Histoire (15 lignes) :

Ma vie à commencé il y a de cela 18 ans. Je suis né dans un petit hôpital de quartier dans Londres. A l'heure actuel vous ne le retrouverez sûrement pas, celui-ci à été rayé de la carte car il était clandestin. Mon histoire commence assez bien on va dire. Je suis issus d'une grossesse non voulu, je naquis dans un hôpital clandestin, mais pour parfaire le tableau je ne connus jamais ma mère. Celle-ci mourut à la suite de l'accouchement. Le manque de suivit qu'elle eu la tua littéralement. Voila ce qui c'est passé, bien que mon père entendait cela d'une autre oreille. Mon enfance aurait pu être heureuse, bien sur, elle aurait pu. Malheureusement pour moi, la fatalité ne comptait pas me laissé aller à si bon compte. Il y a des jours où je me demande comment il est possible que je sois encore vivant. Après toutes les choses que j'ai vécu. Enfin, je n'écris pas cela pour m'étendre sur des propos philosophique, le croire serait mal me connaitre.


Mon enfance fût placé sous le signe de la peur. Tout les jours, je me levais, j'avais peur, je rentrais à la maison, j'avais peur. Tout le temps, je ne pouvais jamais me reposer. La peur était toujours là, tapie dans l'ombre, me tirant de plus en plus vers le bas. Mais le pire était encore à venir. Ce ne fut qu'à 6 ans que je compris ce que c'était, la vrai peur. En effet, alors que je venais d'avoir six ans quelques mois plus tôt, comme tout les jours je rentrais de l'école. Je défaisais le col de ma chemise d'uniforme et respirais un bon coup avant de monté dans ma chambre et y resté enfermé. Mais ce jour là, rien ne se passa comme prévu. Je venais de pendre ma veste au porte manteau lorsque j'entendis un bruit sec dans mon dos. Déjà il était trop tard. Me bloquant ma seule issue de secours, mon père se tenait là, trop saoul pour se rendre compte de ce qu'il allait faire. Alors, il retira sa ceinture et me battu pour la première fois. C'était la première fois que je ressentais cela. Cette douleur, impuissance et cette peur si oppressante que je n'arrivais plus à respiré. Lorsqu'il eu finit, qu'il en eu assez de se défoulé sur moi, je m'effondrais au sol. Je me souviendrais à jamais de son rire. Ce rire qui résonne encore lorsque je dois faire des choses impardonnable. Avec l'âge, on aurait pu croire que j'aurais tenté de m'en sortir. J'aurais pu aller chercher de l'aide, mais ce n'était pas et ce n'est toujours pas dans mes habitudes d'appelé à l'aide. Donc, chaque soir, en rentrant je me préparais du mieux que je pouvais à cette séance. De nombreuse fois je me suis retrouvé dans un si mauvais état que je sortais de chez moi pour me faire emmener par des inconnus à l'hôpital. Comme à chaque fois, je disais que je me faisais tabasser par des inconnus. De toutes manière, lorsque les services sociaux venait, je préparais mon père et nous avions l'air d'une famille parfaite, bien qu'il y ai un énorme trous.


Ce fût à mes dix ans que je me découvris une passion... la musique. Je touchais à tout, d'abord je fis de la batterie. M'improvisant cette instrument à l'aide de casseroles etc. J'ai toujours du faire avec mes moyens et c'était tous ce que j'avais. Ensuite je me mis à la guitare lorsque j'eu récolté assez d'argent, puis j'appris un peu de tout. Enfin, d'après mon professeur de musique j'avais un don. Alors, je me mis à écrire, coucher sur papier ce que je ressentais. Je me mis aussi à faire des partitions pour créé des chansons. Bien vite, ce fut mon échappatoire. Mon moyen d'extériorisé ce que je ressentais. La douleur que je vivais au jour le jour derrière ma carapace de dur. Il parait que j'étais doué, donc je continuais. Lorsque j'eu quatorze ans je me mis à faire des concerts dans des bars.


Puis, vers mes seize ans et demi, je me rendis compte que je ne pouvais pas continué comme cela. Ma vie était vraiment merdique. Ce n'était plus possible. Alors, sans prévenir personne. Même pas le peu d'amis que j'avais, je fis mes bagages. J'embarquais ma guitare et quelques habits avant de partir. Rien dans les poches et aucun lieu où logé je devins bien vite musicien itinérant. Je me mis à chanté ici et là pour un peu d'argent, un logement etc. Ainsi, je vécus une année. La plus belle de toute ma vie. Maintenant, je m'en rends compte. Mais il est trop tard, bien trop tard désormais.


C'était un soir d'hiver, il y a de cela bien peu de temps. J'étais dans ma ville natal, Londres, je me promenais en rue après avoir donné un concert. Légèrement éméché je ne marchais plus droit. Une clope au bec je ne vis rien venir. Trois hommes se mirent à me suivre sans que je n'y porte une quelconque attention. J'eu le temps de finir ma clope, de jeté le mégot dans une poubelle avant qu'ils ne se jettent sur moi. Ce fut rapide, sans douleur comparé à ce que j'avais déjà vécu et terriblement bref. Un coup dans le dos, un autre dans le cou et le dernier sur la tête. Ne tenant déjà plus bien droit je tombais en avant, me retrouvant étalé à même le sol. Mon visage collé à l'asphalte froid, je tombais dans les vaps sans m'en rendre compte. L'Aprilia n'eu pas à faire trop d'effort pour m'avoir. J'étais déjà un garçon solitaire, personne ne traînait avec moi. Je n'avais pas de chez moi, personne ne m'attendait, je n'avais plus personne, alors ma disparition n'étonna personne.

Autre

Je me passe souvent une main dans les cheveux lorsque je suis nerveux. Alors que je réfléchis mes yeux se perdent dans le vide.

Ma personnalité ( 10 lignes ) :

Je suis un garçon particulier. Fort renfermé je n'aime pas du tout exprimé mes pensées ou montré les sentiments que j'éprouve. Me faire battre par mon père m'apprit à être solide. Ce qui est assez ironique, vu qu'il n'a jamais fait que me briser. Je suis souvent un pilier pour les personnes qui sont autour de moi. Le genre de personne qu'on peu regarder en se disant que jamais on ne me verra tombé. Je suis donc assez complexe. Ma personnalité a autant de facette qu'un miroir brisé ne montre de reflet. Parfois il y en à bien peu, parfois il y en à des centaines. De temps en temps, lorsque je me regarde dans le miroir je me demande ce que je vois. Un enfant brisé, un adulte qui ne trouve pas sa place ? Un marginal qui ne sait plus ce qu'il peut faire de lui ? J'ai un don, pour la musique, je le sais et j'en abuse. Je ne suis pas très égocentrique, non, pas du tout même, mais j'arrive tout de même à être détestable sans ça. Je suis le genre de personne qui aime bien vous faire tourner en bourrique. Je parle, je manipule, je vous fais croire que ce que je veux. J'aime faire cela. Je ne suis pas sadique pour autant. Enfin, je ne crois pas. Ma perception du monde n'est certainement pas celle d'un enfant normal. Élevé avec amour et tout le tralala. Non, moi je défends mes intérêt avant ceux des autres. Si je dois choisir entre tuer ou être tuer, il ne faut pas s'attendre à ce que j'hésite un instant. J'ai l'autorité en horreur, mon père n'étant pas un modèle j'ai toujours rejeté toute forme d'autorité. Mais pour sauvé ma peau je suis près à tout. Même à passer outre ce que j'ai toujours dis ou pensé. Je n'ai pas qu'une parole, loin de là. Je mens, je trompe, je triches. Je suis sans foi, ni loi comme on dit.

Les filles, je ne les aiment pas. Je suis avec elle juste pour assouvir mes pulsions. A part cela, l'amour je ne connais pas. Je n'en ai rien à faire. Ce n'est pas pour moi ce genre de chose. Dragueur ? Oui, je le suis. J'adore vois à quelle point je peux plaire aux demoiselles. Surtout qu'elle craque très souvent pour moi. Je sais que je plais et ne vous inquiété pas, j'en profite.

Je suis le genre de personne qu'on croit qu'elle est fière. En effet, je n'appelle jamais à l'aide. Pas que ce soit une honte, ou que je ne puisse le faire de peur de l'image que je vais renvoyer. Non, pas du tout. Je n'y arrive pas, ce n'est pas possible. On m'a toujours dit que je ne pouvais jamais compté que sur moi. Dans ce cas de figure, je ne peux donc avoir de l'aide de personne. Je suis la seule personne qui puisse m'aider, mais comment m'aider alors que je me détruis ? Détruire et ensuite créé, créé pour ensuite détruire. C'est toujours comme cela. On détruit une chose pour en construire une meilleur, on construit une chose après en avoir détruite une autre. Il faut avoir des ruines pour pouvoir faire quelques chose. Ça tombe bien, depuis ma naissance je ne suis que ruine. Pourtant, ce n'est pas pour autant que je me suis amélioré.

Lorsque je vais mal je souris, lorsque je vais bien... je ne vais pas bien. Lorsque je souffres, je souris. Je souris tout le temps. On ne s'en rend jamais compte, mais un sourire peut ouvrir bien des portes. Alors malgré ce que je pense dans le fond, je souris. C'est la vie, je me cache dans ma carapace. Je montre le garçon exécrable afin qu'on ne me comprenne pas. Qu'on ne puisse pas remettre en question mon monde si carré. Si jamais quelqu'un arrivait à me comprendre, à lire entre le ligne je ne saurais pas comment réagir. J'ai toujours été seul et j'ai toujours pensé resté seul. Ça à toujours été comme cela que j'ai vu le monde. La solitude, la douleur, la noirceur.

En gros, je suis un garçon très complexe. Je suis incompréhensible. Si on tente de me connaitre, je me fui, je me cache derrière ma carapace. Tout est prémédité pour que jamais rien ne change. Je ne veux pas espéré un monde meilleure. L'utopie rend les gens aigris, donc je me prive de cette douce saveur qu'est l'espoir. Je n'ai pas la force d'être déçu, donc je rends mon monde gris. Étrangement, pour moi, c'est la plus complexe des couleurs. Un mélange de blanc et de noir. De bien et de noir. Un juste mélange pour qu'aucun des deux ne vainc l'autre. Malgré tout, on s'y perds. Au final, est-ce bien ou est-ce mal ? Comment choisir ? Moi je choisis simplement de faire ce dont j'ai envie. C'est plus simple.

Pseudo et/ou Prénom : Chef des canards, radiateur
Age :15
Comment avez vous connu le forum ? : Alexi me l'a passé ^^
Que pensez vous d'Aprilia ? Des idées d'améliorations ? Une critique ou constatation ? : Je pense que c'est un très bon forum, il m'a directement donné l'envie de m'y inscrire. Puis l'ambiance a l'air terriblement bien.

Aleksandr Ivanov

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