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 (-16) Black Smoke Attack

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Sydney Ian Moon
    Spiritual Birth

Sydney Ian Moon


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MessageSujet: (-16) Black Smoke Attack   (-16) Black Smoke Attack EmptyDim 18 Avr - 19:06



♦ Black Smoke Attack ♦
(-16) Black Smoke Attack Enjoy .(-16) Black Smoke Attack 1077186.(-16) Black Smoke Attack 24qtgts.(-16) Black Smoke Attack 14e4935
      Hyde M.                       Kasey L.                              . Aaron E..                 . Syd M






Je devais prendre un nouvelle air, par prendre un nouvelle air m'enfuir n'était pas vraiment au programme. Il fallait que je retire le noeud qui c'était enlacé dans mes poumons. Je l'avais laisser s'enlacer, ce lié sans y prêter attention. J'emportais trois choses avec moi, trois utilisation complémentaire. Certainement je n'étais qu'un matérialiste né sur ces trois objets. Mon téléphone, qui me permettait d'assembler des lettres les unes après les autres, des mots qui devenait à la volée des phrases, incomprise. J'imprimais ses mots, et je les brûlais juste pour essayer de saisir leurs sens quand je les voyais partir en fumé devant moi. La fumé noir qui s'évanouissait devant moi. J'arrêtais de songer a mes sentiments qui pouvait tout simplement brouiller ma vision des choses. J'en étais parfaitement capable, arrêter de penser aux visages qui peuvent nous troublez. C'était un recule nécessaire que je devais prendre pour réussir a avancer dans l'obscurité. Sans savoir ou j'allais, j'avançais. J'avais quitter la maison tôt dans la matinée et peu être que durant le chemin je trouverai une réponse. Les réponses étaient tout autour de nous il fallait juste bien les regarder pour les trouver. J'avançais et une façade au allure grecquo-romaine c'était dessiné devant moi. Une architecture au allure de panthéon, de reproduction antique, j'ouvrais la porte de cet enceinte pour me retrouver dans un Hall de gare. Depuis tout petit, j'avais une fascination complète pour l'antiquité. Non loin du tableau d'affichage, il y avait une grande sculpture représentant l'un des dieu qui m'avait toujours le plus intrigué c'était sans aucun doute le roi des Titans, un être immatériel, Chronos. A ne pas confondre avec Cronos. Il était né a la création du monde, et il était humainement représenter d'un serpent a trois têtes. Une d'entre elle était humaine, un fils d'adam. Les deux autres étaient une de lion et l'autre de taureau. Il avait le pouvoir du temps, et s'en été réellement perturbant. J'essayais d'évaluer certaine chose pour en arriver a des hypothèses assez étranges. Et si les dieux de d'olympes n'étaient qu' en faite que des spécimens? Les dieux romains n'étaient que des copies des dieux grecque. J'en revenais aussi aux Dieux égyptiens... Et si chaque figure emblématique qui ayant marquer l'histoire des religions n'était tout simplement que des spécimens ? C'était tout de même étrange. J'avais de plus en plus de question qui s'égrainer dans ma tête et personne pour me mettre sur le bon chemin. Une seul personne, était capable de me répondre véritablement car il avait accès a de vieux document. Des documents uniques, d'une valeur inestimable. Rien que sa sagesse m'aurait mis sur la piste de quelques chose. J'étais donc réellement le seul a me poser autant de question? Parler a Aaron, était maintenant quelques chose de vital pour mon équilibre mental. Des réponses, c'était ce qu'il me fallait. J'étais convaincu que tout était lié, tout avait un sens précis. Je regardais la marque qu'on m'avait faite sur le bras. Pourquoi cet marque, pourquoi cet croix qui c'était incrusté sur mon bras. C'était presque quelques chose de psychotique. Il vivait leurs vie comme ci il était normal, ca me dépasser. Je pouvais pas concevoir que ça leur importer. Damon qui découvrait tout juste ses pouvoirs, et c'était ses émotions qui le régissait, il les maitrisaient pas encore. Hyde n'en parler pas, ne les utilisaient pas et en fin de compte il restait toujours avec se zeste d'insouciance qui le diriger. Je pouvais pas m'en foutre comme il le fessait, j'étais sans doute le seul prenant conscience de se qu'il se passait. Leur tatouage n'attira par leurs curiosité ? Hayden se cachait de plus en plus, il n'avait toujours pas eu de discutions avec Damon et je savais pas ce qu'il se passait en réalité entre eux. Ce que j'avais vite compris, c'était qu'Auréa ne le laisser pas indifférent. Et c'était plutôt amusent étant donné que c'était la seul fille dans la maison. Je retournais rapidement sur mes pas, pour retrouver la maison. J'avais eu l'idée qu'il me fallait pour avoir mes réponses. La provocation était un jeu, dans lequel il fallait être habile. Si je me montrais convaincant que je pouvais facilement avoir les réponses qui me manquaient. Ma tête ressemblé a un vaste pandémonium et il fallait absolument y remettre un peu d'ordre. Mes muscles se tendaient avec une rapidité de plus en plus constante.

Je passais d'abord au manoir, demandant aux ouvriers de stopper les travaux pour la prochaine fête qui allait s'organisé. Je montais les escaliers avec un dédains de détermination. J'avais des flashes qui ne cessaient d'apparaître dans ma tête. Des flashs d'une femme cherchant des réponses, c'était mon pouvoir de me promener dans le temps qui régissait mes mouvements. Je ne fessais que suivre cette jeune fille habiller, d'une robe volante bleu. Elle ressemblait a Auréa, les cheveux de la même couleur, je ne voyais que son visage quand elle se retournait mais pas d'assez prêt pour reconnaître ses traits. Elle se dirigeait avec une bougie, regardent ses arrières si elle n'était pas suivie. Elle ne me voyait pas, mon corps n'était qu'un fantôme dans cet projection astrale. Une grande porte en bois ayant une masse considérable avait était poser la par les anciens propriétaire . Je n'avais pas acheter ce manoir pour ça façade, ni encore pour son immensité mais plutôt pour les secrets qui s'étaient enfoui dans ses murs. J'avais été attiré sans savoir pourquoi, c'était celui là qu'il me fallait pas un autre. La jeune fille que je suivais entrer J dans un corridor ou la lumière était quasi-inexistante. On avait que ça bougie pour nous éclairer. Elle appuyait sur un bouton et elle entrait dans une pièce . A peine eu le temps de la suivre que je la perdais de vue. Me retrouvant dans mon présent , j'étais dans se corridor avec aucune lumière pour me retrouver ou j'étais. Mon pouvoir me fessait perdre toute notion de réalité, c'était ça le plus gênant. Instinctivement je prenais mon Blackberry situé dans ma poche de devant, et j'allumais le flash. J'appuyais sur un interrupteur situé a ma gauche, qui ouvrait une porte mécanique. Visiblement depuis ma vision de la jeune fille, les choses avaient évoluer et le précédent propriétaire avait du installer l'éléctricité. Une grande bibliothèque, des bouquins c'était ce que j'avais besoin pour trouver mes réponses. Je sais pas pourquoi j'y avais pas pensé plus tot, la maison daté de la colonisation anglaise sur les terres américaines. C'était la première fois que j'entrais ici , si j'avais fais plus attention j'aurais pu trouver cet endroit tout seul. Très bien, j'y étais, je savais pas pourquoi mais elle m'avait guidé jusque là. Je savais même pas ce que je rechercher, c'était tellement plus facile de nos jours. D'avoir un mot clé et de taper sur google pour avoir des tats de correspondance a ce que l'on chercher. Visiblement c'était bien plus complexe que de simple mot clé, je devais me laisser guider par mon instinct comme j'avais fait les fois précédente. J'inspirais doucement , la pièce était sombre, aucune fenêtre n'était présente. Il fallait d'abord que j'éclaircisse cet pièce. Je chercher si y avait des interrupteurs mais il n'y en avait aucun. Pourtant il y avait des lampes sur les murs, des lampes sans interrupteurs? Vraiment a tout hasard je claquais des mains, espèrent que ça soit une commande sonore. Bingo. Les lumières s'allumaient et je pouvais enfin admirais l'étendu des manuscrits présent dans cet pièce. Une vie n'aurait certainement pas suffit a tout lire. Je cherchais des indices, les livres étaient tous différent, tous posséder des reliures en or. Ma tête s'emporta de nouveau, j'entendais des sonorités si particulières qui s'écraser dans mon vortex cérébrale. Tic, tac, tic, tac. Incessant, constant de plus en plus fort qui venait s'excitait dans mon conduit auditive, s'attaquant aux tympan fessant vibré mon osselet. Mes nerfs ce conditionner, son une pression encore inconnus. Je devais calmer mes nerfs, faire abstraction de se tic tac qui venait excité mes battements de coeur. Je me dirigeais vers le bureau qui était au milieu de la pièce cherchant un indice. Mes yeux scrutaient chaque recoins de la surface du bureau. Rien seulement de la poussière. Sa m'agacer profondément, qu'est-ce qu'elle voulait me dire en me montrant cet endroit? J'étais même pas capable de trouver quoique ce soit.

Je sortais le deuxième objets qui m'était indispensable, mon ipod, c'était sans doute stupide de le sortir a se moment la mais je savais qu'il allait m'aider, a me calmer, a voir les choses d'une façon plus claire. Je l'allumais, et je mettais mes écouteurs. Je respirais lentement, pour faire dissoudre se tic tac qui venait s'éclater dans mes oreilles . Enfin, il disparaissait. Je regardais toujours se bureau, voyant la surface qui s'arracher, laissent apparaître un dessin. Il ne me fallu pas longtemps avant d'arracher complètement la surface du bureau. Mon esprit se retournai dans tous les sens Oh, My fucking God. C'était quoi ce délire? Sur le bureau était dessiner le même symbole que j'avais sur l'avant bras. A peine eu le temps de respirer, mon esprit s'envola encore, je me fessais poussière. Je retournais une nouvelle fois dans le temps, la douleur me m'était a genoux, en temps que plan astral. Je maîtrisais rien de ce qui se passer aujourd'hui, et sa avait le dont de me mettre dans tout mes états. Je voyais quatre hommes, je pouvais pas voir les visages des trois hommes qui était debout prêt du feu. Un homme assis prêt du bureau, et il tenait quelques choses dans ses mains d'une façon tendre. C'était Aaron, j'en étais certain, c'était lui plus jeune. C'était pas Auréa qu'il tenait dans ses mains, c'était pas une fille, le linge qu'il avait était bleu. J'essayais de voir de plus prêt. Je me sentais paralyser a ce que je voyais. Sur son linge était brodé les lettres suivante. H Y D E, notre Hyde ? Bordel c'était quoi se délire. Pourquoi Aaron tiendrait Hyde dans ses bras. Un homme prêt du feu s'approcha d'Aaron, c'était quoi ce délire, on nageait en pleine psychose. Cet homme qui s'approchait d'Aaron, c'était tout simplement mon pére. Je revenais à la réalité, mon souffle se perdait, mes veines se chauffer. La vérité n'était rien d'autre qu'un patchwork géant qu'il fallait assembler. Mes veines se chauffaient et j'explosais. Je prenais la chaise qui se trouvait devant moi et je venais la fracasser contre le sol, en émettant un crie violant. C'était décidé, je partais tout de suite pour l'italie. Je descendais les marches avec une brutalité méconnaissable. Je me dirigeais vers le garage, et je sortais la Lamborghini Murcielago lp640. C'était une voiture qui me correspondait a merveille. Je montais dedans et je mettais le contacte, sans trop attendre. Je soufflais, c'était la première fois que j'allais la conduire. J'appuyais sur l'accélérateur et le tour était jouer, je sortais du garage et je me dirigeais vers la maison, a toute vitesse.

La maison semblait calme, tout ça il ne s'en inquiétait toujours pas. Je sortais de la voiture, j'appuyais sur le bouton pour qu'elle se ferme automatiquement, j'avais activé la commande sonore et celle ci disait « Passer une bonne journée Monsieur Moon » Elle était poli. C'était décidément pas le moment, à la porte, une jeune femme blonde était planté là a attendre que quelqu'un dégne lui ouvrir. Je la reconnaissais bien entendu, elle était attirante, parfaite. C'était Kasey, mais dont la façon dont elle m'avait laisser je n'avais pas vraiment le coeur à lui ouvrir mes bras. Je lui adressai un bonjour sans lui accorder trop d'importance, elle était là c'était pour une seul raison c'était pour Auréa vue qu'elle était rentré en mauvaise état la veille. Je lui ouvris la porte, et je la laissais entrer sans lui demander pourquoi elle était partie, ni se qu'elle avait fait. C'était son problème, j'écartais mes sentiments il y avait beaucoup plus important en jeu. Je sortais mon paquet de clope de mon slim, et je l'allumais dans la maison. Normalement on fumé dehors, puise que Auréa détester l'odeur de la fumé et elle avait raison, sa sentais mauvais. Le chien sauté sur Kasey, ce qui allait la distraire pour un moment. Je sortais Hyde du garage et je le poussai dans le salon.

- Mec, je t'annonce qu'on va en italie, au Vatican je te demande pas si tu as des projets, je m'en fou tu viens avec moi. On prend l'avion et ma Lamborghini




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MessageSujet: Re: (-16) Black Smoke Attack   (-16) Black Smoke Attack EmptyJeu 22 Avr - 23:23

Des eaux troubles nous traversaient, des peintures se dessinaient sous nos peaux et des symboles insolents se révélaient à chacune de nos fautes. Cet assemblement diffusait silencieusement des rayons qui dévoilaient la confusion, elle nous échappait et continuait de nous narguer. Je pouvais l’entendre se moquer de nous à s’en mordre les lèvres. J’ai tourné mon visage vers l’exile et j’ai perdu mes yeux dans les cimes en essayant de comprendre leurs émotions, tout cet affolement qui planait dans la maison. Pourquoi je ne réagissais pas de la même façon ? Mes veines regorgeaient d’un sang libre, qui s’écoulait lentement sans jamais se liquéfier d’avantage. Etais-ce le sang des nomades oubliés ? Je connaissais cette étendue immense et vide qui était en moi, l’aridité de mes déserts je les savais. Les autres semblaient plus précis, je cernais leur intérieur qui vibrait avec la ville, qui se modifiait avec leur environnement, les gens qui tournaient tout autour d’eux comme des atomes un peu perdus. Personne ne sentait la tempête qui s’achevait dans nos têtes, ils pensaient tous qu’on était à la merci du cyclone mais ils avaient tort, ses paupières se fermaient, ce n’était que le battement de ses cils qui avaient fait trembler nos terres. Je m’étais résolu au silence, j’étais devenu transparence, j’avais découvert en elle une source de connaissance immense. L’ostracisme ne m’avait jamais paru aussi instructif. En ces quelques semaines, j’avais observé le monde vivre autour de moi sans m’opposer à quoi que ce soit, j’écoutais simplement. J’avais observé Damon sans qu’il ne remarque quoi que ce soit. Il était toujours suivi par cette ombre que personne n’arrivait à déchiffrer, celle dont il restait muet et son comportement m’avait amené à une conclusion ; il se rappelait pour oublier, pour avancer et non le contraire. Damon ressemblait à un code, il fallait du calme et de la patience pour comprendre toutes ses complications naturelles. Son cœur était troublé par le souvenir, la capacité d’espérer lui avait été ôté. La seule solution était qu’il déclare la guerre à son passé, qu’il la gagne et qu’il se laisse aller pour de bon. Une guerre n’était pas quelque chose de simple mais il la faisait, sans se poser de question. Simplement pour qu’il puisse avancer avec Auréa mais il y a mieux comme solution.

J’avais toujours prétendu être l’enfant d’un peuple sourd. Ma vie était comme construite avec des barrières tout autour sans que je ne sache pourquoi. J’étais resté seul et j’ai prié les dieux pour tenter de comprendre sans qu’on ne me donne de réponse. L’ignorance avait été le premier sentiment qui m’avait été donné de connaître et je l’avais senti lorsqu’Auréa s’était époumonée devant la distance de Damon. Il lui faisait boire l’infini, la vie et les désirs. Ensemble, ils prenaient de l’altitude mais le passé n’était jamais loin de leur envies d’air. Damon s’était interdit d’envols pour la simple raison que ses souvenirs et ses secrets étaient semblables à des enclumes. S’il ne les fuyait pas, tout empirerait. Auréa ne bougeait pas pourtant, elle courbait le dos en ne cédant jamais sous le poids de l’attraction mensongère de Damon. Il était temps qu’il agisse car plus il laissait le temps le noyer sous le sable, plus elle perdait son souffle. C’était inquiétant, je ne voulais pas qu’ils meurent de trop s’aimer. Hayden, lui était sûrement aussi silencieux que je l’étais. Tout le monde l’évitait à la maison. Les aveux qu’il avait fait l’avait rendu totalement détestable. Pourtant Auréa semblait ne pas être du même avis que nous. Damon avait perdu toute confiance en son frère… Leur relation était revenue au stade le plus minimal. J’en avais que faire de lui, il ne m’avait jamais inspiré confiance de toute façon. Syd était toujours aussi incernable, surtout en ce moment, il était très turbulent. Je ne comprenais pas vraiment ce qu’il se passait pour qu’il agisse comme ça… Hier soir, Auréa était rentré mal en point. Très pâle. Damon était directement parti allé la chercher. Tout ce que je savais ce qu’elle était sorti avec la jeune fille aux allures provocantes. C’était la même fille intriguante que j’avais vu au centre, elle semblait être amie avec Auréa, sa vivacité lui changeait les idées et ça me rassurait en quelque sorte.

Si elle faisait rire Auréa, c’est que c’était une bonne personne. Auréa savait choisir son entourage et elle n’était pas ce genre de gourde naïve qu’on pouvait trouver à chaque coin de rue. Si mes souvenirs étaient corrects, la fille aux cheveux blond platine se prénommait Hell, j’avais échangé quelques mots avec elle et Sydney à notre retour de la soirée de la Saint-Valentin. C’était étrange de me dire que j’avais conversé avec une inconnue car ce n’était pas dans mes habitudes mais j’avais cette envie bien cachée tout au fond de moi de m’insérer, de me socialiser. Syd m’avait parlé de ce fait et c’était sans doute cette conversation qui me travaillait sans cesse. Je prenais conscience qu’il n’avait pas tort, que tout ce que je faisais d’habitude n’aboutirait à rien. Cependant c’était difficile, je voulais essayer malgré mes réticences, je me faisais violence. Ce matin, je m’étais levé et j’étais directement allé dans le garage, je n’aimais pas trop me tenir éloigner de la musique. Ca faisait trop de temps que je n’avais plus joué, j’aurais aimé jouer avec Damon mais il semblait toujours préoccupé. Ce n’était pas le moment. C’était fou à quel point le garage de Damon était rempli, avec toutes sortes d’instruments, de câbles, d’amplificateurs. N’importe quel musicien pouvait se plaire ici, je m’y plaisais. J’aimais bien apprendre les gens parce qu’au fond, ils n’étaient pas si insignifiants que ça. On pouvait rencontrer des personnes intéressantes. La maison était étrangement calme, Syd était parti tôt dans la matinée et n’était pas revenu depuis, jusqu’à ce j’entende une voiture s’arrêtait. A peu près au même moment, quelqu’un avait sonné mais je n’étais pas aller répondre directement. J’entendais quelqu’un entrer dans le garage, c’était Syd, il me poussait dans le salon avec une façon assez brutale. Je ne sais pas ce qui lui prenait mais ça m’agaçait fortement, surtout que je ne m’y attendais pas une minute.

- Mec, je t'annonce qu'on va en italie, au Vatican je te demande pas si tu as des projets, je m'en fou tu viens avec moi. On prend l'avion et ma Lamborghini

- Italie ? Vatican ? Lamborghini ? Attend ! Mais me pousse pas déjà et ensuite explique moi pourquoi.


Mais il ne m’écoutait même pas, il me tirait par le bras en se foutant de mes protestations. Je n’avais pas vraiment la carrure à me débattre face à lui mais ce n’était pas faute d’essayer. Kasey était dans la maison, je ne sais pas ce qu’elle faisait là, ni pourquoi après lui avoir jeté un bref coup d’œil, elle demandait à Syd où ce qu’on allait mais il ne répondait pas. Il avait l’air excessivement pressé, j’essayais encore de faire lâcher prise à Syd malgré sa détermination. Il était très brusque dans ses mouvements, j’avais du mal à saisir pourquoi je devais aller avec lui en Italie. On était dehors à présent et mes paroles se dispersaient toutes dans le vent. Il m’ignorait et je n’aimais pas ça. Je n’aimais pas la relation qu’on entretenait d’ailleurs. Cette sensation de malaise qui engourdissait ma tête, il chamboulait tout en me prenant de force comme ça, c’était déstabilisant mais au moins, je n’étais pas encore inexistant pour lui. Je suppose que je devais m’estimer heureux. Il y avait une sorte de vide en moi depuis la dernière fois que l’on s’était parlé, la distance n’était pas simple à supporter malgré l’indifférence constante que je montrais, quelque chose dans ma poitrine s’acharnait à pousser sur mon cœur et c’était blessant, lancinant. Il me manquait et la situation m’attristait malgré tout ce que je pouvais dire. J’étais toujours Hyde mais j’explorais une partie de moi que je ne connaissais pas. Il me voyait comme le Hyde qu’il connaissait et dans sa tête Hyde ne ressentait pas... Et je ne lui montrais rien qui concernerait mes changements, je ne lui montrais pas encore. Kasey nous rejoignait assez vite pour retenir Syd par le bras car il ne se serait pas arrêter autrement, elle semblait vouloir lui dire quelque chose.
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MessageSujet: Re: (-16) Black Smoke Attack   (-16) Black Smoke Attack EmptySam 1 Mai - 0:03

La nuit qui venait de se terminer avait été épuisante. J'avais mit beaucoup de temps à me réveiller et à me lever ce matin là. La soirée à la boîte de nuit m'avait fatiguée, non pas parce que j'avais beaucoup dansé, mais à cause de la suite des événements. J'avais enfin retrouvé Auréa, mais encore une fois, tout avait mal tourné. C'en devenait presque une habitude. Je commençais à croire que je n'avais pas le droit au bonheur. À chaque fois que j'y gouttais, que je me laissais aller en ordonnant à mes envies de prendre le dessus sur mes instincts, cela finissait mal. Cette impression m'inquiétait, peut-être n'avais-je pas le droit d'être heureuse ? Ce genre de douleur était épuisante si bien moralement que physiquement. Lorsque j'avais quitté l'Angleterre pour venir aux États-Unis, je m'étais retrouvée dans cet enfer qu'ils appelaient Aprilia. L'idylle que j'avais vécu avec Syd n'avait été que de courte durée, j'avais tout gâché pour des raisons égoïstes. L'amour que j'avais éprouvé pour Aleksandr s'était achevé si brutalement que la solitude et la souffrance m'avaient complètement changée. Enfin, la veille, lorsque j'avais revu ma meilleure amie, un imbécile l'avait droguée. Elle avait très mal supporté la drogue, je détestais la voir aussi mal, perdue. J'étais énormément reconnaissante envers Lily, je n'osais même pas imaginer ce qui se serait passé si Damon n'était pas venu. Le souvenir de cette soirée qui avait pourtant si bien commencée ne cessait d'apparaître dans mon esprit. J'étais encore inquiète pour Auréa, même si je savais qu'elle était en sécurité avec Damon. D'après ce que j'avais comprit la veille, elle l'aimait vraiment, d'un amour démesuré qui m'avait beaucoup rappelé ce que j'avais eu la chance de vivre autrefois. J'étais heureuse qu'elle éprouve cela, cette passion était unique et tout le monde n'avait pas l'occasion de la ressentir.
Cependant je devais avouer que j'étais jalouse de la relation qu'elle entretenait avec Damon. J'avais déjà vécu une telle passion, ainsi je savais que ces sentiments étaient plus forts que n'importe quelle drogue. Il s'agit d'un amour si fort qu'il enveloppe entièrement la personne dans une bulle protectrice, incassable. Les deux amants ne vivent que l'un pour l'autre, leur bonheur leur suffit. Rien ne peut se mettre entre eux, le lien qui les unit est fait d'or. Un genre de drogue dont personne ne peut se passer, une magie qui s'incruste dans l'atmosphère. Je n'avais jamais vraiment recherché l'amour, mais il était venu à moi, et j'aimais tellement cette sensation que parfois, je voulais la revivre sans cesse. J'avais quelques fois envie de me noyer dans un bonheur infini, protégée par le fait d'être certaine que cela ne finira jamais. Malheureusement mon cœur avait déjà été brisé, le premier amour est le plus terrible car il permet de se rendre compte à quel point cette passion est éphémère. Les fins joyeuses n'existent que dans les contes de fées, je l'avais apprit violemment et j'étais tombée de très haut. La première blessure du cœur est la plus douloureuse. Si j'aimais jouer la provocatrice, si j'enchaînais les aventures d'un soir, c'était pour oublier la triste réalité de la vie. J'enfilais un masque qui ne me correspondait qu'à moitié. Je n'étais pas toujours cette femme attirante qui s'amusait à jouer avec les hommes, même si c'était de loin ce que je préférais. Je me sentais vivante durant ces moments où j'avais le droit d'agir comme je le souhaitais, des instants comme celui que j'avais vécu la veille lorsque j'avais fait tourner ces hommes en rond. Cette inversion des rôles était si enivrante que j'en oubliais l'amour et ses sentiments. Cependant, mes envies ne cessaient de changer. Si la veille j'avais eu l'impression de dominer le monde, ce matin là je me sentais faible et envieuse de l'amour des autres. Peut-être que c'était parce que j'avais réalisé quel ampleur avait la relation d'Auréa et Damon.
Je décidais de me rendre chez Damon, car c'était là qu'Auréa se trouvait. Je voulais m'assurer qu'elle allait mieux. De plus, j'avais besoin de la voir, de la retrouver. L'étincelle s'était éteinte depuis bien trop longtemps, je devais la nourrir afin de rallumer la flamme. Je sortis de mon appartement en attrapant ma veste en cuir au passage, puis je me dirigeai vers la maison. Je me rappelais où elle se trouvait, ainsi j'empruntai un taxi, le trajet ne dura pas longtemps. Une fois en face de la porte, je sonnai en attendant que quelqu'un vienne m'ouvrir. J'entendis alors des pas derrière moi, en me retournant, je reconnus Syd. Une immense culpabilité s'empara alors de moi, je savais que je l'avais fait souffrir en partant sans rien dire, sans prévenir. J'avais conscience de l'avoir blessé, je voulais me racheter mais sans savoir comment c'était possible. Il me salua, je fis de même, son ton était froid mais je ne lui en voulais pas, il avait parfaitement le droit de me haïr. Après tout, je me détestais de lui avoir infligé cela, il ne le méritait pas. J'avais été tellement stupide, je me rendais bien compte que mes sentiments pour lui ne s'étaient pas évanouis. Syd me laissa entrer, le chien d'Auréa vint m'accueillir. Je n'osais pas vraiment entrer, Syd était parti vers ce qui semblait être le garage mais il revint vite, Hyde à ses côtés. Il semblait très pressé et assez excité, je ne savais pas pourquoi. Apparemment il voulait se rendre quelque part, je lui demandai où mais il ne répondit pas. Il tirait Hyde par le bras et se dirigea vers l'extérieur, je ne tardai pas à rejoindre les deux hommes. Syd avait l'air hors de lui, il me stressait et il me semblait que c'était également le cas pour Hyde, qui tentait en vain de se débattre contre son emprise. Décidant d'intervenir, j'attrapai le bras de Syd pour le calmer et pour qu'il s'arrête. Il était étrange et je n'en comprenais pas la raison, où voulait-il aller pour être pressé à ce point ?

- Syd, attends deux secondes, calme-toi et explique-toi, d'accord ?

J'avais réussi à le stopper un peu. Il lâcha Hyde, je fis de même avec lui, puis il annonça qu'il voulait aller en Italie, au Vatican. Il n'en communiqua pas la raison, mais il était vraiment déterminé et pas d'humeur à discuter. J'en conclus que le seul moyen de le calmer était de directement l'amener sur place. Je lui proposai donc de tous nous y téléporter pour lui éviter le voyage en avion, il accepta. Visualisant ma destination, je pris leurs mains puis me concentrai afin de nous y rendre, me focalisant sur le fait qu'il fallait que personne ne nous remarque. Au bout de quelques secondes, nous arrivâmes au Palais apostolique du Vatican. Au niveau de la place Saint-Pierre, Syd se dirigea vers la gauche vers de grandes colonnades. Il était déjà venu ici, ce qui expliquait pourquoi il avait l'air de savoir où il allait. C'était magnifique, l'architecture était remarquable, le tout ressemblait à un paysage imaginaire. J'avais du mal à réaliser que je venais de quitter les immenses immeubles de New York pour arriver en Italie, qui ne ressemblait en rien aux États-Unis. Le changement de décor s'était effectué en quelques secondes, ce qui me troubla à cause de la différence des deux lieux. Hyde et moi suivîmes Syd, qui passa devant les soldats de la garde suisse. J'étais toujours aussi intriguée quant à son désir de venir au Vatican, mais je décidai de le laisser avancer pour ne pas le déranger. Je profitais du paysage et de ce qui m'était donné de voir, car j'avais conscience que c'était un endroit unique, superbe, que beaucoup de personnes rêvaient de découvrir. J'attendis que Syd s'arrête tout en marchant derrière lui.
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Sydney Ian Moon
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MessageSujet: Re: (-16) Black Smoke Attack   (-16) Black Smoke Attack EmptySam 1 Mai - 2:59




(-16) Black Smoke Attack 207npmt
« Vivit Sub Pectore Vulnus »



Tic, tac ... tic tac je voyais pas les seconds comme eux, je les voyais s'écroulaient entre mes phalanges. Doucement, fébrilement quelques chose d'insupportable, des poussières irrécupérable. Hyde ne comprenais pas ce qui ce passer et sa m'amuser de le brusquer un petit peu, de le sortir dans ce monde dans lequel il s'enfermer toujours. C'était pénible et sa avait le don de m'agacer qu'il se mette a l'écart pour observer ce qu'il savait déjà. Il ne vivait pas réellement, il regardait les autres vivre en les scrutant, les dénigrant . Il avait raison, les gens étaient stupide mais il fallait quitter cette philosophie misanthropique pour recommencer a vivre.


- Italie ? Vatican ? Lamborghini ? Attend ! Mais me pousse pas déjà et ensuite explique moi pourquoi.

Je prenais pas vraiment la peine de lui répondre car ce que je voulais savoir c'est si Aaron l'avait déjà vu. Quand je regardai Hyde, des lumières s'attaquaient a mes iris comme des flashs. Et je revoyais les yeux du bébés que tenait Aaron dans ses bras. Kasey écoutait notre discutions et elle nous proposa de nous emmener. Plus rapide certes en quelques seconds on y serait.. Elle nous prit par la main. Je sentais qu'Hyde était complètement à l'ouest, ce qui était normal. Je brusquai tout pour faire à mes soins mais c'était quelques choses de vital. En quelques seconds le décor de la maison s'évanouissait pour laisser apparaitre la place Saint pierre. L'histoire de cet place, de ses murs m'avaient été conté par Aaron en personne . Il s'agissait de l'empereur Constantin Ier qui érigea une basilique en l'honneur de Saint Pierre et de Paul. Pierre était l'un des apôtres de Jesus, Pierre avait déposer les fondations de la religions chrétienne. Constantin n'était pas catholique, il le fut baptiser sur son lit de mort. Quelques chose de totalement paradoxale car il avait contribuer à l'évolution de la religion, pour éviter la persécution contre les chrétiens de l'époque. Bramante , Raphael, da Sangallo , Michel Ange , Maderno et enfin le Bernin avaient travaillé à la construction de c'est mur. Le Bernin avait crée la place saint pierre avec des colonnades en double hémicycle avec des espaces elliptique au centre duquel se dresse un obélisque et deux fontaines. Je me dirigeai instinctivement vers la gauche, j'étais déjà venu avec Auréa et Aaron étant adolescent. Je passais les colonnades sans faire attention aux statues que je connaissais bien assez. Ce n'était pas la basilique en elle même, c'était a ces cotés. J'avais pris Hyde par le bras, en le tirant assez brutalement mais beaucoup moins fort que la première fois que je l'avais saisie . Kasey nous suivais également a l'arrière. Les gardes suisse je m'attendais à une réticence certaine de leur par. Ils étaient habillés de cette façon qu'il me fessait pensé a des clowns. Heureusement que Aaron n'était pas habillé de cette façon. Je parlais très mal l'italien et je ne savais plus exactement comment dire ce que j'avais a dire, ce qui allait compliquer la chose je prononçais c'est mots avec en plus une formule latine. Si les gardes le répétaient a Aaron j'étais sur qu'il viendrais. La formule latine était comme un code pour Aaron.

- Vedere vogliamo Aaron Eden , Sydney è lì, ho detto questo « Vivit Sub Pectore Vulnus »

Le garde suisse ne prit même pas le temps de demander Aaron, il avait entendu son nom et prénom et il m'avait demander de dégager. Bordel, ce n'était certainement pas eu qui allait m'empêcher de faire de le voir. Il ne voulait pas le mettre au courant, le faire sortir. Très bien j'allais le faire sortir, je marchais avec cet affolement dans mes jambes, j'étais au niveaux des colonnades qui fessait tout l'hémicycle j'étais persuadé qu'il savait quelques chose a propos des spécimens et même s'il ne savait pas je n'avais qu'une chose a faire, remonter le temps. Le pouvoir de volonté, quelques chose d'assez complexe à maîtriser, je devais aller le chercher a l'intérieur de mon estomac, dans mes trips et le ressortir qu'il soit en parfaite alliance avec ce que je pense. La concentration quelques chose de primordiale, j'avais d'un pas lourd. Je figeais les touristes se trouvent sur la grande place «  Explose, explose , explose » la première colonne se fissurer d'un seul coup pour finir par exposer. Je savais ce que je fessais, les colonnes étaient doubler. Elle avait éclaté au yeux de tout le pontificana car je n'avais pas figé les membres de la garde suisse. La provocation, quelques chose de simple , qui paraît impulsive mais qui est en faite calculé. Un jeu dans lequel j'aimais me mêler. Je fessais exploser différente stèle. Hyde me criait d'arrêter et que c'était complètement débile de faire ça ou des choses pareils mais je savais ou je voulais en venir. Je regardai les hommes de la garde suisse, je leurs fit comprendre d'un geste que j'allais continué. Je ne pris même plus la peine de chercher mes mots en italien car il comprenait très bien ce que je disais.

-Je veux le voir, maintenant.


Les hommes me prit par le bras, par la force, je pouvais leurs casser les bras en deux petites seconds mais je les laissé faire. Hyde et Kasey essayaient de les suivre mais apparemment ils furent bloqués. On entra dans un long corridor remplie de statue castré, pour finir dans une salle totalement moderne en contraste avec ce l'architecture d'avant. L'homme de droite posa un code et son empreinte le code 503. Je les laisser faire on continua un moment a traverser quelques salle pour finir ils me balancèrent dans une pièces avec des vitres translucide, je voyais donc tout ce qui se passer autour de moi. Je me relevais et j'attendais sagement contre le mur. Je savais qu'Aaron allait passé cette vitre. Comment était-t'il ? Ils savaient qu'Auréa était en vie ? Pourquoi elle avait pas essayer de le contacter avant ? Pourquoi Aaron avait Hyde dans les bras bébé? Pourquoi mon père était dans cette pièce ? Qui était les autres hommes présent ? Toute ces questions tomber les unes après les autres. C'était lourd d'avoir tout ça en moi. J'attendais encore et encore jusqu'à temps que j'aperçois l'ombre d'un homme, c'était lui, je voulais croire que c'était lui. Un homme habiller d'une chemise assez claire, un pantalon plus sombre le sciant a merveille ,une certaine classe dans ca démarche c'était lui. Un bataillon de sentiment ce creuser entre mes penses digne d'un règne inachever. Plus il avançait vers moi, plus je siégeai sur mes positions qu'on avait qu'une seul vie même si on devait ce pardonner pour s'essuyer de nos pêchés. Je savais pas si je croyais en quelques chose de divin, ce que je savais c'était que si on pouvait me juger, je l'attendais se jugement du feu, de l'air de la terre et de l'eau. C'était simple a voir a quel point on disparaissent à la vitesse de la lumière, et aucun mot ne pouvait changer ça. Les questions finissaient par me brûlaient encore et encore c'était mon seul tourment. Il me sera dans ces bras, j'étais libre. Libre de pouvoir comprendre les choses, libre de chercher ce qui dévorer. Je le tenais dans mes bras, comme ci c'était mon propre père qui m'avait détruit. J'avais mal, j'étais qu'un gamin bouffer. Je me suis chercher, je me suis brulais, mais je suis. Et lui avait perdu un être chére dans la bataille, sa nièce qui j'étais certain considérer comme sa fille.

- Elle va bien


- Vous êtes en vie, t'es là qu'est-ce que ça fait du bien tu peux pas savoir à quel point j'ai eu peur. Elle est ou ? Où vous étiez ?


- Elle a New-York chez nous avec Damon, t'inquiéte pas ... Damon Tallis est quelqu'un de confiance. On à était enlever par un centre Aprilia.. mais quelque chose me dit que tu sais déjà ce que sait. Que tu sais aussi ce qu'on nous y a fait... Ils ont enlevé tous les souvenirs d'Auréa.. et ils m'ont changé... Je suis content de te revoir Aaron, tu m'as manqué. Je suis avec un ami quelqu'un de trés chére a mes yeux... et j'ai eu des visions.. de toi et de mon pére, dans mon manoir a New York et tu le tenait dans tes bras...



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MessageSujet: Re: (-16) Black Smoke Attack   (-16) Black Smoke Attack EmptyLun 10 Mai - 1:32




    « Did we create a modern myth ,
    did we imagine half of it ;
    would happen in a thought from now ,
    save yourself , the secret is out»



    Impossible, une illusion invraisemblable de songer qu'ils avaient rendu leurs dernier souffle. J'irais jusqu'à chercher chaque chemin qui ce cache dans l'ombre pour revoir les constellations de leurs regard. Une marche frénétique vers l'ascension de la vérité, les jours se ressemblaient de plus en plus, une monotonie sans crie égard guidé mes pas à travers les échos des pertes. J'étais arrivé en retard, un coupure d'électricité avait coupé mon réveille. La première fois depuis dix ans. J'arrivais par les derrières , comme un artiste avec l'entrer des artistes mais en beaucoup plus sophistiquer. Je saluais mes collègues en demandant les nouvelles du jours, ils m'indiquèrent qu'un spécimen était entrer dans l'enceinte du Palais et qu'il avait provoquer des explotions sur la place en arrêtent le temps. Arrêter le temps, c'était quelque chose que seul un spécimen a ma connaissance pouvait faire. Ils continuèrent a me conté leurs histoire en m'indiquant qu'il m'avait demander en précisent Vivit Sub Pectore Vulnus. Sydney Ian... Moon fils de Kurtise Ivan Moon dit Kurt Moon en vie. Un poids s'enleva dans ma poitrine, il était en vie, s'il était en vie... Auréa était peut être avec lui. Sydney était quelqu'un de complexe difficile à déchiffrer, mais quand on gratter assez profondément on pouvait voir qu'il était brisé par le silence. Pour lui sa vie venait du ciel, pas de son père. Dans ces mots dans ça façon de d'être je savais qu'il manquait d'amour. Il vivait dans une bulle pour ne pas qu'on l'éclate. Il souriait, tout le temps, certainement trop longtemps, beaucoup trop joyeusement. J'entrais dans la salle ou Sydney était sans trop réfléchir je le pris dans mes bras et je le serrai contre moi. "Elle va bien" Mes muscles s'étiraient, le poids sur mon coeur se détendait. Elle allait bien, et si elle était avec Sydney elle ne courait aucun danger. Toute ces années d'inquiète, de désespoir, de colère, de question sans réponses cesser enfin. On m'amener l'or de ma vie, il n'y avait pas de mot pour décrire l'apaisement qui se voler en moi. C'était comme-ci mon frère m'avait donner sa place c'était également mon sang qui vivait dans ce bout de femme. Cette petite que je voyais seul dans cet maison beaucoup trop grande pour elle. Je me sentais père d'Auréa, mais celui de Syd aussi. C'était pas juste ce qu'ils arrivaient, leur exemple leur modèles que devaient être leurs parents n'avaient pas été la pour eux et étant adolescent ils ne fessaient que courir après leurs ombres. Ils le fessaient a chaque fois ensemble, un mal commun qui les étouffaient. Auréa s'enfuyait dans ces pensées et risquait a chaque fois de se brûlait sur tout et n'importe quoi. Sydney se plongeait dans la photographie, la musique il aidait ma fille, j'avais presque cette sensation qu'elle l'habitait en lui et inversement.


    - Vous êtes en vie, t'es là qu'est-ce que ça fait du bien tu peux pas savoir à quel point j'ai eu peur. Elle est ou ? Où vous étiez ?


    - Elle a New-York chez nous avec Damon, t'inquiéte pas ... Damon Tallis est quelqu'un de confiance. On à était enlever par un centre Aprilia.. mais quelque chose me dit que tu sais déjà ce que sait. Que tu sais aussi ce qu'on nous y a fait... Ils ont enlevé tous les souvenirs d'Auréa.. et ils m'ont changé... Je suis content de te revoir Aaron, tu m'as manqué. Je suis avec un ami quelqu'un de trés chére a mes yeux... et j'ai eu des visions.. de toi et de mon pére, dans mon manoir a New York et tu le tenait dans tes bras...

    Damon Tallis sa tomber en moi, Damon Tallis se petit je le connaissais, vu quelques année grandir dans l'étreinte d'un passé lointain. Auréa, Sydney ce connaissait de par Aprilia. C'était un coup de Vladimir, comment avait-t'il oser faire ça, s'en prendre a nos enfants. Ils ne devaient pas ce connaitre on avait tout fait pour qu'ils se connaissent pas. Aprilia était le signe de la trahison de Vladimir, ce qui nous avez délié. On avait pas engagé la guerre car on avait pris la sage décision de les formés, pour être sur de prendre ce recule. Vladimir avait activé les pouvoir de Sydney.. ceux de Damon également? Visiblement Sydney les maitrisés déjà vu qu'il avait fait exploser des colonnades. Je pouvais pas parler de trop, et pas le laisser dans le silence, j'étais gêné de ce qui se passer. En colére, mais je pouvais pas le montrer.


    - J'arrive pas a y croire qu'ils vous ont mis a Aprilia... On en parlera aprés si tu veux bien. Tu sais que t'es assez inconscient de provoquer mes collègues ... t'es en cellules là je sais pas si t'en a conscience, décidément tu as pas changé. Je vais te sortir de là. Calme toi, on va faire venir les personnes qui étaient avec toi.


    Je lui fit signe de me suivre et on traversai différente salle, mes collègues ne comprenaient pas encore ce qu'ils se passaient, je leurs montrais un papier avec le signe de Vox pour qu'ils comprennent que ce n'était pas de leurs ressort mais du mien. Dans la piéce vitrer un peu plus loin, je voyais une jeune fille blonde qui me dissait quelques chose... Kasey Logan une des meilleurs amie d'Auréa, et ... Hyde. Hyde Molko, la pièce manquante ils attendaient dans un siéges mise a l'écart. Je m'emparais de mon téléphone pour envoyer un message à Matthew Tallis. "Auréa est avec Damon à New York. Je suis avec Sydney et Hyde... faut qu'on se parle ils sont actif ils ont leur pouvoirs " tout était en bordel. C'était pas possible, Sydney tenait plus en place il voulait des réponses il était stressent dans sa manière de se comporter on aurait dis un petit garçon. J'apercevais leurs tatouage dans la section on avait vu passer plusieurs spécimens tous le fruit d'Aprilia.

    - Bonjour Aaron Ludovico Eden, Oncle d'Auréa, heureux de vous connaitre. Et vous êtes aussi des spécimens actif... Owh mais dit moi Kasey tu es une magnifique jeune femme.

    J'essayais au maximum de faire taire l'impatience de Sydney ce qui était peine perdu, ce petit était perspicace. Il avait été a bonne école, tout le portait de son père un être apparentière c'était vraiment affolent. Kurt avait sacrifié le fait d'être père pour ne pas mettre Sydney en danger, et malgré sa son fils lui ressembler dans sa façon de ce tenir. Ce regard de détermination inusable, quelqu'un chose de fort que je n'avais vu que dans les yeux de mon meilleur ami.

    - Aaron je te présente Hyde Molko, le bébé de ma vision tu le connais ? Hein ? dis moi que je deviens pas complètement taré et que tu as bien été dans mon manoir. Sur le bureau il y avait se signe, je déconne pas, j'ai besoin de réponse Aaron.


    - Ecoute Sydney c'est pas le moment... calme toi. La famille Eden a effectivement plusieurs Manoir à New York. Calme toi, immédiatement. La vérité s'envolera pas .


    Il avait le signe ... seul un membre de Vox pouvait faire ce signe. Ca allait pas du tout c'était pas possible que Damon est fait le signe a Sydney.. il était pas au courant. Matt ne m'avait visiblement pas mis au courant, je ressortais mon portable. "Ils ont le signe, Pourquoi tu m'as rien dit ?" J'envoyais le message a Matt'. Ca m'échappait clairement, je pouvais pas répondre a ces questions... pas maintenant, pas comme ça. J'aimais pas me tair, pas donner la vérité surtout à Sydney. Comment il était là, il devenait presque fou. Ces pouvoirs étaient quelques choses de puissent, certainement les plus puissent avec ceux de Damon. Ils connaissent pas de limite, c'était lui qui pouvait les limités Il devait ce calmer cesser d'être obséder ainsi
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MessageSujet: Re: (-16) Black Smoke Attack   (-16) Black Smoke Attack EmptyVen 14 Mai - 3:07

Heureusement Syd s’était stoppé et avait fini par écouter ce que Kasey voulait lui dire. Elle lui proposa de l’emmener, j’étais toujours dans l’incompréhension mais apparemment on ne me laissait rien dire. Sydney avait accepté et Kasey s’était concentré en nous prenant la main. Il n’avait fallu que de quelques secondes pour qu’on arrive à destination. Je n’étais jamais allé en Italie, encore moins au Vatican. Bons nombres de touristes était sur la place et prenait des photos des divers monuments qui était sur les lieux. J’essayais de trouver une raison à tout ce cirque mais j’avais vite fini par abandonner. Il ne voulait pas m’expliquer, tant pis. Je ne m’intéresserais pas. Après tout pourquoi ? Il était quasiment impossible de parler avec Sydney en ce moment et même si je tenterais, je savais que ça ne serait pas une conversation positive, en tout cas pas en ce moment même. Je n’étais pas ce genre de garçon qui faisait ce qu’on attendait de lui, ce n’était un secret pour personne. Il m’avait encore pris par le bras de façon violente, ça devait le détendre de me prendre pour une marionnette. J’avais légèrement ris à cette pensée, je ne savais pas vraiment pourquoi d’ailleurs. Je me contentais de le suivre en observant l’immensité dans laquelle j’étais et je me demandais comment les hommes étaient capables de faire de pareille chose surtout que ça ne devait pas dater d’hier. On était arrivés face à des hommes habillés de façon assez colorés et loufoques. Je les avais scrutés quelques instants et ils firent la même chose avec nous. Kasey n’était pas loin derrière nous, elle observait le paysage assez paisiblement.

- Vedere vogliamo Aaron Eden , Sydney è lì, ho detto questo « Vivit Sub Pectore Vulnus »

A première vue, Sydney venait de parler en italien. Evidemment, je n’avais rien compris à ce qu’il avait dit, je faisais un peu décoration en fait ou alors il voulait me prendre avec lui pour savoir quelque chose comme si j’étais une sorte de preuve ? Peut-être, c’était sans doute la seule raison, la plus logique aussi. L’impatience de Sydney pouvait se lire sur son visage et lorsqu’un garde lui avait demandé de partir l’impatience avait fait place à une colère qu’il n’avait pas prononcée. C’était sans doute ça le pire, le fait qu’il garde le silence. Ce n’était pas bon signe, je crois que je pouvais m’inquiéter à l’instant où il m’avait lâché le bras. J’avais vu les touristes sur la place se figeaient tout autour de nous, Syd avait sans doute arrêté le temps en laissant les gardes suisses en mouvement ainsi que Kasey et moi. Il s’était éloigné et affichait un air de concentration qui n’était sûrement pas pour faire joli ou simplement pour passer le temps, deux ou trois minutes plus tard une des colonnes s’était fissurée en un bruit agaçant pour finir par exploser complètement. Je m’étais directement approché de lui pour lui dire d’arrêter de faire de tel acte, je ne savais pas vraiment s’il avait conscience que tout cela n’allait pas servir à grand-chose si ça n’est qu’à s’attirer des ennuis mais malgré mes cris, mes protestations il avait continué avec cet air de détermination arrogant qui lui collait au visage. C’était fou, tout ce qu’il se passait été fou et complètement superflu, ces pensées me traversaient l’esprit car je n’en voyais pas la raison et comment voulez-vous comprendre si on ne vous explique pas ? A ce que je sache je n’étais pas télépathe.

- Je veux le voir, maintenant.

5 mots, seulement 5 qui m'avaient fait changé d'avis. J'avais perçu dans sa voix l'importance des choses qui étaient en train de se passer et même si je ne savais pas pourquoi j'étais ici, même si je ne savais pas ce qu'attendait Syd. Le ton qu'il avait employé m'avait averti que les choses étaient sérieuses, que toute cette violence n'avait pas été commise pour du vent. Il voulait voir quelqu'un mais qui ? Et pourquoi je devais être présent ? Je n'avais que deux questions mais je savais être patient alors j'attendrais le temps qu'il faut pour connaître la raison de ma présence ici. Deux hommes avaient pris Sydney pour l'emmener ailleurs, instinctivement je les avais suivis mais Kasey et moi n'avions pas eu accès au passage que Sydney avait emprunté avec les gardes qui avaient tout d'abord refuser la demande de Sydney. Je les avais regarder s'éloigner sans savoir quoi faire et je m'inquiétais, je savais qu'il n'avait pas le droit de faire ce qu'il avait fait et c'est cela que je redoutais... Je sentais mon ventre se nouer face à l'impuissance qu'on m'avait donné. J'étais sans réponse et rempli de question, ce n'était pas correct mais j'avais confiance en Syd, en ses initiatives. Il ne faisait jamais rien sans être certain de lui, je devais patienter. Je m'étais fait glissé le long d'une colonne pour m'asseoir. Kasey semblait aussi troublée que moi mais on ne pouvait rien faire d'autre.


Pas moins d’un quart d’heure après que Syd se soit fait emmené des gardes étaient venus nous chercher Kasey et moi. On les avait directement suivis, sans poser de questions. Je me demandais où était Syd et s’il n’avait pas d’ennui. On avait traversé divers couloirs et passage pour finir par arriver dans une pièce remplis de vitres épaisses et transparentes. Je m’étais assis dans un siège et Kasey avait fait pareil, je regardais évasivement l’endroit dans lequel je me trouvais. Je savais que cet endroit n’était pas un endroit auquel on avait accès comme s’il était question d’un supermarché et j’en avais conclu que Sydney devait connaître quelqu’un de très haut placé pour qu’on soit dans cet endroit à présent. J’étais en train de penser à Auréa, je me préoccupais de sa santé car son teint était blafard ces derniers temps mais je pensais aussi à Damon qui s’enfermait toujours plus dans son silence. Combien de secret ce garçon possédait-il ? Pourquoi ne voulait-il pas qu’on l’aide tout simplement ? Il ne pouvait pas remonter la pente seul, je savais une partie de son histoire mais je savais qu’il me cachait encore plusieurs choses. Damon était un garçon trop intelligent pour se laisser influencer par le mal de cette façon. Je ne croyais pas en ces paroles, un menteur. Il mentait pour ne pas qu’on découvre sa plaie saignante, il s’éloignait parce qu’il avait mal. J’aurais voulu lui dire qu’il n’était pas un fantôme, lui dire que sa vie nous est chère et que sa présence s’était révélé être un besoin pour Auréa à présent mais il devait en prendre conscience lui-même. Un homme assez mûr était entré dans la pièce dans laquelle on se trouvait, il était suivi de Sydney. Je soufflais de soulagement, ils semblaient se connaître mais Sydney était toujours aussi ingérable… Toujours aussi intenable.

- Bonjour Aaron Ludovico Eden, Oncle d'Auréa, heureux de vous connaitre. Et vous êtes aussi des spécimens actif... Owh mais dit moi Kasey tu es une magnifique jeune femme.

- Aaron je te présente Hyde Molko, le bébé de ma vision tu le connais ? Hein ? dis moi que je deviens pas complètement taré et que tu as bien été dans mon manoir. Sur le bureau il y avait se signe, je déconne pas, j'ai besoin de réponse Aaron.

- Ecoute Sydney c'est pas le moment... calme toi. La famille Eden a effectivement plusieurs Manoir à New York. Calme toi, immédiatement. La vérité s'envolera pas .



L'homme était donc l'oncle d'Auréa, cela me faisait étrange de me dire que j'étais en face de lui, je ne savais pas pourquoi mais il m'inspirait confiance. Pourquoi son visage me rassurait et pourquoi je ressentais une certaine appréciation envers lui ? Je sortais de mes pensées, ce n'était pas le moment et puis on s'en foutait un peu. C'était sans doute le fait que je prenne conscience qu'il y avait un autre monde en dehors du mien, Sydney s'était mis à parler de façon rapide et semblait sous totale pression. Il disait m'avoir vu en vision... Première nouvelle, j'étais un sujet divinatoire. Une vibration m'avait fait perdre le fil de mes constations, je prenais mon portable et l'écran d'affichage affichait que je venais de recevoir un message d'Hell. J'ouvrais le message sans trop attendre et me demander pourquoi elle l'avait envoyé: « Hyde, répond moi Auréa est en danger avec Damon c'est un tueur à gage bordel, répondez » C'était la dernière chose dont on avait besoin. Damon. Tueur à gages. Auréa. Danger. Ces mots tournaient dans ma tête à une vitesse affolante, je n'arrivais pas y croire, je ne pouvais y croire. Damon était donc un criminel ? C'était ça son secret ? Ce qui le rongeait ? Je tremblais car la possibilité que cela soit vrai me faisait froid dans le dos. Pourquoi. Tout se perdait. Moi le premier. J'essayais de lui répondre le plus brièvement possible...: « On est en Italie... Au Vantican. Sydney devenait ingérable, il m'a pas laissé la possibilité de refuser, c'est Kasey qui nous à emmener, je vais les avertir immédiatement. Je fais confiance à Damon... Auréa n'est pas en danger, arrête de te soucier de ça. Je te tiens au courant dés que j'ai des nouvelles. »

J'avais l'impression de ne plus rien comprendre, d'être totalement hors sujet, de ne pas être à la bonne place et au bon moment mais les choses s'avéraient être beaucoup plus graves que je ne le pensais. Je savais que les sentiments qu'éprouvaient Auréa et Damon l'un pour l'autre étaient sincères et purs mais ce qui m'effrayait c'était lorsqu'ils allaient apprendre la vérité sur Damon. Il allait s'en prendre plein la figure et le pire c'est qu'il ne pourrait pas le nier. Je ne voulais pas que tout se déchire, je savais que tout ce qui nous tenait était fragile. Je ne voyais que le détachement mais est-ce que Damon reviendra ? Son imprévisibilité me rendait anxieux, s'il décidait de s'effacer. Ni moi, ni Sydney, ni Auréa ne le reverrait et celle qui en serait le plus affectée serait Auréa. Je n'étais pas sûr qu'on puisse guérir cette blessure si elle venait à naître. Je regardais Syd avec un air de désespérance, cela me faisait mal mais je devais dire ce que je venais d'apprendre. Je n'avais pas le coeur à ce que ça tourne en moi trop longtemps...

- Sydney... Il y a un problème. Un message d'Hell vient de m'annoncer que Damon est un.. est un tueur.
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MessageSujet: Re: (-16) Black Smoke Attack   (-16) Black Smoke Attack EmptyDim 16 Mai - 19:00

Tout devenait de plus en plus étrange, la situation était des plus inhabituelles. Syd était incontrôlable, Hyde et moi n'avions aucune idée de ce que nous étions venus faire au Vatican, Syd ne s'expliquait pas et nous laissait dans l'ombre, continuant d'avancer vers un endroit que nous ne connaissions pas. Cependant je savais qu'il n'y avait rien à faire pour qu'il nous parle, que nous devions simplement attendre qu'il soit satisfait, qu'il trouve ce qu'il était venu chercher. Une fois arrivés devant des gardes, Syd était devenu encore plus impatient, il les menaça et explosa des colonnes. Je fus légèrement choquée par sa violence, mais je le connaissais bien; je savais que lorsqu'il voulait quelque chose, il ferait le possible pour l'avoir. Il désirait apparemment voir quelqu'un, mais pourquoi était-il si pressé et étrange ? Qui était-ce pour qu'il soit dans tous ces états ? Lorsque deux gardes l'emmenèrent, sûrement vers la personne qu'il cherchait, l'entrée nous fut interdite. Nous attendirent le retour de Syd, toujours dans l'incompréhension et le doute. Au bout de quelques instants, nous fûmes guidés jusqu'à une grande pièce vitrée, un endroit très élégant et sûrement assez privé. J'attendis un moment, puis un homme vint nous rejoindre, Syd à ses côtés.

- Bonjour Aaron Ludovico Eden, Oncle d'Auréa, heureux de vous connaitre. Et vous êtes aussi des spécimens actif... Owh mais dit moi Kasey tu es une magnifique jeune femme.

J'avais déjà entendu parler d'Aaron. Même si je ne savais pas pourquoi, j'avais en quelques sortes une certaine confiance en lui, comme si je lui devais le respect. Ainsi, c'était Aaron que Syd avait voulu voir. Je me demandais pourquoi il avait été si pressé, pourquoi il avait du le voir absolument ce jour-là et pas un autre. Je répondis à son compliment par un sourire.

- Aaron je te présente Hyde Molko, le bébé de ma vision tu le connais ? Hein ? dis moi que je deviens pas complètement taré et que tu as bien été dans mon manoir. Sur le bureau il y avait se signe, je déconne pas, j'ai besoin de réponse Aaron.

- Ecoute Sydney c'est pas le moment... calme toi. La famille Eden a effectivement plusieurs Manoir à New York. Calme toi, immédiatement. La vérité s'envolera pas .


De quoi parlait-il ? Une vision, le manoir, Hyde ? J'étais de plus en plus confuse. Syd nous avait amené au Vatican sans nous donner aucune raison, aucune explication, et désormais il évoquait ses pouvoirs. Il était toujours aussi intenable, je voulais le calmer mais je ne savais pas comment faire. Je ne dis rien, attendant la suite des événements, des révélations. Ce matin-là, j'étais allée chez Damon pour retrouver Auréa, et je m'étais retrouvée en Italie, assistant à une conversation dont je ne comprenais rien. Je ne me sentais pas à l'aise, je pus voir que Hyde non plus. Je compris sa réaction, Syd avait eu une vision de lui enfant, les questions devaient envahir son esprit. Ce fut lui qui prit la parole le suivant.

- Sydney... Il y a un problème. Un message d'Hell vient de m'annoncer que Damon est un.. est un tueur.

Mon coeur s'arrêta dès que j'entendis ce mot. Damon, l'homme dont ma meilleure amie était amoureuse, était un criminel ? Comment était-ce possible ? Était-ce la raison pour laquelle il avait eu un rendez-vous avec l'homme de la boite, que nous avions cherché la veille ? Cette journée devenait de plus en plus éprouvante et étrange. Je n'avais qu'une envie, repartir à New York pour retrouver Auréa. Si quoi que ce soit lui arrivait, j'avais peur de ce que j'étais capable de faire à Damon. Aaron entra dans une colère noire, je savais qu'il était proche d'elle et je compris parfaitement sa réaction. Il nous donna des billets d'avions pour nous rendre à la villa de la famille Eden en Sicile. Il voulut voir Damon, je lui proposai de le téléporter chez lui, il accepta. Je me concentrai à nouveau sur ma destination, quelques secondes passèrent avant qu'il ne disparaisse. Je ne savais toujours pas comment réagir face à cette nouvelle qui avait fait l'effet d'une bombe. Syd sembla rassuré de savoir Aaron auprès d'Auréa, cela m'arrangea également qu'elle ne soit pas seule avec lui. Syd, Hyde et moi partîmes ensuite en direction de l'aéroport. Dans l'avion, nous parlâmes de tout et de rien comme pour nous distraire du fait que Damon était un assassin. Syd m'évitait toujours légèrement, ce que je comprenais, je ne lui en voulais pas. Il s'était calmé et était désormais de compagnie plus agréable. J'espérais regagner sa confiance, peut-être même son amitié. Je tenais énormément à lui, et même si j'avais tout gâché, je voulais vite le retrouver. Mais c'était son choix, je savais que c'était à lui de prendre cette décision. Hyde, quant à lui, avait un côté assez secret et mystérieux, cependant il se joignit aux conversations. Le fait de parler accéléra le temps, le vol passa assez vite. Nous arrivâmes à la villa grâce à Syd qui nous y conduisit, il connaissait déjà l'endroit. C'était un magnifique manoir, richement décoré. Syd entra le premier, suivi de Hyde et moi.
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MessageSujet: Re: (-16) Black Smoke Attack   (-16) Black Smoke Attack EmptySam 29 Mai - 13:43

« but don't expect me to be happy for you and don't smile at me and tell me things will work out for me too . I don't want your pity... I hate your pity »


Tout était calme, je voulais presque tournée la page sur mes questions. Étrange? Fou ? Mon meilleur ami un tueur et j'entame un opus ? La réponse est oui, sans doute. Il ne profitait jamais de ce qu'il avait sous les yeux. Il passait de mon meilleur ami, a ce que je pouvais haïr le plus. Il était égoïste de plus en plus, il s'en foutait il n'y avait que de l'intérêt que pour lui même, même en ce cachant derrière ces problèmes il restait égoïste, en chaque fois en relation avec lui. J'en avais plus qu'assez, et je savais qu'Auréa allait en souffrir. Il était égoïste et elle l'aimait donc elle se permettait de rester là, a souffrir. J'en avais marre de ces excuses, bordel il fessait mal à ce comporter comme ça. Il m'arrachait mes poumons déjà bien usé. Il méritait de souffrir de ça, et non pas de ces problèmes de la vanité de l'amour qu'elle lui portait. Qu'il souffre de sa douce amertume de ce frigide temps de repos. C'était sans doute horrible de penser ça, mais c'était ça. On en était arrivé la, il n'était jamais là pour moi et j'étais là comme un con a rester pour lui. A chaque fois, je m'oublier pour lui et ca ne pouvait pas continué comme ça dans le mensonge. A la mort de mon pére, il s'était enfuie en Russie, je lui ai pardonné. Et là il s'amuse avec le feu, qu'il se crame comme un gamin et qu'il recommence s'il veut, on ne récupère pas ce qui ne veut pas être sauvé. Au fond le voulait t'il vraiment? Il en était pas lui même convaincu, Auréa croyait en lui, mais elle s'ouvrait des blessures. Quand elle allait revenir, j'avais envi de lui crier dessus qu'elle se tienne éloigner de lui, même si je savais bien qu'elle était trop attacher pour faire le contraire. Il la méritait pas, il la rendait faible. Il créait un sillage de mensonge son regard vide, je pouvais pas dire que j'étais fière de lui. Non je l'étais pas, il devenait quelqu'un aux antipodes de ce que je pouvais accepter. Il venait encore de me trahir. Je décidais d'oublier, j'avais pas besoin de songer à ça, mais ce genre de comportement me fessait le plus de mal, c'était sans doute une de mes plus grandes faiblesses. Vous laissez un ami devenir proche, tellement proche que vous baissez toutes vos armes , vous lui donnez plusieurs chances de ce rattrapé sur ce qui vous fait le plus de mal. Et il s'en fou ou fait semblant qu'il s'en fou. Congradulation, I Hate You.Durant le trajet, je parlais de tout autre chose parce que honnêtement il n'y avait plus rien a dire. Plus rien, j'avais une rage qui monté en moi, et c'était quand ca aller exploser que ça aller réellement faire mal. Je prenais sur moi, au maximum. En parler a Hyde? Il partageait sans doute la même vision des choses que Damon, et j'avais pas envie de me battre avec lui. Peut être que je n'étais plus un réel ami pour Damon. Peut être que quelques chose c'était effectivement casser. Je voulais pas pensé à ça et pourtant ça me fessait mal, presque une boule dans la gorge, je retenais mon souffle de se perdre. J'avais toujours été sensible sur se sujet et l'abandon d'un ami chére me déclenché toujours des crises de spasmophilie. Je le perdais, ou je l'avais perdu. Je voulais pensé à l'italie et la villa. On arrivait enfin a bon port, on se dirigeait vers les voitures de location. Je pris celle qui nous fut assigné et je nous conduisait jusqu'à la villa dans un milieu bien loin de l'aeroport.


Cette villa me rappeler définitivement cette été. Le plus merveilleux qui puisse exister, on avait tellement de chose qui ne pouvait pas s'oublier. La façade était d'un blanc crepineux aux allure de maison du Sud. On passa la grille et on sortai de la voiture, deux personnes étaient la plutôt âgés c'était Stella et Orio qui me prit dans leurs bras en signe de bienvenu, ils étaient très conviviale Stella parler notre langue avec un petit accent mais elle se debrouillait, elle nous souhaiter la bienvenue et que la maison était a nous. Je comprenais pas se détails, ils n'habitaient plus ici ? Je lui demandais et elle me répondit que la maison était bien trop grande pour eux, trop de travail a entretenir c'était donc des domestiques qui s'en charger. On passer prés de la terrasse avec la piscine qui était plus que énorme avec les transats. Ils nous invitèrent a s'asseoir et a prendre de la boisson. Stella avait visiblement hâte de voir sa petite fille car elle ne cessait de regarder l'heure. Orio était visiblement intrigue par Hyde et Kasey par la piscine. Le paysage était sublime entre montage, champs et a l'horizon on pouvait voir que la mer été pressente et les criquets chantaient notre arriver. Stella me proposa de faire visiter a mes amies la villa ou on aller séjourner pendant un petit temps enfin ca on en savait rien, Aaron nous avez rien dit. Je savais pas quel entrer prendre donc j'allais a l'avais et je demandais a Kasey et Hyde de bien vouloir me suivre.

Pour commençer ma visite guider, j'ouvrais une porte assez lourde de l'ébène, on entrer dans un couloir blanc assez lumineux avec différente porte une a droite, une a gauche et en face une entrer ouverte je commençais donc par la. " Voici le Hall, par la c'est l'espace de Aaron, Stella et Orio. A gauche, c'est tout ce qui appartenait au père d'Auréa, la chambre d'Auréa et de Milo" je voyais un regard d'incompréhension d'Hyde et de Kasey sur le "Milo"... " Milo, c'est son demi frère adoptif, le fils d'Aaron. Bon voici le salon, Hyde c'est pour toi la télé t'appuie la pour l'avoir, ici il regarde pas spécialement la tele donc tu as de la chance qu'ils l'ont garder " j'appuyai sur un bouton situer pres du sofa et une ouverture se créer laissent sortir la television changer, avant ce n'était pas un écran plasma maintenant si. Le salon etait tres épurer dans les blancs, gris avec des touches d'esprit du sud, des objets en ferraille et des tableaux moderne, la grande baie vitrer laisser entrer le soleil a la perfection. On continuer vers la gauche passent un encadrement directement la salle a manger, les murs étaient jaunes ocres et beaucoup plus traditionnel, des peintures qui était du Miro une grande table en marbre fait par un tailleur de pierre et des chaise qui était assez énorme en fer forger avec toujours la continuité de cette baie vitrer, je leurs présenta également la cuisine traditionnel et l'entrer pour aller dehors et rejoindre la piscine. On retourner du coter du couloir principale du coter gauche, en premier la chambre de Milo qui était ferme a clé," bon visiblement c'est fermer, la chambre d'Auréa et en face"

J'ouvrais la chambre d'Aurea et sa me fessait un peu bizarre de le faire, ca chambre ci était différente que celle qu'elle possédait en Angleterre, j'ouvrais d'un geste lourd la chambres, la pièce était sombre, j'appuyais donc sur le bouton pour ouvrir les volets, la chambre d'Auréa était de couleur prune et des touche de noir par les meubles. Son lit était aussi assez épué des draps au fil du nil venait se lié sous nos doigts, un voilage très fin accroché au plafond venait habiller le lit. Mon coeur s'arrêta quelques seconds, c'était ici. Pour la première fois, la notre c'était dans cette chambre. Je pouvais décrire dans le détail son regard qui n'habitait encore parfois, ces frissons d'être prêts. Je voulais pas que ca s'efface, et même si je voulais que ça s'efface, c'était graver en moi. Comme la première fois ou j'avais pris conscience de cette chaleur qui me consumé et que me rendait complètement fou. Si je commençais a enchaîner les filles, c'était pour retrouver cette instant de plénitude qui vous habite. Mes recherches étaient en vains et même Auréa n'était plus cette fille, tout avait changé. J'aurais voulus revenir a cette instant parfait ne serait-ce quelques seconds. J'y pensais, j'y pensais encore en voyant cette chambre. Je songeai que si Orio était un conservateur et traditionaliste, qu'il pensait sans doute que sa petite fille aller rester pure jusqu'au mariage..c'était raté, enfin c'était elle qui avait voulus. Il s'était suivie de cette nuit là, de nombreuse escapade, d'ailleur a chaque fois que je voyais une pièce je rigolais un peu tout seul en songeant a ce qu'on avait fait dans cette pièce. Je changeais ces idées mal placé, je fessais ensuite visité la salle de bain d'Auréa. J'entrais dans cette pièce de lumière, les murs blanc avec une ligne horizontale argenté, une baignoire qui trônait au milieu de la pièce et une baie vitré géante qui donner sur un paysage de la maison exquis, un endroit incessible des autres pièces, il y avait une fontaine sculpté magnifique et l'ouvrage d'un paysage totalement dessert de pierre et de sable. Je regardais le plafond, je savais qu'une partie du toit pouvais s'ouvrir c'était quelques chose d'original pour une salle de bain. Les murs étaient en faite abrité par des tiroirs et un trompe l'oeil avait été fait. Dans la continuité du mur se trouver une douche, tout juste cacher par se mur. Kasey et Hyde me suivirent toujours, je leurs fit découvrir l'étage. On passer l'escalier et une pièce totalement vide, au parquet sombre et dans un partie le sol étaient différent, c'était des matelas de sport. Les mur était d'un chocolat savoureux « C'est la salle de jeu, et de sport tout est dans les armoires » les armoires étaient en faite les murs. Cette pièce me fessaient plus pensaient a une salle de sport et d'entraînement. On allait du coté de Stella, un pièce était présente avec plein de vêtement. Stella avait été couturière ce qui expliquer pourquoi elle avait autant de vêtement. Il y avait un des machines a coudre et diverse outils. Je leurs présentais des chambres, toute avec un reflet du sud. On entrer, au sous sol et je leurs fessait découvrir une salle de projection privé, ensuite je les emmenais a l'extérieur pour qu'il voit le ara, différente écurie avec quelques chevaux.

J'avais fini la visite de cette maison, et j'avais passé certainement une bonne heurs. Je voyais la lamborgini débouler prés de la route déclenchent un nuage de fumé, du au chemin de terre et ca me fessait repenser a Damon. J'avais du mal a ignoré, a zapper la chose parce que quoi que j'essayais de cacher il restait mon meilleur ami, mais il allait trop loin. Je voulais faire tair cette conversation qui s'entamé dans ma tête, cette voix dans ma tête devenait puante et infecter mon air. « This conversation is over.. Your truth is a deception meant to poison me » C'était peut être pas honnéte de penser ça, et pourtant je ne lui avais jamais cacher. Je n'étais certainement pas un trophée qu'on pouvait gagner, ma confiance n'était pas un jeu. Auréa sortait de la voiture en claquant de la voiture, visiblement elle était en colère contre Aaron. On les regardaient tous arriver, en les dévisagent, elle dit bonjour poliment a ces grand parents, nous pris dans ces bras Kasey; Hyde et moi même. Et elle rentra directement dans la Villa en claquant violemment la porte. J'étais certain qu'elle était en pleur, certain, elle l'aimait et même si je pensais que c'était complètement fou elle pouvait pas se détacher de lui. Elle avait besoin de l'avoir a ces cotés. La voir comme ça fessait que j'étais complètement pétrifier et ça me ressemblait pas. Ignorance, par défaut la plus grande des douleurs que l'on pouvait infligé a autruit. La voir dans cette état, me fessait prendre conscience que j'avais pas le droit d'ignorer Damon. J'en avais pas le pouvoir, même s'il méritait de se prendre un coup dans le ventre, je pouvais pas c'était pas a moi de le faire. Je pouvais pas faire semblant d'accépter ça, je pouvais pas faire semblant d'être pour ce qu'il avait fait, je pouvais pas. J'était totalement perdu sur ce que je pouvais faire et je savais comment il allait réagir ce renfermer sur lui même et me prouvais que je ne valais rien a ces yeux. Dans tout les cas, j'avais mal. Je restais la a regardait Kasey et Hyde se demandant qui allait la voir sans doute. Je savais pas si j'étais le bon choix, je risquais de faire pire que mieux.. Elle avait pas besoin de nous, elle avait besoin d'aucun de nous juste de lui. Elle allait devenir totalement flippante dans les jours qui viennent si elle ne l'avait pas. Calme, trop calme, presque a s'effacer. C'était aussi a lui de trouver ces solutions, si je m'en mêlais je risquais de mélanger mes sentiments. De plus je devais parler a Kasey, ca devenait assez urgent. Plus je la regardais plus j'avais mal. Bordel pourquoi je souffrais autant de regarder les gens. Je demandais a Hyde de veiller sur Auréa s'il voulait...
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Auréa Eden

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MessageSujet: Re: (-16) Black Smoke Attack   (-16) Black Smoke Attack EmptySam 5 Juin - 3:48

                                                    Étant plus petite, j'avais toujours voulus un petit ami qui vivrait dans un cintre rangé dans ma penderie. C'était amusent de repenser à ça, je voulais le sortir pour l'avoir avec moi mais je voulais qu'a chaque fois que je le sorte il me regarde de cette façon là. La façon dont les garçons regardent les filles dans les films, ces regards qui nous donnent des frissons . Ce regard qui voulait sans doute tout dire, sans besoin d'aligner des mots qui seraient sans doute inutile. L'homme sur le cintre parler évidement peu et ce n'était pas ce qui compter le plus. Ce qui compter le plus c'est sa présence qui habiller mon âme. Le ciel était d'une couleur étrange, rougeoyant et charbonneux à la fois, je regardais les nuages passer pas le hublot de l'avion, songeant a ce qui c'était passer, je sentais encore sous mes doigts les tissus de sa peau. Son regard imprimé dans ma mémoire, il me regardait de cette façon, la bonne façon. C'était lui, le garçon du cintre. Je savais que quoi qu'il en dise, je le retrouverai. Je l'avais compris, qu'il aimait trop sa liberté. Qu'il l'aimait trop pour rester, avec moi. C'était l'ombre qui c'était posé sur nous. J'essayais de me rappeler, de quel manière était-je avant, avec Sydney. Tout était fusionel, je n'avais jamais cette impression de gêner. On partager beaucoup de chose, et c'était certainement un équilibre trop parfait pour être vrai, qui allait devenir avec le temps calme et chiant. Je regardais mon bras mes veines ressortais incroyablement, elles ressemblaient a une carte d'autoroute. J'étais contrarié ou peut être en manque. Peut être que j'étais déjà en train de mourir, mais je savais que les vivants continueraient a suivre le cour de leur petite vie bien tranquille. Mes pensées étaient bien entendu exagérer, je ne mourrais pas, je respirais encore mais c'était plus dur, sans conviction, sans envie . J'aimais sentir son poids sur mon corps, l'électricité statique qui fessait souvent mes cheveux se craquelaient a son contacte. C'était si simple, que lorsqu'il était a mes cotées je perdais mes propres limites. C'était comme jeté des cailloux a l'eau, des ricochets perdu, ces ondes de plénitude qui entourer l'eau, ces cercles concentrique qui viennent exploser après le choc, c'était ça. C'était a ce moment là que j'étais heureuse d'être vivante, quand je le sentais prés de moi. A le vouloir toujours, et toujours plus proche de moi. Le jour perdait son sang dans le ciel, je repensais a ce qu'il m'avait dit, comment il me l'avait dis, ces doigts liées aux miens, soudées les uns dans les autres. J'avais le choix d'être en colère contre lui pour ce qu'il avait fait. J'avais le choix de le détester pour avoir hotté la vie a des personnes, les avoir détruit consumé en quelques seconds. Être dégoûté de ce qu'il avait fait . J'avais ce choix, mais il n'était plus celui là. Il en était loin, ce que je pouvais lire dans ces yeux c'est qu'il était détruit d'avoir fait ça. Je ne savais pas ce qu'il pouvait lire dans les miens; mais une chose qui était sur , c'était que je ne voulais pas de mensonge. J'avais été en colère mais la colère rester toujours la haine des faibles. Le haire c'était quelque chose d'impossible a mes yeux, j 'étais soumise a mes sentiments.

- Je crois que t'avoir prés de moi c'est ce qu'il m'est arrivé de mieux depuis les sept dernières années. On va sans doute me prendre pour le pire des monstres qui existent dans les prochains jours et je ne pourrais pas dire que je ne le mérite pas mais je ne serais plus un menteur... Je vais certainement avoir du mal mais je ne lâcherais pas parce que je veux vivre autrement et pour vivre autrement je dois recommencer à zéro. Avec toi. Je vais appeler mon père, l'appeler et lui dire ce que j'ai pas été capable de lui dire juste par fierté. Je voulais pas te faire souffrir, je te jure que je voulais pas. Il te faudra sûrement du temps pour que ce que je viens de te faire s'apaise mais sache que je serai là, quand tu sera prête toi aussi.

J'avais retenu ma respiration, quand on fait ça assez longtemps en générale on aperçoit des petites taches blanches qui dansent devant vos yeux. J'avais les yeux qui piquaient comme des lucioles qui battaient des ailles contre mes paupières. Je l'avais retenu inconsciemment parce qu'il avait ce pouvoir de me touché a chaque parole qu'il prononcé. Pour moi, ce n'était pas un monstre, bien que ça me fessait mal de savoir la vérité. J'arrivais pas a imaginé, je pouvais être en colère et après ? Ca n'enlèverai jamais son passé. Ce qui était fait, était fais. Il avait conscience de ces erreurs et je n'étais pas vraiment bien placé pour pouvoir jugé, c'était mal. Très mal, mais il n'était plus cette homme, il l'avait dis, il changeait. Je savais pas, si j'étais réellement prête ou j'étais tout simplement aveuglé par mes sentiments. Et puis Aaron était arrivé. Mon ventre c'était retourné avec une rapidité. Tout aller trop vite, vraiment tout, je me sentais totalement dépasser par les événements qui ce présenter a moi. Finalement, il y avait peu être un avantage a être enlever de cette manière, ralentir les choses. Ce détaché un peu, voir les choses tel quel était et non pas sous l'influence de mes sentiments qui me guider a l'instinct. Je me sentais coupable de la complexité de ce que je ressentais, un passion qui n'était pas voulus. C'était flou tout ça. Je fixais le soleil a travers mes paupières dessinant les tracés de lumière kaléidoscopique, c'était presque reposent sans se stresse qui grouillait dans mes membres. Prisonnière, c'est ce que j'étais enfermé dans une maison, avec une gouvernante et maintenant c'était mon oncle qu'il voulait reprendre le flambeaux. Je le haisais d'avoir utilisé cet argument pour me faire venir a ces cotés. Il savait que j'allais lui obéir, juste par principe. Les principes, fessaient partie des évidences de la vie commun de notre famille qui au passage qui n'existe qu'elle même par principes, car il y avait des kilomètres entre nous.



Never Forget the Past :

Champagne for My Real Friends, Real Pain for My Sham Friends



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Il savait aussi que j'arrivais a avoir tout ce que je voulais, c'était quelques chose que Kasey et moi avait en commun. C'était certainement la seule a me connaître sous cette angle. On était toujours dans les coups foireux, ensemble. You want, you have. Quelques qu'en soit le stratagème utilisé on y arriver toujours. Détermination, sacrifice l'une pour l'autre, on était prête a tout. La fois, la plus embarrassente était sans doute celle ou on avait commencé cette après midi de Juin. Je m'en souviens comme ci c'était hier, Kasey était arrivé dans une robe assez courte bleu splendide, les cheveux attachés, escarpins déjà haut à cette époque. Dés qu'elle était arrivé, je l'avais fait entré dans le salon et j'avais ouvert le bar comme une présentatrice Tv. C'était notre après-midi, celle ou tout était permis. C'était une fois par an, en effet c'était une sorte de tradition cette de notre anniversaire de rencontre. A passer quelques heurs a ce préparer, ou plutôt a me préparer parce que Kasey était déjà parfaite, je l'envié de cette perfection. C'est cheveux d'or telle une poupée barbie, et on était plus au moins déjà bien partie a l'aide de tequila et de citron et autre cosmopolitin. L'idée nous avait pris de faire un jeu stupide action ou vérité. Il était logique qu'on savait déjà presque les vérités l'une sur l'autre, mais on s'en amusé. « Tu sais que ça risque de partir loin, t'es prête a ça ? » je l'avais prévenu. Et bien sur ça lui plaisait, elle avait cette nature intrépide égale à la mienne.


On c'était d'abord attardé dans les boutiques, premiers actions lancer. « Rester dans le magasin, jusqu'à la fermeture. » une idée qui m'avait pris en voyant les stores d'une boutiques de luxe se fermer. On était aller dans cet boutique sur Time square qui vendait tout des produits de luxe, c'était la ou on aller tester nos premiers jeux. La boutique fermé a 19heurs, on entré, on regardait les vêtements comme des clientes normales, presque habitué. Quand Kasey m'avait saisie le bras pour m'emmener dans les réserves du magasins. Maligne, on était rester dans les réserves a fouillé des choses qui nous regardait pas. Aucun employer, ne venait ouvrir car on était passer par l'issu de secours. Quand tout commencé a fermé, on avait le stress qui monté progressivement. Si on arrivé pas a sortir? Dix neuf heur trente, était fermé. On sortait de la réserve et on eu un fou rire. On était dans cette boutique, là a deux.

« Capable d'embarquer cette robe qui t'iras a merveille et ces escarpins ? »

Elle avait saisie une robe blanche a volant, magnifique, dos nu et elle l'avait fait exprès pour qu'on voit bien mes formes, elle était signé Valentino, je n'osais même pas regardait le prix bien que j'avais le droit a tout ce que je voulais. Je savais qu'elle était hors de prix, la volé était assez fou. Les escarpins étaient signé Vuittons, édition limité.

« Cap ».

J'enfilais la robe et les escarpins, elle m'aidait à la fermé je me sentais nue et j'allais derrière la caisse pour prendre le cd d'enregistrement du magasin. Ni vu, ni connu. On était sortie du magasin par l'issu de secourt. On avait mis un chewing-gum à la porte pour ne pas qu'elle se referme. Dans nos actions, au fil de la soirée on était de plus folle et libre. On était sortie du magasin en courant comme des folles. Et forcement la soirée ne pouvait pas s'arrêter la, on était descendu en boite. Dansent a l'unisson sur les rythmes de basses qui scandaient chacun de nos pas, des joints circulé sur la piste, mais il y avait trois règles a notre jeu, pas de drogue, on ne se lâche pas et on se tient les cheveux si jamais on doit aller vomir. Étant donné qu'on tenait plutôt bien l'alcool, on avait pas de problème a se faire. Après avoir danser pendant quelques heurs, on marcher un peu et c'est la qu'elle avait demander une vérité. Je lui avais demander si elle avait des sentiments pour Sydney, si c'était plus que de l'amitié. Elle m'avait confirmé qu'elle était attiré par lui, mais qu'elle savait qu'il fessait mon bonheur. Elle sacrifiait ces envies pour moi, j'en prenais pas conscience et on danser sur un pont quand elle m'avait lancer l'action d'embrasser quelqu'un avec la langue bien entendu. Elle avait été vache sur ce coup, car dans la rue il n'y avait que des gens qui avaient beaucoup trop bu. Joker, je l'avais embrasser, elle. C'était comme ma soeur, en réalité ça l'était, la seule vraie amie que j'avais, et je savais que quoi qu'il se passe c'était pour toujours. C'était ma soeur de vie, avec elle je me sentais vivre a profité de chaque instant. Les pires bêtises qu'on pouvait faire on les fessaient ensemble.

« Tu croyais vraiment que j'allais mettre ma langue dans la bouche de quelqu'un que je connaisai pas » . Elle s'y attendait pas, on venait d'avoir quinze ans et on était déjà là. Et elle me l'avait sortie : « Action » je lui avais donné de répondre Oui a tout ce qu'on lui prononcé jusqu'à ce qu'on soit dans notre lit. Elle avait accepté et je lui avais fait faire des singeries. On commençait a avancé pour rentré dans la City. A pied, c'était assez long et aucun taxis ne s'arrêta. Des garçons, nous avait proposé de nous raccompagner. J'avais gentillement refusé ,on savait que c'était une mauvaise idée. Par malheur, l'un des garçons insistas et demanda a Kasey, elle devait dire oui a tout ce qu'on lui proposer.

« Oui » avait- t'elle prononcé inaudiblement. C'était partie, on devait les suivre. Le brun avait fait une fixation sur ma robe, j'aimais pas comment il me regardait comme l'objet de ces désires. J'avais quinze ans et si quelqu'un pouvait se permettre de me regardait comme ça, c'était uniquement Sydney. Et encore, il savait que je n'étais pas prête. C'était étrange, on était a l'arrière et on avait un airs assez dépité. Je lissais sur le visage de Kasey l'inquiétude qui monté. C'était pas bon, pas bon du tout. Elle prit son téléphone et elle me demandait comment on aller s'en sortir. Je réfléchissais, on était pas très loin de chez nous en réalité, c'était juste a 4 carrefours de chez moi. J'avais pas le choix, j'envoyais un message à Meredith, la gouvernante qui était cessé veillez sur moi. Je lui demander de nous retrouver dans la rue suivante. Il restait plus qu'a sortir de cette voiture. Kasey était sur le point de devenir actrice, mais elle était trop dans les vapes pour jouer quoi que se soit ce soir. Je lui envoyais,« l'une d'entre nous fait semblant de vomir, l'autre sort. On court jusqu'à la prochaine rue, et Meredith vient nous chercher. » Elle me répondit « Va y, je fais la fille affolé », je savais qu'elle allait être parfaitement crédible dans ce rôle. Elle avait un don incroyable, j'espère que sa aller fonctionner. Je commençais a faire la fille Complètement malade, qui va vomir dans les deux seconds qui suit. « ARRETEEZ VOUS SI VOUS VOULEZ PAS QU'ELLE RENDE DANS TA VOITURE » elle leur avait crié dessus en me tenant. Ils s'arrêtèrent, elle m'ouvra la porte et on se mis a courir. Nos escarpins claquée contre les pavés, la robe a volant, volé un peu trop. La ville partait en poussière cette nuit là. Meredith était venu nous récupérer en nous grognant qu'on était habillé de façon inappropriée, pour des jeune fille de notre age mais honnêtement on s'en contre fiché. On avait passer la une soirée mémorable, Kasey se metta contre la portière et je m'assoupissais contre elle. En pensant que je ne voulais jamais que ça s'arrête. Cette chose qui avait entre nous était unique .



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Je descendais de l'avion, mes écouteurs aux oreilles, j'avais écouté la même chanson durant quasiment tout le trajet, je la connaissais maintenant par coeur. Around broken in two til your eyes share into dust, like two strangers turning into dust. Comme si elle défilait au moment ou je descendais les escaliers, en traversent le terminus pour rejoindre les escalators. Elle devenait la bande original, de ce moment de ma vie. Comme dans un film, je restais cette fille qui descend de l'avion et qui prend l' escalator, mon coeur se souleva. J'imaginais quand bas, il serait la a m'attendre. Avec sa veste en cuir, son slim sans doute gris et un t-shirt noir. Il pourrait pas rester a attendre en bas, il pourrait pas rester sur place a m'attendre parce que je le verrais pas du premier coups d'oeil, car mon regard serait perdu sur l'horizon. Il monterait les marches a contre sens, deux par deux . Je sentirais sa main froide se poser sur ma joue. Je me torturais, c'était de la torture, imaginé ça. Il n'était pas là, j'arrêtais cette musique de mes mains tremblantes. Je traversai l'endroit ou je l'avais imaginé, je sentais presque son odeur qui venait titillé mes narines. Je traversai son fantôme qui s'éclata en millions de poussière. Mon imagination suivait mon coeur, s'envolant en poussière. C'était l'effet du décalage horaire. Les bruits m'agressaient, tous les bruit. La jeune femme qui mastiqué son bonbon. Mon Oncle qui ne cessait de parler or qu'il n'était q'un fond sonore dans tout ça, le cliquetis d'une montre, la voix d'une hôtesse, le tsss tsss de cette femme qui a perdu son billet et les cries d'un bébés qui réclame d'être changer. J'avance, sans bruit et j'attends que ça se termine. «  J'ai les clé ils l'ont déposer sur le parking, aller vient Auréa » Je le suivais, sans envie. On sort, l'une des premier chose que je fais, c'est fermé les yeux. Je sens le vent caresser mon visage. Je suis directement dans cette atmosphère limpide, je n'ai jamais autant détesté le soleil. Le soleil était synonyme de bon temps, de bonheur. Je voulais pas l'être, pas temps qu'il serait sous un autres continent. Cassé, saisie de l'intérieur quand tout ce brisé, je devenais paradoxalement calme. Un calme incompréhensible, c'était comme ça ma réaction. Certain choisissez l'impulsivité, l'attaque, je fessais ce choix du recule. Répondre oui, ou positivement a toutes question que l'on pouvait vous posez en répétant que vous êtes fatigué. Le trajet de la voiture à la maison se fessait en silence les plus religieux.

Nous arrivâmes enfin à la villa, tout était si bizzard C'était à la suite de cette soirée avec Kasey que Sydney et moi avions pris le vol pour nous retrouver en vacances dans ma famille. Je descendis de la voiture en soufflant, j'aimais mes origines, mon pays, cette villa, mon grand-père et ma grand-mère. Je me sentais pas prête pour être là. J'embrassais tout le monde, serrer dans mes bras mes amies. Et sans trop réfléchir, je leur demander de bien vouloir m'excusez. Il fessait chaud, le soleil tapé de plus en plus, trop chaud. Je pouvais pas faire semblant que sa me touché pas. Pas encore, c'était trop tôt. J'avais besoin d'être seule ou de comprendre encore ce qui c'était passé. J'entrais dans le salon, rien n'avait changé ou presque, je traversais ma chambre tout était là. J'ouvrais la porte de la salle de bain, elle n'avait pas changé elle non plus. La baignoire trôné en plein milieu de la pièce, j'avais toujours vue la baignoire comme un bateaux ou on pouvait ce cacher. J'enlevais mes chaussures et je me mettais dedans. C'était froid ... comme lui. J'avais besoin de se froid. Je regardais le plafond, la vitre était découverte, je regardais les nuages passé, me dissent qu'il ferait le tour de la terre. Je restais la allongé dans le froid. J'avais peu être envie de crier, surement de me noyer, mais rien je restais protéger. Ce bateau avait des échos, et l'avantage qu'il possédait c'était que vos pensez resté en surface. Qu'est ce qui se passer ? Comment avais – je pu m'attaché or que je ne voulais plus souffrir d'amour. Pourquoi j'avais terriblement peur, qu'il se passe ce quelques choses. Je voyais Hyde qui me regardait, je l'avais reconnus a ces pas, et a son odeur. Je continuais de fixé le ciel. Je considérais Hyde comme mon meilleur ami, il comprenait d'un regard ce qu'il se passait. Inutile de lui expliquer a qu'elle point j'avais peur. Damon n'était pas le genre d'homme qui pouvait être tenu, ni même apprivoisé. Il restait à l'état sauvage quoiqu'il arrive et j'avais toujours se gros problème de comprendre qu'on pouvait m'aimer. Durant toutes les années de mon existence, j'avais compris que je pliais mais je ne cédés pas, même quand je ne prenais plus rien et que je m'étais mise à rétrécir, tel un spectre je m'étais éloignais peu à peu de moi-même et c'était ce qui se passer actuellement. J'étais perdu, intégralement. Je fixais les nuages encore et toujours répétant a mon corps de se taire. C'était peut être comme ça que ca devait être, moi ici, lui là-bas. Peut être que c'était pas bon d'avoir ressentie tout ça, je me sentais coupable de lui hotté la seule chose qui l'avait maintenu en vie durant toute ces années. Sa libéter. Tait toi, reste la ou tu es, ne coule pas, reste là, dans mon oeil, ne tombe pas, c'est ce que je ne cessais de me répéter pendant que des larmes s'échappaient. J'avais l'expérience de pleuré que rarement, uniquement quand c'était dans mon coeur que sa trembler. C'était ce qui se passer, c'était dans mon coeurs. S'il n'arrangeait pas ce qui se passer avec son père ? Je me sentais faible, attaqué. Je sentais Hyde s'approcher de plus en plus. C'était quoi la suite du programme? Le retour d'une de ces ex ? Aaron qui nous refait un coup de on y va, pose pas de question? Dans le fond, on pouvait pas avoir un instant de bonheur. J'avais peur que ça soit voué à l'échec les familles, les amies la totalité crée un mur. Ce n'était pas ce que je voulais, je voulais pas lui prendre sa liberté. J'avais plus peur de ces Démons, de se qu'il avait été mais de l'avenir. J'avais l'impression qu'il fuyait les évidences celle que je voyais là ou alors il était trop sur. C'était ce que les kilomètres me fessaient pensé. On avait ce qu'on voulait et quand on l'avait ca n'allait toujours pas. Il était toujours ouvert... ce robinet des questions. J'hésitais pas, c'était sûr. C'était lui l'homme qui m'habiller entièrement, mais si c'était lui je lui donnais tout les droits pour me faire tombé. Les larmes tombés dans mon cou, et je prennais enfin la parole, tout doucement.


«  J'ai peur qu'il m'aime comme je l'aime. J'ai peur de pas arriver a suivre. J'ai peur de trop l'aimer, qu'il veuille pas avancer en continuant a vivre a travers son passé. J'ai peur que ça soit pas pour nous, j'ai peur de le voir partout et pourtant j'ai pas peur qu'il a hotté des vies. »





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MessageSujet: Re: (-16) Black Smoke Attack   (-16) Black Smoke Attack EmptyVen 11 Juin - 16:48

Ce matin, je m'étais levé comme tous les autres matins précédents en étant convaincu que les heures qui allaient défilées resteraient aussi banales que toutes les autres et bien, je m'étais clairement trompé. Du garage, j'étais passé au Vatican. Du Vatican, j'étais passé à la Sicile et entre tout ces voyages, j'avais appris que Damon, l'homme que j'avais toujours pris pour un frère, était un assassin. Cette vérité était tombé comme une lourde pierre dans mon torse. Je n'étais plus certain de le connaître réellement, j'étais intrigué et déboussolé d'apprendre une chose aussi importante via le sms d'une personne que je venais à peine de rencontrer. J'avais des millions d'images en tête. Il avait tissé sa vie à partir d'un mensonge, comment voulait-il qu'on soit sûr de ce que l'on représente pour lui ? Je n'étais pourtant pas en colère, je n'étais pas non plus triste ou blessé. J'étais fade. Lassé des mensonges qu'il détenait, lassé de voir Auréa vaciller devant lui sans qu'il ne bouge, qu'il passe devant Sydney sans même lui adresser un regard ou une parole. Il était temps que Damon soit sincère envers lui-même, envers les gens qui l'aime car il perdait tout, lentement mais tellement fatalement. Kasey semblait elle aussi un peu exténuée par toute cette agitation qu'aucun de nous deux n'avait pu contrôler. On était là car on se devait de l'être. Nous avions des gens en communs qui nous sont importants et même si on ne comprenait pas tout ce qu'il se passait. On était là pour eux. Je suppose que ça devait faire parti des choses à faire pour garder une amitié vivante. Je pensais à Auréa qui était à des kilomètres de nous, je me demandais si elle était au courant. J'avais peur, peur qu'elle se décompose par amour, qu'elle se sacrifie plus qu'elle ne le devrait. Tout était trouble. L'oncle d'Auréa affichait une colère perceptible mais aussi une crainte. Sûrement la crainte que Damon ait fait du mal à sa nièce. Je l'observais quelques instants et me rendait compte que sous cette couche de colère, il y avait de l'affection, de la protection qu'il voulait donner à Auréa. J'aurais voulu qu'il connaisse Damon comme je le connaissais mais bien sûr, ce n'était pas le cas. Il ne devait pas avoir une bonne vision de lui, ce qui était tout à fait normal dans l'idée où Damon était classé en tant que meurtrier.

Cependant, il était inoffensif. Envers nous. Il se découvrait sous un jour qu'il ne contrôlait pas et ça l'agaçait, il tentait de lutter mais il n'y arrivait jamais. Ces sentiments étaient en jeu, il devait se mettre une pression qu'il n'y avait pas lieu d'être. Aaron nous donna des billets d'avion pour pouvoir arriver à destination. Sydney était indéchiffrable, ne laissant rien paraître de ce qui pouvait le préoccuper à cet instant même. Il devait être aussi perturbé que nous l'étions. Kasey téléporta Aaron à New York en seulement quelques minutes. Sydney semblait savoir quoi faire et on le suivait sans poser trop de question. Il faut dire que le moment n'était pas réellement approprié. Les heures de vol ne s'étaient pas montrées si longues que je ne le pensais, une espèce de calme s'était posé sur la vitesse des événements et d'un côté ce n'était pas plus mal. Je réfléchissais à tout ce qu'il s'était passé. Je n'avais pas compris la détermination de Sydney, ni ce qu'il avait dit à Aaron lorsqu'il l'avait enfin vu. Il ne pouvait pas m'avoir vu en enfant avec Aaron vu que j'étais censé être à l'orphelinat. Soit il devenait complètement fou, soit on m'avait menti. Durant ces heures, on avait parlé le plus simplement du monde comme si on essayait d'éviter d'ouvrir les yeux sur ce qui perturbait nos existences mais même si j'essayais de le faire moi aussi, j'avais cette appréhension en moi, que tout se brise entre nous en raison de ce que l'on avait appris. Les liens semblaient être en train de disparaître, tout ce qu'on faisait ne consister qu'à les refaire vivre même si on ne s'y prenait pas de la bonne façon. Je devais prendre ça d'un point de vue positif. Si on se battait, c'était qu'au fond, tout n'était pas encore éteint. Quelques heures plus tard, nous étions arrivés et une voiture était à disposition. Sydney avait pris le volant et nous emmena à l'endroit on était supposé se rendre. On était vite arrivés et je prenais le temps de m'attarder sur l'endroit en question. Je n'avais jamais aimé les endroits chauds qui inspiraient l'été et les vacances cependant ici, c'était tout à fait différent. On ne pouvait pas passer à travers cette chaleur, c'était impossible de l'éviter et c'était un sentiment agréable de se dire que le froid n'était pas toujours ce qu'il y avait de mieux. Deux personnes nous avaient accueillis, une femme d'un certain âge parlait notre langue. Elle avait l'air très gentille, c'était difficile de penser le contraire. Sydney parlait quelques minutes avec elle tandis que Kasey et moi regardions tout ce qu'il nous entourait. L'homme me regardait étrangement, instinctivement j'avais fait la même chose que lui. J'avais envie de rire mais je me retenais, il était déjà assez intrigué comme ça. La piscine était immense, je crois que c'était sans doute la plus grande que j'avais vu.

La suite avait été la visite de la villa où Aaron nous avait envoyés. J'étais impression par cette maison, cette décoration et tout ce que cette maison pouvait représenter. C'était un magnifique endroit, au coeur d'un terrain complètement naturel, ça me faisait penser à Auréa, à son côté méditerranéen qui la rendait si chaleureuse. Elle était mon amie la plus proche, je pense et elle me manquait. Cela faisait trop longtemps que je ne lui avais pas parlé, trop longtemps que je m'étais contenté d'observer. On passait de salle en salle, en suivant Syd, toujours en était attentifs à ce qu'il disait. Je n'avais aucune idée du temps où nous allons restés ici ni pourquoi nous étions là. Donc autant retenir le plus de chose possible si jamais on devait rester plus longtemps que prévu. Les couleurs étaient reposantes et choisies de façon à ce qu'elles s'harmonisent ensemble. La famille Eden semblait avoir beaucoup de goût, il fallait être fou pour dire le contraire. Je n'arrivais pas à décrocher mon regard de toutes ces pièces aussi belles les une que les autres. Cette demeure me faisait penser à un endroit privé où peu de gens avaient accès mais où tout le monde serait bien accueillis et logés dans les meilleures conditions. Tout ce que j'avais vu de l'Italie jusqu'à présent était loin de tout le vacarme qu'il pouvait y avoir par moment à New York. Les embouteillages me semblaient inexistants, la pollution, elle, semblait interdite ici. La propriété de la famille Eden était somptueuse mais pourtant très simple et authentique si on y pensait bien. Je n'avais pas vu les minutes s'éteindre pendant toute la visite, Sydney avait l'air de connaître la maison parfaitement. On aurait presque pu dire qu'il avait vécu dans cette maison. Pour finir, il nous avait emmené à l'extérieur, j'avais pu voir quelques chevaux et l'ampleur du terrain où ils circulaient, libres. Une voiture arrivait assez rapidement et c'était Auréa qui en sortait la première en laissant la porte se fracassait contre la voiture. On pouvait voir la colère sur son visage fatigué, Aaron l'avait suivi avec un air déconcerté. J'avais un pincement au coeur de la voir dans cet état. Après qu'elle ait salué ses grands-parents, elle nous avait serré dans ses bras et s'était effacé sans un mot de plus. Je ne savais pas si c'était le bon moment pour aller la voir, peut-être qu'elle avait besoin de se retrouver au calme, qu'elle essaye de reprendre son souffle et que la colère s'en aille. Je regardais Kasey qui semblait aussi inquiète que Sydney et moi. Puis il me demanda de veiller sur elle, j'hochais la tête et partais rejoindre Auréa en même temps que j'envoyais un message à Damon. « Auréa est arrivée. N'agis pas de façon regrettable. Prends conscience de ce que tu as, je t'en pris. » Je savais que Damon était impulsif, j'espérais qu'il fasse les bonnes choses. J'espérais qu'il s'arrête tant qu'il en possédait encore les moyens. Je n'avais pas envie que tout ce qui le relie à nous parte en cendres.

Elle avait sans doute besoin d'être seule, c'était un fait. Elle était sûrement sous pression, une pression qui l'effrayait et la rendait mal en point mais ce n'était pas une bonne idée de la laisser livrer à elle-même. Je savais qu'elle avait besoin d'une présence, peut-être pas de la mienne, certainement celle de Damon mais je ne m'autorisais pas à la laisser seule dans la problématique de la situation. Je m'avançais vers elle en silence, elle s'était mise dans la baignoire, ses mains accrochés au bord comme si elle allait tomber à la renverse, comme si elle était terrorisée d'une chute certaine. Voir la peur l'envahir me rendait stressé et triste, Auréa n'avait que rarement peur. Elle avait ce goût du risque mais ce risque là, celui d'être abandonnée, elle n'était pas capable de l'encaisser sans séquelles. Je m'asseyais sur le rebord et je l'observais. C'était un déchirement de la voir verser des larmes en étant totalement impuissant. Je n'étais pas celui qu'elle attendait mais c'était ma meilleure amie, une des raisons pour lesquelles j'avais décidé de comprendre et aussi de m'intéresser à la vie. Je soupirais de tristesse et d'incapacité, je n'étais pas apte à changer Damon, personne ne l'était si lui-même le refusait. Leur histoire n'était pas facile mais la façon avec laquelle Damon la regardait par moment reflétait les émotions qu'il ne transmettait pas. Il faisait rarement preuve d'affection, je l'avais toujours connu comme ça. Il ne devait pas être sûr de pouvoir y arriver. Comme elle n'était pas sûre de la véritable endurance de Damon.

« J'ai peur qu'il m'aime comme je l'aime. J'ai peur de pas arriver a suivre. J'ai peur de trop l'aimer, qu'il veuille pas avancer en continuant a vivre a travers son passé. J'ai peur que ça soit pas pour nous, j'ai peur de le voir partout et pourtant j'ai pas peur qu'il a hotté des vies. »

- Il a été seul longtemps, je pense qu'il a aussi peur que toi. Peur de trop aimer, peur de montrer la vérité. Il se sent arraché je crois et sa réaction, c'est l'agressivité. C'est peut-être mieux que tu sois ici et lui à New York, pour le moment, le temps que les choses se calment.

Elle avait des airs d'immobilité en elle, il n'y avait que ses larmes qui étaient en mouvement. Je me demandais pourquoi il y avait autant de complications et pourquoi Damon ne se contentait pas de ce qu'il avait. Il n'était plus lui-même, il était autre chose. Auréa semblait faire la même chose et pourtant ils s'aimaient. Elle ne me répondit rien, elle fixait le ciel, toujours avec une sérénité déterminée. Je ne savais pas ce qu'elle pensait, ni ce qu'il faisait là-bas, à New York. Il ne m'avait toujours pas répondu. Aaron avait fait ça simplement car il ne voulait pas qu'il lui arrive quelque chose mais il ne lui serai rien arriver, c'était cette chose qu'il ne croyait pas. Les gens normaux auraient fait la même chose, je suppose. Ses yeux étaient inondés et pourtant elle restait toujours accrochée au bord de la baignoire. Il fallait qu'elle oublie mais je n'y croyais pas... Malheureusement. Damon était trop loin, l'état dans lequel elle était me semblait assez clair pour ne pas les séparer, Damon ne devait pas être mieux. Je reprenais la parole.

- Il a essayé de lutter contre ses sentiments. Tout est toujours sous contrôle avec lui, si tu lui fais perdre le contrôle, c'est qu'au fond tu dépasse tous les sentiments qu'il a pu ressentir. Si tu as confiance en tes sentiments et si il accepte les siens, crois-moi, votre histoire peut pas se terminer comme ça.
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MessageSujet: Re: (-16) Black Smoke Attack   (-16) Black Smoke Attack EmptyDim 13 Juin - 22:56

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L'enfer c'est de s'apercevoir qu'on n'existe pas et de ne pas y consentir.
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    (-16) Black Smoke Attack Sanstitre4sh




Un courant d'air froid m'avais traversée depuis un moment déjà, un courant d'air qui lui glaça mon cœur désormais éteint. Autrefois , il fut allumé par une simple lueur scintillante emplissant tout mon être mais cette lumière était partit , par ma faute. Le cœur dans un tombeau, je n'étais plus qu'un cadavre ,une marionnette , un jouet. Ne comprenant plus ce monde , monde que je n'avais jamais réussis à comprendre d'ailleurs , je continuais , continuais à me refermer sur moi-même comme un tortue peut bien se dissimuler sous sa carapace pour ne pas affronter sa vie ou plutôt les humains devrais-je dire. Avoir goûter à ses lèvres ne serais-ce qu'une seule fois était déguster une douleur que je revivais chaque jour de ma vie,déguster la mort , encore et encore. Ce fut comme si l'ange déployait ses ailes pour ne plus jamais revenir , comme si

Ici rien n'a de sens, rien n'est si beau et si leste que son visage, que ses yeux océans dans lesquels je me noyais chaque jour , de son sourire , coup critique à mon cœur , que ses mots , doux murmure bercer par une vague céleste enivrant mon être. Condamner à errer en silence ,dans les flots de l'éternel douleur je restais inerte, adosser contre le siège d'un hôpital, les paupières alourdis par un masque qui n'était pas le mien, j'étais semblable à une morte, à vrai dire,je l 'étais. Un rire de pluie s'était éprit dans mon corps. Mon cœur , inondé de larme ayant bien trop couler à mon goût , je demeurais perplexe , la lumière de mes yeux s'était évanouie, désormais je n'avais plus rien , je n'étais plus rien. Perdue entre l'ombre et la lumière ,je me résiliais à l'ombre. Je l'avais perdue comme je m'étais perdue. Sur un radeau , je ne savais où naviguer ,ne connaissant le chemin à prendre , j'avais perdue mon ange , mon messie, le paquebot était devenue radeau , j'étais devenue ombre. Je pensais et vivais pour lui, j'étais l'ombre de son corps , il était l'âme du mien. Maintenant je ne représentais plus rien, j'étais comme toutes les autres. Il était ce faisceau si étroit , c'était le seul qui aspirait à entrer dans ma vie, il avait réussit. J'avais pus caresser l'espoir d'avoir vue certains éclaircies grâce à la lumière de ses yeux, il était entré donnant un peu d'air et de soleil dans ma vie mais y était ressortit en capturant chaque parcelle de mon propre bonheur , chaque parcelle de mon cœur. Oh oui , je l'avais aimée , aimée inconsciemment , aimée volontairement, je l'avais aimée et l'aimait encore mais visiblement les sentiments n'étaient pas partagés. Ne pouvant vivre ainsi , je m 'étais inventée un monde, un monde où le soleil est à sa plein , un monde où le bonheur est à l'infini , cueillant la rose de l'éternité , ce monde était mon échappatoire , ce monde était mien. Dans ce monde , rien ne pouvait me blessée , j'étais seule maîtresse de ses songes , de mes rêveries et primordialement de ses blessures. Un chapitre s'est clos , un nouveau livre à prit court , un nouveau libre mais surtout des nouveaux chapitres , des chapitres où il ne vivait que dans ma pensée et non dans la réalité. Ce monde , il ne coexiste qu'a travers moi- même, personne ne peut comprendre ni même envisager ma douleur,être ici , défiant l'impossible je surfais dans mon monde, monde dont j'étais la seule à détenir la clés. J'étais la matière de mon livre.

Benjamin avait réussit , je m'étais forgée un caractère plus rigoureux que la roche , une carapace plus dure qu'un glacier,je m'étais construit un désert à l'intérieur de mes yeux , j'avais compris , compris que l'amour n'existait pas et qu'il ne pouvait exister , elle avait comprit que l'amour tuait , elle avait comprit que l'amour ne devait se présenter de nouveau dans ma vie. L'amour engendrait la haine, ma souffrance s'était engouffrée dans mon âme , le cœur meurtri, le voilà déchiré en morceau , à plat sur la table. Ils sont là , les hommes en blanc. Ils rient, la regardent , l'admirent , et jouissent de cette inconsidérable souffrance. Ils n'ont rien compris, ils n'ont pas encore compris que ma vie ne se résumait qu'a lui , qu'il l'avait anéantit. Ma vie n'était qu'un livre déchiré , craquelé , éreinté , à moitié brûlé. Attendant bien gentillement la mort adosser contre ce siège d'hôpital , elle ne venait pas, j'étais seule. A l'intérieur de moi , c'est Bagdad sous les bombes plus rien n'est bon si ce n'est pour chuter dans l'abime de l'éternel plaidoirie. Mon corps emplit d'exhalaisons est ouvert d'une manière cynique , en moi tout s'est ternit , tout meurt. La glace brûle mes yeux , mon cœur froid, plus rien ne pouvait faire rayonner un bonheur qu'il soit superficiel ou non. Dans le silence , dans la pureté de cette chambre , pas un bruit , pas un chat ,dès lors les images de notre bonheur passés reviennent me hanter, m'anéantir. Perdue dans l'oublie , jen'avais personne d'autres à qui m'accrocher, aucune famille , aucun ami …
C'est alors que cette tristesse c'est métamorphoser en haine ,que la haine à engendrée l'oublie mais enfin de compte ce n'était qu'un leurre. Songeant réellement être immunisée contre lui et ses effets secondaires indésirables, je m'étais perdue dans l'obscurité de l'échéance qui s'annonçait fatale. Le cœur assez asticoté pour y admettre la souffrance, martelé , déchiré, malaxé comme un jus de citron , je tentais vainement d'étouffer une douleur qui se savait interminablement mortuaire.


Les médecins n'avaient voulus me laisser sortir me sachant trop fragile pour cela et ayant crainte pour ma vie. N'importe quelle personne , n'importe quel objet, événement était susceptible de me faire penser à lui , ça en devenait presque grotesque. Tout me paraissait soudainement dépourvue , vide. Ce fut comme une tranchée creusée entre ses omoplates , une épine dans l'échine , comme une absence qui revit à claque clignement de sa part. Cette sensation lancinante me détruisais aussi bien de l'intérieur que de l'extérieur. Des flaques rougeâtres sur le sol , des coupures aux poignets , des tremblements … Les larmes ruisselant le long de mon corps , elles chatouillent doucement ma poitrine inondant l'endroit dans lequel je m'étais constituée un monde , un monde sans lui , un monde où je vivais. Les fils qui me retenais étaient comme coupés. Le cœur entaillé , j'avais le code barre de la mort sur la nuque.

D'extérieur , je faisais peine à voir, on pouvait y distinguer la laideur du monde. Aussi pâle qu'un agneau , j'étais devenue un fantôme. Mon regard quant à lui s'était à son tour métamorphoser en une mire de monotonie , l'étincelle qui habitait ce corps autrefois s'était éteinte en même tant que mon amour pour lui , du moins c'est ce que je voulais me faire croire. En me reniant , Benjamin avait réussit sa mission , je m'étais reniée moi même. Pour lui , j'aurais tout fait , son âme était mienne, son corps aussi. J'aurais tout fait pour recommencer , inverser les aiguilles d'une montre, remonter le temps jusqu'à renouveler la scène , cette scène tellement incompréhensible à mon goût.

Cela faisait plusieurs semaines que j'avais été interner d'urgence en hôpital psychiatrique , de quoi se reconstruire moi même mais en vain. J'avais compris que pour sortir d'ici , il me fallait mentir. Un mince sourire, une son de voix, un regard et le tour était joué. Mais voilà , les médecins se souciant encore de ma santé et avaient tenter de joindre mes proches et trouvèrent plusieurs noms à me cités, Damon Tallis , Thomas Henderson , Auréa Eden et enfin Aaron Ludovico Eden. Le dernier nom me fit tressaillir, je ne voulais pas le voir , du moins je ne savais pas comment me présentée à lui après temps de temps passés.
Aaron et moi avions un long vécus ensemble, malheureusement le temps nous a séparé l'un de l'autre.Et aujourd'hui, voilà que l'on me le nomme , voilà qu'ils l'appellent.


« Aaron ,euh ...Non c'est pas ce que tu crois ...Non ! Quoi ? Euh … SICILE … Écoute je veux pas te déranger je sais que tu as beaucoup de travail, rassure toi je vais bien je ne sais même pas pourquoi c'est toi qu'ils ont appelés ! Non , ce n'est rien de t'inquiète surtout pas ... En plus je ne peux, je n'ai pas les moyens. Non Aaron , j'ai dis non ... »


Trop tard, le téléphone coupa , je fus remise dans ma cellule. Peu de temps après , à ma sortie , un homme m'observait au loin et s'approcha de moi.

« Mlle Matthews ? Alice Matthews ? »


Je répondis d'un hochement de tête, sur mes gardes comme je fus habitués à Aprilia , l'homme prétendit travailler pour Mr.. Eden soit Aaron. Un mince sourire , un regard bref , je montais dans la voiture , direction aéroport. J'avais toujours autant mal au cœur mais l'idée que quelqu'un s'occupe de moi me rassurait tout en m'inquiétant. Une fois dans l'avion ,je ferma les yeux, les songes me parurent , je créais mon monde, une fois de plus. Une fois arrivés à Rome , on m'emmena dans une dompteuse demeure , mes yeux voilés par un tas de songes je fus émerveiller de l'aspect extérieure de sa demeure. Ma respiration s'intensifiait de plus en plus si bien que je me crus d'étouffés. L'homme m'accompagna à la porte , il sonna. Des pas faisaient leurs entrés , j'avais mal.









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Auréa Eden

Sunburn
She burns like the sun.

Auréa Eden


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MessageSujet: Re: (-16) Black Smoke Attack   (-16) Black Smoke Attack EmptyLun 14 Juin - 16:41

         
    (-16) Black Smoke Attack 551
    Angel Dust


    Dans mon bateau, je naviguais vers l'inconnu, il ne m'avait jamais vraiment fait peur se néant car il avait plus tendance à exciter mes sens, ne donner envie de traverser les vides. Cet inconnu ne pouvait pas se maîtrisés, les ombres qui nous entourées ne pouvaient pas disparaître en un seule battement de paupière, je le savais. Les caprices de mon coeur ne devaient pas tenir le gouvernail de cette aventure épique. Les seconds défilées longuement devant l'immensité de se ciel, je commençais a me sentir alourdie comme si le fond de cette baignoire qui aspirée et m'engloutissait. La peur, c'était le mot que j'avais prononcé inconsciemment à plusieurs reprise et ce n'était que dés que j'eus terminé de le répéter inlassablement que je sue ou le problème ce trouvait. Ce ressentie qui n'était présent que dans la perspective d'un danger. Le danger en question n'était que la distance qu'on mettez entre nous. Cette distance me terrorisé au plus au point, cette appréhension avait écartelé mes côtes de façon disproportionné. Les étapes de la peur peuvent nous plonger dans des contradictions extrême, je nageais dans celle-ci avec une certaine difficulté. J'étais en phase de paralysie momentanée, une perte de conscience qui disloquait mes os. Je savais la raison de cette peur, depuis toute petite je voyais les gens s'en allaient, fermant cette porte et partir. Ma mère, mon père, Aaron Kasey et Sydney. Il avait tous franchie un jour cette porte durant un temps de ma vie. Je voulais juste que ca ne se passe pas comme ça avec lui. Pas lui, je veux le garder. Je songeais étrangement a Marie Antoinette, qui avait eu toute sa vie cette peur bien que nos peurs étaient totalement différente, l'état dans lequel je me trouvais été semblable au sien, elle avait tellement peur que le pigment de ces cheveux furent attaqués et qu'ils devint blanc. Lorsque que ça lui arrivait elle se retirait dans le petit Trianon. La sicile allait être mon Trianon durant un temps, et il était impossible que cette peur continu a me hanté. J'essayais de voir les choses sous un autre angles, d'une autre façon cette distance, était en réalité qu'une sorte de sommeil. Le sommeil en lui même était une séparation de la réalité au rêve. Ce n'était qu'un cauchemar et ce n'était pas le fait d'attendre en me décomposent qu'il le ferait passé plus vite. J'étais aussi certaine que ca lui ferait du mal de me voir comme celà. Dans ce monde il y a de sorte de personne, ceux qui ont peur et ceux qui affrontent leurs peur. Je me devais d'affronté mes peurs cela ne pouvait que nous renforcé.

    - Il a été seul longtemps, je pense qu'il a aussi peur que toi. Peur de trop aimer, peur de montrer la vérité. Il se sent arraché je crois et sa réaction, c'est l'agressivité. C'est peut-être mieux que tu sois ici et lui à New York, pour le moment, le temps que les choses se calment.

    (-16) Black Smoke Attack Spng


    Hyde était quelqu'un de spécial a mes yeux, il avait ce don de me rassurer de par sa présence. Je savais qu'il pouvait lire en moi comme dans un livre ouvert, c'était un autre de ces dons. Il comprenait Damon mieux que je ne pouvais le comprendre moi-même. Ce que Hyde ne comprenait pas c'était que si Damon avait peur de la vérité, moi je craignais le mensonge sous toute ces formes. C'était sans doute pour cela que j'avais demandé a Damon la vérité. J'avais assez confiance en lui pour savoir qu'après ce qui venait de se passer, il n'allait pu me cacher des secrets, je voulais qu'il sache que j'étais capable de les encaissées quelques soient leurs importance. J'avais pas envie d'être ici, je ne servais pas ici j'étais complètement inutile, mais je devais régir mes peurs. C'était sûrement ça, Damon avait des choses a régler et je n'étais pas concerné par ça. Je voulais juste qu'il aille mieux, mon oncle c'était permis de me séparer de lui mais il ne le connaissait pas. J'avais conscience de pas bien le connaître et de pas savoir ce qu'il était mais je savais bien ce qu'il n'était pas. C'était quelqu'un de bien, avec des entailles un peu partout il fallait juste ce donner la peine de désinfectés les plaies et suturé tout doucement. Il était estropier et ce n'était pas ça qui allait m'éloigner. Je combattais pour que mes larmes ne soient pas perdu dans un néant inutile. Je pleurais parce que je ne voulais pas être séparer, c'était fort ce qu'il pouvait me ressentir. Et dés qu'il s'était approché de moi, il avait poussé mes émotions aux extrêmes, alors j'allais faire ce que je savais bien faire. Ignoré les vides devant moi, le pigment céleste de ces yeux pouvaient m'y poussé a combattre mes peur. Il ne le savait pas de cette manière il m'invitait au combat, sans le savoir et je lui disais oui. En réalité, j'étais toujours son interdit quand on ne m'interdisait pas à lui, c'était lui qu'il s'interdisait. Je comprenais ce que Hyde me disait quand il avait dis, «Il a été seul longtemps» j'étais encore une étrangère pour lui. Sur ce point, je pouvais le comprendre mieux que n'importe qui. Toute ces année, enfermée dans ce palais doré m'avait fait comprendre qu'il ne fallait pas s'y enfermé d'avantage, qu'il me laisse entrer. Pourquoi ? Parce que je tenais trop à lui pour le laisser ce torturé.

    -  Il a essayé de lutter contre ses sentiments. Tout est toujours sous contrôle avec lui, si tu lui fais perdre le contrôle, c'est qu'au fond tu dépasse tous les sentiments qu'il a pu ressentir. Si tu as confiance en tes sentiments et si il accepte les siens, crois-moi, votre histoire peut pas se terminer comme ça.



    Ma tête bourdonnait lorsque ces mots eut atteint mon cerveau, ca me rappeler ce moment là quand tout le monde était partie. J'entendais ce même bruit bourdonnant qui s'éclata dans ma tête, le médecin qui parlait a une de ces étudiantes « Je vais utiliser une aiguille n°25 et une seringue de 5 millimètres » derrière l'épaule d'Aaron il y avait un tableau accroché au mur. Je ne l'avais jamais vu celui-là, ils en changeaient tout le temps a cet hôpital, c'était une des nombreuse technique que j'avais apprise au cours de ces dix-neuf dernières années pour supporter la douleur. C'était a ce moment là qu'Aaron m'avait pris la main et qu'il m'avait dis «  Tu sais quand tu étais petite, ta maman et moi lorsque ton papa était en voyage, on restait debout la nuit pour te regardaient respirer, nous étions persuadés que tu allais oublier comment faire si on cessait de te surveiller. Au fur et a mesure que les enfants grandissent, c'est plus facile parce qu'on ce dit que maintenant tu es capable de te surveiller seule et pourtant l'inquiétude ne disparaît jamais. J'ai tout le temps peur que tu ne le fasse pas ». Aaron avait ça par peur, mais c'était ma vie. Je n'étais plus cet enfant, la fragilité dans le quelle on m'enfermait dans un cristal imperméable ne m'appartenait pas. Si je fixais un point se bourdonnement se damnerait silence. C'est ce que je fessais, je fixais le ciel. Je ne voulais pas que ça se termine mais je savais pas comment faire pour qu'il se sent mieux. Il était insaisissable dans ces blessures, je voulais en connaître plus de lui parce que je ne connaissais pas grand chose il était une sorte d'énigme pour moi. La plus grande que j'avais jamais vu. Il était brûlé, perdu par la vie qui peut ce montrer injuste.




    – J'attendrais, mais je connais toujours pas ce qu'il est. Je sais qu'il s'appelle Damon Matthew Tallis et que son coeur est en mille morceaux. J'ai réussi en attrapé un bout. Il m'en reste neuf cent quatre-vingt dix-neuf autre a attraper. Tout ça, c'est là je peux pas le jugé dessus je dois l'acceptais tel qu'il est, accepter ce qu'il veut bien me donner. Il sait quoi de moi? Que je m'appelle Auréa October Eden Cole, que je cour après lui jusqu'à m'en étouffer que je suis gourmande, qu'il m'aime et que je suis incapable de lui formulé parce qu'il y c'est 999 de morceaux que je peux pas l'aimer a moitié. Juste entièrement, c'est ça le problème Hyde.

    Ma voix résonna bizarrement elle était contenue et étranglée. Je me relevais de la baignoire et je le prenais dans mes bras en essuyant mes larmes.

    – On va bien finir par y arriver



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MessageSujet: Re: (-16) Black Smoke Attack   (-16) Black Smoke Attack EmptyMer 16 Juin - 0:30

      
« Say it's true, I'll never ask for anyone but you.
This could be the last mistake that I would ever want to do. »



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    Nous arrivâmes à la villa, et fûmes accueillis par Stella et Orio, les grands-parents d'Auréa. Ils avaient l'air d'être d'agréables personnes, ils nous souhaitèrent la bienvenue poliment. La maison était superbe; je ne voyais que l'extérieur et j'avais déjà du mal à imaginer la beauté des pièces. Les montagnes et la mer, visibles au loin, formaient un paysage somptueux, où le soleil venait poser ses rayons d'or. J'admirais les lieux comme une enfant qui découvre ses cadeaux le jour de Noël. C'était une véritable maison de vacances, le genre d'endroit où il était impossible de s'ennuyer. J'avais toujours rêvé d'un tel luxe, j'aurais donné beaucoup pour avoir la chance de vivre dans un tel palace. J'avais remarqué la piscine, immense, digne d'un film racontant l'histoire de gens riches et insouciants. La terrasse semblait être l'endroit parfait pour se reposer au soleil, un après-midi d'été. Je ne pus m'empêcher de me voir allongée sur un matelas, flottant au gré du vent, un cocktail à la main. Reprenant mes esprits, je suivis Syd, qui nous proposa de nous faire visiter la villa.
    Elle était tellement grande et spacieuse qu'en faire le tour dura une bonne heure. Syd nous fit visiter chaque pièce de chaque étage, nous donnant quelques anecdotes. Je fus émerveillée par la beauté de la maison, les décorations étaient sublimes ainsi que l'architecture, c'était remarquable. Il s'agissait de l'un de ces endroits impossibles à imaginer tant que l'on ne l'a pas vu. J'avais l'impression de me trouver au paradis, chaque coin était parfaitement arrangé. La chambre d'Auréa était splendide, elle m'avait souvent parlé de cet endroit mais je n'avais pas réalisé à quel point il était spécial. Je n'avais pas osé compter le nombre de pièces tellement elles étaient nombreuses. L'espace était tellement grand que je m'y serais perdue si j'étais seule. Il y avait vraiment tout ce qu'il fallait, même des écuries. Je n'avais jamais vu un tel endroit, cela ressemblait plus à un hôtel de luxe qu'à une villa, c'était extraordinaire. La villa possédait des touches de décorations extrêmement originales, comme par exemple le toit ouvrant dans la salle de bains de ma meilleure amie, où la baignoire, centrée au beau milieu de la pièce, offrait une vue splendide sur le ciel d'Italie. Je regardais chaque coin, essayant de mémoriser chaque détail et de n'en manquer aucun. Je voulais tout voir, explorer cette villa de fond en comble afin d'admirer entièrement ce lieu magnifique.
    Lorsque la visite prit fin, nous retournâmes à l'entrée. Auréa venait d'arriver, accompagnée d'Aaron. Je remarquai qu'elle n'allait vraiment pas bien, je pus comprendre sa réaction. Elle avait été arrachée à l'homme qu'elle aimait. Cependant, je ne pus m'empêcher de penser que c'était pour son bien. Damon était un meurtrier, il était normal que je m'inquiète pour ma meilleure amie.. Elle vint vers nous, je la pris dans mes bras pour la saluer mais aussi pour la rassurer, lui faire savoir que j'étais là pour elle. J'eus un pincement au cœur en la voyant marcher devant nous, j'avais l'impression que son cœur était brisé, qu'elle allait craquer. La connaissant parfaitement, j'avais comprit ses sentiments et ses pensées. Je savais qu'elle allait vouloir être seule, et même si j'aurais pu l'aider, je décidai de lui laisser quelques instants. De plus, Syd semblait avoir envie, ou plutôt besoin de me parler. Il évitait de me regarder depuis que nous étions ensemble, je pouvais imaginer la douleur qu'il ressentait, je la partageais. J'étais incroyablement mal à l'aise, mais je ne pouvais pas l'abandonner à nouveau. Hyde alla voir Auréa, je savais qu'ils étaient très proches, il allait sûrement pouvoir l'aider. Malheureusement, le seul homme capable de la faire aller mieux, de lui aire entendre raison, n'était pas présent.
    Lorsque Hyde s'éloigna, je me retrouvai seule avec Syd. Un silence s'installa, accompagné d'un malaise persistant. Il n'osait toujours pas me regarder, tandis que j'étais incapable de ne pas le fixer. Syd était un homme unique, l'une des seules personnes pour qui j'aurais fait n'importe quoi. Durant toutes ces années que nous avions passés ensemble, lui, moi et Auréa, j'avais toujours ressenti quelque chose d'étrange envers lui. Un petit pincement au cœur qui me faisait vivre, des pensées étranges qui semblaient venir d'ailleurs que de mon esprit. Je savais que je n'avais pas le droit de ressentir cela, car à l'époque il était amoureux d'Auréa. J'avais fait exprès de m'éloigner de lui durant ces années, et il avait fait de même. Je m'étais toujours demandé ce qui arriverait si mes deux meilleurs amis se séparaient. Je n'eus pas le temps de découvrir la réponse, car la vie s'en était chargée. Désormais nous étions à nouveau ensemble, mais tout avait changé. Auréa aimait un autre homme, et j'étais perdue, égarée à cause de ce que je ressentais toujours pour Syd. L'extase et le bonheur que nous avions partagé durant cette nuit unique n'avaient été que de courte durée. Les événements m'avaient surpassé, tout avait été hors de contrôle. Je regrettais tellement mon égoïsme que j'avais honte de moi-même. Tout ce que je voulais, ce que j'avais toujours souhaité, c'était d'être près de lui, l'aimer et partager ma joie avec lui. L'amour n'était pas un sentiment que je ressentais facilement, je n'avais vécu que deux fois cette aventure extrême, cette passion destructrice. Je ne l'avais jamais cherché, préférant les aventures insignifiantes aux véritables relations. Mais désormais, cette idée ne me semblait plus si mauvaise. J'avais envie de faire partie de tous ces gens romantiques que j'avais pourtant pris l'habitude de mépriser. J'étais confrontée à un dilemme terrible. Je n'arrivais pas à me décider, c'était sûrement une erreur, mais j'avais envie de la commettre. Pourtant je savais mon rêve n'avait aucune chance de se réaliser, j'avais brisé le cœur de Syd, il méritait tellement mieux que moi. Il méritait quelqu'un qui ne l'abandonnerait pas, quelqu'un qui serait toujours présent pour lui. Je savais que j'allais devoir résister à cet amour, enterrer mes sentiments, car je voulais préserver son bonheur. J'attendrais, six mois, six ans, tout le temps qu'il faudrait pour que nous puissions à nouveau nous retrouver.
    Syd me sortit de mes pensées en m'entraînant à l'écart. Il m'avait prit la main et m'emmena jusqu'à un endroit un peu plus isolé de la maison, où nous pourrions parler tranquillement. Syd me regardait enfin, je pus lire la douleur dans ses yeux. Je n'arrivais pas à lire ses pensées, je n'avais aucune idée de ce qu'il voulait réellement. Je savais cependant que je n'avais aucun droit de lui demander quoi que ce soit. Au final, la décision lui appartenait. Le silence dura encore quelques secondes, durant lesquelles ses yeux bruns étaient plongés dans les miens. Le regarder ainsi ne faisait qu'augmenter ma confusion. Je n'avais plus qu'une envie, le prendre dans mes bras pour lui murmurer mon amour, poser mes lèvres sur les siennes. Il ne semblait pas décidé à vouloir prendre la parole le premier, attendant que je parle. Il avait raison, c'était à moi de le faire. Il avait attendu trop longtemps. Je n'avais pas eu l'occasion de m'excuser réellement, je voulais qu'il comprenne à quel point je regrettais mon geste. Il avait toutes les cartes en main, c'était à lui de voir s'il voudrait ou non accepter mes excuses, me pardonner, me retrouver.

    - Syd.. Je ne sais pas comment trouver les bons mots, comment te dire.. Je sais que j'ai merdé, et que ce n'était pas la première fois. J'ai tout gâché et.. Je m'en veux tellement, si tu savais.. Je sais ce que tu pense de moi depuis que je suis partie, et je le mérite.. Je me déteste pour ce que je t'ai fait endurer. Je ne cherche pas à obtenir ton pardon, je ne cherche rien. Je tiens simplement à te dire à quel point je.. Je suis désolée.
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MessageSujet: Re: (-16) Black Smoke Attack   (-16) Black Smoke Attack EmptyMer 16 Juin - 16:22

    Le trajet de l'aéroport de New York à la maison des Tallis ce fessait en silence lorsque mon téléphone sonna, j'eus un appel d'un hôpital psychiatrique. Je comprenais pourquoi un hopital psychiatrique pouvait m'appeler, quand le médecin qui parler un peu trop vite pour moi prononça «  Alice Matthews  » , quelques minutes après j'entendis la voix de cette femme avec qui j'avais passé un bout de temps, sa voix était faible a peine audible, je lui dis instinctivement qu'elle allait nous rejoindre en Sicile. Elle me retorca précipitamment, « Aaron ,euh ...Non c'est pas ce que tu crois ...Non ! Quoi ? Euh … SICILE … Écoute je veux pas te déranger je sais que tu as beaucoup de travail, rassure toi je vais bien je ne sais même pas pourquoi c'est toi qu'ils ont appelés ! Non , ce n'est rien de t'inquiète surtout pas ... En plus je ne peux, je n'ai pas les moyens. Non Aaron , j'ai dis non ... » Il n'était pas question de la laisser ainsi, je ne lui laissais pas ce choix. Il était or de question de la laisser dans les ennuies. Je tenais toujours a elle, elle ne méritait pas d'être seule. Cette femme possédait des yeux ambrés dans lequel on pouvait s'y reflété, elle semblait si fragile. C'était mon type de femme, mon parfait type de femme, brune peau de vanille et yeux d'aurore un charme tellement envoûtant. La seul chose qui m'avait longtemps arrêter c'était son age, le double du mien en réalité. Vingt-deux ans, a vingt-deux ans être confronté a certaine difficulté qui font qu'on est enfermé dans un hôpital psychiatrique n'est pas juste. Je voulais en savoir plus sur ces raisons qui l'avait mise dans l'état de fragilité dans lequel elle se trouvait. J'appelais sans tarder un homme qui travailler pour la garde suisse pour qu'il aille la chercher.

    Auréa avait passé le vol sans dire un mot, sans ni même me regarder a vrai dire. Je savais qu'elle était assez grande pour comprendre que tout ça, je l'avais fais dans son unique intérêt. Sur des milliards d'âme, il fallait qu'elle se soit entiché l'une des quatre qui lui été interdite. C'était impossible, elle devait savoir que cet amour qu'elle lui portait était dangereusement violents, et qui pouvait mené a des excès eu même violent. La dernière chose que je voulais, c'était la voir se perdre dans cet poussière. Il était impossible pour moi de rester la sans rien faire, la voir se consument ardemment sous la peser des flamme. Pas un mot, pas une parole, pas un souffle envers moi. Bien entendu que ça me fessait quelque chose de la voir dans cette état, mais je devais la protéger d'elle même et de Damon. Ma nièce avait claqué la porte d'une façon violente elle voulait me faire entendre sa colère silencieuse, me faire dégusté cette rage qu'elle avait envers moi pour être arrivé dans sa vie de cette manière. En un soir, j'avais changé les choses j'en étais parfaitement conscient et sa m'était égal. Matthew avait des choses a réglés et celui-ci ne répondait toujours pas aux messages, a croire qu'il avait oublié comment on fessait. Dont la manière dont elle me l'avait présenté comme l'homme dont elle était amoureux sa m'avait choqué, déjà de l'entendre dire de sa bouche qu'elle était amoureuse or qu'elle ne m'avait jamais vraiment présenté Sydney car il s'était présenté seul. Si elle l'était vraiment, elle sera attendre car l'apprentissage de la douleur rend l'amour plus solide. C'était assez spéciale pour moi, de me dire qu'ils avaient tous était réuni sous le même toit, quelques chose d'invraisemblable. Vladimir avait triomphé sur la première bataille, ceci dit Sydney se posait déjà beaucoup de question et ces pouvoirs semblait lui montrer le chemin. Son père serait très certainement très fière de lui. Je restais immobile pendant un long moment, ma nièce débouler vers les invitées. Au loin, je pouvais entendre les grillons qui chantaient, je pouvais sentir l'odeur de la tarte que Stella avait préparer avec amour, le bois fraîchement coupé qui servirais de embrassement pour les feux qu'on aller préparer au soir dans le jardin enfin on y était tous ensemble, cette effervescences prenait place dans mon esprit. Le repos, un peu de repos.

    J'embrassais ma chére mère et mon père leur indicant qu'Auréa allait ce calmer, Sydney avait pris Kasey a par et Hyde était partie voir Auréa sans doute. Le petit chien qui nous était entré dans la voiture a New York avait plongé la tête la première dans la piscine, il en ressorti tout trempé. Je raccompagnais donc Orio et Stella dans leurs maison qui était plus petite et un peu plus loin, cela me pris que quelques minutes pour les déposée et revenir à la villa. Je revins en appelant quelques contacte, sur New York il n'existait que quelques minorité de personne assez puissante pour employer des tueurs à gages. La mafia, quelques buisness man et la Black Nobelity. Je contactais d'abord les membres de la famille Cole, le grand père d'Auréa me raccrocha délicatement au nez. Je rappelais une seconds fois en fessant changé mon numéro auprès de mes collègues de la garde suisse, je me fessais ainsi passé pour Vladimir. La Black Nobetily était composé des trois cent plus riches familles d'europe et de sang royale. Si Vox Mytra avait encore a faire a eux, on allait avoir des problèmes. «  Bonjour, est-ce que Damon Tallis travaille pour vous ? on a perdu sa trace. » . La réponse fut brève mais immédiate «  Il travail effectivement pour nous, mais il a également disparut, on est a sa recherche» . Dans quoi le fils de Matthew était tombé, cela ne lui suffisait pas d'hauté la vie des gens, il fallait que ça soit pour le compte de la Black Nobelity. J'étais heureux de savoir ma nièce en dehors de tout ça.

    Je voyais la voiture de service des gardes suisses arriver, c'était une BMW noir au vitre teinté. Je m'empressai d'aller devant celle-ci pour ouvrir la porte. Alice était dedans a moiter endormie. Je lui tendis la main, elle la saisi. Je remercié mon compagnon et je lui souhaitai une bonne journée. Je tenais sa main fragile et je l'emmenais dans la villa sans un mot. On alla dans mon bureau, je fermais les portes et je la regarda. Elle avait l'air totalement perdu, son teint était blanchâtre, sa peau froide. Je la pris dans mes bras en lui murmurant qu'elle était en sécurité, qu'ici rien ne pouvait lui arrivé temps que j'étais a ces côtés. Je sentais ces mains tremblantes, son coeur avait du pleuré des larmes de vermeille. Je voulais que son souffle s'apaise que sa peine sorte et qu'elle me raconte ce qui c'était passé. Alice pensait toujours déranger, or qu'elle ne dérangeait pas du tout. Je voulais qu'elle reste dans cette villa le temps qu'elle veuille pour se rétablir, le temps qu'elle se relève doucement. Elle était absolument sublime même aillant cette peine immense qu'il la mangeait. Elle était timide et elle n'avait pas vraiment confiance en elle et pourtant qu'elle femme. Je lui servis un vers d'eau, et on s'asseyait sur le canapé en cuire marron. Cette pièce était un endroit ou je ne laissais accédé personne, il y avait un mur avec une carte du monde et des croix un peu partout. Des étagères avec des bouquins sur les religions et même des livres sur les spécimens. Des parchemins datent des siècles et des siècles était ranger dans des caissons sous pression pour ne pas qu'il s'abîme. Tout était si secret, et ayant confiance en elle, je l'y avais emmener sans pensé a ces détails.

    «  Alice.. Tu peux resté ici temps que tu veux, tu ne gène absolument pas il faut que tu le sache, sa me fait du bien de te voir. Raconte moi pourquoi était-tu dans un hôpital psychiatrique.. »
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MessageSujet: Re: (-16) Black Smoke Attack   (-16) Black Smoke Attack EmptyJeu 17 Juin - 19:16



    (-16) Black Smoke Attack 11772nk_large

    Une blessure peut se caractériser par une lésion de l'organise produite par un choc, elle cause des ecchymoses et crée parfois des traumatismes. Ce dire que les cries de souffrance ne sont que des échos. Trouver a quoi son âme pourrait bien aspirer plus tard, chercher un enfer causie. C'était ça, mes morceaux d'ailes étaient capitonnée de cicatrices à jamais ouvertes ayant trop saigné de ce liquide vermeille. L'envol, je l'avais connu c'était certain je m'étais même emparer de quelques étoiles aux passages. Ce que je n'avais pas prévus dans tout ça, c'était la chute qui m'attendait a s'être trop reposé sur les cotons des nuages. J'avais été stupide de pensé que mes ailes me porteraient de plus en plus haut à toucher le bonheur entre mes doigts, et même que je me suis permis d'aller jusqu'aux comète céleste qui fusionné entre elles. Si on m'avait dis qu'aller si haut aller être si douleur, si on m'avait dit que j'allais tomber, je n'aurai pas été aussi haut. Depuis quelques temps, mes ailes c'était embrasées et je m'étais retrouvé dans le noir. L'attachement était devenu pour moi une absurdité, un besoin qu'on voulait nous imposer pour ne pas a se retrouver seul. Peut-être que j'étais prés a faire face a Kasey, ou peut être que je ne l'étais pas mais on s'en fiché car elle allait resté la et c'était insensé de faire comme si elle n'existait plus a mes yeux. J'avais saisie sa main, je voulais me protéger. C'était sans doute ce qui m'arriver. Je la regardais, elle était magnifique. Tout aurait pu être si simple si elle l'aurait voulu, mais elle ne l'avait pas voulus assez fort visiblement. Quelque chose c'était brisé, peut être que c'était tout simplement mon âme qui était vexé d'avoir était traiter de la sorte mais je n'étais pas de ceux qui était désigné comme rancunier, le mal était fait. Les blessures étaient là et personne ne pouvait rien y changé. Je savais très bien que le silence ne pourrait rien y faire, mais ma voix ne se délié  pas, les sons étaient prisonnié de mon larynx qui ne voulait pas cédé. Je n'étais pas du genre fière pourtant ca peser sur ma voix, j'étais plutôt reconnus pour une animosité certaine.

    - Syd.. Je ne sais pas comment trouver les bons mots, comment te dire.. Je sais que j'ai merdé, et que ce n'était pas la première fois. J'ai tout gâché et.. Je m'en veux tellement, si tu savais.. Je sais ce que tu pense de moi depuis que je suis partie, et je le mérite.. Je me déteste pour ce que je t'ai fait endurer. Je ne cherche pas à obtenir ton pardon, je ne cherche rien. Je tiens simplement à te dire à quel point je.. Je suis désolée.

    Pourquoi ces mots ne me soulager pas? Pourquoi ces mots se mêlaient dans ma tête comme un rubi-cube. Des combinaisons, un ensemble de combinaisons qui pouvaient se montré exacte seulement si on arrivé à les associées au bon moment. Des couleurs qui se mélangeaient en face éclatent en six faces dite égales. Elle n'avait pas a ce détesté, de se pardonné de sa nature. Elle était comme ça, dés que quelques choses lui paraissait trop sérieux, elle fuyait. Je ne comprenais pas, dans ce que j'avais merdé, car la faute n'était pas a une seul personne. Il y avait toujours un peu des deux c'était évident. Certaine chose avait plus de valeur que d'autre et je ne reconnaissais plus la valeur des choses. J'avais perdu cette notion. Non, ce n'était pas de sa faute, mais entièrement de la mienne j'étais décidément pas fait pour ce genre de choses. J'avais le choix de lui mentir et que pour moi c'était juste comme ça histoire de passé le temps, sa aurait pu être crédible parfait avec l'idée qu'on pouvait se faire de moi. Ou alors de lui dire la vérité, cette vérité qui prouver que je ne sais quoi. Je savais qu'en la regardent avec cette ignorance qui c'était encré dans mon regard n'était qu'une protection. Mon âme c'était bafoué, c'était ainsi que je voyais les choses. Pas question de mentir.

    - Je veux que tu le sache que l'animosité de mes regards envers toi cache mon esprit tourmenté je le cache comme je peux . Tu sais c'est marques de toi sur mon âme sont rester tatoue un temps parce que ce n'était pas pour moi que l'histoire de deux corps qui se frôlent. Je sais pas , d'abord il y a eu l'écho de ta voix qui ne cessait de résonner dans les limbes de ce sentiments que je ressentais pour toi. Ton souvenir était beaucoup trop présent au creux de mon subsistent ces rêves furent sans doute destructeur vilipendant dans mon être tout entier. Je penses que j'étais amoureux de toi. Depuis Auréa, j'avais plus rien ressentie, je me contentais de vivre. Se souvenir des choses auxquelles on a tenu est vraiment insupportable tant de sentiments qui se mêlent qui se cache et qui se mente au bonheur de les avoir un jour vécus, c'est cette tristesse qui nous fait vivre, celle de les avoir perdu petit a petit . Tout ça maintenant sa me paraît inutile, je suis pas se genre de gars qui y arrive et t'es encore moins ce genre de fille dés que ça te touche tu fuis. L'attachement maintenant ca me paraît absurde, c'est de l'incitation à la douleur comme si on ce tué a petit feux parce qu'on s'attache et on devient dépendant des uns des autres et lorsque l'une des deux personnes vient a s'enfuir, on a cet impression que le monde s'écroule autour de nous. Peut-être que quand t'es partie sa a casser un truc, c'est pas de ta faute tu as pas a te sentir désoler, c'est arrivé. Se souvenir, ca fait mal et savoir que ceci vont être le ciment d'une nouvelle vie est pire parce que je me demande pourquoi je suis si déranger, mais la vraie question c'est pourquoi je ne l'ai pas été avant . Qu'est ce qu'on peut perdre en un fichu jour, en un instant en une seconds qu'est ce qui fait qu'on tienne le coup ? Tu mérite mieux .  

    J'avais dis ce que j'avais a dire et mes pensées c'était lavé des impuretés dans lesquels elles s'étaient lentement plongé. Plus je regardais ces iris plus je me sentais aspiré par celle-ci. Le temps me nargua une nouvelle fois, c'était pas possible ce temps commencé a m'énerver. Tout se figea, tout ce stoppa une nouvelle fois j'étais coincé dans les limbes de se moment présent. Je m'estimais plus ou moins heureux que l'endroit ne se changea pas en pandémonium. Je savais que j'étais maître de ces situations aussi embarrassante soit t'elle. Ces pouvoirs étaient bien trop grand pour moi, bien trop puissent. Je me replongeais dans ces iris, sans trop comprendre pourquoi le temps c'était arrêter. Paradoxalement ma tête élancement assourdissant. Mes neurones volaient les uns contre les autres a s'y perdre. Des souvenirs, plein de souvenir qui s'éclataient, je ne voulais pas violé son intimité. Je ne voulais pas et ca se fessait contre ma volonté, totalement paradoxale pour un spécimen maîtrisent la volonté des autres. J'étais dans son enfance, j'étais prés de Kasey toute petite, elle était adorable avec un petite robe blanche a fleur, les cheveux attachées elle courait dans l'herbe des champs. C'était ici, comment est-ce possible ? C'était invraisemblable qu'elle soit déjà venu ici étant petite son seule lien c'était Auréa. J'étais au courant qu'elle se connaissait depuis qu'elle avait 3 ans mais c'était pas possible, pas en italie. Je la voyais traîné par sa mère, Sarah pour repartir vers la voiture en colère, la même colère qui avait dirigeait Auréa au même endroit. Elle connaissait donc Aaron. Quelques instant plus tard, le temps avait repris sont cours et du sang sortait de mon nez. Je m'empressais de compresser ma narine cherchant de quoi stopper le sang. Je devais encore avoir cet air de psychopathe mais ca m'était égale. Je savais pourquoi j'avais eu cette vision, c'était ma volonté a trouver des réponses qui me guidé, je pensais presque comme un illuminé, mais mes pouvoirs me guidés.


    - T'es déjà venu ici Kasey. Aaron connait t'a mére, t'es déjà venue je l'ai vu.

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MessageSujet: Re: (-16) Black Smoke Attack   (-16) Black Smoke Attack EmptyVen 18 Juin - 13:04

J’étais perplexe, je me demandais comment il était possible d’aimer une personne à tel point que notre propre destruction nous été égale. Me répéter que c’était étrange parce que je ne comprenais pas leur semblerait sans doute inconcevable ou peut-être que non, au final, car ils ne sont que deux à ressentir ce sentiment. Les situations dramatiques selon certains n’en avait pas vraiment été pour moi dans la mesure où je n’avais pas la même notion du dramatique que la plupart des personnes. J’avais une certaine facilité à comprendre les pires situations, les pires sentiments mais je ne les ressentais pas moi-même, c’était assez contradictoire et flou pour moi. Je savais ce que je ne comprenais pas encore, j’étais toujours dans cette distance observatrice. Les relations entre les humains étaient d’une complexité qui m’effarait la plupart du temps. Il était simple de voir la douleur, plus difficile de la comprendre. Je voyais la source, je trouvais les réponses à mes propres questions sans jamais parvenir à les ressentir moi-même. J’étais vite classifié, vite défini selon les critères des personnes qui m’étaient extérieures. Ils ne voyaient pas les choses comme moi, j’avais grandi sans personne. Avec les choses que j’avais compris et celles qui m’étaient inconnues. Eux avaient eu leur famille, quelque chose à laquelle s’accrocher. Ils étaient attachés, je ne l’avais pas été. J’avançais sans vraiment savoir où j’allais et plus les années passent, plus je m’approche de ce que j’ai toujours rejeté. C’était comme si cette chose était gravée dans ma nature. Je ne correspondais pas à la norme, je refusais la norme et pourtant elle était partout autour de moi.

L’individualisme aussi était tout autour de moi, parfois les gens ne le remarquaient pas ou alors ils se dissimulaient derrière des excuses en niant totalement ce fonctionnement. La question était pourquoi ce voile était sur le visage et pourquoi est-ce qu’ils dénigraient totalement leurs propres pensées. C’était une de ces choses que je ne comprenais pas et qui ne menait qu’aux complications les plus ambigues qu’ils puissent exister. Il y avait tellement de futilités dans certains actes, tellement de douleur éparpillée dans la poussière. Auréa et Damon n’avaient pas besoin de séparation, ils voulaient simplement être ensemble. J’aurais aimé donner mes yeux aux gens qui pensaient le contraire. Des larmes, voilà tout ce qu’ils avaient gagnés en l’arrachant à Damon. J’étais inquiet de savoir jusqu’où elle pourrait aller juste pour l’avoir auprès d’elle, juste pour leur prouver que tout ce dont elle avait besoin n’était pas ici. Je n’aimais pas cette humidité sur son visage, ni cette faiblesse qui la rendait paniquée. Ils étaient forts tous les deux, je croyais en eux mais ça ne suffirait jamais. J’en étais conscient. Damon connaissait et savait faire preuve du détachement, il était un illusionniste depuis le départ. Il réduisait au silence ces blessures alors qu’elles hurlaient en lui. Sous contrôle. Ils avaient domptés ses propres sentiments. Retenir pour mentir. Retenir pour ne pas faire souffrir. De l’autre côté, Auréa attendait qu’il sorte ce qu’il n’avoue pas, qu’il sorte son mal parce que tant qu’il irait mal, elle partagerait sa douleur et c’était ça qui était beau dans cette catastrophe, c’était l’acharnement qu’elle effectuait. Même si elle était blessée par des contusions que ces gens ne comprenaient pas. C’était leurs jugements contre leurs sentiments. Ce n’était pas juste. Pas du tout.

La peur pouvait poussée les gens à des actions excessives et rapides. Je voyais la situation comme un gros malentendu qu’il n’était plus possible de gérer pour le moment. On ne s’y été pas pris de la bonne façon simplement car la communication se faisait rare dans cet entourage. Des gens complexes ayant tous une faiblesse dissimulée, une peur dominante qui les opposait tous les uns contre les autres. Vu sous cet angle, c’était sûr qu’on passait tous pour des idiots et pourtant c’était ça. Ce n’était que la peur. Voilà la seule dominante. Aaron était absolument sous l’emprise de la peur qu’il ressentait en voyant Auréa flanchée pour un meurtrier, ce qu’il ne comprenait pas c’était que le meurtrier lui-même flanchait pour sa nièce. La peur le rendait impartial et irrévocable. Il se montrait peut-être injuste mais on ne pouvait pas blâmer un protecteur. Il ne savait pas que Damon était complètement éparpillé intérieurement. Il ne savait pas que son cœur avait été balafré dans tous les sens du terme, il ne connaissait pas son histoire. D’ailleurs personne ne la connaissait réellement. Personne ne le connaissait car il ne nous en avait jamais donné la possibilité. Il ne donnait qu’une partie de lui, il en restait encore tellement. Auréa frissonnait de l’avoir compris, elle attendait de lui les réponses. Il lui refusait les questions. Sa capacité à paraître intouchable et inhumain était assez élevée, Auréa était le contraire parfait. Elle avait besoin de ce contact, lui, il le recherchait. Les ondes qu’Auréa lui faisait ressentir faisaient trembler ses terres. Il perdait contrôle, elle brisait ses limites mais il ne pouvait pas y échapper car il l’aimait. Pourquoi on ne voyait pas les choses comme je les voyais ?

J'attendrais, mais je connais toujours pas ce qu'il est. Je sais qu'il s'appelle Damon Matthew Tallis et que son coeur est en mille morceaux. J'ai réussi en attrapé un bout. Il m'en reste neuf cent quatre-vingt dix-neuf autre a attraper. Tout ça, c'est là je peux pas le jugé dessus je dois l'acceptais tel qu'il est, accepter ce qu'il veut bien me donner. Il sait quoi de moi? Que je m'appelle Auréa October Eden Cole, que je cour après lui jusqu'à m'en étouffer que je suis gourmande, qu'il m'aime et que je suis incapable de lui formulé parce qu'il y c'est 999 de morceaux que je peux pas l'aimer a moitié. Juste entièrement, c'est ça le problème Hyde.

On va bien finir par y arriver

J'aurais voulu secouer Damon lorsqu'elle m'avait dit cette phrase même si j'étais certain qu'il le savait. Il se refusait, à chaque fois. Son fonctionnement était imprévisible et l'imprévisible faisait parfois souffrir. Sa voix avait des sonorités d'incompréhension et de mal être que j'avais du mal à entendre. Elle m'avait pris dans ses bras et j'avais fait la même chose qu'elle instinctivement. Je n'aimais pas la voir dans cet état et j'aurais aimé que Damon vienne mais je ne me faisais pas d'illusion en ce qui concernait la réaction d'Aaron. Elle ne méritait pas cette distance, c'était inconcevable en sachant tout ce qu'elle pouvait ressentir pour Damon et en ayant conscience de ce qu'elle ressentait. Pourtant, je savais que ce recule leur ferait bien. Tant à Damon qu'à elle mais ce n'était pas sans douleur. Elle séchait ses larmes et j'espérais que sa tristesse s'efface avec ses larmes. Je ne voulais qu'elle s'enferme dans un silence qui la rendrait morne et fade. Elle dégageait tellement de couleur sans le savoir que la pâleur dans sa démarche m'avait donné froid. Mon téléphone vibrait, je voulais que ce message soit de Damon et effectivement, c'était lui. « La conscience, je la sens bien passée. Veille sur elle et fait lui savoir qu’elle me manque. Enormement. T’inquiètes pas pour moi, je suis un grand garçon. A bientôt. » Je sentais de la colère à travers ses mots et sa façon de formuler cette phrase. J'avais raison sur le fait qu'il serait agressif. Damon n'était plus capable de rester en groupe, ce dont il avait besoin c'était de lui-même. Se retrouver mais ça serait plus dur sans Auréa car elle le rendait apte à dépasser ce qu'il pensait ne jamais pouvoir faire. Il était face à ses responsabilités et il fallait qu'Auréa reprenne son souffle avant de s'évanouir.

- Il sait aussi que tu crois en lui malgré tout et je crois que c'est sa force majeure. Tu es sa raison, celle qu'il a cherché. Il fallait bien que quelqu'un croit en lui avant qu'il ne puisse le faire tu sais. Ses morceaux, tu les assemble sans que tu ne t'en rende compte. Chaque fois qu'il avance d'un pas, c'est parce qu'il croit en toi de la même façon que tu le fais pour lui. Tu le connais plus que tu ne le penses, tu as vu les blessures que personne n'a jamais vu. Tu as trouvé ses démons, tu es entré là où personne d'autre n'a été alors ne dis pas des choses pareilles, c'est lui qui veut te connaître. C'est pour cette raison qu'il se bat. Tu lui manque, il vient de me le dire.
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MessageSujet: Re: (-16) Black Smoke Attack   (-16) Black Smoke Attack EmptyDim 20 Juin - 12:57

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L'enfer c'est de s'apercevoir qu'on n'existe pas et de ne pas y consentir.
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    (-16) Black Smoke Attack Sanstitre4sh




J'étais aussi vide qu'un coquille en plein désert , aussi vide qu'une gourde non servie , aussi vide qu'un corps dépecé. J'étais certaine que cette fois-ci , plus rien ne pourrait m'anéantir comme il l'eut fait inconsciemment. Il avait certes sauvé la carcasse dans laquelle je demeurais mais avait fais mourir ce qu'il y avait à l'intérieur que ce soit mon âme ou encore mon cœur. Désormais il était avec elle , elle m'avait volée mon cœur tout en volant le sien.
Pourtant , je n'éprouvais aucune haine que ce soit envers elle ou envers lui. Il était réapparut tel un mirage en plein désert me laissant espérer l'impossible , et avait disparut aussi tôt. Tout n'est qu'éphémère , rien ne dure , tout change. Enfin de compte , il eut raison. Je n'étais pas la fille qu'il avait aimé , désiré , j'étais simplement Alice Matthews , jeune femme de vingt-deux ans le cœur en peine. Il n'avait jamais sut regardé à l'intérieur de moi comme moi je le faisais avec lui , et cela lui en a couté notre lien , son amour. Au fond , j'avais toujours été la même , c'est lui qui avait changé , c'est dans son regard que j'avais moi même changée. Je n'étais plus la petite sotte qu'il avait connue, en me brisant il avait sut en quelques sortes animés un nouveau sentiment en moi , celui de la répartie , de la culture, d'un mouvement sombre. Les morceaux de ma chaire était explosés en mille morceaux , éclatés contre la vitre qui me servait de miroir , j'admirais ma laideur aussi bien que ma rancœur , désormais j'étais libre. Jamais plus , je ne pourrais lui accorder la confiance qu'il avait acquis autrefois , jamais plus je ne pourrais l'aimer, jamais plus je ne me laisserais avoir par ce triste sentiment colérique qu'est l'amour.


Adosser contre le siège en cuir de la voiture , je m'étais assoupis pour mieux me relever.; une fois donc arrivée , c'est Aaron qui m'ouvrit la portière m'accompagnant ainsi dans son humble demeure. Estomaquée , je n'arrivais à parler , sa main encerclant ma taille , je me sentis directement en sécurité à ses côtés , il faut dire que notre vécut n'y était pas pour rien. Les yeux encore alourdis par un sommeil réparateur , je les écarquillais de plus belle passant me frottant les yeux à maintes reprises comme pour m'éveiller d'un songe. L'homme remercia son compagnon et lui fit ses enrevoirs , ma main toujours scellé dans la sienne , j'observais chacun de ses mouvements , chacun de ses gestes, a vrai dire il n'avait toujours pas changé, du moins pas pour moi. Sans un mot, sans un regard de sa part , nous entrâmes en ce lieux gigantesque qui me sembla miraculeusement provenir d'un rêve. J'entrais dans son intimité , en lui. J'admirais chacune des décorations importunant son logis , chaque détail , chaque objet me souvenant un bonheur autrefois vécut, un bonheur qui s'était amplifier avec Benjamin et qui été redescendu aussi tôt, émiettant mon cœur.. Aaron m'emmena dans son bureau , le ferma. Mes yeux abaissés à terre , je n'osais les relever sentant un regard trop pesant porter sur moi. , mes mains flageolantes comme les tremblements convulsif d'un malade en pleine crise d'épilepsie , je n'arrivais à me calmer , ce fus comme si son regard m'avait transpercer le cœur , l'avait examiner au microscope. Il m'encercla de ses bras de marbre , à l'intérieur , je me colla contre son torse , ma tête contre son cœur je pouvais sentir chaque battement , chaque pulsation , je pouvais inhalais sa fragrance , je pouvais me sentir enfin bien. Aaron était une de ses personnes que tout le monde enviaient par sa bonté ainsi que sagesse , rare étaient les défauts à lui reprocher.. En un instant l avait repérer un cœur épié , brisé, malaxé.


Citation :
« Tu es en sécurité ici , rien ne t'arrivera pas , je suis là , je suis là ... »

Chaque matin je m'éveillais avec ce goût amer d'amertume et de chagrin, mon cœur entaillé sur la table , ils sont là , ils rient. Nous les cœurs brisés , nous pleurons , une pluie salée tombent le long de nos joues bien trop humide à notre goût, , nous n'avons que nos lèvres pour goûter la souffrance de nos cœurs. Conséquence du passé , je ne peux vivre une vie meilleure , je ne m'étais jamais plein jusqu'à là , j'avais vécus une enfance plutôt malheureuse mais je ne m'en plaignais pas, il y a toujours pire. Aujourd'hui j'en avais la preuve. J'écoute la station du cœur mais rien n'a faire , personne ne l'écoute parallèlement à moi , je suis seul. Je n'arrive plus à dormir , mes nuits sont blanches , mes jours sont noirs, j'ai peur.
Un verre à la main , Aaron m'accompagne jusqu'au sofa positionner à l'entrée de la salle , close.

Citation :
« Alice.. Tu peux resté ici temps que tu veux, tu ne gène absolument pas il faut que tu le sache, sa me fait du bien de te voir. Raconte moi pourquoi était-tu dans un hôpital psychiatrique.. »

Je me leva puis partit en direction inverse du sofa de sorte à ne plus subir son regard , j'observais chaque détail avec cet air malicieux qui s'affichait au fond de moi comme une gamine de six-ans qui n'ose raconter la vérité sur une cicatrice réouverte. Je m'approcha doucement de lui , un regard attristé et pourtant qui voulait vivre , un doux sourire aux coins des lèvres, une voix angélique j'observais ses prunelles dorés , ses rides qui avec le temps s'étaient gravés en lui , ses mains …

« J'ai aimée. »



Il n'avait rien à savoir de plus , cette phrase était la phrase , celle qui résumait mon éclat de sanglot , celle qui résumait mon mal être , mais assez de souffrance , je voulais vivre. , J'observais une fois de plus la salle , la stupeur se lisait, à haute voix dans mes yeux noisettes, chaque détails m'aidaient étrangement à avancés, j'examinais chaque crucifix, chaque livre avec la même attention, tout n'était que religion , foie. Non seulement la foie religieuse mais morale , physique ! Je comprenais enfin , je comprenais enfin que la seule solution à une éventuelle guérison était la foie. Des centaines de caissons , de livres étaient exposés dans cette pièce , des parchemins dépassaient de quelques caissons mal fermés , la poussière les enivrant tous. Chacun de ses détails avec une histoire tout comme Aaron et moi en avion une qu'elles soient communes ou non , chacun de ses objets dataient d'un temps révolu désormais et pourtant ils ne pouvaient s'empêcher d'être admirer aux yeux d'autrui , d'être aimés , d'être chouchoutés. Cette pièce était immense , accroché au mur une carte du monde , à en juger l'état du papier , elle devait sûrement datée du moyen âge et encore , son ancienneté me fit soudainement comprendre que je n'étais pas seul , qu'avec le recul , un nouveau monde pourrait s'ouvrir à moi , tout compte fait , ce n'était pas la vie qui ne me souriait pas mais moi qui ne le faisait pas. J'admirais avec grande stupéfaction cette carte qui symbole d'une renaissance en moi m'avait mise en pleine exaltation. Enfin de compte , le monde ne tournait pas seulement autour de Benjamin , mais du monde en lui-même , je n'étais pas seul bien au contraire , j'étais plus entourée que jamais , j'étais aimée.









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Sunburn
She burns like the sun.

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MessageSujet: Re: (-16) Black Smoke Attack   (-16) Black Smoke Attack EmptyMer 23 Juin - 11:50




                                                     - Il sait aussi que tu crois en lui malgré tout et je crois que c'est sa force majeure. Tu es sa raison, celle qu'il a cherché. Il fallait bien que quelqu'un croit en lui avant qu'il ne puisse le faire tu sais. Ses morceaux, tu les assemble sans que tu ne t'en rende compte. Chaque fois qu'il avance d'un pas, c'est parce qu'il croit en toi de la même façon que tu le fais pour lui. Tu le connais plus que tu ne le penses, tu as vu les blessures que personne n'a jamais vu. Tu as trouvé ses démons, tu es entré là où personne d'autre n'a été alors ne dis pas des choses pareilles, c'est lui qui veut te connaître. C'est pour cette raison qu'il se bat. Tu lui manque, il vient de me le dire.

J'aime entendre Hyde parler, écouter ces mots qui rebondissent avec grâce de l'un à l'autre. Les voyelles se fendent sur les doucement sur consonnes avec ce timbre de voix unique. Sa voix était comparable a une clé ouvrant les portes d'une prise de conscience. Il avait toujours cet vision des choses qu'on pouvait qualifié de sage, prit avec un recule qui lui appartenait. J'avais confiance en ce qu'il voyait parce qu'il était sincère avec moi. Son soutien m'apportait énormément, me reboostant immédiatement. Il me rendait plus confiante en me rassurent sur des choses qu'il lui était évidente mais qu'on ne voyait pas tous. Certainement parce qu'on ne regardait pas d'assez prés les détails. Les choses les plus importante, plus secrète il pouvait les percevoir, j'étais admirative ça le rendait encore plus spécial a mes yeux . Je l'écoutais ce qu'il me disait, je n'avais pas la prétention d'être ce qu'il avançait par rapport a Damon de son point de vu. Damon était fort, juste qu'il était blessé et si j'étais une raison pour lui d'avancer c'était fait sans le vouloir, j'avais juste écouté ce que mes sentiments m'avaient dit de faire. Je croyais en Damon, il avait raison. Tout le monde s'arrêter a cet apparence qu'il donnait de lui ou a ce qu'il voulait bien montré. Je capturais chacun de ces mots pour en tiré une leçon. On sortais de la baignoire et même si c'était visible je lui avouais qu'il me manquait et que je ne voulais pas qu'il lui arrive quelques choses, c'était la raison pour laquelle j'étais inquiète. C'était certainement en vouloir plus, toujours plus mais je voulais que Damon puisse compter sur moi, être éloigné de lui revenait a être handicapé et de ne pas pouvoir le faire. On prendra le temps, une bonne fois pour toute. Je m'en voulais d'avoir suivie Aaron, j'aurais pu ne pas le faire mais j'avais l'écho des conséquences qui en déroulaient. Il aurait été capable de m'emmenait de force, mon oncle savait ce qu'il voulait et quand il le voulait il l'avait avec un recule et une sagesse dite immuable. On sortais dans la salle de bain, je me tenais toujours contre Hyde, je me sentais mieux de le sentir avec moi. Il était discret mais il comptait tellement a mes yeux, il ne le savait peut-être pas mais je lui étais reconnaissante pour tout ce qu'il fessait pour moi. Je serrais son bras affectueusement en l'emmenant dans ma chambre, je retrouvais le sourire, il fallait juste que le temps se dépêche pour que je puisse être avec lui. J'avais toujours l'odeur de Damon sur moi étant donné que je m'étais habillé en vitesse et que j'avais pris sont t-shirt au passage.

En attendant, je comptais bien profité de mon meilleur ami, je savais qu'il n'avait pas eut de réel chambre enfin.. je savais qu'il avait grandit dans un orphelinat... son enfance avait du être encore plus compliquer que toutes les nôtres réunies et il ne s'en plaignait pas. C'était quelqu'un de magique Hyde, parfois il pouvait être brute dans ces mots avec un détachement involontaire mais je l'aimais comme il était. Il continuait a marché et moi je marchais a reculons en le regardent, puis je le suppliais de bien vouloir dormir avec moi ce soir. Je n'aimais pas dormir toute seule. On s'allongeait dans mon lit qui était recouvert d'un tissus, je m'amusais a caresser les fil qui s'échapper sous mes doigts. Il me parla un peu de se qu'il avait entendu avec Sydney, qu'il pété des câbles et qu'il l'avait soit dissent vu bébé dans les bras de mon oncle. Je lui dis que c'était possible étant donné son travail, peut-être qu'il avait été dans son orphelinat, je le rassurais en lui dissent qu'on allait demander a Aaron. Je lui promettais que s'il dormait avec moi, on irais dans la chambre de Milo là ou il y avait une guitare sèche désaccordé. Je savais que la musique compté énormément pour lui, tout comme pour Damon. Il accepta mais il me précisa que la porte était fermé. J'avais pas besoin de clé pour entrer dans la chambre de Milo. Je pris Hyde par le bras, il n'avait pas le courage de ce lever donc je tirais forcément dessus. On retournais dans la salle de bain allant tout au fond, jusqu'à une petite table en verre. Je décalais celle-ci ainsi que son tapis. Il y avait une petite trappe, je lui expliquais que c'était mon grand père qui avait fait construire ces petites trappe secrètement, seulement Milo & Moi connaissait la ou elle était. C'était plutôt amusent, on entrer fessant de la lumière avec nos portables et quelques temps après, je tapais sur le plafond. On grimpait un peu et on se retrouvait entourer de vêtement. Hyde se leva et il m'aida à me relever, j'eus un fou rire car on était tout poussiéreux, on avait l'air fin comme ça. J'arrêtais pas d'éternuer toujours par trois, bien entendu Hyde se moqua de moi. Je sortais de l'armoire et je pris la guitare, Hyde ne sortais pas de l'armoire. Ca me fessait blizzard de revoir la chambre de Milo, il me manquait. Je prenais la guitare et je retournais aussitôt dans l'armoire avant que les souvenirs réapparaisse. Comme convenu Hyde aurait la guitare seulement si il dormait à mes cotés. On retournait dans le passage, dans la salle de bain et nous retournâmes auprés des autres dans le jardin.

Sydney était dans un état seconds, il saignait du nez et ne cessait de répété que Kasey était déjà venu ici et leurs conversation était étrange. Hyde et moi comprenaient pas bien ce qui était ce passé. C'était impossible, on ne l'avait jamais emmener ici c'était la première fois. Les pouvoirs de Sydney devenait vraiment dangereux pour lui. Il s'approcha de moi et en me saisissent le bras «  Aaron il a fait le bon choix Auréa, il allait pas te laisser avec Damon qui commence a déconner grave, c'est qu'un putain d'égoïste » Il plongea ces iris dans les miennes, cet ambre chromatique qui se promenait aux creux de son iris ne cessait de s'illuminé. Il était en colère contre Damon, il était en colère car il l'aimait, l'adoré comme un frére et ca lui fessait du mal que Damon agisse comme ça. Sydney n'était pas au courant de toute l'histoire, pas au courant comme Damon me l'avait expliqué. Il était en colère contre ce fait d'être mit à l'écart. Il n'avait pas la patience d'Hyde. Je prenais instinctivement son visage entre mes mains lui demandent de ce calmer. Ce n'était pas en s'énervent plus que tout aller s'arrêter, bien au contraire. Ces iris dansantes contres les miennes se frottèrent trop profondément contre les miennes. Il perdait le contrôle et il m'emmenait avec lui, Hyde, Kasey restèrent tout simplement immobile. Comme ci on avait fait pause sur une veille cassette usagé et que le temps se repasser en quelques seconds et s'arrêter. Ces pouvoirs nous avez projeté dans mes souvenirs... lorsque Sydney et Kasey avaient été enlevé par le centre. C'était à l'hopital, les mûrs étaient verdâtre le tout était d'un pale énervant.

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L'homme debout : «  tu veux que je l'appel ? »
La jeune fille dans le lit : «  Je m'en fou »
L'homme debout : «  Auréa... C'est pas une réponse »
La jeune fille dans le lit : «  Fait comme tu veux, ca m'est égale qu'il le sache ou pas »


Il partait dans le couloir, moi j'étais toujours cloué dans le lit, il parlait d'appeler mon père. Je restais la, vide. La douleur physique était présente elle me rongeait supportablement, mais ce n'était rien comparer a ce que mon mental pouvait enduré. Aaron était dans le couloir, il appela trois fois... trois fois le répondeur. J'en étais sur, il n'allait pas répondre pas pour moi. Pourquoi je lui avais dis que je m'en foutais or que c'était faux, cela ne m'étais pas égale. Qui l'aurait compris? J'aurais dû lui répondre non, car je savais les conséquences que ca entraînait sur moi. J'avais toujours cette dose d'espoir qui s'était effrité au fil du temps. Après seize ans de vie sur terre, j'avais vite compris que je n'étais vraiment pas une de ces priorités. La réalité c'était que je ne m'en foutais pas... un enfant quoi qu'il en disse voudrait toujours connaître ces parents. C'est sans doute comme cela que les gênes de l'être humain fonctionne vouloir savoir pourquoi est-t'ont rejeté parce que qui nous a crée ? J'avais toujours cru que c'était de ma faute, une culpabilité qui me hanté et qui ne se dévoilé que lorsque je m'y attendais pas. C'était là, encore dans mes cellules ce multipliant en double, peut-être en triple se promenant a reculons jusqu'à en narguer mes artères, les affolent dans un délicat combat. Seul quelqu'un qui avait le même vécus que moi pouvait comprendre ça.

A cette époque, une seule personne l'été réellement c'était Sydney, lui non plus il n'avait pas eu de père sauf que Sydney n'était pas là au moment ou j'avais eux ces problèmes, il était en Russie. Mon moi adolescent regardait par la fenêtre, l'horizon se réchauffer, la vitre transparente me laisser presque imaginé la saveur du vent qui fessait vaciller les branches. Je l'imaginais ce vent, sans le toucher, il était là. J'avais toute les sensations que j'avais ressentie a ce moment là grâce aux pouvoirs de Syd, j'avais un replay des pensées que j'avais eux a cette instant, c'était étrange. Tout ce déroulé comme cette fois ou il avait voulus reconstitué tout mes souvenir. On voyait mon passé défilé et nous étions fantomatiquement présent, ressentant toutes les émotions du sujets que l'on fixé. Sydney n'était pas présent, il n'était donc pas au courant de cet phase de ma vie et pourtant il y assisté comme une représentation théâtrale. Je restais tout l'inverse de cette vitre translucide, quelque chose d'opaque sans valeur certaine. Je prenais du recule, Aaron pensée que c'était pour d'autres raison que je n'étais pas dans un état normale ou que c'était tout simplement ma santé qui me fessait plongé dans cette transition de pensée. Oui, c'est cela.. si tu veux Aaron. C'était plus simple a expliquer, a lui et a ces armées de psychologue qui venait m'analyser, plus facile a dire avec des mots que cette simple question qui ne cessait de ce répété en moi. Qu'est-ce que j'ai fais pour qu'il ne vienne pas? C'était bien entendu de mon père qu'il était question, ma mère ne fessait que le suivre bêtement. Je le haïssais par principe, il n'était tout ce que je ne voulais pas être. Égoïste, incompréhensif, froid, incrédule ce qui nous unissait c'était certainement un de mes traits que je me gardais bien de cacher, c'était l'esprit de logique qui été forcément lié a un esprit vif de manipulation. C'était le peu que je l'avais connus, le peu qui m'avait laisser voir, le peu qui m'horripilait. Pourtant je n'étais pas du genre a jugé sur ce qu'on pouvait montré mais lui... ca ne passer pas. Aaron rentra me fit un baiser sur le front et m'informa qu'il devait s'en allait. Sydney rentrait dans cette partie de mes souvenirs, je n'aimais pas ça et je le suppliais de nous en sortir. J'avais honte qu'il me voit dans cet état, honte qu'il voit que je me laissais mourir qu'il voit que je n'étais pas en phase avec ce qui était en moi. J'étais malade dans un coma berenices atrophié. Sydney angéliquement présent, s'approchait de mon moi adolescent, il caressa mon front tout doucement et me serra la main. Je ressentais sa mains effleuré la mienne, sa peau passer sur mon visage. Il s'était calmé, il semblait si perturbé... je comprenais, je savais, je m'approchais de lui et je le regardais. Personne n'avait vu ce qui c'était passé sauf Aaron maintenant il était au courant. Sa voix s'éteignait en me regardent, il me voyait jeune fessant une alliance avec les ombres qui s'évaporaient en miller de cendres.

« Comment ? Pourquoi ? »

Il savait ce que j'avais fait pour être dans cet hôpital, c'était un bout de ma vie dont je n'étais pas fière, c'était des bouts de mon carnet brûlée que je cachais soigneusement ces souvenirs dans une boîte en haut de l'armoire, beaucoup trop haute a attrapé. J'avais appris a en parler, si on me posait les bonnes questions, ca fessait partie de ce que j'avais été. Même si s'était des souvenirs que j'avais voulu enterrer au plus profond de ma mémoire. J'avais perdu le sens des réalités, je m'étais enfermer dans un sommeil de solitude, cloîtré, dans mon corps comme dans une prison. Je voulais que mon corps efface mes peines dans ce cauchemard. Je n'étais qu'une entaille insipide qui ce présenté comme l'image de ces douleurs. Je voulais m'éteindre dans l'ombre d'une pièce pour ne plus avoir a supporter les regards vident qui restait pour me surveillé. Mes os ressortaient de trop, les équimauses de mes bras ressortaient j'arrachais mes perfusions a tout va, j'en voulais pas. La seul que je n'arrivais pas a arraché c'était lorsque l'on me la fessait dans le cou. Je ne voyais pas l'intérêt de me nourrir ou d'être nourrie. Je voulais que mon coeur sorte de ma bouche que mes organes se séchent que je m'efface pour de bon, que je retourne a l'état de cendre à la terre. C'était mes erreurs. J'étais tombé dans l'anorexie a seize ans quelques mois après le départ de Kasey Logan, après le départ de Sydney Ian Moon le garçon qui devait resté a mes côtés quoiqu'il arrive. Tout c'était évanoui comme un château de carte effondré par un souffle de glace. Ma situation était différente de celle de Damon, il était tombé également mais différemment. Toutes ces choses menaient a une seule chose, la destruction de soit même. Je savais et je comprenais parfaitement ce que c'était mais c'était fini.

« Sydney quand tout ce mélange dans ta tête, que tu es seule, jeune, et perdue... tu sais pas bien ce qui ce passe. Tu te trompe de chemin.. C'est ce qui sait passé pour moi, c'est ce qui sait également passé pour Damon. Il se droguait et il est tombé dans un troue immense, seul. Personne pour le guider, personne pour le stoppé son pouvoir la pas aidé... Il peut tué par la pensé mais il a grandit et j'ai grandis je suis plus la petite fille dans ce lit. Je le laisserai pas retourné dans ce néant. Il y arrivera et si il perd pied je le stopperai, crois moi. Je sais que tu es en colère, parce que tu l'as pas vu mais Sydney tu peux pas tout voir, parfois il faut savoir accepter les réponses qui sont devant nous. Fait moi confiance, s'il te plaît. Je pense qu'il a peur de ce qu'il a était c'est pour ça qu'il a mentie. Pour pas nous faire effrayé. C'est comme ton frére, il t'a pas laisser tombé quand tu étais seul, le laisse pas. Il a besoin de nous. Il a toujours cru en toi jusqu'à maintenant, lui fait pas faux bon...»

Il me fit un signe de tête, un hochement qu'il était d'accord d'un air désoler, il se sentait coupable de ce que j'avais fait. De ce que j'étais devenu a ce moment la de ma vie. C'était pas de ca faute, uniquement de la mienne, je me cherchais et je ne me trouvais pas. Je n'avais pas eu le courage de faire face à la vie. Je m'étais caché derrière des prétextes pour abandonnée mon souffle. Il avait pitié dans ces yeux, je le voyais. Je ne pouvais pas changé ce qui c'était passer, mais ca m'avait renforcé. Renforcé a jusqu'à ne plus abandonné, c'était sans doute la raison pour laquelle je tenais temps a Damon, il me renforçait sans le savoir dans tout ce que j'étais. D'une seconds a l'autre tout changeait a nouveau. On se retrouvé prés au coté de Kasey et d'Hyde. Comme ci il ne s'était rien passé. Syd murmura qu'il était désoler...




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MessageSujet: Re: (-16) Black Smoke Attack   (-16) Black Smoke Attack EmptyDim 4 Juil - 15:13

J'avais espéré qu'elle comprenne ce que je voulais lui faire passer comme message,c'était difficile pour moi d'expliquer ce que les autres personnes pouvaient ressentir car je ressentais leurs sentiments sans pouvoir les connaître et les ressentir moi-même. Je crois que je ne retirais pas assez de chose du pouvoir qu'on m'avait accordé, j'avais toujours pensé qu'il était futile et sans intérêt sauf qu'aujourd'hui tout était différent. Ce pouvoir en question allait peut-être m'aider à devenir meilleur que je ne l'étais. Damon et moi ne trouvions pas assez de sens à la vie pour y accorder l'importance qu'elle méritait. Notre défaut était de se foutre de tout car nous n'avions jamais trouvé de raison et je comprenais aujourd'hui que tout ne tenait qu'à nous, qu'à notre volonté d'aimer ce que nous n'avions jamais appris à connaître d'avantage. Malgré tout, mes pensées me disaient que Damon était conscient de tout ça et qu'il rejetait lui-même le sens de sa vie par peur de quelque chose. Il restait entre ses murs, interdisant l'accès à quiconque. Je n'arriverais pas à l'aider, je voulais juste être présent pour lui comme j'essayais de l'être avec Auréa. Les douleurs ne sont pas prévisibles, surtout avec des personnalités aussi complexes que celle d'Auréa et Damon. Ils s'aimantent mais dans cette attraction les blessures ne sont pas à nier. Mais ils étaient forts, en tout cas cela faisait parti de mes espoirs les plus présents. Je ne savais pas si ce que je lui avais révélé lui était bénéfique mais dans tous les cas, je l'espérais car la voir dans un état de tristesse pareil me faisait mal. C'était ma meilleure amie, c'était un peu une partie de moi qui se déchirait lorsqu'elle ne se sentait pas bien. Je voulais qu'elle soit heureuse, qu'elle vive de la façon la plus appropriée malgré toutes les contraintes qu'on pouvait lui imposer. Tout n'était que temporaire, c'était cette phrase qu'elle devait prendre en compte. On a tellement de temps devant nous, que ça soit moi, elle ou bien même les autres. Je savais que chaque douleur allait nous apprendre une nouvelle chose et même si c'était insupportable par moment, on en ressort toujours plus fort mentalement. Elle m'avait confié ensuite qu'elle était inquiète et qu'il lui manquait aussi, je le savais déjà mais peut-être que le dire à quelqu'un l'aider à se sentir moins lourde intérieurement. Les choses avaient été vite, ils n'avaient pas eu le temps de se quitter dans les meilleurs conditions. La réaction d'Auréa était normale après tout.

J'aurais du être plus présent pour Auréa, j'en été conscient mais j'estimais qu'il n'était jamais trop tard. Ces derniers temps, j'étais étrangement optimiste, sans raison apparente ou bien peut-être parce que je savais que le chemin que j'avais emprunté auparavant n'était pas le bon, toujours voir ce côté sombre était assez épuisant, du moins moralement parlant. Aujourd'hui, je savais que mon changement de direction me faisait aller mieux, je n'étais plus aussi mal et aussi perturbé qu'avant. J'étais soulagé aussi d'un autre côté mais tout la complexité de la chose s'avérait n'être en fait que des tonnes de sentiments à ressentir et à partager, le recule avait été bénéfique même si j'avais eu des reproches. La réalité c'était qu'ils n'avaient pas compris que j'en avais eu besoin tout simplement, je réfléchissais toujours seul. En ostracisme avec mon propre esprit mais j'avais envie de dépasser ce stade même si j'avais des appréhensions. J'avais simplement peur de ne pas trouver ma place en réalité, les gens avaient plus d'impact sur moi que je ne le pensais mais personne ne l'avait réellement su. Je savais que je n'avais jamais été le genre de garçon à avoir des amis, mes seuls amis n'étaient autre que Damon, Auréa et Syd. Je n'en avais pas d'autre et ne faisait aucun geste pour en avoir d'autre. J'enviais les capacités communicatives de Sydney et d'Auréa, car ils étaient des personnes très attachantes, avec qui on aimait rire et partager du temps, moi-même j'aimais leur présent. Ils étaient importants pour moi et j'avais besoin d'eux pour me sentir entier. Je n'avais jamais eu d'autre famille, ils étaient tout ce que j'avais. Auréa m'avait demandé de dormir avec elle ce soir, je comprenais qu'elle ne veuille pas dormir seule et puis je ne pense pas que j'arriverais à la laisser seule de toute façon mais je n'avais pas répondu directement, elle m'avait emmené dans sa chambre, que j'avais vu quelques minutes plus tôt lorsque Sydney nous faisait visiter l'endroit. C'était un endroit paisible, les couleurs n'étaient pas agressives et elle correspondait à la personnalité d'Auréa. On s'était mis sur le lit et je lui avais parlé de tout ce que Sydney avait pu raconté au cours de cette journée à laquelle je ne voyais pas de fin pour le moment. Je ne soufflais qu'à cet instant que je partageais avec Auréa, j'espérais que Syndey et Kasey faisaient la même chose de leur côté. Les possibilités qu'Aaron me connaissent me semblaient inexistantes en sachant que je n'avais jamais vécu ailleurs que dans cet orphelinat londonien mais Auréa pensait que ce n'était pas impossible, ce qui m'intriguait vraiment. Je n'avais pas voulu en parler d'avantage et je savais qu'Auréa l'avait compris car elle avait changé de sujet en me disant que si j'acceptais de dormir avec elle, elle me prêterait la guitare de Milo, seulement j'avais retenu que sa chambre était fermée mais Auréa n'était pas le genre de fille à reculer dés les premières barrières, ce n'était pas une serrure qui allait l'empêcher d'avoir ce qu'elle voulait, je l'avais compris bien assez tôt.

Elle m'avait tiré jusque dans la salle de bain, ce que je n'avais pas très bien compris directement puis elle avait bougeait la table en verre qui se trouvait au fond de la pièce, je me demandais ce qu'elle faisait et en fait, il y avait une trappe en dessous de cette table mais je ne savais toujours pas ce qu'elle comptait faire. Elle m'expliquait que son grand-père avait fait ces trappes et que c'était un secret qu'elle partageait avec le garçon qu'ils appelaient Milo. J'en conclu qu'elle devait y être attaché mais s'il n'était pas là, c'était sûrement qu'il y avait une raison, je n'avais pas osé m'avancer sur le sujet après tout c'était le passé d'Auréa et si elle n'en parlait pas facilement, c'était sans doute pour une bonne raison. J'avais pris mon portable pour m'éclairer dans l'endroit où elle m'emmenait et elle avait fait de même, j'avais vraiment l'impression d'être un gosse lorsque j'étais avec elle, c'était comme profiter d'une enfance que je n'avais jamais possédé, ça me faisait du bien de me dire que tout ne s'oubliait pas et qu'il n'était jamais trop tard même si nous commencions notre vie d'adultes. C'était vraiment étrange cette trappe, elle était étroite mais Auréa savait ce qu'elle faisait, elle tapait sur le plafond et je ne sais pas pour quelle raison mais je m'étais retrouvé au milieu de toute sorte de vêtement, avec plein de poussière sur moi. Auréa avait rit tellement fort que je n'avais pas pu m'empêcher de rire avec elle, je l'avais aidé à se relever et elle éternua trois fois de suite, ce qui m'avait fait rire d'avantage. Maintenant qu'elle avait la guitare, on sortait de cet endroit secret et on retournait prés des autres. Je n'aurais la guitare que lorsqu'elle verra que je tiendrais parole, marché que j'avais accepté. L'extérieur était aussi apaisant que l'intérieur de la maison, je crois que j'allais me plaire ici, malgré le soleil dominant de la région et la chaleur qui faisait de l'été la saison la plus chaude de toutes. Lorsqu'on avait rejoint les autres, Sydney était dans un état étrange. Un saignement s'écoulait de son nez et il répétait de façon déterminée que Kasey était déjà venue ici auparavant. Je ne comprenais toujours rien à ce qu'il racontait. Puis il avait pris Auréa par le bras et s'était reculé de façon à lui parler plus personnellement. Il murmurait des choses au sujet de Damon, je savais qu'il était encore en colère contre lui. Contrairement à moi. Sa colère était lente mais plus douloureuse, la mienne était brutale mais rapide, j'avais déjà oublié que tout le mal qu'il avait fait m'avait touché. Sydney était blessé plus profondément et je savais que Damon devait lui parler, il l'aimait lui aussi. Damon avait besoin de Sydney et la haine ne pourrait pas les réunir. J'avais du mal à me faire à l'idée que leur amitié était en danger... Après tout ce que Damon m'avait dit au sujet de Sydney.

Il y a des choses qu'on ne pouvait pas juger, ni même commander. Damon perdait le contrôle et la réalité c'est qu'il devait se faire soigner, il ne pouvait plus continuer dans des circonstances pareilles. La drogue le dévorait et il le savait, tous ces changements d'humeurs et ces sentiments de faiblesse auquel il pensait pouvoir échapper l'enfermait à tel point qu'il pensait que c'était les autres qui l'enfermaient. Je ne savais pas quand il prendrait les choses en main mais je savais qu'il ne pourrait pas le faire seul. J'avais appris que son père était à New-York, il fallait qu'il l'aide, qu'ils cherchent une solution ensemble mais Damon était tellement fier et rancunier, tellement insaisissable qu'il ne supportait pas les règles, les conseils. Il pensait être assez fort et sûrement qu'il l'était mais il se trompait de chemin, Sydney avait raison. Damon déconnait grave mais je ne pouvais rien faire de l'endroit où j'étais et j'imagine qu'il était temps qu'il se réveille seul, je pense que c'était la meilleure chose à faire. Je savais que c'était lorsqu'il était seul qu'il reprenait le fil, qu'il reprenait le contrôle. J'étais pourtant soulagé car sa solitude était géré, par ses parents, par son frère. On lui faisait croire qu'il était seul pour qu'il coopère, pour qu'il se sente libre. Je supposais que son père savait ce qu'il faisait, du moins je l'espérais. Kasey semblait elle aussi un peu perturbée par tous les événements. Comme tout le monde. Elle était la seule que je ne connaissais pas vraiment. Sydney et Auréa étaient revenus auprès de nous et même si la situation encore une fois incompréhensible, je supposais qu'elle avait progressé sans qu'on ne s'en rende réellement compte. Je n'aimais pas ce genre de malaise et je n'avais pas envie de m'amuser de la complexité des gens et de leur façon de se comporter alors même si j'allais me ridiculiser, j'allais dire quelque chose de totalement hors sujet en même temps, je ne savais pas réellement ce qu'il y avait à dire.

- Hum. On fait quoi maintenant ?
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MessageSujet: Re: (-16) Black Smoke Attack   (-16) Black Smoke Attack EmptyDim 11 Juil - 3:34


Le chagrin véritable peut s'estomper avec le temps, c'était quelque chose d'immuable mais s'effaçait-il dans sa totalité pour autant ? Si notre vie était comme un livre, il serait raturé dans une totalité affolante, des passages brûlés, d'autres arrachés. Chaque mouvement du stylo sur le papier s'exécutera avec une certaine pesanteur, peut-être également avec vacillation. Des lignes repassées, d'autres merveilleusement bien écrites. Les pages arrachées bien qu'elles virevoltent de tous les côtés, font parties de ce livre, elles ne sont pas à jeter, ni à durer dans une éternité. Il faut apprendre à réécrire sur une nouvelle page, de nouveaux chapitres saignants d'encre bleu ou dégoulinant d'une prospérité certaine. Un livre maladroitement calligraphié, ces livres se ressemblent tous... tous.

Mes narines étaient dilatées, son odeur venait me chatouiller discrètement.. Tout comme elle l'était, c'était comme avant. Cet avant était une part de bonheur que je n'avais certainement pas méritée, Alice était différente de toutes ces filles que l'on pouvaient croisées dans la rue. Elle regardait souvent le sol hors que ces prunelles ne méritaient uniquement que le ciel. A un moment de notre relation, j'avais ouvert mes mains pour voir ce qu'il y avait dedans. Je n'avais plus rien à lui offrir, la vie que j'entretenais été beaucoup trop compliquée. Sans aucune stabilité, voyage a Paris, Tokyo en passant par Sydney.. Rien de bon pour elle. J'avais choisi ce mode de vie, c'était ma destinée de protéger ces secrets, mais ce n'était certainement pas à elle d'en souffrir. Elle était jeune, beaucoup plus jeune que moi. Le double de mon âge et elle avait toute la vie devant elle pour construire de vraies bases.


« J'ai aimée. »


Le silence vagabondait sur ses paroles terminées, un voile habillait sa voix. Je ne savais pas quoi dire. L'amour pouvait nous renforcer comme nous détruire. Je n'étais pas un être très doué sur ce sujet là, j'avais aimé quelques femmes, j'avais aimée Alice et cet amour était toujours présent au fond de mon thorax. J'avais aimée à en être détruit moi aussi, personne ne pourra jamais remplacer cette personne, elle est inoubliable. Demander à Alice d'oublier cet amour qu'elle a eut m'a parût stupide. C'était une rose aux épines qui s'enfonçaient dans les tissus de notre peau, c'était quelque chose de douloureux mais il fallait avancer, s'entendre à nouveau avec soi-même. Je la serrais contre moi, ces larmes s'attachaient contre moi. J'aurais aimé ne serait-ce que quelques secondes être un soleil pour sécher ses larmes comme il se doit. Je n'avais rien à lui enseigner de plus de ce qu'elle savait déjà mais j'essayais d'être là pour elle. Mes phalanges se brisaient sur son dos à sert de la serrer contre moi.





- Cette sensation que tu éprouves elle sera là, encore et encore.. mais sache qu'elle finira par s'estomper avec le temps. Ce qui te manquera le plus c'est de ne plus te rappeler de ce que tu ressentais avant, c'est beau d'aimer... ne l'oublie pas, n'en soit pas dégoutée. Laisse-toi le temps de reposer ton coeur .




Ce repos elle pouvait l'avoir ici, dans cette villa. En plus il y avait Kasey, Sydney, Hyde et Auréa qui étaient là.. ils avaient à peu prés le même âge, elle allait passer du bon temps si elle se l'accordait






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MessageSujet: Re: (-16) Black Smoke Attack   (-16) Black Smoke Attack EmptyLun 12 Juil - 19:11

(-16) Black Smoke Attack 28me3x0

    - Je veux que tu le sache que l'animosité de mes regards envers toi cache mon esprit tourmenté je le cache comme je peux . Tu sais c'est marques de toi sur mon âme sont rester tatoue un temps parce que ce n'était pas pour moi que l'histoire de deux corps qui se frôlent. Je sais pas , d'abord il y a eu l'écho de ta voix qui ne cessait de résonner dans les limbes de ce sentiments que je ressentais pour toi. Ton souvenir était beaucoup trop présent au creux de mon subsistent ces rêves furent sans doute destructeur vilipendant dans mon être tout entier. Je penses que j'étais amoureux de toi. Depuis Auréa, j'avais plus rien ressentie, je me contentais de vivre. Se souvenir des choses auxquelles on a tenu est vraiment insupportable tant de sentiments qui se mêlent qui se cache et qui se mente au bonheur de les avoir un jour vécus, c'est cette tristesse qui nous fait vivre, celle de les avoir perdu petit a petit . Tout ça maintenant sa me paraît inutile, je suis pas se genre de gars qui y arrive et t'es encore moins ce genre de fille dés que ça te touche tu fuis. L'attachement maintenant ca me paraît absurde, c'est de l'incitation à la douleur comme si on ce tué a petit feux parce qu'on s'attache et on devient dépendant des uns des autres et lorsque l'une des deux personnes vient a s'enfuir, on a cet impression que le monde s'écroule autour de nous. Peut-être que quand t'es partie sa a casser un truc, c'est pas de ta faute tu as pas a te sentir désoler, c'est arrivé. Se souvenir, ca fait mal et savoir que ceci vont être le ciment d'une nouvelle vie est pire parce que je me demande pourquoi je suis si déranger, mais la vraie question c'est pourquoi je ne l'ai pas été avant . Qu'est ce qu'on peut perdre en un fichu jour, en un instant en une seconds qu'est ce qui fait qu'on tienne le coup ? Tu mérite mieux .

    La voix de Syd dansait dans le vent, j'aspirais ses paroles, gravant ses mots dans mon esprit. J'étais partagée entre le soulagement et la douleur. Il m'avait confié son amour, il avait avoué m'aimer, m'avoir aimée. Je savais qu'en partant, j'avais détruit chaque pièce du puzzle. Ce que nous aurions pu vivre ensemble s'était éparpillé dans les airs quand j'avais fui. Je regretterais ce geste toute ma vie. Syd me manquait tellement, même si je me tenais en face de lui, même si j'étais plongée dans ses yeux tendres. J'aurais tout donné pour remonter le temps, retourner à cette période où nous étions tous heureux, ces années où l'amitié comptait plus que l'amour. Tout était si simple, comment avions-nous pu en arriver là? Pourquoi les événements nous avaient-ils mené à ce moment si douloureux? Syd me dévoilait ses sentiments et je me rendais compte que mon amour était partagé. Chacun de ses mots apportait une petite touche de chaleur à mon cœur gelé. Jusqu'à ce qu'il évoque le fait que nous ne pouvions pas être ensemble, que c'était impossible. Malgré mes envies, mes sentiments, je savais qu'il avait raison. Peut-être que l'amour n'était réellement pas fait pour moi, pour nous. J'étais lâche et égoïste, alors qu'il était l'homme le plus attentionné que j'ai jamais rencontré. Il énonçait des mots que j'aurais pu dire moi-même, l'amour ne servait à rien, la douleur le suivait toujours. À quoi bon tenter de partager son bonheur si cela résulte à le perdre? Toutes les pensées qui avaient pu envahir mon esprit avant sa réponse n'étaient que des illusions, au fond de moi je savais que c'était impossible. Pourquoi étais-je toujours partagée entre ces deux idées de l'amour, qui se battaient dans mon esprit? J'avais envie d'essayer tout en sachant que je ne me relèverais pas de cette chute. J'avais l'habitude d'être tellement confiante et sûre de moi, lorsque je me plongeais dans les yeux de Syd je ne me reconnaissais plus. C'était comme si mes sentiments me changeaient, nous savions tous les deux que je ne pouvais pas prétendre être une autre pour que nous y arrivions. Je n'étais pas cette femme, il l'avait dit lui-même. Nos sentiments nous transformaient, nous n'étions que des inconnus, des enfants. Je comprenais désormais que c'était une idée stupide, que le jeu n'en valait pas la peine. Tout cela n'était pas réel, ce n'était qu'une illusion, un mirage au beau milieu du désert.
    Il m'était impossible de détacher mon regard du sien, tout comme lui du mien. Nous partagions un moment unique, je le savourais de toutes mes forces, sachant qu'il s'agissait sûrement du dernier. Je n'avais pas eu la force ni le temps de répondre, je remarquai que le temps s'était stoppé. La nature s'était tue, le doux bruit du Sud ne murmurait plus, les arbres ne dansaient plus au gré du vent. Syd semblait prit dans une certaine transe, ses pouvoirs agissaient, mais aucun de nous deux ne semblait savoir pourquoi. Il perdait le contrôle, mais me fixait toujours. Inquiète, je ne bougeai pas, attendant que cela se termine. Avait-il une nouvelle vision? Allait-il enfin trouver ses réponses? Au bout de quelques secondes, Syd parvint à se ressaisir, ses pouvoirs l'avaient entièrement contrôlé. Il fut soudain excité, il était dans le même état que plus tôt dans la journée au Vatican.

    - T'es déjà venu ici Kasey. Aaron connait t'a mére, t'es déjà venue je l'ai vu.
    - Quoi?


    A peine avais-je eu le temps de comprendre que Syd s'était déjà éloigné, sans s'arrêter de marcher et de répéter que j'étais déjà venue. Il ne tenait plus en place. Je ne comprenais rien et il ne donnait aucune explication, j'étais perturbée, confuse, perdue. Auréa et Hyde vinrent nous rejoindre, Syd alla vers elle, lui chuchotant quelques paroles inaudibles. Je ne m'étais pas remise de notre conversation, mes sentiments étaient chamboulés, et cette vision, ou je ne savais quoi, n'arrangeait pas les choses. Accablée par tous ces changements, je m'assis sur le sol en attendant le retour de mes deux meilleurs amis. Hyde était tout aussi perdu que moi, je me demandais si sa conversation avec Auréa l'avait aidée à aller mieux. Je m'en voulais de ne pas avoir été là pour elle. Jallais prendre le temps de rester quelques temps avec elle, de lui tenir compagnie dans ces moments sombres. C'est ce que j'avais toujours fait, et ce qu'elle faisait pour moi. J'attendrais simplement que les événements se calment, j'étais fatiguée à cause du décalage horaire, de la folie qui régnait depuis quelques temps, depuis que j'étais revenue. L'Angleterre avait été si calme, je regrettais déjà tous ces immenses espaces verts et frais, les parcs fleuris, le seul bruit étant celui du vent. Ce fut un agréable changement. Les paroles de Syd résonnaient encore dans mon esprit, je n'arrivais pas à oublier ce regard que nous avions partagé. Je savais pourtant que j'allais devoir mettre mes sentiments de côté pour le moment. J'avais besoin de me calmer, le temps passait trop vite. Auréa et Syd revinrent au bout de quelques minutes, durant lesquelles je n'avais aucune idée de ce qui s'était passé. Je me relevai, évitant le regard de Syd, attendant que quelqu'un d'autre prenne la parole. Ce fut Hyde qui brisa le silence.

    - Hum. On fait quoi maintenant ?

    Une excellente question qui entraîna cependant un nouveau silence. Je n'en pouvais plus de ce malaise, je me sentais mal d'être aussi impuissante. Le poids de l'incompréhension et de la déception pesaient bien trop lourd. Sans dire un mot, je m'éloignai du groupe. J'avais besoin de solitude afin de remettre mes idées en place. Je n'étais plus moi-même. L'amour me changeait, je détestais cela. Je me sentais rejetée et seule, à cause d'un sentiment destructeur. Je devais absolument me ressaisir, j'étais en train de me plier aux règles et c'était loin d'être normal pour moi. C'était moi qui les créais. Je sortis un paquet de cigarettes de mon sac, je détestais fumer mais cela m'aidait tout de même à me détendre. Je les gardais pour de telles occasions. J'en allumai une puis commençai à la consommer, espérant que Syd ne vienne pas. Il fumait souvent et à chaque fois que je le voyais faire, je lui criais d'arrêter, lui affirmant que ce n'était pas bon pour lui. Il savait que j'avais raison mais il refusait toujours de stopper. La fumée s'éloignait dans le vent, je la regardais disparaître. Tout comme moi, elle volait tranquillement avant de s'abattre. J'avais envie de redevenir l'adolescente que j'avais été; à chaque fois que j'étais dans un tel état, que j'allais mal, je me rendais dans une boîte de nuit ou je m'incrustais dans une fête. J'emmenais Auréa avec moi et nous dansions toute la nuit, profitant de quelques verres ou d'un peu de drogues. Ces années me manquaient tellement, j'aurais tout donné pour y revenir. Nous étions inséparables, osant n'importe quoi et défiant l'autre. Désormais j'étais follement amoureuse d'un homme qui ne voulait pas être avec moi, et même si je savais que c'était le bon choix, cela me brisait le cœur.
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Sydney Ian Moon
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MessageSujet: Re: (-16) Black Smoke Attack   (-16) Black Smoke Attack EmptyVen 16 Juil - 19:11


(-16) Black Smoke Attack Kaseysyd

Ma famille s'était dérobé en quelques seconds me laissent seul. J'avais pensé qu'il s'agissait d'une dépendance un peu malsaine. Une pause que je voulais prendre mais en réalité je n'étais toujours que cet adolescent de dix-neuf ans maniaco-dépressif lucide et révolté croyant habité sur une île aux météores esquivent les moindres attaques. La pâleur de ma colère s'échauffait comme le métal brute passent par toutes les température de couleur, ne pouvant ce calmer sans une raison tangible. Mes nerfs s'adonnaient a un feu d'artifice dominateur de sang, le ciel allait saigner si je ne me calmais pas. J'avais pensé beaucoup trop fort, un flot de sang sortait de mon nez. C'était mon don de volonté qui fessait effet, j'avais pas souhaité saigné du nez. Hyde et Auréa débarquèrent dans le jardin en me regardant comme un illuminé, un regard dont je m'étais maintenant accommodé. Je pris Auréa par le bras l'emmenant un peu plus loin Aaron avait toutes les raisons du monde de lui en vouloir a Damon. Je pouvais affirmé que dans ma vie j'avais rencontré beaucoup d'esprit capables de stocker et transmettre de vastes quantités d'informations, mais cependant ils peuvent resté ceux qui son dénués de la moindre parcelle de sagesse et demeuré par la même occasion insensible à la passion. Damon a notre rencontre était parfaitement sensible à cette passion et je savais pas si cet passion resté intacte, il jouait. C'était uniquement ce que je voyais comme une épreuve pour lui, un fardeau qu'il portait dont j'étais le maladroit spectateur. «  Aaron il a fait le bon choix Auréa, il allait pas te laisser avec Damon qui commence a déconner grave, c'est qu'un putain d'égoïste » mes mots pesaient en moi jusqu'à un déséquilibre. Sans le faire exprès je transportais Auréa avec moi dans ces propres souvenirs. Une connections d'un regard perdu qu'elle m'avait lancé et j'avais osé l'attraper.



L'homme debout : «  tu veux que je l'appel ? »
La jeune fille dans le lit : «  Je m'en fou »
L'homme debout : «  Auréa... C'est pas une réponse »
La jeune fille dans le lit : «  Fait comme tu veux, ca m'est égale qu'il le sache ou pas »


Bordel, pas ça... pas dans cette état, pas comme ça. Une jeune fille au teint de perle était lié a un lit d'hôpital c'était Auréa, mon Auréa celle de mon adolescence, celle que je considérais sans crie égare comme une beauté immaculé de toutes défauts et a vrai dire je la considérais toujours comme cela. Ces traits immunisées les moindres secrets touchant le paradis de la ou elle était. Je la voyais couverte d'équimauses, rien que parce qu'elle sacrifié toutes ces envies pour nous. Elle souffrait pour nous, emmagasinant chaque douleur que l'ont avait, la refoulant sur son propre corps. Je prenais conscience qu'a cette époque la, j'étais également responsable de sa perte et qu'Auréa dépendait totalement du bonheur de ceux qu'elle aimait. Quand ils tombaient dans un troue noir, elle s'y jettais en laissent satan la hanter. Elle me semblait possédé, étrangement absente. Je comprenais ce qui se déroulait... Aaron parlait d'appeler son pére. Elle aussi avait eu cette absence , un creux dans son coeur qui ne sera jamais comblé. La Auréa du présent, me supplia de partir d'ici.. J'étais pas maître de mes pouvoirs et encore moins de mes émotions. J'embrassais son front, je voyais les cathéter planté dans sa gorge et les marques de perfusions arraché. Sa main dans la mienne, je comprenais que j'étais de plus en plus inhumain... de plus en plus détaché de moins en moins moi. Le fait est qu'elle ne retombe pas dans ce cercle après son amnésie, c'était que Damon la soigné. Je savais pas comment, mais il la soigné. Il arrivait a faire ce que j'étais incapable de faire, il comblait ces plaies sans s'en rendre compte. Je me détachai pour ne pas tombé de haut et elle s'était tout le contraire. La peur qui m'habité pour elle s'était tout simplement que Damon la laisse comme je l'avais laissé ou qu'il est peur de cette attachement qu'elle lui porte.

« Comment ? Pourquoi ? »

« Sydney quand tout ce mélange dans ta tête, que tu es seule, jeune, et perdue... tu sais pas bien ce qui ce passe. Tu te trompe de chemin.. C'est ce qui sait passé pour moi, c'est ce qui sait également passé pour Damon. Il se droguait et il est tombé dans un troue immense, seul. Personne pour le guider, personne pour le stoppé son pouvoir la pas aidé... Il peut tué par la pensé mais il a grandit et j'ai grandis je suis plus la petite fille dans ce lit. Je le laisserai pas retourné dans ce néant. Il y arrivera et si il perd pied je le stopperai, crois moi. Je sais que tu es en colère, parce que tu l'as pas vu mais Sydney tu peux pas tout voir, parfois il faut savoir accepter les réponses qui sont devant nous. Fait moi confiance, s'il te plaît. Je pense qu'il a peur de ce qu'il a était c'est pour ça qu'il a mentie. Pour pas nous faire effrayé. C'est comme ton frére, il t'a pas laisser tombé quand tu étais seul, le laisse pas. Il a besoin de nous. Il a toujours cru en toi jusqu'à maintenant, lui fait pas faux bon...»

Il avait pas besoin de moi.. il avait besoin que de lui même une nouvelle fois. Et quand bien il aurait besoin de quelqu'un il avait le choix. Il souffrait de haine montante tuante, et pour se soulagent il avait besoin de sa drogue. Je souffrais de narcolepsie je ne voyais pas comment le fait d'étre la pouvait changé les choses. Il me l'avait déjà dis, pour lui je n'étais rien. Il n'était pas la pour moi, il n'avait pas été là quand mon pére était mort il s'était enfuie en Russie. Je donnais, juste parce que les étoiles dans les yeux d'Auréa ne fessaient que se brûler. Ma gorge était lié, je la voyais ce battre avec une telle transparence.. Elle voulait simplement être vu, simplement être entendu. On passait a coté sans la voir, elle ne méritait pas celà. Elle criait sa douleur a travers son corps, et moi je n'étais qu'une boite de pandore sanglante lié aux silences. Je pouvais être si heureux aujourd'hui, j'avais pu trouvé des amies. Ils sont dans ma tête, c'était l'idée que je me fessais d'eux qui ne fessait que respirer de temps en temps. Ce que je pensais me paraissait scatologique a cause de mon manque de personnalité, ou mon exés de personnalité. Il fallait être amer comme il faut pour que ces pensées et il est certain que je ne rencontrerai jamais quelqu'un qui soit en phase avec ça. Peut-être étais-je bipolaire? Plus rien ne m'étonné sûrement accablé d'avance par une réalité au nectar vénéneux.

Mes visions qui ne fessaient qu' augmenté en intensité et en fréquence me lubrifiant le cortex cérébrale. Tout défilé devant moi s'était affolent de ne plus avoir le contrôle de son corps. C'est la que New York me manquait, paisible N-Y... La journée je sortais souvent avec mon appareil photo me posant sur un pont. J'admirais ces voitures défiler, dans l'ombre et à la tombé de la nuit ces phares qui m'explosaient aux yeux, la lumière était a l'unisson avec l'air qui s'accumulait dans mes bronches. Mes muqueuses se dilatèrent doucement, lentement suivant les six cordes, les vingt-quatre notes qui se répétaient sur la même gamme de dix, basé sur quatre temps dans mes oreilles. Les personnes rentraient de leurs travail allant retrouvé leurs petite famille bien tranquille, leurs chien et leus télévision. Ils étaient heureux ? Ils avaient un style de vie confortable. Pourquoi je n'y arrivais pas.. pourquoi cette case était quelque chose d'impossible pour moi. J'aurais aimé soigné cette case pour Kasey mais soyons réaliste... étais-je capable d'aimer a nouveau ? Kasey était partie au loin, j'en savais rien si j'étais la bonne personne pour aller la voir. J'allais encore tombé dans un état semi-hypnotique, a croire que j'étais malade de mes propres symptômes. Quand je repensais a nous tout les mots qui me sortait c'était ombre, sexe, déséquilibre. J'étais pas quelqu'un de saint encore moins lumineux, j'étais ombrageux jusqu'à en bouffer le moindre os, je me cachais pas c'était juste qu'on ne me voyais pas comme ça. Le sexe se résignait maintenant a une évasion sale et certainement surestimé.

Mes pensées devenaient tranchante et pouvait abîmé tout le monde. C'est certainement pour ça que je les fessais tair. J'étais beaucoup trop franc, sa me causait beaucoup de problème. Je me souviens même que lorsque ma mère m'avait inscrit au solfège ma franchise m'avait causé un tord mémorable. Je m'étais jamais emmerdé a apprendre le solfège. Je n'avais jamais lu une partition sa m'ennuyer et honnêtement j'en trouvais pas l'interet. J'attendais tout simplement quelques heurs que mon camarade qui se trouvé a mes cotés eu fini d'apprendre les premiers partition et je limitais. Pour finir j'avais été viré des cours et pourtant je savais les partitions par coeur, les sons s'assosiés avec une facilité mais je ne savais pas les lire. J'avais tout avoué sans m'en rendre compte, l'inutilité d'apprendre quelques choses par coeur sans le comprendre. Je ne savais pas, mais je comprenais. Je regarde et je sais faire. Je suis un analphabète de la musique Do Ré Mi les tempo s'apprennent en rythme et je préférais resté comme ça. Je ressemblais a mon père, ma mère ne fessait que me le répéter. Elle m'avait découpé un petit article déchiré dans un journal jaunis et elle me l'avait déposé au coin de la table. Je lisais sans trop d'appréhension, mon père je le connaissais pas “ je pensais faire savoir au monde à quel point j'aimais les gens. Je pensais vouloir créer quelque chose que j'aurais personnellement envie d'écouter, parce que grande partie de l'art mondial craint au-delà de toute description. Et pourtant je trouve que juger est une perte de temps. Et qui suis-je pour me hisser au rang d'autorité certifiée quelqu'un qui aurait le droit de critiquer. Je suppose que d'une certaine façon, quiconque ayant suffisamment d'ambition pour créer et non déprécier mérite le respect. Il y a ceux qui possèdent un formidable enthousiasme et, terriblement prolifique. Ensuite il y a ceux qui passent des années à étudier les oeuvres des autres parce qu'ils n'ont aucune chance au monde de produire quelque chose qui soit traversé de la moindre étincelle de talent. Ouai, le talent... mais comme je l'ai dis nul ne devrait être privé du privilège de créer et la plupart des gens n'ont certainement pas besoin d'être déstabilisés par la peur d'apprendre que leurs accomplissements sont meilleurs ou pire que les autres. Ils sont capable de s'en rendre compte par eux-mêmes. Foutez-moi la paix. Love Kurt” Le réalité empirique qui s'écoulait de ces mots auraient pu tout a fait être la mienne. Peut-être qu'il existait encore en moi, j'en savais rien. Je me fessais sans doute passé pour un ennemi pour infiltré la mécanique d'un coeur et le pourrie de l'intérieur. J'avais cette nausée brûlante familière qui rongé l'estomac. J'étais en manque d'une drogue que je n'avais jamais pris. C'était sans doute parce que j'avais osé parler avec mes sentiments.

Hyde avait demandé ce qu'on fessait maintenant, j'en savais rien. J'étais un être abjecte et si je savais réellement quoi faire, je me serais endormie laissent le mal qui nous réveille s'éteindre seul. J'avais envie de courir pour me ressourcé dans une terre d' oblivion. Si je laissais l'italie être ma terre d'oblivion pour un petit instant? J'avais le choix, prendre ma voiture et partir, ou resté pour voir si j'allais m'apaiser. Je n'étais pas un être posé, j'étais un hyperactif qui voulait gratté le ciel et enfin je n'avais pas d'avis parce que j'étais d'accord avec tout le monde. Kasey était là-bas, j'étais a quelque metre d'elle, c'était mieux ainsi parce que en une nuit de chasse aprés moi même, je lui avais brisé des espoirs. C'était comme ça c'était mon coeur qui crié aprés une revanche déjà morte. Elle pouvait m'en vouloir, me giflé, elle avait parfaitement raison de le faire. Je n'attendais pas aprés un prophète qu'il me dise ou aller, je savais où aller qu'est ce que je devais faire. Je ne savais juste pas avec qui y aller. Seul? Ca n'avais pas d'intérêt de ne pas partagé ce que l'on vivait. Je croyais à la lumiére qui dépasser les nuages et qui crié au soleil de s'éteindre. Je ne pris pas la peine de répondre a Hyde, j'avais quelques chose a faire avant cela. Je m'approchais de Kasey sans un mot, elle fumait, sa lui allait pas du tout. Je fessais mal en réalité et je pense que c'est ce qui me fessait continué d'avancer. Je prenais sa clope malgré une petite résistance de sa par. Je la regardais, elle ne voyait donc pas ce que j'étais réellement ? Mes cérémonies de pensées lancinante d'un déséquilibré. Je m'emparais de son dos, traversent sa colonne vertébrale comme pour crée une autopsie de son corps, je la prenais contre moi et je posais mes lèvres venimeuse contre les siennes. Lui injectant mon poisson inconsciemment. Je jouais avec sa langue lui donnent toute les confessions qu'elle pouvait avoir, tout était là.

J'avais sa cigarette a la main, et a vrai dire je pensais que c'était un stylo tellement je la fessais tourné atour de mes doigts, comme un changement mécaniquement. On me donnerais aucune réponse, aucune tout le monde m'enferme un bocal me donnant que des bulles d' oxygène de temps en temps pour pas que je crèves en salissent le tapis. C'était quelques chose d'héréditaire ? J'avais sans doute épuisé les ressources de tenir une conversation normal depuis l'age de neuf ans. Incapable de parlé correctement, pourquoi je l'avais fais avec Kasey, j'en savais rien. La lune venait naître dans le ciel, un voilage violacée venait s'étendre comme si on changer les rideaux de la fenêtre, moi je voyais un rideau de fer qui refléter les lueurs de la lune. En réalité, j'étais incapable de parler, je pouvais juste ressentir. Quand j'essayais de parlé, on me censurais sans doute que je droguais mes interlocuteurs avec mes paroles et il s'en grattait le cerveau a sang pour comprendre ou alors ils s'étaient endormi avant que j'eus fini ma phrase... c'est dur d'avoir neuf ans. Génant, blasent du a une persévérance pseudo-communicatif, illuminé cherchant la vérité on pouvait le voir comme ça. J'étais dans une école privé adolescent on me posait comme question en cour de culture religieuse « tu voudrais pas savoir ce qu'il y a aprés la mort ? » J'avais répondu a cette adolescent, oui c'était les éléves de niveau supérieur qui nous donné nos cour « si tu veux savoir, enfile un parachute grimpe sur un building, injecte toi un narcotique dans les veines et la seconds d'après prend du lithium, et saute  ou autre option possible, immole toi.  Et puis tu me racontera aprés ce qui se passe. » Il est claire que je vois les choses sans style, j'ai encore la perspective d'un lycéen qui c'est arrêter a sa seconde. A cause d'Aprilia, j'avais pas pu finir mes études, bon de toute façon étant un autodidacte elle ne m'aurait pas servie a grand choses. Le voyage m'avait donné un creux dans l'estomac, je n'attendais pas la réaction de Kasey, pour répondre enfin a Hyde.

-J'ai la dalle, pas vous ? Un feu de camps prés des équries sa vous dit ?

Ils avaient tous acquiescer de la tête, ne comprennent certainement pas pourquoi j'avais embrasser Kasey, ca m'était égale. Mon impulsivité parlait a ma place. Je prenais de quoi faire du feu et j'allais prés de la grange. J'aimais bien cette atmosphère de vacances, libératrice momentané. Je préparais le feu en attendent que les autres se raméne. C'était paisible, j'aimais ça. On allait sans doute passé une bonne soirée loin de toute ces conneries de mensonge qu'on nous servait sur des plateaux.

Spoiler:


Dernière édition par Syd Moon le Ven 29 Oct - 0:14, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: (-16) Black Smoke Attack   (-16) Black Smoke Attack EmptySam 17 Juil - 1:19


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L'opale mélopée de ces yeux d'azures étaient imprimés dans mon esprit combiné a son teint d'osmanthus ne fessait que ce reflété dans mes paupières oui, encore et certainement encore et encore. Sans doute que cela se répéter en moi, ou mes pensées devenaient d'une monotonie étrangement plaisante. Je me battais malgré moi même contre la passivité de mon corps, ce corps humain truffé d'automatisme traître a notre état d'esprit. Le langage du corps soufflait le langage de l'âme et la mienne était malade, même si j'avais la chance d'avoir Hyde a mes cotées. Damon me manquait, je posais encore des réflexions sur sa vie mutilée dont je n'étais sans doute pas apte a comprendre. Il ne me laisserai pas le connaître, il me laisserai pas comprendre. Il orchestrait son mal-être avec une tel discipline que son autonomie cinglante m'avais value a plusieurs reprise d'être rejeté. Que l'on tous les deux qu'il me donne la valeur que je lui donnais, cette valeur qu'on donne a quelqu'un qu'on aime a s'en sacrifié, simplement m'apparaissait presque comme une chimère malgré les encouragements d'Hyde. Le silence trop long qu'on nous imposait laisser des traces sur les membranes de mon coeur, je m'en plaignais pas, il me fessait vivre d'une certaine façon seulement il recouvrait mes organes vitaux et bientôt j'allais m'en éttoufé. Je fatiguais de traversé ces limites qui n'était réelle que si on les voyaient. Fatigué d'être mise à l'écart, comme avant. Plus j'avançais, plus mes pas en avant me courbais contre le sol. Je restais la petite fille qui n'existait que si on la voyait. J'avais qu'une seule chose qu'on brise se silence, ce fichu silence que je détestais.

– Hum. On fait quoi maintenant ?

Je ne savais pas ce qu'on pouvait faire ici, je n'avais pas envie d'être ici... je songeais encore et encore. Il y avait cette opposition qui nous unisait, nous interrogent sur le rapports de pouvoirs. J'étais asymétrique à lui et pourtant ce n'était que dans ces bras que je sentais un fil m'attachaient a son coeur. Il avait certainement du crier de douleur, j'avais certainement dû le brûler en m'imposent. A savoir s'il allait cédé sous le poids des inconvénients. Je l'aimais, oui il n'y avait aucun doute la dessus. J'avais simplement peur de ce qui allait ce passer. Je voyais Syd embrasser Kasey, je ne comprenais pas s'il était ensemble ou pas. Kasey était ma meilleur amie j'espérais bien qu'elle allait ce confier a moi sur ce qui se passait réellement entre eux. Je donnais la main a Hyde, la température de sa peau était semblable a celle de Damon. Je la serrais, je ne savais pas de se qu'il en était pour lui. Hyde me ressemblait parfois, oui, il se laissait s'éteindre parfois. Ils nous restaient sans doute la foi, celle qui était comme l'électricité, celle qu'on ne peut pas voir. Les milliers d'atomes qui se frissonnent les uns ou au autres afin de crée une énergie. On ne peut pas la voir cette énergie et pourtant on voit la lumière. La lumière disparaissait laissent place a la lune, un astre mort qui ne fessait que refléter la lumière solaire, sans doute que mon apathie qui montait me rendait aussi morte que cet astre montant. Syd revenait vers nous, d'un pas qui ressembler a celui d'un hyperactif et Nemo le suivait au pas. Il était monté dans la voiture lorsque nous étions partie des états-unis. Je m'y étais attaché a cette petite bête prise en otage par Aprilia.


-J'ai la dalle, pas vous ? Un feu de camps prés des écuries sa vous dit ?

Demain, c'était l'anniversaire de Kasey... elle était née le 18 Juillet et je n'avais pas encore trouvé de cadeau. Tout avait était trop vite après la fête, Damon, l'italie. Tout c'était enchaîné avec une telle rapidité. Il fallait que je trouve quelques chose, on allait passé la nuit autour d'un feu de camps et célébré son anniversaire. J'aimais bien les feux de camps, sa me donné l'impression d'être une indienne. J'avais cette fascination pour les cultures étrangère, moi-même j'étais issus d'un melting pot originale, ma mère avait des racines égyptienne, mon père italienne, moi j'étais de nature anglaise et mon coeur était pris par un anglais aux racines Russe. J'aimais le teint de peau des indiennes, les peaux rouges, j'en étais jalouse. J'avais pas de cadeau et je devais réfléchir a cela assez rapidement... c'était tout de même ma meilleur amie après toutes ces années d'absence on se retrouvais enfin... ca devait être une soirée mémorable.

– Les écuries , Athéna.

Je la murmurais dans un présipice Ah, les écuries le haras, j'avais presque oublié qu'il avait quelques chose de chére a mes yeux ici. Syd partais tranquillement chercher de quoi faire le feu de camps. Ma main tirai celle d'Hyde et je l'emmenais avec moi. Je courrais presque dérriere la villa, me dépêchant, « J'espère qu'ils sont encore là. ». On arrivais aux écuries, j'allais directement au fond la ou elle était toujours. Son box était vide... elle n'y était pas, c'était impossible. Comme les boxes étaient assez grand je me sur-élevais pour voir s'ils étaient tous vide. Mon regard s'effondrait dans chacun d'eux jusqu'à ce que je vois un manteau blanchâtre qui dépassé de l'un d'eux. C'était Orchid, le cheval de Milo qui était la, j'ouvrais le boxe avec difficulté tirant la veille porte en bois qui s'effriter. Je m'approchais de ce roi fainéant, un pur sang arable blanc pur, il avait été simple a dompté. Il était calme et obéissent, petite j'avais fait mes premiers cours d'équitation jusqu'à ce que Athéna arrive, elle était sensé être pour Milo mais impossible pour lui de la monté. Hyde semblait perplexe, je ne savais pas s'il aimait les chevaux. Orchid était comme un empereur, il avait cette beauté royale qui le monté d'un rang avec son air amorphe de faux semblant. Lorsque l'on fessait des courses, il jetait ce coup d'oeil narquois, avec sa désinvolture lymphatique. Je posais mon front contre son encolure, il était doux sa m'appasais.

– Je te présente, Orchid. Et Athéna ne devrait pas être très loin ...

Je regardais un peu partout laissent Hyde avec Orchid, je me hissais vers la fenêtre la voyant dehors. Elle était là, ma jument elle était entièrement noire l'opposé de Orchid, elle était d'une nature sauvage. Un pur sans Arabe également noire, les plus rares. Je m'abîmais a chaque fois que je regardais ses yeux sans fond. Elle était fiére, méfiante, la plus compliqué des juments, la plus sauvages et pourtant celle a qui je m'étais attaché le plus. Il fallait juste savoir s'en approché pour qu'elle vous accorde le droit de la monté. Je ne savais pas si après tout ses années j'allais réussir a quoique ce soit. Je traversais l'écurie pour me retrouvais dehors. Je passais la barrière, je ne savais pas ou Hyde se trouvais. Je la regardais, cette force de la nature elle était fière, aussi indifférente qu'une cathédrale elle restait a brouté de l'herbe sans faire mine de remarqué ma présence. Elle m'avait vue je le savais, elle jouait juste l'indifférente. Mes pas de cotons la réveilla sans doute puise que son regard tombé dans le mien. Je m'approchais et je caressais doucement la pointe de son épaule, ces naseaux se rétractèrent. Je lui chuchotais que j'étais revenu. Je restais ainsi quelques minute puis je la ramenais vers les boxes. Je rejoignais Hyde toute souriante lui présentant ma jument. Serte ce n'était pour certain qu'une jument caractériel, mais en réalité elle était beaucoup plus que ça. Elle était un mystére, elle était nerveuse a la présence de Hyde et elle le fessait savoir par des coups de queue et ces couronnes qui s'excitait. Il était plus sage de sortir on rejoignais Syd qui préparais le feu et Kasey qui ne tardé pas a nous rejoindre. J'étais curieuse de savoir ce que Hyde pensait de tout ça, d'ici, il devait être assez perdu ou j'en savais rien. Je me mettais entre ces jambes en le regardent avec instance.


Dernière édition par Auréa Eden le Ven 23 Juil - 19:52, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: (-16) Black Smoke Attack   (-16) Black Smoke Attack EmptyDim 18 Juil - 2:22

Il me suffisait de penser à lui pour qu'il vienne. Quelques secondes plus tôt, des centaines de souvenirs de mon adolescence avaient refait surface dans mon esprit. Le visage de Syd était ancré dans mes pensées, il s'approcha de moi comme s'il les avaient lues. Je savais qu'il n'allait pas aimer le fait que j'étais en train de fumer, je n'étais pas sûre d'apprécier non plus. Le poison de cet objet inutile envahissait mes poumons, je n'aimais pas réellement cette sensation, mais elle m'apaisait quelque peu. Syd me regarda quelques secondes, je tentais du mieux que je pouvais d'éviter son doux regard. J'avais peur de retomber dans ses bras à cause d'un geste, d'une pensée. Il m'était interdit de me laisser tenter. Je ressentais cet amour au plus profond de moi-même, mais je devais y résister. Syd tenta de s'emparer de ma cigarette, je ne voulais pas qu'il me prive de ce petit plaisir. Je voulais sombrer dans la déchéance, me laisser aller parmi les ombres, m'enfoncer seule dans une spirale de terreur. Vivre sans pouvoir être avec celui que j'aimais était comme une torture. N'importe quel enfer aurait pu être plus plaisant.. Syd parvint tout de même à me l'arracher. Que cherchait-il? Pourquoi était-il venu? Il me fixait toujours, de ce même regard insistant qui me paniquait. Je ne pus résister, je me plongeai à nouveau dans ces yeux. Je ne comprenais pas ses intentions, il m'était impossible de lire ses expressions. Sans dire un mot, il promena ses mains dans mon dos, je me laissais aller dans ce bonheur qui m'envahissait. Ses lèvres touchèrent les miennes, je me sentis revivre sous l'effet de ses caresses. Nous partagions un baiser passionnel et sensuel, c'était un instant parfait. J'aurais tout donné pour qu'il dure à jamais, pour que je puisse être pour toujours dans ses bras. Le temps s'était arrêté autour de nous, je n'étais plus consciente du monde. Je profitais de ce moment comme s'il j'allais mourir ensuite, comme si c'était la dernière seconde que je pouvais partager avec lui. J'avais l'impression de pouvoir lire son âme, ressentir ses émotions, j'étais liée à lui à jamais. L'amour que j'éprouvais pour lui était si fort que je pouvais en mourir, j'aurais donné ma vie pour lui. Pour cet homme qui envahissait mon cœur depuis tellement de temps, depuis toutes ces années. Autrefois, il m'était impossible d'imaginer que j'aurais la chance de vivre cet instant près de lui. Lorsque Syd était avec Auréa, j'étais persuadée qu'ils resteraient ensemble pour toujours. Que rien ne pourrait jamais les séparer. Mais la vie en avait décidé autrement, Aprilia avait changé nos destins et nous avions été séparés brutalement. Était-ce si horrible de remercier cet enfer de m'avoir offert ces quelques instants auprès de Syd? Je ne savais plus quoi penser lorsque j'étais avec lui, lorsque je l'embrassais. Je n'étais plus moi-même, mais j'aimais cette nouvelle personne. J'admirais cette capacité que Syd avait de me changer radicalement, de me faire comprendre que l'amour n'était pas quelque chose à éviter, comme je l'avais souvent fait. Lorsque notre baiser prit fin, je me rendis compte que le bonheur était parti, s'était évanoui dans les airs. Cet instant de plaisir s'était achevé trop vite, désormais j'allais devoir avancer, oublier. Vivre avec ce que je ressentais sans pouvoir l'exprimer. Cela me semblait impossible, et pourtant je me connaissais assez bien pour savoir que j'allais y parvenir. Cela me prendrait du temps, peut-être même des semaines, mais j'allais vite redevenir moi-même. Une jeune femme n'ayant jamais peur de rien, jouant avec les autres, manipulant à ses désirs et obtenant tout ce qu'elle voulait. Bientôt, l'amour ne serait plus qu'un vague souvenir, un sentiment dont je me moquerais facilement.

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Le temps avait passé tellement vite, je ne m'étais pas rendue compte du changement radical du paysage. La nuit était tombée et la lune éclairait la villa de ses rayons d'argent, quelques étoiles commençaient à briller dans l'obscurité. Syd s'était éloigné très vite, je n'avais pas eu le temps de parler, ou de réagir. J'étais immobile, tournant le dos au groupe. Je sentais des larmes qui essayaient de s'échapper, mes yeux brûlaient. Je n'avais pas le droit de pleurer, je m'étais jurée de ne jamais le faire pour un homme. Il me suffisait d'être heureuse d'avoir pu passer quelques temps auprès de Syd. Cela aurait pu ne jamais se produire. Je répétais cette phrase dans mon esprit quelques fois, avant d'enfin rejoindre les autres. Auréa me regardait, l'air confus, elle devait se demander ce qu'il se passait entre Syd et moi.. Je lui devais une sérieuse conversation. Nous n'avions pas vraiment eu le temps de parler depuis que j'étais revenue, et elle me manquait. Elle était ma meilleure amie, elle comptait plus que tout à mes yeux, je ne voulais pas que la flamme qui animait notre amitié s'éteigne, je devais y ajouter des étincelles, ce que j'allais faire. Elle était la personne à qui je me confiais le plus, en qui j'avais une confiance folle. Je lui adressai un petit sourire complice, elle savait ce qu'il signifiait. Il exprimait tout l'amour que je lui portais.

- J'ai la dalle, pas vous ? Un feu de camps prés des équries sa vous dit ?

Syd savait vraiment comment nous remotiver. Son idée était parfaite, nous allions profiter de la nuit, ensemble. J'allai chercher du bois pour l'aider, après m'être rendue près des écuries. Auréa se rendit vers les chevaux. Elle m'avait déjà parlé de sa jument, Athéna, je savais ce qu'elle représentait pour elle, elle aimait se rendre près d'Athéna lorsqu'elle se sentait mal. Elle ne tarda pas à revenir près du feu, qui s'allumait lentement, accompagnée de Hyde. Je m'assis sur l'herbe fraîche, près du bois, Syd fit de même. Nous étions réunis sous les étoiles, autour d'un feu naissant. Cela me rappela le jour où Auréa, Syd et moi nous étions rendus en forêt, pendant les vacances d'été. Nous avions décidé de camper un jour d'éclipse, afin d'admirer ce phénomène entourés par la nature. Allongés dans un coin où les arbres n'étaient pas présents, nous pouvions distinguer le ciel du plus bel angle qui soit. Cette journée avait été l'une des plus belles de ma vie. Nous étions restés ensemble, en silence, observant le ciel. La nuit tombée, nous nous étions endormis à la belle étoile, Syd s'était amusé à nous effrayer en faisant disparaître les sacs, il avait marché autour de nous, faisant bruisser les feuilles, caché par les arbres. Auréa et moi avions eu la peur de notre vie, croyant que certaines histoires de fantômes que nous avions partagés plus tôt dans la soirée allaient se réaliser. Lorsque Syd avait enfin décidé de se montrer, nous avions énormément rit, n'en voulant pas à Syd de nous avoir totalement paniquées. Je chérirais cette nuit pour le reste de ma vie.
Auréa brisa le silence au bout de quelques instants. Elle nous fit remarquer qu'il allait être minuit dans une vingtaine de minutes.. Un instant important, surtout pour moi. Le lendemain, le dix-huit juillet, j'aurais officiellement vingt-deux ans. J'avais du mal à y croire, le temps était passé trop vite. J'étais l'une de ces personnes qui adoraient fêter leur anniversaire. En effet, j'étais toujours au centre de l'attention, je recevais des tonnes de cadeaux; mais plus important encore, je passais du temps précieux avec mes proches. J'étais toujours éveillée avant minuit, chaque dix-sept juillet, rien que pour avoir le plaisir de recevoir beaucoup de « Joyeux anniversaire » en quelques minutes. À minuit, je sautais partout, comme une folle, réveillant tout le monde et criant que c'était ma journée. Un sourire se dessina sur mes lèvres lorsque je repensai à tous les anniversaires que j'avais passé auprès de mes deux meilleurs amis. C'était l'une de nos traditions, nous nous retrouvions à chaque fois. Cette année célébrait nos retrouvailles, elle était donc d'autant plus importante.
Je me levai afin d'aller chercher des marshmallows à brûler, beaucoup de nourriture et bien sûr, du champagne. Auréa m'accompagna pour me guider dans la villa. Nous courûmes pour être retournées à minuit près du feu de camp, riant à en perdre haleine. Cet instant de célébration nous fit du bien, cela nous permettait de faire une pause et de nous remettre des événements. C'était la première fois que j'allais passer mon anniversaire en Italie, j'étais toute excitée. J'avais toujours aimé ce pays, son ambiance calme, ses décors et ses paysages, cela rendait cette nuit encore plus spéciale. Une fois avoir récupérés ce que nous voulions, nous avions encore quelques instants avant minuit, ainsi Auréa me proposa d'aller nous changer afin d'enfiler de plus belles robes. Elle savait que j'aimais énormément tout ce qui touchait à la mode, j'acceptai immédiatement. Nous nous rendîmes jusqu'au dressing, une pièce immense remplie de dizaines de magnifiques vêtements. Des robes, des vestes, des chaussures par dizaines. C'était exactement ce dont je rêvais depuis que j'étais toute petite. Le temps nous manquait, nous ne savions pas quoi choisir. Telles deux enfants se retrouvant perdus dans un magasin de jouets, nous nous dépêchâmes de faire le tour en courant, faisant tomber plusieurs robes sur le sol. Je trouvai mon bonheur au bout d'à peine quelques secondes, une superbe robe rouge qui m'avait tapé dans l'œil, une couleur pétante mais superbe. Elle était moulante et très décolletée, courte, tout comme j'aimais. Je choisis des escarpins, noirs et à talons très hauts, pour aller avec. Je me permis également de prendre des boucles d'oreille argentées dans la chambre la plus proche, ainsi que de nombreux bijoux scintillants. Le temps que j'arrange mes cheveux, Auréa revint, vêtue d'une robe à volants marron claire, ornée de quelques motifs tressés, dont les couleurs dégradaient du beige au marron foncé. Ses longs cheveux indomptés tombaient en cascade le long de son dos, elle ressemblait à une indienne. Elle était adorable, magnifique. Nous allâmes ensuite nous remaquiller en vitesse, Auréa n'arrêtait pas de répéter qu'elle voulait des plumes. Surexcitée, elle se précipita vers le dressing, où elle arracha un ruban et plusieurs plumes d'une robe. Rapidement, elle attacha l'une d'entre elles au bout de tissu qu'elle fixa dans ses cheveux. Je riais en la voyant ainsi, toute mignonne et très contente de ressembler à une indienne. Ainsi vêtues, nous repartîmes en direction des écuries, transportant la nourriture et la boisson. Une fois sur place, Syd et Hyde s'amusèrent de nous voir habillées ainsi. Eux et Auréa comptèrent en coeur les secondes qu'il nous restait avant minuit.

- 5, 4, 3, 2, 1.. JOYEUX ANNIVERSAIRE!

Nous étions tous en train de crier comme des fous. J'étais surexcitée, ne pouvant plus m'arrêter de rire. Syd ouvrit la bouteille de champagne puis nous en servit dans nos coupes. C'était un instant magique. Nous trinquèrent, puis commencèrent à boire. Au bout de quelques instants, Syd avait déjà presque fini sa coupe, ce qui ne m'étonna pas. Je pris mon portable afin de prendre quelques photos, Auréa me regarda en faisant une grimace adorable. J'envoyai la photo à Damon, je savais que tout n'allait pas à merveille entre eux, mais je voulais partager cet instant avec l'élu du cœur de ma meilleure amie. Elle sortit également son iPhone et prit une photo de nous deux, s'empressant ensuite de la mettre en fond d'écran. Cette soirée resterait ainsi gravée à jamais. C'était mon anniversaire, je fêtais mes vingt-deux ans. J'avais du mal à y croire après tout ce qu'il s'était passé. Mais ce moment que je partageais en compagnie de mes proches me fit oublier tous mes problèmes, j'avais l'impression d'être revenue plusieurs années en arrière, et je ne pouvais pas rêver mieux.


Dernière édition par Kasey Logan le Ven 23 Juil - 16:16, édité 1 fois
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Damon M. Tallis
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    Dust in the wind.

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MessageSujet: Re: (-16) Black Smoke Attack   (-16) Black Smoke Attack EmptyMer 21 Juil - 15:01

La candeur des rayons matinales qui se fondait sur ma peau me rappelait la chaleur absente qui était censée se trouver à mes côtés mais qui ne l’était pas, qui ne l’était plus depuis maintenant quelques jours. Elle ravivait les ombres avec la dorure de ses sourires et faisait de mes chimères, des réalités que je ne soupçonnais jamais au bon moment. Les faisceaux lumineux qui m’avaient éveillé n’avaient plus le même intérêt s’ils ne servaient pas à la rendre plus prestigieuse qu’elle ne l’était déjà. J’avais vu défiler plusieurs magnanimités au cours de mon existence mais aucune ne ressemblait à celle qu’Auréa possédait. J’avais besoin de sentir son émanation s’introduire dans mes pores lorsque je sentais mon âme s’éteindre dans l’obscurité de mes maladies. Le désir de percevoir ses saveurs éclater sous mes doigts ne me quittait pas depuis son départ, ce n’est que lorsqu’on me l’arrachait que je comprenais enfin que sans elle, je n’étais qu’une épave, insignifiante et calcinée par l’abstraction de cette magnificence contraire à tous mes désirs. J’enviais les heures où son aura toute entière remplissait encore les pièces de cette maison qui semblait se mourir de leur absence. Je prenais vite conscience que sans eux, les couleurs n’existaient pas. Mes souffles se brisaient sur des brides de souvenirs, des morceaux de bonheur que je n’avais pas pu saisir alors qu’ils avaient été devant moi durant tout ce temps.

Je me levais difficilement pour me rendre à la salle de bain où se trouvaient encore quelques affaires d’Auréa, je les effleurais du bout des doigts comme si je tentais de mêler ses empreintes brûlantes aux miennes, tellement froides en la carence des siennes. J’étais fasciné par les richesses de son corps, complètement anesthésié sous le reflet ambré de ses pupilles enfantines. Elle gardait les traits innocents d’un passé qu’elle essayait de me cacher ou auquel je n’avais pas su m’intéresser... Je n’avais pas pris la peine de définir ses regards, j’étais passé à côté d’elle, la laissant transparente et abandonnée. Ma haine était devenue l’isolant qui me séparait du monde extérieur, encore une fois j’avais déçu ceux que j’aimais au nom de mon impulsivité. La passivité était devenue commandante de mes mouvements, j’allumais l’eau et l’écoutais couler quelques instants. J’étais abusement platonique face à ses allures divines sans jamais pourtant lui révéler ce secret. Mes réflexions s’enveloppaient dans l’hypnose de ses gestes, en m’ouvrant les portes d’un paradoxe immunisant que j’avais du mal à comprendre, sans pour autant m’y défaire. Dans la glace positionnait en face de moi, les nuances livides qui coloraient mon épiderme me rappelait la chose que j’étais devenue sous l’effet des injections consécutives, agressant mon organisme de l’intérieur jusqu’à en atteindre mon essence. Sédatif-hypnotique auquel j’aspirais encore lamentablement, je m’étais séquestré moi-même dans une nébulosité imparable. Le pire était sans doute que je l’avais calculé.

Après m’être déshabillé, la pluie artificielle humidifiait mon corps mortifié par l’insomnie. Mes muscles encore engourdis par l’immobilité se dénouèrent au rythme des gouttes se faufilant sous ma peau olympienne. Etrangement, je ne m’étais pas attardé sous la douche comme j’avais l’habitude de le faire. Quelques minutes m’avaient suffi pour que je sorte et gagne le salon où ma famille biologique stagnait de façon si paralysée que je ne désirais qu’une seule chose : Partir. J’embrassais ma mère qui était la seule à m’inspirer la vitalité. Après la nouvelle que m’avait faite mon père en ce qui concernait ma sœur, le silence pourtant déjà bien assez présent s’était intensifié. Je ne savais pas combien de temps encore nous allions restés si indolents à nos propres sentiments, en cachant toutes nos vérités et nos liens qui avaient été si importants pour moi lorsque je n’étais qu’un gosse. Avec mon frère, le point mort de nos rancunes restait notre endroit préféré, le fait que nous sommes frères n’était qu’une histoire de sang. Le garage était le seul endroit où je me sentais encore chez moi, rien ne me rattachait aux autres pièces si ce n’est que les chroniques fractionnaires de celle que j’aimais, des parcelles de son existence qui ondulait sur l’oxygène que je respirais. Mes mouvements étaient uniquement définis aux fragrances qu’elle apportait à mon espace vital, seulement, j’étais seul. Et la privation à laquelle son oncle m’avait contraint, s’imposait aujourd’hui comme une censure qu’il fallait briser.

Je prenais mon portable et demandais à Hyde de me donner l’adresse exacte de l’endroit où ils étaient. En attendant sa réponse, j’avais prévenu mon entourage que je partais dans l’après-midi et que la date de mon retour n’était pas définie. J’ignorais les questions posées, les avertissements et les remarques stériles. Aucun d’entre eux n’était capable de me retenir, je perdais trop mon âme sans sa main dans la mienne, les kilomètres ne pouvaient pas nous tourmenter d’avantage. Comment vivait-elle sans moi là-bas ? Est-ce qu’elle me sentait de l’endroit où elle se réalisait, dans chacun des souffles qu’elle émettait ? L’illusion de ses prismes me rendait de plus en plus déséquilibré, le manque me faisait disparaître en ses teintes mordorées, antonymes à l’irisé de mes allures cireuses. Définitivement, je ressentais la nécessité de pactiser avec ses sonorités universelles. Sensation d’insuffisance vitale qui m’avait amené à confirmer mon départ. Hyde m’avait répondu après quelques heures passées à jouer des accords que j’avais laissé s’ensevelir sous la poussière, je le remerciais de son aide et commandais mes billets d’avion directement sur le net. Il avait précisé dans son message que Kasey m’attendrait à Palerme pour nous téléporter à Syracuse, ça m’éviterait d’attendre plus longtemps. J’avais laissé les heures m’étreindre d’ennui pour enfin entrer dans la voiture, avec quelques affaires essentielles. Mon portable, mes cigarettes, mon Ipod et un sac avec quelques fringues. Je partais sans me retourner, sans dire au revoir, sans rien. J’avais simplement souris à ma mère qui avait tenu à me regarder m’éloigner à travers la fenêtre du salon.

J’étais cette fissure, l’inconnu dans la glace qui avait laissé sa trace. Blanc comme un sachet d’héroïne face à la virginité. Ca semblait dégueulasse. Ca me paraissait bon. La consigne était un mutisme hermétique. Elle ne connaissait pas les directives, semblable à un enfant qui jouait avec une arme. J’arrivais à l’aéroport, laissais ma voiture dans l’entrepôt et montais dans l’avion avec les derniers passagers. J’étais maculé d’un sang qui n’était pas mien, en compagnie d’âmes torturées qui hantaient mes chimères. Insoumis allongé dans l’arène, toujours cet enfant craintif. Craintif à me vider de mon sang, je restais au négatif. Définitivement trop émotif. Perplexe à mes propres apparences. La fatigue me faisait divaguer, trois nuits blanches et pourtant si pleines de pensées toutes aussi mortuaires les unes que les autres. Je n’étais pas le genre de personne à dormir, rester des heures réveillé ne me dérangeaient pas réellement. Aprilia avait accentué ma force à tenir, ce centre m’avait rendu plus fort mais je refusais qu’on touche à ma liberté. Personne ne me la retirerai, aussi haut placé soit-il. Le trajet m’avait semblé affreusement long, l’ennui et l’impatience ne donnaient rien de bénéfique lorsqu’ils s’alliaient. Kasey m’avait envoyé une photo d’Auréa, je prenais conscience que d’ici quelques heures je serai avec elle. J’avais souri, aussi simplement que ça. Les aubes décoraient le ciel lorsque l’engin avait finalement atterri à Palerme. J’étais descendu de l’avion en laissant la chaleur méditerranéenne me frôler. Ses alizés charnels réchauffaient l’animosité de mes tendances. Je n’avais pas réussi à couper le son de mon Ipod depuis que j’avais quitté la terre New-Yorkaise, passant de chanson en chanson sans jamais me lasser de toutes les choses que je pouvais transposer. La conformité mutilait mes idéaux, son réalisme m’écoeurait et sa fatalité était la raison pour laquelle je restais pragmatique. On m’avait retiré mon infantilité peut-être trop tôt… Auréa me la rendait au fur et à mesure qu’elle se rapprochait.

Kasey était déjà là à mon arrivée, je lui avais dit bonjour tout en la remerciant d’être venue jusqu’ici. Auréa ne savait pas que j’étais en Italie, encore moins que j’étais venu pour la voir. J’avais dit à Hyde de ne rien lui dire. C’était étonnant à quelle vitesse Kasey pouvait nous emmener d’un endroit à l’autre, quand je pensais aux autres qui devaient se taper les heures de décalage horaire et les longs trajets interminables, je me disais que c’était une chance de posséder un pouvoir comme que le sien. L’odeur des vents chauds me donnait accès à un nouvel air. Rassurant, pur, magnifique. Autant qu’Auréa l’était à mes yeux. La terre encore tiède de Syracuse m’accueillait. L’endroit était une place fantastique, le soleil me donnait l’impression de s’y reposer vu la plénitude que l’endroit me faisait sentir. Mais je n’étais pas venu pour observer ce paysage là. Le mien me manquait, elle me manquait et je m’étais fait mal à l’imaginer, je m’étais fait mal à la rêver. L’absence d’un être aussi cher laisse ses traces. Lorsqu’elle était partie, ça m’avait parût tellement douloureux. A chaque fois que je la savais loin, éloignée, quelque chose dans ma gorge se nouait. Ce quelque chose ne partirai que quand je la reverrais, d’ici quelques minutes à peine. L’heure était matinale, elle devait sûrement dormir mais Hyde était levé. Je l’avais pris dans mes bras dès que je l’avais vu, il me manquait même s’il restait toujours en retrait. Auréa était toujours dans la chambre d’après lui, il m’y emmena. Aaron ne semblait pas présent dans la villa, elle était splendide. Ils devaient être assez fortunés. Il n’y avait aucun bruit dans la maison, tout était d’un calme respectueux. Je suivais Hyde et sentais mon cœur s’emballait de plus en plus vite, en prenant la peine de me laisser tomber dans un trouble excessif. Il m’ouvrait la porte, j’entrais et la refermais sans bruit derrière moi. Je laissais mes affaires dans un coin, je savais que le temps nous serait compté. Je n’allais pas rester ici indéfiniment, je n’avais pas le droit en réalité.

Je la voyais allongée, encore absorbée par l’inconscience du sommeil qui s’était emparé d’elle, il y a de ça quelques heures déjà. Je m’étais hissé à ses côtés, sans qu’elle ne remarque quoi que ce soit. Elle avait les yeux éteints, toujours avec ces mêmes traits d’enfant. C’était comme si l’innocence était gravée en elle. Dans ses os, son sang, sa voix. Partout. Je pouvais presque percevoir le parfum de sa vérité juvénile. Je me rapprochais d’elle peu à peu tout en sentant mes souffles se régler à sa respiration tardive, son sommeil était placide, plongé dans une profondeur que j’aurais aimé partager avec elle. J’avais cédé à l’envie de parcourir l’une de ses joues tièdes, sentant le satin de sa peau rivaliser avec la robe de chambre légère qu’elle portait. Je descendais fatalement vers son corps, en m’attardant sur les galbes graciles de son corps hâlé par les reflets d’un ciel méridional. L’aimer me semblait tellement facile à faire, le montrer était une toute autre histoire. Elle savait que je mentais, caché sous mes apparences, froid à l’intérieur, avec un cœur bloqué dans un gel ankylosant. L’aurore de ses iris captivés résorbait ma haine éreintante, entrelancé dans ma frénésie aphone pour son être. Il était invraisemblable pour elle que je sois exalté de l’atmosphère qui l’entourait, de ce halo brûlant qu’elle m’inspirait… Cette histoire était folle, aussi folle que l’envie que je ressentais incessamment pour elle. Je ne ressentais plus aucun besoin, elle était là, tout allait bien. Tout irait bien. Elle remplissait tous ces vides blessants, rassurait toutes les peurs avec son parfum si particulier, dont j’avais appris à connaître les notes. J’étais insonore et admiratif d’une beauté que je n’avais jamais réellement comprit. Un parfait mélange, comme si l’Humanité toute entière était son âme. Comme si l’universalité de ses sourires me rendait important, m’offrant une place à côté de l’élégance chimérique de la réalité qu’elle me présentait. Je ne comprenais pas, il n’y avait rien à comprendre. J’aimais. Et si je montre le contraire, ne me croyez pas.
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