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 (-16) Black Smoke Attack

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Sydney Ian Moon
    Spiritual Birth

Sydney Ian Moon


Moi =D
▬ Relations:
▬ Armes & Pouvoirs: Maîtrisse les souvenirs.Controle les volontés. Maîtrisse le temps grâce aux images.

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MessageSujet: Re: (-16) Black Smoke Attack   (-16) Black Smoke Attack - Page 2 EmptyLun 26 Juil - 19:34

(-16) Black Smoke Attack - Page 2 Twilightwall


Soirée au bord du feu, j'aimais ces ambiances simple qui fessait crépité le feu, une célébration un peu spéciale qui allait avoir lieu dans la nuit. Kasey allait avoir ces vingt-deux ans. Les anniversaires une réjouissance étrange de la par de notre civilisation, célébré le fait est que nous nous rapprochions un peu plus de la vieillesse. Un prétexte de plus pour faire la fête, tant mieux j'étais adepte des fêtes. Quand j'en avais l'occasion, j'en créais moi même. Réunir les gens, leur offrir de la nourriture et de la boisson, avoir des discutions diversifié. J'étais assis en face de d'Hyde qui avait entre ces jambes Auréa et a mes cotés se trouvé Kasey. J'étais un peu déstabilisé par ce baiser que je lui avais donné. Je savais pas pourquoi j'avais eu cette pulsion mais c'était arrivé puise que mon coeur était enfermé dans une boite et que j'avais malheureusement perdu la clef. J'étais pas prés a m'attaché de façon définitive a quelqu'un. Je n'étais plus ce genre d'homme capable de ça, avant je l'étais et puis on ma injecté de l'amertume dans le ventricule gauche du coeur et puis comme pour enfoncé la chose on a oublié de refermé mon thorax. Sans doute que je n'aimais pas les amoureux parce que je n'étais plus capable d'en être un. Le roi des dénis névrotiques asservie a sa reine inconnus, possible ? J'en suis incertain, je préférais sans aucun doute trébuché le long des corridors interminable. J'étais plus du style a garder mes clopes prés de mon coeur que de garder la photo d'un personne sur mon coeur. La soirée s'envolait dans le creux de ma paume abimé par la nicotine. Je ne savais pas ce que je pouvais offrir a Kasey, oui c'était la tradition offrir un cadeau ou plusieurs pour anniversaire. Il y avait des rires qui partaient dans tous les cotées, on racontait également nos souvenir d'Aprilia. Je me rendais compte que le Damon qui était a mes cotés a Aprilia me manquai et que ces moments rares me rendait le plus heureux.. On parlait également le de l'anniversaire de Kasey. Les marshmallows qui grillaient autour du feu parfois se collant l'un a l'autre. J'essayais de lire ce que pouvais penser les autres tout en parlent, une seul de ces personnes pouvait le faire. Hyde, il pouvait le faire entrer dans ma têtes et la disséqué, je me demandais tout simplement ce qu'il y voyait. Un beau bordel?

Kasey et Auréa s'absentèrent un moment, Hyde et moi même nous regardions dans les yeux un bon bout de temps. Il était certainement en train de lire en moi, mais c'est vide en moi, il n'y a rien a lire. Je prenais ma énième cigarette, c'était quand chacune d'entre elle avait un goût différent qu'on pouvait les savourés, celle-ci avait le goût de l'impatience. Je ne lachais pas Hyde du regard sans savoir pourquoi. Il s'effaçait toujours et pourtant j'étais certain qu'il avait plus a dire que la plus par des personnes. Nous restâmes dans un silence assez léger. J'abattais ma langue contre mon palais remarquant que j'avais une seconds cage thoracique en bouche. Hyde était toujours présent mais il y avait toujours cette par d'opacité qui fessait qu'il ne parlait que rarement. La relation qu'il entretenait avec Auréa était étrange car elle semblait l'avoir touché pour qu'il la protéger comme il fessait avec Damon.

Les filles revint de la maison, Auréa était la première a revenir vers nous, Kasey courait avec des escarpins. Auréa vêtus d'une robe marron qui fessait définitivement ressortir son teint de peau d'ocre. Elle avait sur la tête un bandeau sur la tête avec des plumes rouge verte et bleu. Elle était adorable d'un air innocent elle se remit dans a l'abris prés d'Hyde, elle s'en foutait si on trouver sa stupide, elle fessait ce qu'elle n'avait pas pu faire étant plus petite. C'était un charme qui la composé, c'était dans son caractère d'être enfantine a un double fond de femme fatale. Deux phases qui fessait qu'elle était en accord avec elle même. Kasey était.. il n'y avait pas de mot qu'il pouvait définir ce que je pensais réellement a par démesurément attirante et encore c'était un commentaire réduit a ce qu'on pouvait éprouvait en la voyant. Elle n'était certainement en une phase complète celle d'une femme attirante a tout point, femme pouvant nous infligé toutes les fatalités possible est imaginable. Elle en avait conscience et elle en jouait, elle voulait qu'on la regarde mais même sans tout ça je la regardais déjà. C'était de la provocation placé certainement pour mettre a genou tout ce qu'ils se trouvaient devant elles. J'avais déjà goutté a son corps, je l'avais fait et en la voyant dans cette tenu je ne demandais qu'une certaine manière a être encore une fois sous l'influence de mes désires. Il était bientôt minuit dans quelques seconds. Nous criâmes tous ensemble

5, 4, 3, 2, 1.. JOYEUX ANNIVERSAIRE!

J'ouvrais la bouteille de champagne d'un mouvement et je servie des coupes de champagne. Kasey avait un regard illuminé, on pouvait facilement lire qu'elle était heureuse. Auréa était heureuse aussi la retrouver elle s'empressait d'aller dans ces bras et de la serrais contre elle, je fis de même. Les filles se prenaient en photo et j'entamais une nouvelle cigarette. Auréa se mit a danser et a sauté essayant de faire levé Hyde pour qu'il se mette dans un état d'euphorie semblable au sien. C'était amusent de voir avec qu'elle rapidité les filles transmettaient la moindre source de bonheur. Auréa expliquée a Kasey elle n'avait pas eu le temps de trouver un cadeau mais qu'elle allait se rattrapé dans la journée. En même temps on était arrivé comme ça d'une seconds a l'autre sans savoir ce qui aller ce passer. Les heurs continués de défilés, comme un hyperactif j'avais envie de bouger et Kasey également. Auréa restait prés du feu aux cotés d'Hyde, je savais que sa leur ferrait du bien d'être un peu ensemble.

Kasey et moi marchions vers la maison et pour ainsi dire, j'évitais de la fixé et même de la regarder. On parlait dissent a qu'elle point l'italie changé de New-York. Qu'on était plus proche ici, je lui avouais que je l'avais vu ici étant plus petite et que j'en étais certain elle devait avoir une discutions avec Aaron. Je m'installais dans un transat comme un pacha regardent les étoiles quand soudain Kasey s'installa sur moi. Je sentais le danger me brûler et mes veines commencèrent a s'assécher avec une instantanéité flippante. J'étais pas du genre a résisté et elle le savait. J'avais sur moi ces lignes épurées qui touchaient mon corps mort. Elle posait la chair de ses lèvres de vermeille sur mes lèvres. Elle dominait mes envies sacrifiant une nudité magistrale. Je sentais ses hanches sur ma taille, sa langue continuant d'importuner et de dominer la mienne se rapprochant de plus en plus de moi. Mes mains commençaient étaient déjà trop impatiente, elle était dans son dos caressent les parcelles de sa peau et a chercher la fermeture de sa robe. Elle se releva du transat commencent a marché vers la maison. Elle retourna en me regardent en me narguant et en souriant. « Tu me veux, vient me chercher »

Je devais avoir une tête d'illuminé. Pour m'impressionner, pour me passionné une femme devait me prendre de haut ou me touché dans une façon particulière. J'allais lui répondre que si elle voulait jouer, c'est ce que nous allions faire. Elle rentrait dans la maison et j'arrivais une plus tard, elle était encore dans le salle a manger. Si elle voulait jouer sans attache, j'étais son homme. J'avais sûrement envie de me tué contre son corps une nouvelle fois. Je déposais mon bras sur son épaule, elle se retourna et je l'embrassais encore plus sauvagement qu'elle l'avait fais quelques minutes auparavant. Je la plaquais contre le mur avec un sourire aux lèvres certainement malsain. J'attaquais son coup comme ci qu'elle était une victime et que j'étais un vampire décidé a boire la moindre goûte de son sang. Elle s'accrochait au cadre qui se trouvais derrière elle, mes mains décsendérent le long ces hanches et le cadre tomba. Sa m'amusait, elle inversait les rôles me poussent contre la table, elle enleva mon t-shirt avec le même sourire que j'avais eu précédemment. C'était sur que même ainsi elle ne verrait pas réellement qui j'étais puise que je restais toujours cette homme fantôme qui se brûlaient contre les chimères de l'envie. Je la serrais contre moi et je pausais mon front contre le sienne je lui sugérais dans ce regarde qu'elle pouvait prendre mon âme. Il y eu le bruit d'une porte s'ouvrant légérement, je la pris contre moi et je l'emenais dans la chambre ou elle était sensé passer la nuit seule. Elle enleva ses escarpins et tout de suite elle parut un peu plus petite. Elle me brulait rien que d'un regard, elle m'allumait et je prennais feu. Je me promenais le long de sa colone vertébrale fessant glissé la fermeture de sa robe jusqu'au bas de son dos. Son tissus roula sur ces hanches pour laisser apparaitre sous vetements qui n'était d'autre qu'un voile de dentelle noire. Ses lippes toujours aussi joueuse s'aventuraient aux creux de mon cou plutôt dangereux comme idée.Elle déboutonna mon slim et me poussa contre le lit. Ses ongles s'enfoncérent dans ma peau, je retirais sa dentelle et fessait glisser mon slim. Je caressais ses hanches doucement fessant le tour des lignes épurée de son corps. Mon indexe parcouru l'échine de sa peau de soie s'arrêtant a son ventre. Je pris le temps de tatouer son regard brillant dans mon esprit, voulant m'associer a elle. Je caressais ces cheveux et elle me regardait avec cette air angélique qui fessait que je ne pouvais pas lui résister plus longtemps. Je me posais sur elle laissent ma peau se fondre dans la sienne embrassent son corps, fessant l'amour pas uniquement a son corps mais aussi a son coeur. .J'étais en elle, j'avais violé son esprit et maintenant je son corps. Je n'étais pu capable de l'aimais comme elle le méritait réellement, mais je l'avais aimé a m'en brulé les os. Mon corps sur sur-élever sur le sien, la chaleur qui émanèrent de nous me lacerait le coeur, jusqu'a m'en tué. Je fesais n'importe quoi, je lui avais dis dans l'apres-midi que tout était fini et j'étais en train de cedé a ces charmes a dévoré chaque parcelle de sa peau. Mon sang circulait étrangement, j'étais capable de le sentir. C'était une spécimens moi également, les choses étaient plus intense. Elle se laissait faire, elle s'était toujours opposé a moi pour me provoqué et au finale sa fonctionné plutôt bien. Je ressentais que mon âme s'arraché dans mon corps qu'elle suivait le rythme de ces cries. Ma conscience se perdait et ma peau bouillonné aux frottements de sa peau contre la mienne. On était a arrivé a la fin de cette fusion qui me lié a elle. Son portable ne fessait que sonner, son front se posa contre le mien avec se regard qui me fit sourire. Elle me fit lire le message qu'elle venait de recevoir.. Je comprenais donc elle devait aller chercher Damon. Elle se rhabilliait sans un mot et j'allais a la salle de bain.


Dernière édition par Syd Moon le Mer 4 Aoû - 16:10, édité 2 fois
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Auréa Eden

Sunburn
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MessageSujet: Re: (-16) Black Smoke Attack   (-16) Black Smoke Attack - Page 2 EmptyLun 2 Aoû - 2:35

Certaine ombres peuvent nous ronger et nous suivre, il y a certainement qu'une chose a faire... C'est d'allumer la lumière. Attendre avec une certaine fois que les électrons forment cette énergie qui nous est vitale. Certain choisirons d'ouvrir les volets poussiéreux et laisser entrer les rayons du soleils. Ce cauchemars ne cessait de ce répéter cette nuit la, c'était un calme qui me fessait du mal. Celui qui nous indique que ce silence, n'en est pas un bon... Tout était comme dans un rêve au début, il était la... Oui Damon était la, assis dans l'herbe, sa m'étonnait d'ailleurs. C'était un endroit que je connaissais bien c'était quelques kilomètres au dessus de la villa, on y aller souvent avec Milo pour ce changer les idées. Il y avait un point d'eau, tout était calme.. si calme qu'il nous inspirait a la plénitude on y aller souvent pour réfléchir... C'était la que je l'avais emmener.. la ou je m'installais en face de lui habiller d'une robe d'été a fleur.. Je savais ce qui aller sortir de ma bouche et pourtant je ne l'entendis pas. Je savais ce qu'il avait entendu, il me regarda fixement durant quelques seconds en passent sa main contre ma joue. Ces frissons dont ils avaient l'unique secret, j'avais baisser la tête et il s'était relevé.. Puis il est partie. Je venais de lui avouer, je venais de lui avouer ce que je ressentais, ce qui fessait que je me battait, ce qui fessait que je n'avais jamais rien ressentie d'aussi fort pour un homme. Il était parti, je me retrouvais allonger sur l'herbe les ailes brisées. Comme dans un coma artificiel, un mensonge de perdue, comme une poussière qui c'était pris pour un grain d'or. Le temps tournaient et la pluie mourrait sur les parcelles de mon corps, ca m'était égale. Je me réveillais en sureaux aux cotés d'Hyde, qui me serra contre lui m'assurent que j'avais crier que ce n'était qu'un cauchemars et qu'enfin j'étais en sécurité. J'avais peur de pouvoir mettre les mots sur mes sentiments, je l'avais compris, il avait peur d'être aimer, peur d'être attacher. Et pourtant il restait. Une lueur sur la table de chevet ce fessait de plus en plus présente avec une vibration en continue. C'était mon téléphone qui n'en fessait qu'a ca tête. Hyde décrocha pour pour moi...

" Allo...Quoi ? T'es sérieux ? ... D'accord, d'accord .. Ouai bye. "

" C'était qui ?" Je lui avais dis a moitié endormie

« C'était Hayden, Auréa... Tu sais Damon, au centre il était amoureux d'une fille.. Maxim. Elle est revenue... »



A partir de ce moment la, le sommeil était parte. Je n'arrivais pu a dormir, ni même a parler, ni même a penser. Hyde me pris dans ses bras et me serra de plus en plus. Je comprenais pas ce qu'y était en trans de ce passer.. mais j'étais certaine que ce n'était pas quelques chose de bon. Je n'avais jamais voulus mettre de barrière a Damon, je voulais juste la vérité et maintenant j'avais peur de cette vérité. J'avais peur et elle me dirigeait dans le moindre de mes souffles. Je n'étais pas comme Damon, j'étais loin d'être son semblable et pourtant on en était là. Hyde connaissait certainement mieux Damon qu'il se connaissait lui même et cette nuit la il garda le silence. Il ne savait pas lui non plus. Je voulais sûrement parler, sûrement crier ou pleurer.. mais rien ne sortait. C'était en face de lui que j'allais certainement perdre le moindre de mes moyens. C'était sans doute la seul personne a réussir a me faire baisser les armes. J'arrivais pas a dormir et rien de ce que pourrait dire Hyde ne me rassurerait car lui même ne savait rien. Durant la soirée, je lui avais pourtant de me faire quelques chose de sans doute stupide. Je lui avais demander de me faire un dessin sur le bassin et je lui avais dis que c'était un tatooage que je voulais faire depuis que j'avais grandis. Ce dessin était sur moi encore, j'avais envie de frotté ces fichus mots pour qu'ils s'effacent mais je savais que je me ferais saigner en les frottants. L'aube commençait a peine a se lever et j'allais dans la cuisine, Syd était dans le sofa et je ne comprenais pas vraiment pourquoi il était encore levé. Il me regarda de haut en bas en me dissent « Tu devrais dormir encore tu sais... », « J'aimerais bien dormir tu sais, mais mon esprit travail autant que le tien » « Prend un cacher qui a sur la table.. sa t'aidera , ca marche ces trucs » Je fis ce qu'il me dit... je prenais son cacher espèrent qu'il me fasse dormir. J'avais un goût de menthe dans la bouche, c'était étrange pour aider a dormir...


Avant de retourner dans ma chambre, j'allais quelques seconds dans ces bras, juste parce que j'avais besoin de l'avoir pres de moi comme un ami et cela fessait maintenant très longtemps qu'on en avait pas fait.. je repartis dans ma chambre tout doucement. Je m'allongeai en fixant le plafond. J'avais confiance en lui.. j'avais confiance et j'espérais tout simplement peur qu'on brise une nouvelle fois ma confiance. Une odeur familière vins me réveiller, c'était celle de Damon, je l'avais reconnus c'était celle qui me torturais temps... je n'ouvris pas les yeux je ne savais pas si je dormais encore ou si ce n'était vrai. J'entendais les battements de son coeur ils étaient rapides puis ils se calmaient. Je sentais ses doigts se promenaient dans mes cheveux. Je me relevais légèrement toujours les yeux clos.

« C'est encore un cauchemars ou tu t'en va ? »
Spoiler:
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Damon M. Tallis
Damon M. «
    Dust in the wind.

Damon M. «  Dust in the wind.
Damon M. Tallis


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MessageSujet: Re: (-16) Black Smoke Attack   (-16) Black Smoke Attack - Page 2 EmptyLun 2 Aoû - 13:57

(-16) Black Smoke Attack - Page 2 1fcpw8

Je ne suis pas digne de ça. Ce n'était pas moi, je ne peux accepter la gloire pour quelque chose que je ne peux être. Je ne suis pas digne de ça. Je sais à quoi ressemble la perfection. Je ne peux me tenir devant sa puissance et je suis tellement éloigné de ce que vous pensez que je dois être. Je me noie juste dans la pitié. Penholder - Flyleaf


Durant tout ce temps, elle était restée là. Même dans les pires situations, j’avais senti sa main dans la mienne comme si elle veillait sur moi, une rencontre inattendue mais si évidente enfin de compte. Elle apprenait à me connaître, elle découvrait mes blessures, comprenait mes colères sans même que je ne les prononce et pourtant j’arrivais encore à lui faire du mal, d’une façon ou d’une autre je coloriais son cœur de rouge sang ou bien de bleu ecchymose. Certaines personnes m’avaient dit que je ne la méritais aucunement, c’était certainement vrai, ça l’est encore. Je savais que ma vie ne se résumait qu’à des choix, le problème ce que je n’étais plus capable de choisir. Il y avait trop de route à suivre, trop de sentiments à prendre en considération, trop de risques à les perdre un par un. Pourquoi personne ne le comprenait ? Ils avaient mal. Mais j’avais mal aussi, gravé dans l’indécision. Je voyais le mur mais je ne le brisais pas, je me contentais de le fixer ou de trouver une combinaison de brique comme pour accéder au chemin de Traverse, vous savez, comme dans le film Harry Potter. J’étais persuadé qu’il y avait un code. Un code pour tout. Je le pensais car mon être n’était constitué que de codes. Aussi complexes soient-ils. Est-ce que je me trompais ? Je n’en savais rien. Je ne sais plus rien. J’avais traversé l’océan, traversé l’Italie pour avoir l’espoir de la voir et maintenant qu’elle était là, mon ventre se tordait, la fatigue me tuait et je ne me sentais pas aussi bien que je l’avais espéré car elle ne savait pas tout ce que je ressentais. Je ne lui disais jamais. Comme si elle pouvait le deviner. Ils pensaient tous que c’était facile pour moi, de faire des choix, de parler, de me confier, de me tirer mais non. Ils me faisaient mal à chaque fois, ils ne comprenaient pas. Ils ne m’avaient jamais compris et j’étais lassé de leur répéter la raison de mes silences.

J’avais des choses à lui avouer, des choses peut-être difficiles mais lui mentir n’était pas la meilleure des idées. J’avais cette peur constante de la voir se faner, de la voir mourir sous mes yeux par ma faute, par mes mots. Ce n’était pas juste, ce n’était pas juste de lui parler pour lui injecter un poison comme le mien. Mes paroles n’étaient pas accordées avec ses attentes, elles agissaient comme des scorpions. Trop rapide pour les stopper. Trop douloureuse pour comprendre. Bien sûr que j’étais capable de tout expliquer mais rien ne ferait qu’ils me comprennent, ils ne le pourraient pas car c’était sans beaucoup de moral. Je n’étais pas digne de leur amitié, de toute cette importance qu’ils me portaient à chacune de leur respiration. Je vois dans leurs yeux l’espoir que tout redevienne comme avant mais… Cette partie était morte ou bien dans un coma que je ne comprenais pas encore. Tout était flou, j’aurais pu pleurer, hurler ou bien même tout casser ça n’aurait rien changé. Je ne me sentais même pas coupable... Comment pourrais-je avoir des gens qui s’acharnaient à me comprendre alors que je les rejetais sans cesse… Je n’étais pas fait pour ça. Pour rien. Je me torturais l’âme, encore, pour ne pas changer mes habitudes et personne ne le voyait. C’était tellement facile de dissimuler, de tromper au final. Ils ne se rendaient pas compte. Je ne savais pas dans quel genre de sommeil par lequel elle s’était laissé emporter, je ne sais pas si j’hantais ses songes comme elle hantait les miens si fortement, parfois. Je savais juste que j’étais à côté après tous jours à me demander si elle allait bien ou non, tous jours sans la voir une seule fois dans la journée. Elle semblait s’éveiller sans pourtant ouvrir les yeux, ce qui me rendait perplexe…

« C'est encore un cauchemars ou tu t'en va ? »

- Je ne m’en vais que si tu me le demande Auréa.

Je me relevais légèrement comme elle l’avait fait quelques secondes plus tôt. Ses yeux étaient toujours fermés, ma main toujours dans ses cheveux. Je m’approchais pour l’embrasser sur la joue et je la regardais jusqu’à ce qu’elle se décide enfin à ouvrir les yeux. Je n’avais pas compris ce qu’elle venait de dire mais je n’insistais pas car de toute évidence, ma présence était loin d’être un rêve, peut-être un cauchemar mais pour le moment, je voulais juste la sentir avec moi. Pour oublier le reste. Juste elle et moi. La plupart de mes indifférences étaient dues à mes blessures, mes haines que je gardais secrètes. J’étais du genre colérique et rancunier. Les conséquences étaient violentes pour les autres moralement, ça me paraissait impossible de me côtoyer sans souffrir. Je refusais de briser Auréa malgré ma rancune pour des douleurs qu’elle ne comprend pas. Je refusais de la faire souffrir par vengeance, j’étais malsain. Je n’étais pas quelqu’un de bien et mon charme n’était que façade. Il n’y avait pas de vrai ou de faux avec moi, il n’y avait que l’instinct. Je jetais les points d’interrogation dans le néant, supprimant les pourquoi et les comment, ça passe ou ça casse. Quelque chose qui me vient de ma mère, plus paradoxale, compliquée et insoumise, tu meurs. Elle m’avait dit un jour que l’insoumission affirmait qu’elle n’avait ni Dieu, ni maître, ni qui que ce soit. Et je me rends compte qu’aujourd’hui, je pensais la même chose. Je me rendais compte des douleurs que je causais, de la peur qu’elle ressentait mais pourquoi je n’arrivais pas à la rassurer ? Puis je comprends qu’on ne peut pas croire un menteur.

- J’en ferais bien ma religion, j’en ferais bien mon horizon, c’est sûr que je peux mourir demain tant qu'elle m’habite entre ses reins. Elle t’emmène à l’autre bout de la Terre juste quand elle ouvre les paupières… Les paroles d’une chanson, ça me fait penser à toi en ce moment.
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Auréa Eden

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MessageSujet: Re: (-16) Black Smoke Attack   (-16) Black Smoke Attack - Page 2 EmptyLun 2 Aoû - 21:15

(-16) Black Smoke Attack - Page 2 Postaa

▬ J'avais toujours eux envie d'apprendre à connaître ceux qui m'entourait. J'avais eu faire a de nombreux psychologue dans mon enfance et quoique j'en dise ca m'avait aidée. A cette heure, j'aurais du être à la fac dans un amphithéâtre mais les chose c'était passée autrement. J'étais ici, j'avais lu se bouquin de Freud parlent des rêves. Chaque élément de nos rêves étaient lié à nos envie a nos peur a ce qu'on avait vu, ea ce qu'on voulait voir. Seul une personne peut décrypter un rêve, seule une personne à la clef qui ouvre les portes de nos question. Cette personne c'est nous même La peur, elle était facile a trouver, c'était la peur que lorsque je serais prête, que mes mots sortiront de ma bouche, qu'il parte. Comme l'avait fait mes parents quand je leurs avait dis innocemment de ne pas partir cette fois ci parce que je les aimais. Cette fois ci ou je les avais regarder dans les yeux âgées de quatre ans et que je leurs avais demander de rester et qu'il avait passer cette porte géante. Cette pluie dans mon cauchemars, celle qui me rendait aussi vide, c'était de la pluie qui envoie de l'amour, j'avais toujours eu un lien dans ma vie avec la pluie c'était certainement impossible a expliqué mais je savais que c'était ça. Je demandais a ce qu'on me vois mais au fond je n'en savais rien si j'étais prête a l'être. Il ne se calmait pas, il ne fessait qu'accélérée de plus en plus. Comme ci je ne fessais que courir après quelques chose de divisé en mille. Personne ne m'avait demander de courir, personne ne m'avait demandé a mon coeur de faire cette course. C'était ainsi, cette homme qui me tenait dans ces bras, ne verrais jamais a qu'elle point je tenais à lui. Ma respiration était lié à la sienne, peut être qu'il était abimer, peut-être que la noirceur l'habitai mais je l'acceptais tel qu'il était, parce que je savais une chose qu'il ne pouvait pas voir a propos de lui même. Il était quelqu'un de bien, quoiqu'il en dise quoi qu'il en face, il m'avait donné une valeur. Il me donnait une protection, il me donnait ses blessures. Pour une fois dans ma vie, je me sentais exister quand il était la. Peut-être que je n'avais pas besoin de comprendre pourquoi il avait mal. Je comprenais a cette instant, que s'il devait me parler de ce ma qu'il le rongeait. Il le ferait, bien sur il vous dira sans doute qu'il ne le dira pas, pour ce cacher. Mais jusqu'ici, il avait essayer de me cacher des choses et au finale il me les avait toujours révélée. Je ne demandais pas a ce qu'il est confiance en moi, j'avais tout simplement confiance en lui et c'était quelque chose immuable. Quoiqu'il en pense, il ne me devait rien tout ce que j'avais fait c'était mes choix. Mes dictâtes imprononçable, mon coeur qui me l'avait crié, mon corps qui avait obéit. Je n'avais aucun raison de nous brisé, j'avais pris un risque en tombant dans ces bras, j'avais pris le risque de sans doute jamais le voir au complet. Je le savais brisé, ce n'était en aucun cas de la pitié. En réalité, j'étais aussi brisé que lui sauf que je me donnais entièrement à lui sans pour autant lui dire. Je pourrais essayer d'être parfaite comme on me l'avait toujours dicté mais avec lui, pas besoin. Il acceptait mes défauts sans pour autant tout connaître de moi. Je ne pouvais plus laisser la peur régir mes mouvements, mes yeux étaient clos pour une raison particulière. J'avais cette peur que si je le regarde dans les yeux, les choses ait changé. Cette absence qui m'avait fait du mal qui avait du lui en faire autant que moi. Tout pouvait changé d'une seconds a l'autre, d'après ce qu'Hayden avait dis. Les sentiments que j'avais pour lui ne changerai pas comme ça quoiqu'il essaye de me dire. S'il devait partir, je voulais savoir heureux. Égoïstement j'avais envie qu'il le soit avec moi, mais jamais je ne l'enfermerais dans un choix. Je perdais la notion de ce qu'on était l'un pour l'autre quand quelqu'un venait, par peur. Je devais contrôler cette peur .

- Je ne m'en vais que si tu me le demande Auréa.



- J'en ferais bien ma religion, j'en ferais bien mon horizon, c'est sûr que je peux mourir demain si elle m'habite entre ses reins. Elle t'emmène à l'autre bout de la Terre juste quand elle ouvre les paupières. Les paroles d'une chanson, ça me fait penser à toi en ce moment.

Il s'était redressé et je pouvais sentir son souffle usée se rapprocher de ma joue jusqu'à ce qu'il y dépose ces lèvres. Ce n'était pas un cauchemar, pas ce fichu cauchemars ou il prendrait le départ. C'était la réalité et j'en prenais conscience. Je n'avais aucune envie qu'il parte, c'était ca. Je croyais en lui et rien de ce qui pourrait ce passer n'allait me faire changé d'avis. Je croyais aussi en nous, on était certe pas pareille... mais au fond qui l'est vraiment? Les attachement peuvent nous terrifier a un point qu'on s'en arrache le coeur, mais il ne faut jamais oublier une chose. Parfois ces attaches font que notre cœur batte un peu plus fort. Il se plaisait dans sa solitude, je le savais. Je voulais en aucun cas lui arracher. Je voulais qu'il le sache, qu'il sache que je respecte son monde, son endroit ou il enfouis ces peurs. Certaine chose n'ont de valeur que lorsqu'elle sont partagée. Un regard, un rire, ou un sourire sont quelque chose qu'on peut partager et on ne devrait jamais avoir peur de le faire. C'était bien lui, dans son paradoxe le plus complet. Le fait qu'il en soit un, le fait qu'il se cherchait et que parfois il se fessait du mal en le fessant. Ne me blesser pas, au contraire. Il ne le voyait pas, mais tout ce qu'il fessait c'était me rendre plus forte. Pousser mes émotions la ou elle n'avait jamais été et parfois ca fessait mal. Oui, mais sa me rendez vivante. Je me relevais plus forte, a chaque fois parce qu'il était toujours la avec moi. C'était le première fois qu'on ne me laisser pas. Je savourais cette instant parce que J'étais consciente que l'annonce qu'Hayden venait de faire plus tôt dans la matinée pourrait tout briser. Tout ce qui c'était passée autour de nous, nous avais rongée notre temps a deux. il cita une chanson.. J'étais tellement loin de pouvoir tout lui offrir il le savait. Je m'enfonçais au creux de son cou pausent mes levres sur sa peau doucement. Je savais qu'il verrait la peur dans mes yeux, j'avais ce défaut de liée mes paupières quand j'avais peur. C'était ce qu'Hayden avait du voir dans la salle aux miroirs quand j'avais été paralysé par la vision d'un clown. Mes iris allaient être d'un noir brillant qui forcerait a la curiosité c'est pour ca que je lui devais la vérité.

- C'était un cauchemar justement parce que tu partais c'est la peur qui ma dominer. Comme celle qui ma forcer a suivre Aaron. Je suis désolée ...


J'avais pas encore fini de parler que j'ouvrais les yeux en me relevant sur lui pour le regarder. Il était sans doute sur le bord et son poids contre le mien fit qu'on se retrouva a terre, moi la première. J'avais un fou rire du fait est qu'on était tombé tout ca parce que je n'avais pas ouvert les yeux attend. Il était sur moi avec le tissus qui était normalement attaché sur le haut du lit qui s'était enroulé. Je savais pas s'il était revenu pour l'annoncé une mauvaise nouvelle ou s'il était revenu pour moi. Ces yeux touchèrent les miens, il m'avait manqué, il avait été gravé en moi et j'avais fini même par en pleuré. il avait l'air si épuisé.. Je me demandais ce qui c'était passer. Hayden m'avait dis qu'il allait se faire "botté les fesses" le fait et qu'il appel hier soir... tout était flou et ce n'était peut étre pas le bon moment, il devait ce reposer. Les problèmes attendront... je le regardais et mes peurs disparaissait une par une.

- Tu m'as manqué

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Damon M. Tallis
Damon M. «
    Dust in the wind.

Damon M. «  Dust in the wind.
Damon M. Tallis


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MessageSujet: Re: (-16) Black Smoke Attack   (-16) Black Smoke Attack - Page 2 EmptyJeu 5 Aoû - 17:43

J’étais conscient de transformer l’apaisement en trouble, de remplacer le calme par la paranoïa simplement car j’étais quelqu’un de pessimiste et même plus encore, seulement, je ne trouvais pas le bon mot. La fatigue devait jouer dans mon comportement même si je n’avais pas besoin de dormir, c’est mon corps qui en avait besoin mais comme d’habitude ses besoins passaient après. J’étais toujours celui qui attendait, quelqu’un ou quelque chose. J’attendais et jamais personne n’est venu. Lorsque je prenais conscience que j’avais attendu tout ce temps pour ne voir que le fantôme d’un souvenir, je dessinais une nouvelle écorchure sur mon âme comme pour me rappeler qu’on m’avait oublié. J’ai toujours trop de fierté pour dire que j’avais eu besoin de l’attention de mes proches, toujours à prétendre que je n’avais besoin de rien, que je n’avais rien alors que je saignais atrocement. Le silence, l’aphonie, l’agoraphobie. C’était ça mon secret, celui qui engendrait les autres, celui qui avait bousillé toute une partie de ma vie. Sartre disait : « L’Enfer, c’est les autres. » Il n’y a pas plus vrai comme phrase à mes yeux. Je me torturais seul, en refusant toute aide qu’on me proposait. Je n’avais pas besoin de ces autres, je n’avais pas peur d’être seul. J’aurais même voulu l’être et tout ce que l’on pouvait penser ne m’intéressait pas. Je n’arrivais pas à expliquer mon fonctionnement et je n’en avais pas envie. J’aimais les gens qui m’entouraient aujourd’hui, prétendre le contraire serait me mentir à moi-même mais je ne les aimais pas au point de changer entièrement. Je resterais toujours Damon. Atteint d’une misanthropie incontournable. C’était un sentiment étrange d’incarner deux personnes en une seule, je ne pensais même pas à la schizophrénie vu que je savais parfaitement qui j’étais au fond, malgré toutes les fois où je m’étais perdu. Ils pouvaient tout tenter, cette distance que je mettais entre les autres et moi restait intacte même après des années. Auréa était étrange, elle m’inspirait l’inquiétude. Elle n’ouvrait toujours pas les yeux et ça ne semblait pas normal. Je sentais ses lèvres chaudes faire contraste sur ma peau froide, j’aimais sa façon d’être tendre, de me calmer par un simple geste.

- C'était un cauchemar justement parce que tu partais c'est la peur qui ma dominer. Comme celle qui ma forcer a suivre Aaron. Je suis désolée ...

- Tu devrais pas t’excuser tu sais.

Depuis toujours j’avais cette capacité à mettre mon grain de sel dans les situations délicates, ce qu’elle venait de dire m’avait rendu mal à l’aise. Elle m’avait toujours donné plus d’importance que je ne le méritais. Quand elle verrait qu’elle s’est trompée, elle comprendra ce que je n’ai cessé de lui répéter depuis que notre relation avait commencé. Je n’avais pas compris pourquoi elle refusait de me croire en ce qui concernait ma personnalité difficile, en ce qui me concernait. Elle s’obstinait à croire que j’étais quelqu’un de bien, quelqu’un doté d’une valeur importante pour elle ainsi que pour ceux qui vivait avec moi mais j’avais cette conscience qui me chuchotait que j’étais vide, que la peine a trop asséché mon cœur pour qu’il puisse ressentir de la compassion, pour qu’il montre toute l’affection qui l’habitait. Auréa méritait cette affection, sans doute plus que n’importe qui mais j’étais incapable de la lui offrir alors pourquoi elle attendait ? Pourquoi je me retrouvais au milieu d’une centaine de sentiments ? Elles ne méritaient pas ça, je ne les méritais pas. Au final, elle avait quand même ouvert les yeux mais on s’était retrouvé par terre au moment où elle s’était mise sur moi. La chute avait fait qu’on s’était mis à rire, le pire était sans doute qu’un tissu s’était décroché. Maintenant, c’était moi qui étais sur elle, je me remettais correctement en écoutant ce rire familier qui m’avait manqué durant ces jours sans elle, pour pouvoir la regarder dans les yeux. Depuis que Maxim était à nouveau là, tout était étrange pour moi. J’avais cette sensation de malaise, comme si j’étais le dernier des connards. Ce n’était pas de sa faute à elle, c’était de ma faute. Je me sentais coupable de l’aimer, de ressentir des choses amoureuses pour une autre qu’Auréa. Je n’étais pas la peur que je lisais en elle… Et son cauchemar n’arrangeait pas les choses. Tout était compliqué.

- Tu m'as manqué

- Toi aussi, je suis content de pouvoir te regarder.

La vérité, même si en ce moment tout se confondait. Je me sentais distant tout en voulant être proche pourtant. Dans tous les cas, je me sentais infidèle et j’avais peur qu’elle le sente. Je ne pouvais pas m’empêcher, je savais que je n’étais pas correct. Pour la première fois, je prenais conscience des conséquences d’une probable infidélité. Auparavant, ce genre de choses n’étaient pas importantes, je passais d’une fille à une autre sans l’ombre d’un seul remord et aujourd’hui, mon esprit frémissait sous mes propres sentiments. J’étais incapable de mentir à Auréa, incapable de lui dire que je l’aimais alors que je n’étais pas foutu de l’aimer elle et elle seule. J’étais venu jusqu’ici pour la revoir, pour la toucher encore, pour me remplir d’elle car ce qu’elle m’apportait était devenu ce à quoi je m’accroche lorsque je me sens balafré par mon passé. Je ne sais pas si elle était consciente de la sécurité qu’elle m’apportait juste par le son de sa respiration, par son regard dans le mien. Est-ce que j’avais réellement le droit à tout ce qu’elle pouvait ressentir envers moi ? Est-ce que j’avais le droit de lui dire tout ce qu’elle représentait même si j’avais encore besoin de Maxim ? Je prenais sa main en liant mes doigts aux siens et je fixais ces mains accrochées ensemble, je les fixais en me disant : « Et si un jour elles lâchent ? » Tout changerait, pour moi. Pour elles. Toutes les conséquences de mes actes se répercuteront sur ceux que j’aime. Il n’y avait pas de véritables solutions, juste un choix. Un choix que je rejetais pour l’instant.

- Parfois je me dis que je fais les choses à l’envers. Tu sais, par exemple lorsque que quelqu’un me manque, je suis malade de son absence. Même physiquement parfois et lorsqu’elle est là, qu’elle veut s’approcher de moi, c’est moi qui recule. Je crois que je prends jamais conscience de la valeur des personnes qui m’entoure. Je n’aime pas beaucoup de gens au final et ceux que j’aime, je les blesse. D’une façon ou d’une autre. Je sais même pas pourquoi je te dis ça.


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Auréa Eden

Sunburn
She burns like the sun.

Auréa Eden


Moi =D
▬ Relations:
▬ Armes & Pouvoirs:

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MessageSujet: Re: (-16) Black Smoke Attack   (-16) Black Smoke Attack - Page 2 EmptySam 14 Aoû - 6:04

(-16) Black Smoke Attack - Page 2 Lesgensparfaitorgasmiqu
I still feel like a child
I still need you by my side
I still hear you late at night

▬ Le monde est endroit vaste, tellement vaste qu'on a tous peur de s'y perdre. Par peur, par appréhension des éléments où le sentiment de se sentir vide dans les yeux des personnes qui nous regardent. Un jugement peu faire mal, un jugement peut tout faire basculé mais au finale l'avis des autres compte quoi qu'on décide de faire . Il faut juste savoir se construire de leurs jugements, grandir et s' épanouir... c'est dure. Oui, ca l'est mais c'est une étape. J'étais désorientée parce qu'il se passait toute ces choses qui se passer devant moi j'avais du mal a y voir claire. Le vent ne me fait pas peur, le vent fait bouger a une vitesse qu'on sous estime encore. Irisant, cassent, soufflant je ne pouvais pas m'en cacher. J'étais une poussière qui exister dans le vent. On me soufflait avec une vitesse impressionnante à chaque fois. C'était ma façon de vivre et mes douleur les plus poignantes et peu m'importe les chutes. Mon intrépidité me jouait la un sale tour, mon audace décalquée m'aurait valu une destruction lente aussi étrange soit t'il, c'était peut-être ce que j'avais cherché toute ma vie. Toute mon enfance, je me cachais sous la table avec ces bottes jaunes pleine de boue cacher a observé le monde bougé autour de moi, parfois à ma recherche. Observé et attendre que quelqu'un me touche, ou me vois. Toute mon adolescence, j'avais attendu la soif d'avoir faim, je m'étais laisser tombé dans une destruction pour qu'on me voit, j'avais cru que j' étais amoureuse, oui. Pourtant ce que je ressentais la, maintenant, n'était rien comparer à ce que j'avais pu ressentir avant. Tout était un million de fois plus fort, mon âme c'était creusé dans la sienne, même en haut de mon empire il me serait là a me regarder.

Je sentais sont poids sur mon corps, je l'avais temps réclamé, je l'avais temps demander que sa m'en avais fait mal et maintenant il était là. J'avais pourtant cette impression que c'était pas vraiment là où il voulait être. " Toi aussi, je suis content de pouvoir te regarder." Je plongeai mes yeux dans les siens sans savoir ce que j'allais y trouver. Pendant long moment je ne regardais que ces pupilles d'un noir absolus qui c'étaient fondu sur le ciel d'un bleu celeste de ces iris, elles ne me renvoyèrent rien d'autre que mon propre reflet. Mon cerveaux ne semblait plus fonctionner, je n'arrivais a donné un sens a ces paroles, c'était comme ci il me disait quelques chose d'évident et que je ne saisissais pas le sens. Mon esprit se transmettait l'information en jouant à la contourné. Je n'étais pas stupide... parfois dans la vie il faut savoir dire aux personnes qu'on aimes deux mots, deux mots qui vous brûles le coeur. Deux mots, huit lettres qui vous effondre. Qui vous casse dans le creux de vos organes. Oublier ce temps qu'on a perdu a savoir comment du pourquoi. Mon temps avait été volé dans le creux de poing fermé, les grains de sable s'échappent en glissant entre mes doigts. J'avais laissé s'échapper les pourquoi son coeur ne battait plus pour moi. Les pires images se créent dans ma tête, le pire se dessinait maladroitement alors que je n'avais pas fini de vouloir resté dans ces bras. Mes organes les plus vitaux liée a une machine qui dessinée des tracées droits avec quelques vagues de temps a autre. Tant que ces vagues existaient, j'étais encore en vie. Temps que sa ne sortait pas de sa bouche j'étais encore la. Reine dans ces bras, pour peu de temps. Un homme, deux femmes. Le problème était vite interprété, j'étais l'impasse, j'étais le sûrement le problème. Mon importance avait été ma présence elle était désormé réduite a l'inutile. L'attache de trop. Je ne la connaissais pas, je ne la détestais pas mon instinct peut être m'aurait dis de la détruire, mais je le savais, je n'étais pas comme ces filles qui détruisait par vengeance. Elle pouvait certainement lui apporter ce dont j'étais incapable de faire , je ne lui en voulais pas. La seule personne a qui j'en voulais c'était moi-même. Mon coeur, mon corps vont être victime de son ignorance son dégoût qu'il éprouvera a chaque fois qu'il me regardera, s'il ne respire pas. Et ca me rendait triste, je n'étais qu'a l'évidence qu'un reflet qu'il ne pourras jamais voir, je voulais pas en arriver la... Deux sentiments destins qui se dessiné sur mon coeur et certainement sur le sien, mais ce qui compte le plus.. c'est ce qu'on choisis d'en faire. Ce que je choisissais c'était qu'il respire a nouveau, de son coté ou du mien, ou bien même nulle par c'était ce que je voulais. Le temps s'allongeait dans ces bras, le temps se perdait entre mes tremblements.


- Parfois je me dis que je fais les choses à l’envers. Tu sais, par exemple lorsque que quelqu’un me manque, je suis malade de son absence. Même physiquement parfois et lorsqu’elle est là, qu’elle veut s’approcher de moi, c’est moi qui recule. Je crois que je prends jamais conscience de la valeur des personnes qui m’entoure. Je n’aime pas beaucoup de gens au final et ceux que j’aime, je les blesse. D’une façon ou d’une autre. Je sais même pas pourquoi je te dis ça.


Il avait lié sa main à la miennes trop petite pour la sienne, cette friction existante a chaque mouvement, se froid qu'il me transmettait, qui me fessait sentir vivante. J'étais opposée à lui et pourtant le fait que nous le soyons fessait de nous que nous sortions d'un même élément. Cette chaleur que je lui transmettais, cette chaleur m'éteignais en même temps que mes yeux se baissèrent. J'étais tellement vulnérable face a lui, que toute ce que j'avais cédée dans le moindre de ces regards, aux moindre contactes de sa peau. Il avait les mêmes troues dans le coeur que moi. Au fond, j'étais certaine de ce qu'il était. J'étais certaine qu'il était l'homme qui me voyait. Je sentais son regard se poser encore sur mon visage. Il n'y avait rien avoir sur mon visage, rien. Comme ce que j'étais réellement une cendre dissout maladroite d'avoir voulu effleuré la vie. Il m'avait expliqué d'une façon étrange, que lorsqu'il n'allait pas vers quelqu'un c'était parce qu'il tenait à cette personne et que c'était plus difficile pour lui de se livré a quelqu'un a qu'il tenait que quelqu'un qu'il était là. Je l'avais enregistré, je l'avais mis dans un coin de ma tête. Il le savait, oui il était au courant que je le regardais et que je fessais attention a lui. Dans chaque étre humain, il y a du bon et du mauvais, je ne pensais pas que les chose étaient soit blanche, soit noir. Je voyais un mélange des deux, un gris qui s'enfuyait des ombres. Un contrastre oui, le blanc le noir et les milliers de valeur de gris entre les deux. On était entre les deux. Je savais qu'il ne voyait que le blanc en moi et qu'il ne voyait que le noir en lui. On était des ardoises effacées et parfois blanche parfois grise. Quand je me damnais à l'exile, j'étais comme un serpent aux yeux noire qui saute du deuxième étages juste pour savoir s'il allait attérire correctement brûlé en chemin. Mon mal était cette chose qui m'aveuglé qui me pousser a me faire mal a me blesser moi-même. Il était le seul à pouvoir me tenir dans le feu.


- Peut-être qu'il n'y existe pas de sens pour faires les choses et qu'on fait simplement tous des choses a notre maniérer et la tienne est différente. Je pense que les personnes prennent de la valeur que si tu leur en donne.. Tu me dis tout ça pour ne pas que je me fasse mal, en imaginant ce que tu n'es pas, mais je n'imagine rien.. j'en vois bien plus que tu ne le penses...

Ma voix se cassait en parlent, ma voix s'effacer tout comme mon sourire. Je n'avais même pas eu l'occasion de lui dire a quel point je l'aimais. A quel point il était important dans ma vie, j'avais cette envie de m'étouffer avec ce que j'avais dans la gorge qui m'empêcher de respirer correctement. J'avais besoin qu'il me laisse le temps de lui dire, j'avais besoin qu'il me laisse cette chance d'être dans sa vie. J'avais profité de la confusion que mes mots avait crée pour me glissé sur le sol et je me mettais de coté, je sentais qu'il m'appartenait plus que je ne lui appartenais plus qu'il ne voulait plus de moi. Le sol était trop froid, mon sang était et sera toujours trop chaud, la douleur disparaîtra doucement en me résignant a accepter la sentence. J'avais la chance de connaître l'amour c'était en moi. Je m'en voulais, oh oui je m'en voulais d'être partie, sa me rongeait. Je m'en voulais d'avoir suivie Aaron, je m'en voulais que j'avais envie de me mettre en colère contre Aaron mais ce n'était pas une bonne chose a faire. D'avoir était trop blanche, mais ca ne changerai rien. Je renvoyais mes pleurs et ma colére dans l'ombre, devenant ce fantôme sans couleur. J'étais devenue un phœnix aux larme réparatrices, c'était sans doute ce que j'avais été une réparation, le temps qu'il fallait, je coupais mon cœur, je coupais l'oxygène. Mon cœur avait été a vendre comme ces filles qui vendaient leur corps sur les trottoirs et je ne regrettais pas. J'avais aussi céder mon corps alors que ce n'était sans doute pas le mien qu'il voulait. Malgré tout ca, ce sentiment était ma prison, ce sentiment était mon empire et je n'en choisirais aucun autre, parce que quoi qu'il face je l'aimais. Ce sentiment destructeur qui passait dans mes veines aller être le produit qui signerais mon arrêt de mort. J'avais toujours eu cette habiliter pour protéger ce j'aimais sauf que je n'avais jamais prévus que je devais me protéger moi même des gens que j'aimais. Ma main tremblait dans la sienne, je ne pouvais pas la lâché. C'était comme me demander de me mettre la corde autour du coup et de sauter de la chaise.

Je voyais tout ce que j'aimais s'évanouir et s'évaporait devant moi, ma gorge était lié. Je ne pouvais rien dire d'autre, j'avais voulu être l'ombre dans sa main. Je n'oubliais pas ce qu'il m'avait dis

"Je pensais que je n’étais plus assez fort pour respirer jusqu’à ce que je te vois comme j’aurais dû te voir depuis le début, j’ai mis du temps à me rendre compte de ce que tu représentais et j’ai voulu percé là où personne n’avait osé le faire auparavant mais tu restes toujours la première utopie réelle qui m’a été donné de voir. Je sais que mes paroles n’ont pas été choisies à la perfection mais je te demande juste de me regarder dans les yeux et de me redire tout ce que tu viens de me dire, redis le moi et je te laisserais tranquille pour toujours. Je n’ai jamais eu d’autre protection que moi-même mais c’est fini maintenant, tu as fait baisser la garde que j’ai installé. J’ai pas d’arme face à toi ! Je recule parce que j’ai peur d’avoir raison sur ce que tu es, je m’interdis inconsciemment le bonheur parce que j’en ai peur, je suis prêt à virer le passé ! J’ai déjà tourné la page, c’est toi que j’aime bordel, je te veux, c’est toi. Auréa, c’est toi depuis la soirée de Syd ! Alors crache-moi ta haine si ça te chante, je resterais là que tu le veuille ou non. Parce que t’es la seule personne qui a été capable de me faire parler autant depuis un bon moment, parce que je suis incapable de toucher quelqu’un d’autre que toi, parce que tu me fais ressentir des choses que je pensais être mortes et parce que tu ressembles à une petite fille lorsque tu t’amuses avec de la nourriture…Auréa je t'aime, que ce soit maintenant ou dans dix jours, je t'aime. Je veux continuer encore longtemps. Je sais que je n'ai pas d'excuse pour toutes ces fois où je t'ai laissé dans l'ignorance... Mais je suis là et j'essaye. J'essaye pour qu'on avance ensemble mais je m'y suis mal pris. Ca peut plus continuer comme ça, j'en suis conscient, je vais tout te dire, tout t'expliquer et je comprendrais que tu veuilles tout arrêter lorsque tu sauras. " .

J'étais resté la a chaque fois, a croire en lui plus que je ne croyais en moi même. Il remontait la garde, oui il la remonté en même temps que son passé venait le détruire. Même si les lumières s'éteignaient autour de moi, une seul lumière restait allumée. Cette bougie était l'ombre et la lumière à la fois, un paradoxe. Le paradoxe de ma vie, j'acceptais de ne pas tout comprendre. J'acceptais d'être vivante grâce a se paradoxe qui fessait rythmé mon coeur à une symphonie folle. J'avais fais du silence mon ami, tout comme le silence était quelque chose de vitale a ces yeux. peut importe si c'était casser, s'il y croyait on pouvait réparer. Oui, il était l'ombre de ma main. Je n'avais jamais jouer avec lui, parce qu'il avait déjà gagner. C'était mon plus grand adversaire, mon parfait opposé mais aussi mon plus grand allié. Il savait que je ne le toucherais pas là ou son ces equimauses. Ce sentiment qui fessait que ma peau s'accrochait contre la sienne, était une brûlure réparatrice. Il se valait le roi de l'ombre fleuretant avec l'impératrice du soleil. J'acceptais le mal, oui J'acceptais d'avoir mal parfois, il fallait qu'il le saisisse, que ce n'était pas un probleme.

«  I do believe in the light, raise your hands into the sky the fight is done, the war is won lift your hands toward the sun, toward the sun. »

Il admirait certaine chose, je le savais, il me l'avait montré sans le vouloir le bord du gouffre. C'était dans son sang, sa circulé comme un aimant. Non, nous n'avions pas a nous sentir désolé d'imaginer un moment ou la vérité était reine. Non, non je n'oublirais jamais et je ne le regretterais jamais de pouvoir vivre ma vie, peu importe combien de mensonge on me chuchottera. Je ne me sentirais pas désolée de ne pas croire en une fin, ni de ne pas avoir crue en un début car en réalité ca nous étais tombé dessus. Et au fond, peut importe combien de respiration il me prendra parce que je le voulais vraiment que je sois morte au vivante. Oui, j'étais consciente qu'il y avait un million de pièces que j'allais lui volée. Un million de bout d'étoile que je cherchais a nous dérobé, je voulais son amour et je m'inclinerais que lors de mon dernier souffle. Je n'avais pas peur de la nuit, je n'avais pas peur des mondes nouveaux j'avais peur d'un seul et unique chose c'était de le perdre. Je restais a ces yeux cette pureté pourtant toxique qui dissimulait ces yeux pour ouvrir son coeur. Il croyait ne rien avoir, il se trompait. Quoiqu'il arrive, il m'avait moi. Dans l'ombre, dans le feu, oui j'étais prête a vivre ou saigner pour ce qui était nous, il ne m'avait rien demander, oh non. Il ne me devait rien, absolument rien. C'était moi qui avait choisis de venir vers lui. Depuis le début, c'était moi qui avait choisis de lui adresser la parole la première fois qu'on c'était rencontré. J'avais toujours eu ce sentiment d'être personne, et au fil du temps d'être avec lui, il m'avait fait comprendre que j'étais peut étre qu'une illusion pour les autres. Ca destruction venait d'hier, ca peur venait d'hier de son passer sanglant, arrachant et moi j'étais la reconstruction d'un présent. La carte de son message se trouvait la ou il ne le voyait pas, il se doutait bien d'où elle était sinon il serait partie depuis longtemps, il ne voulait juste pas lire le message qu'elle contenait parce qu'il ne se sentait pas prés. Il n'arrivait pas a lire ce malheur requiem pourtant aussi claire qu'un cristal, il fallait juste respirer... et laisser les autres le faire. Je savais ou était cacher le message, oui . J'avais envie de lui crier mais il resterait toujours enfermer dans sa bulle même si je lui dissais. C'était plus facile de le fuir et de se mettre a genou. Je ne voulais qu'une seule chose, le voir sauter pour touché le ciel. Il s'était glissé a coté de moi, j'avais toujours ces doigts liées aux miens. Je le regardais je ne regardais que lui. Je lui demandais en chuchotant de fermer ces yeux. fermer ces paupières. quelques seconds, il retirait le tissus qu'il était tombait sur lui. Je laissais quelques minutes s'écoulaient parce que je savais que ce que j'allais dire aller être.. étrange. Il ne savait pas qu'Hayden m'avait fait parvenir le message mais il devait se douté lourdement que je savais, a ma manière d'agir. Que je le veuille ou non, il me connaissait très bien. J'avais toujours cette vision enfantine des choses et pourtant je ne connaissais pas les fins heureuses. Je le regardais, sa me toucher de le voir souffrir. C'était la personne qui me toucher le plus, dans toute les personnes qui m'avaient donné était de voir. Certain pouvait voir ces actes, comme une facilité moi j'y voyais du courage. Parfois il nous était arrivé de parler de nous au futur il savait que chaque chose que je disais, je les fessais. Ca pouvait lui faire peur, oui j'en étais consciente mais cette peur était inutile. Oui sa lui parraisait surement très loin.. oui Il y avait du chemin a faire, s'il le voulait bien. Je ne lui demandais aucun choix mais même en choissent de ne pas faire un choix il en fessait un, aucune vérité. Je prendrais tout simplement ce qu'il déciderait de m'offrir si j'en étais digne. Même si notre histoire s'arrêter la, devant nous, maintenant, même s'il ne voulait plus de moi... en le regardant, Notre histoire restera quelques chose qui aura défier la poussière, une histoire qui restera une étoile filante et qui disparaîtra en quelques seconds s'évanouissent dans le ciel. Il y a maintenant quelques mois, j'avais rencontré un ange de glace, un ange déchu par la vie et je me perd en lui a chaque fois que je pense a lui. Quand on fermer les yeux, le temps s'en va... s'il voulait il pouvait rêver avec moi.

- On fait toujours du mal a ceux qu'on aime, un jour ou l'autre. Ne pas aimer, c'est plus facile, mais ne plus aimer c'est être tué une partie de soit. C'est le fait d'etre en vie, entre le paradis et l'enfer. Personne a dit que ca serait facile d'être entouré. Couvrir les plaits que les autres t'ont fait c'est quelques chose d'impossible... Je sais que tu m'as jamais rien demander de tel mais j'aurai aimé pouvoir le faire. Tu libres de t'ouvrir a qui tu veux... c'est dur pour toi mais laisse toi une chance de rester debout. Je veux juste que tu sache que ma vie serait vide sans toi, même si tu ne le vois pas.. Moi non plus je ne sais pas pourquoi je te dis ça...



Dernière édition par Auréa Eden le Sam 28 Aoû - 4:37, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: (-16) Black Smoke Attack   (-16) Black Smoke Attack - Page 2 EmptyVen 20 Aoû - 5:00

L'atmosphère était étrange, cette conversation était étrange et mes sentiments l'étaient tout autant. C'était douloureux de se dire que j'allais devenir encore la source de problèmes que personne n'osera régler, que rien à part la crise n'arrêtera. Sans doute que je n'avais rien à faire ici, dans ce pays, dans cette villa, avec cette personne mais la vérité, c'est que j'avais besoin de cette personne. Je la fuyais, certes. Je la fuyais de vouloir me rendre plus humain, de me rendre émotif. Etait-ce réellement de sa faute si elle m'apportait la vie ? Pourquoi est-ce que j'avais l'impression de vouloir tout détruire pour la simple raison qu'elle me rendait les émotions que j'avais enterré ? J'étais tellement froid avec elle que je me demandais par quel moyen j'y arrivais. Pourtant j'ai toujours mon estomac qui se tord doucement, mes pulsations qui s'accélèrent quand elle me touche. Inévitablement, je l'aimais. C'était certain. Elle me supportait, dans mes crises de colère, dans mes chutes que je refusais de confier, dans mes envies les plus enfouies. Elle était là, toujours à m'attendre d'une façon si destructrice parfois que j'avais du mal à croire qu'elle pouvait m'aimer au-delà de tout ce qu'elle pouvait ressentir à cause de moi. Mais je n'arrivais pas à lui montrer ce qu'elle était, ce que je voulais, ce que je désirais faire. Je voulais qu'elle lise en moi sans que je n'ai besoin de lui parler de quoi que ce soit, rien que pour un moment, qu'elle soit en moi, réellement pour comprendre que je la voyais, que je la rendais unique, que sa personne était l'une des plus magnifique qu'il m'avait été accordé de connaître, je voulais qu'elle lise que je l'aime malgré mes rejets. J'étais changeant, méchant parfois même. A tel point que j'avais l'impression que ma haine était juste, à tel point que je me foutais des personnes qui m'entourait mais c'était faux, c'était de la façade. J'avais juste besoin... Je n'arrivais même pas à y penser, ça aurait été me trahir. Encore un secret. Peut-être le plus grand mais ma fierté me faisait ravaler mes mots, je ne m'abaisserais pas à ça. Par peur peut-être.

Je pouvais penser à des millions de choses, je savais que mes paroles n'étaient pas réellement importantes à cet instant. Personne n'avait besoin d'être devin pour comprendre que je ralentissais Auréa, que je la mettais plus bas que cela me l'était permis et que je n'étais qu'un pauvre crétin haineux et empoisonnant. Oui, c'était la stricte vérité mais mon coeur avait mal, j'avais l'impression que personne ne le voyait. Personne sauf elle qui voyait ma peine, qui voyait ma douleur et qui voulait même que je la partage avec elle. Je trouvais cela révoltant, de savoir qu'elle pourrait se livrer à la douleur pour mon nom et pourtant, j'aurais sans doute fait la même chose pour elle. Mes moments de lucidité, de claireté étaient rares mais lorsqu'ils étaient là, je savais quel chemin prendre et à cet instant, je le savais, je le voulais mais demain tout ça ne serait que chimère. J'enfermerais cette lumière dans la boîte de mes rêves éteints. J'étais usé par la fatigue mais mon coeur me criait de l'embrasser, de la toucher et de lui dire qu'au fond, je n'avais que son prénom dans la peau ou alors j'étais fou, complétement asphyxié par l'indécision. Pourquoi fallait-il que mes blessures s'ouvrent, pourquoi fallait-il qu'on me blesse pour que tout s'éteigne une énième fois. Et voilà que ma raison me quittait une nouvelle fois. Elle était belle ma morale, elle était sale de l'obscurité du monde, d'une génération que je n'avais jamais compris. Rien n'était à sa place, encore moins ma personne. Je m'allongeais de façon à regarder le plafond et je me mettais à réfléchir à ce sentiment qui me ramenait toujours à Auréa, qu'est-ce qu'elle m'avait fait pour que je tombe dans ses bras ? Pour que j'ai envie qu'elle m'embrasse toutes les dix minutes et aussi pourquoi je la rejetais ? Pourquoi ce foutu paradoxe s'était mis en place ? C'était éreintant, mon souffle se coupait au fur et à mesure que j'entendais sa respiration s'éternisait dans mon espace vital. Elle restait lumineuse même dans la tristesse, je la verrais toujours étincelante. Il fallait qu'elle le sache, il fallait qu'elle comprenne que nous nous n'étions pas rencontré pour du vent. Elle avait changé quelque chose en moi, toujours elle changeait mes habitudes, mes faiblesses. Même si j'avais l'impression d'en mourir, elle m'apprenait à vivre. Il fallait qu'elle sache, bien sûr mais aucun mot ne sortait d'entre mes lèvres asséchées.

J'étais arrivé à cet instant où ma colère s'éteignait, c'était rare ces temps-ci mais c'était là, ça surgissait lorsque je ne m'y attendais pas, ça m'emplissait de volonté et d'assurance. Durant quelques brefs instants, je redevenais moi-même. Sans mentir. Avec elle. Pour du vrai. Je ne savais pas quoi répondre ni même quels gestes exécutés. Je voulais juste l'aimer, lui donner tout cet amour que je ne connaissais pas, que je refusais de donner simplement car le passé m'avait rempli de rage et de choses malsaines. La vengeance de mes entailles, la vengeance de quelque chose dont Auréa n'était pas responsable. Il fallait que je fasses vite avant que la colère, avant que l'autre partie de moi ne revienne m'abrutir. Tout était si calme ici, elle m'avait tellement manqué, je repensais à toutes ces choses que j'avais réussi à projeter pour mon avenir simplement car elle me rendait heureux, malgré les orages, elle n'avait jamais eu peur de mes attaques, elle restait malgré les cris, les incertitudes. J'avais juré qu'elle était devenue la femme de ma vie mais Maxim était revenue avec sa liberté, la mienne. Elle revenait avec le morceau d'âme qu'elle m'avait arraché et décidait de m'offrir une partie de la sienne, dans un regard échangé. Je me perdais comme un abruti dans ses yeux immenses, dans son odeur de clandestine. Elle était belle dans le rôle d'indomptable, elle restait pure à mes yeux malgré toutes ses fautes. Je voyais la jeune fille dont j'étais tombé amoureux à mes quinze ans. Je voyais Maxim et c'était indéfinissable. Le trouble. Voilà, je pataugeais dans le néant le plus grand du monde, si pas de l'univers. Et en plus pour l'amour. Cette chose dont j'avais essayé de me défaire. J'étais étrangement coincé. Mal à l'aise. Mon agressivité était montée d'un cran mais pas là. Pas maintenant. Je caressais la main d'Auréa, tout en continuant à fixer le plafond de sa chambre du sud. J'aurais voulu arrêter le temps, comme à chaque fois qu'on partageait ce genre de moment sur lesquels je n'arrivais pas à poser de mot.

J'avais compris qu'elle se doutait de ma confusion, je ne sais pas encore exactement comment mais je le sentais, dans sa voix fragile, dans son regard embué, dans les secousses de ses phalanges. Je restais silencieux face à ses appels de sécurité, je ne pouvais pas lui mentir, la rassurer alors que moi-même, j'étais inquiet. Inquiet pour elles, inquiet pour leurs coeurs et leurs futurs. Les choix décisifs n'étaient définitivement pas faits pour moi et je connaissais suffisamment leur valeur à chacune pour comprendre que je ne les méritais pas le moins du monde. Ses mots résonnaient dans mon être comme un tourbillon dévastant une petite ville du sud des états-unis. Dieu, que j'avais mal de lui infliger ça... Je resserrais sa main instinctivement comme pour lui dire qu'elle n'était pas seule et qu'elle ne le sera jamais tant que je respirerais et tant que j'aurais le droit de continuer à vivre ma vie ici. Je ne savais pas quoi dire à ces choses alors que c'est moi qui avait engagé la conversation pour une fois. J'avais délié ma voix, j'avais brisé cette glace qui me rendait si indifférent de leur mal. Je me collais contre Auréa et caressais son visage à présent, elle ne me regardait toujours pas et pourtant moi je ne faisais que ça, la voir, la sentir comme je sentais mon coeur faire un bond en avant. Elle était belle, vraiment très belle. Je pouvais la regarder des heures entières mais je ne le faisais que lorsqu'elle dormait, par habitude car j'étais certain qu'elle n'en serait pas au courant. C'était stupide, je l'admirais en secret, lorsque le sommeil venait la chercher. Je restais éveillé, juste pour me rendre compte de la femme qui m'aimait, de celle qui dormait à mes côtés, de celle qui dormait contre moi. A croire que j'étais décalé, ou bon à brûler. Peut-être les deux. J'avais besoin de la sentir contre moi, avec moi. Elle m'apaisait comme elle me déchaînait. Pourquoi fallait-il qu'on se déchire à longueur de temps ? Je ne voulais pas qu'elle meurt, je ne voulais pas mourir... Elle était la raison pour laquelle j'avançais. C'est elle qui avait mon destin, elle avait mon avenir. Tout ne dépendait que d'elle et sans doute de moi mais son comportement était le moteur du mien. Mais comment comprendre les attentes d'un muet lorsqu'on lui demander de parler ?

- Tu va me prendre pour un taré, je pense mais là, à cet instant précis. Je sais exactement ce que je veux et où je dois aller, c'est rare mais ça m'arrive et là, j'ai juste envie de te dire que je t'aime comme un malade, je le suis sans doute. Malade. Malade de t'aimer trop fort, ça m'effraie alors je pars, loin de toi. Je te laisse mourir et reviens lorsqu'on est trop faible. J'ai des choses à te dire mais ne me prends pas pour un menteur, je fais tout pour me comprendre moi-même. Je peux pas comprendre les autres, si je n'arrive pas à me comprendre. Ca me fait mal. Je lâcherais pas. Je te l'ai dit.


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Auréa Eden

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MessageSujet: Re: (-16) Black Smoke Attack   (-16) Black Smoke Attack - Page 2 EmptySam 21 Aoû - 2:37

▬ De la poussière dansaient dans l'air autour de nos doigts qui étaient tissés l'un dans l'autre, sa main resserrent la mienne qui se valait vacillante. C'était ce cet façon, la même manière qu'il avait saisie mon coeur, lui permettant de battre à une allure mystérieuse. Damon, était un prénom aux origines grecque celui d'un musicien le fils de Damonides, je n'avais aucune idée pourquoi ces parents l'avaient appelé comme ça mais celà lui correspondait à merveille. Il était musicien de mon coeur, défiant les résonances allant des plus graves aux plus aigus, créant des sons frénétiques et de plus en plus intense. Il jetait des étincelles créant un nuage de fumée dans mon esprit, mon âme c'est embrasée pour lui. Concernant l'organe lié dans ma poitrine, il se défié la discipline que Damon organisait en temps que chef d'orchestre. La résistance, la mienne, celle qui me restait, celle qui me fessait que je convoitais tant ces bras. J'avais tellement envie qu'il reprenne la musique proprement dit. J'avais tellement envie d'entendre sa guitare raisonné dans chaque pièce. Les sons qui se frôlent les uns aux autres étaient l'un de ces amours, sans qu'il me le dise je l'avais compris. Tout comme je savais certaine de ces blessures, qu'il fermait parfois les yeux jusqu'à en devenir aveugle se créant une citadelle fortifié. Je ne perdrais pas ce fil qui nous relie l'un à l'autre. Je ne le briserais pas, même sous la torture, même sous la colère, sous la tristesse. Et même s'il fallait que j'attente seule, j'en étais capable. Ce lien qui fessait qu'il me rejoignais ou que tout simplement il me regardait encore. Ce lien ne mourrait pas. Le mythe de l'invisible ne pouvait pas mourir temps que je l'avais entre les mains. Il était unique pour moi et les cicatrices s'en iront dans la nuit, même dans celle où le vent s' écrira qu'il n'y a plus d'espoir. J'espérais tout simplement que lorsqu'il fera nuit, il n'oublierais pas de regarder le ciel et d'apercevoir les étoiles, elles qui le supplieront de se laisser guider vers moi. Si tu es perdu, regarde le ciel, regarde les étoiles qui s'illuminent et qui se meurent scintillante qui file en direction du coeur. Ce qui était et sera entre nous est comme une étoile, on ne meurt pas. Immortel, voilà ce qu'on était.

Il était une partie de moi, comme je m'installais à être une partie de lui. Il n'y avait pas de réponse a un Pourquoi? Il pouvait dissimulé les fissures autant qu'il le voulait, tôt ou tard je les verrais. Et maintenant que ça ne me tué pas, cela ne pouvait me rendre que plus forte . Chaque étape que j'avais franchis avec lui, le fait qu'il m'avoue qu'il avait besoin de drogue et qu'il avait tué pour arriver a ces fins, nous avais fortifié. Il avait laisser tomber une arme avec moi, une arme tellement précieuse pour lui. Le mensonge, je le suppliais de ne pas reprendre les armes. J'avais besoin de lui, nos chemins c'étaient croisé et l'avait mis en face de moi, parfois ce sentiment ressemblait à une guerre. La question qui lui avait brûlait aux lèvres, la première fois qu'il avait posé ces lippes contre les miennes, sous la pluie avait était "est-ce que j'allais craqué sous la pression des problèmes?" J'espérais tout simplement qu'il avait compris ma réponse, par mes gestes. S'il me laisser une chance, de pouvoir le dire. Je savais que ce n'était le bon moment, il se passait quelques chose. Il fixait le plafond, puis il s'arrêtait net, ces phalanges c'étaient envolée sur mon visage, j'avais mal de sentir que je le perdais à chaque fois. Il avait mal de touché les gens, il avait mal de les serraient dans ces bras, mon inverse. J'avais besoin de ce lien des peaux et des souffles. Je détestais le fait de le voir partir loin, qu'il parte se caché. Heureusement qu'au final, il revenait et il se mettait contre moi. Je n'avais juste pas envie qu'un jour, il part pour de bon.

- Tu va me prendre pour un taré, je pense mais là, à cet instant précis. Je sais exactement ce que je veux et où je dois aller, c'est rare mais ça m'arrive et là, j'ai juste envie de te dire que je t'aime comme un malade, je le suis sans doute. Malade. Malade de t'aimer trop fort, ça m'effraie alors je pars, loin de toi. Je te laisse mourir et reviens lorsqu'on est trop faible. J'ai des choses à te dire mais ne me prends pas pour un menteur, je fais tout pour me comprendre moi-même. Je peux pas comprendre les autres, si je n'arrive pas à me comprendre. Ca me fait mal. Je lâcherais pas. Je te l'ai dit.

Tricheur...Tricheur j'ai sûrement la même maladie que toi et ca serait peut-être celle qui me tuera, sans doute.. Je m'approchais encore et encore. Je ne pouvais plus m'empêcher de le regarder, je savais qu'il me pardonnerait de le volée son regard ainsi. Ma main gauche était revenu dans la sienne, s'arrêtant sur ces empreintes. Je voulais son amour, même si pour lui il me donnait quelques chose de sale, je le voulais quand même tellement fort que je m'en serais brûlée. J'avais la conviction que je ne laisserais personnes nous enterrer, nous étouffer ou alors il faudrait me pousser sous la terre en arrachent la vie hors de moi . Une liberté avec une limite qui n'existait que si on regardais à travers ces yeux, une contradiction dans laquelle j'étais tombée. La lumière du soleil se déplaçait dans la chambre sans l'un de nous bougeâmes. Le temps c'était suspendu aux ciels de ces yeux. Je m'approchais de son visage, me placent légèrement en dessous de son visage. Mon index venait se placer sur ces lèvres, mon nez venait caresser son cou, je sentais son odeur centimètre par centimètre afin que je m'en souvienne. L'odeur de chaque partie de son corps, je n'oublierais jamais. Mon index descendait le long de son cou, une veine y battait très lentement, celle qui fessait écho et ne tardait pas a accélérer pour ralentir a nouveau. Je pouvais lui faire ressentir la pureté, lui confier mon innocence afin de soigné les victimes de la guerre de son coeur et lui donner toute la sérénité dont mon esprit pouvait ce constituer . Je retenais mes respirations, je retenais mon souffle et le temps n'avait plus aucune valeur. Mon coeur ralentissait frôlant une bradycardie, ce moment était certainement trop beau pour durée, cette instant était peut-être le dernier comme cela. Ma dextre c'était mêlée dans ces cheveux, effleurent son crâne. Mon autre main c'était perdu sur son visage, frôlant ces traits électrisent. J'attrapais la chair de poule, tellement son visage était le mystère qui me fessait vivre.

Je me perdais dans ces yeux, dans son souffle qui ralentissait dans son torse coller contre ma poitrine, dans son odeur que je ne pouvais plus me passé. Je sentais son torse qui se soulevait en silence en même temps qu'il me soulevait légèrement. J'étais si proche de lui que j'aurais pu me fondre en lui. Je ne voulais pas lui faire de mal, je ne voulais pas l'effrayer et encore moins l'indifférer avant qu'il me dise quelques chose de lourd certainement. Il avait glissé sa main droite dans mes cheveux. Aucun mots ne venaient troubler ce silence qui s'était installée. Je voyais toujours cette par d'être blesser qu'il était, casser en mille. Fendu, asséché par des personnes qui lui avaient roulé dessus. Son obscurité brillait rendant électrique chaque caresse qu'il effectuait, peut-être que je voulais aller là ou personne n'avait jamais était. La où personne n'avait jamais oser aller avec lui, je voulais l'hypnotiser et qu'il me serre contre lui. De cette manière ou d'une autre peut m'importe. Le fait que tout soit incontrôlable était qu'on était vivant. Si j'avais le don de devenir je pense que j'aurais immédiatement arrêter d'utiliser se don, car cela me fessait peur un avenir ou il n'était pas. Je choisissais de vivre l'instant présent. J'étais incapable de mettre un mot sur se qui émané de lui, mais s'il trouvait que j'étais si brillante c'était uniquement grâce à lui. Les Aurores n'apparaissent pas sans champs magnétique, sans le froid qui s'extrait de l'air. Il était mon air, mon oxygène. Je l'écoutais, il avait quelques chose d'important à me dire mais il fallait d'abord que je face quelques chose. Je lui offrais mes lèvres, capturent les siennes que je n'avais pas pu saisir depuis mon départ, depuis qu'on nous avait arraché l'un à l'autre, sauf que celui-ci n'était pas comme les autres, je n'avais pas était jusqu'à nos précieux jeu de langue. Je lui offrais juste l'entièreté de mes lèvres, un souffle d'amour, mon manque éternel lui laissent dans ces lippes, quelques choses qui j'espérais n'allait pas oublié. Personne ne pleur seule, même étant trop brisé pour appartenir. Je le regardais toujours, ne voulant pas coupée un seul de ces regards. La vérité fessait mal et il avait peur de me faire mal. Mentir était la facilité et je savais qu'il avait décidé d'être franc avec moi.

– Quoique tu es a dire de si dérangeant, fait le, avant que tu décide de me mentir... mais laisse moi profité encore un peu de toi

S'il n'y avait pas cette chose qu'il le démangeait et qu'il le fessait culpabilisé, s'il n'y avait pas son passée... Je ne voulais pas de cette paranoïa florissante. Je voulais avoir confiance, confiance en ce qu'il était tout comme il avait confiance en moi. Je brulais son horizon parfois sans m'en rendre compte avec la vie qui s'était étincelé dans les miens. Sans ce qu'il s'apprêtait a m'avoué il aurait sollicité ma chair a rejoindre la sienne dans un blasphème attractif. Il aurait posé sa main dans le bas de ma colonne vertébrale, la remontant et en m'approchent encore plus proche de lui. Ne rompant jamais face a mon regard qui le brûlerait. Il dessinerait les contours de mes hanches pour finir par les resserrées contre lui à en avoir mal, retirant ces vêtements d'un mouvement preste. Il se serait joins à moi. Le silence aurait donné une symphonie ayant pour seule instrument nos corps et pour spectateur ces millions de poussière qui danseraient encore rien que pour nous. N'ayant que le sol pour me tenir, je me serais accroché au creux de son dos dénudé fleuretant avec l'immortalité. Il se serait noyé dans mon excitation poussent ses muscles jusqu'à se tendre a en avoir mal. Ma respiration se serait arrêter quand la sienne aurait commencé et il m'aurait fais respirer. Nous participerions à la renaissance de se qui nous fais tenir. On aurait jouer, il aurait certainement gagné la première manche et comme j'aurai voulus me montrer à sa hauteur, j'aurais surenchéri. Il aurait été en moi, durant quelques minutes, ces yeux n'auraient été que pour moi ne me lâchent pas une seule seconde. Ces mains se seraient corrompu sur les morceaux de mon corps effleurent ma poitrine. J'aurais pris en moi ces démons, l'exorsisant pour quelques minutes, réconciliant son organes le plus fort avec son esprit. Son coeur se serait arrêté quelques millième de micro seconds qui auraient durée en faite une éternité. Éteignant le mien simultanément par la même occasion, nos veine se seraient liée l'une à l'autre, puis le sang se serait arrêté de s'écoulait dans nos veines. Mes yeux se seraient éteint dans les siens en temps que mortel et s'en qu'il le voit il m'aurait restitué les battements de mon coeurs qui trépanée dans mon thorax. Je lui aurais tout donner que je posséderais juste pour avoir son attention. Le frottement de mes os contre les siens. Je me demandais si après ce qu'il allait me dire, ca ne changerai rien ce qu'il y avait entre nous. Que son amour ne se transforme pas en mépris. S'il ne m'arrêtait pas, on allait resté dans les bras l'un de l'autre. Qu'il me dise que je pourrais profité encore de lui après. J'attendais ces paroles avec appréhension et mon estomac commençait a tournée dans le mauvais sens.


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MessageSujet: Re: (-16) Black Smoke Attack   (-16) Black Smoke Attack - Page 2 EmptyMar 24 Aoû - 17:34

                  
Don't wake me up, I am still dreaming
The story's undone

Peut-être était-ce le fait d'être en Italie, ou simplement parce que je venais de fêter mes vingt-deux ans, mais un sentiment étrange s'était emparé de moi. Je n'avais plus l'impression d'être moi-même, d'être vivante. C'était comme si je ne savais plus où je me trouvais, où j'avançais. Syd s'était levé et j'avais eu une soudaine envie de le suivre, sans vraiment réaliser pourquoi. Je savais que je devais m'éloigner de lui, il le fallait. Mais c'était tout aussi dur et impossible que de m'arrêter de respirer. J'avais besoin de lui, de son amour, tout comme j'avais besoin d'oxygène. Je détestais ces sentiments autant que je les admirais, ils étaient aussi destructeurs qu'une guerre, mais peut-être avais-je envie d'être un soldat. Une guerrière incroyablement puissante, ne se laissant déchirer par rien au monde, capable de garder le contrôler de ses sentiments. Syd et moi parlions sans que je n'écoute vraiment, j'étais comme entre deux mondes. Selon lui, il m'avait vue, enfant, jouant dans ces mêmes lieux, Aaron aux côtés de ma mère. Bien que je n'en comprenne pas la raison, que j'avais envie de savoir pourquoi et comment ils se connaissaient, c'était le moindre de mes soucis à cet instant. Syd évitait de me regarder, alors que je ne pouvais pas détacher mes yeux de lui. Comme si je voulais imprimer dans mon esprit et ma mémoire chaque détail de son visage aux traits fins, de son corps d'ange, de sa manière d'être, afin de ne jamais l'oublier. J'avais la terrible sensation que bientôt, je ne pourrais plus être proche de lui ainsi. Je devais en profiter, goûter à cet amour comme s'il allait mourir le lendemain. C'était trop dur de penser que tout allait finir, je me reposais lâchement sur la facilité, tout en sachant que je le regretterais plus tard.

Syd s'était allongé sur un transat, il fixait les étoiles, brillant de mille feux dans la nuit. La splendeur de ce décor ne m'aidait pas à me concentrer ni à combattre mes désirs. Ne suivant rien d'autre que mes envies, j'allais le rejoindre, me posant tranquillement sur lui. J'appuyais ma tête sur son torse, le regard tourné vers les cieux étincelants, mes doigts se promenant lentement le long de son bras. Je refusais de me battre désormais, d'arrêter ou de me soumettre à ce qui avait été décidé. Je rendais les armes, car je n'avais aucune envie de l'abandonner. Le séduire était peut-être une solution égoïste, mais je m'en fichais. J'avais toujours été ainsi, Syd le savait, je me faisais tout pour obtenir ce que je voulais, même si cela devait blesser mon entourage. Il avait déjà compris mes désirs, lu mes pensées, deviné mes envies. Et je savais qu'il ne me repousserait pas, si j'agissais comme il le fallait.

Sans un seul avertissement, je me relevai légèrement afin d'avoir mon visage en face du sien. Sans attendre, sans réflechir, je posai mes lèvres sur celles de Syd. Me laissant aller et le suppliant mentalement de faire pareil, je l'embrassai passionnément, comme je ne l'avait jamais fait auparavant, comme si c'était ma dernière seconde sur Terre. Mes pensées s'étaient enfin tues, les voix dans ma tête avaient arrêtées de me crier que c'était un mauvaise idée. Je suivais enfin mes envies, me libérant de cette constante interdiction qui m'avait tellement gênée. J'avais tellement attendu ce moment, toutes ces années. Les souvenirs s'étaient effacés, emmenant avec eux la frustration et l'attente. J'avais l'impression d'être une tigresse sauvage à qui on aurait ouvert sa cage après des semaines, des mois d'enfermement. Provoquant Syd, je jouais dans mon dos avec la fermeture de ma robe. Je souriais malicieusement, un sourire plein de mauvaises intentions. D'un bond, je me levai et libérai Syd de mon étreinte, avant de me précipiter vers la maison. Me retournant afin de le regarder, je l'incitai à me suivre, souriant toujours d'un air de défi. Je m'amusais avec un jeu dangereux, je savais qu'à force de jouer avec le feu, je finirais par me brûler, mais peu m'importait, car la brûlure serait extrêmement agréable. Je m'étais transformée une machine, prête à assouvir n'importe quel désir ou envie. Le reste du monde aurait pu s'effondrer, je ne l'aurais pas remarqué. Rien ne pouvait m'arrêter désormais, j'avais gagné et je comptais bien profiter de cette victoire largement méritée.

Avançant sans vraiment savoir où j'allais, courant difficilement avec mes escarpins à talons immenses, je m'arrêtai dans une pièce que je reconnus comme étant la salle à manger. Faisant dos à l'entrée, j'attendis l'arrivée de Syd comme une lionne attendait le bon moment pour attaquer sa proie. Il ne mit pas longtemps à venir me trouver. Je sentais son souffle juste derrière moi, je pouvais presque le voir sourire. Sa main se posa sur mon épaule, je souris encore plus largement, me retournant pour lui faire face. Le baiser qu'il me donna était incroyablement intense, tellement que je crus m'évanouir, sombrer dans l'inconscience du bonheur que je ressentais. Je n'étais même plus capable de savoir si je me trouvais dans un rêve ou non. Je pensais avoir oublié mon propre nom, me laissant complètement envahir par le moment. Syd m'avait plaquée contre le mur brutalement, le sourire qu'il affichait toujours lui donnait un air fou. Les jeux de violence et de passion continuèrent, un tableau tomba derrière moi lorsque je m'y accrochai. Syd s'était retrouvé allongé sur la table après que je l'y ai poussé, je lui arrachai son tee-shirt, toujours aussi souriante. Plongée dans ses yeux, mon visage contre le sien, c'était comme si j'avais réussi à pénétrer son esprit. Après des années d'acharnement, j'arrivais enfin à lire en lui, en ce moment précis. Mon propre reflet s'était installé dans ses yeux où brillait désormais une lueur de folie, une flamme intense. Nous n'étions plus Syd et Kasey, mais deux personnes complètement inconscientes du monde, plongés dans un paradis artificiel, un instant extrêmement intense, au bord de l'extase. Je voyais que lui aussi avait déjà décidé de tout laisser tomber pour pouvoir se noyer dans l'instant. Nous nous fichions bien du monde extérieur, personne au monde n'était plus heureux que nous. C'était comme si le temps lui-même s'était arrêté pour nous laisser vivre. J'avais l'impression que ce moment ne terminerait jamais, à mon plus grand plaisir.

Un bruit retentit, que je reconnus comme étant celui d'une porte. Je riais comme une enfant, je n'avais pas peur de me faire prendre. Syd m'attrapa, se releva et m'entraîna dans l'une des chambres. Me libérant de son étreinte, j'entrepris d'enlever mes chaussures, qui me gênaient à cause de leur hauteur. Je me sentais comme une danseuse en plein ballet, mon corps exécutait lui-même tous mes mouvements. Syd enleva enfin ma robe qui tomba sur le sol sans un bruit. Je fis de même avec ses vêtements, mes mains se promenaient sur son torse, griffant sa peau, puis je descendis jusqu'à son jean. Le poussant violemment contre le lit, je m'allongeai sur lui, le regardant de haut. Mes sous-vêtements de dentelle noire allèrent rejoindre ma robe sur le sol. Je sentais les doigts de Syd se balader le long de mon corps, tandis que je faisais la même chose avec lui. Nos yeux se croisèrent, je sentis le temps s'arrêter, mon coeur battait de plus en plus vite, si fort que je crus qu'il allait exploser dans ma poitrine. Jamais un regard ne m'avait tant frappé, ébloui, transpercé comme le sien. La couleur de ses yeux me rappelait celle de l'or. Ses gestes devinrent plus doux au fil des secondes, depuis cet échange intense. Sa main se promenait dans mes cheveux, je ne pouvais plus m'empêcher de l'observer, le regardant en lui dévoilant mon âme, lui ouvrant mon coeur, lui déclarant mon amour. Nos corps se mêlèrent dans une étreinte parfaite, je me sentais voler dans une galaxie lointaine, au milieu d'étoiles flamboyantes et inconnues. J'avais changé de monde, laissant mon corps se briser dans son étreinte. Incapable de me contrôler, je laissais Syd mener la danse, entraîner mes pas. Il était sous ma peau, sur ma peau, dans ma peau. Je le sentais dans chacune de mes cellules, je sentais l'amour se noyer dans la passion, mes sentiments pour lui exploser en moi. Je me perdis dans le temps.

Je fus brusquement ramenée à la réalité lorsque j'entendis mon portable sonner sans cesse. Il me fallut quelques secondes pour pouvoir comprendre ce qui venait de se passer, où je m'étais envolée. Il m'était presque impossible de croire que j'avais ressenti un tel désir, jamais je n'avais été emportée si loin de moi-même. Mon âme s'était échappée afin de s'installer en lui, en Syd, elle s'était gravée dans dans l'esprit de l'homme que j'aimais désormais plus que tout au monde. Je m'étais retrouvée allongée sur lui, je n'avais aucune envie de me lever, mais la réalité ne cessait de m'appeler, me tirant violemment de l'extase. Je décidai cependant de partager un dernier regard avec lui, je plongeai mes yeux dans les siens, le remerciant par la pensée de tout mon cœur pour tout ce qu'il m'avait offert, lui avouant une centième fois mon amour. Je me dirigeai ensuite vers mon sac, en sortit mon portable puis lut un message qui venait de Damon. Il fallait que j'aille le chercher à l'aéroport afin qu'il puisse retrouver sa bien-aimée. J'étais plus qu'heureuse de réunir enfin ma meilleure amie et l'homme qu'elle aimait, surtout après ce que je venais de vivre. Sans dire un mot, je montrai le message à Syd qui comprit que je devais partir. Je voulais rester, ne plus jamais partir, mais je savais que je devais arrêter ce moment. Si j'appréciais beaucoup le fait de pouvoir me rendre n'importe où en quelques secondes, à cet instant précis, j'aurais souhaité ne jamais obtenir ce don afin de rester auprès de Syd plus longtemps. J'enfilai mes vêtements en quatrième vitesse, regardai Syd se lever puis s'éloigner vers la salle de bains. Je fus incapable de bouger durant une seconde, essayant de retrouver mes esprits. Je partis prendre une douche rapide, sachant que Damon n'était pas encore arrivé. Dans le miroir, ce n'est pas moi que je vis, mais une femme heureuse et comblée. J'avais l'expression de quelqu'un qui venait de parvenir à accomplir ses rêves après un temps incroyablement long. Je sortis puis, me concentrant du mieux que je pus, je me téléportai jusqu'à l'aéroport. Le décor changea radicalement en quelques secondes, puis j'arrivai à destination. Je n'avais aucune idée de l'heure qu'il était, Damon n'était pas censé arriver avant la matinée. J'étais encore perdue dans mes pensées, je ne vis pas les heures passer, plongée dans mes souvenirs parfaits de la nuit dernière. Je me demandais ce que Syd avait fait durant tout ce temps. Il me sembla que seulement quelques secondes s'étaient écoulées lorsque Damon arriva. Je le saluai, souriante, puis nous éloignai de la foule afin de repartir. Une fois de retour à la villa, je retournai dans la maison pour me changer, je choisis une robe blanche très simple, puis je partis chercher Syd.

Je le trouvai assis dans un fauteuil, dans le salon. Je m'installai à genoux en face de lui, lui souriant, sans un mot. Une sensation étrange m'envahit, ce n'était pas le même homme que plus tôt, je le voyais différemment. Je m'étais réellement perdue, la nuit dernière, je m'en rendais compte seulement à ce moment. Je redevenais la personne amoureuse et incapable de prendre des décisions rationnelles, pleurant silencieusement l'homme qu'elle aimait. Alors qu'auparavant, j'avais laissé mes envies prendre le dessus, j'avais fait taire toutes mes pensées, mes sentiments enfermés dans une cage. Je regardais Syd, et je voyais l'incarnation du mot Amour. J'étais à nouveau la femme à qui il avait avoué que tout était fini, la veille.

J'entendis des voix derrière nous. Je voulais nous offrir un peu d'intimité, je réfléchis vite à un lieu où je pourrais nous emmener et où nous serions seuls. Une image fit surface dans ma mémoire, il s'agissait d'une photographie que ma mère avait accroché dans le salon de mon ancienne maison, à Londres. Elle m'avait raconté qu'elle l'avait prise elle-même, un jour où elle s'était rendue en Europe alors qu'elle était enceinte de moi. Ma mère aimait voyager, et plusieurs fois par an, elle choisissait au hasard une destination où elle se rendait le temps de quelques jours, simplement pour augmenter sa collection de souvenirs et remplir son album photo, que j'avais vite prit l'habitude d'admirer. Je ne me rappelais pas quel était le lieu de la photo du salon, mais j'en connaissais chaque détail comme si je l'avais vu également. Je pris la main de Syd, lui murmurant: « Laisse toi faire », ce qu'il fit, puis je visualisai dans mon esprit la photographie de ma mère, priant pour que cette manœuvre réussisse.

Le salon s'évanouit brusquement, puis le paysage changea radicalement. J'avais réussi. Autour de nous se trouvait le lieu dont ma mère était tombée amoureuse dès qu'elle l'avait vu. Il s'agissait d'une sorte de parc, mais qui était toujours désert et abandonné. Des cerisiers en fleurs, aux feuilles roses pâles, étaient alignés à côté de nous. L'herbe fraîche sur laquelle nous étions était parfois recouverte des pétales des fleurs de ces magnifiques arbres, formant un lit de poussière pâle, que le soleil rendait éclatant de ses magnifiques rayons d'or. Les quelques rares souffles de vent balayaient d'un geste doux quelques fleurs, qui s'envolaient ensuite vers les cieux. La lumière, si pâle, si blanche, envahissait le paysage, qui semblait coupé du monde, perdu dans l'espace et le temps. Le ciel de saphir était si bleu qu'il en devenait aveuglant, mais restait pour autant superbe. Nous étions seuls dans ce petit coin de paradis, je regardais Syd découvrir l'endroit qui avait bercé mes rêves d'enfance. Il observait le décor, tournant légèrement la tête pour avoir une vue plus large, l'air impressionné. À nouveau, je me sentais comme dans un autre monde, une autre galaxie. Lorsque nos regards se croisèrent, j'eus envie de dire ces quelques mots qui me brûlaient le cœur, mais j'en étais incapable et il le savait. Cependant il était conscient de l'amour que j'éprouvais pour lui. Je lui pris la main, puis m'allongeai sur le sol d'or, l'incitant à venir auprès de moi. Je posai ma tête sur son bras. Tournant la tête vers lui, j'attendis qu'il me regarde. Rassemblant tout mon courage, je pris la parole.

- Je sais ce que tu as dit hier. Et je sais que tu avais raison. C'est fini, c'est ma faute. Mais je tiens à te dire, que s'il le faut, j'attendrais, autant de temps que tu voudras. Je..

Je n'arrivais pas à finir ma phrase. Je savais qu'il se doutait de ce que j'allais dire. Ce n'était que des mots, après tout. Mes paroles étaient restées extrêmement simples, je n'avais jamais été douée pour exprimer mes sentiments, encore moins lorsqu'il s'agissait d'amour. Je détournai mes yeux, fixant le ciel à peine visible, caché par les feuilles roses. J'étais prête à endurer n'importe quoi, n'importe quelle réponse, n'importe quelle parole. J'attendis une réaction de la part de Syd, tout en restant allongée sur lui, profitant de mon petit coin de paradis et du peu de bonheur qu'il me restait.

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Damon M. Tallis
Damon M. «
    Dust in the wind.

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MessageSujet: Re: (-16) Black Smoke Attack   (-16) Black Smoke Attack - Page 2 EmptyJeu 26 Aoû - 3:32

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Créa by Auréa ♥ Sexy killage, tu peux pas test, sisi.

DARKNESS, SWEETNESS, SADNESS, WEAKNESS


De tout ce qui me constituait, j’en revenais toujours au cœur. L’organe le plus fort selon la médecine. On avait noyé le mien dans la faiblesse. Une mélancolie refusait de dénouer ma gorge. Les murs que j’avais bâtis pour me protéger ne cédaient toujours pas, la peur me bouffait jusqu’aux os. J’étais perdu dans un mal d’enfant, j’avais juste demandé de l’aide. Les sons de ma voix avaient été transparents, c’était sans doute le plus difficile à avouer. Mes résonances n’avaient pas eu de couleur, depuis j’étais devenu daltonien. L’hypocondrie de l’âme d’un corps que j’avais salis par haine de leur tyrannie ne s’éteignait jamais. J’avais tant cherché cette personne, celle qui resterait au-delà des tremblements, de la fissure de la Terre sous nos pieds. J’avais tant espéré cette avidité des âmes et maintenant que je serrais la main de l’espérée, je ne comprenais pas. Je reculais par phobie de contusions nouvelles. Mes mots étaient enterrés dans le sable, les fragments de ma raison étaient ignorés et le goût du miroir était toujours aussi amer. La pensée du rejet m’enfonçait tellement profondément que je ne pouvais plus être moi-même. Les brûlures respiraient encore dans mes veines déchirées, je refusais de brûler les siennes. Cette promesse que j’avais faite se perdait en murmure lorsque je savais que mes pas se faisaient trop nombreux, je revenais à elle comme un gosse déplorable. Comme si tout était marqué dans le ciel. Tout est tellement sombre quand le cœur déborde de haine, lorsque le vent souffle violemment sur le reste de nos cendres tendres. Les souvenirs devaient nous garder en éveil, les miens faisaient pleurer mon âme. Ils me mutilaient de l’intérieur et la seule couleur que l’on peut distinguer n’était que le rouge. Vif et agressif. L’affliction se cognait contre les parois de mon corps, corps qui ne désirait plus rien, si ce n’est qu’elle. Le moindre de ses gestes exhalait mes sens, les pulsations de son sang ranimait l’illusion d’une certaine dévotion que j’aimais dissimuler. J’étais submergé par nos deux corps différents, deux chairs qui ne s’annulaient pas mais pire, se complétaient.

Le bout de mes doigts se mêlait à la poussière ambrée qui s’étalait sur son enveloppe charnelle, des milliers de scintillements émanant de sa peau remplaçaient la couleur délavée qui avait volé l’azur de mes yeux autrefois. J’étais ivre de la douceur des gestes qu’elle arrivait encore à m’offrir malgré la fragilité que j’attrapais dans chacun de ses souffles incandescents. Chacun de ses mouvements doucereux se tatouait sur ma peau à la place des morsures crystallisées par les souvenirs, gelées par la peur d’être déchiré une nouvelle fois, me laissant avec une peau balafrée dans tous les sens du terme. Aussi froide que les plus dures nuits d’hiver. Cependant, je sentais sa chaleur se fondre en moi grâce aux frictions de ses pupilles hypnotiques contre les miennes envieuses. La pureté de ses phalanges s’était emparé de mes traits, me faisant frissonner des omoplates jusqu’au creux des reins. Mes souffles ralentissaient leur rythme régulier pour diminuer la cadence du cœur qui leur avait infligé. Mon sang s’était rompu et dilué pour admettre l’excitation qui était en train de naître, elle n’avait plus qu’à respirer pour que je ressente le besoin de la posséder une nouvelle fois. Mes doigts s’infiltraient dans ses cheveux sombres et lumineux simultanément, l’admirant encore comme si tout l’or du monde s’anéantissait sur ma chair tremblante de désir. Je ne voyais plus qu’elle, je ne respirais plus que par elle et plus rien d’autre ne m’importait à cet instant. Tout ce dont j’avais besoin était qu’elle me touche encore, jusqu’à épuisement, jusqu’à ce que nos respirations se fassent douloureuses et saccadées. Ses lèvres caressaient les miennes, l’instant de quelques secondes je cessais d’émettre le moindre geste et la moindre respiration. C’était la première fois qu’elle m’embrassait de cette façon, débordante de tendresse, débordante d’amour. Son souffle coulait dans ma gorge comme un remède intemporel et indestructible. Je la resserrais contre mon corps instinctivement, avec la détermination de la garder fixée à mon âme aussi longtemps qu’elle me l’accorderait. Il n’y avait rien eu de provoquant dans ce baiser, il n’y avait eu que son indolence et toute la sincérité du monde. Ses lèvres s’étaient détachées des miennes, loin d’être rassasiées, pour qu’elle puisse m’explorer du regard encore une fois. Je laissais ses yeux voler ma peau, mon regard, mes souffles. Tout, tout ce qu’elle voulait, tant qu’elle restait auprès de moi.

Quoique tu es a dire de si dérangeant, fait le, avant que tu décide de me mentir... mais laisse moi profité encore un peu de toi

- Tu pourrais me détester de cette vérité. Je suppose qu’il me reste encore un peu de temps.

Mes mots, licols de satin qui glissent insensiblement pour effiler son cœur hypocoristique, me donnaient la sensation de m’extraire de son Eden sibyllin. La douceur des tragédies rendait nos souffrances élégantes, elles s’alimentaient de nos saignements et renforçaient notre unification dans un serment incassable, une promesse éclatante dans l’obscurité de nos meurtres. Les malédictions acérées ne m’ont jamais fait trembler. Si ma damnation portait le nom d’Auréa, je m’abandonnais à elle les yeux fermés. Je laissais ma main glisser sur sa hanche si parfaitement dessinée, j’adorais m’y attarder et je n’avais pas besoin de lui dire pour qu’elle le comprenne. La profondeur de nos regards s’éternisait en fantasmes silencieux mais… Ce n’était pas que ça, tout ce que je ressentais passé à travers son regard, les battements de nos cœurs résonnaient dans mes tempes pour rendre mon âme affamée de la sienne. L’avidité contractait mon ventre de plus en plus fort, je ne pouvais pas estimer à quel point j’étais capable de l’aimer. Je ne savais pas décrire ça. J’étais désorienté par mes envies difficilement domptables et mes sens en ébullition sous la pression que son corps infligeait au mien. Aucun son ne franchissait la limite de mes lèvres, j’avais délié ma main de la sienne pour la laisser s’ancrer sur sa taille fine. Je refusais qu’elle appréhende mes réactions car ce qu’elle valait dépasser largement mon être. Il fallait qu’elle me fasse confiance même si mes silences restent dominants, mes lèvres exploraient sa joue pour finalement laisser mes souffles se perdre au creux de son cou. Je remontais une de mes mains le long de sa colonne vertébrale pour finalement la redescendre au bas de son dos creusé. Elle me laissait libre de mes mouvements, s’abandonnait presque à mes caresses. J’avais l’envie qu’elle comprenne que la répulsion de son être était une pensée qui ne m’avait jamais effleuré une seule seconde, qui ne m’effleurera jamais. La seule chose dont j’avais envie était qu’elle me serre fortement contre elle, qu’elle ne me lâche jamais. Sentir ses ongles rentrer dans ma chair, la sentir s’accrocher à moi comme s’il ne restait plus rien d’autre sur Terre. Je remplissais mes poumons de l’odeur somptueuse qui se dégageait d’elle comme un sortilège inévitable, je poussais l’asphyxie au paroxysme dérangeant de mes penchants génésiques. Non, c’était bien plus fort que moi. Je récupérais ses lèvres à l’instant où la fièvre commençait à monter, profitant d’elles dans leur totalité. La moitié ne me suffisait pas, elle était la femme que je sentais, là. Dedans. Partout. Nos langues s’alliaient dans une synchronisation reine tandis que mes caresses la serrait en étreinte contre mon ossature, douloureusement mais si parfaitement au fond. Lorsque ma respiration était devenue irrégulière, je laissais ses lèvres orphelines, en ne détachant toujours pas mes yeux des siens, je caressais l’avant de son bras avec le bout de mes doigts qui étaient maintenant fébriles. Je n’avais même pas compris que plusieurs minutes s’étaient écoulées, je ne pensais plus à rien. Juste à ce qu’elle me faisait ressentir juste en existant. Je me relevais en aidant Auréa à faire la même chose, je saisissais son visage, le rapprochant encore et encore du mien. Mon front contre le sien, ses lèvres à quelques millimètres des miennes seulement et mon cœur déchaîné, frappant mes côtes à coup de libido ingérable. Ma voix s’extrayait en un souffle d’envie, mes pupilles fixées sur ses lèvres brûlantes.

- Profites autant que tu le veux.

Son regard soulevait mon cœur, mes mains tremblaient de ses doigts éparpillés sur mon visage. Amour qu’aucun geste ne pouvait dire, Amour qu’aucun mot ne pouvait décrire. Je prenais ses mains en les faisant glisser sous mon T-shirt, sans décrocher ce lien qui me rattachait à son âme. C’était sûrement ça qui nous rendait unique, cette union par illusion, par vision de nos regards. Fouiller les essences de nos personnes sans réellement comprendre la confusion chimérique qui nous émerveillait tous les deux, qui nous aimantait l’un à l’autre. Je convoitais tant sa lumière. Si elle désirait mon âme, je ne réclamais rien d’autre que la sienne en échange pour pouvoir expier mes fautes. J’avais besoin de sa grâce dans mon sang, de sa pureté accrochée à mes veines. Je respirais d’un manque de chair, de la sienne, de la mienne. De la nôtre, mêlée, n’en formant plus qu’une seule. Pouvait-elle être mienne encore une fois avant qu’elle ne s’éloigne lorsqu’elle aura compris que je n’ai rien fait pour soigner ses plaies ? Celles que je voyais clairement mais que je laissais sous les cendres de mon indifférence. Pouvait-elle me pardonner encore une fois ? Je retirais mon t-shirt sans précipitation, je n’avais pas besoin d’agression. C’est sa douceur que je voulais aujourd’hui, oui, j’avais besoin de me sentir aimer. Par elle. Elle avait traversé mon rôle, elle me voyait tel que j’étais vraiment. C’était la seule raison pour laquelle je m’éloignais, la beauté de sa valeur m’aveuglait. Elle lacérait ma peau avec sa tendresse et sa chaleur infinie, je n’avais connu que la neige et le vent glacé. Je retirais les bretelles fines de ses épaules pour faire glisser sa robe, sans un bruit, sans un souffle jusqu’au sol. Elle n’était couverte que de ses sous-vêtements à présent, j’admirais ce corps qu’on lui avait offert, en essayant de capturer chaque détail dans ma mémoire. Mes mains s’étaient remises sur ses hanches, la serrant à nouveau contre mon bassin. Je sentais la délicatesse de ses mains qui s’agrippaient à mon cou. Elle plaquait ses lèvres contre les miennes une nouvelle fois, plus intensément que la précédente. L’excitation remplaçait le calme serein qui m’avait habité furtivement, la toucher était la seule raison pour laquelle je fonctionnais. Je m’emparais de ses cuisses en sentant ses jambes s’enrouler tout autour de ma taille. Je la collais contre le mur, elle détachait ses jambes avec agilité et je me noyais dans son cou avec cette envie de dévorer sa chair dans son entièreté. Je respirais de plus en plus vite, en voyant sa poitrine allant de bas en haut à une allure effrénée, elle était maîtresse de mon désir et de la passion charnelle qui me rendait dépendant de ses formes déchirantes. Je voulais me sentir chez moi en elle. Je voulais qu’elle soit à moi, pour moi, qu’elle me prenne par les sentiments, qu’elle me torture les sens jusqu’à l’extase. J’allais lui faire l’amour pendant des heures, laisser le temps se perdre dans sa torpeur stupidement inutile et profiter de nos corps encastrés par les sentiments qui nous faisaient voyager. Elle stabilisait les aiguilles d’une montre à chaque fois qu’elle m’ensorcelait avec ses charmes naturels, le temps ne décidait plus de rien. Ce n’était que nos instincts. Je l’embrassais, faisant descendre une de mes mains entre ses jambes, la contraction de mes muscles intimes se faisait sentir, je la regardais toujours avec cet air d’affamé, tellement affamé que mes lèvres abusaient de sa poitrine légèrement couverte de la douceur de ses tissus. J’aimais les caresses qu’elle ne cessait d’infliger à mon dos, elle connaissait les endroits, ces endroits qui me rendaient hors contrôle. Elle connaissait mes vices sans jamais les avoir vus. Je tentais de calmer ma respiration qui s’était emballée trop vite sous l’effet qu’elle me faisait, tout en continuant les caresses que j’avais entamé plus bas, mon cœur tambourinait encore dans des sonorisations exagérées, violées par l’amour que je lui portais, violées par tout ce que je voulais lui donner, quitte à perdre mon être. Elle ne me laisserait jamais, la confiance que j’avais en elle était tellement précieuse pour moi, j’aurais voulu lui dire « Ne me laisse jamais, tu es tout ce que j’ai. » Mais ma fierté me l’interdisait, quelle fierté ? Qui donc s’en souciait ? Personne. Ils me bousculaient tous avec leur mépris meurtrier, ils m’avaient cent fois tué. Mon sang invisible remplissait encore leurs mains d’atrocités. Elle, elle me donnait son sang pour ne pas me laisser mourir, elle me faisait vivre à travers ses soupirs et j’avais tellement peur de la détruire. Je ne voulais pas ressembler à ces gens qui avaient massacré son cœur à coup d’absence et de promesses brisées, je voulais être vrai. L’homme qu’elle sentait, là. Dedans. Partout.

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Auréa Eden

Sunburn
She burns like the sun.

Auréa Eden


Moi =D
▬ Relations:
▬ Armes & Pouvoirs:

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MessageSujet: Re: (-16) Black Smoke Attack   (-16) Black Smoke Attack - Page 2 EmptySam 28 Aoû - 3:41


(-16) Black Smoke Attack - Page 2 Onsemiammiam

" I refuse to let you die come on fallen star . You've long since faded from their eyes so be, be mine "


- Tu pourrais me détester de cette vérité. Je suppose qu’il me reste encore un peu de temps.

▬ L'atmosphère de la pièce nous conservé dans un partage silencieux et harmonieux. On se retrouvait comme dans une chrysalide ou rien de ce qui se passé à l'extérieur n'avait d'importance. Je capturais chaque courbes de son visage, j'étais sûre et certaine de pouvoir le dessiner dans le moindre détail sans avoir besoin de model. C'était certainement inutile de savoir le dessiner, mais je pouvais me souvenir des moindres de ces traits de son visage. L'orée de sa bouche qui s'approchait de plus de mes lèvres, ces pupilles qui se vouaient parfois fané et que je refusais de laisser mourir. Son coeur avait été un cendrier pour beaucoup de personne, parfois il avait ces yeux noirs ceux qui prônaient l'infidélité, ceux qui dictaient qu'il n'était définitivement pas quelqu'un de confiance, ceux qui parlaient pour dire qu'il ne connaissait que la loyauté de ces désires. Ce n'était pas Damon, c'était ce qu'on voulait qu'on voit de lui. Sa personnalité ressemblait aux poupées russe, une matriochkas bien organisé du plus petit au plus grand. Plus je fessais un pas en avant, plus il reculait de peur que je fuis en arrivant à la plus petite des poupées. Il pouvait être l'incarnation du diable proprement dit, je n'allais pas m'arrêter de m'approcher de lui pour autant. Il était capable de manipuler la totalité de son entourage d'un regard. On lui avait donnée la mission de ce cachait parmi les faibles. C'était sans doute une partie de son histoire, les mensonges qu'il avaient crée. Je voyais quelques chose en lui, celà pourrait bien me tuer mais ca m'était égale, je voulais que ce soit vraie. J'aimais ce qu'il était vraiment, sans façade. Juste lui, uniquement lui. Sa l'effrayait que je me soumette à aucune de ces limites, je n'allais pas m'agenouiller devant ce qui pouvait être enjambé. Il n'arrivait certainement pas à me mentir. Je le savais brisé c'était lui que je voulais, lui dont j'avais besoin aucun autre. Il pouvait sans doute être comparé a une origami, chacun de ses plies avaient quelques choses à camouflé, chacun de ces plient représente une blessure. Damon était d'une complexité fascinante, du genre a être seul avec son ombre marchant à ces cotés et qu'une seule chose qui bat réellement, son cœur. Sans être certain qu'il soit en vie, juste qu'il soit là a essayer de vivre avec une difficulté certaine. Il avait mal de tout ce qui l'entourait et il me secouait le cœur. Si la seule chose qui était a ces cotés était son ombre, je m'assurais d'être qu'un bout de celle-ci. Je n'avais pas peur des chutes ou de tombé plus bas que le sol ne pouvait m'accueillir. Aucune vérité ne pourrait me faire le détester, même la pire, la plus ignoble que je pouvais imaginer. Quoiqu'il m'en coute, je tiendrais pour ce qui était entre nous. Il parlait comme-ci notre temps nous était compté, je n'aimais pas ça, la notion de temps était tellement secondaire lorsqu'on était réunie. J'écoutais, sans pouvoir délié un mot de ma bouche. Il essayait de me préparer mais au fond je ne fessais qu'appréhender. C'est yeux pouvait voir l'infini s'il les ouvraient, laissent de cotés cette façon de se déchirer.

C'était comme-ci il lissait en moi, sa main descendait le long de ma hanche, je sentais mon souffle se perdre sur sa peau aux reflets de glace. Je le regardais toujours avec sérénité qui m'était reine avec toute la confiance du monde qui s'installer entre nous. J'aspirais à ce qu'il nous protège, nous, notre monde, notre lien qui était si unique. Il kidnappait le moindre de mes sens, l'homme qui avait volé mon cœur, un amant indéfectible, un apollon aux yeux du ciel, le mien. Ces lèvres touchèrent ma joue, j'eus un frisson mal placé, sa bouche descendait le long de cou. Je ressentais la moindre de ces respirations qui s'échouaient irrégulièrement. Je perdais le contrôle de ma peau qui se fondait dans ces mouvements. Je sentais ma colonne vertébrale totalement dépendante de ces caresses qui s'étaient arrêtée en bas de mon dos. Ces lèvres se lièrent sur les miennes me fessant goutter à l'ambroisie de nos désires. J'avais tellement soif de son amour que mes membres se resserraient créant une pression sur chacun de mes organes. Je le gouttais, me lasser de ces lèvres étaient quelques chose d'impossible. Il me resserra contre lui fessant s'envolé la lucidité qu'il me restait. Ces doigts frôlèrent l'avant de mon bras me fessant frissonné encore et encore. Je réalisais que c'était impossible qu'on soit enfermée dans la même pièce sans qu'on vienne à s'explorer, autant que dans la personnalité que par nos corps comparable a deux aiments, l'un magnétique, l'autre paramagnétique s'attirent a l'infini, forment une seule et même attraction. Je me relevais avec son aide, il s'était emparé de mon visage. Me donnant un requiem visible uniquement par les sens, son odeur qui me fessait vacillé si facilement, ces yeux qui n'arrêtaient pas de violer les miens. Le son de son corps qui se rapprochaient du mien, ces mains caressent ma peau. Il ne manquait plus que le goût de sa chair contre mes lippes, encore. Son regard s'attardait sur mes lèvres, visiblement ils les désiraient autant que je voulais les siennes. " Profites autant que tu le veux " ses mains tremblaient je ne comprenais pas, je voulais le rassurer avec mes mots qui sortaient de plus en plus difficilement mais il me prenait de vitesse en saisissant ma main avec une douceur incomparable et en la mettant sous son t-shirt. J'entendais les battements de son coeur raisonnait dans tout mon corps. Je nageais dans la confusion, je le laissais faire, par confiance. Il retirait son t-shirt s'offrant à moi, chacun de mes muscles étaient paralysée. Ces formes était isolantes, elle était attirante, je ne pouvais pas m'empêcher de le frôlait. Électrocardiographe qui pouvait capturé le moindre de mes pulsations auraient indiqué un nombre vacillant vers les zéros, c'était si lent dans ma poitrine que je croyais que j'allais y céder. Je le laissais totalement libre m'abandonnent dans ces iris, il fessait glisser les bretelles de ma robe de nuit qui se coulait le long de ma peau. Il était totalement d'argent créant sur sa peau l'utopie de la mienne qui se valait d'ocre. Vivre ? pas sans lui.

Oh, you're in my veins, and I cannot get you out.


Damon me détaillait du regard, la lumière du soleil tombait dans ses yeux, j'avais compris tout ce qu'il désirait et je voulais exactement la même chose que lui. J'avais rougie instinctivement, il m'avait déjà vue nue mais il ne m'avait jamais regardait de cette façon. Je croyais qu'en en ces millions de pièces éclaté en lui. Il consumait la totalité de mon être rien quand me regardent et tout cela à une vitesse impressionnante. Il me rapprochait de lui me tenant par les hanches voulant me dire que j'étais la millième, celle qui lui manquait. Son ventre collait au mien, nos visages à quelques centimètre l'un de l'autre, je le voulais en moi, il me fessait oublié la nervosité dans laquelle je me trouvais quelques minutes au par avant. Et sans plus attendre, il s'emparait de mes cuisses pour me plaqué contre le mur, j'ôtais mes jambes de sa taille frottant celle-ci contre le bas de son dos. Damon voulait mon corps et j'étais incapable de résister. Il s'était perdu dans mon cou. Je sentais ces lèvres se greffé dans ma peau, descendant ces lippes vers ma poitrine encore vêtus qui ne tremblait que pour lui. Il effleurait de ses phalanges l'écrin de ma féminité, il réveillait la violence, la fougue et l'excès qui était en moi que je contrôlais habituellement. Avec lui je perdais totalement le contrôle de mes sentiments, de mes mouvements. Mes mains se nouèrent autour de son cou pour descendre dans le creux de son dos, mes ongles s'enfoncèrent dans sa chair sentant son squelette s' oscillait doucement sous mon être. Je sentais le bas de son bassin se contracté me mettant dans un état d'excitation. Je restais silencieuse même sous la pression des sons que je voulais émettre, une seul chose sortait de ma bouche, ce n'était que mes souffles qui se saccadé. Il attisait la gourmandise de son existence à l'extrême en sachant très bien que j'étais affamée de ce qu'il était. Il me fessait passé d'un monde à l'autre, celui où il n'y avait que nous, celui ou l'apocalypse pouvait imploser des milliers de fois, on resterait lié l'un à l'autre sans jamais se détaché. Dans un excès d'excitation, je lui mordis les lèvres supérieur le serrant de plus en plus contre moi. Sa main était persistante le long de mon intimité ces phalange étaient insistantes, douces, agiles. Aveuglé par ses yeux, il poussait une provocation. La totalité de mes membres se contractée et se décontractée rapidement dans des rythmes osées fessant éteindre mon souffle contre lui. Je descendais mes mains sur son visage, lui demandant d'un geste de me regarder, j'avais confiance pour qu'il me tienne de la bonne façon, sans avoir besoin de m' accroché a son dos, l'embrassent dans le cou, ma langue léchant sa peau fruité. J'étais sur-élever par rapport à lui, il était donc forcé a remonté son visage, je fessais glissait mon doigt le long de sa bouche, ses yeux dans les miens, ma langue qui se voulait joueuse avec la sienne. La provocation, j'étais parfaitement capable de lui répondre, je profitais que ces caresses étaient plus douces pour me délié de son attache, me retirant de sa taille. Je fessais remonté sa main au niveau de mon ventre. Mes mains enfermèrent toujours son visage, je mordis une nouvelle fois le haut de sa lèvre et je me dirigeais dans vers la pièces qui était situé à coté. Je n'avais pas besoin qu'on soigne mes plaies superficiels. Je n'avais besoin d'aucune attention sur celle-ci.

J'étais sous traitement maîtresse de moi-même, je n'avais qu'un symptôme divin, celui du cœur agité. Agité par un être ténébreux, ombrageux mais tellement attachant. Personne ne pouvait égaler se qui se produisait quand on était l'un à coté de l'autre. Personne ne pouvait l'aimer autant que j'étais amoureuse de lui. Mon corps tout entier était confus de différente façon, mes doigts se tortillèrent entre eux, je ne cessais de passer la main dans mes cheveux essayant de reprendre le contrôle de mes émotions, de mes sentiments, de mes respirations ce qui était quelques chose d'impossible tellement j'appartenais à ce qu'il était. Mes pulsations cardiaques me jouaient de mauvais tour, elles étaient poussée a l'extrême. C'était stupide de pensée qu'on pouvait appartenir à une personne de cette façon et pourtant c'était le cas. Je pouvais me perdre en lui rien que de par sa présence. Quand il s'approchait, mon sang circulait à l'envers comme s'il y était invité et celà fessait huit mois maintenant qu'il était dans mes veines. J'étais amoureuse de cette homme, je me serais vidé de la moindre goute de mon sang pour le lui donné s'il en avait besoin. Damon m'avait rejoint dans la salle d'eau, il me fixait sans un mot, visiblement amusé d'être plus grand et que face à lui je restais fébrile. Je m'avançais sans précipitation vers lui, je le regardais sans doute d'une mauvaise façon, j'allais me perdre dans son corps, encore. J'étais plus petite que lui et cette fois ci c'était a moi de sur-élever légèrement la tête pour que mes lèvres soient à quelques millimètre des siennes affichant presque un sourire malsain, en déliant sa ceinture ma voix se délié enfin de ma bouche Je ne peux pas te détesté de me faire vivre . Ma dextre c'était posé sur son torse descendant à son ventre le poussant a avançait de quelques pas à reculons jusqu'à la douche. L'attraction de nos jeux de corps m'amusait, je savais qu'il était un adversaire à ma taille. J'allumais l'eau brulante et je le poussais en dessous avec cette douce violence. Je ne me mouillait pas encore, il se revenait vers moi. Je lui souriais en mordant ma lèvre inférieur, puis m'attachent aux siennes sauvagement. Je déboutonnais son slim en le regardent brulé. Ces parties étaient contractée, je fessais glisser son slim mais pas dans sa totalité. Ces mains se nouèrent sur mes hanches me poussant contre le mur violemment, l'eau ruisselait le long de ma poitrine et sur son torse. Je sentais notre excitation qui se fessait de plus en plus grande. L'eau était brulante, l'eau chauffait encore plus mes sens fessant monté la température encore plus vite. Sa peau qui était froide me tempérer bien qu'elle commençait a se réchauffer. La vapeur s'échappait de nos corps même étant a peine mis a l'eau. Il fit descendre mes bas le long de mes hanches et je fis de même avec les siens. Sa main remonté le long de ma cuisse pour me sur-élever. Mon cœur s'emballait, il tonnait dans ma poitrine d'une façon irrégulière, inconstante. Je voulais le sentir encore plus proche, encore. Je prenais mes appuies aux creux de son dos, le regardent avec défit. Damon souleva mon corps, comme la fois précédente mais cette fois me rapprochant de son intimité, ne coupant pas nos regards qui se valaient de plus en plus provocateur. Mes jambes s'enroulèrent autour de sa taille, en se croissant derrière, dans le bas de son dos.

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MessageSujet: Re: (-16) Black Smoke Attack   (-16) Black Smoke Attack - Page 2 EmptyMer 1 Sep - 0:14

(-16) Black Smoke Attack - Page 2 Znq6qe

- Je sais ce que tu as dit hier. Et je sais que tu avais raison. C'est fini, c'est ma faute. Mais je tiens à te dire, que s'il le faut, j'attendrais, autant de temps que tu voudras. Je..


Il y a certaine histoire qui commence par la fin, étonnant. Oui, mais pas si absurde que ça dans la mesure ou les choses font qu'on avance de plus en plus et non pas de moins en moins. Prenez l'exemple d'un verre, lorsque vous versez de l'eau a l'intérieur, il ne se vide pas, il se remplie. Et lorsque qu'il est remplie, on le vide de nouveau pour le remplir par la suite. C'est bien ce que j'avançais, commençons par la fin. La fin, elle se trouve là, voyez vous. Zoomé, je vous ai dit de zoomait, dans les yeux émeraude de la demoiselle blonde qui est en face de moi. Elle est amoureuse de l'idée d'être amoureuse. Moi je suis le gars à coté qu'il la regarde, le mec avec une allure de paumé. Bon je vous l'accorde c'est pas très original, on se regarde dans le blanc des yeux pendants des heurs essayant d'y voir quelques choses de savoir ce qu'on ressent. Respirant l'air pure de cette endroit angélique, magnifique. L'odeur de l'herbe qui vous donnes envie de vous roulez dedans comme un dératé, vous la sentez ? Bien sur que non que vous sentez pas. Mon coeur s'emballer pourtant comme un drogué n'ayant pas eu sa dose, mon coeur était un peu comme mon frère de coeur à l'heur actuel, sa fessait un peut bordel je vous l'avoue. La fille en question, elle s'appelle Kasey Logan. Dés le début, tout à était compliquer entre nous deux. C'était comme-ci un chat était sous le charme d'un loup... il se serait fait un peu dépiauté. Dans la mesure ou rien n'avait vraiment commencé, rien ne pouvait être fini. Adolescence mélangé, je ne lui avais pas donné de l'attention. Je savais pas vraiment s'il s'agissait d'une dualité précoce envers ces liens de coeur, mais je ne désirais plus être aveuglé par l'inconscient durant un moment. J'avais d'autre chose dans mes veines qui tourné en question. J'avais eux la prétention de lui proposé un marché qui était assez douteux. Elle n'était pas ce genre de fille à être amoureuse, mais d'être amoureuse de l'idée de l'amour. Elle formatait ces sentiments sur ce qu'elle avait vue autour d'elle, espèrent ressentir ce que les autres éprouvaient. C'était ça le problème de posséder le dont de charmé les gens jusqu'à l'os. Ce qu'il y a c'est que pour en être certain, il faut savoir faire des choix qui ouvriront des portes ou en refermeront d'autres, vous me suivez? Pas vraiment, mais vous allez comprendre.

- Stop, Stop... J'ai ton cadeau d'anniversaire à te donné en réalité. Ce que je veux, ça a pas d'importance, le temps n'a pas d'importance. Mon cadeau, si tu l'accepte, c'est d'effacer l'intégralité des sentiments que tu as envers moi. Les souvenirs qui te retiennent a mes côtés. Si tu es vraiment pour moi, tes sentiments reviendront et si ils ne reviennent pas c'est bien que ce n'était qu'un jeu, un truc malsain, un truc qui n'a pas d'importance au fond. Tu t'y brule?

Bon, assez on va remonter le temps pour comprendre pourquoi c'est sortie de ma bouche. Syracuse, Villa luxuria des Eden, quatre heurs du matin, troisième chambres a droite. Le gars dans le lit c'est toujours moi et la fille sur moi c'est toujours la même. Mes artères étaient en train d' exploser, mon corps brûlait le sien. Mon estomac entamant une guerre contre la paroi de mon foie, tamponnant le reste de mes organes. Je ne fessais que ca, remonter les seconds les avalant une par une, les claquant contre le mur. Revivre un moment, qui n'aura pu lieu d'être, mes lèvres lui transmettant ce doux venin. Pouvoir toucher encore une fois, les traits de magnificence de son visage qui m'exposait aux yeux. La beauté est quelques chose d'éphémère, elle se fanera entre nos doigts avant même qu'on est eux le temps de respirer une seconds fois. On pourrait même apercevoir que je laissais un bout de mon âme s'infiltrer dans la sienne, grandiose, osmose, perfection. Jusqu'ici le paradoxe s'installe, Pourquoi est-ce que je lui ai dis ces mots si j'ai l'air si heureux à cette instant ? Elle reçoit un message, elle me le montre, j'acquiesce et elle s'en va dans la salle d'eau, elle se téléporte. Je vais ensuite dans la salle de bain, je vais sous la douche et le la met au plus froid possible. Mes muscles se contractent, mon coeur grelotte instantanément à des allures folles, puis je m'habille rapidement un t-shirt, un slim et je m'en vais sur la terrasse. Mes pensées se fourvoient et j'essaie de revivre à chaque fois ces moments ou mes mains caresses ces cheveux ou mes pupilles effleurent les siennes. Cigarette numéro quinze, tu as définitivement le même goût que la première entamé une heur plus tôt, aucune saveur en plus, aucune saveur en moins. J'intoxiquais lentement mes poumons pour remonté le temps et pour n'avoir rien eu dans les poumons et que me les clopes de mon paquet s'ajoute et non ce diminue. Quelqu'un de plus sage que moi m'aurez certainement dit Monsieur vos pratiques sont suspecte... Monsieur je vous assure que vos pratiques sont interdite. Je lui aurais tout simplement demander qu'est-ce qui ne l'était pas ?


J'avais ensuite attendu dans le fauteuil quelques heurs en retournant dans ma tête ce qui se passée réellement. Heur, Seconds tellement de détail se cachaient dans ces particules de vie. On m'avait donné la faculté de les lire. Tout ce résumé a des choix, des possibilités et tout ca ne tenait qu'a la dimension du temps. Les volontés, des souvenirs mal tissé. Je pouvais vivre la ou je voulais si j'en avais envie. Je savais quand je déciderais de ma mort, je retournerais au jours de ma naissance, pour n'avoir jamais existé, jamais soufflé une bulle d'oxygène. Ce réfugier dans le ventre de sa mère avec tout l'innocence du monde. Chaque erreur faite aux passés, crée une tache d'encre sur l'avenir. Parfois il faut savoir prendre une nouvelle page, une page blanche ou noire peut importe la valeur de cette feuille et se donner la possibilité de crée une autre histoire. Si deux être s'attire dans une feuille, ils se retrouveront dans l'autre. Dessinez sur mon front le mot con et j'irais me le faire bénir, toute mes excuses de vous obéir mais ma logique se valaient. Au finale mes mots que je lui avais prononcé c'était envolé et vous pouvez bien me crucifié mais faite vite, qu'on ne parle plus de ces remarques indécente de mon comportement incompris. Je suis tout ce que vous voulez, tout ce que vous souhaitez me donné comme nom. Tout, sauf un menteur. Non, ce que je venais de faire n'était pas comme une sorte de suicide mais plutôt comme une renaissance. Et la certain auront de la pitier, je répondrais de vous étranglez avec ca me serait d'un aimable fou.

Ou était partie ma raison proprement dit ? J'en avais aucune idée, si quelqu'un la retrouvait, s'il pouvait venir me la déposer dans les objets trouvées. Dans le début de matinée, vers cinq heur du matin, un bout d'ombre c'était fait voir. Je la sentais partiellement faibrile. La relation que j'entretenais avec elle était devenu celle d'un homme ne voulant que son bonheur, une sorte de fraternité sans qu'elle n'eut besoin d'en demander. Elle avait besoin d'un être Damon Matthew Tallis, c'était ce déclenchement la qui me fit prendre cette décision. Si dans cette multitude de proposition qui m'était donné de vivre. Si Kasey Logan, la fille au yeux d'un vert paralysent était bien cette personne a résister dans une nouvelle page, comme Auréa l'était avec Damon, ca voulait dire que c'était réelle. S'ouvrir a elle, y avoir claire comme ce qui se passer vraiment. Dépassent toute espérance de sentiment confondu et inexplorer. Un nirvana inflammable, indémodable, quelques chose de vraie. Et si je me casser les ailes, j'aurais essayer d'apprendre a volé. Je pris également conscience que mon frère d'âme me manquait malgré ses fautes qu'ils avaient à expié, je tenais dans mes bras ce qui pouvait le guérir et j'en étais certain qu'elle avait le pouvoir d'agir, si il la laissait faire. A la base, je n'avais pas de valeur, aucune qui me lié au sol proprement dit. Quelqu'un de complet aux reflets passablement éclatée, je voulais bien m'envolé dans les yeux de quelqu'un mais je n'étais pas actuellement prés pour ça. Mon option pour les réponses à mes questions restèrent. On aime quelqu'un de fou ? ... J'euthanasiais vite fait ce qui m'entourait avec mes questions. Hyde bébé, dans les bras d'Aaron, Kasey dans la maison des Eden étant petite. Nos tatootages tout ça était lié. J'en avais la conviction absolue.

Tout a coup, j'eus l'agréable sensation qu'un souffle vint réchauffé mon cou, c'était cette fille qui semé le trouble partout dans mon esprit. Celle qui me fessait prendre des choix, compliquer, risqué et- peut être ce qui aller me flageller. Je n'avais que les propositions entre mes mains, elle avait les décisions dans les siennes. Tout lui appartenait si elle le voulait. Je n'étais qu'un instrument mal accordé qui voulait répliqué une mélodie dans une autre afin d'augementé le volume. Etait-t'elle capable de s'ouvrir a moi? Je ressemblais certainement a un tyran j'en savais rien, c'était étrange. Elle prit ma main dans un doux éclat de velour « Laisse toi faire ». C'est ce que je fis, j'avais toute confiance en elle, en ce qu'elle était et en ce qu'elle pouvait faire. Elle nous téléporta, je voyais ces microparticules s'envolaient dans tous les sens. C'était quelques chose de plutôt, merveilleux comme-ci nous nous retrouvions dans une constellation inconnus. J'aimais ce sentiment qui voyager en moi. Nous nous retrouvions dans cette endroit qui ressemblait a un rêve absolue, je regardais partout ou mes yeux m'y autorisé a se posé. Je n'avais pas de limite, comme un gamin. C'était absolument paradisiaque de simplicité. Je la regardais et elle comprit que j'étais émerveillé par tout ce qui nous entourer. Son visage était un doux parfum de paradis, telle que cette endroit l'était. Elle avait fait un endroit a l'image de ce qu'elle était.


Sans comprendre ce qui s'était passer je m'étais retrouver assis a ces cotés la fixant éternellement, et les mots sortirent de ma bouche inconsciemment.

- Est-ce que t'y brule pour vraiment commencer ?


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MessageSujet: Re: (-16) Black Smoke Attack   (-16) Black Smoke Attack - Page 2 EmptyDim 5 Sep - 19:15

    (-16) Black Smoke Attack - Page 2 Sanstitre2lc
    La nuit avait passée à une vitesse folle, je m'étais occupé d'Alice quand celle-ci avait décidé de repartir. J'avais accepté a contre coeur, mais si c'était mieux pour elle j'étais bien entendu d'accord. Sydney avait parlé de détail que son pouvoir lui avait montré des choses du passé, la présence de Kasey dans cette villa était effectivement quelques chose de vrai, j'avais eu une relation compliquée avec Sarah. Les femmes, j'avais fais de nombreuse erreurs avec les femmes. C'était sans doute de ce que j'essayais de me racheter. Si la liberté ne s'éteignait ne serait-ce qu'une seconds les murs trembleraient de la vérité noir. Ils étaient tous encore insouciant de ce qui se dérouler, inconscient de ce qu'ils avaient entre leurs mains. La vérité était cachée sous sentinelle, pourtant elle semblait s'échapper comme une volute d'écume mal apprivoiser mise en secret par les doyens. J'avais éduqué ma nièce comme pour qu'elle se fonde dans cette fumé, elle m'avait de nombreuse fois étonné par son intrépidité à aller de l'avant, dans le néant. Les autres n'étaient encore en rien préparer, s'en était même affolant.

    Matthew avait sans doute fait du bon travaille avec Hayden, mais il n'avait pas vraiment préparer Damon. J'avais été sans doute un peu trop vite, un peu trop brute dans ma façon d'agir. Cela ne me ressembler pas vraiment d'agir avec des menaces, mais ma nièce avait mon sang et ces parents avaient voulus que je prenne soin d'elle comme ci elle venait de mes prunelles. C'était le cas en réalité, j'étais attaché a cette petite. L'aube c'était levé sur l'italie, il devait se faire quatre heur du matin quand je du aller chercher Nirvana chez mes parents. En effet je n'avais pas voulu la laisser seule pendant que j'allais chercher Auréa à New York. Nirvana Pandora Phoenix, était une jeune fille qui au fil des mois avait pris une importance étrange dans ma vie. Ces parents étaientt de vieux ami, ils étaient presque de la famille. Son histoire me touchait énormément, elle n'avait plus rien qui la tenait réellement, sa famille et ses proches avaient été les victimes d'un terrible massacre orchestré par Vladimir. Désormer, je la considérais comme une de mes filles que je n'avais jamais eu, je lui fessais passer un entraînement quotidien car elle avait le désire de nous aider dans notre cause. Elle ne parlait pas ce qui s'était passé. Elle ne parlait que vraiment très peu et j'espérais que l'animation qui avait à la maison n'allait pas la terrifié, Hyde, Sydney, Kasey et Auréa. J'espérais qu'elle n'allait pas avoir peur de tous se monde soudain. Je lui avais expliqué que je devais vite partir pour aller chercher ma nièce plus de détail. Je retournais donc la retrouver chez Orio et Stella qui devait encore dormir.

    Sydney était sur le canapé dans un état de pensé, je n'osais pas le sortir de ces pensées bien trop profonde. Nirvana m'avait appelée pour savoir si j'étais bien rentrer de New York, elle n'était pas encore couché a cette heur ci, je lui proposa d'aller la chercher dés maintenant, elle était d'accord. Et puis, ca lui permettrais sûrement de parler avec quelqu'un de son age. Je pris la voiture pour me conduire jusqu'à la seconds villa beaucoup plus petite, elle se trouvait en bord de mer et on pouvait apercevoir que le soleil se lever sur l'eau azure. C'était un spectacle magnifique qui s'offri a moi, dés le matin. Je m'approchais de la villa, voyant une ombre ciselé qui se trouver déjà dehors. C'était celle de Nirvana, les cheveux qui volée aux vents des aurores. Je mis la voiture au point mort en me garrent devant la maison, je l'embrassa en lui demandant si tout c'était bien passé, elle aquisa. Orio et Stella n'était pas encore réveiller vu qu'il était très tôt, je préférais repasser les voir plus tard. On fit le chemin inverse dans le calme en lui expliquant qu'il y allait avoir du mouvement à la maison. Auréa ne me parler plus pour le moment, Sydney était perturbé, Hyde étant beaucoup trop calme.

    Je devais leurs expliquer a tous une vérité, sans trop en dire. J'avertissais Matthew, Vox n'étais pas bien dirigé en se moment, il fallait s'unir et non se déchirer. Et ils devaient tous prendre conscience de se qu'ils étaient réellement ..



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Damon M. Tallis
Damon M. «
    Dust in the wind.

Damon M. «  Dust in the wind.
Damon M. Tallis


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MessageSujet: Re: (-16) Black Smoke Attack   (-16) Black Smoke Attack - Page 2 EmptyMer 8 Sep - 20:45

Blood, tears and gold. Won't make it any better ? I never let you down baby, baby. I never let you down baby, baby and it won't get any better. Blood, tears and gold.


Les relations amoureuses que j’avais pu avoir dans ma vie avaient toutes étaient dotées d’une certaine complexité destructrice, c’est sans doute pour cette raison que les gens me voyaient comme un torturé mais c’était faux. Ce mal en question, je le cherchais. Auréa était la première femme qui avait les vraies possibilités de le voir et c’était assez effrayant en soi pour quelqu’un qui avait manipulé toute sa vie, même ses proches. Quelqu’un comme moi. Je pouvais la voir s’éteindre et se rallumer à l’infini juste pour s’accrocher à ces promesses que je n’avouais jamais mais qui se propageaient à une vitesse folle dans mes veines. J’avais tenté de l’éloigner, de lui faire comprendre que je n’étais pas capable de la rendre heureuse seulement c’était comme si tout ce qui pouvait la faire chuter était secondaire. Elle me donnait ce dont j’avais besoin, j’avalais sa chaleur et la gelait dans le cristal qui habitait mes doigts depuis ce centre. Je me perdais toujours d’avantage en elle, noyant mon identité dans ses iris que je dévorais à chaque fois qu’ils me croisaient. Ensorcelé par ses moindres paroles, une nouvelle drogue. Parfois douloureuse mais cent fois plus divine que toutes celles que j’avais pu toucher au cours de ces dernières années. Ce que je vivais jour après jour avec cette femme était inexplicable, jamais auparavant je n’avais cédé à quelqu’un de cette façon. Jamais je ne m’étais autant ouvert. Son cœur battait dans le mien et le mien battait dans le sien à la même vitesse, avec la même envie, le même amour si spécial, si enviable aux yeux de certaines personnes. Elle me rendait hésitant, elle me faisait vaciller. Ses mains sur moi, ses yeux qui devenaient les miens. Tellement de chose en nous s’emboitait comme des pièces de puzzle avec une facilité insolente… L’évidence de notre lien était flagrante. Elle m’aveuglait à tel point que je l’ai longtemps cru invisible. Je ne savais plus si c’était la peur, je me perdais dans mes propres directions. Mon monde bien organisé s’était écroulé, mes crimes étaient avoués. Elle avait réussi à délier tous ces secrets qui brisaient mes os sous une pression difficilement gérable. Elle m’habitait d’un simple échange de regard, elle rendait mon âme avide d’une attirance contraire, contraire et complémentaire dans tous les sens du terme. A tel point qu’il m’arrivait de ne plus savoir où j’en été. Quelque chose en moi ne cessait de me faire revenir en arrière, quelques mois tout au plus. Je me revoyais sombre, meurtrier, dangereux mais surtout anéanti par cette fille qui m’avait laissé, par cette fille qui m’a fait pleurer durant des jours infernaux. C’est là que la faiblesse est revenue. Je pouvais presque redevenir cet homme, celui qui ne ressentait plus rien envers ce monde menteur, aussi menteur que j’étais capable de l’être mais elle était là. Qui aurait cru qu’une autre femme brûlerait cet insensible cœur à nouveau ? Personne, même pas moi.

Cette fille dont j’ai parlé plus haut a éteint les cercles de feu dans lesquels j’avais l’habitude de vivre. Ces cercles de feu étaient devenus de froides cendres inertes de toute passion, vides de tout sentiment humain, vides de toute particule d’oxygène possible. J’avais rejeté l’idée de retomber dans un piège aussi stupide que la séduction seulement tout ne s’était pas passé comme je l’avais voulu. J’avais d’abord vu une jeune femme perdue, complètement inconsciente de qui elle était, ne sachant même pas à quel passé elle appartenait. Dans mon esprit elle n’était qu’une inconnue de plus, un visage auquel je n’avais pas réellement prêté attention. Au fur et à mesure pourtant, j’ai admiré ce visage en ancrant chaque détail le long de mes phalanges. J’en voulais toujours plus, toujours plus jusqu’à vouloir son âme pour moi seul. Auréa avait en elle un pouvoir d’attraction extrême, elle était consciente que j’étais complètement dépendant de sa chair, de l’odeur de ses cheveux et de sa chaleur lorsqu’elle dormait contre mon torse. La jeune femme perdue était pratiquement devenue la femme de ma vie en l’espace d’un temps incertain, l’étincelle qui lui appartenait avait suffi pour que mon incendie reprenne encore plus fort que celui d’avant. Cette fois, il avait tout ravagé. C’était plus que mon corps, plus fort que ma sexualité, c’était ma vie qui recommençait et je ne m’en été même pas rendu compte. Il n’y avait rien de plus réel que l’amour que je lui portais, rien n’était plus fort que sa main de la mienne, que la dévotion qu’elle m’avait apprise. Ce rapprochement incessant coulait en moi comme une nouvelle loi, son cœur imposait les règles, le mien obéissait. Il n’y avait que mon corps qui restait rebelle. La femme que j’aimais, celle qui me fallait n’était autre qu’Auréa Eden. Que ça leur plaise ou non, la confiance qu’il y avait entre nous remplaçait toutes les futilités habituelles des autres. Ce n’était pas un amour d’aujourd’hui. C’était autre chose, c’était en nous, écrit sur notre peau. Elle était liée à moi et je ne pouvais pas résister contre ça. La colère du monde pouvait bien me brûler les organes, la femme d’or calmait toutes les blessures. Sa patience rendait ma passion plus solide, ceux qui restent malgré le rejet sont ceux qui vous aiment pour de vrai. Le reste n’avait aucune importance, le reste n’était que des images projetées sur un écran aussi noir qu’avait pu l’être mon coeur. Je croyais en la réalité, mon amour me rendait meilleur. J’avais beaucoup de choses à apprendre, certes. Mais ça ne sera pas sans elle.

Nos corps se scellaient lentement l’un à l’autre dans une excitation inaudible. Un frémissement avait sensibilisé ma colonne vertébrale lorsque j’avais senti que ses ongles avaient franchi la surface de ma peau, mes poumons se vidaient à une allure que je ne parvenais même plus à estimer. L’envie de me confondre en elle éteignait ma patience à la lenteur des mouvements que j’effectuais. J’aimais cette liaison qu’il y avait dans nos regards, une alchimie parfaite qui explosait dans les entrailles de nos corps pour nous enflammer d’un désir qui nous nouait l’estomac. Elle avait le contrôle sur ma concentration, même dans les moments les plus intimes qu’on pouvait partager. Je sentais ses lèvres spéculer de mon cou, pendant que mes muscles se compressait de trop attendre. L’humidité de sa langue rafraîchissait l’épiderme de mon corps qui se réchauffait de minute en minute, la rapidité avec laquelle elle me mettait en hors contrôle était intrigante. Perdre mes moyens devant une femme aussi vite n’avait pas été dans mes habitudes, seulement cette femme n’était pas n’importe laquelle. Ma précipitation à vouloir la posséder se calmait lorsque j’avais levé mon visage vers le sien pour la regarder, elle me rendait ma respiration de par son doigt longeant mes lèvres. Je calmais les miens par la même occasion et elle s’était détaché de moi avec une douceur infinie, sa main prenant la mienne pour la remonter au bas de son ventre mince. Des tas de mots défilaient dans mon esprit, des tas d’envies et d’images d’elle avec moi, pour moi. Je l’aimais si fort, c’était indescriptible, à quel point j’avais soif de ce futur avec elle. L’avoir à mes côtés pour le restant de mes jours ? Oui, je le voulais. Si elle m’assurait d’être là, je me sentais prêt à m’engager. Elle avait largement passée les épreuves et mon cœur n’était plus rien sans le rythme du sien. Sans cet amour dont elle semblait inépuisée. J’espérais que ça soit vrai. Qu’elle soit mienne pour la fin de nos vies. J’en été tellement certain. Je ne sais pas comment j’ai pu être si aveugle autant de temps. Elle capturait ma lèvre supérieure dans une morsure dépravée qui m’avait plût et à laquelle j’avais souris. Elle s’éloignait ensuite vers la pièce d’à côté, je la laissais faire, ça me permettait de contrôler l’excitation qui déréglait ma raison tellement vite. Les larmes pouvaient bien brûler, je savais que ce que je ressentais pour elle resterait intact à jamais, au-delà de tout ce que j’avais pu vivre jusqu’ici. Les erreurs que j’avais commises avec les femmes avaient au moins la prétention de m’avoir appris à jouer à ce genre de divertissements érotiques et provocants. Auréa était une bonne joueuse, je savais que je ne me lasserais jamais de ses mains fouillant chaque parcelle de mon corps ou bien même de sa langue désireuse de commander la mienne. Faire l’amour était une chose plaisante, faire l’amour en aimant l’était dix fois plus. Après quelques minutes, je la rejoignais enfin, je ne parlais pas, je la fixais simplement en imaginant nos corps emmêlés dans un attachement corporel exaltant. Elle revenait à moi en s’appropriant mes yeux une nouvelle fois, avec un certain air de provocation. Ma ceinture avait cédé sous ses doigts pour finir par m’être enlevée. Les battements cardiaques se perdaient dans ma poitrine, l’excitation faisait surchauffait mes parties inférieures, elle enclenchait le procésus avec une sérénité trompeuse.

« Je ne peux pas te détesté de me faire vivre. »

C’était ce qu’elle avait déclaré en me poussant doucement vers la douche, l’eau embrasée s’attaquait à ma peau la rendant soumise à un paroxysme doloriste étrangement enivrant. Son sourire enjoué m’avait fait revenir à elle sans même qu’elle ne dise un seul mot. Ses lèvres absorbaient les miennes avec une voracité dont je n’étais pas rassasié. La vitesse à laquelle nos cœurs se soulevaient me donnait des vertiges, elle avait déboutonné mon slim sans difficulté. Mon torse s’agitait d’impatience quand elle le faisait légèrement glisser. Ses hanches furent miennes à nouveau, avant que ma violence ne la remette contre le mur qui commençait à se décorer de minuscules gouttes d’eau transparentes. Je ne craignais pas la chaleur, plus depuis qu’elle m’avait regardé. L’ardeur de nos langues s’intensifiait sous les brûlures de nos peaux tremblantes. J’aimais la caresser de cette façon, aspirer son souffle pour lui donner le mien. J’étais certain que nos corps ne pouvaient pas tenir l’un sans l’autre, que nos veines étaient reliées et que notre sang déboulait avec la même vitesse dans nos artères empreintes à la sauvagerie momentanée de nos relations intimes. Je réduisais à néant les dernières attaches en tissu de son corps en faisant glisser son boxer, elle me suivait dans mes gestes en enlevant ce qu’il me restait. Je l’aidais quelques secondes car le tissu s’accrochait à mes os, ce qui m’avait fait rire et elle aussi d’ailleurs. Ma main longeait sa cuisse pour la remettre en hauteur, les sons haletants de ses souffles la rendaient irrésistible à mes yeux. Je remontais toujours plus haut pour venir par caresser son dos brûlant. L’agrafe de son soutien-gorge se déliait sous les doigts de ma main droite, elle le retira pendant qu’elle s’accrochait à moi pour se fixer de la bonne façon. Je n'avais pas pu m'empêcher de lui dire qu'elle me faisait penser à un panda, ce qui nous avait fait éclater de rire pendant quelques minutes. Je l’embrassais une nouvelle fois, infiltrant mes doigts à travers ses cheveux trempés, je la rendais de plus en plus proche, cédant bientôt au désir de me glisser en elle. Ses lèvres me susurraient la réciprocité de nos caprices. Je descendais mes baisers jusqu’à son cou ruisselant, en m’infiltrant en elle graduellement, ma respiration augmentait en vitesse en sentant ses jambes se resseraient encore plus fort. Je commençais doucement en continuant de faire jouer mes lèvres jusqu’à ce qu’elles avalent encore les siennes. Dans ma poitrine, la machination de ma vie se déchaînait à battre contre mes muscles, chauffant mon sang agité par le désir qu’Auréa m’injectait à chaque fois qu’elle me laissait entrer en elle, bouger en elle. J’étais paralysé dans la pression des membranes de mon corps, dans la rigidité de mon bassin à s’enfoncer dans sa chair et à trouver en elle une source de plaisir charnel inestimable. Contenir les sons de ma voix était devenu impossible, je ne savais pas décrire l’intensité de mes émotions autrement que par des sonorités téméraires. Des spasmes secouaient mon ventre et je tentais de contrôler cette envie de crier. Elle me mettait en overdose, la fusion qu’elle me faisait vivre me faisait perdre le contrôle de mon être. Il n’y avait plus de limite d’excitation car les limites n’existaient plus lorsque j’avais décidé de l’aimer.

Ses pupilles s’agrandissaient sûrement autant que les miennes, ses respirations étaient toujours victimes d’un tremblement indescriptible et ses mains se tatouaient sur mon corps alors que ses ongles laissaient leur trace à quelques centimètres de mon échine. J’aspirais à la rendre folle de débordement divin, je voulais me noyer dans l’illégalité des corps, elle dépassait largement toutes les expériences que j’avais pu avoir. C’est son amour et sa dévotion qui rendait le sexe différent, c’est tout ce qu’elle incarnait qui commandaient mes mouvements à devenir de plus en plus vifs, elle m’embrassait dans un excès de plaisir, je la mordais au creux du cou qui m’était familier à présent mais dont j’avais toujours faim. Ralentir avait été hors de mes idées, je voulais lui donner toute la satisfaction du monde, lui faire fermer les yeux et lui faire toucher les étoiles fébrilement écrasée par un bonheur corporel indistinct. La toucher, me nourrir d’elle, faire d’elle ma peau, l’éteindre dans un effort privé, au rythme de mon bassin contre le sien, dans le sien. Les frottements de nos corps abîmaient nos os mais ça ne faisait qu’attiser l’envie d’atteindre ce point. Celui de toutes les sensations réunies, celui où la douleur fait naître la perfection. La nôtre. Les mouvements de ses hanches me faisaient prendre un rythme régulier, nos êtres éclataient en un million de morceaux. Lorsque je fermais les yeux, je pouvais voir les flammes les consumer, ça brillait si fortement sous mes paupières. Plus fort que le soleil. Une chaleur délirante s’était emparée de tout mon corps tandis que l’eau brûlée coulait toujours avec une douleur excitante le long de nous. J’aimais entendre son plaisir, j’aimais ses souffles violents contre ma peau. J’étais toujours en elle, accélérant les va et viens de mon intimité dans la sienne qui se contractait fébrilement, un court instant j’avais peur de ne plus être approvisionné en oxygène. Mon intérieur me faisait penser à de la dynamite subtilement placée pour me faire exploser en fulgurance. L’odeur dans laquelle je me perdais faisait naître des idées déplacées, des idées qu’on ne disait pas en société car cela ne se faisait pas et pourtant j’allais le faire, pour faire tomber ma pression. Je voulais garder un minimum de contrôle en lui faisant perdre totalement le sien. Je calmais mes impulsions en diminuant la vélocité qui l’avait troublée, mes mains lâchaient ses cuisses avec lenteur en faisant glisser son dos contre le carrelage froid du mur. Elles remontaient le long de ses hanches, arrivant à sa poitrine, mes gestes se faisaient sans que je ne détache mon regard du sien qui cherchait à s’enfoncer en moi. Je prenais son cou entre mes mains en capturant ses lèvres encore, avec furtivité. Ce qu’elle me faisait partager était unique, mes émotions étaient complètement chamboulées et emmêlées les une dans les autres. Pour une fois je pensais plus à elle qu’à moi-même, je me détachais d’elle intérieurement et extérieurement pour descendre le long de son tronc, passant par son ventre, mordant la peau de ses hanches à d’autres moments. Je touchais la douceur de sa peau en laissant mes empreintes le long de ses cuisses, j’étais à genoux face à elle. Pour la première fois. C’était toujours une sensation étrange pour moi de m’abaisser de cette façon et surtout par volonté, je levais la tête vers son visage trempé. Elle était toujours haletante de tout ce qu’on avait pu ressentir. Je voyais de l’incompréhension dans ses yeux, une certaine appréhension face au comportement que je lui montrais. Elle me repoussait légèrement par les épaules mais je lui disais d’arrêter, si je faisais ça c’était parce que j’avais compris que la soumission n’avait pas d’importance si on s’aimait vraiment, je voulais qu’elle sache que je n'en avais plus rien à faire. Je déposais mes lèvres au bas de son ventre une nouvelle fois, l’embrassant tendrement en essayant d’effacer l’incompréhension qui était en elle. Je ne voulais pas qu’elle ait peur et si elle me repoussait encore une fois, je n’irais pas plus loin que l’endroit où j’étais déjà mais si ce n’était que des mots alors je le ferais.

- Si je le fais par moi-même, pourquoi tu résistes ?
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MessageSujet: Re: (-16) Black Smoke Attack   (-16) Black Smoke Attack - Page 2 EmptyJeu 9 Sep - 23:22

Cela faisait quelques mois à présent que les paysages de l’Italie étaient devenus ma seule vision. La couleur dorée des champs de blés me réchauffait le cœur et j’aimais sentir les rayons matinaux du soleil danser sur ma peau. Au final, vivre ailleurs qu’à Néapolis n’était pas si déplaisant mais un manque persistait en moi. Comme tout le monde, j’avais mes endroits et j’avais un peu le mal du pays quelques fois. J’étais consciente de la chance que j’avais, consciente aussi de la gentillesse d’Aaron à m’héberger en sa demeure et à m’entraîner pour devenir une bonne personne. Sans lui, je serai certainement perdue, incapable de penser à une quelconque solution. C’était un homme fantastique et une part de moi était dépendante de lui. Comme une fille l’est de son père, comme je l’avais été avec le mien… Seulement aujourd’hui, il était là-haut, avec ma mère et ce depuis qu’on me les avait arraché. Lorsque j’avais trop peur du vide, il m’arrivait de sortir dehors lorsque la nuit était tombée et de lever les yeux au ciel, simplement pour les rechercher dans les étoiles. C’était sûrement enfantin mais ça me rassurait de me dire qu’ils ne me quittaient pas, qu’ils étaient là quoi qu’il arrive. J’avais confiance en Aaron et les paroles de mes parents à son sujet ne faisaient que valider cette confiance que je lui donnais. Au fur et à mesure, j’avais vu naître une certaine complicité entre Aaron et moi. Il était la seule personne que j’avais et je ne savais même pas encore comment j’allais lui rendre la pareille. Il m’apprenait à tuer mes douleurs avec un entraînement physique. J’oubliais le carnage que j’avais vu, j’oubliais en renforçant et je savais que cet entraînement me serait utile dans le futur. Les secrets de mes parents, la raison de leur mort, toutes les réponses que j’avais désirées m’avaient été confiées par Aaron en personne. La décision de rejoindre ce pourquoi il se battait m’avait traversé l’esprit, si je pouvais éviter de faire vivre mon histoire à d’autres, j’étais capable de suivre même le plus poussé des entraînements. La stupidité de cet homme qu’il avait appelé Vladimir m’avait mise hors de moi, ça avait été difficile d’apprendre qu’un seul homme pouvait causé autant de souffrance pour du vent.



En ce moment, j’étais chez Orio et Stella, les parents d’Aaron. Il m’avait prévenu qu’il devait aller à New York pour récupérer sa nièce au plus vite, il m’avait donc déposé chez eux, pour que ne pas me laisser seule d’après lui. La maison de ses parents était sur la côte, j’aimais la beauté des lieux. J’essayais d’estimer à sa juste valeur chaque endroit où j’avais pu aller, Syracuse y compris. La famille Eden était de nature chaleureuse et pouvoir avoir leur gentillesse était pour moi un grand honneur. Je me sentais mal à l’aise par moment de profiter de tout ce qu’ils m’apportaient simplement car je vivais une période difficile. Je ne voulais pas déranger et m’imposer n’était pas dans mes habitudes pourtant Aaron me répétait toujours que ça ne le dérangeait pas, je n’avais donc plus insisté. Mon insomnie persistait encore à me tenir éveillée, voyant le soleil se lever lentement j’avais décidé de prendre une douche et de m’habiller d’un simple short en jean’s et d’un t-shirt de couleur gris clair couvert d’un gilet fin. Les vents matinaux étaient d’une douceur inégalable et leur tiédeur effaçait un peu ma fatigue. J’avais appelé Aaron juste avant de sortir dehors pour lui demander si son retour s’était bien passé. Heureusement je savais qu’il était réveillé, j’avais compris qu’il était quelqu’un de très matinal, je n’avais donc pas hésité à l’appeler. Au cours de notre conversation téléphonique, il m’avait demandé si je voulais qu’il vienne me récupérer et je n’avais pas protesté, au contraire, j’avais hâte de voir la jeune femme dont il m’avait souvent parlé. Sa nièce, Auréa. Je n’avais pris que quelques affaires pour aller chez Orio et Stella, le reste était chez Aaron. Faire mes bagages ne m’avait pris que quelques petites minutes, histoire de tout fourrer dans mes deux sacs. Un quart d’heure à peine s’était écoulé avant que je ne vois la voiture se garer. Avant de monter il m’avait demandé si tout s’était bien passé, je lui avais répondu par un hochement de tête et j’entrais enfin. Il m’expliqua que la maison était en période de mouvement, je ne savais pas exactement pourquoi mais cela ne me dérangeait pas. Peut-être que ça allait me faire du bien, peut-être que je me sentirais un peu mieux.



Le reste du chemin s’était fait dans le calme, ce n’était pas que je n’appréciais pas discuter avec Aaron ni même l’écouter, c’était simplement que ces derniers temps parler était devenu quelque chose d’assez difficile. Sans doute car ma tête était trop remplie. Il garait la voiture dans l’allée, j’en profitais pour en sortir discrètement. On entrait dans la maison encore silencieuse à cette heure-ci, je me dirigeais directement vers ma chambre pour y déposer mes affaires, en passant par le couloir j’entendais des bruits étranges venir de la chambre d’à côté, ça ressemblait à des gémissements féminins. L’étonnement m’avait poussé à entrer rapidement dans ma chambre. J’y déposais mes bagages et allais dans le salon pour avertir Aaron que j’allais à la terrasse. Un jeune homme était assis dans le canapé, il avait l’air pensif. Par politesse, je le saluais discrètement d’un geste de la main, chose à laquelle il me répondit. Ensuite je m’étais les écouteurs dans mes oreilles et je m’allongeais dans un transat en regardant le soleil se lever. La musique m’avait toujours vidé la tête de façon efficace. Depuis que j’avais quitté la Grèce, j’avais la désagréable sensation d’être une inconnue. D’être la fille muette de sa propre histoire par peur de se faire tuer par celle-ci, je n’avais pas des envies suicidaires, encore moins l’envie de stagner indéfiniment dans ce mal être mais la solitude me terrorisait et mon insomnie venait de cette crainte que j’avais à fermer les yeux. Lorsque je les fermais, je revoyais un feu immense ravagé la maison dans laquelle j’avais grandi, la maison que mes parents avaient bâtie après des années assez difficiles parfois. Je voyais une voiture arrivée de loin, pour finalement se garer prés de celle d’Aaron. Un homme de la quarantaine descendit le premier, suivi d’un jeune homme. Je les regardais quelques instants, pour finir par retourner au panorama du ciel. C’était sûrement des gens pour Aaron.
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Auréa Eden

Sunburn
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MessageSujet: Re: (-16) Black Smoke Attack   (-16) Black Smoke Attack - Page 2 EmptySam 11 Sep - 16:17

(-16) Black Smoke Attack - Page 2 Sanstitre1tq
*va se faire taper mais je l'aime cette image éé *


▬ Ma vie n'était qu'un résidu qui s'était lié au fil du temps à la sienne, tisé dans ces yeux. Même dans les plus grand doute, ceux de l'incertitude fané son coeur avait susurré que les brides de souvenir mort reviendrais. Son rire qui m'habillait comme personne ne pouvait l'imaginait. Ce simple chuchotement m'avait guérie de tout, l'attente, l'incertitude, la peur. Ce manque qui n'avait qu'une seul réponse, Damon. Le fait qu'il soit si sombre a des instants le rendait dramatiquement séduisent d'une beauté indomptable à mes yeux. Le mystère de nos sentiments magnétisaient chacune de mes pensées envers lui. Charle Beaudelaire a dit «  il y a dans l'acte de l'amour une grande ressemblance avec une opération chirurgicale »  Celui-ci avait définitivement raison. Ouvrir son coeur, dans une totalité clairvoyante sans peur, avec toute la confiance qui pouvait s'envoler entre deux êtres c'était comme une opération chirurgicale vitale, on est anesthésié sous nos sentiments, nos douleurs nous paraisse insurmontable alors qu'en faite, c'est une question de confiance. Tout mes actes parlaient pour moi, c'était l'histoire d'un battement de coeur qui s'envole dans ma poitrine pour un autre coeur peint d'ecchymose bleuté, celui de Damon. Parfois il était certain qu'il ne l'avait pas pris ce battement de coeur en piano mais pour moi il était définitivement l'homme qui était fait pour moi, avec tout autour qui pouvait s'assombrir, ca m'était égale. Lui, personne d'autre. Certain pouvait voir comme une chimère inviolable, mais pour moi c'était une réalité brûlante. Quelques chose de sur et d'unique. Il restait toujours ce point d'interrogation, cet être nébuleux . Je voulais vivre quelques par sur le voile de son échine et qu'on mi laisse y vivre jusqu'à ce que je m'éteigne. J'essayais d'être la plus patiente possible, j'essayais d'être là pour lui, a chaque fois. Entre nous ce n'était pas qu'une passion, beaucoup d'autre chose étaient né de la compréhension, un certain respect des valeurs qu'on avait l'un pour l'autre. Une complicité. Je m'étais contentais de vivre le jour le jour sans pensé au future, sans pensé au passer juste a l'instant présent, quand à lui, il ressassait le passer qui n'était plus. J'aurais aimée qu'il m'accorde un instant pour apercevoir un nous. Qu'il partage ses envies, bien que Damon était certes parfois refermé sur lui-même, j'étais persuadé qu'en trouvant les mots ou gestes adaptent il délirait sa voix. J'étais a ce quelques chose qu'il me transportais en lui, j'avais besoin de l'écouter.

Mon corps gravité sous son impatience qui ne fessait que composer la mienne. Les membres se resserraient dans l'étau de mes envies, le mur me tenait mon corps qui lui ne tenait plus. J'étais beaucoup trop agitée, fiévreuse de l'avoir plus proche toujours plus prés. Le fait d'être coller au carrelages me calmait pour quelques seconds, juste avant qu'il décide de remonté le long de ma colonne vertébrale tracent des contours que je ne connaissais même pas. Il fessait cédé d'une main mon soutien-gorge que je jettais plus loin pour me raccroché à lui de la bonne façon. Ma peau touché la sienne, j'étais tellement dépendante de se contacte que sa pouvait en être effrayant. Il me disait que je ressemblais a un panda, on avait rit, son rire était tellement doux et tendre. Effectivement, je m'accrochais à lui comme ci je m'accrochais a un dernier souffle de vie. J'adorais cette complicité qui était présente entre nous. On essayait de maîtriser nos rires et pour cela ses lèvres se mirent a enclencher des jeux avec la mienne. L'excellence d'un paradis qu'il m'accordait gratuitement. Ce n'était pas conséquence, une addiction c'était développée a un rictus frénétique. Étrangement on avait eu plus de se facilité a se découvrir de corps, a se fouillé qu'a s'embrasser, sous les battements de la pluie j'avais vite compris que s'il m'embrassait une première fois il prenait un risque, celui que je ne sache plus jamais m'en arrêter. Et ca pouvait bien lui déplaire pour une première, j'étais volontaire pour me damné a recommencer bien que je pense que ca lui est plus sa m'autorisait tout de même a recommencer. Encore et encore, l'échange de notre amour ce fessait là. J'aimais les mouvements, les gestes qui valaient sans doute les mots du silences. L'eau qui me fessait que rendre que tout cela beaucoup plus attrayant, comme la première fois ou on avait eu ce contacte. J'avais dans la bouche un goût d'immortalité qui frôlait ma langue et qui s'amusait avec la sienne. Un plaisir incompréhensible se saisis de moi, jamais les baisers d'un homme ne m'avait autant capturé. J'étais comme prisonnière de nos jeux, ma respiration s'emballer et il le sentait que j'en étais totalement déstabilisé. Ses mains c'étaient glissées dans mes cheveux et les miennes étaient sur son visage mouillé, mon nez frolant le sien ma langues devenait carrément incontrôlable de tout le désire que je lui portait, j'intensifiais chaque chaque mouvement ne lui demandant pas l'autorisation puis mes yeux se posèrent dans les siens pendant quelques seconds quand il descendait ces baisers le long de mon cou me laissent des suçons en marque de passage.

J'avais relevé la tête laissent un souffle s'échappe, mon ventre palpité sous ces doigts dansant sur mes hanches, ma poitrine venait a s'emporter quand il venait s'immiscer en moi. Il était tendre dans ces premiers mouvements, j'avais cette impression de retrouver ma virginité et qu'il me la retirait a nouveau tellement a chaque fois qu'on fessait l'amour tout était différent, son souffle était aussi brûlant que le mien. J'étais désirée plus que toutes les femmes quand il me regardait en voulant partager ces moments avec moi. Ces lèvres retrouvèrent leurs chemin jusqu'aux miennes, j'épousais sa mâchoire perdant mon aire, je tressaillais sous la pression de l'adversité qu'il imposait dans ces mouvements. Son étreinte se fit de plus en plus forte, je sentais son bassin qui c'était affermi, il maîtrisait ces membres et je le laissais faire profitant de l'amour qu'il m'apportait jamais je n'avais imaginé que tant d'amour qui se dissiper dans nos pupilles pouvaient fusionné ensemble, crée le début et la fin de notre monde. Je frissonnais de l'avoir en moi, il crée un nouveau paradoxe emmenant mes souffles avec lui, mon visage était contre le sien. Je ne me sentais plus sur la terre ferme, j'étais quelques par avec lui. Damon fouillé mon âme et je sentais qu'il en avait conscience. Je lui accordais de la boire si telle était son envie, si elle lui satisfaisait réellement. Je ne perdais aucun de ses gestes lancinant et répétitives me fessent frôler le paradis . Je n'avais attendu que lui toute ma vie, c'était certain, rien de ce que je n'avais vécus avant avec un autre homme avait de lien avec ce que je vivais actuellement. Non ce n'était pas parce que j'étais aveuglé par ce qu'il se passait, c'était la réalité même détachée de mes sentiments et s'il fallait l'attendre encore, j'y étais prête. J'avais le coeur au bord des yeux, mon âme c'était envolé de mon corps s'étant infiltré dans la sienne. Elles fleuretaient loin des regards indiscret. Il me possédait dans une délicieuse grammaire de corps. Je les capturais pour les retenir, pour qu'ils savourent autant que je les appréciés. Des sons s'éclataient dans l'air, les miens, les siens, les nôtres qui se confondaient. Dans ces yeux je pouvais le voir, aucun homme ne pouvait mentir dans les yeux d'un hommes qui s'instruit du corps d'une femme. Hérésie se cachait sous mes veines sentant l'envoûtement gagnant les parcelles de ces lèvres aux teints de vin . Mes mains s'accrochaient a ces os, je me brûlais sous ces yeux, il semblait dans le même état que moi. Il fallait qu'il le sente que je pourrais mourir pour avoir son souffle rien qu'a moi. Bon bassin ne cessait de se sur-élever avec insolence. L'incoercible s'emplissait dans l'écho de mon corps s'emportait sur son rythme. Ces deux sphères abyssale me fixée dans un halètement transparent, mes ongles s'enfoncèrent sans doute un peu trop profondément, mes jambes se resserraient avec un automatisme dérangeant. La réalité ? Je n'étais rien sans son regard qui me bercé dans une flagrance meurtrière. Il esquissa le moindre de mes arrondies en me fixant droit dans les yeux, c'était vraiment déstabilisent et tellement accrocheur. Ses dents s'attaquaient a mon cou, ce qui ne fessait s'accentuait les sentiments qui c'était développé en moi comme un virus, celui du reflet de l'amour que je lui portais d'un désire inexplicable, d'une osmoses que je pensais irréelle et pourtant. Son corps portait le mien, semblant compléter le mien. Si j'avais besoin d'une partie pour me compléter c'était Damon. Il accéléraient ces mouvements et c'était pour mon plus grand des plaisirs même si j'avais cette sensation que j'étais en train de me tué contre lui, je le voulais encore plus. Ces yeux sortant presque de leurs orbites, je flottais à la surface de mon corps, les sentiments se perdaient tellement l'overdose de nos corps ne valait rien de mieux. Mon ventricule droit c'était enflammé et mon intimité était brûlé. Il me donnait tout, il me donnait son corps, son coeur a moi. Je voulais être la parfaite gardienne de ces dons même en emportent rien vraiment. Oui, tout ce que Damon me donnait il était maître de le reprendre quand il le voulait. Mes gémissement étaient accrocher aux siens et je ne pouvais rien contrôler. Il était en moi, le plus loin ou il pouvait aller. Mes poumons se relachérent, mes membres étaient tirées dans tout les sens, on était a se moment qui nous fessait tellement du bien et tellement mal à la fois. Je me sentais tellement vivante grâce a lui, mes sens jouissaient dans sa volupté céleste. Il était entrer en moi avait pris ses aises et il ne cessait d'attiser mon corps. Je voulais qu'il m'empare pour toujours aux creux de son coeur, qu'il me laisse vivre en lui a l'en consumé. Je frissonnais de vivre, de rien emporter aux vents.


Damon s'était moqué des kilométres qui nous avait séparé, c'était la plus belle chose qu'il pouvait m'offrir. Me rejoindre et me serrer contre lui. Je suivais ces mouvements, qu'il continuait je m'attisais encore un peu plus contre lui bien qu'on c'était presque tué l'un contre l'autre en espace de quelques minutes a peine. On ne faiblirait pas temps que l'un de nous y croyais encore. Mes os s'éteignirent comme une poudre qui voulait s'envoler. On se calmais progressivement, par étape il ralentissait ces va et vient qui nous avait fait céder. Ces pupilles étaient toujours ancré dans les miennes, nos souffle encore mêlés, il me déposait en douceur sur le sol. Il embrassait mon cou, j'essayais par tout les moyens de me calmer, c'était assez compliquer étant donnée que ce qu'il me fessait vivre était quelque que chose que même les divinités avaient du mal a saisire puise qu'elle était pure, une osmose parfaite avec l'homme dont je suis amoureuse. Je sentais son odeur qui était sur moi, ces cheveux en glissant mes phalanges entre ceux-ci. Il s'extrayait de mon intimité, je voulais pas qu'il reparte loin. Quand il avait décider de descendre le long de mon corps, il mordait ma peau. Je ne comprenais pas bien ce qu'il fessait la et a chaque contacte je frissonnais sous l'eau brûlante qui nous tué encore, ce qui fessait m'exciter encore. Il était a genou face à moi, sa m'avait retourné en quelques seconds l'estomac. Je voulais pas qu'il soit a terre. Je poussais par l'épaule, je voulais pas qu'il face se genre de chose or que ce n'était pas lui. Il disait qu'il fessait ça c'était parce qu'il avait compris que la soumission n'avait pas d'importance si s'aimait vraiment. Je pensais qu'il avait raison. Ca n'avait pas d'importance, quand on aimait vraiment il essayait de me le prouver par ces gestes a lui. En plus, ca me gêner qu'il me donne du plaisirs sans que je ne puisse lui en donner en même temps  Si je le fais par moi-même, pourquoi tu résistes ? Damon effaçait toute trace de mot d'un regard avec une facilité ahurissante en écoutant ma nouvelle religion qui s'éclate dans mes poumons. Terrassent la peur de mes muscles créant une candeur sur ma peau, à tel point que j'accepterais bien qu'il oublie mon nom, juste pour le mouvement de ses lippes. Je me laissais tombé progressivement dos au mur puis j'éteignais le robinet d'eau et je le regardais, sans un mot. Je crayonnais ces lèvres rebondis du bout des doigts sans le toucher réellement, je l'effleurais juste sa peau d'argent. C'était absolument hallucinent la façon dont il m'hypnotisait d'un simple regard. D'un simple magnétisme qui se propageait dans l'air. Ces phalanges venaient s'attacher aux miennes, je m'approchais pour me fondre dans son cou, pour me blottir contre son torse, sentir son coeur courir contre son thorax. Il s'était relâché et il m'avait pris dans ces bras. Je te résiste pas Damon, je veux pas que tu change ce que tu es pour me faire plaisirs. Reste comme tu es. On m'aurait chuchoté lors que notre rencontre, que sans lui ma vie n'aurait été qu'un écho cherchant inlassablement l'écho de sa voix, je ne l'aurai pas crue. C'était arrivé, je sentais ces bras se resserraient. La sécurité qui émanait de son souffle me rendait lisse de toutes crainte pouvant exister. Il prit mon visage entre ces mains Je me serai pas abaisser si je le voulais pas


On entandait plus que le sons des gouttes d'eau glissent contre notre peau. Son autre main redescendait dans mon intimité sans que j'émette d'objection. Je me perdais juste dans ces yeux, puis en fixant ces lèvres pour les touchaient dans une suavité eurythmique. Si moi je lui avais fait penser a un panda, lui allait me faire pensé a un chat je me privais pas pour lui dire et on éclatait de rire. Je me relevais mielleusement en essayant de contrôlais mon rire, je voulais être a sa parfaite hauteur. Je me nourrissais progressivement de son odeur, lui laissent les traces de mon amour sur son corps. Je l'embrassais, le long du torse, dans la nuque pour revenir sur la saveur fruité de ces lèvres. Ces phalanges s'amusaient en frottement envoûtant , avant de me relever je lui infligeais des caresses répétitives, le long de sa virilité, l'embrassent plus brusquement. Ces membres se contractaient, sa langue se perdait contre la mienne qui l'écrasait dans une savoureuse compétition qui nous brûler les entrailles. Je mordillais de bas de ces lèvres en emmenant un léger soupir de plaisirs. Un sourire se traçait sur son visage en entendent se soupir d'exaltation, il continuait et mon bassin créent les mouvement inverse qu'il fessait. Je remontais le long du mur en cessant de le caressait, il recommençait a embrasser mon ventre. J'entrouvrais légèrement mes cuisses qu'il savourait immédiatement. Ces lèvres aspiraient ma peau laissent derrière lui une marque rouge. Il me regardait, certainement pour voir si je n'avais pas peur de ce qui allait me faire. C'était quelques chose que j'aimais, vraiment, j'avais eu cette réticence car Damon c'était mis a genou et sa ne lui ressemblait pas. Il allait entendre que mes souffles, j'étais assez timide sur ce fait. Ces lèvres remontaient affectueusement jusqu'à mon intimité, s'amusent a faire fondre des désires. Les miens, pour moi. L'une de ces mains venait se poser sur mon ventre pendent que l'autre venait tenir ma hanche droite, je capturais lentement celle qui se trouvait sur mon ventre la serrant contre mon ventre, mon autre main se tenait au mur. Mon bassin l'emenais vers mon endroit se droguée aux trajectoires de sa langue, lui imposent un rythmes, cherchant a le guidé. L'incompréhension ne m'arrêter pas, je continuais et il me donnait un plaisirs chaleureux de lippes. Une association de passion qui me tué intérieurement une nouvelle fois. J'étais excité sous son abreuvement, la vraie soumission était la. Il savourait de plus en plus rapidement et mon bassin en devenait souverain. Je n'arrivais pas a retenir les sons de ma gorge tellement c'était exquis. Damon appelait la violence de mon corps sans pudeur, juste avec son affection que je ne voulais pas qu'il arrête. Sans étiques mes gémissements étaient de plus en plus fort, en parfaite accord avec ce qu'il me fessait. Ma tête s'était relevée vers le plafond, mes jambes cédaient sous nos mouvements, un sentiment extase, encore, toujours. Ma dextre ne pouvait plus se tenir au mur, elle s'était glisser dans les cheveux de Damon qui s'appliquer me délivrant d'un mal, je le sentais en moi avec une impertinence astrale. Je souriais aux anges, Damon recherchait en moi une doctrine intouchable celle qui était quelques par en moi et qui fessait que je n'irais nul par sans lui, comme une âme stérile.

Damon remontait en embrassent sa poitrine jusqu'à poser son front contre le mien, pour finir par me fixé. Je l'enlaçais fébrilement, il m'avait manqué bien plus j'avais pu l'admettre. J'aimais cet homme plus que n'importe qui ne pourrait le faire, c'était comme ça que je le sentais. Ma main se déposa contre son coeur, j'entendais l'infini éclaté. Il me rapprochait contre lui en réactivant l'eau, je le serrais au plus proche de moi trouvant une ligne de constellation brillante servant a défendre son âme, définitivement je ne pouvais pas me lasser de l'admirer. Son ventre était compressé, je m'apprêtait a descendre le long de son corps quand celui-ci me resserra en me demandant de rester contre lui alors je touchais à sa virilité affermie en le massent afin de lui donner du plaisir, allant un peu partout. Je regardais son souffle se changeais, ces lèvres s'entre-ouvrir, des sons sortir de sa bouche. Il émanait d'une nitescence splendeur, je continuais les vas et vient de main plus rapidement pendant plusieurs minutes. Durant lequel il prit le gèle douche poser sur la tablette, puis il en imbibé mon corps en caressant celui-ci avec une douceur inestimable. J'étais tombée dans le néant de son spectre pour m'efforcer de le rendre opaque, laissent mes mots se casser sur sa peau froide de ma chaleur. Sa main glissait dans mes cheveux pendant que nos corps s'enlassaient. L'éclatement de son plaisir me fit frissonné, quand il vint m'embrasser tendrement. Je savais que ce moment était unique et qu'il resterait graver dans ma mémoire. Les mots sortaient enfin de ma bouche, je lui confiais que lorsqu'il était revenu de Russie, ca avait tout changer. Je m'étais promis que je ne laisserais plus jamais quelqu'un cette force de me détruire de l'intérieur c'est pour sa que je ne voulais pas lui céder mon corps, je voulais pas donner l'occasion qu'on m'abandonne une nouvelle fois. Je m'étais réfugier sans savoir pourquoi dans sa chambre et je m'étais changé parce que j'avais passer mon temps sous la pluie, a essayer de comprendre qui j'étais. J'avais mis un t shirt à lui, son odeur y était imbibé et quand il sait mis a terre, c'est là que j'avais ouvert les yeux dans le reflet des sien que dans sa peau aussi froide qu'un vent d'hiver, j'avais trouver une chaleur des plus importante. Celle qui rendait mes pulsations cardiaque qui s'unissait qu'aux siennes, il liait ces lèvres aux miennes en me resserrent plus fort encore. Le gel c'était transformé en mousse et on se caressait pour se laver. Je lui en mettais plein les cheveux et sur son visage en rigolant et il fit de même pour se venger. Je me retournais et il me resserra contre lui se mettant contre le mur, je n'allais pas partir et il me mettait plein de mousse sur corps, il descendait ces embrassades le long de mon cou. Nos étreintes étaient sans doute les plus fortes que je n'avais jamais ressentie, je me sentais si bien quand j'étais entourer de ces bras. Quand je secouais la mousse qui était dans mes cheveux, il en avait partout, on avait eu un fou rire. Je lui demandais combien de temps il avait passer dans l'avion, il me répondit qu'il avait passé six heurs. Je lui promettais donc un massage en récompense du trajet qu'il avait effectué avant qu'il se repose, après que je me serais sécher les cheveux, je rajoutais qu'il était en forme pour quelqu'un qui n'avait pas dormi depuis longtemps avec le décalage horaire. La fatigue était intérieur, il devait certainement lutter pour rester debout, après tous les efforts qu'on avait fait il devait être épuisé. Je mettais l'eau beaucoup plus forte pour qu'on puisse se rincer, le shampoing coulé le long de nos corps, je prennais le paumeau de douche lui en mettant plein partout. Il essayait de me le saisir mais je me laissais pas faire, Damon chatouilla mon ventre pour que je le lâche. Il l'avait en main et j'étais trop petite pour lui reprendre, il me dit d'un air sérieux qui fallait pas s'amusait avec ça. Ca me fessait rire, la manière dont il l'avait dit en me souriant et en le dirigeant vers moi.

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MessageSujet: Re: (-16) Black Smoke Attack   (-16) Black Smoke Attack - Page 2 EmptySam 11 Sep - 20:45

La réalité explosive qu’on m’avait mise sous les yeux m’avait fait comprendre que Damon, mon fils aîné avait grandi par ses propres moyens, se mêlant sûrement à des abominations de tout genre. Une part de moi savait qu’il n’avait plus aucune innocence mais je ne le voyais pas comme ces juges qui faisaient de lui un criminel recherché. C’était au dessus de mes forces de considérer mon propre fils comme un moins que rien car je savais qu’il était loin d’être ce qu’il pouvait montrer et si je devais en vouloir à quelqu’un, ce n’était qu’à moi-même. Tout s’était éclairé à New York lorsque la vérité sur sa sœur avait éclatée en morceaux de verre brisé. Il était allongé dans ce lit, avec cet air de mort au visage qui semblait s’ancrer de minute en minute. Son teint blafard en disait long sur la dépendance qui le rongeait depuis quelques années à présent. J’avais vu mon fils usé par la drogue, usé par la perte de tout ce qui l’avait durant son enfance et le début de son adolescence. C’était un remord qui se répétait en écho, une culpabilité qui refusait de penser que j’avais réussi. Cela avait été un échec et j’arrivais avec des années de retard. J’arrivais trop tard. Mon autorité sur Damon était un néant, tout ce que j’avais pu lui dire n’était que de la poussière qu’il oubliait à une vitesse inconsidérée. Le jeune adolescent que j’avais laissé seul à sa propre charge était aujourd’hui un homme. Un homme qui avait des erreurs certes mais un homme qui ouvrait enfin les yeux.

Il m’avait demandé de quitter la maison dans laquelle il était, me disant qu’il avait besoin de se retrouver, qu’il n’était plus apte à supporter la présence de qui que ce soit. Pour la première fois de ma vie, je l’avais écouté. J’avais répondu à ses besoins, il avait besoin d’être seul avec son âme, récupérer sa raison et éteindre la folie du danger qui m’avait toujours inquiété malgré mon manque à l’appel. J’avais essayé de me rattraper sur l’éducation de mon second fils, Hayden. J’avais refusé de faire la même erreur avec lui et une certaine complicité avait toujours été entre nous, c’était grâce à lui que j’avais découvert le bonheur d’être père. Il m’avait fait connaître la fierté qu’on pouvait ressentir lorsque votre propre chair réussissait à concrétiser le début de sa vie, du moins dans l’ordre des choses. J’étais fier de mes deux fils, mais d’une façon différente. Complètement opposées. L’intelligence d’Hayden était impressionnante, celle de Damon de même mais c’était une autre forme d’intelligence, plus sauvage. Toujours à la recherche d’une certaine liberté qu’il envisageait comme sa propre utopie. Hayden contrairement à son frère était réfléchi, je savais qu’il avait conscience de ses pouvoirs, son éducation avait été basée sur la compréhension de ceux-ci, sans trop en dire et inconsciemment, il avait compris que tout était lié. Il savait plus de chose qu’on ne pouvait le croire.

L’impulsivité de Damon l’empêchait de comprendre les capacités énormes qu’il possédait. Il ne prenait pas conscience qu’il était lié à tout ceci par le sang, ça coulait en lui comme une source de savoir exceptionnelle. Une source qui était rendue invisible à cause de ce voile d’obscurité qui rendait son parcours plus rude. Le temps résolvait tout les problèmes, j’avais confiance en la solidité de Vox Mytra, notre cause avait souvent suscité de nombreux problèmes et personne n’a dit que prendre une telle responsabilité était facile. Il fallait simplement qu’on croit en toutes ces choses qui rendait nos familles soudées, qui rendait notre force immuable. Je n’avais pas aimé laisser Damon livré à lui-même, encore moins le fait qu’il nous ait rejeté de la sorte alors que tout ce qu’on désirait n’était que son bien. La haine avait trop dégorgé de lui, il était impossible que sa raison l’éclaire vu qu’il l’avait clairement rendue au silence. Je l’avais bien compris et il était inutile que j’insiste. Je m’étais donc rendu dans une autre résidence que je possédais dans la ville de New York, Hayden ne comprenait pas et je lui avais simplement dit que ça n’en valait pas la peine pour le moment. Heather quand à elle, n’était pas inquiète pour le moins du monde. Elle me disait que tout finirai bien, qu’il était en train de prendre conscience de son comportement et elle avait eu raison.

Quelques jours après notre départ de chez Damon, il m’avait écrit un e-mail m’expliquant dedans tout ce qu’il ressentait, il avait couché ça sur des lignes et la tournure de ses mots m’avaient touché. Sa sincérité était flagrante et il baissait les armes, nous avions ensuite garder contact et c’est de cette façon que notre lien s’était réparé. Avec des mots tapés sur un clavier. La vérité avait été dite, les anciennes blessures exorciser. Il avait ouvert le chemin, mis au point sur de nouvelles bases. Le passé retournait à sa place. Il m’avait averti de ses problèmes avec l’héroïne, de sa criminalité repentie et de la nièce d’Aaron. Il semblait l’aimer, d’un amour sincère. Il fallait être aveugle pour ne pas le comprendre même derrière un écran. Je n’avais jamais eu l’occasion de rencontrer cette jeune femme mais si mon fils l’aimer de cet amour là, c’était qu’elle devait être assez exceptionnelle. Le soulagement m’habitait de renouer le contact avec mon fils après des années de silence. Ce n’était pas du direct mais le fait qu’il m’en parle d’une façon ou d’une autre me prouvait qu’il comprenait aujourd’hui mieux que jamais. Sûrement grâce à cette femme, selon Damon, ça avait été une sorte de révélation.

Il m’expliqua par la suite qu’il comptait se rendre en Italie pour aller la retrouver car il ne supportait pas son absence. Je savais qu’Aaron lui avait pourtant interdit mais ça ne semblait pas lui faire peur et je n’avais rien fait pour le retenir. S’il l’aimait que pouvais-je faire ? L’attacher ? Il aurait délier ses liens, j’en été persuadé. Je savais que tout ce qui touchait à l’association en ce moment était dans le désordre le plus complet. Il faut dire que les jeunes étaient en période de trouble et je n’étais pas assez présent pour soutenir Aaron. Tout s’éloignait, ce n’était pas bon signe et j’étais conscient qu’il fallait remédier à tout cela au plus vite, Aaron m’avait contacté plusieurs fois pour me prévenir que ça ne pouvait plus durer. Il m’expliqua la situation de la façon la plus détaillée possible et j’en conclu vite que nous avions trop laissé les questions s’installaient. Il fallait qu’on trouve le moyen de calmer leur questionnement incessant et pour cela il fallait savoir introduire le début de la vérité de la bonne façon. J’informais Heather et Hayden de toute l’agitation dans laquelle on était et j’avais pris Heather à part pour lui parler de Vox plus en profondeur, elle m’avait toujours soutenu mais n’avait jamais voulu se mêler à tout ceci. Je ne l’avais forcé d’ailleurs. Après plusieurs conversations, nous avions décidés de quitter New York pour Syracuse. Il était temps qu’Aaron et moi mettons certaines choses au clair. A l’heure qu’il est, Damon devait sûrement être en Italie en compagnie d’Auréa.

Nous sommes arrivés en Italie très tôt dans la matinée, il était dans les environs de 5h30 du matin lorsque nous nous sommes garés dans l’allée d’Aaron. J’étais déjà venu plusieurs fois ici mais jamais avec ma femme et mes fils en même temps. Une jeune fille était à la terrasse, allongée dans un transat’, ça devait être sûrement Nirvana. Aaron m’avait parlé d’elle au téléphone, j’avais très bien connu son père, qui était un excellent collègue d’ailleurs. Vladimir avait encore ruiné une famille… Lorsque je pensais que j’avais considéré cet homme comme un ami auparavant, ça m’en donnait presque la nausée. J’entrais dans la villa, suivi d’Hayden et d’Heather. Aaron était dans le salon en compagnie d’un jeune homme, le fils de Kurt ? Il avait quelque chose en sa manière d’être qui me rappelait Kurt, c’était autour de lui. Je ressens quelque chose d’étrange en voyant cet homme, j’avais la sensation de revoir mon ami. Je saluais Aaron dans une accolade amical pour ensuite me présenter face à ce jeune homme en question. C’était bien lui, Sydney. C’était étonnant à quel point les traits de son père se perdaient en lui. Après les retrouvailles, je décidais de discuter avec Aaron en privé. Nous nous dirigions vers le couloir lorsqu’on entendait des bruits venant de la chambre… Je comprenais vite ce qu’il se passait en voyant le visage d’Aaron se décomposait. Mon fils était là-dedans, c’était une certitude.

- Aaron… Je pense qu’elle est pas toute seule. Je crois même que c’est mon fils. Tu sais, on s’est parlé. Je pense le comprendre et je dois te dire que mon fils est vraiment amoureux d’elle… Il me parle de se reprendre, de tenter de racheter ses erreurs. J’ai l’impression qu’elle lui donne une raison d’avancer. On peut pas les empêcher de s’aimer… Je pense qu’au fond de toi tu le sais, tu as juste terriblement peur pour elle. C’est comme ta fille mais qu’est-ce que tu pense qu’il se passera si on les sépare ?
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MessageSujet: Re: (-16) Black Smoke Attack   (-16) Black Smoke Attack - Page 2 EmptyVen 17 Sep - 0:41

    La tyrannie de mes mouvements s'assemblaient dans un silence de liquéfaction proscrit. Nous étions arrivé à la villa, Nirvana et moi. Je la laissais reprendre ses aises comme ci elle était proprement dit, chez elle. Je voulais qu'elle ressente cette sérénité qui envahissait ces murs, celui d'une protection, celle d'une attache. Une attache est toujours quelques chose de particulier, chaque être humain que l'on veuille ou non, en a. Une seule chose peut nous empêcher de l'avoué, cette chose c'est la fierté d'une âme abîmée. Je savais que dés que l'aube se serait levé un peu plus j'allais devoir affronté le regard en colère de ma nièce. Auréa éduqué dans le savoir de la radiance de ces gestes et de ces paroles pouvaient produire. Je savais clairement qu'après ce temps de repos, elle avait clairement réfléchie a comment appuyer sur les points sensible. La subtilité des Cole, quelques chose d'insaisissable et de têtu qu'il lui venait tout droit de sa très chére mère. Milo manquait à la maison, lorsqu'ils étaient plus petit et que Auréa venait passée l'été, elle participait aux entraînements de Milo. On lui avait bien entendu mentie en lui dissent que c'était pour faire partie de la milice, comme j'en avais partie. Elle était aussi forte que Milo sur certain point. Je lui avais appris à jamais se laisser faire, même face a aux hommes. C'était une enfant a différente facette, adolescente je l'avais vu se transformer en femme mais toujours avec cette par de simplicité qui lui était reconnaissable.


    Je n'aimais pas les endroit clos et pourtant je mis enfermé volonté pour y réfléchir. J'avais les dossiers qui me brûlait les mains, tellement de chose tombé en cendre face à ces secrets qui s'arrachaient à la vérité propre. Mon regard c'était perdu vers la fenêtre voyant une voiture se garer dans l'aller de la villa. Trois silhouettes en descendaient et je les reconnaissais c'était celles des membres de la famille Tallis. Je retournais au salon avant de remettre sous clé les documents. Sydney me demanda ce qui se passer et qui était les personnes accompagné d'Hayden. Je lui répondis que c'était les parents d'Hayden et de Damon. Il avait l'air potentiellement anesthésié de stupéfaction. Matthew Tallis se dirigeait vers moi et j'accueillis nos hôtes les bras grands ouvert. Sydney regardait ce qu'il se passait en silence quand je leurs souhaitais la bienvenue et qu'il devait impérativement faire comme chez eux dans cette demeure. Matthew insita pour qu'on aille un peut plus loin, et on se retrouvait dans le couloir opposé au salon. On entendait des voix feutrées, des cries provenant de la chambre de ma nièce. J'étais énervé en colère mon estomac se retournais dans ce qui pouvait être mon corps et pourtant aucun geste aucune paroles de sortait. Je ne voulais pas faire quelques chose de stupide, quelques chose qu'on m'en voudrait a jamais d'avoir fait.



    - Aaron… Je pense qu’elle est pas toute seule. Je crois même que c’est mon fils. Tu sais, on s’est parlé. Je pense le comprendre et je dois te dire que mon fils est vraiment amoureux d’elle… Il me parle de se reprendre, de tenter de racheter ses erreurs. J’ai l’impression qu’elle lui donne une raison d’avancer. On peut pas les empêcher de s’aimer… Je pense qu’au fond de toi tu le sais, tu as juste terriblement peur pour elle. C’est comme ta fille mais qu’est-ce que tu pense qu’il se passera si on les sépare ?

    J'entandais les sons d'une célébration de chair qui s'effectuait à l'arrière cette porte, une jouissance de métal qui était composé d'une voix masculine accompagné par les voiles féminin. C'était la chambre de ma nièce, impossible que sa soit Sydney qui soit dans cette chambre, impossible qu'elle soit avec Hyde. Il ne restait plus que Damon. Je lui avais interdit de s'approché d'elle et visiblement il ne m'avait pas écouté. Il était clairement impossible que je passe cette porte, ma nervosité protectrice me fessait me sentir mal et atrocement en colère. Auréa était pure avant son arrivé dans sa vie et voici qu'elle s'adonnait a des jeux de corps, c'était certainement pour ça qu'il était là pour lui volé son corps. Bien sur qu'elle n'était clairement pas seule. Mon visage avait clairement changé de colère laissent apparaître une pâleur tranchante. Je laissais Matthew parlait avant de savoir maîtriser ma paralysie. J'entendais ses mots, je les comprenais. Le fait de faire preuve de clémence était quelques chose que j'avais appris, mais ce n'était pas s'en accord. C'était quelques chose qui se gagné par la volonté. Il n'était pas une question d'union, d'être pour ou contre mais une question de méfiance. Je ne pouvais pas laisser ma nièce à n'importe quel homme. La peur, oui la peur qu'elle souffre, d'un danger beaucoup trop présent pour elle. Visiblement les séparés ne serviraient à rien, l'un reviendra vers l'autres, comme durant leurs enfances. Peut-être que ce n'était pas quelques chose qui pouvait se contrôlé, la pillule avait du mal a passer et je fessais passé Matthew un peu plus loin dans le couloir pour évité d'entendre les cries de plaisirs qui été bien prononcé.

    - Matthew, tu te rend bien compte que ce sont nos enfants qui sont là? J'ai conscience qu'on peut pas les empêcher de s'aimer, mais oui j'ai peur. Auréa a été vraiment très fragile a un moment, je veux vraiment pas que ça recommence. Oui, je pourrais lui accordé ma clémence juste parce qu'elle me regarde plus depuis que je l'ai emmener ici. J'ai besoin de ta parole, accorde la moi et je lui accorderais une chance dit moi franchement si ton fils est en phase de se reprendre?
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Damon M. Tallis
Damon M. «
    Dust in the wind.

Damon M. «  Dust in the wind.
Damon M. Tallis


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MessageSujet: Re: (-16) Black Smoke Attack   (-16) Black Smoke Attack - Page 2 EmptySam 2 Oct - 0:48

    J’avais l’envie secrète de posséder l’entièreté de ce qu’elle était. La moindre de ses émanations, de ses envies et le moindre de ses spasmes. Je voulais révéler les sons que sa pudeur l‘empêchait de livrer. Le fait qu’elle ne veuille pas tout me montrer, tout me donner et qu’elle m’arrête avant l’éclatement me poussait à aller chercher l’intouchable de par moi-même, ça tournait comme une nouvelle obsession en moi. Un fantasme qui ne me quittait jamais et qui m’excitait encore et encore jusqu’à l’éreintement de ma propre respiration. Le paradoxe que je lui mettais sous les yeux était peut-être troublant, sans doute incompréhensible lorsqu’on me connaissait mais j’avais tellement envie d’entendre la profondeur de ses sens se disperser en échos. Mon ouïe avait besoin de ses gémissements satinés, de ses souffles corrompus par le plaisir qu’on partageait. Je laissais mon corps se remplir d’un subtil venin étudié pour me faire convulser de la plus sensuelle des façons. Les sons d’un autre requiem sonnaient dans mon sang, faisant éclaté mon cœur d’un bonheur assassin et doucereux jusqu’à l’extase de mes perceptions corporelles. A chaque fois que nos corps s’étaient mêlés l’un dans l’autre, je savourais ce plaisir intense qui brûlait mes muscles d’une chaleur indescriptible littéralement parlant. La contraction de mes membres ne faisait que confirmer toute la puissance de ce qu’elle m’offrait d’un simple mouvement, avec ses lèvres que je ne pouvais jamais m’empêcher de dévorer, le désir au bout de la langue. Je voulais vraiment lui accorder cette sensation d’exaltation, je voulais sentir son envie dans sa façon de bouger. Etre spectateur des sensations que j’étais capable de verser en elle, une part de moi ne désirait que ça. Je la voyais se laisser glisser contre le mur trempé en coupant l’eau qui nous avait enflammés. Je ne saisissais pas exactement la raison de son acte mais je la laissais faire, lorsqu’elle me regardait de cette façon, j’avais l’impression qu’elle caressait mon âme. Elle apaisait l’autodestruction qui avait toujours cette obligation indescriptible à revenir en moi. J’avais trouvé un nouveau chemin en lui donnant mon corps, pour qu’elle y trouve mon cœur ensuite. J’avais souffert auparavant de sa capacité à voir au-delà de mes mensonges, une colère envahissante avait rendu mon cœur souffrant d’un cannibalisme lent et meurtrier. Toutes ces contusions me semblaient tellement loin lorsqu’elle me faisait sentir la jouissance de nos corps aveuglés par le pêché originel. Je pouvais sentir le magnétisme du bout de ses doigts ensorcelé mes lèvres, personne auparavant ne m’avait regardé de façon aussi envoûtante, personne jusqu’à ce jour. Sa peau se soudait une nouvelle fois à la mienne lorsqu’elle venait se blottir contre mon torse. L’état dans lequel elle était capable de mettre mon cœur était une provocation que j’avais laissé se dissoudre sous ma fierté mais cela n’empêchait pas que c’était un fait. Mes bras entouraient son corps dans une douce étreinte, je profitais de son odeur, de la saveur que sa peau apportait à mes doigts sous influence d’étranges amphétamines.

    - Je te résiste pas Damon, je veux pas que tu change ce que tu es pour me faire plaisirs. Reste comme tu es.
    - Je me serai pas abaisser si je le voulais pas.

    Son visage, l’endroit où ma libération se dessinait doucement sous mes lèvres, était entre mes mains. Tout au long de ma vie, j’avais ressenti ce manque de sécurité s’exiler en moi. Sa terre était l’endroit où je pouvais dormir sans avoir peur de ce demain, mes mains tremblaient de cette sensation de calme, de sûreté. C’était étrange pour moi d’avoir enfin un abri, quelque part où calmer mes peurs même si je ne les disais pas. Je ne sentais plus ces contusions battre de douleur sur mon cœur, j’avais besoin d’elle. L’état de faiblesse se nichait au creux de mon estomac, j’avais peur de montrer cette adynamie et pourtant elle avait les clés de mon moi intérieur entre les mains, avec cet air d’innocence qui la rendait plus que délicieuse, qui la rendait intouchable même si je m’étais plusieurs fois perdu en elle comme un voleur, aspirant tout ce qu’elle était, tout ce qui la rendait réelle de peur qu’un autre que moi le fasse. Les sentiments qui faisaient de moi un pauvre écorché étaient pourtant pour d’autres yeux que les siens, une autre femme qui avait cette capacité involontaire à faire de moi son esclave. Une fascination terrible pour laquelle j’aurais pu donner mon sang, j’aurais pu couper mes veines simplement pour qu’elle m’adresse un regard. Ces sentiments me détruisaient mais j’en avais besoin, comme mes poumons avaient besoin d’air même si la jalousie m’enchaînait la voix. Je sentais les mailles de fer se serraient encore et encore autour de cet organe que je haïssais tant. Mon sang ruisselait sur la ferraille, vivre sans ? Je ne sais pas si j’en été capable. Et pourtant j’avais vécu sans elle, avec les morceaux d’un cœur qu’elle avait défiguré comme seuls souvenirs. Bien sûr j’ai cru mourir sous le poids de son absence mais je n’ai jamais cessé de respirer. Les premiers mois ont été atroces. J’étais seul, jusqu’à ce qu’Auréa me prenne la main. Elle savait que j’étais en morceaux malgré mes performances à jouer ce rôle, elle savait que ce n’était pas moi sans même que je ne lui prononce mon passé. Il m’aspirait, il me vidait de tout ce qu’il y avait en moi. Ses yeux répétaient la scène où j’avais compris qu’elle était partie, j’avais tellement de haine en moi, tellement de peur et de regrets en ce qui concernait cette partie de mon histoire que je ne réussissais même pas en parler sans sentir mon cœur remonter jusqu’à ma gorge, laissant les larmes derrière mes yeux irrités avec l’envie de vomir tellement je me sentais vulnérable. Je m’étais juré que plus jamais je ne laisserais quelqu’un me rendre poussière, plus personne n’allait m’asphyxier. Elle m’avait volé mon âme certes mais Auréa est la cause de la naissance d’une nouvelle, plus pure. Plus sincère. Un recommencement. Je devais simplement avoir le cran de tourner cette foutue page qui me tenait éveillé lorsque le soleil s’éteignait. Je me faisais du mal, je nous faisais du mal mais je voulais qu’elle sache qu’elle était la clé, la pièce manquante. La réunification de tout ce qu’une autre avait brisé en me laissant à moitié mort sous des rêves brisés. Respirer à ses côtés prenait tout son sens, mes pas se traçaient vers une direction où le brouillard se dissipait au fur et à mesure. Les échos de sa voix se faisaient de plus en plus clairs, graduellement j’assimilais ses mots qui courraient en moi comme des enfants innocents, avec un avenir devant eux, quelque chose à construire. Alors pourquoi je sentais encore les lettres de ce prénom se marquer au fer chaud sur mon cœur ? Maxim. Cinq lettres. Des regrets, de la jalousie, de la colère, de la déception mais de l’amour sous la noirceur. Un amour presque transparent aujourd’hui. C’est sans doute ça le plus difficile ; savoir que cet amour s’envole loin pour quelqu’un d’autre sans doute, que les promesses n’étaient que des illusions auxquelles j’ai cru naïvement, que c’était fini et qu’elle emportait les restes de ce nous qu’elle m’avait arraché si fortement qu’aujourd’hui encore, je n’en été pas remis. Il y avait trop eu d’amour en moi pour cette femme, trop d’amour qu’on ne m’a pas laissé le temps d’offrir mais comment pourrais-je l’offrir à une autre ? Je savais aujourd’hui quel chemin était le plus sûr, quel chemin je désirais réellement au fond mais le doute des sentiments hurlait en moi comme un condamné. Je n’avais pas le choix et pourtant il était déjà fait. Était-ce normal de penser à ces choses en ce moment même ? Non, bien sûr que non. Pourtant je le faisais, encore essoufflé par l’intensité de mes sensations, de mes sens qui s’affolaient à tout rompre.

    La brillance de ses pupilles se perdait encore dans mes yeux sous emprise, me fixant sans arrêt. Comportement qui honorait la réunification de nos âmes par une voie qu’aucun autre ne pouvait percevoir, ni même imaginer. Elle me disait le plus naturellement du monde que je lui faisais penser à un chat. Son rire avait balayé toutes les tortures dévorantes, tous les doutes que je n’avais pas encore osé lui avouer. Son rire était le mien, faisait naître le mien en quelques secondes à peine alors qu’auparavant j’avais tellement eu de mal à comprendre ce son. Je crois même que j’en avais oublié la signification, j’avais l’impression d’être un ignorant, un élève. Le sien. Elle m’apprenait la vie, les simplicités et les valeurs qui dépassent toutes les superficialités dans lesquelles trop de personnes tombent. Tout était plus doux à vivre lorsque son odeur s’ancrait sur mon corps, la sentir, c’est tout ce que je voulais. J’avais laissé une de mes mains reprendre les caresses que j’avais abandonnées dans sa féminité tandis que ses lèvres traçaient un chemin le long de mon torse. Mes doigts glissaient en elle en sentant les sentiments qu’elle m’infligeait s’amplifier, elle était remonté jusqu’à ma nuque pour finir par unir nos lèvres une nouvelle fois, ses mains étreignaient mes parties intimes. C’était toujours la même envie de la dévorer qui étirait mes muscles avec tout le désir du monde. Je devenais dépendant des mouvements de sa langue sur la mienne. Elle mordait ma lèvre inférieure en laissant son oxygène s’échapper dans une sonorité qui m’avait fait sourire. Ses hanches se déplaçaient en fonction des glissements que mes doigts effectuaient depuis quelques minutes déjà. Je me laissais croire que je ne vivrais jamais quelque chose d’aussi intense dans ma vie, savoir si c’était la vérité ou non ne m’intéressait pas réellement, j’aspirais au plaisir de sa peau. Complètement défoncé aux réactions de mes sensations. Je sentais son corps se relever, mes lèvres devenaient presque incontrôlables et se perdirent à nouveau contre la surface de son ventre extatique. J’étais le genre de personne qui parvenait à oublier lors de ce genre de rapport sans penser à l’après, tout ça n’avait pas d’importance directement mais indirectement je savais pertinemment que tout ne tenait qu’à ce fil sur lequel je marchais en équilibre. A tout moment, la chute pouvait venir tout anéantir. Les muscles de ses cuisses s’écartaient en me laissant le passage libre d’accès, je descendais encore d’avantage pour couvrir celles-ci de mes lèvres affamées et Auréa m’avait laissé faire cependant un doute résonnait encore. Je levais les yeux vers elle, ce que je voyais ne ressemblait pas à ce que je redoutais. L’assurance de mes gestes remplissaient mes envies et je commençais à perdre mes propres lèvres dans ce coffre de désirs inavoués, je voulais les extraire de sa voix. Imaginer ses sons ne me suffisaient plus, je voulais qu’ils suscitent mon excitation à lui donner les dernières forces qu’il me restait. En embrassant l’endroit où sa féminité explosait, je positionnais mes mains doucement, sans violence apparente. Je sentais une de ses mains se posait sur celle que j’avais placé sur son ventre pendant que ma langue se satisfaisait de plaisirs malsains mais au-delà de ce que l’excitation avait comme définition. Le mouvement de ses hanches pouvaient bien me faire céder à toutes les soumissions que l’Homme était capable d’inventer, tant qu’elle continuait à me faire halluciner par ses oscillations divines et libertines. Je sentais son humidification hydraté ma langue qui ne cessait d’effectuer les mêmes mouvements depuis quelques minutes déjà, leur vitesse augmentait au instant où mes muscles se contractaient plus fortement et j’entendais ses soupirs envahir la pièce d’une chaleur dévastatrice. Son exultation montait d’octave en octave, toujours plus fortes et plus farouches. Mon cœur explosait littéralement dans ma poitrine devenue martyr de mes envies instinctives et de l’attirance insatiable que j’avais pour nos rapports sexuels. Ses plaintes d’extase résonnaient dans mon esprit qui ne faisait que préciser d’avantage mon application à lui faire dépasser ses propres limites. Je me jouais de la démonstration de ses sens qui se noyaient dans une excitation certainement aussi folle que la mienne et la main qui l’avait aidé à tenir se perdait à présent dans mes cheveux. Son plaisir était le mien et ses gémissements interprétaient les miens pour le moment contrôlés. Ma mise à genoux ne valait rien par rapport à toutes les sensations qu’elle faisait circuler dans mon sang comme un remède ésotérique. J’étais amoureux d’elle. Je calmais les caresses que ma langue infligeait aux parois de son intimité et terminait mon acte en l’embrassant naïvement aux cuisses, aux hanches. Remontant lentement jusqu’à sa poitrine encore vacillante, j’aimais tellement la troubler, c’était inimaginable à quel point je la désirais par moment.

    Mon front se mettait contre le sien et elle m’enlaçait, je lui rendais son étreinte en sentant la fatigue arrivée inévitablement. Sa main se figeait sur l’endroit où mon cœur résidait en tentant vainement de se calmer, c’était ce genre d’échange qui m’enveloppait de l’amour qu’on construisait au fur et à mesure des pas qu’on avait laissé derrière nous. De la tendresse à l’état pur, la douceur que j’avais rarement possédé auparavant, cette chose indéfinissable qui m’avait manqué durant tout ce temps. Je ne voulais plus qu’on me l’arrache au nom d’un danger qui n’était pas présent, ce n’était pas juste et ça me faisait plus de mal que de bien. Elle avait en tête l’idée de descendre mais je l’avais retenu car je me sentais trop bien pour la sentir ailleurs, j’aimais qu’elle soit contre mon cœur, qu’elle entende à quel point il ne vivait que pour elle. Elle insistait alors d’une différente manière en amadouant ma virilité par ses caresses magistrales. Mes battements cardiaques reprenaient le rythme qui m’avait heurté il y a de ça quelques minutes et une chaleur absorbait mon corps de seconde en seconde. Mes souffles étaient pressés de se laisser mourir du plaisir qui prenait de plus en plus de terrain en moi, j’entrais dans une transe physique intense à tel point que j’avais peur que mon corps ne tienne plus. J’essayais de retenir ce moment le plus longtemps possible, j’avais pris le gel douche qui était situé juste à côté et en mettait sur elle en caressant son corps qui me fascinait tellement. J’aimais son contact même si j’avais toujours été réticent à ce que l’on me touche, c’était comme si je récupérais tout ce que je n’ai pas pris durant les années où j’avais joué mon rôle. Mes doigts traversaient ses cheveux en s’accrochant à ceux-ci lorsque j’avais touché la satisfaction de tous ces gestes qui nous avait rendu dépendant de nos intimités magnifiquement fondues l’une dans l’autre. J’avais fermé les yeux en prenant conscience de la profondeur de l’extase qu’elle m’avait offerte et mes cordes vocales ne s’étaient pas retenues de le lui faire entendre. C’était unique le lien qu’on avait réussi à créer, encore plus unique lorsqu’on savait qu’on était complètement contraires l’un à l’autre et pourtant ça n’empêchait rien à ce que l’on ressentait, justement j’avais l’impression que les choses s’intensifiaient de souffrir d’un trop plein d’amour qu’on a appris à canaliser à force de trébucher dans ces descentes. Ma respiration s’apaisait sur ses lèvres que je faisais miennes à nouveau, cela faisait longtemps que je ne m’étais pas montré aussi tendre avec une femme et j’arrivais à m’étonner moi-même de ce qu’il se passait. Ensuite elle m’expliquait comment elle avait ressenti les choses lorsque j’étais rentré chez moi, elle m’avait donné les raisons des rejets qu’elle m’avait fait ressentir et je comprends ses paroles car lorsqu’elle parlait, je l’écoutais. La façon dont elle parlait de ce que j’étais capable de lui offrir sans m’en rendre compte faisait frissonner mon cœur, en le secouant étrangement. Je la resserrais encore un peu plus fort contre moi en l’embrassant inlassablement. Auréa était une personne assez tactile et c’était aussi la seule personne avec laquelle je m’étais autant laissé faire, chacune de ses caresses contre mon corps avait son importance propre et j’espérais que les miennes soient aussi importantes pour elle. On s'était amusé quelques instants avec la mousse qui était un peu partout autour de nous jusqu’à ce que je mette contre le mur, lorsqu’elle s’était retourné je l’avais serré contre moi une nouvelle fois et je pensais que c’était mon instinct qui tentait de la garder auprès de moi encore et encore… Je ne le faisais même pas exprès. Au-delà d’être la femme avec qui j’avais des rapports, tant sentimentaux qu’intimes. C’était une amie, qui me faisait rire, avec qui je pouvais parler des heures durant sans m’ennuyer réellement. Je ne sais pas réellement comment on avait bâti cela mais c’était là, partout. C’était presque devenu une nécessité à mon moral même si je savais que j’étais capable de vivre seul, avec pour seul remède la solitude. Elle m’avait demandé combien de temps j’avais passé en vol et je lui avais répondu. Après ma réponse, elle m’annonça que j’avais le droit à un massage. L’idée me plaisait, en fait à qui elle n’aurait pas plût ? Elle ajouta que j’étais en forme pour quelqu’un qui n’avait pas encore dormi en plus du décalage, je lui avais simplement répondu par un sourire. La pression de l’eau avait été plus forte, ce qui nous permettait de rincer toute la mousse qui s’était imprégnait sur nos corps. Auréa semblait apprécier m’arroser avec le jet d’eau vu qu’elle m’en mettait absolument partout. Je la chatouillais pour reprendre le pommeau, qu’elle avait finalement lâché et que j’avais directement levé en l’air pour ne pas qu’elle l’attrape, elle était trop petite pour l’atteindre et je m’étais retenu de rire en lui disant qu’on ne jouait pas avec des choses pareilles. J’enlevais le reste de mousse qu’il restait sur son corps puis je sortais de la douche en lui tendant ses serviettes et en prenant les miennes. J’aimais la faire rire même si je ne savais pas exactement pourquoi elle riait. Sa joie de vivre était assez communicative… Et sincèrement ça me faisait du bien d’oublier le noir par moment. Il allait revenir c’était certain, mais ça n’avait toujours regardé que moi.

    On se séchait le corps assez rapidement et j’enroulais la serviette autour de ma taille pour sécher mes cheveux, je disais à Auréa qu’on devait faire plus souvent des douches ensemble en riant. Mais je le penser vraiment, pas simplement pour faire l’amour mais simplement pour partager des moments aussi intimes que celui-là. J’aimais les choses personnelles, les choses qu’on ne faisait qu’avec une personne bien précise. Les filles que j’avais aimées avaient toutes quelque chose d’indescriptible qui me faisait aller à la confidence de mon propre moi. Maxim apparut dans mon esprit une nouvelle fois en ne cessant de me rappeler les moments ressemblant à celui-ci, pourquoi est-ce qu’elle était encore là ? Pourquoi je n’arrivais pas à trouver la rancune à ce qu’elle m’avait fait ? En me reprenant, je tentais de l’effacer de mes pensées. C’était fini. Une fois que j’étais sec, je mettais mon boxer et allait attendre Auréa en m’allongeant dans son lit. J’essayais de maîtriser mon esprit, regardant les objets qui étaient dans mon champ de vision, j’imaginais les choses qu’Auréa avait pu faire avec, les gens qui étaient entré ici et qui avait laissé leur trace. La fatigue commençait vraiment à s’approprier mon corps mais j’essayais de tenir encore. Après quelques minutes Auréa était revenue en sous-vêtements en s’asseyant sur le lit. Elle me reparlait du massage en souriant, je suivais ses ordres en me couchant sur le ventre pour qu’elle puisse me masser. Elle se mettait sur moi et ses mains longeaient ma colonne vertébrale avec une délicatesse qui me berçait lentement. Je réfléchissais à toutes ces choses que je devais lui dire. Le retour de Maxim, le fait que j’avais rechuté avec l’héroïne… Mes problèmes. Mes mensonges car je me sentais de plus en plus mal à l’aise de savoir qu’elle ne connaissait pas mes troubles, mes vérités. Même si elles dérangeaient, je devais les lui confier. Je décidais d’attendre un peu encore, en tentant de calmer toutes les choses qui se percutaient dans ma tête. Je fermais les yeux et je me laissais aller à ses mains graciles qui parcouraient l’entièreté de mon dos. Je refusais de lui faire du mal mais elle m’avait dit que si je ne lui disais pas ce qui me rongeait et qui me rendait indifférent, ça la blesserai encore plus que si elle saurait la vérité. Cela dit, toutes les annonces que je lui avais faites jusqu’aujourd’hui n’avaient pas été positives mais être droit avec elle était une des choses que je m’étais promis. Je prenais une inspiration et décidais enfin de parler.

    - Hum… Il y a des choses que je dois te dire, des choses sûrement stupides qui n’ont rien à faire ici, en ce moment. Mais un jour je me suis promit d’être toujours sincère avec toi et je n’ai pas envie de te décevoir de cette façon. Il y a un an, j’étais avec une femme. Autre qu’Aleesha. Et cette femme je l’ai aimé tellement fort que je lui ai donné les moyens de me détruire, ce qu’elle a fait. Pensant que les choses seraient mieux ainsi… Son prénom, c’est Maxim. Je l’ai rencontré au centre lorsque j’avais 16 ans et j’étais dingue d’elle. Vraiment… Quand j’étais prêt à m’engager avec elle, elle m’a quitté. Elle est partie loin, sans prévenir qui que ce soit. Quand j’ai compris qu’elle ne reviendrait pas, je me suis senti tellement mal que je suis littéralement tomber pour elle. Je voulais plus ressentir ça pour quelqu’un, je voulais plus qu’on me brise alors j’ai fait semblant d’être bien et j’ai réussi. Sauf que la chose à laquelle je ne voulais pas être confronté est arrivée… Elle est revenue. Je l’ai vu avant de venir ici… Je lui ai dit que je l’aimais encore et je l’aime encore mais il s’est rien passé. Je te promets. Après que je lui ai demandé de partir, j’ai été acheté de l’héroïne et des amphét’s. Le lendemain, je me suis fait un fix.

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Auréa Eden

Sunburn
She burns like the sun.

Auréa Eden


Moi =D
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▬ Armes & Pouvoirs:

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MessageSujet: Re: (-16) Black Smoke Attack   (-16) Black Smoke Attack - Page 2 EmptyDim 3 Oct - 23:07

(-16) Black Smoke Attack - Page 2 Stopcryinh3

La peau, c'était ce qui recouvrait notre âme, notre souffle de vie. La nudité retirer une couche pour arriver là ou nous avions été, j'en étais extrêmement timide et vulnérable d'être nue. Damon sorti le premier de la douche, mes yeux balayèrent la salle de bain sans raison apparente, il me tendis des serviettes que je sassais assez rapidement. Il me confia qu'on devrait faire plus souvent des douches ensemble, sa me fessait du bien de l'entendre dire car il y avait l'espoir d'une prochaine fois. Damon était repartie dans la chambre, je séchais mon corps en mettant de nouveau sous vêtement d'un carmin de satin. Je séchais mes cheveux pendants quelques minutes encore anesthésié de ces moments partagées. C'était peut-être lui moment de lui parler... lui dire que je voulais construire quelques chose avec lui vraiment, oui, pas uniquement qu'a chaque fois qu'on se voie, on est une liaison intime et puis après qu'il se passe quelques chose qui nous sépare à nouveau, sa me fatiguée. Je voulais savoir s'il y avait de la place dans sa vie pour moi et cette boite qui se trouvais sous le lit. Je voulais l'entendre me dire qu'il me voulait dans sa vie pour un moment et pas que seulement pour quelques heurs. Je détestais donnée des noms a ce qui était mais ce qu'on vivait c'était quoi en réalité ? Je voulais pas habité dans une tortueuse fantaisie qui me rendait crédule. L'idéalisation même, me fessait peur, je voulais juste voir les choses tels qu'elle était. Je m'asseyais sur le lit un peu déboussolée par ce que j'allais lui demandais à la fin de se massage. C'était assez stupide, assez naîve est pourtant c'était ce que mon coeur me chuchoté de lui avouer. Mes mains se promenaient sur sa peau, touchant un paradis réel. Mes lèvres se mirent a frôlaient sa nuque en lui chuchotant des secrets inaudibles pendant que sa voix se libéré. Quand quelqu'un vous annonce le fameux, je dois te dire des choses... cela s'annonce en générale plutôt mal. La torpeur ineffable me chatouillait le ventre, j'écoutais... j'écoutais... sans prendre conscience des mots qu'il employait...

- Hum… Il y a des choses que je dois te dire, des choses sûrement stupides qui n’ont rien à faire ici, en ce moment. Mais un jour je me suis promit d’être toujours sincère avec toi et je n’ai pas envie de te décevoir de cette façon. Il y a un an, j’étais avec une femme. Autre qu’Aleesha. Et cette femme je l’ai aimé tellement fort que je lui ai donné les moyens de me détruire, ce qu’elle a fait. Pensant que les choses seraient mieux ainsi… Son prénom, c’est Maxim. Je l’ai rencontré au centre lorsque j’avais 16 ans et j’étais dingue d’elle. Vraiment… Quand j’étais prêt à m’engager avec elle, elle m’a quitté. Elle est partie loin, sans prévenir qui que ce soit. Quand j’ai compris qu’elle ne reviendrait pas, je me suis senti tellement mal que je suis littéralement tomber pour elle. Je voulais plus ressentir ça pour quelqu’un, je voulais plus qu’on me brise alors j’ai fait semblant d’être bien et j’ai réussi. Sauf que la chose à laquelle je ne voulais pas être confronté est arrivée… Elle est revenue. Je l’ai vu avant de venir ici… Je lui ai dit que je l’aimais encore et je l’aime encore mais il s’est rien passé. Je te promets. Après que je lui ai demandé de partir, j’ai été acheté de l’héroïne et des amphét’s. Le lendemain, je me suis fait un fix.



▬ Un corsée venait doucement ce lié à mon bassin remontant le long de ma poitrine, venant comprimer mes organes grinçants doucement sous un orage de sentiment incontrôlable. Ca serrais sous ma peau, ca serrais dans mon coeur suffocant dans mes artères. C'était coupé, c'était tellement froid, il ne serait jamais entièrement à moi comme il l'était pour moi. Je l'aimais trop, j'étais tétanisée a l'idée qu'il puisse s'éteindre, encore. On hurlait dans ma tête, on criait dans chaque cellules de mon corps. Ces hurlements cisaillait mes tympans, l'effroi se propageant avec lenteur le long de ma langue abîmer. Il m'a tue a coup d'amour aux rabais une pitié lisse de tout arbitrage. Moi, femme dramatiquement dépendante de ses charmes ne servant qu'a ses plaisirs libertin dissous de toute attache, je m'étais vendu a cette homme comme une catin sans avoir compris qu'il se n'était pas moi qu'il attendait, c'était une autre, cette fille. Cette conversation était fini, il m'enfermait dans un linceul peint en noir, embaumée de mon espoir. Je ne devais pas resté là, c'était une mauvaise idée de resté dans la même pièces que lui. Je me relevais sans faire même attention si je lui ferais mal ou pas, je saisissais mon portable au passage puis je claquais la porte derrière moi. Il fallait que je sorte et ne plus croisée son regard en faite je ne lui aspirais que la pitié, la pitié qu'il voulait m'offrir de rester à coté de moi pour ne pas que je sois seule encore, j'en voulais pas de ca pitier ce que je voulais c'était qu'il m'aime. Je sortais de se mensonge, de la pièce ou je lui avais offert mon corps, mon coeurs ou tout ce qu'il aurait voulu. Le problème était là, je pouvais tout lui donnée sans attendre un geste en retour. J'entrais dans la salle a manger, j'entendais ces pas me suivre comme il me hantait mon intérieur mes sentiment étaient plus fort que n'importe quoi, il s'était arrêté c'était clairement plus sage pour lui de s'arrêter là. Ma colère était lente, ma colère allait clairement lui arracher sa peau en l'extirpent de l'intérieur s'il s'approchait de trop prés. Je devais sûrement rassurait qu'il ne se soit rien passe, je devais être sûrement me rassurer qu'il lui donne son coeur. Sydney était assis sur un canapé, il attendait apathique que quelques chose se passe, il allait être servie. Je me retrouvais dans la cuisine mes mains tremblaient comme une succubes ayant le bout des doigts gelées. On m'avait certainement plongée les mains dans un bac d'eau glacé pour s'amuser avec celle-ci. Sydney vint me rejoindre, j'étais une idiote marchant sur des sentiments morts. J'avais mal qu'il est repris de la drogue... Je demandais qu'une seule chose qu'on me brûle sur place, le souffle de vie qu'il m'octroyait n'avais plus d'importance s'il ne m'était pas destinée. J'avais posée mes mains sur un verre, mes yeux c'étaient perdu dans la bouteille d'eau, incapable de la saisir comme son coeur, j'étais une incapable. Sydney parlait mais je n'entendais que des echocs de sa voix ne cessait de s'amplifier. Je lui avais dis sèchement de la fermer. J'étais figée le verre dans mes mains, je le serrais tellement fort comme ce qu'il venait de m'annoncer serrez mes organes. Il était revenue, je l'avais fais taire pour ne pas entendre, il m'avait fait l'amour à genoux en voulant une autre voilà on en été. Je haïssais le fait d'avoir ca en moi, le verre se brisait entre mes mains . Mauvaise amante, flamme impure aux courbes cupide de croire qu'il pouvait les vouloir se consument à travers des cieux nébuleux. Les mots qui habitaient mon esprit me rendait cadavérique, voulant hurler, pleurer ce qui était impossible, tout comme lui dire que je l'aimais. Je ne sentais même pas la douleur du verre pénétré dans ma chair qui devait être un jouet spirituelle bien distrayant. J'étais froissée à l'intérieur comme un papier. A chacun de ces ratés, je serai la. Juste a lui tendre la main. Il pourra l'éviter ou la saisir, elle sera la. C'était ce que je m'étais promis en lui laissent accès à ce que j'étais. Ma respiration était douloureuse, j'en voulais même plus de cette respiration qui me fessait tenir debout, je la fessais taire comme dans se silence dans lequel je me cachais depuis quelques temps. Je sentais Sydney me manipuler contre lui mettant ma tête contre son épaule, voyant le vermeille de mon sang coulait le long de me ventre, m'implorant de me calmer. J'y arrivais pas, je l'aimais, l'horizon était en trans de ce casser. Je ne voulais pas être actrice de cette mascarade qui aller nous tuer. Là seule personne que je détestais, c'était moi-même, illusion, coupable de passage éphémère. La galvanisation de mes paupières c'était alignée loin d'ici, tout resté sous la douche. Comme en prison loin de lui, c'était les ténèbres qui m'entouraient. La vérité c'était que mon âme était fêlée sans sa présence. Il me fallait du temps avant d'accepter sa vérité, ces paroles, ce qu'il se passait vraiment.



You don’t want me, no, you don’t need me like I want you, oh like I need you I want you in my life & I need you in my life. You can’t see me, no like I see you I can’t have you, no like you have me & I want you in my life & need you in my life You can’t feel me, no like I feel you I can’t steal you, no like you stole me and I want you in my life & I need you in my life The Pretty Recless – You


Notre histoire était simple ; Ce jour là, la pénombre avait emprisonné le soleil dans une boite mise sous celé, se genre de boîte qu'on enterre sous un arbre au branches fragile, au tronc creusé par le temps par les blessures des autres et cette pénombre avait empêché a cette fille malade de tout de voir le turquoise des yeux de cette homme qui se brûlées d'avoir trop pleuré. Il fermait les yeux, et cette fille maladroite en connaissait secrètement la raison, ca lui fessait tellement de mal d'ouvrir les yeux et de voir qu'il manquait quelques chose, qu'il manquait son coeur, son âme qu'on lui avait volé. Et puis maladroitement la fille naïve qui avait voulu qu'il la regarde, elle auscultait ces yeux en cherchant des réponses qu'elle connaissais déjà. La vision de son coeur dissimulé lui avait fait comprendre qu'il avait été l'endroit pour une guerre destructrice. Cette fille avait eu mal, mal de le voir dans cette état, de voir ces songes rejetais qu'elle pouvait s'installer dans ces ruines . Maintenant les causes de cette guerre était revenue, cette fille naïve et certainement idiote retournerait à la fosse commune. Sydney n'arrêtait pas de me rassurer, comme un ami loyale, il connaissait mes difficultés a m'exprimer quand sa m'atteignait. Si mon âme était un miroir, c'était le reflet de Damon qu'on pouvait y voir. «  Auréa, quoiqu'il se passe parle le lui, il en a autant besoin que toi » J'étais enchaînée par mon silence, enchaînée par ce que je pouvais ressentir et par dessous tout je ne voulais pas lui planté un poignard dans le coeur comme cette fille l'avait fait. Le Styx coulait dans mes veines, Sydney hotta les bouts de verre planté dans mes mains prenant un linge qu'il mettait sous l'eau chaude, il effectuait de légère compression puis il soupira en me regardent dans les yeux, puis en regardent vers le couloir. Il devait être retournée dans la chambre «  Pour qu'avec ta force de mouche tu puisse casser un verre, tu dois être vraiment retourné pourtant il y a pas cinq minutes on t'entendait, autrement. » C'était gênant surtout quand c'est votre ex un temps soit pervers qui vous dise ça et pourtant la raison de tout ça, de cette colère, de ces cries. Ce résumait à une seule raison «  Je l'aime, vraiment. » , c'était si simple de le confier a Sydney qui m'avait répondu par un sourire. « Qui ne le sait pas? fait ce qui est bon pour vous... mais prend un t-shirt avant juste comme ça , il risquerait d'être distrait » Sydney était aussi le meilleur ami de Damon, bien qu'il y avait quelques chose de froid qu'il s'était installé entre eux, c'était certain que ces deux là s'adorait comme des frères. Damon n'avait pas le droit de me prendre comme son jouet, c'était qu'il m'avait mal comprise dans ce que j'étais. Ma vérité elle était plutôt simple... quand ils partent comment on survie aux gens qu'on aime?



Jalouse tremblant comme une étoile livide de toutes existence comprenant que plus il désirait quelque chose qu'il n'avait pas, j'allais m'éteindre. Tout ce qui était vrai c'était que je me cognais au sol, la seule porte que je pouvais emprunté, c'était lui et il la fermait. C'était un feu d'artifice de folies qui se confondait dans mes yeux. Épanchée, cassée et surtout perdue j'avançais d'un pas mal assurée et certainement écrasée sous le poids de mes battements qui s'éclataient dans poitrine. Sa main trop grande pour la mienne devait serrer celle-ci de toute ces forces pour que toute cette bataille de sentiment s'envole comme-ci rien n'avait existe, brisant mon coma, détachent se corsé aiguillée. Je prenais une chemise qui était sur le divant et je l'enfilais.. J'ouvrais la porte doucement... il était sur le bord du lit en trans d'hésiter sur ces cigarettes son briquet, jouant nerveusement avec celui-ci. Cigarettes ou drogue Damon ? ... Je préfère nettement que tu t'enfile ton paquet de clope, plutôt que tu t'enfonce une aiguille dans le bras enfin sa ne regarde que moi. C'est ta vie, ta santer que tu tue, je n'étais en effet seulement une femme parmi tant d'autre qu'il l'aimait plus qu'elle n'aimait sa propre vie.


La conscience de mot chantaient une symphonies épouvantable, changeante et instable. Sans aucun abris sous lequel se réfugier. Je m'installais sur lui comme je le fessais lorsqu'il me laissait libre d'être à lui, les yeux humides à l'intérieur. Je me condamnais seule à l'omerta subtil qui caresser mes sons. Il fessait les distances, il fessait ces limites, je les haïssais tellement. Lorsqu'elle était présente, je me sentais coupable... d'étre. Mon front s'ancrant à nouveau contre le sien l'espace de quelques seconds, je respirais a nouveau une nymphe c'était posée sur mon épaule, elle m'avait donnée le droit de vivre à travers lui. Il attendait mes mots... Impossible qu'ils se décrochent. J'étais devenue en moins de deux seconds frileuses et chaque partie de mes membres frissonnaient. Je me serrais contre lui, je me serrais contre son torse encore chaud de se qu'on avait pu faire quelques minutes au par avant. Peut-être que j'étais détestable de faire ces gestes alors qu'il en aimait une autre. J'arrêtais mes gestes, ne sachant plus ou poser mes mains, savoir si j'avais le droit. Si on me retirait cette homme, qu'on m'enlève dans un corbillard. L'immortalité circulait a travers mes neurones s'ils ont restés comme ça. Je devais lui répondre quelques chose, lui répondre ce que je ressentais dans une simplicité des plus légère mais tout ce que j'étais capable de faire, c'était que mes yeux se perdent dans les siens naïvement. Il n'y avait pas de réponse valable, prise par le roi échec et mat. Tord, de vouloir cette chance a moi, ces bras qui m'enlacent maladroitement écorché, j'attendrais qu'il ouvre encore une fois les yeux sur moi si c'était possible. Ma peau tremblait, mes yeux chutées dans la noirceur interdite de ces blessures. L'accord de mes mouvements s'enchaînèrent presque illégalement. Mon souffle s'accéléra dans une partition d'une ivresse carrousel, celle de mon âme qui se battait pour avoir sa place, elle n'en avait qu'une seule qui semblait s'y plaire. Je n'aurai jamais cru qu'elle soit là, qu'elle soit a cette endroit.. mais c'était la réalité. Il connaissait cette endroit car seul lui avait le pouvoir de me l'accorder. Ces globes d'azure me fixèrent, je priais intérieurement pour qu'il me voit... pas ce que je pouvais lui apporter en temps qu'après mais uniquement maintenant sans pensée a demain.

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Mes côtes s'enflammèrent, j'étais faibles à l'intérieur lui demandent de me donner de la force, pour nous. J'imprimais mes lèvres contre les siennes, j'ancrais mes sentiments sur son souffle cassé. Je laissais nos sens se mélanger dans quelques choses de lent mais de pure, son odeur s'imprégnait dans ma peau trop légère pour la sienne. Ces lèvres dégagérent une tiédeur que ma langue capturé afin de la lui délivrer. Infinie de ma confiance, il l'avait entre les mains... oui il l'avait entre ces phalanges abîmées. Les chaînes de mes mains se déliaient afin de pouvoir s'infiltrer dans ces cheveux sombres. Ampleur royale des ces courbes fessaient plier les miennes qui ne cessait de relever le montre défit qu'il m'accordait dans un défit divin d'ivresse brûlante. S'il me disait qu'il n'y avait rien de magique dans chacun de nos échanges je le le traiterais de menteur, impossible qu'il ne ressente pas ces vagues qui nous traverse étant donnée qu'elle émanait de l'un de nous, je sentais ces bras frissonnent, me donnent l'envie de ne plus m'arrêter. Sa main droite était venu capturer ma hanches pour me tenir, silencieusement je le fessais tombé sur le lit avec douceur, continuant d'emprisonner son souffle dans le mien. Il m'avait dis la vérité, même si elle fessait mal, il l'avait fais, sa compter pour moi, sa compter beaucoup. Il me fessait basculer lyriquement en prenant les dessus, sa main c'était accroché dans la mienne, je lui laissais savourais mon cou en calment mes ardeurs. Je me relevais doucement, étoudie par ce que nos baisers pouvaient me procurer. La torpeur avait disparu et ma voix pouvait enfin se délier. J'avais prononcé son prénom dans un échos d'inquiétude, je ne voulais pas que son prénom vienne a s'éteindre.




She broke your heart, she took your soul . You're hurt inside cause there's a hole you need some time to be alone then you will find what you've always known . I'm the one who really love ya, baby . I've been knockin' at your door and as long as I'm livin' I'll be waitin' as long as I'm breathin' I'll be there whenever you call me I'll be waitin' whenever you need me I'll be there . I've seen ya cry into the night I feel your pain can I make it right? I realize there's no end in sight yet still I wait for you to see the light


- Damon, je sais Hayden ma prévenue pour Maxim, qu'est-ce que je dois comprendre? Que tu me fais l'amour en voulant que sa soit elle ou que tes sentiments pour elle son toujours là. Tu partiras pas, j'ai confiance en toi... en nous, mais il faut que tu m'aides, j'y arriverais pas toute seule.. Je suis là, regarde-moi, tu le sais que je resterais à chaque fois que tu auras besoin de moi, cette dévotion elle ne s'éteindra pas mais pour ça vraiment j'ai besoin que tu me prennes contre toi, tout comme cette sincérité qui a entre nous.. Pas de mensonge. Maintenant, dit moi ou son les amphétamines Damon, faut que tu me le dise, où alors je les trouverais.. Je t'ai promis que sa irais mieux et je t'assure que je tiens chaque promesse que je fais moi aussi.

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Ma voix s'éteignait, elle n'avait jamais vraiment eut d'importance jusqu'à ce qu'il m'écoute. Ma descente aux enfers s'effectuait lentement, je ne voulais pas me plaindre de la douleur avec laquelle sa me prenait dans les poumons. Je répétais a plusieurs reprise un ou? Fréle. Silence... Silence comateux. Je me relevais du lit, nerveusement en réalité presque incapable de tenir debout. Le soleil noir s'épanchait sur mon échines comme un mort certaine, c'était quelques chose qui me brûlait la peau. Je fouillais dans ces affaires parce que son regard était tétanisé ces lèvres aussi. C'était la première fois que je touche a ces affaires sans son autorisation, je dépassais toutes les limites fixés il en était conscient mais la c'était sa santé. J'étais une hypocrite si je le laissais se détruire devant mes yeux, il ne laisserait pas faire le contraire. Je ne tenais pas non plus à le surveiller comme on l'avait fais avec moi, ce qui m'avait oppressée dans tous les sens du terme. Le fait est de savoir que quelqu'un soit toujours derrière vous a vérifiez que vous n'ayez pas fais de bêtise c'était humiliant. Je connaissais la fierté haut placé de Damon et il était claire que je ne voulais pas lui infligé se supplice qu'on m'avait fais subir. Sa se tenait sur notre confiance, il ne réalisé pas encore que cette bulle dans laquel il se damnait n'étais qu'un artifice de mensonge. La polysémie des règles n'étaient pas importante puise qu'elle serait violé c'était certain. Comment l'aider ? Comment le soigné de se mal qui lui rongeait les intestins? Les produits coulent trop lentement pour pensé a ce problème. Ce qu'il fallait c'était l'antidote, l'équilibre, je ne le jugé pas... oh non je ne jugé pas ces actes, je ne voulais pas le faire puise que moi-même j'avais abusé a outrance de mon propre corps. Il allait en sortir plus fort physiquement et mentalement, mon sang serait sien, ces faiblesses seront mienne. Je l'avais enfin entre les mains, c'était dans sa veste intétieur. L'armée d'espoir s'écroulaient entre mes mains encore blesser par le verre. Pourquoi tout ça ? Pourquoi mon importance était descendu de cette façon? J'étais translucide dans ces yeux, invisible à la colère qui allait monté en lui. Les larmes coulaient le long de ma joue passagère de mon angoisse, témoignage de ce paradis artificiel qui me fessait peur. Les étourdissements, le sentiment de puissance de contrôle, les charmes de l'inaccessible j'avais connus. Mes jambes flasques m'ordonnaient d'aller à la salle de bain pour ouvrir le sachet au devant la cuvette des toilette. Damon me regardait faire avant la colère qui ne fessait que grandir, c'était visible. L'impatience le guetter... j'allais le faire ou pas? Le fait est que je sois imprévisible était gênant pour lui. Le fait de vouloir quelques chose qui n'existait que dans un paradis irréel pouvait le faire tombé encore plus bas, d'un jour à l'autre il pouvait tout perdre, mais il ne me perdrait pas. S'il m'aimait, il ouvrirait les yeux sur son mal. Il allumait une de ces cigarettes nerveusement en me demandant de ne pas faire ça. Un voil tombé sur mon ventre d'entendre sa voix me demander ça. Il était malade, ma provocation allumait quelques chose en lui. Je ne voulais pas lui faire du mal mais qu'il prenne conscience des choses. Des chimères, voici ce que les amphétamines allaient lui procurer. Je jetais calmement les amphétamines dans le toilettes et je tirais la sache, il s'énervait a marché partout. Je passais devant lui pour retourner a la chambre, il me poussait contre le mur avec la cigarettes au bout des doigt son souffle ralentie la colère dans les yeux. Le berceau de sa corruption s'éteignait en même temps que sa cigarette que j'éteignais sur le bout de mon bras. Il pouvait levé la main sur moi, sa ne changerai rien c'était fait. Collé au mur, l'attente devenait de plus en plus lourde. La peur était exclus dans se genre de situation, je calmais mes larmes bien qu'en ayant des vertiges. Les limites étaient dépassée, j'attendais les conséquences la gorge resserrée.

- Je peux pas te la laisser, c'est du suicide à coup d'aiguille. C'est impossible qu'on laisse la personne qu'on aime se faire du mal... A l'age de 16 ans moi j'ai fais une erreur, je pensais que je n'avais pu le droit de respirer, j'ai plus mangée jusqu'à m'en effacer. C'était ça pour moi ma drogue, sentir que je partais. Je peux pas te surveiller de ne pas le faire, de rien prendre, j'ai pas le droit d'étre constamment sur toi et sa ne ferais qu'empirer les choses... Tu peux me détester mais je peux pas te regardé tomber sans rien faire. Je t'ai promis que ca aller s'arranger et je ne brise jamais une promesse. T'as confiance en moi alors écoute moi quand je te dis que s'injecter un paradis articificiel dans les veines changera la réalité. C'est pas quelques chose de sain, a ton réveille rien n'aura changé. Ouvre les yeux, Damon, je suis là.. je te ferais pas le mal qu'on a pu te faire ça aussi c'est une promesse. Regarde-moi, crois-moi laisse moi être ce paradis.. réelle.
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Damon M. Tallis
Damon M. «
    Dust in the wind.

Damon M. «  Dust in the wind.
Damon M. Tallis


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MessageSujet: Re: (-16) Black Smoke Attack   (-16) Black Smoke Attack - Page 2 EmptyLun 11 Oct - 16:00

Les chemins que je voyais se dessiner devant moi étaient trop flous pour que je puisse les prendre. J’avais donné au monde cette image d’écorché, je leur avais fait comprendre que les maux me rongeaient trop pour que je puisse parvenir à leur donner ce qu’ils attendaient et peut-être qu’une part de moi refusait de voir ce monde, refusait de voir ces gens qui me blessaient tous d’une façon ou d’une autre. C’est plutôt égoïste comme comportement mais rien ne me donne l’envie et tout me déçoit, les blessures à nouveau ouvertes, les nouvelles qu’on ne cessait de former. Personne ne m’écoutait, personne. Je ne sais pas si c’était une bonne chose de faire confiance à Auréa comme je le faisais, je ne sais pas si j’étais prêt à supporter de nouvelles blessures, je n’étais pas comme elle. Je ne le serais jamais et c’était une vérité qu’elle avait comprise même si elle ne le dirait certainement pas. Je restais toujours le garçon qui attendait, qui attendait que ses douleurs partent, qui attendait d’aimer la vie qu’on lui avait donné, qui attendait dans les murs de sa chambre avec des feuilles noires de douleur en prose et cette guitare qui ne le quittait jamais, qui pourtant aujourd’hui n’était plus là. Accorder les mots pour qu’ils sonnent joliment ne m’amusait plus. Ce n’était qu’un déguisement vu toutes l’atrocité qu’il y avait derrière mais personne ne devait le savoir, d’ailleurs qui voudrait le savoir ? Même pas elle, même pas Auréa contre tout ce qu’elle pourrait me dire, contre tout ce qu’elle pourrait faire. Je devais simplement la voir, voilà ce à quoi je servais. La voir parce que je n’étais pas sûr de me voir moi-même. Je perdais ma motricité, cette illusion de bien-être beaucoup trop intense pour je puisse compter dessus. Elle pouvait ne pas comprendre, cela ne changerait rien à ce qui est. Tout me vidait, je pense que je perdais de plus en plus de chose à commencer par celui que je suis, qui se brouille, qui s’enfuie alors que je n’ai toujours voulu qu’une chose: Me retrouver. Je faisais disparaître les gens, les choses, tout. La seule sensation que j’arrivais parfaitement à faire sentir n’était que la douleur et le vide, un vide tellement grand que le silence ne faisait qu’écraser le tout de la plus violente des façons. En quelques secondes, elle était sortie de la pièce. Je n’avais pas essayé de la retenir. Pourquoi ? Je ne regrettais pas. Me sentir coupable n’était pas mon genre, c’est plutôt les autres qui devraient l’être. Je l’avais suivi sans me presser, alors qu’elle passait dans l’air comme une furie. Puis j’avais Sydney allait vers elle, j’avais simplement fait demi-tour. Je n’avais rien à dire, même pas à mon entourage le plus proche, selon les rumeurs.

Je m’habillais rapidement, ne pensant même pas aux conséquences que tout ce que je venais de lui dire pourrait avoir puis je m’allongeais sur lit, me jouant du briquet entre mes doigts. Est-ce que c’était un crime de vouloir s’éteindre ? Est-ce que c’était réellement de ma faute si la moindre personne qui m’approchait fissuré encore un peu plus mes os usés ? Est-ce que j’avais demandé quelque chose ? Est-ce que j’avais demandé à être aimé, à ressentir la compassion ou encore cette connerie de pitié dissimulée ? J’avais envie d’hurler, de leur crier à la figure de me laisser seul car quoi qu’ils fassent ça ne changera rien. Comment fallait-il que je leur dise ? Parlais-je une autre langue ? Hyde entrait dans la chambre, je sentais à ses pas que c’était lui mais je ne levais même pas yeux. Je ne l’écoutais qu’à moitié, il prenait mon briquet pour me le rendre ensuite. Je lui répondais comme si je lisais un texte. Puis il était sorti. J’essayais de me concentrer pour savoir quel était le bon chemin, celui fait pour moi et non coulé dans le béton, avec une sécurité dont je ne veux pas. Je voudrais être seul, pour toujours. Auréa revenait, se mettant sur mon corps, posant mon front contre le sien dans des mouvements que je connaissais déjà par cœur. Une habitude. Son étreinte se fit plus forte, puis hésitante. Peut-être qu’elle avait raison, peut-être, j’étais fatigué. Que ce soit par l’amour, par l’amitié ou même la famille. Je ne voulais plus penser, juger, condamner car ma sentence était déjà tombée sans même qu’ils ne s’en aperçoivent. Leur seul problème, c’était de ne pas vouloir comprendre. Ils restaient sourds à mes mots, ne lisaient pas les bonnes lignes de mon histoire. Le noir était la seule chose qu’ils voyaient, se préoccupant de savoir si tout allait bien car c’était leur rôle. Être amis. Un rôle. Une fiction maîtrisée pour paraître réelle. Je comprenais les choses même si je ne les désirais pas et parfois ma gorge saignait de trop se serrer pour la tristesse. J’avais décidé de la regarder comme elle était en train de le faire, sans penser à quoi que ce soit. Je ne pouvais pas. Je ne voulais pas ressentir quelque chose, quelque chose m’avait éteint auparavant, la flamme était trop petite pour illuminer toute mon âme, j’étais encore aveugle. Inconsciemment, je voulais l’être.

Comment pourrais-je décider clairement de mes actes avenirs si les perturbations s’enchaînaient dans des sons lassants et assourdissants ? J’avais souvent cette sensation d’étouffer, enfermé dans une boîte que je n’avais jamais désiré, dans laquelle j’étais tombé non par choix mais par hasard. Ses lèvres rendait mon humeur lunatique et me faisait part d’une douceur dans laquelle j’avais l’habitude de me laisser aveuglé, une discrétion infinie venait agiter mon cœur à nouveau. La placidité de nos lèvres soudées ensemble anesthésiait ma misanthropie. Je neutralisais la chaleur de son corps à travers mes empreintes glacées par le rejet en ayant conscience que le bien-être n’était que fugitif. L’enveloppe qui recouvrait mon corps frémissait aux contacts de nos échanges, j’avais tellement de facilité à faire glisser mes mains sur son corps aérien, tellement de facilité à tomber dans l’illusion de ses charmes pour me faire oublier la solidité de ma haine patiente. Elle faisait trembler ma respiration en brouillant mon esprit, me laissant perplexe sur la vérité que je voyais se fondre entre mes phalanges. L’instant de quelques minutes, je lui en voulais de me faire douter mais j’étais incapable de me détacher de sa bouche séraphique. J’échangeais les rôles en reprenant le dessus, me risquant à l’abîme de son cou, sentant sa veine carotidienne diminuée sa cadence au fil des secondes qui glissaient entre l’espace et le temps. La raison pour laquelle je perdais le contrôle n’était pas un secret mais elle avait pourtant du mal à le saisir et j’étais blessé au fond, qu’elle puisse penser certaines choses même si il y avait sans doute une part de vérité. Peut-être le temps devrait être la chose qui m’aiderait mais j’avais la terrible sensation que Maxim était une sorte de dépendance, depuis le premier où j’avais posé mes yeux sur elle. C’était terrible de se dire qu’une personne avait toutes les armes nécessaires pour vous briser, encore plus quand cette personne ne vous appartient plus. Des chimères et des photos bien gardées, c’est tout ce qu’il me restait. Je m’étais retiré de son corps pour qu’elle puisse se relever, le son de sa voix parvenait à mes tympans qui avaient des allures d’inaccessibilité.

- Damon, je sais Hayden ma prévenue pour Maxim, qu'est-ce que je dois comprendre? Que tu me fais l'amour en voulant que ça soit elle ou que tes sentiments pour elle sont toujours là. Tu partiras pas, j'ai confiance en toi... en nous, mais il faut que tu m'aides, j'y arriverais pas toute seule.. Je suis là, regarde-moi, tu le sais que je resterais à chaque fois que tu auras besoin de moi, cette dévotion elle ne s'éteindra pas mais pour ça vraiment j'ai besoin que tu me prennes contre toi, tout comme cette sincérité qui a entre nous.. Pas de mensonge. Maintenant, dit moi où sont les amphétamines Damon, faut que tu me le dise, où alors je les trouverais.. Je t'ai promis que sa irais mieux et je t'assure que je tiens chaque promesse que je fais moi aussi.

- Hayden ? Il ne connaît pas Maxim. J’adore me faire suivre, vraiment… Il ne veut pas prendre ma place tant qu’il y est ? Il y a rien à comprendre d’exceptionnel… Mes sentiments pour elle sont toujours là même si j’ai cent fois essayé de l’oublier. Je n’y arrive pas. J’ai pas dit que j’allais m’enfuir mais je ne sais plus vraiment où j’en suis sentimentalement. Tu veux de l’aide, je le saisis bien mais si je ne peux même pas m’aider moi-même, comment veux-tu que j’aide quelqu’un d’autre ? Je te dirais pas où sont les amphétamines.

Elle insistait dans un tremblement de voix que je refusais de comprendre, pourquoi faisait-elle ça ? Tout ne tenait qu’à moi. Le silence avait été ma réponse à ses demandes lancées en plainte douloureuse. Elle s’était levée, pour commencer à fouiller mes affaires. Je restais immobile, complètement désarmé face à ce qu’elle était en train de faire. Dieu sait combien je haïssais qu’on s’autorise à s’aventurer sur mon terrain. En dépassant ce que j’avais fixé, elle attisait ma colère mais elle semblait bien s’en foutre. Ma respiration ralentissait dans un calme bien trop silencieux, qu’est-ce qu’elle cherchait en me provoquant de cette façon ? Je me relevais en la suivant dans la salle de bain, elle avait trouvé la drogue et se postait devant les toilettes. Elle ne se rendait pas compte des conséquences que le manque pouvait avoir, sur moi et même sur mon entourage. C’était tellement cruel d’arracher mes vices de cette façon, j’avais peur de mes mouvements, peur de ne pas savoir me contrôler pour ce qu’elle allait faire. Je ne marchais dans le sens de personne, certainement pas dans le sien. J’essayais de calmer cette arrivée de souffre qui commençait à engloutir mes veines en allumant une cigarette et en inspirant une bouffée. Je lui demandais de ne pas faire ça dans un son trop calme pour ce qu’il se passait en moi. Elle ne m’avait pas écouté et j’avais simplement envie de la frapper, de tout briser même mais je ne faisais que marcher, trop vite, en effectuant trop de pas. Le son de la chasse d’eau me faisait prendre conscience que je n’avais plus rien et que j’allais sentir le manque me broyait le corps encore une fois. J’avais mal de voir à quel point elle prenait possession des choses auxquels j’avais interdit l’accès, ça me coupait le souffle, ça brûlait mes veines affinées par les seringues. Je la poussais contre le mur dans une violence que je n’avais jamais eu envers elle, c’était la première fois que je la détestais, la première fois que le risque de lever la main sur elle était possible. Dans un geste, elle éteignait ma cigarette en lui laissant une marque sur le bras et j’avais simplement ris nerveusement. Complètement dépassé par son comportement qui ne fonctionnait pas. De toute manière rien ne fonctionnait tant que je ne le décidais pas. Je lâchais la cigarette qui roulait sur le sol à présent et me contentait de la fixer avec cette haine immuable qui dégorgeait de mes veines.

- Je peux pas te la laisser, c'est du suicide à coup d'aiguille. C'est impossible qu'on laisse la personne qu'on aime se faire du mal... A l'âge de 16 ans moi j'ai fait une erreur, je pensais que je n'avais pu le droit de respirer, j'ai plus mangée jusqu'à m'en effacer. C'était ça pour moi ma drogue, sentir que je partais. Je peux pas te surveiller de ne pas le faire, de rien prendre, j'ai pas le droit d'être constamment sur toi et ça ne ferais qu'empirer les choses... Tu peux me détester mais je peux pas te regardé tomber sans rien faire. Je t'ai promis que ça aller s'arranger et je ne brise jamais une promesse. T'as confiance en moi alors écoute moi quand je te dis que s'injecter un paradis artificiel dans les veines changera la réalité. C'est pas quelques chose de sain, a ton réveille rien n'aura changé. Ouvre les yeux, Damon, je suis là.. je te ferais pas le mal qu'on a pu te faire ça aussi c'est une promesse. Regarde-moi, crois-moi laisse-moi être ce paradis.. réel.

Je n’étais pas en mesure de comprendre ce qu’elle me disait, elle s’attendait vraiment à ce que je lui dise Amen pour ce qu’elle venait de faire ? Evidemment, c’était facile pour elle. Ce n’était pas elle qui allait attendre et prier, allongé dans un lit, pour que ce foutu mal se barre définitivement mais il n’y avait que l’héroïne qui empêchait le mal, c’était ça l’antidote et me l’arracher avec une telle vitesse, c’était comme m’attacher à des rails de train. Tout ce qu’elle faisait c’était attendre que le train passe en me regardant complètement attaché. Je lui en voulais car elle me blessait, elle m’avait blessé et j’avais la sensation de perdre le contrôle entièrement. J’étais rancunier, malheureusement et j’allais me rappeler de ça longtemps, certainement trop. En dépassant les limites, elle s’y été risquée. Je ne pouvais pas faire plus que la prévenir. Tout ce qui allait se passer, elle l’aura cherché. Elle pourrait me faire toute sorte de chose, l’image qui s’était gravée dans mon esprit allait restée éveillée encore pour un moment. Je n’avais même pas tenté de me calmer, ni même de lui répondre. J’avais simplement hurlé en transperçant le mur avec mon poing juste à côté de son visage. Je refusais qu’elle face ça, qu’elle m’arrache de ce mal. Tant pis si je devais en mourir, je n’avais jamais demandé à ce que l’on me sauve. Je la laissais contre le mur en brisant encore le miroir dans lequel celui que je n’étais pas se reflétait. Tout était faux. J’étais faux puis je m’allongeais à nouveau dans ce lit, dominé par ma colère et la haine qui dévastait tout ce que j’avais pu vivre avant. J’allumais une seconde cigarette et je fixais Auréa avec tellement de mépris que j’avais moi-même du mal à le saisir.

- T’es contente ?



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MessageSujet: Re: (-16) Black Smoke Attack   (-16) Black Smoke Attack - Page 2 EmptyMar 12 Oct - 21:27

On pourrait oublier, juste oublier tous les maux qui ne seront jamais dits ou même confiés car tout serait mal interprété, ils ne comprendraient pas et continueront une lutte morale qui n’a pas vraiment lieu d’être. Les complications humaines teintées d’une banalité effarante et éreintante. Ils se battent pour une place qui n’est pas la leur, dans un monde qu’ils n’ont même jamais compris et désiré. Ils n’avaient pas le choix comme je n’ai pas le choix. Qu’est-ce que tout ce cirque allait bien pouvoir apporter en finalité ? Je comprenais les sensations, les déceptions et toutes ces choses que l’humain est capable de sentir passer en lui comme un fleuve infini mais jamais je ne trouvais la finalité de tous ces mélanges insensés, je ne voyais qu’une brume épaisse et envahissante. Je n’étais pas en colère après le chahut, je ne savais pas si c’était de la tristesse. Je sentais juste une désolation profonde d’être lassé des personnes s’installer. Être insupportable, absent ou même dérangeant n’avait aucune répercussion sur ce que je ressentais. La vérité c’est que tout m’était égal et que je ne comptais pas changer la situation. Ce que l’on désire nous est souvent interdit ou hors de portée, c’est justement pour cette raison que l’on désire sinon quel sens cela aurait ? Aucun… Du moins, je pense. Je n’avais pas entendu ma propre voix depuis des jours même si elle résonnait dans ma tête à force de réfléchir aux histoires qui ne me regardaient même pas. Je devais certainement m’arrêter, ce n’était pas une bonne chose à sentir et je n’avais pas envie de sentir. Damon était arrivé tôt dans la matinée et je n’avais pas voulu rester plus longtemps avec les autres, alors j’étais monté ici. Au grenier. En espérant que personne ne s’en aperçoive, aucune envie de les voir ne venait. Je me demandais quelle importance avait ma présence ici, alors que ça ne servait absolument à rien. Tout ce que je pouvais faire, c’était attendre qu’on me dise de refaire ma valise pour New-York. J’aimais le silence des endroits qu’on abandonnait, une plénitude était maîtresse des lieux. Les vieux objets étaient trop fatigués pour respirer à nouveau, la poussière était la seule à encore les ennuyer.

Cela faisait quelques heures que j’étais ici, à apprécier un vide qui me manquait, qui n’était que rarement présent aujourd’hui. Il y avait sûrement trop de bruit pour que je le supporte plusieurs mois de suite. Eux non plus mais ils ne s’en souciaient pas, quelque chose de malsain était là mais je n’étais pas leur psychiatre et je ne savais même pas si j’étais leur ami. Une notion que je ne voulais peut-être pas saisir vu les résultats que j’avais eu en démonstration. Tout était éphémère. Absolument tout. Croire en un bonheur stable était sans doute la plus stupide des conneries qu’il pouvait exister. Je les voyais bouger dans tous les sens pour se dire les mêmes phrases à la fin, les mêmes sourires et les mêmes gestes. Ils s’étaient englués dans la routine qui les dégoûtait tant et je doutais sur le fait qu’ils s’en rendent compte. Quoi qu’il en soit, j’aurais pu rester à New-York. Rien ne changeait réellement. Leurs paroles étaient brouillées, comme le son d’un radio défectueuse et il m’arrivait de frôler la colère à les regarder continuer. J’avais un bloc-notes qui ne me quittait jamais depuis que je m’étais éclipser ce matin, je n’avais cessé d’écrire tout ce que je voyais, tout ce que j’avais compris en les écoutant, en les regardant mais je ne parvenais pas à inscrire ces lignes pour moi. Pour les autres oui mais pour moi c’était une chose totalement impossible. Je me retournais le cerveau, le chipoter, le mettait à l’envers pour finalement le remettre à l’endroit mais les choses restaient pareilles. Je ne ressentais pas. C’était vide. Vide et inutile. J’arrêtais d’écrire et descendait du grenier, lorsque j’étais arrivé en bas Auréa semblait être de mauvaise humeur et elle discutait avec Sydney. Ils ne m’avaient pas entendu, j’en profitais pour passer dans la chambre d’Auréa. Damon était à moitié allongé sur le lit, il n’affichait aucune expression particulière et avait son briquet entre les mains. Je rangeais le bloc-notes dans mon sac et demandait à Damon s’il allait bien, il m’avait répondu que oui en fixant son briquet dans un son presque inaudible. Je prenais son briquet ainsi qu’une des cigarettes de son paquet et l’allumais. Il regardait toujours droit devant lui sans rien apercevoir. Je lui avais répondu qu’il était un menteur et j’étais sorti de la pièce toujours dans le même état de statisme incompréhensible.

Le bout de mes doigts était d’une froideur qui m’étonnait et tout se compressait en moi de voir que rien n’était juste en ces temps étranges. J’avançais comme une brume fantomatique à travers la pièce en passant devant Auréa et Syd, trop occupés, trop évanouis par ce qu’il se passait. Dehors, l’air était un peu plus chaud que la température de mon corps. Je ne savais pas combien de temps j’allais encore rester en Italie, je ne savais même pas pourquoi j’y été venu. C’était bien la dernière fois que Syd me faisait un coup pareil. Je tirais de longues bouffées sur la cigarette que j’avais allumée il y a quelques instants, je ne savais pas où j’allais mais je continuais à marcher. Observant les choses et l’endroit qui m’entourait. Une part de moi voudrait ne pas faire partie de toutes leurs histoires, donner trop d’importance finissait toujours par faire mal et quoi qu’il en soit, ils étaient loin. C’était sans doute mieux à cet instant. Je me contentais juste de leur montrer que j’étais encore vivant.

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Auréa Eden

Sunburn
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MessageSujet: Re: (-16) Black Smoke Attack   (-16) Black Smoke Attack - Page 2 EmptyMer 13 Oct - 2:10

(-16) Black Smoke Attack - Page 2 Sanstitre28c



Les signes évasives d'un mal-être persistant nous avez guidée l'un à l'autre, j'en avais pertinemment conscience que lorsque j'étais tombée dans nos étreintes que tout n'allait pas bien, qu'il n'allait pas bien, que je n'allais pas bien et pourtant on se guérissaient l'un l'autre c'était une certitude inéluctable même si parfois il la reniait. L'opacité de ma peau volée en éclat quand il cogna dans le mur, il s'attendait a quoi ? Que je le regarde se détruire et lui dire adieu ? On se tenait l'un l'autre, il le savait. Être la reine, être le joker, les clefs n'étaient qu'une infini de possibilité vers le vent australe qui m'emportait la nuit. Mes doigts n'étaient que de pauvre cobaye d'une trahissons, idiote. La sensation de les avoir déjà frollaient auparavant dans mes rêves les plus fou, c'était inscrit sur mon corps quelques part. Ces papillons dans mon ventre ne s'éteignait pas, ils se baladaient combattent les séismes qu'il imposait, je dansais dessus comme une funambule n'ayant pas de harné de sécurité dans les nuages de poussières. On n'entamais pas mon coeur comme du pain, le laissent orphelin. Les naissances de se font pas sans dommage collatéraux et mes cotes en fessaient les fraies, des rasoirs atrophié mes mouvements . Les signaux de détresses s'envoyaient en millier d'exemplaires dans mon cerveau, je n'y répondais que par une avidité qui ne me ressemblait pas. Je ne tremblais pas qu'il me tue, qu'il m'étrangle, qu'il fasse et vite. La mort, je pouvais la frôlé ou l'embrasser encore c'était un amant bien corrompu. Qu'il me jette au fond d'un gouffre, cette position de force qu'il imposait par ces gestes ne me dérangeaient pas. L'enfer ou le ciel? Qu'importe de me damné la ou il le souhaite ma connivence n'en serait que plus forte, mon attachement spectrale ne serait que plus opportun, dépassent les limites en tout point encore et toujours jusqu'à m'en perdre. J'étais consciente du mal que ca lui fessait et pourtant je ne le regrettais pas, je ne regrette pas de vouloir le voir en vie. Illettré de sa colère, je resterais assise a cotées de lui à le réveiller encore. Face a l'adversité de ces pupilles, je n'étais de loin la plus faible son regard tuant, ne tuerait pas les sentiments que j'avais pour lui. Qu'il m'en veuille de ne pas supporté qu'il se face du mal, les choses cassées peuvent être réparer. C'était de loin une prise de conscience la plus importante de ces dernières seconds qui me fessait crier a l'intérieur comme une furie déplacée, la manipulation ne fonctionnerais pas avec moi, sa haine envers moins pouvait coulé, j'avais eu la même des années au par avant. Je connaissais les médicaments du temps, je savais. Les seconds s'allumaient comme des éclats d'obus qui s’énucléaient de mon œsophage.

Son crie m'avait transperçé la carotide qui m'ordonnait ne pas céder sous la pression que ma salive lourde m'infligeaient. Son regard me brûlait a outrance apportant ma résistance. Patiente, Compréhensive, pas si creuse que ça enfin de compte. C'était l'effet mon effet placebo qui me revenait à la figure qu'importe, j'encaissais. Ce n'était que des plies sur le papier qu'il enchaînait comme un combattent des ombres. La raison n'existait pas dans ces moments là et pourtant je restais commande de mes pensées. Et malgré tout, il pouvait en abuser avec sa violence, mépris indolent je n'en étais pas moins sur. C'était de lui que je voulais abuser, c'était par lui que je voulais exister, c'était par lui que j'étais. Son renfermement n'était qu'une des nombreuses conséquence de mes actes, j'acceptais. Damon me regardait comme-ci la mort habité son regard, je n'en avais pas peur. Qu'il se débride enfin en criant, parlant, c'était le moment que tout ce qu'il retenait dans son ventre sorte. La drogue pouvait encore être dans ces veines comme un charmes malsain et amputé. Je ne fais que retirais que le venin qui circule, une purification trop forte d'un seule coup. Demandé ou pas, chaque parti de lui était ancré en moi. Il n'y avait pas eu de commencement que des enchaînements.




It doesn't hurt me.You, it's you and me and if I only could, i'd make a deal with god. You don't want to hurt me, but see how deep the bullet lies unaware that I'm tearing you asunder there is thunder in our hearts, it's you and me won't be unhappy. Lets exchange the experience be running up that hill, with no problems


Mon coeur se soulevait quand il brisa le miroir et qu'il décida d'allumer une autre cigarette retournant dans le lit. Il pouvait me foudroyée du regard encore longtemps comme ça, brisé tous les miroirs de la maison, esquinté tout les murs de la maison s'il le voulait. Je n'étais pas son bourreaux, qu'il se rende à l'évidence qu'il l'était lui même. « t'es contente? » Le chant ironique qu'il avait employé n'était pas vraiment quelque chose qui devait me blesser. Toutes l'ironie du monde pouvait être utilisé elle ne me blesserait pas dans mes sentiments. Non, sa ne me hurté pas de la façon dont il aurait voulu mais je savais qu'on ne pouvait continué avec tous ces mals qui le rongeait. Je ne voulais pas faire ignoré son mal, je n'avais jamais voulus faire semblant de l'ignorer ou de l'aimer et je ne le ferais pas. Non, en réalité je ne le blessais pas, c'était des cachets d'artifices parmit des milliers. Ca psycose n'était que transitoire le speed aurait coulé ou inhalé, ces poumons se seraient ouvert, ces pupilles se seraient dilatée, sa mâchoire se serait arrachée, les vomissements s'enchaînerait, les hallucinations serait partie en cendre, la paranoïa l'aurait fait souffrir. Son jugement était altéré, c'était ça l'état de manque ? En quoi il y avait quelques chose de beau dans tout ça? Non, je ne regrettais pas de l'avoir jetais. Le fait est d'avoir passé pas mal de temps close dans un lit d'hôpital avait fait que j'avais lu beaucoup, tout ce qui passée comme information. Les amphétamines ou l'héroïne c'était un peu comme une prostitué avec une mst en plus de la payer ce n'était qu'un substitue faux qui s'habillait comme ce que la nature nous avait donnée c'est à dire la dopamine, adrénaline des choses déjà présente dans notre corps. Je ne laisserais pas avoir mal sans rien faire, si les choses empiraient je savais quoi faire, même si la solution n'était pas vraiment adapté dans l'absolue, c'était de secours au cas où. J'aurais pu tout à fait relever son ironies avec un «  Oui, sa m'éclate de détruire ta drogue, pour que tu me déteste ensuite... j'en suis heureuse vraiment, ca se vois non? » . mais je n'y arrivais pas, ca n'attiserais que sa colère. Je ne baissais pas mon regard du sien, la gorge lasserait. C'était la première fois que je ne cédais pas en baissent la tête. Il était trop important pour moi, et je supportais ca les yeux ouvert. Je ne voulais pas qu'il soit malade qu'il se meurt entre mes mains. A cette base, je ne croyais pas aux contes de fées. J'aurais voulus être sourde des cries de mon intérieur, muette de mon coeur, morte d'être inutile. Je m'étais tant vidé pour ne plus existait que sa en avait était sale. Je n'avais rien de lumineux, j'étais juste éteinte d'être oubliée existant uniquement sous la candeur de ces yeux.

Je m'approchais; folle, oui. Amoureuse, oui. c'était certainement des synonymes et pourtant dans ma bouche sa sonnait tellement faux, je n'étais pas ce type de fille qui se laissée faire, pas le genre de Juliette. J'étais loin d'être comme elle, je n'étais pas un rêve, pas une promesse. Je l'aime juste trop fort.« Non, j'ai autant mal que toi  » sortait de ma bouche « Aime moi, déteste moi, tue moi si ca te chante, elle viendra pas te chercher avant pour autant, tu te fais souffrir tout seul avec ça. Je refuse de faire comme-ci tu allais bien or que c'est faux  » Qu'est-ce que je devais faire ? J'en avais aucune idée, j'étais pour la première fois confronté a ce genre de situation. Il n'était pas seulement celui pour lequel j'avais des sentiments les plus fort de toute mon existence, non ce n'était pas uniquement cela, il était aussi mon ami, un complice. Je devais être là, c'était ma place même si elle était remise en question. J'étais à lui plus que chaque respiration qu'il avait du mal a prendre, entièrement. Je n'étais pas faite pour être quelque part, ce que je pouvais ressentir ne fessait pas le poids sur une balance. Je m'approchais de lui incertaine de tout ce qui se passait, je montais sur le lit sans un mot sachent bien qu'il allait me rejeter, j'en avais essuyer des rejets, mon père, ma mère, alors un de plus un de moins, je n'étais plus a sa prés, je n'avais plus rien a perdre que ce que j'avais déjà perdu. Je ne savais pas gardé ce qui me fessait vivre a mes coté. Je tenais à lui... et visiblement cela ne suffisait pas.




Je m'asseyais, je lui mettais un bout de papier dans les main, il pouvait l'arracher ou le lire ..pour finir par tomber allongé de son sens inverse, je tenais mais je pouvais pas si c'était a sens unique. Me repliant sur moi même ramenant mes jambes vers mon ventre. Damon était libre de faire ce qu'il voulait. Il ne savait pas lui même ou il en était... moi je savais qu'il était l'homme auquel je ne cessais de pensée, l'homme qui me maintenait en vie par je ne sais qu'elle miracle en me donnent un vrai sens, en m'écoutant comme personne ne l'avait fait au par avant. Je lui avais que je l'aimais qu'une seule fois, et je l'avais pensée  6 566 400 fois soit a peu prés une fois toutes les seconds depuis dix mois et ça même durant mon sommeil parce qu'il fessait partie de mes rêves, comme il fessait partie de ma vie. J'étais tellement bien avec lui même dans les moments les plus douloureux que c'était impossible de saisir pour le commun des mortels. Je n'étais pas un choix, je restais allongé mes larmes me brûlaient en coulant mais je les avais méritée, j'étais coupable d'avoir donnée mon coeur, d'avoir voulus qu'il ne s'écorche pas. Songeant qu'il franchissait cette porte et tout se brisée en moi, pas uniquement mon coeur qui imposée une douleur qui me le retourné non, c'était partout, dans chaque partie de moi. Retenant mon souffle en disparaissent de l'intérieur, comme essoufflée ma respiration s'en allait loin. Le froids a l'intérieur de moi me rendait nauséeuse avec cette impression de tout perdre, de ma faute. La réalité c'était que ma voix n'avait plus aucune porté, mes sentiments ne comptait plus s'il n'était plus sur de ce qu'il ressentait pour moi, je ne pouvais que rester inerte à la surface de l'eau, noyée. Je ne savais pas a quoi m'attendre et j'en étais pétrifier de toute les façon possible est imaginable, je voulais arrachée mes os, c'était mieux de savoir ou de ne pas savoir? J'en savais rien. C'était dans ces mains... je l'avais écris dans l'avion quand on nous avais séparé c'était tellement stupide de lui avoué comme ça, mais c'était la seul façon dont j'avais réussie à le faire. Je ne voulais pas qu'il sache que je l'aime par peur, non mais je voulais qu'il sache avant de partir si jamais nos chemins venaient a se séparée et qui sait combien ça me fessait du mal de l'imaginer mais Damon m'avait clairement dit qu'il ne savait pas ou il en était, se bout de papier n'allait certainement pas l'aider... certainement pas mais je ne savais pas quoi faire a par l'aimer.

Citation :
Damon, 
J'ai eu du mal, j'ai beaucoup de mal en réalité a dire mes sentiments pour les personnes à qui je suis attachée parce qu'a chaque fois que je l'ai fais, je les ai perdu. Je suis pas ce genre de fille a dire Je t'aime a chaque fois que je le pense, J'ai qu'une seule vrai manière de te le faire comprendre, c'est de te le faire sentir par mon corps, par mes gestes qui sont les plus sincères de tous. En tout est pour tout j'ai du te le dire une seul fois et le penser 6 566 400 fois soit a peu prés une fois toute les seconds depuis dix mois et ça même durant mon sommeil, c'est aussi le nombre de mes battements de coeur qui ne sont rien que pour toi. C'est vrai, c'est toi malgré toutes les ombres aux tableaux, parfois les mots ne suffisent pas et il ne sont pas assez fort pour décrire ce qui se passe à l'intérieur de nous, c'est mon cas. Quand tu es là, mon corps le sent et quand tu ne l'es plus je perds quelque chose et sa me déchire. Tu as été blessé, volé avec ce besoin d'obscurité, de tristesse dans ta vie dans ton passé et puis je suis arriver pas forcement au bon moment, peut-être trop tôt ou peut-être trop tard. Tu es le premier homme a me touché de cette façon me fessant perdre entièrement mes moyens. Tu as touché mon coeur, je sais absolument pas comment tu t'y es pris, je t'avoue que j'ai peur que tu lise ces mots et que tu en es peur, parce que temps que je ne disais rien tu l'imaginais et la c'est ce que je ressens. Je veux que tu es sache que tu es libre, libre de pensé a toi et d'aller ou tu veux pour aller chercher ton bonheur. Je ne veux pas vivre sans toi mais si c'est mieux pour toi, j'accépte. Je ne cherche pas quelques chose de stable, je te cherche juste et tu m'as trouvé un jour étendu sur le sol ta chambre perdue, tu étais là.

La vérité c'est que tu es en moi comme-ci tu t'étais immiscé dans mon Adn, quelque par sous ma peau, sans avoir rien demander avec une insolence bien à toi. Prend moi dans ta mémoire et oublie le reste, oublie que ton sang à coulé dans la pénombre parce que tu cicatrise même si tu ne le vois pas. 

Damon Matthew Tallis, Je t'aime, par écris, de par ma voix, de par mes pensé, de par mon corps. J'ai envie de le crié au monde entier mais je suis bien trop timide pour le faire. Ce mot n'est pas encore assez fort pour te dire que tu me fais exister rien quand mettant ta main dans la mienne et la seule chose que je souhaite c'est de te voir sourire entièrement. 

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Damon M. Tallis
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    Dust in the wind.

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MessageSujet: Re: (-16) Black Smoke Attack   (-16) Black Smoke Attack - Page 2 EmptyMar 19 Oct - 1:46

Mes muscles étaient dilatés par une colère indescriptible et trop puissante pour qu’elle ne s’éteigne rapidement. Je ne savais plus quoi penser avec cette fille, ni même quoi faire. Est-ce que ce sentiment de malaise était normal ? Les signes qu’elle essayait de me faire comprendre me disaient oui, mes sens me disaient non. Est-ce qu’un malade avait le droit à la raison ? Non, il devait se taire et se laisser faire. C’était exactement la situation dans laquelle je me trouvais. Après avoir marché sous une pluie d’acide tout au long d’une adolescence que je n’avais jamais connu, je me retrouvais dans une cage où j’étais entré de par moi-même mais ne trouvais plus le moyen de m’en échapper. Pouvait-elle décider à ma place de ce qui était bon pour moi ? Aurais-je le cran de risque sa présence ainsi que celle d’un meilleur ami qui me disait souvent que j’avais tort et qui la protégeait plus que je ne l’aurais imaginé ? La fissure persistait à prendre de l’ampleur. Je me sentais englouti dans un tourbillon d’injustices et de refus. Depuis quand fonctionnais-je selon les envies d’une femme ou même de mes amis ? Plus rien de ce que j’étais avant ne me ressemblait à présent et j’avais cette sale impression qu’une partie de mon âme s’effondrait sous leurs yeux indifférents à mon mal. Je restais vide de compassion, vide de présence, vide d’affection. Totalement incapable de remplir ce rôle qu’ils m’avaient donné pour que leur vie soit plus douce et moins irréelle. Je marchais sur des morceaux de verre, le cœur violent et l’âme intransigeante. Quelle est l’utilité d’ouvrir les yeux sur des connaissances déjà acquises ? Je n’avais pas besoin qu’on me le dise des centaines de fois, j’avais très bien compris l’or qui glissait entre mes doigts sans que je ne tente de le récupérer. Et pour cause, je n’avais jamais rien demandé. Le mal qu’ils ressentaient n’était présent que par leur volonté et c’était sans doute le drame le plus conséquent pour eux.

La vérité, c’était que je ne savais pas ce que je voulais. Je ne voulais pas de ce bonheur si le mal était bien caché derrière. Je n’étais juste pas prêt à me donner tout entier, à donner cet amour qui débordait parfois dans mes lignes, qui débordait de moi-même sans qu’elle ne l’aperçoive, ne fusse qu’un instant. Contre toute attente, j’en souffrais déjà alors que je ne voulais rien donner, rien partager. Toujours noyé dans une inaccessibilité qui était devenue naturelle avec le temps, la pression ne changerait rien et ne ferait qu’empirer mon comportement déjà négatif. Elle ne se rendait pas compte qu’avancer sur ce terrain c’était comme enfoncer le détonateur d’un explosif. J’étais tellement furieux de me sentir si forcé à faire des choses que je ne comprenais pas, que je n’arrivais pas encore à saisir. Furieux d’avoir la sensation qu’elle essaye de me changer alors que je n’avais jamais voulu qu’elle fasse tout ceci, qu’elle aille jusqu’à se perdre elle-même juste pour que je la regarde ou même que je lui adresse une parole. J’avançais dans un sens que je ne connaissais pas avec la peur au ventre, le malaise des tensions lunatiques. Qui étais-je ? Et où allais-je au juste ? Pourquoi tout était si douloureux ? Pourquoi j’avais mal de les voir vivre alors que je ne faisais que jouer la comédie pour paraître fort ? Je ne voulais pas cette attention, je n’avais pas besoin de bras pour m’entourer lorsque ça saignait trop fort à l’intérieur. Je refusais. Je refusais qu’on me voit faible et sans rien pour me défendre. Ca me terrifiait. La colère était plus facile à montrer et était censée les éloigner de moi alors pourquoi elle restait ? Elle se faisait du mal en m’aimant, je n’avais jamais dit que j’étais ce genre de gars, ceux dont toutes les filles rêvaient. J’étais le contraire et me supporter était douloureux. J’avais l’habitude de faire du mal aux gens que j’aimais simplement car je ne voulais pas qu’ils me voient blessé même si c’était une évidence étrangement visible. Je refusais leur sympathie mais j’avais besoin d’eux. Pour tenir. Pour être plus fort.

« Non, j'ai autant mal que toi »

« Aime moi, déteste moi, tue moi si ca te chante, elle viendra pas te chercher avant pour autant, tu te fais souffrir tout seul avec ça. Je refuse de faire comme-ci tu allais bien or que c'est faux »

Les choses que me disaient Auréa agissait sur moi comme un remède intemporel, la durée de mes souffrances n’avaient plus d’importance vu qu’elles n’existaient plus. Elle imposait la réalité sous une clémence tellement vraie que je ne savais que rarement répondre. D’ailleurs la plupart du temps, je ne répondais pas. Peut-être par fierté, pour ne pas avoir tort sur le jugement de ma propre existence. Le froid de l’indifférence et de l’absence d’une autre femme me blessait régulièrement alors qu’elle ne cessait de me tendre sa main, espérant sans cesse que je la prenne. J’étais stupide d’avoir aimé dans l’ombre, stupide d’avoir attendu une cause qui m’était dès à présent interdite, ça n’avait pas de sens. Auréa était là, prête à me donner cette foutue affection que je désirais bien silencieusement. J’étais fatigué de l’indécision, fatigué de rester entre deux eaux totalement différentes l’une de l’autre. Ce n’était plus vivable, respirer devenait quelque chose de difficile lorsque Maxim était dans mon esprit. Elle aspirait mon air en raison de cette fascination que j’avais pour chaque geste qu’elle faisait, si Auréa n’était pas présente, j’avais presque la certitude d’être mort. Chaque fois qu’elle me faisait comprendre que j’avais de l’importance, chaque sourire que j’arrivais à lui donner me rendait ce souffle qui s’échappait dans les plaintes d’une impossibilité à aimer. J’étais sous le commandement de mes sens en perdition, me noyant lamentablement dans des tréfonds défiants toutes les pensées divines que j’étais capable d’imaginer. Un hurlement strident résonnait en moi comme la haine courrait trop vite dans mon sang trop liquide et vif pour leurs yeux brûlés par les larmes satinées de compassion. Je regardais mon propre assassin à chaque regard posé sur cette glace provocante, des courbatures martelaient l’intérieur d’une âme que j’avais appris à faire souffrir sans remords, sans regrets. J’étais maître de mon propre meurtre, vacillant entre la réalité et les rêveries vagabondes de mon imagination trop frêle pour solidifier la texture de mon courage. Aimer ou plaidoyer coupable à la cour d’assise d’une société vomitive. Tout était programmé dans l’inconscience de mes actions trop violentes pour qu’ils osent regarder, pour qu’ils supportent ma propre douleur. La solitude ne finira donc jamais et cette problématique blasphémait son cœur déjà malade d’avoir été vide d’une enfance asséchée d’affection et de considération.

Je n’étais qu’un tissu de mensonges inconsidérablement dissimulé sous ce voile d’humour et d’ironie qu’aucun ne comprenait assez facilement pour voir la vérité secrète de mes songes et lamentations constantes, meurtrières. Je n’étais qu’un artifice du genre humain contemplant sa propre dégradation. Qu’importe les preuves d’homicide, les traces de poudre retrouvées sur ce corps trop faible pour gérer ses propres capacités. Je respirais. Encore. Dominant de la douleur, dominant de mes propres rêves brisés et de cet amour inconditionnel qui s’évapore en ignorance muette et inaudible. J’écrivais souvent la mort sur mes veines avec cette aiguille de précision planté dans mon bras, me transportant là où je ne sais pas, me laissant savourer un plaisir chimérique et complètement addictif. Sous emprise de stupéfiant avec l’espoir qu’un jour mon cœur redevienne enfant malgré ce mur en béton armé que je devais franchir, que je devais briser pour tenter de voir cet autre côté que je m’étais interdit. Mon âme n’était qu’une guerre…. Contre moi-même. La délivrance était une concrétisation gênée, murmurée dans des confidences après l’amour partagé avec elle. Je laissais tomber ces émotions incandescentes pour ne pas faire briller cette valorisation mensongère et remplie d’épines doloristes. L’instant de pause restait immobile dans le temps, les jeux n’étaient plus ouverts et j’avais quitté ma vie pour le néant, pour l’obscurité. Encore plus solitaire qu’auparavant, je savais que plus rien ne serait comme avant et je ne construirais pas d’espoir sur les ruines d’une tour brisée par l’importance. Je n’avais que faire de cette importance. Etre seul était une situation acceptable pour un homme haineux jusqu’à en faire saigner le cœur des autres. Autres qu’il avait appris à haïr de toutes ses forces. L’impression de danger n’était qu’un aspect fantomatique derrière mes pas. J’avais perdu assez de chose et me forcer devenait la seule solution. Je ne céderais pas. Sous le fer, sous la douleur morale, sous la douceur, sous le charme ou même sous les cris. Je restais impassible d’amour. Jouant sur l’arrogance dérangeante. Je n’avais pas peur des longs discours vu qu’ils étaient déjà morts. Un plateau d’échec était mon propre panorama. La colère ne me rendait que plus assassin. Le défaut était la rancune, la vengeance préparée dans l’ombre. Je ne pardonnais jamais, au-delà de toutes mes paroles. J’éteignais ma cigarette comme si j’éteignais ma conscience. Le frottement du papier usé s’appropriait ma peau froide comme le gel. Ce n’était pas que la drogue, ni même la dépendance. C’était l’usure de toutes ces années balafrées, violées comme des putains. Je ne la regardais même pas, encore asphyxié de rancune, maîtresse de ma voix que je faisais taire.

Auréa Eden a écrit:
Damon,
J'ai eu du mal, j'ai beaucoup de mal en réalité a dire mes sentiments pour les personnes à qui je suis attachée parce qu'a chaque fois que je l'ai fais, je les ai perdu. Je suis pas ce genre de fille a dire Je t'aime a chaque fois que je le pense, J'ai qu'une seule vrai manière de te le faire comprendre, c'est de te le faire sentir par mon corps, par mes gestes qui sont les plus sincères de tous. En tout est pour tout j'ai du te le dire une seul fois et le penser 6 566 400 fois soit a peu prés une fois toute les seconds depuis dix mois et ça même durant mon sommeil, c'est aussi le nombre de mes battements de coeur qui ne sont rien que pour toi. C'est vrai, c'est toi malgré toutes les ombres aux tableaux, parfois les mots ne suffisent pas et il ne sont pas assez fort pour décrire ce qui se passe à l'intérieur de nous, c'est mon cas. Quand tu es là, mon corps le sent et quand tu ne l'es plus je perds quelque chose et sa me déchire. Tu as été blessé, volé avec ce besoin d'obscurité, de tristesse dans ta vie dans ton passé et puis je suis arriver pas forcement au bon moment, peut-être trop tôt ou peut-être trop tard. Tu es le premier homme a me touché de cette façon me fessant perdre entièrement mes moyens. Tu as touché mon coeur, je sais absolument pas comment tu t'y es pris, je t'avoue que j'ai peur que tu lise ces mots et que tu en es peur, parce que temps que je ne disais rien tu l'imaginais et la c'est ce que je ressens. Je veux que tu es sache que tu es libre, libre de pensé a toi et d'aller ou tu veux pour aller chercher ton bonheur. Je ne veux pas vivre sans toi mais si c'est mieux pour toi, j'accépte. Je ne cherche pas quelques chose de stable, je te cherche juste et tu m'as trouvé un jour étendu sur le sol ta chambre perdue, tu étais là.

La vérité c'est que tu es en moi comme-ci tu t'étais immiscé dans mon Adn, quelque par sous ma peau, sans avoir rien demander avec une insolence bien à toi. Prend moi dans ta mémoire et oublie le reste, oublie que ton sang à coulé dans la pénombre parce que tu cicatrise même si tu ne le vois pas.

Damon Matthew Tallis, Je t'aime, par écris, de par ma voix, de par mes pensé, de par mon corps. J'ai envie de le crié au monde entier mais je suis bien trop timide pour le faire. Ce mot n'est pas encore assez fort pour te dire que tu me fais exister rien quand mettant ta main dans la mienne et la seule chose que je souhaite c'est de te voir sourire entièrement.


Ma respiration tremblait de lire ses lignes, couchées sur un papier simple, blanc, ligné. J’observais la calligraphie de ses lettres et mon cœur s’agitait entre la colère et l’amour qu’elle me donnait, quitte à souffrir. Mais je ne savais pas et je ne savais rien. Vidé de toute justification, je n’arrivais plus à m’expliquer ou même à donner des raisons valables. Ses sentiments éclataient sous mes yeux alors que je refermais simplement cette lettre le plus calmement du monde. Posée sur la table de chevet, mon regard se posait enfin sur elle. Complètement renfermée, les joues humides des brûlures infligées. Ce que je ressentais était trop froid. Pourquoi serais-je une exception ? J’étais confus, ne trouvant pas ma place, ne sachant même pas où marcher ni à quelle vitesse. J’assimilais ce qu’elle ne m’avait dit qu’une fois avec un arrière-goût dans ma gorge nouée, l’envie de commettre génocide que je refoulais. Pourquoi maintenant alors que j’étais en colère ? J’étais censé lui ouvrir les bras et lui dire que j’étais complètement fou d’elle ? Sans doute. Je restais inerte durant des minutes qui m’ont parût des heures... Tentant de ravaler ma rage ou même de penser à autre chose mais j’en été incapable. J’enterrais mon amour, lançais mon affection dans un puit et c’était tout simplement horrible. Ce n’était pas le moment, même si tout était réciproque au-delà des fissures, des incompréhensions mais je ne pouvais pas et la colère était douloureuse. Elle me brûlait en enlevant le bandage sans même qu’il ait été mis. La rapidité des choses me faisait tourner la tête et l’esprit. Le désordre, dans mon esprit. J’avais envie de partir en courant mais j’étais cloué à cet endroit, cloué par une responsabilité qui réduisait ma propre respiration, je nageais dans l’injustice. Complètement conscient que j’étais fini, que je n’avais plus aucune emprise et que tout n’était plus dirigé. C’est tout.

- Je peux pas te répondre. Tu sais déjà. Je me sens pas capable de te le confirmer. J’ai pas envie de comprendre, je veux plus avoir de conversations même si elles n’ont jamais commencé. Peut-être que c’est la colère qui m’en empêche mais je peux pas. J’ai juste envie de partir, partir et être seul mais je le ferais pas. Par volonté je resterais, sans même savoir pourquoi. Et ça me fait mal de pas me comprendre moi-même. Ca arrivait pas avant. Et pourtant, je me tais et je reste.


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Sydney Ian Moon
    Spiritual Birth

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MessageSujet: Re: (-16) Black Smoke Attack   (-16) Black Smoke Attack - Page 2 EmptyLun 8 Nov - 2:15

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    Indéfini : L'indécence des seconds ne fessaient que s'user bêtement a travers mon corps, comme un laxatif dépouillé de tout utilité. Ces yeux laiteux toujours fixé dans l'impureté de mon ombre qui m'éteignais. Mon cerveau comaté comme un vulgaire homme aigrie étant resté assis toute sa vie. La radiance de ma solitude s'épuisait, j'étais comme cette aiguilles des heurs qui cherchaient a rattrapé celle des minutes qui elle s'amusait à courir plus rapidement vers les seconds qui dévaler les tours plus rapidement les uns que les autres. C'était ce qui me tué, cette attente infernale, je l'avais toujours attendu. Kasey, là maintenant je t'attend encore et encore. Elle était bloquée, ma faute certainement mise a nue devant un fait qu'elle ne maîtrisait pas. Moi, la discordance de mon être n'était que plus aigu et l'ambiguïté gagner mes sens. Cette femme possédait ma moral inconnus, celle que j'avais toujours fait taire, cela pouvait paraître affolant. Mes sentiments étaient coupés en plusieurs parties, savoir pourquoi ? Je ne sais pas. J'étais affecté de cette course infernale qui durée depuis des siècles et des siècles. Les portraits étaient tous épuisés ou tout simplement trop sombre pour la graphie de ceux-ci soit vu. Mon coeur était cassé de trop attendre, elle allait partir de toute façon. Je lui accordais sûrement une chance de recommencer, de savoir si j'étais vraiment ce sentiment qui la guidait vers moi, où si c'était juste un jeu en ce qui me concernait j'avais des doutes. Je n'étais pas fait pour avoir des doutes, je ne voulais que des certitude, pas le temps de vivre dans le doute. Chaque empreintes s'effaçaient à travers mon univers et mes neurones s'amusaient.. s'amusaient. Introvertie mal traduite, mal interprété, sans savoir laquelle était vrai. Dans la fin, tout est à l'intérieur de moi et je balançais tout mes mots. C'est mon attente qui la rendait importante. Mes syllabes malades qui s'engloutissaient au font d'un puits en bétons, j'avais mis ma confiance dedans comme un aveugle. Les sacrifices étaient enclenchés et ma tête me donnait la migraine. Ce qui était en moi jouait vulgairement comme un produit illicite s'extasient un vulgaire junkie, je me retrouvais ailleurs.

    5H30 : J'étais dans le salon, mes pouvoirs avaient joués, j'étais sûrement encore avec Kasey quelques par pendant que dans un autre monde parallèle tout avançait, je ne comprenais pas ce que je venais refaire ici quand j'étais avec Kasey attendent ça réponse. J'étais sur le canapé en spectateur, je voyais des personnes passent tout d'abord Aaron accompagné d'une jeune fille encore jusque là totalement inconnus a mon égard, elle était charmante, elle me salua d'un signe, je fis de même. Aaron me parla quelques seconds, je ne comprenais rien à ce qu'il me racontait. La porte s'ouvrit a nouveau et mon grand ami Hayden fut son apparition l'ironie me prit. Hayden était la définition de ce qui me dérangeait, il était vraiment frère avec Damon et il gâchait cette chance de l'avoir. Une femme et un homme l'accompagnait, je ne savais pas qui ils étaient. Putain de matin, resté couché aurait été aussi une bonne solution. Homme se présenta comme étant Matthew Tallis le père de Damon et la femme qui regardait tout autour d'elle devait certainement être sa mère, je n'avais pu de mère ni de père mais j'aurais certainement aimé qu'ils soient la, pourquoi je pensais ça je n'en avais aucune idée puise que de toute façon ils étaient tout deux sous terres. On entendait des bruits, des cries de bonheur, qui ressemblaient à ceux que l'on attendait lorsque l'on avait des moments d'intimité, j'espérais que la mère de Damon n'eut pas entendu, je l'emmenais sur la terrasse en lui proposent du café. Je rigolais tout seul pendant un moment, ils fessaient fort.. mais qu'est-ce que je préférais les voir complices et qu'ils fassent des gaffes ensembles plutôt que de les voir se déchiraient, les bruits assourdissent dans ma tête ne fessait que continuait

    Je me retrouvais dans le salon une nouvelle fois, il était plus tôt dans la journée, j'eus le reflexe de regarder ma montre 5h, dans une demi heurs les parents de Damon se pointe. Auréa apparaissait en furie vers la cuisine et pas habillait que de ces sous-vêtements. Je ne savais pas ce qui se passait et en faite ce qui était entre eux ne me concernait pas. Je n'avais pas à me meler de leurs sentiments. Je les voyais toujours de cette façon différente, Lui étant comme mon frère, je lui en voulais depuis quelques temps... depuis quelques temps il me manquait. Je lui montrais très mal, maladroit avec les sentiments. Je ne savais pas en réalité pourquoi il était parti, pourquoi il n'avait rien dit. Je n'avais su faire qu'une seul chose, montré une apparence. Non, ce n'est pas grave.. va t'en si tu as a envie. A l'intérieur de moi, ce n'était pas du tout comme ça, la perte de ma famille me fragilisait, j'en été devenue fou jusqu'à aller au Vatican que sa soit Damon, Hyde, Kasey ou Auréa, il fessait partie de ce que j'étais tous les jours. « Auréa, quoiqu'il se passe parle le lui, il en a autant besoin que toi » Auréa était quelqu'un de très particulier pour ce que je représentais, elle avait vite compris ma peine consternant l'absence de mon meilleur ami durant la période de deuil qui m'avait entouré mais aussi, tout s'était enchaîné, rapidement dans un silence qui n'était pas le mien. Qui était loin d'être le mien, loin d'être vrai, sang, drogue, meutre. Mon sang avait trop chauffé a cette nouvelle, elle l'avait devinée. C'était ce qui la caractérisé, devinée sans qu'on est lieu de le montrer que ça soit avec l'un de nous. C'était sans doute une des raisons pour laquelle, elle vivait dans cette maison avec nous trois. La récession s'activait maladivement dans mes poumons. Sa nature très calme cachait beaucoup de choses, je le savais. Sa peau avait beau être lisse, à l'intérieur elle était loin d'être vide. Sa colére fit exploser le verre qu'elle avait entre les mains, je comprenais sa maladie qui la rongeait, j'avais la même. « Pour qu'avec ta force de mouche tu puisse casser un verre, tu dois être vraiment retourné pourtant il y a pas cinq minutes on t'entendait, autrement. » j'hottais les bouts de verre qui étaient planté dans sa mains et je n'avais pas fais le rapprochement qu'en faite je parlais de mon futur et pas du sien.. on était pas dans la même chaîne temporel. Il fallait qu'elle ouvre son coeur a Damon, elle était douée pour apaiser, douée pour soigner. C'était vitale qu'ils se parlent, je n'aurais jamais cru jalouser une relation entre deux être humains mais la leurs était bien plus qu'une relation amoureuse. J'avais vu Damon tourmentait pour quelques femmes, je l'avais vu mort pour certaine d'entre elles et je le voyais résucité pour Auréa. Je le voyais souffler, respirer rien qu'en son nom même si parfois il le cachait uniquement par fierté ou la peur d'être blesser. La vérité on la connaissait, chacun de ses frères la savaient Auréa ne voulait pas existait sans Damon et Damon avait besoin d'avancer avec elle. Quand ils étaient séparé, il avait leurs manière d'agir, lui s'enfermer dans une bulle stérile de tout sentiment, éjectant tout et en se couvrant avec des espoirs qui n'existaient pas essayant de ce dire qu'il fallait qu'il soit balancé entre deux chaises du passé mais on le savait que s'il balançait ce n'était qu'uniquement qu'un seul coté, vers Auréa. Pendant qu'elle mourrait en son nom ne cessant de vouloir vivre que si il était a ces cotés. C'était quelques choses de complexe et simple a la fois, une utopie, la leur, Incassable même étant fissuré. «Je l'aime, vraiment. » .c'était une évidence qu'ils s'aimaient plus que tout l'un et l'autre, seulement se le montrait a leurs manière. « Qui ne le sait pas? fait ce qui est bon pour vous... mais prend un t-shirt avant juste comme ça , il risquerait d'être distrait » j'avais fais un peu d'humour pour la rassurer, elle était magnifique quoiqu'elle fasse et pour moi elle resterait toujours la premier femme ayant fait battre mon coeur, même si elle était devenu comme une soeur pour moi et que mes sentiments d'amour pour elle était mort, elle restait quand même un rayon de soleil. Je la serrais contre moi, oui, elle avait besoin d'un ami. Je réalisais aussi que mon frére avait sans doute besoin de moi a cette heure la... ce n'était pas facile de tempérer les choses, je ne voulais pas me mêler de leurs sentiments parce qu'ils étaient tous dans la maison important pour moi. Hyde restait le mystére, je ne comprenais pas son attente.


    Usée d'être. J'en étais creusé, mon coeur battait et pourtant je ne le sentais pas, parfois j'ai tellement envie de l'arracher pour savoir s'il est encore en moi. Je suis un bout de papier froissé, brûlé et donné en cendre. Un message jamais lu.. ce que j'ai cherchée dans la poussière ? Une famille, un père, un frère, des soeurs. Des choses que j'ai perdu ou que je n'ai pas su saisir. J'ai essayé de les trouver ailleurs, je les ai trouvée ailleurs.. eux. Vous m'adoptez? C'est ce dont j'avais besoin.. ils étaient là quand j'avais emménager chez Damon je savais que quelques chose nous uniser, je n'en avais aucune idée et pourtant ce que je ressens quand je me lèves depuis quelques mois ? un poids dans mon thorax qui ne veut pas s'en aller tellement que j'en finis par en avoir la nausée. J'en ai pris l'habitude, oui avant il était là sans arrêt, je n'y fessais même plus attention. Sa présence, voilà ce qui me manquait, j'étais qu'un paumé et lui aussi. Je ne pouvais plus me battre pour que ma famille m'aime a nouveau, j'en ai plus la force, non, c'est trop fatiguant. Vous pouvez me traiter de fou, de paranoïaque : vous avez raison, je le suis. Adoptez moi, ou fermez moi la porte à jamais. J'ai toujours cru être un mensonge, depuis toute petit. Mes os se sont déguisés pour paraître mais la réaliter c'est ils sont comme mes neurones, ils ne fonctionnent plus. Certain yeux sont fait pour pleuré en silence, mes larmes coulent à l'intérieur et je suis certainement en train de me noyer dans la sphère de mes yeux, c'est pareil pour eux je le sais... Je ne peux pas m'empêcher d'aller vers ceux que j'aime, non je ne peux pas. Même si parfois les premiers pas sont de plus en plus difficile, non je ne sais pas comment faire pour être ce qu'il faut. Mettre un nom sur ce sentiment qui persiste en moi ? Je suis dangereux pour moi-même et cette vision de leurs faire du mal m'atrophie l'estomac. J'essaie...J'essaie avec tout ce que j'ai en moi de ne pas vous voir partir, parce que je ne veux pas que cela arrive. Je suis en mode repeat parce que vous savez déjà tout ça et je finis par en être pitoyable. J'essaie de faire se fichu premier pas vers Damon, oui, je veux le retrouver même si il ne m'a jamais réellement quitter. J'entendais a travers la porte des mots, c'était pas mon genre d'écouter aux portes mais il fallait que je lui parle. « - Je peux pas te répondre. Tu sais déjà. Je me sens pas capable de te le confirmer. J’ai pas envie de comprendre, je veux plus avoir de conversations même si elles n’ont jamais commencé. Peut-être que c’est la colère qui m’en empêche mais je peux pas. J’ai juste envie de partir, partir et être seul mais je le ferais pas. Par volonté je resterais, sans même savoir pourquoi. Et ça me fait mal de pas me comprendre moi-même. Ca arrivait pas avant. Et pourtant, je me tais et je reste. » C'était peut-etre pas le meilleur moment d'entrer.. Il dissait des mots sous la colére, mais il ne se rendait pas compte que la force était parti? qu'on s'époummoné tous des bas et que la torpeur avait remplacer notre courage. Il parlait avec elle des vraies conversations, pourquoi lui dire l'inverse? Etre seule ? il venait faire sept mille cent vingt sept kilométre, pour lui faire l'amour et lui dire ensuite qu'il avait besoin d'être seul? Il était venu de lui même, je ne saisisais pas vraiment.

    Que je ne comprenne pas n'était peut-être pas si importante que ça.. qu'il se montre sibyllin de cette façon c'était certainement qu'il était perdu. Je ne pouvais pas, rester la derrière la porte a attendre patiemment qu'il l'ouvre pour vraiment la laisser seul parce qu'il avait beau semblait hermétique, il l'aimait. J'entendais cette phrase dans ma tête qui raisonné « Il vaut mieux brûler franchement que s’éteindre à petit feu. » avais-je le droit de passer outre les mailles des principes ancrés? Peut importe, je ne savais ce que j'étais a ces yeux, mais ce qu'il fessait là n'arrangerait rien... bien au contraire. Mon pouvoir de volonté, je ne savais pas comment il fonctionnait, il s'enclenchait avec la peur, la colére ou ce genre de choses. Si je pouvais lui demander sincèrement ce qui se passe. Pourquoi ce silence indécodable qui perciste? Ma frustration prennent le dessus, le temps ce figeant comme un engrenage bien ficelé, déjà vu. Je sentais les misérables vingts quatre grammes qui se secouaient dans mon corps, c'était de l'appréhension. J'arrivais dans la chambre d'Auréa. Elle était figé par le temps, recroqueviller sur elle même comme une fétus. Je rendais visite a ces souvenirs pour savoir ce qu'il la rendait de cette manière. Je m'asseyais au bout du lit sans un mot. Juste avec mon silence, cherchant des réponses à travers ces souvenirs. Je voyais Damon partagé coupée en deux parties, avec une pointe de cette façon lunatique qui le caractérisé parfois. Je voyais également de la drogue dans l'enjeu, de la colère. Je l'aurais jeté aussi, c'était pas lui rendre service d'accepter sa drogue, on pouvait pas aller contre. C'était un combat inutile car ce n'était pas le notre, on ne pouvait pas être pour. Auréa ne jugeait en rien ses crises en se contentent d'être là et en faite c'était bien là seule, étant donnée que j'avais fais gréve a cause de ces fichues sentiments de colère qui m'avait pris. Il se lapidait l'esprit par sa propre volonté avec une colère démesurée, un cran de fierté. Pourtant l'ablation l'un à l'autre de leurs vie était quelques chose d'impossible.





    « Elle allait te dire la raison pour laquelle tu restais, l'unique raison pourquoi t'arrive pas a partir: Tu l'aimes. Même si ton coeur peut-être éclaté en millions de particules, tu l'aimes. J'ai sûrement pas le droit de m'en mêler, non, mais tout est en train de se casser la gueule, nous, vous, tout et j'ai du mal a rester là sans rien dire... Tu sais, j'ai encore confiance en toi et tu me manques. Il est peut-être temps que je cesse d'être en colère de ton absence et d'avoir cette place qui m'était attribué, j'en sais rien. Je viens de voir en elle, juste là comme ça... Tu n'arrive pas a oublié une autre femme mais je sais que tu ne respire que par Auréa, tu peux dire autant de fois que tu voudras que t'as besoin de personne oui, tu l'as déjà fait.. mais on sait tous que t'as quand même besoin de nous, sinon tu serais reparti.. illico, loin, quelques part, peut importe l'endroit mais non, t'es venu ici, en Italie, pas pour être seul mais pour la retrouver.. pas que pour lui faire l'amour et basta. T'en était capable, de faire l'amour juste pour faire l'amour mais je sais que c'est beaucoup plus que ça. Tu as beau t'enfermer dans une réalité qui aurait pu être, tu sais même pas si ça aurai fonctionner en fait. Pourquoi je me permet de te dire tout ça ? Je te l'avais dis que si elle avait mal ca serait plus compliquer, ça l'est... je vois mon meilleur ami se tourmenter, je la vois complètement en flippe parce qu'elle veut que toi et elle persuadait qu'elle est pas comme il faut. Pourtant vous vous accrochez l'un a l'autre, depuis le début, d'abord physiquement puis les barrières psychique on cédée. Je t'envie d'avoir ça, tu le vois certainement pas, peut-être que t'es encore totalement fou de ce qu'elle a fait mais si elle la fait c'est parce qu'elle veut pas te voir te détruire, elle t'aurait pas laissé tomber. Même en cas de colère elle partirait pas et en faite vous êtes les mêmes sur ce point, c'est vrai que sa pourrait être plus simple dans les moments dures, vous le pensez parfois mais vous en êtes incapable de le faire. Vous avez des blessures qui sont identique qui ont était faite par d'autre et vous avez besoin l'un pour l'autre. Je pense que c'est plus fort qu'une définition toute faite vous êtes Auréa et Damon, vous défiez les chiffres, la gravité et ce genre de connerie déjà toute faite, je me demande ce que vous ne défiez pas ensemble... vous vous observez pendant des heures, en parlent aussi pendant des heures. Il y a cette complicité entre vous qui va même au delà de ce qu'on pourrait appeler de l'amour, c'est presque si on entend vos coeurs a 500 mètres quand tu poses tes mains sur elle ou quand elle le fait sur toi. Et parfois ça va pas pas aussi, étrangement dans la maison sa devient pesant elle se retrouve sous la table et toi sur le canapé, il y en a toujours un qui va vers l'autre, d'une façon ou d'une autre et ça a voir de l'extérieur c'est comme un aimant. A chaque fois, que l'un rejette l'autre au finale vous revenez encore plus fort. Elle te donne ce qu'on t'as volé sans rien te demander en retour, laisse cette colère de coté ça en vaux pas la peine.. vraiment pas, je parle en connaissance de cause, parce que à cause de ça je t'ai peut-être perdu. Je suis désolé, j'aimerais réparer beaucoup de choses et j'aimerais t'avoir retenu à chaque fois que tu es parti.. j'aimerais t'aidé même si tu veux pas de mon aide, oui je pense que je peux faire quelques chose là... Dans une demi-heure, tes parents vont arriver ici dans cette villa, je peux pas vous laissez comme ça. Tu t'interdit de la serrer dans tes bras mais j'aimerais que tu vois à l'intérieur, elle en a vraiment besoin . C'était pas un choix, ni un sacrifice parce que t'avais rien a perdre ni a gagner, c'est juste une putain d'évidence . Laisse moi te faire voir, ce que je vois, accorde moi ta confiance »


    Je contrôlais pas vraiment l'endroit on arrivait été juste là ou Damon voulait aller, j'en savais rien si c'était son passer, son avenir, seul lui le savez si il avait déjà vécus ce moment ou pas. On était dans la cave, il y avait des bouts de tissus accrochés au mur avec quelques que bougie allume, ils étaient en dessous de ces bouts de tissus. Auréa était entre les jambes de Damon et elle avait resserrée ces bras contre ca taille. Il était a mes cotés, il regardait a mes côtés ce qu'il se passait, on s'était assis en silence. Ils ne nous voyaient pas, ne nous sentais pas. On les regardaient qui parlé d'un sujet de jalousie de Damon , Auréa tripota un collier qu'elle avait autour du cou et il s'était mis a l'embrasser.

    -Comment on dit je t'aime en Russe ?
    - ça se prononce ya lyublyu tebya
    on voyait Auréa essayer de le prononcer avec une difficulté amusante :
    - yaaaa lyublyu tebyaa
    il lui répondit : - Ya lyublyu tebyu bolshe chem nichego
    - Ca veux dire?
    - Devine
    - Il y a je t'aime dedans, bolshe ca veux dire quoi?
    - Plus
    - Chem?
    - Cherche
    - Plus que les nains de jardin? Il ne lui répondit pas, il la regardait..
    - Tu coopére pas totalement a mon illettrisme russe nichego ca veux dire quoi ?
    - Vy dumaete nepravil' nye veshci
    Elle le regarda étrangement parce qu'elle comprenait pas
    - Je t'aime plus que tout pour Ya lyublyu tebya bolshe chem nichego
    - Ya lyublyu tebya bolshe chem niechego aussi
    - Et pour vy dumaete nepravil'nye veshchi c'est tu penses des choses qui sont fausses
    - Qu'est-ce que je pense comme choses fausses ?
    - Que je t'aime plus que les nains de jardin
    - Quoi que si .
    - On a pas de nain dans le jardin .
    - mais j'abaisserais pas aussi bas quoi .
    - C'est parce que je suis petite mais si je serais pas si petite je passerais pas sous la porte.

    L'ambiance qui avait été apaisante, comme-ci les anges du silences c'était posé, ça changeait totalement de l'ambiance dans laquel on été plongeait précédament. Il avait sûrement besoin de ça pour se calmer. Elle restait toujours celle qu'il le mettait contre ces propres principe et qu'il le fessait céder de cette manière en restant une perturbation. Je découvrais une facette de mon meilleur ami que je n'avais pas encore vu, plus doux et elle était certainement l'unique a qui il se montrait de cette manière ou à peu de personne en tout cas. Le système du poker, échanger les places pour voire les cartes des adversaire, je pouvais lui faire ressentir la moindre de ces pensées de ces sentiments. Les terres pouvaient brûler, assécher ou tout simplement ce craqueler, ça ne pouvait pas se briser comme ça, à cause du passer. A croire que l'herbe était plus verte de l'autre coté, a essayer de se tourmenter pour se punir de ce qu'il n'était pas coupable...il en finirait par oublier l'essence même de ce qu'il avait fait se lever. On entendait le coeur d'Auréa qui accélérer rien que quand il la regardait. La, comme ça, entouré de ces bouts de tissus on peut vite comprendre qu'ils sont comme dans un cocon protéger du monde extérieur. Je trouvais ça tout simplement beau a regarder parce qu'elle était là pour lui et il l'était pour elle, sans prise de tête ils allaient de confession en confession c'était ça la réalité de ce qu'il était l'un l'autre. On les voyaient sourire comme des gamins, la souffrance d'avoir perdu son enfance, il en retrouvait simplement un bout a coup de simplicité. C'était quelques chose ayant un sens, immuable et indescriptible. On pouvait les regardaient pendant des heurs comme ça, oui c'était quelque chose qui lui fessait du bien.

    C'est vrai, en faite t'était occupé a te détruire de font en comble et elle est arriver, elle même elle sait pas comment ça ce fait, je pense sincèrement qu'elle mérite les efforts.. la récompense c'est des moments que tu pourras pas oublier comme ça. Elle s'en fou que ça soit pour tout une vie ou même pour un instant, prend ces moments et profite en.

    Tout le monde dit perdre un être humain est horrible mais c'est pas comme ci on allait le retrouver derrière la porte. Courir, encore et toujours.. jusqu'à l'épuisement jusqu'à ce vos poumons explosent dans votre thorax comme une putain de bombe a retardement, voilà ce qui avait en elle. Je retournais à l'endroit de leurs dispute, juste pour lui montrer comment elle se sentait... C'était le plus fatiguant à vraie dire parce que pour lui transmette la totalité des sentiments qu'elle éprouvait je devais me poser comme un écran de télévision. Elle voyait la totalité des métaphores utilisaient. Elle s'abonnait au silence elle n'arrivait même plus à tenir une syllabe.. On pouvait voir sentir son âme s'éteindre, sa peau devenir froide, son coeur ralentir dans une hibernation frêle. Ces fonctions vitales fonctionnaient-elle encore ? « Ceux qui sont morts ne sont jamais partis, ils sont dans l’Ombre » Il avait attendu toute ça vie... elle était le plus enclin à le comprendre. Elle était dans une nébuleuse atrophié par l'attente, elle l'aimait plus que la respiration qui semblait l'étouffer. Je pensais pouvoir lui transcrire le moindre de ces sentiments... mais c'était impossible tellement c'était plus que ça. Les tempêtes pouvaient bien la faire tomber, les souffles ne lui fessaient pas peur. Je lui disais que s'il voulait je pouvais remonté le temps... je ne savais pas réellement quoi faire, parce qu'il s'était son coeur. Je ne pouvais être que la pour le soutenir et respecter ces choix.


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