qu'on aime . J'étais pas encore habiller pas doucher , rien de tout cela je traînais . Une part de moi avait une envie folle d'y aller , de voir ce que Syd avait imaginer . Une autre me disait que j'allais sans doute souffire , j'appréhendais beaucoup , je restais sur le lit a essayer de trouver la réponse dans le plafond , sans y trouver aucune réponse . Il avait capturer mon esprit et il en avait fait ce qu'il voulait , je savais que c'était assez risquer de m'attacher a quelqu'un et pourtant c'est ce que je fessais, je me voyais progressivement changer de corps . Il me fessait sentir le souffle du vent , les gouttes du temps qui venait s'abattre sur moi , je commençais doucement a vivre a travers lui et c'était affolant de s'attacher . Il l'avait compris que je n'étais celle qu'on pouvait appeler par des noms débiles parce que on avait oublier leurs prénom , j'étais pas a exhiber fièrement . S'il me laisser y aller avec Hayden , c'est qu'il avait confiance et qu'il le savait , qu'on ne pouvait pas me toucher sans que je sois d'accord . Quelque par mon corps était las .

On crée une sorte d'idylle , rien que le mot idylle en lui même était assez étrange pour moi , j'avais laisser qu'une seul personne rentrer dans cet espace réserver et je savais pas comment m'y prendre , au final j'avais décider de le laisser faire , laisser faire le temps aussi . J'allais au bal avec Hayden , mais c'était uniquement avec son frére que j'avais envie d'y aller, je commençais a plus me passer de lui , une sorte d'addiction .De plus , il y allait avec Aleesha , je savais pas ce qui aller se passer et j'avais cette envie de rester la dans le lit a regarder le plafond et imaginer qu'il soit a mes cotés. Je voulais pas qu'Aleesha devienne mon ennemies , car c'était affolant comment je traitais mes ennemies , ce n'était pas vraiment la meilleur position , je fessais tombé les oppositions . J'avais trop d'égaux pour ignoré ce qu'elle représentait a ses yeux . Si elle devenait une sorte d'ennemie j'allais certainement l'écrasais entre mes doigts sans vraiment le vouloir .

Mes rêves n'étaient pas aussi vide et ma consciences de remplissait d'une façon inattendu . Mon amour n'était pas gratuit , et je lui donnais sans poser les mots . J'allais ravaler ma colère , mon anxiété pour ses yeux de saphir . Ma colère pour Aleesha , mon anxiété de disparaître , de m'effrayer moi même de ne pas être écouter , d'être rejeter , de ne pas être dans sa mémoire , de ne pas m'affirmer assez . Je balayais toutes ses pensées pour finir par avancer , je fermais la porte a clé pour me déshabillé , je mettais la douche sur quelques chose de froid , il mettait impossible de mettre quelques chose de chaud sur ce que je mettais fais à la fête foraine . J'entrais en contacte avec l'eau glacé , j'avais l'habitude autrefois de prendre des douches complètement glacé , sa me calmer , me ramené à la réalité . Je sortais , et je prenais la robe qui avait était dessiner pour moi . J'avais repris contacte avec quelques ami anglais de la famille qui c'était exporter a New York .

Je m'habillais , et je me souvenais de la derniere fois ou j'avais enfilé une robe de soirée , c'était la que tout avait commencé avec Damon. Je me souvenais de sa main qui c'était déposer sur ma hanche pour ensuite m'entourer . On était l'un contre l'autre , et il me manquer , il avait déposer ses lèvres contre ma joue . Tous ce qu'il constitué était d'un troublant arrogant pour moi . Je me maquillais et me coiffé légèrement presque comme d'habitude . Je savais qu'Aleesha allait être magnifique et quelques par je me sentais complexer .J'avais l'impression de m'être déguiser en princesse , or les princesse attendaient toujours d'être sauvez d'elle même . J'étais pas du genre a attendre le prince charment , j'étais une impatiente . Il fallait y aller , il se fessait tard , je prenais mon masque en main et j'allais rejoindre Hayden , je ne savais pas ou il se trouvait d'ailleurs . Je descendais et je voyais Hayden apparaître devant moi , il s'était fais beau il avait mis un costume qui lui coupé a merveille sa silhouette . Il avait tout d'un gentleman , et il me regardait assez étrangement , d'un air assez impressionné ... ce n'était qu'une robe fallait qu'il s'en remette .

- Tu es... Splendide.. Woah, j'ai un présent pour toi si tu veux bien.

Il venait de s'approprier ma main et il déposait un baiser , comme un parfait gentleman , cette façon de voir Hayden n'était pas encore apparue , il changeait de facette et je me posais de beaucoup de question sur ce qu'il était et quels étaient ses buts finals. Pourquoi m'avoir invité moi? C'était visible que Damon et Moi ressentons plus que de l'amitier , enfin je pense que c'était visible . Il me fessait douté . Quand je le voyais comme ça je voyais les traits de Damon qui m'apparaissais c'était vraiment gênant parce que j'étais certaine que Hayden aurait beau essayer d'étre comme son frére , Damon avait cette chose dans les yeux qui me guidait vers lui , parfois les solutions étaient simple même quand toutes les lumières étaient éteinte . C'était simple , c'était lui , même si je pouvais regardais vers la fenêtre et me dire qu'il y avait des au revoir qui pouvait déchirer , c'était lui qui m'apparaissais comme une évidence dans les ombres du jours .

- Tu es pas mal dans ton genre. Ca me gêne.. C'est magnifique.. J'ai rien pour toi...


- Ta présence est mon cadeau.

il me déposait un bracelet un diamant autour du poignet , je comprenais pas vraiment pourquoi , d'autant que j'avais une grande difficulté a accepter les cadeaux... j'acceptai sans comprendre . Ta présence est mon cadeau, je me demandais vraiment ou il voulait en venir , il n'avait peut être pas bien saisie le message. Le seul qui était vraiment important pour moi , ce n'était pas lui . Il m'emmena vers la voiture , il avait demander un chauffeur , une voiture assez discrète . J'étais assise a l'arrière en sa compagnie , et je devais le préparer a ce qu'il allait voir , Syd avait un dont certain , j'étais sa plus grande admiratrice sur le plan artistique , son imagination n'avait aucune limite et j'aimais le fais de ne pas avoir de limite son caractère totalement décaler . Il me regardait assez étrangement , quand je parlais de se que pouvais faire Syd mon admiration devait certainement se voir . Je lui appris qu'il était le premier garçon qui avait était dans mon coeur . J'avais pas de mal a parler ça , car c'était du passer j'avais 16 ans . J'étais une adolescente , il avait participé a mon évolution il m'avait fait changé , évoluer . Découvrir des choses qu'en moi je ne soupçonnais pas , je retrouvais exactement cette chose avec Damon , une protection enflammé . Je savais pas si c'était un bon signe ou pas mais je le ressentais , c'était en moi et je ne luttais plus . J'avais sans doute baiser la garde .

Je gonflais mes poumons au maximum en fermant les paupières , j'avalais ma salive très lentement pour reprendre mes esprit . J'allais sortir de la voiture , et je ne savais pas encore ce qui aller se passer mais j'étais certaine que les choses allaient encore une fois être bouleverser . J'ouvrais les yeux et je me laissais guider par Hayden , il y avait beaucoup de monde , tout le monde posséder son masque . Hayden mis son masque , et je mis le mien. Celui d'Hayden était plutôt claire , et le mien était dans les couleurs doré tout comme ma robe , c'était de plus en plus étrange car cela fessait ressortir ses yeux bleus qui cachaient temps de chose derrière . Je ne savais pas ou j'allais mais j'y allais les yeux masquées . Je tressaillis à un raclement de gorge , c'est dans le silence de mort que nous avancions .

On entrer par un long corridor , Syd était complètement fou , il avait tout changer l'architecture depuis la dernière fois . C'était un magicien un vraie de vraie , Harry Potter pouvait aller se rhabillé avec sa cape sorcier . Deux escaliers c'était présenter a nous, il était immense , j'avais le réflexe avec Syd de regardé au plafond , un domne laisser passer de la lumière il était immense , et les motifs se fondaient les uns avec les autres , il était magnifique . Hayden m'entraînait vers une salle , il ne savait pas plus que moi ou on aller , j'avais cette impression de découvrir un nouveau monde . On avancer dans une immense salle qui s'était illuminé Jaune blanchâtre qui était assez aveuglant et Rouge a notre arriver , je ne savais pas ce que cela signifier . Je cherchais autour de moi des visages familier mais avec les masques c'était missions impossible . Les drapées étaient magnifique c'était de la soie ou du satin , ils s'illuminaient doucement c'était impressionnant des funambules passaient de drap en drap , il y avait beaucoup de monde et il dansait déjà. Je n'entendais pas Hayden mais il me prenait la main pour me menait au centre de salle il se mettait en face de moi et il s'approchait de moi , et je me reculais doucement , il n'était pas question . Pas pour moi en tout cas . Il me tenait pour qu'on danse et j'acceptai . La musique nous portées doucement et lentement .

- Pourquoi tu m'as choisi moi ?


Avec le bruit qui s'était former autour de nous , la musique , je n'entendais pas sa réponse , il menait la danse et m'emporter avec lui . Il dansait bien et il avait quelques pas maladroit c'était amusent . Quand la danse se terminait il me dis qu'il allait nous chercher des verres , sa je l'avais compris car j'avais vue ses lèvres bougeaient et qu'il se dirigeait lentement vers les boissons . Je regardais tout autour de moi s'ils étaient la , bien que je ne voulais en voir qu'un seul . Je les chercher tous . Hyde , Syd, Aleesha , Damon. Je ne les voyais pas . Syd était déjà sur place , c'était lui qui avait organisé se conte de fée et pourtant que des visages inconnus sous ses masques . Voilà quelques minutes que je patientais Hayden avait disparut et c'était assez inquiétant . La flemme de la pièce était devenue noir un personnage étrange venait de faire son apparition , et il se dirrigeait vers moi ou peut être pas en faite . L'aura noir de la pièce m'avait interpeller , telle que je connaissais Syd , les couleurs n'étaient pas la par hasard . Il avait un masque de noir et d'argent ses yeux étaient bleu , la même silhouette ... C'était Damon sans Aleesha ?
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MessageSujet: Re: Le Cavalier Noir .   Le Cavalier Noir . EmptySam 20 Fév - 21:36

Elle semblait étrangement troublée, j’étais en train de me rappeler chacun de mes gestes et j’en conclu que ça ne devait pas venir de moi mais de l’endroit. Bon nombres de personnes nous regardèrent quelques secondes faire notre entrée, je sentais mon égo s’agrandir car j’allais à cette soirée avec une fille qui me plaisait fortement. De plus, elle était magnifique comme à son habitude mais elle avait des allures royales ce soir. Elle était tout simplement formidable, j’avais du mal à croire qu’il existait mieux qu’elle sur terre. On traversait les salles, c'était réellement impressionnant. Des drapées siégeaient au plafond et quand on arrivait dans la salle la couleur changeait, blanchâtre, jaune et rouge. Je ne comprenais pas trop pourquoi ses couleurs, on allait au centre de la salle, beaucoup d'invités inconnus dansaient déjà, les gens tournaient et tournaient étaient masqués, c'était assez paralysent pour moi qui captait chaque détails. Je l'entraînais pour qu'on danse. Elle acceptait, j'allais me coller un peu plus contre elle, quand elle s'éloigna gentiment. Elle semblait vouloir me dire pas trop proche… J’avais saisi.

- Pourquoi tu m'as choisi moi ?

Il y avait tellement de raison qui m'avait poussé réellement à faire ce choix, parce qu'elle était splendide, qu'elle était intelligente, qu'elle avait tout ce que j'attendais d’une femme dans sa simple totalité, aussi car on m'avait demandé de me rapprocher d'elle et enfin parce que j'allais mettre Damon en rage malgré notre paix. Je ne lui avais jamais fait de mal et lui si alors il n'avait que la monnaie de sa pièce, en plus elle ne lui correspondait pas. Pas à lui. J'étais certain qu'elle n'allait pas entendre ce que j'allais dire mais tant pis.

- Je pourrais te donner plusieurs raisons mais ce serait sans doute trop déplacer pour le moment, disons simplement que je t’apprécie déjà énormément.

J’étais presque certain qu’elle n’avait pas compris un seul mot de tout ce que je venais de prononcer. Je continuais à mener la danse qu’on avait entamée, je la menais et j’appréciais la sensation dans ses mais mêlées aux miennes. La musique étouffait le moindre son de ma voix. J’essayais de coordonné mes pas avec les siens et malgré les difficultés, j’avais une bonne estime de mes mouvements. La danser se terminait lentement, elle semblait avoir partagé ce moment avec moi, peut-être pas autant que je l’espérais mais un minimum au moins. Je m’éloignais d’elle, prétextant que j’allais chercher de quoi étancher notre soif. En réalité, j’allais commencer la mascarade. Une fois que j’étais sûr qu’elle ne me regardait plus, je montais à l’étage et entrais dans une des nombreuses chambres, un numéro m’avait été donné, j’avais supposé que c’était le numéro de la chambre dans laquelle je me trouvais. Mon costume de rechange s’y trouvait, les gens du centre avaient une manière très précise de travailler. Pendant que je me changeais, j’essayais d’obscurcir mes pensées car mon frère avait toujours avait toujours adopté la torture psychique, si je me mettais dans sa peau, mon jeu serait plus bénéfique. Une fois que j’avais terminé de m’habiller, je disposais le masque d’argent sur mon visage. Lorsque je refaisais mon entrée dans la salle, la salle devenait de plus en plus sombre. J’avais réussi à adopter l’allure de mon frère pour le moment, j’espérais pouvoir maîtriser cela jusqu’à la fin de la soirée. Plusieurs personnes me regardaient avec un air troublé, j’étais conscient que mon frère et moi nous nous ressemblions, il fallait vraiment être très doué pour nous différencier ce soir. L’idée m’amusait, bien que le travail que je devais accomplir effacer ma satisfaction.

Les visages des personnes m'apparaissaient comme inutiles, je ne voyais que le regard d'une seule personne, une seule femme. La pièce s'était éclairée en noir. J'étais devenu parfaitement sombre, tout s'éparpillait devant moi, je faisais ça parce que je le devais, je devais posé des puces à tous les spécimens que je rencontrai. Je n’en avais pas envie. J'étais simplement contraint à le faire, complètement pris au piège, j'abandonnai Auréa. Je la voyais au milieu de la salle avec toutes ses personnes autour, elle cherchait un visage connu et elle me fixait. Croyait-elle que j'étais Damon ? J'étais attiré vers elle comme un aiment. Elle me faisait oublier ma mission. J'enclenchais ma marche vers ce qu'elle était, je la regardais sans lui adresser un seul mot. Je la pris par la taille par surprise, je l'approchais vraiment très près, elle n'avait pas le temps de résister que je la menais d'un pas décidé et nous dansions collé et serré. Elle me demandait si j'étais Damon, je hochais la tête affirmativement et je lui dis que j'étais son Cavalier Noir. Tout le monde avait posé les yeux sur nous. Nos pas suivirent le tempo imposé par la musique, cela m'amusait. Son regard se perdait totalement dans le mien, elle n'était pas sûre de qui elle avait face à elle, son corps était brûlant et ce n’était pas pour me déplaire, je la sentais vulnérable entre mes doigts. Le rayonnement des flammes exerçait sur elle une sensation de pureté même masquée, c'était comme la première fois où je l'avais rencontré. On aurait dit un ange d'or, inaccessible. Je souriais car cela se réalisait, si Damon savait ça, il allait vouloir ma peau mais j'en avais rien à faire, j'étais là avec elle. Je la voyais, une fois la danse terminée, je la prenais par la main et je l'emmenais ailleurs, je courrais presque, on montait les escaliers, nous étions dans le couloir.

J'étais le plie d'un origami infini, je pouvais être n'importe qui, ma seul résistance c'était elle. Elle faisait poussée une puissance malsaine, qui détruisait le battement de mon cœur. L'arrivée d’oxygène dans mon sang se troublait, s'enrageait jusqu'à chauffer mes veines et peut-être qu'avec un peu de chance j'allais exploser, au lieu de subir toute cette souffrance qui montait en moi comme une montée d'adrénaline. Chacun de ses souffles s'amusaient à me tuer et à me réanimer. Elle me trouvait, m'envoyait balader. J'attendais qu'elle me casse en mille, qu'elle tue mon souffle mais elle était incapable de le faire car elle me maintenait en vie. Je lui faisais simplement face, juste face. Je la poussais contre le mur, ses yeux s'étaient remplis de désir et je sentais aussi l'inquiétude. Elle n'était pas ce genre de fille à coucher avec n'importe qui, encore moins avec quelqu'un dont elle n’était pas sûre de l’identité. Je ne cessais pas de la regarder. Quelque part, c'était amusant de regarder son propre assassin dans les yeux, celle qui pouvait faire de vous quelqu'un de meilleur ou d’horrible, elle m'enfermait dans une bulle sans le savoir. C'était sans le faire exprès, sans un désir de sa part. Tout se faisait à partir de sa personnalité, de sa manière de se tenir, de la formation de son corps, de ses courbes infinies. Bien sûr, ses courbes, on pouvait les retrouvées chez d'autres femmes mais les autres femmes ne m'intéressait pas. Damon et ses conneries de pseudo relation, j'en avais rien à faire, je savais qu'il n'était pas sérieux, il ne l'était jamais. Il allait plus la faire souffrir qu'autre chose. Il aimait Aleesha, alors qu'il reste avec Aleesha. Auréa, pour lui, n'était qu'une distraction momentanée. Rien de plus. Elle injectait en moi un poison, à tel point que tous mes neurone choqués les uns contre les autres, à tel point que je ne pouvais pas que la regarder. Elle était surprise que je transperce ses attaches.

Je n’avais pas besoin d'excuse, j'étais son cavalier noir, quelqu'un d'inconnu et de mystérieux. Ma main droite commençait à se balader sur sa poitrine, elle était coincée. Elle résistait un peu en essayant de me parler, je répondais brièvement avec une voix ressemblant à celle de Damon. Je refusais d'être esclave de sa beauté. J'étais en ébullition et elle me faisait attendre. L’organe qui pompait mon sang s'excitait tout seul dans ma poitrine. Je touchais le tissu de sa robe, la fêlure à l'avant laissait sa jambe à porter de main. Nous étions toujours dans le couloir et je n’en avais rien à faire que quelqu'un arrive. Ses yeux ne me lâchaient pas, je la voulais pour ce qu'elle était. Elle entrouvrait ses lèvres pour respirer et c'est à ce moment-là que mes lippes s'échouèrent sur les siennes et je laissais mon souffle courir face à elle, mon bras s'enroulait autour de son buste et je continuais de l'embrasser, je sentais que son corps se faisait plus souple. Elle était détendue, ma dextre se posait sur sa hanche découverte, je la faisais remonter doucement.

Puis elle se retira brusquement pour me dire dans un charabia inexplicable qu’elle déclinait totalement que j’étais Damon, à cause de mes yeux. J'avais les même traits de visage que lui, mon corps était le même que le sien sauf que je n'avais pas les mêmes tatouages que lui, j'avais pris son parfum, j'avais son odeur, mes yeux étaient du même bleu que les siens. Elle s'échappa de mon emprise et je lui courrais après, en lui criant de revenir. J'étais au balcon et elle descendait… Je voyais qu’il entrait au même moment dans le Hall. Je reconnaissais tout de suite l'ombre de mon frère, je me retirais du balcon et je me repliais dans le couloir. Je devais arrêter de penser à elle. Je devais effectuer ma mission. Ma perte de contrôle avait toujours été temporaire et j'avais réussi à récupérer mon self control malgré la difficulté que j'ai eu à ressentir. Je me déshabillais pour remettre mon costume d'origine, elle devait sûrement m'attendre en bas, il fallait que je fasse comme si de rien n'était.
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MessageSujet: Re: Le Cavalier Noir .   Le Cavalier Noir . EmptyVen 19 Mar - 16:49

J’étais en dehors de la maison, loin de tous les mensonges que je pouvais voir en lui. Je ne comprenais pas pourquoi il me mentait de cette façon, je ne le comprenais pas pour la première fois de ma vie et même si aujourd’hui il n’en avait rien à faire, je me sentais blessée par son comportement mais il ne savait pas. Il ne se rendait peut-être pas compte… J’essayais cependant d’oublier ce qu’il venait de se passer, je rentrais dans la voiture et je fis un sourire rassurant à Georges. C’était facile de faire semblant d’aller bien, je savais que j’étais capable de le faire. Tout à l’heure, je m’étais tellement énervée que j’avais enlevé cette bague qui me prouvait que j’étais attaché à Damon, c’était la seule chose qui me prouvait qu’il m’appartenait encore ne serait-ce qu’un minimum… Je l’avais posé sur sa table de chevet, tout simplement. S’il la trouvait, il comprendrait que j’en ai assez, qu’il est tard maintenant et que je me sens toujours agressée. Je regardais toujours par la fenêtre et regrettait d’avoir enlevé cette bague… Je ne voulais pas lui faire mal de cette façon. Je ne voulais pas qu’il ressente la même chose que je ressentais à cet instant, c’est cette raison qui m’avait poussé à faire demi-tour pour aller récupérer cette bague, aussi stupide cela puisse vous paraître.

Lorsque j’étais partie de chez lui, il était dans sa chambre mais il n’avait pas prêté attention aux détails de sa table de chevet et j’en étais contente enfin de compte. On était vite à nouveau chez lui, je sortais de la voiture et me dépêchait de rentrer et de récupérer ce qui m’appartenait si j’avais de la chance, je ne le croiserais pas. J’entrais chez lui sans toquer assez vite mais malheureusement, je tombais directement sur lui. Il me regardait avec un air désolé sur le visage mais je ne voulais pas le regarder alors je regardais tous ce qui m’entourait, les murs, le sol. Je ne voulais pas le regarder, il n’avait pas le droit de me diriger d’un simple regard, je voulais m’arracher à lui. Il semblait vouloir vivre sa vie, sans moi et cette idée était comme une écharde plantée dans le cœur. Il avait le pouvoir de tout détruire, de tout reconstruire en un simple souffle. Et pourtant, je me rappelais de tout ce qui m’avait rendue folle de lui. Je ne pouvais le comparer à personne, je ne voulais le comparer à personne. Je n’avais aimé qu’une seule fois et cette fois-là était tombée sur lui. Je n’avais pas choisi de ressentir autant de chose pour lui, je n’avais pas choisi qu’il m’est autant appris et donné en seulement quelques années.

- J’ai oublié un truc… Je m’en vais directement après, t’en fais pas.

- T’es pas obligée de partir tout de suite, je veux pas que tu partes comme ça, alors qu’on vient de s’engueuler. Reste encore un peu.

Il m’emmenait dans le salon, je m’asseyais à côté de lui-même si j’aurais préféré m’enfuir loin de son odeur qui me rappelait des choses que personne d’autres que nous ne savaient. Je n’avais pas besoin de comprendre, je ne savais rien du tout mais je savais tout. Il me connaissait mieux que mes propres parents, il connaissait mes faiblesses, mes rêves, mes forces. Le regarder me faisait souffrir car je n’ai jamais vu des traits aussi parfaits mais la pire chose était ses yeux, ils étaient indéfinissables… Et sa voix me donnait souvent envie de tomber. Lorsque votre âme sœur vous quitte, vous sentez la moitié de vous s’en allait avec elle, vous n’êtes pas mort mais vous ressentez chaque détail de cet amour vous assaillez. Chacun de ses mots étaient d’une arrogance violente, il voulait que je me montre coopérative alors que je voulais seulement partir loin d’ici, loin de mon passé qui me tuait car lui, il avait tourné la page. Il l’avait tourné, tellement vite…

- Aleesha, ce soir, je t’annoncerais quelque chose et je veux que tu sache que c’est pour ton bien premièrement. Je veux juste que chacune de mes phrases, je les pensais et les penserais toujours.

- Ok, je suppose que t’attend que je comprenne, que je sois d’accord avec toi, c’est vrai que tu n’aimes pas quand on est contre tes idées…

Je ne voulais pas lui parler, il fallait qu’il le sache. Je savais qu’il ne répondrait pas à cette attaque car il savait que j’avais raison et Damon n’a jamais voulu avoir tort. Alors, je restais dans ce silence, je restais là même si je ne savais pas pourquoi et je pensais à cette bague, pourquoi j’étais venue la chercher déjà ? Je riais nerveusement, c’était de la folie, cette histoire, cet amour que j’ai pour lui. Il me rendait tellement différente de tout ce que j’étais, il me rendait meilleure et pire à la fois. Je lui en voulais, d’une force immense, je lui en voulais de m’abandonner encore. Je m’étais promis de n’aimer personne d’autre que lui mais qu’est-ce qu’il faisait là ? Pourquoi ? J’étais perdue dans des pensées toutes aussi agressives les unes que les autres. J’étais perdue tout simplement et il le savait mais je ne voulais pas arrêter de vivre pour autant. J’aime la vie, je n’étais pas du genre à être brisée pour une futilité. Damon était tout ce qui m’était important… Mais personne ne le comprenait et il ne voulait pas le voir. Il se levait assez brusquement, ça me fit sursauter. Je regardais ses yeux, il était en colère, vraiment en colère. Je regardais derrière moi et vis Hayden et Auréa. Ils s’embrassaient… Je me levais à mon tour et les regarder. J’avais du mal à comprendre… Ils s’aimaient tous les deux ? Je m’étais trompé sur le fait que Damon et elle entretenait une relation mais pourquoi Damon était énervé alors ? Damon avait mal, c’était lisible sur son visage. Je ne voulais pas ça mais je ne comprenais plus rien.

- Qu’est-ce qui se passe Dam’ ?

- On voulait pas vous le dire mais on se connait depuis… que vous êtes venu en Russie. Je l’ai rencontré dans ma chambre parce que Syd l’avait envoyé… Et ça a été le coup de foudre.

J’avais de plus en plus de mal à comprendre mais si Hayden disait la vérité, c’était que je m’étais complètement trompé sur cette relation que j’avais imaginé… Etrangement, je m’en sentais rassurée mais j’avais trop l’habitude de croire des choses en ce qui concerne Damon, je n’étais pas objective lorsque le sujet tournait autour de lui. Damon partait vers eux et bousculait agressivement son frère. J’étais perplexe, pourquoi il se montrait si brutal là ? Il emmenait Auréa ailleurs ensuite, c’était vraiment n’importe quoi. J’étais censée croire quoi ? Je restais debout, en plus milieu du salon et je regardais Hayden. Je ne savais pas ce qu’il se tramait mais peut-être que c’était mieux comme ça pour le moment, je ne demandais pas à Hayden de m’expliquer quoi que ce soit, je n’en voyais pas l’utilité à cet instant et je m’asseyais de nouveau en attendant que Damon revienne. Une part de moi me criait d’aller voir ce qu’il faisait avec Auréa mais une autre me disait de rester là pour ne pas que je souffre encore. J’attendais simplement, en essayant d’imaginer autre chose que cette chose. Damon était revenu quelques minutes plus tard, je montais à l’étage pour récupérer ma bague et redescendais pour arriver dans le Hall. Il me raccompagnait jusqu’à la voiture, je m’apprêtais à rentrer dans le véhicule mais il me serrait contre lui… Je me sentais paralysée. Il me froissait en me prenant dans ses bras mais je m’y blottissais instinctivement. Il me demandait de lui faire confiance, je me retenais de ne pas soupirer et j’hochais simplement de la tête pour ensuite rentrer dans la voiture.

On démarrait et je m’en allais. Je ne savais plus comment me sentir ni quoi penser, ni quoi faire. Je m’étais encore perdue en lui. Je rentrais chez moi assez vite, Georges me déposait à mon appartement. Je ne voulais pas aller directement chez mes parents, ils allaient sans doute me poser encore plusieurs dizaines de questions et je n’avais pas la tête à leur répondre. Je ne voulais voir personne non plus, je voulais juste être seule. Je m’étais de la musique, je n’avais jamais supporté la télé et me rendait dans ma penderie. Damon voulait que j’assiste à cette soirée que donnait Syd pour la Saint-Valentin, il voulait que je sois présente alors que j’étais sûre qu’il allait trouver un moyen de me laisser en plan, je ne connaissais pas beaucoup de monde et je n’osais jamais allait vers les gens en première. J’étais lassée de tout ça, je n’avais pas envie d’y aller, je n’avais pas ma place, je ne la trouvais pas en tout cas. Mon armoire était remplie de toutes sortes de robes, courtes, longues. De différentes couleurs aussi. Mais j’arrêtais mes recherches lorsque je tombais sur cette robe vermillon. J’avais toujours trouvé ses broderies blanches magnifiques et le satin et la mousseline qui la constituait ne faisait que me la faire aimer d’avantage. C’était une robe près du corps jusqu’à la moitié des cuisses, la traine de la robe était évasive et doublée. Le satin recouvrait la mousseline blanche dorée. Elle était contraste, un mélange entre le vermillon, le blanc avec des touches dorées discrètes qu’on ne percevait pas directement. Le choix de ma robe n’était plus un problème.

Après ça, j’ai simplement dessiné. Des choses abstraites parfois, des choses concrètes d’autres fois. Je dessinais ce qui me passait par la tête et repensait à Nastya, c’était elle qui m’avait donné ce goût de dessiner, elle était talentueuse, j’avais toujours aimé ses dessins. Ils étaient peut-être spécials mais personne ne pouvait nier qu’il était magnifique. Nastya était ma meilleure amie, c’était elle qui m’avait présenté Damon. Je pouvais m’en rappeler comme si c’était hier. Je pensais souvent à elle, c’était une fille unique, sûrement aussi unique que Damon. Ils avaient fait mon bonheur comme personne ne l’avait fait auparavant et je m’en voulais que le centre m’ait enlevé… Nastya s’était donc retrouvée seule et rien que d’y penser, j’en souffrais. Elle avait toujours été là pour moi, lorsque je devais parler de chose que Damon ne pouvait pas comprendre. Elle m’avait écouté, consolé, m’avait fait rire et tout ce qui s’en suit. Je me jurais de la retrouver un jour, de lui expliquer mais je n’étais pas aussi stupide, je connaissais Nastya par cœur et je savais qu’elle aurait besoin de temps pour me pardonner… Ou peut-être qu’elle ne le ferait jamais mais je voulais qu’elle revienne dans ma vie. J’avais du manqué tellement de chose… Lorsque je me remémorais certains fous rires, je souriais en regardant ma feuille de dessin, c’était une fille tellement lumineuse lorsqu’elle était heureuse. C’était étrange comme tout cela semblait si loin et si proche à la fois. Je ne m’étais pas rendue compte que j’étais resté assise, à dessiner pendant tout le reste de l’après-midi, j’allais être en retard encore.

Je prenais une douche rapidement et ne séchais pas mes cheveux complètement. J’aimais laisser mes cheveux séchés à l’air, j’aimais cette sensation de fraîcheur, j’enfilais une tenue temporaire pour me laisser le temps de me maquiller, de me coiffer et mettre ma robe, il fallait que Damon m’aide à lacer le corset papillon, derrière ma robe, même si elle était dotée de fines bretelles. Je me dirigeais à la cuisine et prit un verre d’eau. Il faisait sombre dehors et pourtant il n’était que 18h30. Je regardais quelques instants par la fenêtre, je m’y perdais même mais quelqu’un sonnait à la porte. A tous les coups, c’était Damon qui ne voulait pas que je sois en retard. Je me dirigeais vers la porte et l’ouvrit. Mes suppositions étaient justes, Damon était à l’entrée, déjà habillé et bien sûr sans cravate. Il avait toujours détesté ça dans mes souvenirs, ça ne devait pas avoir changé. Il faisait partie de ses personnes qui n’avaient pas besoin d’être habillés de façon recherché pour être magnifiques. Il l’était naturellement, c’était très agaçant par moment. Je l’invitais à entrer, c’était la première fois qu’il rentrait chez moi. Il s’avançait et observait tout comme un enfant curieux. Je le laissais faire en me taisant. Il se retournait pour me faire face et il me souriait. Son sourire était le plus beau que je connaissais et ce n’était pas parce qu’il s’appelait Damon. Je n’étais pas la seule à penser ça… Je n’étais pas la seule.

- Alors, tu aimes ?
- Oui, c’est pas pour rien que tu es architecte.

Je riais doucement sous ses paroles. Je lui servais ensuite un café, noir, sans sucre. Il acceptait et s’asseyait dans le salon, j’étais contente de sa présence, contente qu’il me parle même si ce n’était pas une conversation énorme. On devait se donner des explications mais je n’avais ni le sentiment que tout se passerait bien, ni l’envie d’entendre certaines choses et même s’il se taisait pour le moment, je savais qu’il parlerait avant moi. Avec mon accord ou sans, ça lui était égal. J’appréciais tout de même le fait qu’il veuille être droit avec moi même si la vérité allait sans doute me faire mal. Je me doutais du sujet sur lequel reposait cette fameuse conversation mais c’était difficile pour moi de l’admettre, difficile pour moi aussi de l’envisager. Je venais à peine de le retrouver et on me l’arrachait déjà, ce n’était pas juste. Je sentais qu’il le voulait aussi, qu’il voulait s’arracher de moi peut-être définitivement ou quelques temps mais allez comprendre ça lorsque vous êtes jalouse et possessive comme je le suis. Je n’avais pas l’habitude de ne pas avoir ce que je voulais et Damon le savait… Il était le seul qui pourrait m’interdire de l’aimer comme je voudrais l’aimer. Il faisait taire mes caprices mais à chaque fois qu’il m’avait privé de quelque chose, c’était généralement pour mon bien. L’était-ce encore ?

- Damon, je vais terminer de me préparer. Tu peux faire ce que tu veux en attendant mon retour.
- D’accord, merci.

Je m’attachais les cheveux pour pouvoir me maquiller convenablement. Je ne forçais jamais sur les doses car je n’aimais pas la sensation que certains produits me faisaient ressentir. Je pris du fard à paupières sombre et en recouvrait mes yeux, je mettais du crayon, du mascara et j’aimais assez le résultat. Après le fond de teint, la poudre de finition et le parfum, je pris la robe et l’enfilait délicatement pour ne pas l’abimer. C’était une robe excessivement chère, si je la cassais, j’allais le regretter. Mes cheveux étaient secs mais n’étaient pas encore coiffés. J’allais dans le salon pour que Damon puisse fermer mon corset. Ca me rappelait le passé, encore une fois, il avait l’habitude de le faire avant que je ne parte avec mon père et ma mère pour différentes réceptions. Il se levait déjà pour m’aider, ça me faisait rire.

- Hm… Tu peux m’aider s’il te plaît.
- Pour pas changer hein.

Il disait ça en riant. Il lassait ensuite mon corset sans serrer trop fort ou pas assez. Il savait de quelle manière faire la chose et j’en été contente car Marie le serrait toujours trop fort. Une fois qu’il avait fini, je retournais dans la salle de bain pour me coiffer. Je prenais le lisseur ensuite et lisser toute mes longueurs de cheveux. Une fois que j’eu complètement fini, je retournais dans la penderie pour aller chercher une petite boîte où y été stocké deux masques, un pour Damon, l’autre pour moi. Je savais qu’il allait oublier le sien, il n’aimait pas les soirées habillées et donc il en devenait distrait. Mais sur l’invitation de Syd, il était marqué que si nous n’avions pas de masques, nous ne rentrions pas. Ca aurait été bête de le laisser devant l’entrée. Je prenais la boîte et prenait une paire de talons aiguilles au passage. Elles étaient noires et laquées, simples mais le noir allait avec toutes les couleurs, c’était connu. Je rentrais dans le salon, m’asseyait pour mettre mes chaussures. Une fois mises, j’étais entièrement prête. Damon me regardait mais je ne voulais pas espérer quoi que ce soit donc je faisais semblant de ne rien remarquer.

- Voilà, je suis prête, on peut y aller si tu veux.

Je me levais et pris ma pochette pour y mettre les deux masques, heureusement la pochette était assez grande pour pouvoir y mettre les deux masques. Je mettais ensuite un boléro vermillon, de la même couleur que ma robe et attendait que Damon réagisse enfin. Il s’était levé pour me rejoindre et continuer à me fixer fortement. Je le prenais par le bras et sortais dehors.

- Sasha, tu es magnifique là-dedans. Tu le sais ?

- Merci, je suis contente que tu aimes.

- De rien.

Une certaine gêne s’immisçait en moi, je n’avais plus l’habitude qu’il me complimente de cette façon et de toute façon, je savais qu’il ne le ferait plus aussi souvent qu’avant. On continuait à marcher jusqu’à sa voiture, elle était un peu plus loin de chez moi. J’avais toujours peur de me fondre dans le ciel de ses yeux, je ne voulais pas voir cette couleur indéfinissable et envoûtante. Il fallait que je me prépare à cette conversation qui m’attendait. Je ne savais pas si il y aurait des gens que je connais là-bas, j’y allé pour Damon, simplement mais une question me tourmentait depuis longtemps.

- Pourquoi tu veux que j’aille à cette soirée, Damon ?

- Je voudrais qu’on puisse se parler, qu’on soit seuls quelques temps. Enfin tu comprends…

- Je peux comprendre, oui. Ce n’est pas vraiment ça le problème, c’est ce qu’il se passera après qu’on ait parlé le problème.

- Je sais… Mais laisse-moi essayer… Juste essayer.

Je lui donné ma réponse en hochant de la tête, je pouvais au moins l’écouter. Après, qu’est-ce que j’avais à perdre ? Je m’affolais dans le vide, sans avoir la connaissance de quoi que ce soit et je ne pouvais pas lui reprocher d’être franc avec moi, de me parler alors que Damon n’était pas quelqu’un qui parlait facilement. J’avais la chance de dire que je pouvais le comprendre, que je le comprenais et que j’aimais l’écouter. Il pouvait se confier librement, il pouvait me parler. Et j’aimais le fait de posséder sa confiance, de l’avoir depuis tellement longtemps et qu’il ne me l’a pas retiré malgré toutes les années qui se sont écoulées sans qu’on ne puisse faire quoi que ce soit. Je me rendais compte que je n’avais vu qu’à travers lui, que je n’avais jamais réussi à aimer quelqu’un d’autre que lui. Je ne connaissais pas les autres sentiments que l’amour pouvait nous offrir, je connaissais simplement Damon, il voulait sans doute que je m’échappe vers d’autres horizons, que mon cœur s’agrandisse. Je ne pouvais pas rester insouciante toute ma vie, il voulait que je vole de mes propres ailes. Il était temps… Et même si je ne comprenais pas pour le moment, je lui faisais confiance. Damon était mon âme sœur, l’amour de ma vie et il le resterait à jamais. Il était la chanson que j’aimais chanter et qui me rendait libre. Je pouvais tout endurer, je voulais simplement qu’il ne m’abandonne pas. J’avais besoin de lui pour guider mes pas, j’avais besoin de cette sûreté qu’il m’apportait à chaque fois que je laissais ma tête sur son torse, que ses bras me serrer contre lui et que sa main prenait la mienne… Je me sentais en sécurité avec lui… Je n’avais pas peur du vide.

On était arrivé à la voiture, il m’ouvrait la portière. J’entrais et il la refermait. Une fois qu’il était entré à son tour, il démarra la voiture. Durant le trajet, on se rappelait plusieurs souvenirs qu’on avait partagés à deux. On riait de certaines choses, j’étais nostalgique à certaines choses qu’il disait car c’était évident que ce temps-là me manquait. Il était en face de moi et pourtant je le sentais si loin… Tellement loin que j’avais la sensation qu’il était à des kilomètres. J’avais l’impression que je n’avais plus aucune chance de toucher son cœur. Je tournais ma tête car je ne voulais pas qu’il me manque même si il me manquait trop souvent, je l’entendais soupirer discrètement. Il devait s’attendre à ça, il devait se douter que ça ne passerait pas aussi facilement qu’une lettre à la poste. Je regardais par la fenêtre. Les voitures défilaient toutes sous mes yeux et pourtant mon cœur était en Russie. Je n’aimais pas spécialement New-York. Je ne me sentais pas chez moi… J’étais une fille russe, toute ma vie était en Russie. Ce centre avait brisé quelque chose pourtant. Il m’avait arraché à ma famille, à mes amis. J’avais beaucoup de contacts mais ça ne restait que des personnes sans valeurs pour moi et je ne voulais pas les connaître. New-York avait pourtant des avantages considérables, je devais l’avouer mais ce n’était définitivement pas la même chose. La voiture s’était arrêté, on devait être arrivés. Je retenais Damon avant qu’il ne sorte et prenais la pochette où les masques se trouvaient. Je sortis le sien et lui tendais. Il le prit et souriait avec embarra.

- Haaaa… J’avais complètement oublié ça. Heureusement que tu es là.

- En te connaissant, j’avais prévu le coup tu sais.

Il m’embrassait ensuite sur la joue et je lui rendais son sourire en tentant de le convaincre que ce n’était rien. J’avais choisi son masque en fonction des couleurs qu’il aimait le plus, le noir et l’argent. Le masque était un loup fait à la main, directement importé d’Italie. Le motif du masque était des larges losanges où le noir était dominant. Le masque que j’avais choisi pour moi avait pour couleur dominante, le rouge. Les sortes de gravures qui avaient été dessinées dessus étaient de couleur argent. Des minuscules perles avaient était dispersées dessus. Après qu’on était tous les deux attachés nos masques, on sortait de la voiture et on se diriger vers l’entrée du magnifique manoir de Syd. On entrait ensuite dans le manoir, l’atmosphère était étrangement mystérieuse, je prenais la main de Damon instinctivement. C’était quelque peu inquiétant, le corridor était diffèrent de la dernière fois que je l’avais vu. Plus on avançait, plus on était étroit. Damon riait mais ne me lâchait pas la main, je ne voyais pas ce qu’il y avait de drôle. Je n’avais jamais les endroits étroits, ça m’effrayait réellement. Heureusement, nous venions de sortir de ce corridor. Je soufflais de soulagement. En face de nous se dressait deux immenses escaliers, un à gauche, l’autre à droite. Je ne savais pas encore où ils menaient. Damon et moi étions seuls, dans un endroit étrange, il regardait vers le haut, je l’imitais et vit un énorme dôme en verre, on pouvait voir le ciel au travers, c’était magnifique ! Les yeux de Damon brillaient, c’était presque attendrissant, il riait, je savais que c’était car il était impressionné. Syd avait encore fait rêver les gens, il avait la capacité de rendre les rêves réels. Il était réellement appliqué dans son travail et chacune des choses auquel il touchait pouvait très bien se transformer en chose féerique.

- Ce mec est complètement taré… Mais il arrêtera jamais de m'épater.

Il m’entraînait ensuite dans la pièce qui se trouvait au centre de ces deux escaliers. On entrait et une chaleur ambiante y régner. Damon avait trouvé le salon, bon nombres de personnes étaient déjà présents dans la pièce. Je remarquais vite qu'il y avait des mouvements… Dans l’air ! Des acrobates exerçaient plusieurs combinaisons grâce aux drapés accrochés au plafond, les drapés étaient de couleur rose et noir et semblaient changés de part et d’autres, je me demandais bien pourquoi. Je regardais ensuite ailleurs et mon regard s’arrêtait sur Auréa… Elle était magnifique et sa robe était somptueuse. Elle avait des airs royaux, s’en était étonnant. Damon parlait quelques instants avec des gens que je ne connaissais pas et moi je continuais à détailler Auréa, tout était parfait. Je ne voyais aucun défaut et je me rendais compte qu’elle pouvait réellement plaire à Damon, ce n’était pas forcément son genre mais elle savait mettre ses atouts en valeur sans pour autant ressembler à une poupée en plastique, stéréotypée et sans originalité. Damon aimait la différence et Auréa l’était car elle était tout ce que Damon ne connaissait pas. Je la fixais ensuite et lui fit un sourire, ce n’était pas un sourire de jalousie, encore moins de guerre. J’appréciais réellement Auréa et j’étais certaine que s’il se passait réellement quelque chose entre Damon et elle, elle ferait attention à lui. Auréa n’était pas quelqu’un qui s’ouvrait à n’importe qui, si Damon avait réussi à la percer, à la captiver d’une façon ou d’une autre, c’était qu’elle ne lui voulait que du bien. Damon la regardait aussi à présent, je le remarquais parce qu’elle avait tourné les yeux vers lui. Elle était masquée, bien entendu mais je savais la reconnaître et je devais avouer que je l’enviais vraiment mais je ne voulais pas lui cracher dessus, simplement car elle avait une classe hors du commun.
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    Dust in the wind.

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MessageSujet: Re: Le Cavalier Noir .   Le Cavalier Noir . EmptyMer 24 Mar - 19:59

J’étais devant chez elle. C’était étrange, je me rendais compte que je n’avais jamais mis les pieds chez elle, ça ne m’avait même pas effleuré l’esprit. Elle m’avait ouvert et me laissait entrer ensuite. J’ai toujours eu confiance aux goûts d’Aleesha, son appartement devait être un endroit agréable. L’architecture l’avait toujours fascinée, d’une façon ou d’une autre, elle en revenait toujours à ça, c’était sa passion comme la musique l’était pour moi. Elle avait toujours beaucoup dessiné dans le passé, c’était une chose qu’elle avait en commun avec Nastya. J’entrais à l’intérieur et observais les alentours comme un petit garçon curieux. Oui, j’étais excité à l’idée de découvrir son endroit, son chez elle. C’était très vaste et très lumineux aussi. Les murs étaient dans les tons beige, blanc et blanc cassé. Le salon m’inspirait la sérénité, j’aimais beaucoup cet endroit. Aleesha l’avait magnifiquement décoré. Je me sentais directement à l’aise chez elle mais je savais que ce n’était pas une habitude que je devais prendre, je ne voulais pas penser à cet éloignement mais on en avait besoin tous les deux et je voulais qu’Auréa soit certaine qu’il n’y avait plus qu’elle dans ma tête, jour et nuit. Je ne voulais pas que ça change, je ne voulais pas sentir d’autres vibrations, voir une autre lumière car à mes yeux aucune n’était aussi puissante qu’Auréa elle-même.

- Alors, tu aimes ?

- Oui, c’est pas pour rien que tu es architecte.


Bien sûr que j’aimais, j’aimais même énormément et j’étais étonné qu’elle me pose cette question. Je l’entendais rire de façon enfantine, son rire avait toujours eu la saveur des fêtes foraines. Ce soir, j’étais certain que tous ces souvenirs allaient se trouver derrière, je devais cesser de me remémorer ces nuits d’été étoilées, allongé avec elle dans un champ. Je devais dissoudre ces regards intenses avec l’acide de mes erreurs, de mes regrets et de mes sentiments. Je devais lui faire mal pour qu’elle s’éloigne et elle le savait tout autant que moi. Je sentais ma gorge se serrer lentement, je sentais mon ventre se tordre de la même façon. J’avais du mal à me dire qu’aujourd’hui, tout ça sera éparpillé dans le vent et j’avouais que ça n’était pas une sensation agréable. Quelle serait ma réaction lorsqu’elle sera avec quelqu’un ? Comment je vivrais la chose ? Est-ce qu’elle vivait cette chose à cet instant ? Je me sentais confus même si mon choix avait été déjà fait depuis ce matin. Il fallait du courage pour tourner cette page du passé, je devais mettre en pause toutes ces images qui tournaient dans ma tête, ces cieux étoilées, les fragments du vent tiède sur ma peau, je devais arrêter de courir après les anciennes étoiles et me concentrer sur la nouvelle. Je ne pouvais pas mentir à Sasha comme je mentais aux autres car elle était la seule personne à pouvoir me décrypter naturellement, elle n’avait pas besoin de chercher toutes les choses que je cachais, elle voyait mes sentiments à travers ma muraille…

Apprendre à ne plus regretter celui que j’étais avant était une chose vitale si je voulais évoluer. Je n’étais plus personne, du moins, je me cherchais encore indéfiniment. Pouvait-on comprendre ça ? J’étais un peu perdu dans les lumières de cette ville. Je voyais le monde bougeait à une vitesse folle autour de moi mais je ne pouvais bouger, j’étais paralysé, tendu et stressé. Tout en moi me tiraillait des deux côtés opposés et c’était douloureux mais j’étais trop fier pour en parler ouvertement, trop fier pour me dire que j’avais besoin d’aide. Je m’étais toujours dit que ce n’était qu’un jeu, que tout ce que je pouvais vivre n’était qu’illusion et que j’étais bien assez fort pour surmonter tout ça mais les choses s’accumulaient, la vitesse me rendait malade. C’était trop pour moi mais je persistais, je ne voulais pas lâcher ça, je n’étais plus seul dans cette bataille. Je ne pouvais pas voir la fin, je ne pouvais pas encore crier Victoire mais j’avais la foi et Auréa en était la cause, la peur était toujours là mais le courage résistait contre elle. J’étais en phase transitoire, c’était maintenant que tout allait se jouer et je ne voulais pas faire souffrir Sasha d’avantage. Je ne voulais plus qu’elle se batte pour des années qui ne se récupéreront jamais. Je ferais tout pour qu’elle le comprenne, je ferais tout pour qu’elle y parvienne. Le temps s’allongeait et je la voyais se taire, encaisser sans connaître la vérité et le doute la mettait à terre, la rendait folle, il fallait que ça éclate, c’était plus sain pour tout le monde.

- Damon, je vais terminer de me préparer. Tu peux faire ce que tu veux en attendant mon retour.

- D’accord, merci.


Avant de partir se préparer, elle m’avait préparé un café, je m’étais assis dans le salon. Je me préparais à tout ce que cette soirée pourrait m’apporter, je me demandais aussi comment allait être Auréa. J’essayais d’imaginer ce que Syd avait pu préparer et tout au long de mes réflexions, j’étais resté dans un silence apaisant, j’étais assez éloigné de chez moi, j’étais à Manatthan chez Sasha et j’attendais Aleesha. Il était difficile pour moi de penser à autre chose qu’Auréa, que ce qu’elle me faisait ressentir à chaque fois que je la voyais. Je n’étais tombé amoureux que trois fois dans toute ma vie et à chaque fois que ça arrivait, j’avais été différent. Je me rendais compte de mes défauts mais je ne cherchais pas à faire sortir mes qualités pourtant Auréa m’acceptait comme ça, elle m’acceptait alors que je devais sans doute la blesser dans mon comportement. Je ne parlais pas vraiment lorsque j’aimais aussi fortement, je ne savais pas comment faire ça, parler de ses sentiments ouvertement. Je devais fournir des efforts, elle le méritait et Auréa était une personne complexe aussi, je ne savais pas ses sentiments mais j’arrivais à les percevoir d’une façon étrange, je comprenais qu’elle tenait à moi, qu’elle m’aimait de la même façon que je l’aimais mais je n’en étais pas sûr à 100% vu qu’elle ne m’avait rien dit jusqu’ici. Je n’étais pas quelqu’un de rassurant mais je ne voulais pas la perdre et si il fallait que je la rassure et bien je trouverais un moyen de le faire, juste pour que son cœur ne souffre plus. Je n’avais jamais été aussi déterminé à rester auprès d’une personne, je refusais de la lâcher. Sasha arrivait dans le salon, je savais déjà qu’elle voulait que je lasse son corset, je me levais et me dirigeais déjà vers elle.

- Hm… Tu peux m’aider s’il te plaît.

- Pour pas changer hein.


Je me laissais aller aux rires quelques instants, avant de me concentrer les nœuds que j’avais à faire. Je repensais à toutes les fois où je l’avais fait, avant qu’elle s’en aille à des réunions importantes avec son père. Elle connaissait la haute société, depuis toute petite elle y avait été élevée. Aleesha avait sauté l’étape de l’innocence, de l’insouciance. Pour moi, elle avait grandi vite mais pourtant, je l’avais toujours senti différente avec moi, plus à l’aise, presque enfantine… C’était la seule personne à qui j’avais ouvert mon cœur, la seule que j’avais aimé… La première qui m’avait brisé le cœur aussi. Je ne savais pas si elle prenait conscience de toutes ces interminables nuits que j’ai passées en souffrant de son absence, à essayer de me rappeler le moindre détail de son cœur et ses yeux qui m’empêchaient de dormir. Je m’étais senti détruit, j’étais détruit. J’avais commencé la drogue, je ne sortais plus et j’étais en total dérision. J’avais perdu l’équilibre et personne ne pouvait me sauver… C’était devenu une douleur lancinante et pourtant je l’avais toujours aimé, je l’aimerais toujours mais elle avait brisé quelque chose, je m’étais retrouvé tellement seul… J’avais eu tellement peur et tellement mal. Je ne savais pas si j’étais capable de passer au-dessus de toute la souffrance qu’elle m’avait causé, je ne savais pas si j’arriverais à la pardonner… Je savais que j’avais besoin d’elle mais je savais aussi pourquoi j’étais tombé dans la drogue, pourquoi j’étais tombé tout court… Pour un mensonge… Et j’aurais peut-être préférer mourir que de supporter tout ce que j’ai dû supporter pour un mensonge. Je me dépêchais de terminer son corset puis elle retournait dans la salle de bain pour terminer de se préparer… Quelques minutes plus tard, elle était prête. Sasha était vraiment désirante, elle donnait envie de la regarder, encore et encore mais ce n’était pas elle que je voyais, que mon cœur voyait. Mes yeux pouvaient voir toutes les beautés du monde, si mon cœur n’était pas d’accord avec eux, jamais il ne battrait et là… Il ne battait plus.

Je la fixais quelques minutes comme si j’attendais que mon cœur s’active mais rien ne se passait, rien ne me faisait vibrer, je la trouvais absolument délicieuse mais ce n’était que physique. Je la trouvais belle, ça s’arrêtait là. J’étais surpris, je me rendais compte que pour moi c’était fini, que j’étais complètement à Auréa, que mon esprit ne cessait de la chercher partout. Je me rendais compte que je l’aimais elle et personne d’autre. Aleesha et moi, c’était fini… J’en été certain à présent. Ce soir j’allais dire au revoir aux vieilles photos usées, à ces effleurements qui se rejouaient dans ma tête alors qu’ils n’existaient plus. Le passé partait en poussière, c’était comme des cendres que je laissais courir dans le vent sans vouloir les rattraper, le deuil d’un amour fort et pur. Le premier. Je savais que personne ne me connaîtrait comme elle me connaît mais il était que je me donne à l’évolution, que je me laisse aller et que je m’ouvre enfin à une autre qu’elle et cette personne, je voulais que ça soit Auréa. Le vide entre Sasha et moi était réel, il était là. Fallait-il vraiment lui rappeler comment je m’étais senti ? A quel point j’avais perdu mon chemin alors que je la voyais disparaître ? Que j’avais ressenti chaque manque comme un coup de poignard ? Elle savait que mon cœur avait saigné, qu’il avait été frappé et violenté par la vie, je n’avais rien demandé, je n’avais rien fait. Pourquoi elle compliquait les choses à ce point… ? Si elle était resté auprès de moi, je n’aurais pas appris à faire semblant, je n’aurais pas eu à jouer cet homme que je n’étais pas et qui au final avait pris possession de moi. J’en avais assez, j’étais tellement fatigué… Auréa était comme une nouvelle porte, un autre chemin… Celui de ma guérison. Si Aleesha me l’enlevait, elle me tuerait. J’avais réussi à me reprendre lorsqu’elle me prenait par le bras pour m’emmener en dehors de la maison. On marchait en direction de ma voiture et heureusement, nous n’étions même pas en retard.

- Sasha, tu es magnifique là-dedans. Tu le sais ?

- Merci, je suis contente que tu aimes.

- De rien.


Je pouvais la voir rougir après mes paroles, ça me gênait autant qu’elle, je ne voulais pas la faire espérer mais j’avais juste dit la vérité, cette robe dessinait ses courbes de la meilleure façon qu’on puisse le faire et les couleurs que la robe portait s’accordent magnifiquement bien avec le teint de sa peau. Elle avait laissé ses cheveux lâchés encore une fois et c’était définitivement comme ça qu’elle me plaisait. Aleesha correspondait à mon type de femme à la perfection. J’aimais les filles pâles, aux yeux clairs, avec des longs cheveux et de grandes jambes. Je ne savais pas définir la beauté d’Aleesha car elle était tout ce dont j’attendais physiquement d’une femme, elle représentait mes désirs. Je supposais que les gens devaient se demander pourquoi je désirais tellement Auréa, pourquoi je m’accrochais tellement à elle… Si on en venait à me poser la question, je répondrais simplement qu’Auréa est tout ce que je ne connais pas et que les différences m’attirent. Auréa était une très belle femme mais elle était plus exotique que l’était avec Aleesha, son apparence m’était inconnue et je supposais que c’était ça qui me plaisait en elle, cette différence si flagrante qu’il y avait entre elle et Sasha. Je ne cessais de me demander comment serait Auréa à la soirée et je savais d’or et déjà qu’elle arriverait à la hauteur de mes espérances, j’étais impatient et je comptais la rejoindre lorsqu’Aleesha sera au courant de ce que je ressentais pour Auréa. Aleesha me posait ensuite une question, une question qui devait sans doute la tourmenter depuis pas mal de temps.

- Pourquoi tu veux que j’aille à cette soirée, Damon ?

- Je voudrais qu’on puisse se parler, qu’on soit seuls quelques temps. Enfin tu comprends…

- Je peux comprendre, oui. Ce n’est pas vraiment ça le problème, c’est ce qu’il se passera après qu’on ait parlé le problème.

- Je sais… Mais laisse-moi essayer… Juste essayer.


Je n’avais pas du tout l’intention de lui en parler maintenant, pas comme ça. Il fallait qu’elle attende même si je savais qu’elle commençait à comprendre ce qu’elle n’a jamais pu voir auparavant, il fallait qu’elle s’y fasse car je ne pouvais pas faire semblant de ne pas aimer Auréa pour lui faire plaisir, je savais qu’Auréa souffrait de la situation autant que nous mais Sasha l’avait oublié. Elle se mettait en victime alors qu’en réalité, on l’était tous un peu. Je la faisais entrer ensuite dans la voiture et on se dirigeait vers le Manoir. Pendant la route, elle me rappelait certaines choses que j’avais oublié au fil du temps et j’en riais par moment, on était tellement jeunes, tellement innocents que ça me faisait étrange lorsque je comparais l’innocence du passé avec la culpabilité du présent. Je sentais que Sasha était nostalgique de parler de ça avec moi mais je l’étais autant qu’elle, c’était sûrement une des raisons qui me poussait à m’éloigner car la nostalgie fait souffrir. Après certains mots, un silence s’installait, je soupirais car je savais que ça n’allait pas être simple de lui dire toutes ces choses, ça allait sûrement lui faire du mal mais il fallait vraiment qu’elle me fasse confiance. On ne pouvait qu’en sortir plus forts de toutes manières. J’arrivais enfin à l’avenue de l’Opium. Plusieurs voitures étaient déjà là. Je me garais, j’allais sortir mais Aleesha me rattrapait à temps en me donnant mon masque. J’avais complètement oublié que la soirée était masquée, je la remerciais comme il se devait et je sortais enfin de la voiture. C’était utile lorsqu’une personne vous connaissez sur le bout des doigts, tout était tellement plus simple et c’était sans doute ce sentiment si indescriptible que je ne voulais pas perdre avec elle.

Lorsqu’on était entré dans le Manoir, l’ambiance était étrangement mystérieuse. Sydney avait fait des travaux car plus rien n’était pareil que la dernière fois, je pensais qu’il était un artiste fou, passionné par la folie abstraite et terrifié à l’idée de ne pas réussir à créer ce que les gens disaient d’impossible. Sydney m’impressionnait à chaque fois qu’il entretenait un projet de la sorte. Il était doué, tellement doué qu’il me donnait la sensation d’être un gamin, les yeux brillants d’émerveillement. On entrait dans le corridor sombre, à priori il devait nous emmener dans la pièce principale, je me fiais à mon instinct. Les lieux étaient très étroits, c’était très intime comme sensation, j’aimais beaucoup ça. Aleesha par contre n’aimait pas du tout les petits endroits et elle avait pris ma main comme pour ne pas se perdre, je riais, c’était vraiment amusant. A la fin de ce corridor, on avait débouché dans un endroit vide, je regardais vers le haut et vit un énorme dôme en verre, je trouvais tout cela spectaculaire… Je faisais part de mon étonnement à Aleesha. Deux escaliers régnaient en cet endroit, ils semblaient être reliés et au milieu se trouvait la pièce que je recherchais ; le salon. J’entraînais Sasha à l’intérieur et c’était encore plus extraordinaire que ce que j’avais pu voir. Des gens bougeaient dans les sens en l’air, ils exécutaient leurs mouvements grâce à des drapées qui changeaient de couleurs mais qui restaient dans les tons rosées et sombres. Il faisait vraiment chaud dans cette pièce mais j’en été plutôt content, j’avais trop l’habitude d’avoir froid. Je voulais récupérer ma chaleur… Cette sensation me manquait toujours. Je parlais quelques minutes avec quelques personnes que je connaissais de vue, ils semblaient apprécier la soirée. Aleesha n’avait plus bougé depuis pas mal de temps, j’étais intrigué par le fait qu’elle ne fasse rien et qu’elle regarde aussi fixement une personne ou bien quelque chose.

J’avais l’étrange sensation qu’on me fixait, il y avait une centaine de personnes pourtant je ne sentais qu’un regard me chercher. Je cherchais donc ce regard et je croisais celui d’Auréa. Je n’avais aucun doute sur son identité car j’avais appris à détailler son corps, j’avais appris la valeur de sa peau. Je pouvais reconnaître la brillance de ses cheveux, leur couleur chaude aussi. Elle était habillée de façon… Indescriptible. Je le sentais maintenant, je le sentais qui tenter de s’arracher. Les frissons étaient présents dans le bas de mon dos, je voyais la couleur dorée recouvrir son corps, je la voyais accordée avec ce qu’elle représenter pour moi. La lumière. Mes pensées la déshabillaient clairement, mes yeux s’enflammaient réellement, elle m’incendiait avec cette robe. L’ouverture de sa robe laissait sa jambe à nue, je sentais l’excitation montait en moi, j’avais faim d’elle, tellement que je ne pouvais plus voir une autre fille qu’elle, tellement que je sentais mon cœur me mordre à chaque fois qu’elle s’éloignait de moi. Je restais étrangement immobile, j’étais en position de faiblesse. Les femmes pouvaient vraiment nous faire céder… S’en était fou. Je ne savais pas si elle m’avait reconnu mais moi j’étais absolument sûre que c’était elle, elle descendait les escaliers et se dirigeait vers une jeune femme blonde platine et Sydney. Je me reprenais et essayer de me contrôler, je devais parler à Aleesha. Cela faisait maintenant 30 minutes qu’on était arrivé et je décidais de la présenter à plusieurs personnes une fois qu’on avait parlé, dansé, rit et tout ce qui s’en suit, je décidais qu’il était temps que je lui parle, minuit approchait. Je sortais donc sur le balcon. Il semblait vide lorsque nous étions arrivés, c’était un endroit parfait pour avoir cette conversation. On était arrivés sur le balcon, je la sentais anxieuse… Je l’étais aussi… Mais c’était le choix que j’avais fait. Je prenais ses mains et tournais son visage pour qu’elle me regarde dans les yeux. Je n’avais pas honte d’aimer Auréa et je voulais qu’elle le sache. Je prenais une profonde inspiration, je sentais ses mains trembler, ça me faisait mal mais quelque chose me poussait à continuer, quelque chose me disait qu’il était temps de dire la vérité.

- Je suppose que tu appréhende ce que je vais te dire… Je suppose aussi que tu as peur. J’aurais aimé que tu n’aies pas peur pourtant mais je pense que j’aurais agi de la même façon à ta place. Tu sais… Quand tu es revenue dans ma vie, je n’ai pas compris, je ne comprenais rien et je commence tout juste à y voir clair. Toutes ces années sans toi, on était longues et difficiles, j’ai souvent voulu en finir. J’ai pris un mauvais chemin, j’ai fait beaucoup d’erreurs que je ne regrette même pas. Après ton départ, je me suis fait enlever… Je sais, tu n’étais pas au courant mais ce qu’ils font là-bas… C’est horrible Aleesha, je me serai sûrement foutu en l’air si Syd et Hyde n’avaient pas été là. J’ai voulu savoir si mes sentiments que je ressentais pour toi étaient toujours les même et c’est une des raisons pour lesquelles je suis retourné en Russie mais la raison principale n’est pas celle-là… Avant de partir au bal que Syd avait fait pour Noel, j’ai passé la journée à la maison avec Auréa et Hyde et ça a été une journée révélatrice… Pour moi. Pour Hyde. Pour Auréa. Avant de partir pour la soirée… Il s’est passé quelque chose avec Auréa, un regard… Mais ça à suffit pour qu’elle ne quitte plus jamais mon esprit. J’ai d’abord pensé à de l’attirance physique, j’y croyais réellement, je croyais que je ne faisais que la désirer mais quand j’étais avec toi… Dans la chambre en Russie… C’était à elle que je pensais, c’était elle que je voulais. Quand je suis revenu de Russie, je l’ai trouvé dans ma chambre et j’ai ressenti quelque chose de très fort, tellement fort que j’en ai pleuré… J’ai passé la nuit avec elle mais on avait rien fait de ce que tu penses, on s’est juste regardé un temps et on a fini par s’endormir. Quand je me suis réveillé, j’étais conscient que j’étais tombé amoureux d’Auréa et je l’aime c’est vrai. Cet après-midi, je lui ai dit que je l’aimais, je lui ai dit que je ne voulais plus qu’elle et je ne voulais pas continuer à te mentir comme ça. Alors je te le dis maintenant, je voudrais que tu t’éloignes… J’ai besoin de toi mais c’est notre amitié que je voudrais reconstruire…

Son regard me disait qu’elle était blessé, l’eau qui coulait de ses yeux affirmait totalement mes pensées, elle pleurait et je comprenais mais elle ne lâchait pas mes mains. Je préférais dire cette vérité que de continuer ce mensonge. Je savais qu’elle n’allait pas comprendre qu’elle allait peut-être partir mais je voulais qu’elle me dise qu’elle acceptait. Je voulais qu’elle me dise que je pouvais partir sans vraiment le faire, j’en avais besoin pour continuer. C’était enfin sorti, mes sentiments pour Auréa n’ont plus besoin d’être caché… Je me sentais libéré d’un poids. C’était ma parole qui m’avait détaché. J’étais enfin libre et Sasha le savait…

- Je savais qu’il y avait quelque chose, je savais que tu partais. T’étais plus pareil et je ne pouvais rien faire parce que tu ne me disais rien et ce que tu me dis c’est dur mais je ne peux pas faire contre. Je suis forcée d’accepter car je sais que tu joues pas avec les sentiments, je sais que lorsque tu aimes c’est plus fort que tout mais me demande pas de m’effacer entièrement, je vais surement devoir attendre pour tourner la page mais je le ferais si tu restes au moins mon ami… Je sais pas comment je dois réagir, je sais pas ce que je dois faire…

- Laisse-moi connaître une autre chemin… J’en ai besoin pour me relever et j’ai besoin de tenir la main d’Auréa, j’ai besoin de toi aussi, j’ai besoin de me retrouver alors ne me tue plus… Ne me fais plus de mal et rend moi ma liberté… C’est la meilleure chose que tu pourrais m’offrir si tu m’aime réellement… Je t’empoisonne, je tue ta réflexion. Regarde dans l’état que je te mets… Il faut que tu me crois.

- D’accord. Va y… Je pourrais pas t’en empêcher de toute façon.


Elle arrachait ses mains des miennes et me laissais tout seul sur le balcon, elle s’en allait ensuite. Je pouvais comprendre sa colère mais il était trop tard à présent et je ne voulais pas lui dire que je l’aimais alors que je ne le pensais pas le moins du monde. Il fallait qu’elle s’y fasse et si elle voulait me rayer de sa vie, je l’accepterais même si la chose me rendrait sûrement plus faible. Je ne dépendais que d’une seule personne et ce n’était plus elle. Je descendais à mon tour, je ne savais même pas où elle était mais je vis Auréa toujours près de Syd. Il fallait que je lui parle maintenant, il était bientôt minuit, les masques étaient censés tomber à cette heure-là, peut-être que mes mensonges étaient en train de tomber les uns après les autres… Je le sentais comme ça et j’en été content. J’étais étonné à quelle vitesse je l’avais trouvé parmi tous ces gens mais je ne voyais qu’elle depuis maintenant pas mal de temps, une fois que j’étais proche d’elle, je la prenais par la taille et lui murmurer que je devais lui parler. Ailleurs qu’ici. Elle avait accepté et je l’emmenais à l’étage. J’entrais dans une chambre au hasard et entrer à l’intérieur… Je voulais qu’elle sache qu’Aleesha ne me tenait plus et que j’étais à elle entièrement…

- Ca y est. C'est fini, je lui ai dit. Je lui ai dit que je t’aimais et… Je me sens mieux.
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Auréa Eden

Sunburn
She burns like the sun.

Auréa Eden


Moi =D
▬ Relations:
▬ Armes & Pouvoirs:

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MessageSujet: Re: Le Cavalier Noir .   Le Cavalier Noir . EmptySam 27 Mar - 16:05

  Cet homme, qui ressembler fortement a Damon, c'était approcher de moi sans un mot. C'était lui ? Sûrement . J'étais prise dans un hélant, il m'avait emprisonner par ses mouvements et je comprenais pas ce qu'il se passait. il m'avait pris par la taille, et il m'avait approcher très prés de lui. La chanson qui se pousser dans la salle était All the right the move , les projecteurs étaient devenue un peu plus intime et tout le monde danser. Je pouvais pas m'empécher de fixer ses yeux, il était... différent. La même odeur c'était imprégner de sa peau. Il m'emporta dans une danse ou j'étais coller contre son corps. Je pouvais pas m'empêcher de le regarder droit dans les yeux a travers sont masque d'argent. Mes doigts se crispèrent et le suivez. Plus tot dans la journée, j'étais passer chez Aleksandr et étrangement... Je n'avais pas su croire un de ses traites mot. Ces deux la essayer de me rejettais de leurs problème. Je savais pas si Hayden avait toucher le bon probléme. Tout ce que je désirai c'était que Damon, puisse se confier a moi pour que je lui donne mon aide. Et même si j'étais absolument incapable de l'aider.. Je voulais tout faire pour qu'il se sente mieux . Ca le dévorer le brûlé. Je le voyais le peu du temps que j'avais passer avec lui . La fois ou il était rentré complètement sous dose de substance étrange, j'avais eu peur pour lui. Même si je ne le connaisai pas encore, Hyde était auprès de Syd. Je m'étais endormie en lui tenant la main, et même s'il était dans un état seconds il me l'avait serré et je lui avais soufflé que tout aller s'arranger. Son coeur que j'entandai battre incroyablement lentement m'avait fait peur, je ne voulais pas que ça recommence. Et j'espérai que c'était la dernière fois qu'il avait ingérer toute ses conneries. Cet question me rongeait et au final j'avais peur de lui en parler. Si je le fessais, j'avais cette oppression qui viendrait se nourrie dans ma clavicule de crée un profond malaise, et qu'il me demande de me mêler de mes affaires. Il avait le droit de le faire. Il fallait que je m'y prenne en douceur et ce n'était pas le moment, pas ici a cet soirée. Plus tard, à la maison quand on sera seul et paisible.

Plus on danser plus ma tête se révéler douloureuse, tournant comme dans un manège sans fin. Avec pour vision des gens masquer, mes poumons se remplissai d'une toxicité alors la inconnu. C'était une sorte de stresse passif qui se nouer dans mon corps. J'essayai d'assuré et de ne pas le montré. Je fermai les paupières , et je pensai au réveille de ce matin. Ce qui me calma assez rapidement. Il me fessait traverser le salon, montés les escaliers. Je ne me posai plus de question. Nous étions dans le couloir et je ne savais pas vraiment a quoi il s'amusait. Il ne m'avait pas parler.. et il m'avait dis qu'il souhaitai parler a Aleesha avant de faire quoique ce soit. Ses prunelles dans les miennes, je le sentais énerver. Ses mains anormalement chaude s'échouèrent sur mon buste. Ses lèvres venaient s'écraser contre les miennes comme cet aprés midi. Je réalisai en même temps que cet aprés midi, il m'avait embrasser et a tout ce que j'avais ressenti. La il semblait plus distrait. Je comprenais pas ce qu'il se passait. Il s'empara de mes hanches et je me retrouvais coller a lui . Je sentais quelques choses de différent, je le questionnai il ne répondait pas . Ce n'était pas normal. De plus cette lueur dans ses yeux. L'ombre que je voulais lui retirai. Son âme que je ressentais cette fois ci, je ne ressentai pas la même chose.. Il fallait que je prenne l'air. Je me retirai de son emprise et je descendait les escaliers rapidement.

Il fallait que je délivre mes poumons qui se sacadé les uns contre les autres, j'ouvrai la porte qui séparer le salon du balcon et je recevai a plein nez l'air de la nuit de New York. Les alizés de l'océan atlantique qui venaient caresser ma peau. L'une des raisons pour laquel j'étais indéniablement attacher a New york, sont vent fraie de début de soirée, ce vent qui avait traverser bien nombre de terres pour s'échouer ici, et repartir d'une seconds a l'autre. Ce balcon, le revoir me fessait me souvenir de la soirée de Noël, cette instant ou j'avouai a Syd que tout était définitivement fini entre nous. Cette instant ou quelques seconds après Damon était parti en Russie. Tout s'éparpiller dans ma tête comme une feuille de brouillions chiffonné . Contre la rambarde, une silhouette longiforme recroqueviller, je m'approchai sans trop d'hésitation . Et je pouvais voir le tatouage d'Aprilia sur ca nuque, la marque de fabrique de ce très chére centre. C'était une femme aux longue jambes fine parfaitement dessiner, une robe originale qui ressembler a un gâteau d'argent elle scintillait de tout les cotés . La façon dont elle ce tennait me rendait assez curieuse, je pouvais enfin scruter son visage qui était ornée d'un masque d'argent, elle avait les lèvres rouges cerise, ses cheveux blond platine , elle me fessait pensée a une barbie rock'n'roll . Elle regardait le vide avait un visage déphasé, une peur ? Je n'allais certainement pas rester comme ça , c'était complètement exclu .

- Depuis quand les spécimens on peur du vide ?
- Depuis qu'ils passent de ce brisser en mille a invisible .

Ça réponse me laisser bien évidamment sur ma faim, mais son visage me disait quelques chose . Je l'avais déjà vue, j'essayais de me souvenir . Quand soudain je retrouvais dans le creux de ma mémoire, c'était Elle le spécimen qui était invincible . Une expérience assez étrange, je me souvenais de sa photographie sur son dossier, elle avait bien changer depuis quelques temps .

-Tu es invisible et tu as peur du vide ? Je sauterai sans hésiter.. C'est donc toi, tu sais ton sang ma fais cicatriser .. c'est un vrai miracle. Dit moi, Tu es en cavale ?
-J'ai pas vraiment envie de sauter seule, je suis pas en cavale, Vladimir ma soigner.

J'étais assez étonner sur le fait est que Vladimir l'est soignez.. En général il torturait tout le monde pour avoir ce qu'il voulait, cet fille au air de Blondie était vraiment unique et posséder des caractéristiques vraiment étonnante.. Pourquoi la laisser partir si son sang était si prescieux ? Pourquoi Vladimir l'avait t'il laisser partir ? Je ne comprennait pas vraiment. Je devais peut étre pas me montré si inscréte avec elle .

- Tu devrais éviter de révéler tout ça a des inconnus.
- Il m'a sauver de ma maladie alors je m'en fou de reveler sa a n'importe qui et visiblement tu n'es pas n'importe qui vue ta splendid robe qui doit sans doute etre fait sur mesure et si tu me parles de ca toi non plus tu n'es pas tres prudente.

Je pensai toute suite qu'il y avait un complot et qu'elle était l'envoyer de Vladimir. Elle lui était reconnaissante elle lui devait quelques choses tout ça me semblait suspect.

-Il ta peut étre sauver, pour mieux t'utiliser... oui elle a etait faite par un ami, la tienne aussi a ce que je vois et faite sur mesure.
-J'ai plus aucun contacte avec. Merci Je l'ai faite moi même .

Étrangement la communication passer plutôt bien, et je la voyais sincère. En même temps je me rappelai un peu de son dossier. Ses parents étaient des amies lointain de Vladimir. Je voyais donc Vladimir ce payer la tête de ses amies. Je le connaissais pas particulièrement, je ne l'avais jamais vue. Je savais que c'était lui l'élément déclencheur des spécimens, je lui en voulais de tout ce qui se passer. Une partie de moi ne cesser de se demander comment tout ce serait dérouler si les spécimens n'avaient pas été crée. J'avais mal de pensé ça, car je n'aurai jamais eu la chance de connaître Damon. C'est parce que le centre existe qu'on était lié. Aleesha n'aurai jamais été enlever. Ils seraient encore en Russie a l'or qu'il est, ils seraient ensemble et heureux. Le centre leurs avait tout arracher. J'avais toujours cette impression de m'être imiser dans leurs histoire. D'avoir crée une fêlure . Encore la au moment de leurs retrouvail, j'avais casser quelques choses, je me demandai si Damon n'allait pas le regretter... Il allait peut être laisser filé son première amour.

- Tu es douée, elle est vraiment magnifique
- Merci... Dit tu vas bien ?

Toutes ses pensées, me rendait assez mal. Je me remettais en question sur ce que je fessais. Les flots de mes pensées s'agenouiller donnant raison aux victimes de mes actes. J'avais toujours pensée aux autres avant moi. Et la qu'est-ce que je fessais ? Je détruisais des horizons parce que j'étais complètement amoureuse. Amoureuse. Rien que de me l'avouer me fessais des frissons. J'avais jamais pensées a ça comme ça. La première fois, ca m'était tombé dessus comme ça. Et là de même. C'était quoi la logique des choses ? On pouvait tombé amoureux plusieurs fois dans ça vie ? Je savais pas comment agir. Je me remémorait chacune de ses paroles. Chacun de ses mots. Et oui, j'avais envie de pensée a nous deux. C'était peut étre une réaction égoiste, mais je voulais pas pensé aux autres. Je décidai d 'assumé les conséquences

- Oui, oui ... Tu es une amie de Syd ?
-Pas du tout je ne connais même pas le maître de lieu, c'est absolument géniale ce qu'il a crée j'en suis vraiment époustoufler

J'étais totalement d'accord avec elle, Syd avait fais quelques choses de magnifique, il avait un don pour me faire rêver. Elle avait était donc invité sans connaître Syd. C'était assez étrange je me devais de lui présenter. Sûrement qu'elle était venu grace aux invitations que Syd fessait parvenir. Je ne savais pas qu'elle était son secret pour faire rêver comme ça les gens, et a vrai dire s'il le révélai ce ne serai plus pareil . Je m'inquiétai pour lui, dans la façon dans laquel il s'enfermai étrangement dans sa bulle impénétrable.

-Je te le présente si tu veux bien t'arrêter de fixer le vide .
-Très bien, j'ai tout le temps pour sauté .

On retourné dans la salle, et le monde de désamplisé pas au contraire. Beaucoup de monde aux costumes différent, tous les un plus beau que les autres. C'était excitant se genre d'ambiance. J'étais émerveiller et je recherchai Syd, je savais qu'il allait se mettre a l'écart de tous, La jeune fille blonde me suivait. Je regardais un peu partout, et je l'apercevais enfin. Il avait un costume noir dessiné façon des année 50, qui lui allait merveilleusement bien. On s'approchait de lui, et il me reconnu assez facilement. On parler de ce qu'il avait fait, on le complimenter. Je lui présentai la jeune fille. Il nous confier quelques secret. Que grâce a Hyde, il avait pu crée des illusions a l'étage, et que les spécimens avait l'avantage sur les humains. Il avait compris que la jeune fille était une spécimen et il parlait ensemble quand je m'aperçus que j'avais perdu le bracelet d'Hayden. Il devait être a l'étage. Je m'excusai auprès d'eux pour aller le chercher. Je remontai , je le trouvais effectivement sur le sol. Je me demandai ou était passer Hayden. Je descendais une nouvelle fois, Damon me manquait, son absence crée un manque ne moi, je le cherchai sans vraiment le trouver. Je savais pas comment il était habiller qu'elle masque il portait. Je pensai réellement que se garçon sombre au masque d'argent, c'était lui. Et si Damon était vraiment l'homme que j'avais fuit au par avant, il aurait enlever son masque, ou m'aurait dis quelques choses que j'aurai pu reconnaitre. Je retournais aux cotées de Sydney et de La jeune fille magnifique. Et on discuter, je me demandai ou été Hyde il me manquait lui aussi, il prenait un rôle étrange dans ma vie. Quand tout a coup je sentais la présence de main geler entouré ma taille. C'était Damon. C'était sur, les mains qui me fessaient frissonner comme cela c'était forcément lui. Il murmura qu'il devait me parler ailleur. Je le suivais. Sa main prenait la mienne avec une aisance déplacé, je me laissai enlever du moment que c'était par lui. On fuyaient a l'étage, on devaient certainement ressembler a des enfants qui se préparer a faire une grosse bêtise se cachant et dissimulant certain fait troublant pour éviter de se faire gronder. On repasser dans ce même corridor que j'avais quelques seconds au par avant avec cette inconnu.

-Ca y est. C'est fini, je lui ai dit. Je lui ai dit que je t’aimais et… Je me sens mieux.


Mon coeur cessa de battre... mon coeur cessa d'émettre la moindre pulsation, il me regardait toujours droit dans les yeux a travers nos masques, et il l'avait fait. Il lui avait tout dis... la seule raison pour laquelle il m'avait repousser, il l'avait régler. Je me doutai que Ça avait du être horrible a annoncer, a qu'elle point ça devait être complexe... j'avais eu la chance que Syd devine seul. Il avait toujours garder sa main dans la mienne et il la serra légèrement . Mon artère droite était devenu complètement folle car elle s'agitait de nouveau dans ma poitrine en fessant pression sur le flux sanguin. Je devais lui dire, mes sentiments .. je lui devais cela, je lui devais et rien ne sortait. Il avait fait ça pour moi, pour lui, pour nous et je n'arrivai pas a dire ce qu'il me fessait ressentir, dire ses trois mots qui avaient tellement d'importance Je voulais attraper sa nuque et écrasais mes lèvres contre les siennes. Ses lèvres froides comme la neige qui m' ombnibuler tout le temps . Et pourtant mon visage rester inerte a ces paroles avec mon estomac qui tourner sans dans tout les sens , je devais avoir l'air vraiment pas maligne. Le fait de fuir était totalement exclus, j'avais juste peur quand lui dissent ses quelques mots... ils prennent la fuite, comme les autres avaient fait. Je me sentais vivante a ses cotées. Je fermai les paupières et repris lentement ma respiration, pour paraître le plus normale possible. Or que tout dans mon corps ne fessaient qu'exploser de bonheur a ses mots . Je savais pas comment réagir mais je voulais vraiment pas l'effrayer en lui montrant que tout s'agitaient en moi d'une façon vraiment nouvelle. C'était la première fois que je ressentais ça, sans doute parce que tout été compliquer. Ne plus avoir a ce cacher, ne pas avoir a mentir. J'étais si soulager et ça se percevez a sa voix qu'il l'était lui aussi. Quand il avait dit une nouvelle fois qu'il m'aimait, c'était comme un seconds instinct mon corps c'était remplie de frisson. Cet idiot arriver a le dire et en plus il me donner des frissons pas possible. Je prenais sa mains droite et je la posais prés de ma poitrine pour qu'il entend que mon coeur qui s'agitait dans ma poitrine. Je savais que rien qu'au touchait il le sentirai car les spécimens avaient les sens plus développer que n'importe qu'elle personne. Il me fixait encore de cet manière. comme la fois ou nous étions sous les draps.

-Tu finiras par le faire exploser...


Je fermai a clef cette pièce tout en continuant de le scruter. Je voyais la chambre dans laquelle nous étions ce dessiner étrangement, c'était un mélange de la chambre de Damon et ma chambre d'Angleterre car je reconnaisai mon lit aux arabesques et au draps de soie douilier. Il y avait des choses a moi dissimuler et des souvenirs partout, des photographies ou il y avait mon oncles. Des journaux, des vêtements avec une armoire complète remplie de vieux de bouquin, ma chambre était bleuté et elle était incroyablement ranger.C'était la femme de ménage qui s'en charger. Quelques seconde plus tard j'imaginai la chambre actuelle de Damon car sa me gênait ça fessait partie de mon passé ca n'avait plus d'importance. Ce changement ne m'étonnait pas... Quelques minutes au par avant Syd m'avait expliquer qu'il avait crée un système d'illusion dans les chambres du haut , c'était un systéme sur demande en gros notre esprit interpréter certaine chose, et la salle le crée. J'avais aucune idée comment c'était fais.. mais il avait poursuivie que seule les spécimens avaient le dessus.. je comprenais pas pourquoi ce n'était pas que les illusions de Damon. Je n'étais pas définitivement pas spécimen, j'étais belle est bien qu'une simple mortel. Il regardait a son tour la chambre se métamorphoser sous ses yeux sans trop comprendre ce qu'il se passait. Et tout a coup ca me parraisait plus claire, j'avais pris dans l'aprés midi un médicament a base de protéine extrait de la spécimen que j'avais rencontrer il y a quelques heurs. Ces protéines étaient extrêmement forte vue qu'elle était encore présente dans mon sang , je devais sans doute une brève explication a Damon. Il ne décrocha pas les yeux de chaque détaille.

-C'est.. des illusions. Nos illusions en réalitées, ça vient du Manoir...


Damon était incroyablement beau, et dotant plus qu'il m'intriguait réellement a travers ce masque. Ses prunelles me regardaient encore et encore , et je ne voulais en aucun cas en être séparer. Ils brillaient aux ombre de la pièce, il me charmait, m'envouté de toutes les façons possible et imaginable. Il s'approchait de moi, et il venait me plaquer contre la porte je le laissai faire. Ma main droite c'était élever, sans aucune raison.. et il l'avait capturer. Nos mais se liées l'une à l'autre, ses phalanges entre les miennes qui se serraient l'une dans l'autre, il posa ses lèvres sur les miennes en narguant une nouvelle fois mes sens . Il se baladait dans mon cou en descendant vers ma poitrine, mon autre main ce balader sur son l'arrière de son cou pour ce retrouver au creux de son dos. La partie entre les omoplates, j'adorai ce creux qui ce sculpter rien qu'au toucher. Je sentis ses deux mains gelées se posé sur mes hanches, me faisant tressaillir. Pour moi le sexe n'était pas un ennemie donc j'avais plutôt hâte. Il s'arrangeait pour me coller contre son propre torse et en ce plaçant entre mes jambes sans dire un mot et fit glisser un de ses bras jusqu'à mes épaules pour resserrer d'une force incroyable notre étreinte. Ses mains c'était emporter sur les lacets de mon bustier, il les deliat. Il me donnait des frissons a chaque fois qu'on ce toucher, il n'avait pas la même température que tout le monde. Il était minuit, on pouvait enlever nos masques, sans attendre vraiment je lui retirais le sien mais il n'enlevait pas le mien au même instant . Mes yeux étaient enfoncer dans les siens rien que la mon estomacs se retourner dans tout les sens . Son visage afficher une sérénité décaler, il commençait a me déshabiller et je le suivais dans ses mouvements. Je pouvais pas m'empêcher de l'embrasser en déboutonnant sa chemise assez violemment, j'étais en ébullition. Il se réchauffait a mon contacte, je respirais son odeur qui m'hypnotiser. J'enlevais sa chemise, il était torse nu quand soudain il capturait un de mes jambes en la surélevant contre son corps. Je voyais a son bras quelques chose d'étrange, je tentais de saisir son bras pour regarder de plus prés.. Il avait un tatouage mais je voyais pas ce que c'était. Il avait habillement réussie a dénouer le haut de ma robe et a faire glisser le long de mes hanches ma robes. J'étais presque totalement nue devant lui, vêtue de mes sous-vêtement noir, nacré de soie rose avec de légère dentelle qui ce dessiné.

Je le poussais sur le lit, et il marchait a reculons pour continuer de m'embrasser. Il montait sur le lit en étant poser sur ses genoux, et je fessais de même . Il retira mon masque... et Il coupa notre baiser pour me regarder d'une façon presque affamée, me demandent d'un regard si j'étais d'accord, pour faire ce qu'on s'apprêter a faire. Il avala sa salive bruyamment et ouvris de nouveau les yeux hésitant de plus en plus. Et la réponse était, Oui. Oui je voulais lui appartenir autant qu'il voudrait de moi. Ma main droite effleura son visage, en épousant sa machoir. Je laissais mon souffle courir contre ses lippes sans pour autant définitivement l'embrasser une nouvelle fois. Ses billes de saphirs me regardaient, cet instant s'enregistré dans ma mémoire a tout jamais car c'était unique ce qu'il me fessait ressentir. Il n'y avait vraiment plus aucun doute, je lui appartenais réellement. Je savais ce qu'il voulait, il était prêt et je l'étais aussi. Je lui soufflais ses mots - Je t'aime a peine audible tellement mon souffle se saccader a l'intérieur de mes poumons. Je l'avais dis , je lui avais dis... ce n'était pas une déclaration telle qui me l'avait fait, mais je savais que j'allais y venir avec le temps. J'étais amoureuse de lui, et ça c'était plus que certain. J'avais du mal a le sortir mais c'était sortie. Mon coeur s'emballait comme si tout en moi se compacter. J'avais oublier a tel point c'était les montagnes russes d'être amoureuse, ils les avaient tout de même entendu car je sentis un frisson de sa par. J'étais persuader qu'il avait compris ma façon de fonctionner, que je ne pouvais pas me permettre de faire ça, avec quelqu'un pour lequel je n'avais pas de sentiment.


Il infiltra sa main dans mes cheveux en retirent ce qui les tenaient, il passa la main dedans pour finir par approcher de mes lèvres et de m'embrasser avec ses lèvres si parfaitement dessiné. Il me fessait basculer sur le lit, pour m'allonger et il venait ce placer contre moi me laissent assez libre de mes mouvements. Il s'amusait a me fouiller hors qu'il n'était pas encore déshabillé lui même, je le laissai m'embrassai pendant que je déboutonnai son pantalon. Je me retirai quelques instant de ses lèvres, j'eu un petit sourire parce que je savais que la fois dernière j'avais du m'arrêter la. On avait donc jamais était plus loin que là. Il fessait glissait son pantalon pendant ce temps j'en profitai. Mes yeux étaient figés sur son visage toujours aussi proche du mien. Je pouvais pas m'en empêcher de le provoquer, je m'installai aux creux de ses reins, il était allonger et j'étais sur lui. J'étais sur lui comme je l'avais été dans la matinée une fois encore lui complètement exciter et moi affamer de son corps. Quand tout a coup la pièce dans laquel nous étions venait ce changer, un vent d'air frais venait nous rafraîchir je comprenais pas trop ce qui se passer, mais je sentais les muscles de Damon ce contractaient. Ses mains froides me fouillaient et elles se firent plus hargneuses sur mes hanches et je m'amusai a cela le prendre de haut. Je posai mes lèvres en bas de son torse et je me permettais de remonter le long de son cou en passent par son torse, lui laissent des marques de suçon discret. Ses doigts dessiner ma colones vertébrale, j'y étais très sensible il retirait facilement les agrafes de mon haut. Sa peau était très douce et blanche, comme de la poudre de craie avec un goût de sucre glacer. Pendant ce temps mes mains c'étaient permise d'aller sur des parties qui lui était sensible, ma poitrine montait de haut en bas dans un rythme irrégulier. J'explorai son corps a ma façon, j'avais sentie qu'il voulait tout contrôler mais ils s'étaient étrangement calmer du fait et que j'avais mis ma mains la ou sa lui était le plus sensible. Nos corps collés l'un contre l'autre crée une chaleur encore plus enivrante. Je l'embrassai avec passion tandis que mes caresses étaient plutôt douce mais efficace , mon but n'était pas de l'agresser même si j'avais infiniment faim de sa chair. Le matelas dans lequel on s'était poser c'était transformer en flot d'herbe douce et rafraîchissante. jarretai ce que je fessais pour regarder ce qui était en train de ce produire, on était désormer en pleine nature avec pour spectatrice la lune et les étoiles .

On ce goûter, ce tester pour s'amuser. Sa peau provoquer en moi toute sorte de désir incontrôlable. Damon profitait de mon instant d'inattention pour me renverser et en se issant sur moi, ce contacte de nos jambes qui se frôlent me donner l'impression d'être totalement ivre de ses formes. J'aurai pu reprendre le dessus, mais je choisisai de le laissai faire car c'était visiblement important pour lui d'avoir le dessus. J'avais toujours ma main placer la, a cet endroit. On aurai dis un ange qui me souriait, Ma poitrine commençai à se surélever de plus en plus rapidement quand il se positionnait face a moi, entre mes cuisses et je me retrouvais inconsciemment prisonnière de ses reins. L'air ce fessait de plus en plus chaud, vraiment de plus en plus chaud. Sans que je m'en rende vraiment compte, il resserra de plus en plus notre étreinte, sa main s'agripper sous le bas de mon ventre. Il fessait glisser nos derniers tissus, avant de me mordre les lèvres dans un soupir qui venait s'éclater en moi. Il n'était plus question d'excitation corporel, mais d'osmose. Je ressentais que mes pupilles se dilater tellement tout mes sens se réveiller . Il pouvait faire absolument n'importe quoi de moi. Tout a coup la pièce changea de nouveau, la chaleur monté de plusieurs dégrées, il me serra de plus en plus contre lui. Au premier instant, mon corps c'était raidi mais il tenait mes hanches. Son corps s'éleva contre le mien, je me détendais mais je ne pouvais pas m'empêcher de bouger et m'élever pendant qu'il dansait contre mon corps. Mon souffle se perdait de plus en plus au fils de ses mouvements, nos souffles se mélangeaient en laissent entendre quelques léger gémissement. Plus il continuait plus, j'avais cette impression que la chambre prenait feu. Ses lèvres s'attachaient toujours aux miennes et en faite ce n'était pas un impression elle prenait feu, je voyais des flammes se crées le long des rideaux en embrassent tout la pièce.

C'était les illusions de Damon. Il fallait qu'il se calme. Il plantai ses yeux dans les miens et je sentais les flammes s'étendre et danser en se rapprochant du lit. Je posai mes mains sur son visage, avec une impossibilité de parler tellement mon souffle était perdu. Il prenait ma main droite et il la serrai. Je sentais sa bague se dessiné dans entre mes doigts tellement on se serrai l'un contre l'autre. Ce feu ce rapprocher a une vitesse démesuré que je n'eus pas le temps de réagir. Dans bon dos un sensation de chaud extrême rongeait de partout, et d'un seul coup un froid immense venait balayer tout ça. En même temps que cela, il me donna du plaisirs, mes sens avaient du mal a comprendre. C'était des montagnes russes , mon coeur s'exciter et s'emballer seul. Mes nerfs s'entrechoquaient a une vitesse folles , j'avais cet impression qu'on me droguait aux plaisirs de la chair. Se froid c'était Damon qui le créée j'en étais quasiment certaine. Une sorte de bulle glacé c'était former autour de nous.


C'était vraiment étrange, cet bulle qui venait nous protéger. Je comprenais pas vraiment ce qu'il se passait. J'avais pris impulsion sur mes jambes, notre étreinte se déssera un peu . Damon toucha mon bassin du bout des doigts, je sentais vraiment quelques chose d'anormal ce passer une sensation de fumé glacer qui venait brûler le bassin. J'émettais un léger crie de douleur, sa me brûler. Comme si de l'Azote sortais de son doigt, Il avait toujours son autre main dans la mienne alors je la serra naturellement. C'était pas les illusions de la pièce, c'était ses pouvoirs. Il se raidit totalement et se retira sur le champ. Quand au même instant de la neige venait s'échappait du haut de la bulle, il s'arrêteai de bouger . Je sentais qu'il allait partir. « Reste » Je secouai la tête et je le rattrapais de justesse. Je voulais pas que ses pouvoirs nous interdisse d'aller jusqu'au bout. Ils nous avait protéger, et je savais que quoiqu'il arrive je lui fessais confiance. Il semblait déstabiliser. J'avais encore envie de lui, j'avais faim de lui. Je plaquai mes lèvres contre les siennes, en prenant le contrôle. J'agrippai ses cheveux violemment et je me recoller a lui de toute mes forces, je me plaçai de nouveau sur lui. La bulle était toujours présente, même si les flammes disparaissait la neige continuait de tombé. J'avais toujours extrêmement chaud et lui aussi. Utiliser ses pouvoirs, ca devait le fatigué. Je m'agrippais a lui, j'approchai mon front ses prunelles dans les miennes en essayant de le rassurer du regard. Tout aller bien, il ne me ferait pas de mal. « Je te fais cet effet la, c'est bon a savoir » Je lui avais dit tout en souriant en le tenant encore contre moi et en caressant ses cheveux, je voulais qu'il soit rassuré que c'était pas important. Damon était contre moi, nos corps mêlaient l'un a l'autre, c'était comme une trêves avant de reprendre la ou en était.


C'était paisible, il carressa ma colonne vertébrale en embrassent mon cou. J'étais surélever par rapport a lui et je plaquai encore une fois mes lèvres contre les siennes reprenant nos jeux passionner. Je me repositionnai légèrement, pour le retrouvais lié a lui. C'était certainement déraisonnable de continuait mais il était pas question que quelques chose vienne gâcher ce moment. Cet fois ci, je ne m'étais pas raidis et plus sauvage dans mes mouvements. Il était quasiment assis quand j'entourai mes bras autour de son cou et me hissai avec son aide. Enroulant fermement mes jambes à sa taille fine. Il me serrai brutalement contre lui, tout en me regardent d'une façon extasier, il me fessait mal, mais ce mal se transformait en plaisirs, je devais avoir la même tête expression que lui. Ma dextre s'amusait toujours autant avec ses cheveux, en inspirant a chaque instant son odeur. Je m'arrêter pas bougeais su lui. J'avais cet sensation de toucher son âme qu'il violait la mien . Et j'avais cette étrange sensation qu'a chaque fois que je me positionner sur lui qu'il se surélever du matelas. Je savais pas si c'était ses pouvoirs ou si c'était normal. Il dessinait mes formes tout en s'accrochant a moi. La neige commençait a faiblir et la bulle a disparaître. Il s'était calmer, ou je le déconcentrai. Mon coeur voulait s'extirpé de ma poitrine pour s'abandonné dans la sienne. Plus je dansai contre lui, et plus je tuai l'arriver d'air dans mes poumons. Je m'élevai contre lui avec de plus en plus d'intensité je sentais que nos coeurs batté sur le même rythme affolé. Quand je nous fessais tombé allonger, le laissent au dessus. J'entandai une musique retentir, je savais pas pourquoi mais je l'avais déjà entendu. Quand Damon & Hyde jouait dans le garage. C'était sûrement une composition de Damon enfin j'imaginai pour qu'il y pense, ca devait être important pour lui. Il n'y avait pas de paroles, que des instrument. Le rythme de la batterie suivait nos mouvements qui se déchaînais une fois encore. Je m'attardais plus sur ce qu'il se passait dans la chambre j'étais juste dans son regard. Je me perdais dans le reflet de ses iris le laissant faire une nouvelle fois.


J'étais brûlante, il me bullait de toute les manières possible et imaginable. On se perdait l'un dans l'autre, nos âmes s'infiltrant l'une dans l'autre. Nos organes fonctionnant a cent a l'heur. Je sentais que tout ce qui me constituai s'échapper progressivement, on était arriver a cette instant ou mes muscles déliées de mon corps. J'avais l'impression d'être en train de courir sans jamais m'arrêter mes mains s'accrochaient pour ne pas se perdre. Mon âme était a lui et il pouvait s'amuser a la vendre s'il en avait envie. Je ressentais une overdose de plaisirs qui ce crée grâce a lui. Je sentais que pour lui aussi, il arrivait a se moment la. On poussaient sans s'en rendre compte des gémissement qu'on essayer d'étouffer. Nos corps c'étaient échauffer et brûler l'un dans l'autre, on était épuiser. Damon était toujours sur moi, il m'embrassa différament que les autres fois, avec plus de douceurs. J'étais amoureuse de lui, dépendante de son regard et de son odeur. Il basculer sur le coté, et je me blottisai contre lui, contre son torse encore brûlant. La piéce c'était transformer en paradis étoiler. Sans un mot il venait placer son bras de façon a m'entourer et a m'approcher contre lui. Ces main caressaient mes cheveux, et mes doigts s'amusait sur son torse. Sans un mot nous étions très calme, c'était si agréable de ressentir se silence qui venait nous bercer. On rester comment ça durant cinq minutes sans un mot, juste a se sentir l'un contre l'autre. Je remontai prés de son visage, et je le regardais. Je regardais son visage qui m'éblouissait a chaque seconds, qui s'emporter en moi.


-Damon Je sais que tu es ici, on vous entend des escaliers . Ouvre.

Je reconnaissais cette voix c'était celle d'Aleesha, on pouvait définitivement pas être tranquille. Je m'écartai instinctivement pour le laisser partir. Il devait y aller, même si j'avais pas du tout envie qu'il y aille. Il colla son front contre le mien me regardant, alors que je baissai les yeux, sans trop savoir pourquoi. Il m'insuffla un « Je reviens » il remonta mon menton pour que je le regarde. C'était certainement égoiste de ma par de vouloir le garder a mes cotés. Il se releva et commença a se rhabiller rapidement. Il oubliait quelques boutons a sa chemise. Il ouvra la porte énerver et poussa Aleesha que je n'eus pas le temps d'apercevoir loin de la chambre. Dés qu'il parti, je fessais de même que lui. Il n'avait même pas pris le temps de prendre ses chaussure. Je remettais ma robe assez rapidement et je descendais le plus vite possible.
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    Dust in the wind.

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MessageSujet: Re: Le Cavalier Noir .   Le Cavalier Noir . EmptyJeu 1 Avr - 2:19

Je m’accrochais toujours à sa main, à chaque son que ma voix avait émis, je l’avais resserrée car c’était une nouvelle liberté qui venait de naître grâce à mon passage aux aveux. C’était ma liberté de tourner enfin la page, après toutes ses années passées dans l’ombre et je m’accrochais à elle car j’avais peur de cette liberté en question, mon âme en tremblait de peur mais je me sentais prêt à le faire si Auréa ne me lâchait pas. J’étais capable de vaincre le reste de mes secrets, de mes vices. J’avais confiance en elle et je l’aimais. Complètement. Terriblement. Personne, non jamais personne ne m’avait mis contre mes propres principes. Personne n’avait risqué de m’approcher de trop près. Personne ne m’avait fait céder comme ça. Elle me regardait d’une façon que je ne saurais décrire, je sentais mes nerfs se bousculaient sous ma peau. Nos regards s’aimantaient, ils nous vissaient clairement l’un à l’autre, j’avais du mal à rester loin d’elle. Je voulais lui voler ses lèvres, lui arracher et m’approprier chacun de ses souffles mais j’attendais, je ne sais pas réellement quoi. J’attendais le bon moment, la bonne minute, la bonne seconde. Elle ne bougeait plus, c’était comme si mes mots l’avaient figée. Je me foutais totalement de ce que pensait Aleesha à cet instant, j’avais fait le choix de l’aimer elle, elle et personne d’autre. J’avais été stupide d’attendre plus longtemps, j’étais égoïste. J’étais sans doute un connard mais ma décision était tombée. Ses paupières se fermèrent et j’écoutais ses poumons se remplirent d’air, elle prenait une de mes mains pour la mettre à l’endroit exact de son cœur. Je pouvais sentir ses palpitations, j’entendais leurs sons dans ma tête et j’aurais voulu les écouter infiniment… Je sentais mon cœur mettre le feu à l’intérieur de mon thorax, mes yeux toujours perdus dans les siens mais cette fois, je cherchais ma propre perte. Ses iris étaient infinis et mes pas se dirigeaient tous vers eux… Mes muscles abdominaux se contractaient pour me faire sentir une sensation étrange, un mélange de stress, d’envie et de bonheur indéfinissable. Je savais ce que ça voulait dire, je savais ce que mon corps me demandait mais je ne trouvais pas encore la bonne seconde.


-Tu finiras par le faire exploser...

Je me sentais tellement bien à cet instant, lorsqu’elle m’avait dit cette phrase que j’avais peur que tout ça ne soit qu’un rêve, j’y été finalement arrivé. J’avais coupé le lien avec mon passé au moment où j’avais laissé Sasha et je ressentais la même excitation que j’avais ressenti lorsque je m’étais évadé du centre. Cette sensation de libération imprenable. Incontrôlable et ingérable. Je la ressentais à présent et c’était bon, je sentais que je me relevais. Je n’étais plus face contre Terre, je tenais sur mes jambes et j’avançais enfin. Auréa s’éloignait pour fermer la porte à clé, pendant ce moment, je regardais ce qu’il se passait tout autour de nous. La chambre se transformait toute seule. Le lit était en train de changer lui aussi, la chambre devenait bleutée. C’était assez surnaturel, comment est-ce que ça marchait ? Tout était ranger aux millimètres, c’était presque cartésien puis brusquement c’est ma chambre que je reconnaissais au fur et à mesure que tout se métamorphosait. Tout était exactement comme à la maison. Sydney devait encore avoir inventé quelque chose de complètement fou et ça m’intriguait, j’aimais ça même si j’étais ignorant sur le pourquoi du comment. Je repensais à ce qu’Auréa avait fait, elle avait fermé la porte. Des choses me passaient en tête, des choses que personne n’oserait dire maintenant mais je me sentais vraiment prêt pour extérioriser tout ça. Aleesha ne me barrerait plus la route et quand bien même elle le ferait, je jouerais l’indifférence.

-C'est.. des illusions. Nos illusions en réalitées, ça vient du Manoir...

Des illusions… Hyde devait être la raison de pas mal de chose, il gérait les illusions d’une façon étrange et à chaque fois, j’en été impressionné. J’arrêtais de regarder les changements de la pièce pour en revenir à la personne qui animait chacune de mes pulsations cardiaques, j’en revenais toujours à Auréa, à la chaleur du feu qui grandissait dans son regard sauvage et désirant, elle était l’enfant de l’élégance. La chambre était faiblement éclairée mais assez pour que je puisse la contempler sans retenue… Elle me donnait des frissons à chaque mouvement qu’elle se permettait de faire. L’adrénaline s’emparait de mes membres, de tout mon corps. Je savais que cette soirée allait être une des plus importantes de ma vie et attendre n’était plus dans mes moyens. Un instant sourd venait se glissait dans la pièce, je portais encore ce masque et elle, le sien mais la barrière artificielle qu’ils représentaient n’était pas réellement efficace. Je redessinais les traits de son visage dans ma tête, c’était comme s’il était question d’un mystère que l’homme n’avait pas encore élucidé, quelque chose de sacré à laquelle je m’appliquais. Ses traits étaient d’une difficulté aristocratique à la fois légère et délicate. Ses airs méditerranéens et l’odeur de sa peau dorée étaient un appel au corps irrésistible, j’avançais vers elle comme si je m’avançais vers une œuvre de Botticelli. Elle avait cette beauté qui arrêtait de faire respirer le monde, qui arrêtait tout le reste, qui stopper la vie pour quelques minutes seulement, comme un cadeau du ciel dont personne ne voulait se séparer, elle était belle, belle par l’excellence de sa splendeur naturelle.

Je voulais connaître cette mort que le désir infligeait, je voulais gémir sous l’amour et pour l’amour. J’étais assoiffé de paix, de vertiges et de respirations mourantes. Je ne cesserais jamais de la chercher, de la toucher même si le noir nous engouffrait là où personne ne pourrait nous sauver. Si j’étais avec elle, je me sentais prêt à mourir, à vivre, à mentir, à souffrir, à comprendre, à mordre, à tout. Tout. Je n’allais pas profiter de cette nuit, je n’allais pas profiter de son corps, aussi parfait soit-il, j’allais simplement profiter de nous. Seulement et uniquement nous. J’avais toujours imposé mes chances, même dans la défaillance. A présent, je serre mon bonheur et vais vers mes risques. A me regarder narguer la mort, les gens s’étaient habitués. Je n’avais pas peur du danger, je flirtais avec à chaque fois que l’on m’en donnait l’occasion. J’étais ce genre de gars qui allumait une allumette pour faire flamber ses propres ailes. J’admirais la poussière, celle qui se perdait dans le vent, celle qui ne s’arrêtait jamais de s’envoler, poussée par le vent que d’autres n’avaient pas su retenir. Le néant des cendres d’une vie passée me faisait ressentir une sensation étrange, c’était rien et tout à la fois. C’était des morceaux de cœur, des morceaux de sentiments qui venaient du monde. J’avais des allures torturées, des allures tourmentées et il m’arrivait d’aimer cette mélancolie continuelle. Le concept du bonheur que j’attendais était présent lorsque qu’Auréa m’effleurait. Avec elle, avec mes ombres, je me retrouvais serré entre douceur et douleur. C’était un mélange qui rendait mon désir, désobligeant, entêtant. La solution était dans le silence et personne ne pourrait m’arracher cette sensation.

Je ne voulais plus de cette distance entre nous, de toute cette retenue qui me blessait plus qu’autre chose et je ne voulais plus me soumettre au mensonge, aux barrières et aux limites qu’on m’avait imposées. J’avais encré son corps contre la porte et avait pris son bras qui s’était levé assez instinctivement. Je tissais mes phalanges aux siennes pour qu’elles ne fassent plus qu’une, je la regardais toujours avec cette force que je sentais montait en moi comme le mercure dans un thermomètre. Je ne contrôlais plus mon cœur et pourtant j’étais étrangement calme, serein. Ma tête était vide et tellement pleine d’elle à la fois, je prenais conscience que les hématomes nocturnes qui me rongeaient se dissipaient de plus en plus vite, à force de me perdre en elle. Je laissais mes lèvres dévorer les siennes, au risque d’y laisser mon âme et tout le reste. Les émotions qu’elle me faisait ressentir n’étaient pas descriptibles humainement. C’était surnaturel. Ses lèvres me chuchotaient des secrets, terribles et envoûtants, divins et chimériques. Elle faisait la conversation avec mon âme, qui s’engourdissait lorsque ses mains se perdaient sur ma peau glacée. J’avais besoin d’elle, de son corps, de son esprit, de ses rêves, de ses douleurs. J’avais besoin de tout ce qu’elle pouvait me donner à cet instant précis. Je continuais à l’embrasser, en explorant son cou, sa poitrine. Je voulais lui faire sentir ma fièvre, lui faire sentir à quel point elle me rendait ému juste par quelques gestes. Je faisais descendre mes mains en traçant les contours de son corps, je voulais prendre le temps de faire le voyage qui débutait de son dos jusqu’à sa taille pour m’approprier ses hanches qui me perturbaient tellement. La chaleur et l’odeur qui émanait d’elle me donnait des vertiges intenses. Elle s’agrippait à moi avec les caresses qu’elle créait au début de ma colonne vertébrale, elle se promenait entre ma nuque et le creux de mes omoplates. Je me sentais frôler l’overdose et pourtant je n’avais rien pris. La vitesse de mes sens voulait faire éclater mon cœur mais je gardais toujours ce calme étrange. J’avais peur qu’elle s’en aille, que quelque chose viennent me rattraper, que mon passé ne me laisserait pas vivre. C’était donc instinctivement que je la rapprochais de moi, je mettais entre ses jambes en continuant de la caresser. Son regard était encore graver en moi, il s’enfonçait toujours plus loin. Elle me rendait la vie à chaque fois que cela se passait. Je pouvais percevoir son cœur tintait dans sa poitrine avec une force inimaginable… Je me concentrais sur cette chanson, je me concentrais sur son cœur qui semblait m’appeler.

Je commençais à défaire les lacets de sa robe, je faisais ça de façon méthodique. Sa peau était d’une douceur incroyable et la chaleur qu’elle me procurait était encore indescriptible pour moi. C’est à peu près au même instant qu’elle enlevait mon masque pour le laisser tomber sur le sol de la chambre dans laquelle nous étions. Je l’avais laissé faire, elle s’obstinait à ne pas lâcher mon regard, je voulais qu’elle lise à quel point j’avais envie d’elle, que respirer était comme m’imploser les poumons tellement mon désir était immense. Je commençais à faire glisser son bustier et elle commençait à le faire elle aussi. Elle m’embrassait, jouer avec ma langue avec insolence. J’avais l’impression qu’elle voulait m’arracher ma chemise vu la violence avec laquelle elle la déboutonnait, sa violence m’excitait énormément… Elle réveillait mon excitation sans me brusquer, ses lèvres, ses mains sur mon corps me réchauffaient lentement. Elle prenait le temps de m’inspirer, je prenais le temps de toucher le satin de ses cheveux et de son visage. Au bout de quelques secondes, je ne portais plus ma chemise et j’avais fait glissée la première partie de sa robe pour laisser apparaître sa lingerie alléchante. Je mettais emparé de ses jambes assez brutalement pour qu’elle arrive à ma taille. Je la tenais toujours aussi fermement, elle était tellement légère que je le faisais sans difficulté, je ne voulais pas qu’elle s’arrête de m’embrasser, je voulais continuer. Elle me poussait et j’avançais à reculons… Je montais sur le lit en étant agenouillé, elle montait de la même façon et se remettait en face de moi. Tout mon corps la réclamait mais je ne pouvais pas faire ça si elle n’était pas prête, je devais être sûr qu’elle le voulait autant que moi. J’essayais de me calmer quelques secondes, de reprendre ma respiration et de calmer la fulgurance de mon cœur qui n’avait plus battu aussi fort depuis longtemps. J’enlevais le masque qu’elle portait à mon tour et le lançait au sol, je me séparais de ses lèvres assez doucement. L’envie qui m’habitait me donnait la sensation d’être affamée, d’être en manque. J’étais totalement en manque, en manque de son corps, d’elle. Je voulais entrait en elle, je voulais connaître cet endroit que je m’étais interdit jusqu’ici. Tant qu’elle ne me ferait pas savoir qu’elle le voulait elle aussi, je ne ferais rien. Je la regardais en attendant sa réponse, elle savait à quel point je la désirais. Elle connaissait mon envie et je voyais la même chose dans les profondeurs intimes de son regard. Sa main caressait mon visage et sa respiration flirtait avec la mienne, son souffle caressait mes lèvres avec une douceur qui les apaisaient. Nos visages n’étaient plus qu’à quelque millimètre l’un de l’autre et son regard me rendait encore plus amoureux que je ne l’étais, la brillance de ses iris m’éblouissait, les étoiles pouvaient être jalouses car rien n’était aussi beau que ce que je voyais à cet instant. Je faisais glisser mes doigts sur l’avant de son bras tendrement. J’étais complètement sous l’emprise de sa volonté, j’étais à elle et je ne voulais plus qu’elle. Je refusais de me dire qu’il y aurait sans doute une possibilité de fin car ma raison de vivre ne se résumait plus qu’à ses souffles.

- Je t'aime.

Il y avait une telle fébrilité en moi lorsque j’avais entendu ces mots sortirent d’entre ses lèvres… J’avais compris à quel point ce n’était pas facile pour elle d’avouer ce que son cœur lui murmurait et je ne m’y attendais pas, elle me surprenait de la plus merveilleuse des façons. Des frissons montraient à quel point cette phrase m’avait troublé. Je ne voulais pas entendre une autre qu’elle me dire cette phrase, je gravais sa tendresse dans ma mémoire, dans mon âme, partout. J’étais certain maintenant qu’elle m’aimait et le courage qu’elle avait trouvé pour me dire ces mots en question m’avait donné la preuve que j’attendais. Je n’attendais pas qu’elle me fasse un récit sur tout ce qu’elle ressentait car elle me transférait tous ses sentiments de part cette trois mots. C’est tout ce qu’il me fallait pour me rassurer. Les mots n’avaient pas d’importance en soi, ce n’est pas ça qui me rassurait, c’était le courage qu’elle avait puisait en elle pour me le dire avec ses yeux noyés dans les miens. Sa voix m’avait paru si fragile en me disant ça, je voulais qu’elle n’ait pas peur car je resterais, je ne partirais pas. J’avais totalement confiance en elle à présent car Auréa n’était pas une fille que tout le monde pouvait aimer, elle n’était pas ce genre de personne qu’on oubliait, qu’on faisait disparaître d’un simple souffle. Elle avait pénétré dans mon âme, elle guérissait mon cœur, j’étais amoureux d’elle, amoureux comme je ne l’avais jamais été et j’aimais cette ivresse qui remplaçait mon sang, j’aimais cette envie qui remplaçait ma distance et cette lumière qui me délivrait de jour en jour. J’étais démuni d’ombres face à elle, j’étais démuni d’arme face à sa magnificence infinie. Si elle me permettait d’être l’héritier de son cœur, je devais lui prouver que j’étais à la hauteur. J’avais conscience que je devais me laver de mes pêchés pour être digne d’elle, de sa pureté et son innocence d’âme. Elle m’aimait, j’en avais la certitude car elle ne me laisserait pas continuer d’avantage. Elle ne se serait pas offerte et son regard ne cessait toujours pas de m’appeler.

Ma main s’aventurait dans ses cheveux pour lui retirer son diadème. Une fois que cela avait été fait, je continuais de jouer dans ses cheveux en la rapprochant de mes lèvres, je reprenais nos jeux de langue là où ils s’étaient arrêtés, je l’allongeais sur le lit sans être brusque et en faisant en sorte qu’elle ne se sente pas bloquée. Tous les aveux avaient été arrachés à présent, je n’avais plus aucune attache, elle me possédait entièrement. La passion commençait à se répandre, de mon souffle à son souffle, on respirait ce désir de nos perdre l’un dans l’autre. Je jouais à détailler chaque centimètre de son corps avec mes mains qui ne se tenaient clairement plus. Je l’embrassais encore alors que ses mains étaient revenues à cet endroit sur lequel elles étaient passées la dernière fois et avaient dû repartir, elle déboutonna mon pantalon pour se défaire de mes lèvres quelques instants, elle me regardait avec un sourire qui ne faisait que me rappeler d’avantage qu’auparavant on avait pas pu aller plus loin que ce déboutonnage en question, je lui souriais à mon tour, avec le même air amusé qu’il y avait dans ses yeux. Je faisais glisser mon pantalon assez facilement et Auréa avait pris place sur moi, j’étais allongé. Dans mon état normal, je n’aurais pas accepté qu’elle me prenne de haut de cette façon mais à cet instant, j’étais tellement excité à l’idée de l’avoir enfin à moi que j’aimais ça. J’avais horriblement faim d’elle, je voulais sa peau, je voulais m’imprégner de son odeur jusqu’à ce que j’en tombe. Je ne pouvais pas m’empêcher de parcourir son corps comme si je traversais le monde, la toucher semblait être quelque chose d’addictif à cet instant et j’en revenais toujours à ses hanches de façon plus brutale et vive car elles demeuraient encore indomptées et leur rébellion était la provocation qui rendaient mes candeurs insolentes. Je faisais courir le bout de mes doigts sur sa colonne vertébrale lentement et je continuais à la regarder avec désir, avec passion et impatience. Je sentais que je respirais un air rafraîchissant, j’inspirais profondément comme si je remplissais une bombe d’oxygène avant de plonger en apnée, l’air était léger. J’observais ce qu’il se passait et la pièce était encore en train de changer. Je continuais à la caresser, je sentais la braise de ses lèvres sur le bas de mon torse, au même instant mes muscles s’étiraient tous, ses baisers agissaient comme des électrochocs. Mes veines tremblaient sous ma peau au fur et à mesure qu’elle remontait le long de mon corps, plus elle continuait à m’embrasser de cette façon, plus elle augmentait mon impatience. Je dégrafais son soutien-gorge sans attendre qu’elle réagisse. Je commençais à reprendre possession de mes habitudes, j’aimais contrôler et je pense que ça se voyait. La façon dont elle explorait ma peau me rendait complètement dingue en réalité, je me demandais comment je faisais pour ne pas lui arracher le reste de vêtements qui lui restait. Je traduisais toutes mes blessures sur son corps et m’en libérais au même moment, j’observais la vitesse de son thorax alors qu’elle avait laissé ses mains descendre, descendre, descendre pour arriver jusqu’à mon intimité. Et évidemment mes idées de reprendre le contrôle étaient définitivement terminées lorsqu’elle s’était mise à me caresser avec une douceur provocante cet endroit... Elle m’excitait encore et encore, j’avais l’impression que j’étais en total hors contrôle… Nos lèvres se cherchaient encore dans des défis savoureux qu’on prenait plaisir à créer. Je laissais mes lèvres se soudaient à chacun de ses halètements, sa langue était aussi joueuse que la mienne et ce n’était pas pour me déplaire… Au contraire, ça m’amusait de la sentir si violente par moment. Je sentais une nouvelle fraîcheur s’ancrer dans mon dos, ça ressemblait à de l’herbe fraîche. Auréa regardait ce qu’il se passait et j’observais le ciel bleu foncé parsemé d’étoiles toutes aussi brillantes les unes que les autres, je me sentais extrêmement bien et je prenais conscience grâce au ciel que j’étais en dessous et Auréa avait cessé de me caresser à l’endroit de mes faiblesses, c’est ce qui me permettait de reprendre le dessus. Je savais que j’allais aimer ces jeux du corps, ces mouvements de surprise qui consistait à savoir qui prendrait le dessus, ça me rendait amusé… J’aimais être sur elle, pouvoir me dire qu’elle était à moi et qu’il fallait me passer sur le corps pour me l’arracher. Je souriais de l’amusement que j’éprouvais lorsque je m’obstinais à reprendre le dessus, je ne savais pas pourquoi j’étais obsédé par cette façon de faire. Sa main était toujours où même endroit, ça me déconcentrait car c’était la faiblesse des hommes et ça m’exaspérait de l’avouer. J’en avais vraiment assez d’attendre et mon envie me brûlait les doigts.

Inconsciemment, j’essayais de me mettre entre ses jambes et elle écartait ses cuisses pour qu’elle se retrouve entre mes reins, je la resserrais contre mon corps assez automatiquement et sa respiration rendait la mienne aussi nerveuse que la sienne l’était, on continuait à se regarder vraiment sérieusement comme si ce qu’on allait faire était devenu quelque chose de vitale. Mes caresses descendaient doucement de son ventre jusque sous son ventre, j’enlevais ses derniers vêtements, les miens avec. Mon impatience avait mordu ses lèvres brûlantes et mon désir avait provoqué la violence de mon souffle qui se saccadait de seconde en seconde. J’avais forcé les limites corporelles pour me fondre en elle, j’avais l’impression que des flammes s’emparaient de tout mon corps et ma température ne cessait pas de monter à chaque mouvement que je faisais, Auréa me rendait complètement brûlant de l’intérieur, j’avais l’impression que je perdais ma respiration et pourtant je refusais de m’arrêter. J’avais capturé ses hanches de façon étrangement déterminée. Ses halètements me rendaient complètement malade, je sentais qu’Auréa se contractait aux premiers instants, je ne pouvais pas m’empêcher de la regarder. La passion que je pouvais lire sur son visage me faisait tremblais. Je ne savais pas si elle se rendait compte du plaisir que ça me procurait, j’avais l’impression que la température montait de plus en plus, à chacun de mes va et vient. Je laissais courir mes lèvres sur les siennes, l’humidité de son souffle s’infiltrait dans les fibres de mon âme et l’éclat qui était apparu dans ses yeux allumait mon être avec une violence effrayante. Je ne me sentais pas capable de me taire pour une fois et ma voix se perdait dans des gémissements que je n’arrivais pas à décrire. La chimie qu’on était en train de créer était la sensation la plus incontrôlable qu’il m’ait été donné de vivre. Je l’avais toujours désiré sensuelle, je me voulais toujours à elle. Elle avait déclenché l’excitation de ce qui pouvait nous unir, elle avait osé prendre de moi mes désirs les plus suffocants. Mes contours ne voulaient être tracés que par elle et son toucher me rendait incandescent. Je m’obstinais à devenir le but de son corps comme elle était devenue le mien. Je sentais son corps se perdre sous mes doigts, sa souplesse ressemblait de plus en plus à l’ivresse. Je savais que sur son corps, je risquais l’amnésie mais chacun de mes membres brûlaient trop fort, trop vite comme la chambre… Je me rendais compte que l’incendie qui était en train de m’achever avait glissé sur les murs de la pièce, j’entendais les crépitements des flammes possessives se rapprochaient de nous. Je sentais la confusion d’Auréa lorsqu’elle avait déposé sa main fébrile sur mon visage, je prenais son autre main et la serrer fortement. La chaleur devenait à peine vivable le souffle d’Auréa était presque totalement éteint et la situation devenue assez folle et dangereuse. Il fallait que je me calme. Si j’avais imaginé cet incendie, je pouvais le faire disparaître techniquement mais je n’avais pas vraiment le temps de réfléchir car les flammes étaient extrêmement proches d’Auréa. Je m’étais concentré sur les choses les plus froides que j’avais pu toucher dans ma vie et je ressentais une sensation de puissance extrêmement intenses s’emparait de moi, un vent glacé parcourait ma peau. On était en plein contraste, c’était de la folie mais le feu se dissipait de plus en plus, il fallait que je continue à penser de cette façon jusqu’à ce que le feu s’éteigne définitivement. Je savais pas pourquoi mais j’avais l’impression qu’on puisait des forces en moi, qu’on me vidait de ma force. J’avais la sensation d’utiliser mon pouvoir mais ce n’était pas à la mort que je pensais c’était au froid… J’avais du mal à suivre ce qu’il se passait mais la chaleur baissait, c’était le but que j’avais voulu atteindre. Je pouvais voir la poitrine d’Auréa respirait difficilement sous la pression que notre étreinte nous faisait ressentir, je passais ma main dans ses cheveux, sur son visage magnifique, dans son cou. Je retraçais ses contours avec douceur pour essayer de la calmer, j’avais toujours ma main dans la sienne, je sentais ses phalanges s’agrippaient aux miennes avec la même détermination que j’avais utilisé plutôt. Il fallait qu’elle reprenne son souffle, que sa température arrête de grimper sans jamais s’arrêter. Mes doigts caressait son corps jusqu’à ce j’arrive à sa hanche, j’étais toujours concentré sur le froid car je ne pouvais pas laisser le feu nous envahir et au moment où je m’étais arrêté sur sa hanche, j’avais senti le froid me mordre le bout des doigts. Auréa me serrait la main brusquement et criait instinctivement. Je comprenais mieux ce qu’il se passait, ça ne venait pas de la chambre, ce froid violent venait de moi. C’était mes pouvoirs qui s’activaient, ceux que je ne connaissais pas. A cet instant, il était hors de question qu’on continue, je ne savais pas de quoi j’étais capable et surtout quelle conséquence cette chose pouvait avoir, il fallait vraiment qu’on arrête avant que je lui fasse vraiment mal. Mais elle me rattrapait avant même que je ne m’en aille.

« Reste »

J’étais perturbé par ce que je venais de faire, ce n’était pas mon but de lui faire mal mais je ne contrôlais pas ce qu’il m’arrivait, je ne savais pas ce que j’étais capable de faire et ça m’effrayait pour elle. Si jamais il lui arrivait quelque chose par ma faute, c’était quasiment impossible que je me le pardonne un jour. J’avais pas le droit de continuer juste parce que j’en avais envie, je devais prendre en considération les risques de ce que je pouvais faire juste par mes pensées, ce n’était pas raisonnable. Et surtout dangereux. Je voyais des flocons tombés de la bulle que je devais avoir utiliser comme protection. J’étais assez surpris de savoir que je pouvais contrôler le froid de cette manière mais ça me vidait considérablement. Pourtant j’en voulais encore, je voulais sentir son amour glissait en moi, je n’en avais pas encore assez mais risquer Auréa n’était pas possible pour moi. Je l’aimais suffisamment pour savoir m’arrêter. Sans que je m’y attende, elle m’embrassait à nouveau, sa peau était toujours de cette couleur dorée magnifique et la saveur de sa peau me rappelait la cannelle, elle possédait la même subtilité que cette saveur. Elle reprenait le dessus en se collant contre mon corps qui était inhabituellement chaud. Je pouvais encore entendre les battements de son cœur contre mon torse, elle me remettait en transe et la violence avec laquelle elle s’était accrochée à moi me faisait prendre conscience que j’avais besoin de son amour pour me sentir vivre. Elle se reculait légèrement pour attacher mes iris aux siens. Son regard était extrêmement tendre et guérisseur, ce qu’elle faisait lorsqu’elle me regardait de cette façon était inexplicable avec des mots, j’étais amoureux d’elle, j’étais malade d’elle, je pouvais mourir pour elle, j’en étais tellement certain à cet instant. Ses caresses me rassuraient tellement vite, elle avait confiance en moi et j’avais confiance en moi pour elle, je ne pouvais pas lui faire du mal, c’était impossible et je me contrôlerais s’il le fallait. J’aimais me sentir dans son corps, j’aimais cette sensation d’être en altitude élevée à chaque fois que mon souffle devenait l’écho de son cœur affolé. Son sourire me faisait oublier mes craintes et mes mains continuaient de parcourir sa volupté corporelle. J’étais concentré, plongé dans l’ombre lumineuse de ses yeux. Ce que je ressentais pour elle était une des choses les plus sincères qui m’habitait, j’aurais pu continuer à l’aimer des heures et des heures, elle me rendait tellement dépendant d’elle, tout ce qu’elle portait en elle me faisait respirer pour de bon. C’était unique. Inimaginable.

Je me disais qu’elle était folle, qu’elle était folle de prendre de tel risque juste pour qu’on continue à se sentir aussi bien, c’était notre moment, celui qu’on avait longtemps attendu et je n’avais pas voulu l’arrêter seulement mes pouvoirs pouvaient être dangereux mais elle n’avait pas peur, elle avait confiance en moi et son regard m’avait calmé, m’avait rassuré et me brûlait encore plus fort. Je n’avais plus peur à présent et le calme reprenait le dessus, d’entre mes lèvres, je continuais à frôler le creux des chairs qui se trouvait dans son cou. J’aimais retracer sa colonne vertébrale, j’aimais la sentir frissonnée à mon contact glacé. Elle m’embrassait assez brutalement et ça ne faisait que confirmer que j’en avais encore envie. Elle voulait absolument tatoués nos jeux de ma peau, jusqu’au creux de mes os. J’aimais sa façon de s’accrocher à moi, elle était sauvage, j’aimais le fait de ne pas la posséder entièrement ça me forçait à aller la chercher et ça m’excitait terriblement. La lubricité, mon désir et sa tendresse se mêlaient inlassablement et provoquait ma brutalité, je l’avais serré contre moi avec une force écrasante. Il m’était impossible de couper le contact entre mes mains et son corps, je soulignais son corps avec application et repassait encore et encore sur ses formes parfaites. J’avais l’impression de ne plus sentir mon corps, d’avoir dépassé le stade de l’endurance grâce à son odeur qui me rendait complètement sous son influence corporelle. Son corps ressemblait à un endroit immense rempli de secrets et de mystères, j’en voulais encore… Même si physiquement j’étais exténué par cette chaleur qui nous mettait en sueur et avait fait de nos soupirs langoureux, le seul language que l’on était encore capable de comprendre. Ses fulgurances ne faisaient qu’amplifier l’intensité de chacun de nos mouvements, j’avais du mal à me résoudre au silence et ma voix criait faiblement sous la pression de ce qu’elle me faisait ressentir, c’était tellement puissant, tellement dingue que j’allais sans doute m’en rappeler toute ma vie. Je me tenais à ses formes pour qu’elle ne s’arrête pas parce qu’elle me faisait à cet instant était terrible, je ne savais pas si j’étais capable de ressentir autant de chose, elle me perturbait, c’était la première fois qu’une femme me faisait ressentir cette sensation. J’avais l’impression que je pouvais tomber tellement ce moment était bon. J’étais entièrement écraser sous l’extase. J’aimais capturer ses cadences, sentir son cœur battre jusqu’à ce qu’elle en perde son propre souffle, j’aimais la voir se perdre alors qu’elle savait très bien ce qu’elle faisait. Je ne savais pas si ma tête repassait cette chanson ou si elle était réellement en train de tourner dans la pièce comme si cette musique voulait nous accompagner, je n’arrivais plus à distinguer, la réalité des illusions et Auréa me tuait avec le plaisir extrême qu’elle me donnait. Ses yeux m’hypnotisaient encore, me disaient de ne pas m’arrêter et je ne voulais pas m’arrêter, pas encore. La vitesse était en train de devenir meurtrière de notre respiration, je me demandais comment on faisait pour continuer de cette façon, je me demandais comment je faisais pour ne pas tomber mais ses formes devenaient mes prises, je me noyais complètement dans le delta de sa chair satinée. Je percevais les muscles d’Auréa se tendre à l’extrême et les miens semblaient s’être synchronisés avec les siens. Ils se tendaient tellement que ça me faisait presque mal, les mouvements ingérables de mon bassin étaient de plus en plus douloureux mais c’était un paroxysme qui me faisait gémir. Les sons qu’Auréa me faisaient entendre étaient la chose qui m’enfonçait définitivement en elle, je ne faisais pas seulement l’amour à son corps, je le faisais à son âme… Et c’est cette pensée en question qui faisait éclater ma pression artérielle, qui poussait mon rythme cardiaque à la limite du possible. Je savais que je ne pouvais pas dépasser cette limite du plaisir, on était arrivés aux sensations optimales. Je ne pouvais pas aller plus loin… Je lui avais tout donné, complètement, de A à Z, de long en large. Dans tous le sens possible. Mes mouvements se calmaient doucement, mes souffles étaient toujours aussi haletants et mes yeux ne la lâchaient toujours pas… Je ne l’embrassais plus de façon sauvage, de façon brutale. Je l’embrassais de façon amoureuse, j’étais fou d’elle. Ce qu’elle m’avait donné aujourd’hui était une chose magnifique mais ça ne dépassait pas ces mots qu’elle m’avait enfin dis. Ceux que j’avais attendu depuis toujours, ceux qui étaient la raison de ma présence ici. Mes lèvres se baladaient encore une fois dans cou pour remonter jusqu’à son oreille. Je soupirais de plaisir, d’amour pour lui susurrer que je l’aimais moi aussi, plus que tout au monde. Une fois que j’avais dit ces mots, je me détachais d’elle pour m’allonger, pour me calmer et faire baisser ma température. Ma peau était terriblement chaude… Elle m’avait rendue ma chaleur… Et je sentais mon cœur battre sous l’émotion. Elle se blottissait contre moi et je la rapprochais pour qu’elle reste contre moi, proche de moi, pour moi. J’aimais sentir la douceur de ses cheveux sur mes doigts, j’aimais me perdre dans leur chaleur et j’aimais aussi sentir leur odeur si spéciale pour moi à présent, elle s’amusait sur mon torse en pianotant dessus. Je voyais le plafond se transformait en ciel étoilé, je le contemplais quelques instants avant de fermer les yeux, j’étais exténué, épuisé mais amoureux et comblé. Je commençais doucement à m’endormir quand j’entendais la voix de Sasha me réveiller et m’énerver. Sa voix emplie de haine était insupportable et la fatigue allait faire qu’elle allait en ramasser plein la figure mais je m’en foutais, il fallait qu’elle comprenne qu’elle devait tracer son chemin, que je n’étais plus à elle depuis longtemps.


-Damon Je sais que tu es ici, on vous entend des escaliers. Ouvre.

Auréa avait compris qu’il fallait que j’y aille car elle s’était décalée pour me laisser partir. Son regard s’abaissait, je ne voulais pas ça, je ne voulais pas la laisser. Je détestais l’abandonner de cette façon et Aleesha allait m’entendre pour ça. Je posais mon front contre le sien et touchait son menton pour qu’elle lève les yeux, elle n’avait pas à faire ça, elle n’avait pas à baisser les yeux. Je l’aimais, personne ne pourrait plus m’en empêcher. Je lui murmurais que je reviendrais. Je me détachais d’elle et m’habillait rapidement, je n’avais pas entièrement fermé ma chemise car j’étais énervé et je voulais retrouver Auréa au plus vite, elle me manquait déjà… Alors que je n’étais même pas encore parti. Aleesha était là en face de moi, avec toujours ce même regard tueur qui en réalité ne m’atteignait même plus. J’avais ouvert la porte brutalement et je l’avais poussé violement pour qu’elle me laisse passer. Je savais qu’elle allait commencer à me faire la leçon mais elle n’avait rien à me dire. Elle marchait rapidement devant moi et je la suivais presque en courant. Elle m’hurlait des choses à la figure, des choses horribles.

- Non mais pour qui tu te prends Damon ?! On vient à peine de se détacher l’un de l’autre que tu vas la sauter alors que tu m’as clairement largué et que ça t’a strictement pas touché. Tu te rends pas compte à quel point à quel point ça me fou en l’air de t’entendre t’envoyer en l’air avec une fille que j’avais pris pour mon amie ? ! Tu crois que ça me fait quoi ? Tu crois que j’ai pas des envies de meurtre ! Tu me prends pour quoi ? Pour ton jouet ? Ta gentille petite poupée tranquille ? Je t’attendrais pas Damon, je t’attendrais plus. Je peux pas supporter ça, je peux pas je suis désolé. Envoie toi en l’air avec qui tu veux mais tu peux me rayer de ta vie définitivement à partir de maintenant !

On continuait toujours à marcher et plus elle marchait, plus elle hurlait. Plusieurs personnes nous regardaient mais j’en avais rien à faire de toutes ces conneries, j’en avais plus rien faire. Je pouvais plus continuer comme ça, j’avais une migraine terrible qui me prenait et elle continuait à hurler, j’avais l’impression que d’écouter une fréquence de radio défectueuse. Mon cœur battait trop fort, je ressentais trop de chose en même temps, la fatigue, l’excitation, le bonheur, la colère. Je comprenais plus rien et j’avais terriblement mal à la tête, c’était insupportable, j’avais envie de lui prendre la tête de la claquer contre le mur pour qu’elle se réveille. Elle voulait me lâcher ? Elle voulait partir ? J’avais du mal à comprendre ce qu’elle me disait, je réalisais pas.

- Quoi ? Hein ? Arrête, parle moins vite, tu me bourre le crâne avec tes conneries de meuf jalouse. Tu saisis pas que je veux plus être avec toi ? Faut faire comment pour que tu comprennes quelque chose ? Tu sais que tu commence sérieusement à m’emmerder avec ton pseudo amour, tu parles d’un amour ! Tu pense qu’à ta gueule depuis le début alors arrête de me hurler dessus, de me prendre pour ton chien. T’as plus ton jouet c’est ça ? T’as pas ce que tu veux alors tu pique ta crise ?

Elle me répondait toujours en hurlant, on marchait toujours vers la sortie fallait que j’aille dehors, qu’on s’explique dehors même si ça servait à rien. Elle parlait, parlait et plus elle le faisait plus ma tête me mettait la pression, une pression extrêmement douloureuse que j’arrivais plus du tout à gérer. J’entendais tous dix fois plus fort, plus vite en accélérer, au ralenti. Je sentais de l’électricité dans le bout de mes doigts, je me sentais électrique de partout et je voyais les lumières du manoir vacillaient au fur et à mesure que je traversais les couloirs. Elle me poussait pour que je lui réponde, je me retenais pour ne pas la gifler. Elle criait comme une hystérique pour que je lui réponde, que je lui dise de s’en aller mais je voulais pas qu’elle s’en aille putain… Les ampoules explosaient toutes après mon passage, je comprends pas ce qu’il se passait mais je ressentais une colère énorme en moi et ses cris me rendaient encore plus nerveux. On passait dans la grande salle qui était quasiment vide maintenant et cette fois c’est le lustre qui explosait. Les gens étaient tous montés au balcon, j’allais enfin sortir d’ici. Je tapais dans la porte et elle s’ouvrait violemment. Aleesha me suivait toujours. J’avais l’impression que j’allais exploser, c’était ingérable ce que je ressentais à cet instant, j’allais jamais tenir. Pas comme ça. On s’arrêtait en face du lac, elle s’apprêtait à me gifler mais j’avais retenu son poignet à temps, il était pas question qu’elle me touche. Je la poussais brutalement et elle tombait au sol, c’était la première fois que j’étais aussi violent avec elle. Je me comprenais pas, c’était trop, j’en pouvais plus. J’entendais la voix d’Auréa mais j’avais du mal à entendre ce qu’elle disait, j’avais l’impression qu’elle criait, mais je savais pas. J’étais complètement perdu.
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Auréa Eden

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MessageSujet: Re: Le Cavalier Noir .   Le Cavalier Noir . EmptyLun 5 Avr - 16:51

J'étais prise dans un tourbillon d'émotion qui venait s'incruster dans mes membres, me rendant compte quand une seul et unique soirée. Je lui avais tout donnée ce qui m'était le plus dure de donné a un être vivant. Je m'étais rendu totalement vulnérable a ce qu'il était. Je m'étais toujours protéger de cela, protéger des autres. J'avais eu temps de mal a me relever et a reconstruire les choses, petit à petit. Je me fessais peur, car je n'avais jamais autant ressentie de choses en une seule journée. Je voulais temps s'arrête quand j'étais dans ses bras, je voulais rester dans cet bulle de glace qu'il avait crée, quitte a me geler. Il y a beaucoup de moments où l'on voudrait juste une chose, appuyer sur pause, arrêter le temps et revivre tous ces moments rien qu'une dernières fois. Je voulais y rester mais a chaque fois on venait nous y en sortir. J'avais besoin de ressentir ces moments, c'était mes favoris, ceux que je tatouai dans mon esprit. Je me retrouver dans ce corridor, plus Damon s'éloigner plus les lumières éclater. Ce qui c'était passer cette nuit, pouvait certainement ce traduire par une nuit magique, exceptionnel, unique merveilleuse. J'avais encore dans la tête ses mots qui s'enfuyait en moi. J'avais son odeur incrusté dans ma chair et c'était quelque chose d'absolument divins. Mon ventre me fessait encore mal, et je cicatrisai avec difficulté même en ayant pris au par avant le médicament. Il poussait tout ce que j'étais a l'extrême. Je l'aimais depuis qu'il m'avait toucher, c'était quelques choses qui était venu comme ça, d'une attirance physique on était passé a quelques chose de beaucoup plus fort. J'avais bien entendu une certaine appréhension, a savoir.. qu'est-ce qui allait ce passer maintenant qu'on c'était donner l'un a l'autre.


Si aimer quelqu'un c'était simplement être capable de le laisser partir, accepter le fait qu'en faite il ne veuille plus de vous. Si c'était ça aimer .. est-ce que Aleesha l'aimer a ce point ? Est-ce que je l'aimais a ce point ? Est-ce que je pourrais me déchirer, ressentir ce vide courir en moi, me faire arracher mon âme, mon coeur. J'étais prête a aimé a ce point, a voir chacune des bougies s'éteindre autour de moi même si les ombres aller dansaient autour de moi c'est ce qui me ferait vivre . J'y étais prête pleine d'espoir pas seulement pour moi . J'étais pas sensé m'en mêler c'était leur histoire, mais je ne pouvais pas rester la a attendre le rideaux finale. S'il me laissait partager sa vie, tout ce qu'il le touchait ne devait pas me laisser dans l'ignorance. On baignais dans les complication avec ceux qui nous entourer et quand on se retrouvais a deux tout était si simple. Elle criait ;


- Non mais pour qui tu te prends Damon ?! On vient à peine de se détacher l’un de l’autre que tu vas la sauter alors que tu m’as clairement largué et que ça t’a strictement pas touché. Tu te rends pas compte à quel point à quel point ça me fou en l’air de t’entendre t’envoyer en l’air avec une fille que j’avais pris pour mon amie ? ! Tu crois que ça me fait quoi ? Tu crois que j’ai pas des envies de meurtre ! Tu me prends pour quoi ? Pour ton jouet ? Ta gentille petite poupée tranquille ? Je t’attendrais pas Damon, je t’attendrais plus. Je peux pas supporter ça, je peux pas je suis désolé. Envoie toi en l’air avec qui tu veux mais tu peux me rayer de ta vie définitivement à partir de maintenant !


- Quoi ? Hein ? Arrête, parle moins vite, tu me bourre le crâne avec tes conneries de meuf jalouse. Tu saisis pas que je veux plus être avec toi ? Faut faire comment pour que tu comprennes quelque chose ? Tu sais que tu commence sérieusement à m’emmerder avec ton pseudo amour, tu parles d’un amour ! Tu pense qu’à ta gueule depuis le début alors arrête de me hurler dessus, de me prendre pour ton chien. T’as plus ton jouet c’est ça ? T’as pas ce que tu veux alors tu pique ta crise ?

Si aimer c'est le savoir en soit, ne pas hésité, et souffrir c'était ça. Il restait toujours une sorte d'énigme, chacun de ses mouvements, de ses réactions, de ses paroles m'échappaient. Ce que disait Aleesha me blesser, je ne sentais plus mon souffle sortir de mes lévres. On s'était pas envoyer en l'air comme ça de la façon sale dont elle le décrivait. Je fermai les paupières, c'était c'est crie était devenue incessant , comme un cauchemar qui ne fessait que s'amplifier. J'étais dans la brumes de mes pensées, je ne pouvais pas lui en vouloir... Elle l'aimait. Je les suivais de loin sans me mêler de leur altercation. Quand Damon ce mis a crier Il montait d'un octave a chaque fois, je me sentais coupable de ce qui arriver la. Plus elle lui hurlait dessus, plus les lumières s'allumaient et s'éteignaient. Toutes les lumières, tout ce qui était électrique ce mettait a exploser. Ca le blesser, il redevenait fantome et il fessait n'importe quoi. Je comprenais vite que c'était lui qui provoquer tout ça, car a chaque fois que la voix d'Aleesha s'écraser a lui balancer les choses les plus horribles qui m'était donné d'entendre, tout exploser. Ces pouvoirs n'arrêtaient pas de se manifester ce soir. Je voyais le début de ses phalanges s'électriser de petit éclaire. Il poussa violement Aleesha a terre. Il fallait qu'il se calme une nouvelle fois. Il risquait de faire exploser l'électricité du tout New York rien que par son énervement. L'électricité qu'il produisait devait l'épuiser, donc dans la logique ou l'eau était un conducteur, l'électricité qu'il produisait s'il se trouvait sous l'eau, il allait la récupérer. Ce recharger et ce calmer. Les cieux devenaient noir et les foudres s'étaient emparer de lui, tout autour de lui. Des flash commençaient a troubler ma vision, je ne le voyais même plus. «  Le Lac , plonge dans lac , va dans l'eau Damon » Je ne m'arrêtais pas de répéter ses mots jusqu'à temps qu'il les entendent . Je voyais la terre céder sous la masse d'énergie, quand soudain, plus rien, un étalage de poussière était présent a la place de Damon. Et l'eau du lac ce mit a bouger, un éclaboussement ce fessait entendre.

Calme toi, calme toi, calme toi , je ne cessais de me répéter ces mots en boucle. Tout était devenue étrangement calme, trop calme, le ciel s'était éclaircie . Je le regardai, comme pour prier que sa fonctionne. Les seconds s'enchaînent et il ne remontait pas. Je les comptais, remonte , remonte. Il aurait du rester une trentaine de seconds tout l'eau alors qu'il y restait plus longtemps, qu'est ce qui ce passer? c'était pas normal . J'avais pas vue ça cage thoracique ce gonfler, des bulles apparaissaient a la surface, ca voulait dire qu'il avait encore de l'air dans ses poumons . Je tremblais, je frissonnais, je criais pour qu'il remonte. Il pouvait pas me laisser, pas comme ça. Pas a cause de ces pouvoirs, pas a cause de sa colére. Les seconds défilaient depuis trop longtemps, tout avait était trop vite. Son souffle se saccader déjà quand il était contre moi, il avait eu a peine eu le temps de le reprendre pour s'essouffler a nouveau. Il avait déjà utilisé ces pouvoirs pendant qu'on fessait l'amour, je l'avais sentie épuiser, mais on avait continuer. Je savais pas ce que sa fessait d'utiliser ces pouvoirs car je n'en possédait pas, mais j'avais vue comment Syd avait était épuiser les dernières fois. Comment Damon c'était sentie, il avait continuer avec je ne sais qu'elle force. J'avais peut être était trop loin. Je pensai pas que ces pouvoir serait un problème qui mettrai en danger sa vie, je l'aurai pas pousser si j'avais pu le savoir. Des larmes roulaient sur mon visage sans que je puisse les retenir. Le temps était un ennemie, il remontait pas. Les bulles se fessaient de plus en plus rare, mon coeur s'arracher progressivement a chaque millième de seconds qui s'écouler. J'avais des pics qui traverser mon coeur. Sydney était arriver sur le balcon, « Combien de temps Auréa, depuis combien de temps il est la dessous » . Tout ce mélanger en moi « Arrête le Syd, Trop longtemps, environs 110 seconds , il est pas en état de supporter plus » il était loin, je criais de toute mes forces. Je le voyais courir en ma direction et il s'écriait « Si je fais ça, c'est poumon vont se remplir d'eau, Attend » Ses mots je les comprenais, j'avais pas le temps d'attendre qu'il se noie attendre a rien faire. J'arrachais le bout de ma robe car je savais qu'elle me ferait remonter trop vite a la surface . Tout ça ressemblait a un cauchemar, qui m'écorchai.

Aveuglé par les vertiges du besoin de ressentir ces souffles sortir d'entre ses lèvres, je plongeais. Au premier contacte j'eus des frissons qui se briser sur mes muscles. J'ouvrais les paupières, tout était trouble. Si je pouvais attrapé et étrangler la personne qui avait oser dire que la vie n'était qu'un long fleuve tranquille. J'allais plus en profondeur, en cherchant, comme aveugle. Je le trouvais pas, j'avais envie de crier s'il avait perdu sa respiration il devait être au fond. Je bloquai l'entrer d'air de mes poumons, pour garder tout mon oxygène . Je m'accrochai à la promesse que je lui avais faite, même si je n'avais qu'un vie pour lui prouver. Rien n'y personne ne pouvait me séparer de lui, s'il voulait être a mes cotées. Que ce soit, ces pouvoirs, des femmes, ou même cet eau, seul la mort pouvait me le retirais. Je ne la laisserai pas faire. Mon coeur s'armait d'espoire et l'eau ce fessait de plus en plus glaciale, les profondeurs s'obscurcît. Les ténèbres m'enserrent, et il n'était pas question que je le laisse filé entre mon point serrer. Pourtant mes poumons ce contracter, mes bulles d'airs s'échapper sans que je puisse les attraper. Je remontai progressivement vers la surface quand celle ci était impossible a traverser. Une épaisse couche de géle l'avait recouverte. Ma respiration ce perdait, mes poumons s'ouvraient, je me raccrochai a ce qui me rester, son regard qui s'était perdu en moi.
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Damon M. Tallis
Damon M. «
    Dust in the wind.

Damon M. «  Dust in the wind.
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MessageSujet: Re: Le Cavalier Noir .   Le Cavalier Noir . EmptyMar 6 Avr - 18:29

Je tentais de poser toute mon attention sur la voix d’Auréa, sur ce que j’entendais de façon brouillée. La colère m’avait complètement pris dans avec elle et je sentais la terre tremblée à chaque fois que l’énervement remontait comme une poussée d’adrénaline que personne ne pouvait contrôler. Je voyais des faisceaux de lumière puissants s’écraser au sol tout autour de moi, je pouvais sentir leur tension, je pouvais décrire leur intensité mais cette électricité ne me faisait pas de mal, je comprenais que c’était moi qui gérait toute cette énergie. Mon attention restait concentrée sur une seule voix, celle d’Auréa et il me semblait que ses mots devenaient plus fluides mais des sortes de bugs coupaient ses mots, de telle façon à ce que je ne sache pas. J’étais pourtant sur la bonne voie, je continuais à écouter même si ma tête me faisait encore mal, même si des décharges secouaient mes muscles. Je n’avais pas d’autres choix que de me contrôler, je devais apprendre à gérer mon énervement pour ne pas faire exploser toutes les choses sous tension. Tous ces sentiments que j’avais retenu pour ne pas blesser Aleesha avaient débordés, je n’étais plus arrivé à me retenir mais je ne me sentais plus enchaîné, j’avais tenté de lui en parler mais elle n’avait rien voulu entendre… Je regrettais mon geste, celui de l’avoir poussé lamentablement. Ce n’était pas mon genre, c’était la première fois et je savais qu’elle ne me le pardonnerait pas. On s’était déchiquetés. Il fallait que ça cesse… Les paroles d’Auréa s’étendaient en écho dans ma tête. « Le Lac , plonge dans lac , va dans l'eau Damon » Je plongeais sans attendre, je faisais confiance à Auréa. Je savais que ses choix étaient les bons. L’eau était froide mais elle apaisait ma peau qui était devenue comparable aux fibres d’un câble sous haute tension. Je m’enfonçais dans l’eau, je cherchais la profondeur du lac en essayant de détruire toute cette rage que j’avais extériorisé par les foudres.

La fraîcheur de l’eau qui glissait sur ma peau calmait mes pulsations cardiaques. J’avais plongé dans l’eau comme pour fuir tous ce qu’il se trouvait à la surface, j’avais peur de ce que j’étais capable de faire. J’avais fait exploser les lumières du Manoir juste par ma colère. J’étais un générateur et récepteur d’énergie humain et ce n’était pas forcément rassurant vu mon impulsivité excessive. Je n’avais pas pris conscience que plus je m’enfonçais, plus je perdais de l’oxygène. Je commençais à manquer d’air mais je ne me sentais pas encore prêt à remonter, je sentais encore mes nerfs vibraient sous les ondes électriques qui m’animaient. Je ne savais pas à quelle profondeur exacte j’étais à présent mais je ne pouvais plus apercevoir la surface, tout était extrêmement sombre mais je pouvais encore voir, c’était comme si mes yeux étaient devenus des ampoules. Ma peau me faisait toujours mal, je me concentrais sur la fraîcheur que j’avais remise dans la chambre lorsque les flammes nous avaient entourées et le feu dans mes veines se calmait, je remontais le plus rapidement possible vers la surface et je pouvais voir Auréa qui cherchait à sortir mais n’y arrivait pas. Depuis combien de temps elle était là au juste ? Je m’approchais d’elle et lui prenait la main, je pouvais toucher la surface au-dessus de nous, un couche de glace avait bloquée l’accès. On était enfermés sous l’eau. Je regardais Auréa, il ne fallait pas qu’elle perde son souffle. Je prenais son visage entre mes mains et posait mon front sur le sien en fermant les yeux. Je savais qu’une partie que le corps humain est un conducteur électrique. Je devais me concentrer sur la partie de nos corps qui était la plus électrique. Je voyais des atomes se balader dans ma tête. J’essayais d’assembler les atomes électriques avec ceux d’Auréa pour qu’elle puisse respirer et que je puisse respirer, le temps de briser cette glace. Après quelques minutes, j’arrivais enfin à respirer mais je n’arrivais toujours pas à mettre ensemble les atomes d’Auréa et les miens qui étaient devenus électriques, elle devait avoir quelque chose sur elle qui était sous tension. Je prenais son poignet et lui enlevait son bracelet et réessayer encore, cette fois j’y arrivais. Je mettais le bracelet dans ma poche et lâchait Auréa pour pouvoir briser la glace, je donnais plusieurs coups violents ce qui fissurait la glace, je tapais de plus en plus fort jusqu’à ce qu’un trou assez grand se dessine. Je reprenais la main d’Auréa et sortait enfin de l’eau.

Elle avait mis sa vie en danger pour moi et je m’en voulais de ne pas avoir su me contrôler. Elle n’avait pas eu peur de perdre ses souffles, de s’enfoncer dans des profondeurs qu’elle ne connaissait pas et elle l’avait fait pour moi. Je me demandais si je faisais autant pour elle, je me demandais ce que je lui apportais de si précieux enfin de compte et j’avais du mal à trouver. Elle n’arrêtait pas de me donner mais qu’est-ce que je lui donnais en retour à part mon silence lorsqu’elle posait des questions trop risquées ? Rien. La vérité était blessante mais les mensonges ressemblaient à un cercle infini, un cercle qui nous pourrissait de l’intérieur. J’étais trempé, elle aussi et je m’en voulais pour tous ce qu’il venait de se passer. Aleesha n’était plus là, je me demandais où elle était… J’avais peur qu’elle se soit en aller mais en même temps je ne savais que je ne la retiendrais plus. J’avais tourné la page, il fallait que j’assume mes actes et je ne les regrettais pas du tout. Sydney, Hayden et Hyde nous avaient attendu et avait l’air assez paniqués lorsque nous étions sortis de l’eau. Je ne savais pas comment j’avais réussi mais j’avais réussi à nous faire respirer sous l’eau. Après avoir rassuré les autres, je me rendais compte que je me sentais beaucoup mieux maintenant, c’était comme si l’eau m’avait permis de reprendre des forces. Je prenais Auréa dans mes bras et la serrais contre en lui disant que j’étais désolé pour tous ce qu’il s’était passé, je n’avais pas voulu qu’elle risque sa vie, que son cœur cesse de battre pour des pouvoirs que je n’avais pas réussi à gérer. J’étais fatigué mais rassuré d’avoir Auréa dans mes bras. Tout s’était fortement mélangé en moi et je n’avais toujours pas de nouvelles d’Aleksandr malgré mes nombreux coups de fil. On rentrait tous à la maison. Lorsque nous étions rentrés, j’avais pris ma douche et j’étais parti directement ensuite. Je m’inquiétais pour Aleksandr, j’avais dit à tout le monde que je reviendrais le lendemain. Je partais encore… Mais je tenais assez à Alek pour aller vérifier que tout aille bien.
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