En ce moment, le fait de retrouver ma famille adoptive m'obssède tant ! Oui, les retrouver, leur demander pourquoi ils m'ont laisser ? Pourquoi ils m'ont pas garder près d'eux ? Qu'ils soient riches ou pauvres, leur amour m'aurais largement suffit ! J'ai pas bseoin d'argent pour vivre, même si sa a une importance dans la société a laquelle on est obligatoirement confrontée. Notre monde veut que tout tourne autour de l'argent, pourtant, on est pas obliger de vivre que de sa. On peut vivre d'amour, d'affection, et de tendresse. Enfin tout cas, moi, c'est ce que je pensais. Est-ce parce-qu'ils ne m'aimaient pas ? Que le feeling entre eux et moi ne passer pas ? Parce-que j'était pas ce qu'ils désiraient finalement ? Qu'ils trouver que finalement, j'était pas un bébé idéal pour eux ? Trop de questions se posaient dans ma tête et aucunes n'avaient de réponses. Mais la plus grande et importante d'entre elle est la suivante : Est-ce que un jour, mes questions auront le droit a leur réponse comme un être humain a besoin d'air pour respirer ou bien une fleur a besoin d'eau, d'entretien et de soileil pour faire sa pleine croissance et devenir une fleur magnifique et agréable a regarder et humer ? C'est cette question qui est la plus importante et qui donne du sens aux autres dans ma tête. Le fait de vouloir les retrouver, c'est une sorte de délivrance dans mon coeur. C'est pas que j'ai pas aimer vivre avec mes parents adoptifs, non loin de la , mais j'ai tout simplement besoin de savoir la vérité, est-ce trop demander ?

Aujourd'hui, je me levée vers les coups de 10h. Autant dire que la nuit a était longue et calme mais non ! Je me suis endormie qu'as 5h du matin car j'avais un article sur la politique a rendre, autnant vous dire que cela ne m'interesser pas et que je me suis dépécher de terminer. J'ai dormie au total que 4heures et cela n'est vraiment pas suffisant. En ce moment, je suis en manque de sommeil. J'ai tout essayer : les médicaments, les bains relaxants, le sport, m'épuiser totalement mais rien y fait, je ne dors pas ! Est-ce le fait de ne les avoirs jamais connnus qui me rend comme ca ? Je n'en savais rien. Quand j'allumais mon portable, une heure après je reçue un appel. On me proposa un rendez-vous a propos de ma famille, ma vrai famille ! Autant vous dire que cela m'euphoriser pendant quelques secondes mais je rester méfiante, car s'est jamais ce qu'on peut croire ce genre de rendez-vous. Alors, aorès cette appel, je me préparer, mettant une tenue assez conforme a la société et présentable : Jean, tee-shirt et Gilet ainsi que ballerines. Je m'attacher les cheveux, fesant un chignon et laissant quelques mèches se posaient sur mon visage. Je tentais de me rendre présentable physiquement. Je remit un pansement propre a mon poigner gauche, qui est profondément ouvert mais donc personne n'as encore soupçonner car je leur fessais croire que c'était une blessure comme ca. Une fois prête, je pris mon manteau, mon ipod et mon sac ainsi que mes clefs de voiture et je me dirigeait vers la sortie.

Tout le long du trajet, j'écoutais la musique. Oui, la musique est une sorte d'échappatoire pour moi. Ca me permet de d'être libre sans aucune limite. C'est agréable d'avoir plus qu'un seul son dans sa tête, de se sentir lègère comme si on flottait sur un nuage de la douceur d'une plume, de la légérté de l'air et d'un confort haute gamme. Cepandant, je fessais attention a la route et aux autres conducteurs et piétons, je ne suis pas seule au monde. Le trajet fut très court et je me dirigeait enfin vers le lieu de rendez-vous. Me garant sur le parking de l'hôtel, je sortit doucement et sans trop être sure que de ce que je fessais. J'ai peur, oui peur ! Peur qu'on me disent qu'ils sont morts ou qu'ils refusent de me connaitre. Oui, ca seras la pire des choses qu'il puisse ce produire. Alors, avancant ves le bar, je vis un monsieur qui semblait être l'homme avec qui j'ai rendez-vous. Je m'avançais vers lui, et il me serras la main en me disant

< - Mademoiselle Rosalinda ? Je suis Monsieur Gaspard, celui qui vous a contacter, mais je vous en prie, asseyez-vous...>

Je vis un simple hochement de la tête et je lui serrais la main de ma main gauche. Oui, la droite est un peu hors d'usage pour le moment. Les choses se passèrent très vite que je n'arriver pas a controler les événements. Le stresse me monter petit a petit et je n'arrivais pas a parler, pourtant, il le fallais. Je me disais des choses très positives dans ma tête du style : Il est la, avec des informations sur eux, ils ont jamais voulu te laisser tomber, tu sais qu'ils t'aiment et qu'ils avaient pas le choix. Et bizzarement, tout ca marcher mais pour combien de temps. Le regardant, d'un air qui voulais dire que j'était tétanisée mais que je ne voulais pas le montrer et que je resterais forte et neutre malgré tout et d'une voix un peu plus confiante, je répondit.

- Appellez-moi Rosie, sa seras plus simple et plus court. Alors .. humm .. vous vouliez me parler de mes parents bioloiques, c'est ca ?