Des jours comme cela [ Edward Cullen, Caroline St John & Alice Taylor]

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Ce matin là, pour la première fois depuis des semaines j'ai repris gout a la vie. Aimer ? Non je me promets de ne plus aimer ... personne. Pourquoi ? Car mon 'fiancé' ex fiancé maintenant ma trompé avec ce que l'on pouvait appeler une 'meilleure' amie. Depuis 2 ans maintenant je n'ai plus aucune nouvelle de ma famille ni de mais amis. Non j'ai décidé de changer de vie. Je sais sa parait lâche ...Pour en revenir a ce matin tous me semblé normal. Je me lève. Je me lave. Je m'habille. Ensuite je suis parti m'inscrire a la fac. Jusqu’a maintenant tous était banale, seulement quant je suis rentré chez moi j'ai découvert un mot sur mon sofa : '' rendez-vous 22h30 ...je t'aime et je suis désolé .Taylor.''
QUOI ? COMMENT A T-IL AUSSEZ VENIR CHEZ MOI ? COMMENT SAIT-IL QUE JE VIS ICI ?
Je me poser tellement de questions ! Je me suis effondrais. J'étais de nouveau mal. Alors j'ai décidé d'y aller pour lui dire ce que j'avais à lui dire. Lui dire qu'il me dégouté que je ne voulais plus le voir qu'il ne fera plus jamais parti de ma vie et que je le haï plus que n’importe qui. Je ne doutais plus, j’étais certaine de moi.
Il est 22h27 j'arrive au lieu de rendez-vous. Personne. J’attends 10 min, 20 min. 22h51.Toujours personne.IL faisait froid, il pleuvait beaucoup. C’est alors que je vis une femme plutôt jolie ... Et la je me rends compte que je suis tombé dans un piège. Cette femme me prise par le bras, me sentis partout dans le moindre endroit de mon corp ... Je me débattais, mais cela ne servait a rien c'est comme si elle ne sentait pas la douleur ...

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Ce soir là, je venais de quitter Bella car une pensée étrangement familière ne cessait de passer dans ma tête. A la fois fur axe et inquiet, j’avais facilement reconnu la maîtresse de ces pensées : Caroline St John, une nomade des plus anciennes, à l’allure de femme fatale, qui, contre toute logique, avait gagné mon amitié.
De toutes façon, la logique n’avait jamais tenue une place importante dans mon esprit, ne serait-ce que de par ma relation avec ma douce humaine.
Bien entendu, je n’approuve pas du tout son mode de vie, à l’opposé de celui de ma famille. Cependant, elle vivait en bonne vampire depuis plus de 600 ans, alors j’avais renoncé à la changer. Mieux, ou plutôt devrais-je dire pire, elle avait obtenu mon plus grand respect.
Soudain, choqué, je décryptais ses intensions : le sang, la traque, une proie facile et innocente.
Une peur s’empara de moi et mon corps tout entier frissonna à l’idée d’être le témoin d’un meurtre sanguinaire et de laisser faire.
Presque par reflex, d’un coup brusque, je m’élançai dans la forêt voisine, d’où aparement se déroulait la scène de cime.
Je courais de grandes foulées et si respirer m’était encore nécessaire, j’en aurai eu le souffle coupé.
Dans mon allure folle, je scrutais chaque odeur et acte ou pensée de sa proie, tel une sonde, qui me mènerai là où se trouvait ma nomade.
Une jeune femme blonde et frêle d’après son parfum léger et doux.
Une femme ? Elle ne chassait pourtant que les bels hommes. Je ne compris pas, mais je voulais savoir. Je m’inquiétais de ce choix des plus inhabituels.
Je me concentrais et couru de plus belles à travers les bois, pas le temps de réfléchir, il me fallait agir vite.
Je me croyais imperturbable, mais à cet instant, un maladroit craquement de branche me stoppa. Il provenait des hautes herbes. Un pas malencontreux venait d’écraser une fine branche sur le sol humide. Me retournant, rien qu’à la vue de la jambe de la personne en question, flairant à peine l’horizon, je la reconnu casi-immédiatement, peu surpris et que peu déçu :

-ALICE TAYLOR !!!

Elle se retourna à l’entente de son nom. L’air béat, stupéfaite. Situation embarrassante certes, mais qui fit naître des théories valables : Alice devait être sur les traces de mon amie depuis pas mal de temps, elle qui s’obstine dans « son job » à « traquer et mettre fin à notre misérable existence ».
Cela expliquerait sa présence ici, qui me surprendrait beaucoup si elle la justifiait par l’improviste ou le hasard. Non, je n’y croirai pas.
J’aurai préféré un autre chasseur, plus facile à tromper ou éviter, mais, avec elle, j’eu l’espoir de régler cette maudite histoire dans le calme.
Après tout, aussi surprise fut-elle, elle ne tarderait pas à découvrir la raison de ma présence en ces lieux. Aussi, je ne tenais pas à ce que la situation devienne embarrassante, vis-à-vis d’une dispute probable entre moi et Alice ou du désir de vengeance prévisible de Caroline lorsqu’elle découvrira à quoi ressemble son chasseur.
Toujours aussi rapidement, ne lui laissant pas le temps de réfléchir, je m’approcha d’elle et lui dit calmement mais de manière imposante, afin de prouver mes réelles bonnes intensions :

-Nous somme deux on dirait! Empêchons ça alors!

Abasourdie, elle approuva timidement, avec méfiance, d’un signe de tête.
J’entendais la jeune blonde se débattre sur le sol grâce à ses cris de détresse.
Je ne souhaitais en aucun cas être ralenti, je pris le bras d’Alice et le tira énergiquement jusqu’à mon dos. Trop vivement certainement, car ne s’y attendant pas, elle se remua en signe de défense Je manquai de trébucher, mais retrouvai l’équilibre sans difficulté, tirant à nouveau sur son bras, la secouant, déjà en course, afin qu’elle se positionne correctement sur mon dos ! J’entendis l’oirat d’un cri de sursaut et à peine eu-je étouffé un rire, que nous arrivions sur les lieux du piège diabolique.
Je la posai et elle ralla, reprenant son souffle, tenant sa tête. Tout se déroula furtivement : Mon regard et le regard de la prétendue meurtrière s’entremêlèrent. Ses yeux donnaient dans le noir chaotique, représentant parfaitement le néant. Elle était affamée.
Par mon grognement sévère et strident qui raisonna plus que voulu, elle comprit qu’il faillait fuir, mais aussi que je ne comptais pas en rester là avec elle !
Elle fuia aussitôt, mais sans sa grâce provocante habituelle, ralentie même, ce qui confirma qu’elle était à bout de force, vidée. Je comprenais à présent, que pour chasser, elle n’avait trouvé qu’une jeune innocente, ne pouvant plus se permettre de satisfaire sa luxure de prédilection. Elle devait manger pour vivre, comme tout être vivant, mais en bonne vampire errante. Je revins à moi, elle n’était plus là que déjà je songeais à la retrouver. Mais pour l’heure, je redoutais Alice, qui se trouvait déjà aux pieds de la victime, fortement secouée et effrayée, mais hors de danger. Je redoutais les suppositions et interrogations dont elle pouvait me faire part à tout moment. J’avais un mauvais pressentiment, qui me dit qu’elle avait quand même vu l’agresseur. Je présentais déjà assez de soucis, sans que des conflits ne viennent s’y ajouter. Il est vrai et je reconnais qu’elle ne faisait que son travail, l’exigeant bien fini, chose normale. Je ne pouvais le lui reprocher.
Mais, en voyant que personne n’était tué ou gravement blessé, je me dis que je m’en sortais plutôt bien.
Je rejoignis l’humaine et Alice qui s’obstinait à la rassurer, colérique du fait qu’elle n’avait pu « punir » la dangereuse vampire responsable de tout ça. Elle ne comptait pas en rester là, ça semblait évident.
Je décidai de rester vérifier que tout aille à peu près correctement pour la victime et si Alice la prenait en charge, afin de savoir si j’avais la possibilité de rattraper ma meurtrière dépourvue.
Elle ne pouvait aller guère loin dans son état critique…

Comme a leurs habitudes, Alice & Leah avait rendez-vous dans la forêt de Groeslood près d’un petit ruisseau qui accompagnait merveilleusement bien le paysage l’entourant.
Puis à vrai dire, la jeune chasseuse en profiterait sûrement pour tuer quelques créatures sur son passage.
C’est d’une pensée que l’ont pourrait considérait comme neutre qu’Alice entreprit le chemin d’un vieux sentier qui menait a la destination désirée.
Sur son passage, se trouvait diverse créature, que la jeune femme se fit un plaisir d’exterminer. Aillant quelques égratignures, elle sortit de son sac à dos : de l’eau, une glace, des affaires de rechange & même du maquillage. Et oui, Alice était telle la devise « Sortez couvert ».
C’est donc le long du ruisseau qu’elle se rinça les plaies infecter & se débarbouilla son visage s’observant ainsi dans son miroir en l’espérance qu’aucune autre créature ne viendrais perturber sa traverser.
Enfin prête, elle remballa ses affaires avant de partir au plein cœur de la forêt où elle se prit une branche. Irriter, elle débuta quelques injures jusqu'à trébucher a terre se rattrapant sur un arbre. Green
Quelques secondes passèrent et Alice se retrouva face au charmant vampire : Edward Cullen.
Plusieurs questions défilèrent dans la tête de la jeune femme jusqu'à réponse : Un événement était en train d’arriver, une situation que tout deux voulaient à tous pris empêcher.

-Oui je te suis ! Dit-elle avec entrain.

Bien sûr la belle était forte surprise par la proposition du jeune homme, pour qui faisait-il sa ?
A peine eut-elle le temps de réfléchir sur se dilemme qu’il l’attrapa par le bras.
Etant trop lente, il eut raison de son acte bien qu’Alice ne s’y attendait guère.
Il l’a pris beaucoup trop violemment, la jeune femme ne s’y prévoyant pas ne suivi pas le mouvement en simple reflexe de défense.
Un sourire s’afficha sur le visage angélique d’Alice lorsqu’Edward manqua de tomber à terre.
Celui-ci ne perdit pas de temps, et se rattrapa, tenant plus fermement Alice qui s’adossa assez confortablement sur son dos.
D’un pas, le jeune homme arriva a destination & provoqua une petite frayeur a Alice qui toute réjoui demanda à recommencer.

- Je ne m’y attendais pas rooo, On recommence ?

Aussi tôt, l’atmosphère se durci lorsque les yeux de la belle se posèrent sur la vampera apparemment assoiffer. Ses pupilles devenu âcre, on aurait dit une personne posséder mais se n’était pas le cas. Les vampires sont comme cela, si jamais elle osait toucher un seul cheveu de mon ami, alors elle le payera enfin de toute manière Alice l’exécuterait. Elle était un danger pour tout le monde.
La vampera se postait à côté de sa meilleure amie, soudainement Edward poussa un bougonnement qui fit fuir la bête mais il était trop tard, son visage était encrée en moi : elle mourrait. Bien sûr Alice n’était pas aussi rapide, qu’elle, il lui faudrait donc du temps pour rattraper sa piste et l’anéantir c’est donc d’un pas pressé qu’elle s’approcha de Leah : sa meilleure amie.

-Tu va bien ? Ecoute Leah reste là … Je vais faire mon boulot.

L’embrassant doucettement sur le front, c’est d’une rage innée qu’Alice se releva pour abattre cette sal*perie de créature.
Sortant de son sac ses armes, elle ne redoutait pas la stupéfaction de ses amis. Leah tout comme Edward était au courant de son rôle dans la destruction des êtres anormaux.
Mais lorsqu’elle fit un pas vers la direction qu’avait put engendrer la vampera, Edward s’embusqua devant elle comme pour la dissuader d’y aller, la suppliant ainsi du regard.

-C’est un monstre, elle doit mourir Edward, tu en as toi-même conscient. Comment peux-tu la défendre ? Tu me dégoute !

Celui-ci la pris fermement par le bras comme pour la retenir se qu’Alice n’apprécia pas. Elle le foudroya littéralement du regard jusqu'à se qu’il cesse son acte de corruption.

Leah, n’était pas blesser bien heureusement. Alice l’invita donc à la rejoindre chasser la chose.
D’abord elle la mettra en lieux sûr puis assoupirai sa vengeance, la vengeance de son amie.
Se retournant une dernière fois vers Edward, elle débuta de nouveau la parole.

-Tu es avec moi ou contre moi ? A toi de choisir mais si tu aide cette chose, que sa soit clair je te poursuivrai aussi … A mes yeux, il n’y aura pas distinction entre toi & elle. Salut’

D’un signe de tête , Leah s’avança en direction d’Alice.

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Comme je le redoutais tant, Alice avait vu la créature. Avec elle, aucun doute qu'elle comptait la rattraper.
Je compris vite que l'humaine était une amie importante pour la chasseuse. Il ne manquais plus que ça! Elle était d'une lenteur inéficasse comparé à Carolin, mais comme celle-ci était gravement affaiblie, je m'inquiéta de son sort et me mis au travers de son chemin. La retenant, ne serait-ce que quelques instants, ce qu'elle n'apprécia pas évidement.
Elle me cria , colérique, les 4 vérités sur mon amie et elle n'avait pas tor.
Au cotraire, elle avait entièrement raison. Sa mailleur amie aurait pu mourir. Mais moi, je ne voulais que sauver la mienne.
Je savais aussi que sa partie de chasse serait un fiasco total. La nomade, était pour sûre bien loin à présent.
C'est pour celà, et pour ne pas envenimer les choses, que je laissa Alice filer en companie de "Leah".

- Vas y cour, tu as une bonne raison de la rattraper, je ne peux pas le nier. Mais vu l'état dans lequel tu es arrivée jusqu'ici *je regardais ses égratinures et sa jambe enflée*, ne t'étones pas qu'une autre chute te soit fatale. Elle te dévorerait. Tu ne sais pas à qui tu as affaire Alice, elle est une des nomades les plus anciennes dans le monde!

Ignorant presque mes remarques, tétue comme une mule, je la laissai poursuivre son chemin, c'était à ses risques et périls, je l'aurai prévenu!
Elle partit, sans même un merci, car sans moi elle serait arrivée trop tard. Puis à ma surprise, elle me demanda de coisir mon clan. Stupéfait et incompris je répondis sêchement avant de partir:

-Je refuse de choisir un clan. Elle a attaqué ton amie, tu veux la veanger, je le comprends très bien. Moi en rvanche je refuse de me mettre entre vous deux. C'est comme si on te demandais de choisir un clan entre Bella et un de tes amis. Entre deux ^tres qui comptent pou toi. Non je refuse, tu as décider de tentéter alors assume! Et non ce n'est pas parcequ'une amie se conduit mal, que j'e fait de même ou que j'approuve, tu le sais bien!

C'était ridicule! Elle resta bouche bée un instant et je murmura tout bas, comme pour me persuader moi même:

-Et puis, je n'ai pas le temps pour ça, j'ai perdu déjà assez de temps comme ça, je dois tenir une prommesse parfaitement humaine et des plus respectables...

A ces mots, je partis en flèche, je pensais à Bella que j'avais laissé seule. Je commençais mal ma promesse de veiller sur elle. Je ne voulais pas qu'elle m'en veuille pour ça. Je me décevais, mais j'étais décidé à rattraper Caroline, sans mal, en suivant ses pensées et son odeur à la trace, contourant la fôret! Il fallait en finir...

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Pour la premières fois depuis ma misérable existence, je supposais, du moins j’étais persuader que j'allais mourir... Vous allez me dire tout le monde meurt un jour, néanmoins je savais pertinemment que ma fin serait proche, plus proche que vous ne pourriez l’imaginez … Je me sentais mal. Je n’étais plus vraiment moi-même ses derniers temps, j’avais l'impression d'être dans un rêve éveillé ou plutôt un cauchemar, oui un véritable & effroyable cauchemar. Cette créature avait failli m’abattre comme une moins que rien. Je ne cheminais plus droit, j'avais la nette impression qu'un mur m'empêchait d'avancé ... J’étais prise au piège par cette femme d'apparence si belle pourtant si cruelle, c'était une vampera. Heureusement qu'Alice était arrivé à temps avec un certain dénommé Edward.

Se jeune homme, était d’une beauté inégalable bien que je ne le connaissais pas je pouvais percevoir en lui le bien. Ils m’avaient tout deux sauvé la vie : Ma meilleure amie et se cher Edward. Mon devoir était de les remercier pourtant je me taisais.

Jamais de ma vie, je n’avais pu apercevoir Alice dans un tel état d’irritation. Elle cavalait après cette vampera pour l’assassiner. Son regard faisait peur, j’étais certaine d’une chose, Alice désirait se venger & cette femme risquait sa vie bien qu’elle l’eut mérité. Quant a moi j’osais a peine produire ne serais-se qu’un mouvement de bras, une simple respiration …

C’était la première fois que je voyais Alice exercer son métier qui était presque une passion pour elle. Ma meilleure amie, s’avança donc a mes cotées d’un pas calme & rassuré surement pour ne pas m’affoler. Je tenais à peine debout, ma tête tourbillonnait. La boue avait envahit mes affaire dorénavant malpropre. Quelques hématomes firent leurs apparitions aux fils des secondes & mon bras était probablement casser : Sûrement rien de très méchant heureusement pour moi. Alice s'approcha de moi, me pris délicatement par le bras & enfin me questionna sur mon état de santé. Je répondis un petit oui d'un hochement de tête très bref. Je ne savais que dire, quoi faire. Alice me saisissait sous son épaule et m'aida à m'adosser sous un arbre. J'essayais de retenir mes larmes en vain. Mais je ne pu m’empêcher de m'effondrer dans ses bras qui pour me rassurer, me serraient fort, tellement fort que j’en avais omis mes soucis.
« -Ca va aller je suis la ne t'en fait pas. « Me rassura-t-elle, du moins essaya t-elle.

Je mis plusieurs minutes à reprendre mes esprits, à stopper mes sanglots qui ne cessait depuis se malencontreux incident. Je me dialoguais qu’une fois encore, j'étais incapable de me défendre seule. je répondis d’une petite voix :

-Je vais bien ne t'en fais pas .mentais-je

La vengeance, la seule chose qui maintenait encore la belle en vie de nos jours.… Un sentiment qui n’empêche toute personne de mener a sa propre perte. Un sentiment qui nous fait plus devenir forts que jamais à l’apparence mais au fond, vous l’auriez bien compris un gouffre ne cesse de s’intensifier, la souffrance est encore présente ... En pire …
Cette sensation de châtiment qui nous pousse a resté dans se monde … Qui nous pousse à tuer … Qui nous pousse à nous anéantir & a vivre. Cela fais bien trop longtemps qu’Alice est prisonnière de sa vie, de ses actes, de son passé. L’événement qui s’était produit se jour-ci lui remémorait l’histoire de ses parents. Depuis se drame, Alice avait un certain penchant pour l’autodestruction, elle n’a jamais été aussi proche de la vie & compte bien en terminer. Une mort héroïque n’est pas la meilleure chose qu’on pouvait envier ? Il parait que l’enfer c’est quand il n’y a plus d’espoir. Donc se jour-ci c’est la fin.
Alice se ferait transvaser de son sang jusqu'à la mort … Du moins, elle le désirait …

- Je sais très bien a qui j’ai affaire Edward mais merci de t’inquiéter sa me toucher sur se enrevoir & puis se ne sont que des écorchures rien de grave.

Quel charabia lui chantait donc le petit ami de sa cousine … Du n’importe quoi c’est le cas de le dire. Si il choisit de partir pour sauver la vampera alors il serait dans son camp point final telle était la façon de voir de la belle & cela jusqu'à sa perte qui ne serait sans doute que récente.
Mais a ses paroles, il réussit à la persuader qu’il n’allait malencontreusement pas l’aider à prendre la fuite ou la nourrir bien au contraire or un doute persista dans l’esprit de la chasseuse… Alice était comme sa elle n’arrivait pas a avoir confiance en une personne qui ne lui ’était pas totalement fréquente.
C’est donc d’une voix au tonne qu’elle lui répondit.

-Si telle est ton vœu, salut …

Guettant les deux êtres autours d’elle, c’est un pas accéléré que le vampire s’en alla le premier. Elle se retrouva donc seule au cotée de sa meilleure amie qui essaya tant bien que mal de dissimuler son appréhensions.

-Sa va bien aller ne t’en fait pas, je veille sur toi, je te le promets.

Lui chuchota doucement la brune pour ne guère effrayera son amie. Elle s’était mis en tête qu’elle avait le devoir de la protéger, et qui dit protéger dis venger.
La prenant délicatement par la main, les deux femmes allèrent dans la forêt en la recherche de leurs proies.

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Cela faisait exactement cinq jours que je ne m’étais pas nourri, j’étais donc affamé.
Etant très rusée et astucieuse, j’appelai Leah, une ancienne connaissance qui n’était ni plus ni moins qu’une simple humaine.
Ingénieuse, je me fis passer pour son amour déchu, lui proposant de se voir, se remémorant ainsi les instants passé a ses cotées. Je lui avais fourni le lieu de rendez vous, une ancienne forêt …
Elle trouverait probablement la situation étrange mais une seule chose comptait : me nourrir. Ma faim était abondante … J’avais atteint le point culminent de ma soiffe, ne pouvant à peine raisonner correctement. Elle arriva au lieu de rendez vous comme je l’avais déjà prévu. Je l’attendais avec impatience, jusqu'à se qu’elle soit assez proche de moi pour sortir des buissons, alléchée par ma proie, je lui bondis dessus. A peine eus-je le temps de lui sauter dessus qu’une femme arriva en compagnie d’Edward Cullen, un très fidèl ami. Mon seul vrai ami. Que diable faisait-il ici ? Je vis Edward poser à terre la grande brune et se diriger en ma direction. J’étais toujours sur Leah, mes crocs prêt à être enfoncer dans sa chair. Edward observant mon regard dorénavant âcre, il comprit immédiatement mon état : J’étais assoiffée. Il connaissait bien mes goûts en matière de nourriture, pas des filles! Des goûts qu’il n’approuvait en aucun cas d’ailleurs. Il grogna, paniqué je pris la fuite en quelques secondes à peine j’étais dans un autre endroit.
Je savais qu’il avait ce besoin de sauver des vies, des innocents.
J’utilisai le peu de force qu’il me restait pour courir et échapper aux deux jeunes femmes imprudentes qui comptaient pour sûre me poursuivre. J’attendis qu’Alice et leah partent, pour poursuivre dans la direction opposée : celle qu’empintait alors mon sauveur. Je savais qu’Edward allait me chercher pour qu’on discute, c’est alors que j'allai dans un coin connu de nous deux pour l’attendre. Pourvu qu’il face vite, pensais-je. Sans lui, j’aurai eu le temps de manger cette petite effrontée, mais je ne pouvais lui en vouloir, je savais qu’il ne me laisserait pas là ! J'entendis du bruit, je me mis sur mes garde, malgré ma faiblesse, me préparant au cas où à l’attaque des deux humaines, dont vu m’on état déplorable, je ne pouvais pas ignorer. Puis, je vis que c'était Edward. Je senti une vague rassurante et familière s’emparer de moi. Il s’approcha et je me senti partir, mes yeux se fermaient d’épuisement, il fallait que je mange. Je ne comptais plus que sur lui.

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Je poursuivais ma route à travers les arbres, à sa recherche. Je m'inquiétais pour elle, je me surprenais moi- même. J'entendis son souffle près d'un châtaignier. Celui même où Alice, ma soeur, me donnait rendez-vous en cas de besoin. J'allais encore plus vite que d'ordinaire, aillant du mal à freiner en arrivant vers elle. Je me jetai au sol en la voyant inconsciente. Mais depuis combien de temps n'avait-elle pas manger pour tomber à bout de force? Je la pris dans mes bras et m'enfuis avec elle, par peur que la chasseuse et sa jeune amie nous surprennent. Mais mon amie, que je prenais soin de ne pas trop secouer en fonçant aussi vite que possible, me ralentissait. A la vue d'une clairière ombragée, sur les bords de la forêt, je la posai délicatement au sol. Elle ne bougeait pas, elle semblait tellement endormie qu’on aurait pu croire avec son teint blanchâtre à une humaine très malade. Je la laissai l'espace de quelques minutes, le temps de m'attaquer à une pauvre biche. Une jeune biche frêle qui frémit lors de mon bond de chasse. Après l'avoir achevé de ma morsure la plus rapide et efficace, je la traînai à ses pieds, du sang encore frais coulais sur mes lèvres. Je secouai ma nomade au niveau de l'épaule, lui présentant mon butin tout juste frais.

- Liline! Chuchotais -je. Liline réagit, tu es en danger. Liline s'il te plait! Grognais-je.

J'aspirai le sang qui coulait le long de ma bouche, ça me donnait soif mais je résistais. Je pensais d'abord à elle.
Je savais très bien qu'elle allait renier l'idée d'avaler du sang animal, mais vu son état déplorable et les deux jeunes femmes qui gagnaient du terrain, elle n'aurait vraiment pas le choix...

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Cheminant a la recherche de leur " ennemi " , les deux humaines ne s'attardèrent pas a examiner les environs , les pièges pour ours , les êtres maléfiques les entourant . Non elles n'avaient nul le temps d'explorer les environs. Elles ne désiraient qu'une chose en tout cas pour Alice cette chose était de venger son amie Leah & ainsi tuer un vampire de plus. Une besogne lourde a soutenir sur ses épaules néanmons Alice était une personne obstinée & bornée personne n'aurait pu l'arrêter dans sa quête.

Au fils du temps , Alice repéra un indice en la compagnie de la rescapée , un liquide pour le moindre poupre & dont l'odeur persisitait : Du sang. Ils se trouvaient dans les environs , elle en était certaine. Pourquoi " Ils " car elle savait d'or & déjà qu'Edward Cullen se trouvait aux côtées de l'autre vampera.
Accélérant la cadence ,

Arrivé a destination , un spéctacle horrifiant les attendaient ! Edward avait trahi la confiance de la chasseuse en nourrissant l'autre binbêche de vampera.
Leah quant a elle , restait en recoule surement pas méfiance contrairement a Alice qui s'avança sans gène !!*

_ Mais qu 'est se que t'a fais !

lança t-elle d'un regard âcre' a son destinateur : Edward Cullen

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Après quelques minutes, enfin, elle ouvrit les yeux, me regardant de travers.

"Vire ça de mon champs de vision!" Grogna t-elle essoufflée.

"Tu es ridicule, lui refusais-je amusé, tu n'arrives même pas à aligner trois mots et tu refuses du sang fraix!"

Elle railla, puis je cru haluciner. Elle attrapa le coup de la biche morte et aspira avec dégout tout son sang.
Elle alla si vite, que pour terminer sont calvaire, elle manqua de s'étouffer.
Je lui tendis un agréable sourire, ne pouvant contenir la satisfaction que son geste venait d'accomplir en moi.
Ca ne voulait rien dire, elle n'avait pas apprécié la boisson, cependant, elle avait enfin goûté au sang animal.
Je l'aidai à se redresser, quand des bruits me parvinrent à l'oreille.
La vampera se dressa, furibonde, aux agets.
Je lui fis signe de fuire, c'était les deux jeunes femmes qui pistaient sûrement les taches de sang laissées par la biche.
Pourtant, elle me stoppa et me retint par le bras.

"C'est trop tard, me dit-elle confuse, elles ont compris, elles savent pour la biche, je n'étais vraiment pas en état de chasser."

Elle avait raison, j'acquiessai d'un signe de tête et me redressai, tentant de garder mon calme.
Non surpris, je vis Alice se précipiter vers nous. Ma camarade grogna, le pallait aléché, mais je me mis en travers elles.
Cette chasseuse était tout bonnement inconsciente!

"Mais qu'est-ce que t'as fait?" me lança t-elle l'air affolé.

Ce que j'avais fait? J'avais refusé de laisser mourrir un être en qui je croyais tout simplement.
Après tout, son amie vivait encore et en partie grace à moi, à ma rapidité qui nous fit arriver juste à temps.
Je refusais de laisser mourrir qui que ce soit, chacun méritait sa chance...

- Je refuse de laisser mourrir qui que se soit, que ça te plaise ou non, je n'ai aucun compte à te rendre.
Je te rappelle que c'est toi qui désire vangeance, mais ton amie est sous le choc et du repos au calme lui serait plus propice que de vagabonder en forêt à cette heure ci! Je n'ai pas à me ranger d'un côté ou d'un autre car j'ai sauvé ton amie et à présent j'espère sauver la mienne, c'est tout! Répliquais-je agacé!

Je fis signe à Caroline de me suivre, me détournant. Je craignais plus un dérapage de sa part, plutôt que ces jeunes femmmes, dans ce cas- ci impuissantes.

||

Alice fit la mou , n'écoutant que la moitié des paroles de se chère Edward Cullen , elle acquérais d'un hochement de tête , Alice n'était pas le genre a s'énerver pour un rien or , lorsqu'il s'agissait de ses proches , celle-ci avait des comportements un peu trop excessif , il faut l'avouer tout de même. Bref , Alice s'était aperçut de son état que l'ont pourrait qualifiez d'hystérique & s'excusa de son regard perçant.
Edward était un être que la jeune chasseuse appréciait bien qu'elle montrait le contraire. Il était certes beau pour la plus part des individus bien qu'Alice le trouvait banale pourtant il avait un charme inégalable ! Peut-être est-ce ses paroles lucides qui émerveillait la jeune femme , peut-être était-ce la beauté de ses mots , leurs raisonnance ! Qui sait ! Après tout , son vécut était incroyable ! Il avait une existence des plus excitante qu'il soit bien qu' Alice ne voudrait la vivre pour rien au monde. Elle décida donc de prendre la parole en personne civilisé.

" Je n'ai pas l'intention de te tuer , du moins pas maintenant ! J'ai d'autres occupations "

Le vampire toujours aussi craquant soit-il esquissa un doux sourire tout en tendant sa main vers la gente dame qui elle aussi exécuta les même mouvements. Au fond , ils étaient tout deux identiques, chacun d'eux étaient se qu'ils n'avaient jamais voulu être. Tout deux n'avaient pas désiré un destin aussi pitoyable ! Non la vie les avaient obligée a saisir se qu'elle leur tendait sans aucune explication !

" Au fond , nous sommes les même n'est-ce pas ? "[b]

Soudainement , la vampera d'un regard toujours aussi intense défia la chasseuse d'un simple sourire tout en examinant Leah , celle qui avait faillit perdre la vie sans l'intervention de son cher compère : Edward Cullen. Celui-ci vi très vite l'intention qu'avait Caroline. La provocation était sa seule arme de défense , celle qui la faisait existait dans se monde, cependant , Alice n'effectuat aucun signe de résistance. Elle savait pertinnament qu'elle ne toucherait jamais son meilleure amie , elle avait bien trop peur pour cela !

" Je pense que ta chère amie ne sait pas à qui elle a affaire ... "

Je crois que tu peux le mettre aux archives non? Leah ou Caro ne répondront pas...

» Tu dois me parler! {With Alice Taylor
» With you {Edward Cullen
» I Want you so! [Après le resraurant] {Alice Taylor
» Présentation - Edward Cullen - Terminée et Validée.
» Je craque, tu dois m'aider { Edward Cullen }

Des jours comme cela [ Edward Cullen, Caroline St John & Alice Taylor]

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