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 « God is dead. Life is a bitch. ▬ »

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Aleksandr Ivanov
Excorcise me.
† ▬   Excorcise me.
Aleksandr Ivanov


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MessageSujet: « God is dead. Life is a bitch. ▬ »    « God is dead. Life is a bitch. ▬ »  EmptyLun 18 Oct - 1:17





God is dead. Life is a bitch




« God is dead. Life is a bitch. ▬ »  Aleks_10



    Un soir d'octobre , alors que la neige s'écrasait contre les joues empourprés d'un petit garçon à peine âgées de sept ans, un homme vînt vers lui. Les bras grand ouvert , l'enfant courut jusqu'à s'y blottir. Le portant jusqu'à rentrer dans un immense immeuble , l'homme emmena l'enfant dans une suite où se trouvait alors des collègues de travail. Le déposant à terre , il le pria de suivre une jeune femme qui l'emmena dès lors dans une pièce. Un air stricte s'affichait sur le visage de l'homme , soucieux qui admirait par la fenêtre le paysage qui s'offrait à lui. Toussant quelque peu , il ôta son veston, prit une pastille et s'adossa contre un siège. Le mobilier était simpliste , ce qui l'impressionnait le plus était un vieux piano désaccordé qui basculait du côté droit. Immédiatement , il s'avança , tapotant de ses doigts gelées. L'instrument émit quelque délicate note, avant qu'un enfant ne s'embarque dans l'aventure afin de rajouter quelque murmure de jeunesse. Un regard admirateur se portait sur l'homme , non seulement celui de son fils mais aussi des invités. Une douce caresse le long du visage de l'enfant et celui-ci repartit. Se levant , un serveur lui servit un verre de whisky qu'il accepta volontiers afin d'admirer une fois de plus la vue du bâtiment ou de ce qu'il s'en suivait. Il chemina en direction de l'escalier rond , qu'il grimpa afin de poursuivre jusqu'à la mezzanine où se trouvait ses clients favoris. C'était un homme d'embonpoint, suivit de sa femme et d'une de ses maîtresses. L'affaire fut simple , et le résultat grandiose. Après avoir conclut les conditions d'un préalable contrat, les hommes se serrèrent la main , glissant ainsi boussole dans la manche du jeune homme, quelques baisers de ses femmes et il repartit en bas où il prit un peu l'air et ouvrit enfin la boussole où se trouvait quelque dose de cocaïne. La nature était éclairée par de fin rayon lumineux , on pouvait alors chevaucher l'horizon par de verts pâturages recouvert d'un voile d'innocence. On pouvait distinguer au loin , plusieurs feuillage multicolore semblable au Champ Elyseum et se contrastant tout à fait avec le terrain rocheux et grisâtre des collines. On pouvait entendre en ce soir d'octobre , murmurer le vent s'affalant contre les roches ainsi que les hautes herbes qui s'écrasaient quant à elles , les une contre les autres. Alors que la nuit laissé place au petit matin , l'homme pouvait alors sentir la rosé matinale de l'herbe fraichement coupée , ce qui laissait alors un goût d'intense extase. La douceur de l'herbe était une suave caresse qui l'émerveillait autant que son fils le faisait. Le ciel , d'un bleu inhabituel laissait imaginer un paysage en parfaite osmose entre l'homme et la nature , une image qui ne cessait de s'embellir avec le temps.


    Dans les environs de six heures , au petit matin , l'homme après avoir joui des festivités se décida enfin de partir. Il avança donc doucement dans le hall , et fit plusieurs dortoirs afin de trouvé son fils qui dormait paisiblement dans les bras d'une femme. Il souleva quelque peu le corps de son enfant et l'emmena ainsi dans la voiture tout en veillant à son bien être. Une fois arrivée à destination , il prit les même précautions qu'a l'allée et l'emmena doucement jusqu'à sa chambre où il le coucha , et rajouta une couette afin de se poser à ses côtés et de le réchauffer. Il attendit que l'enfant se rendorme pour partir , et de se servir un verre de jet 27 qu'il but cul sec avant de s'en resservir un autre , et un autre jusqu'à sombrer dans profond sommeil. Quinze heure de l'après midi, un fond sonore se fait entendre, le cellulaire de l'homme. Une voix enfantine répond alors, s'avance vers le sofa et bouscule un homme à moitié avachit.

    « Papa , Papa. »
    « Sasha je dors ! »


    L'homme gémit , l'enfant par crainte se tait , s'excuse et raccroche le téléphone. L'enfant attristé par la situation dans laquelle est son père ,s'approche de lui. La bouteille entre ses mains , il monte sur une chaise afin de la vidée entièrement dans l'évier et comme à son habitude , l'enfant la jettera dans la benne à ordure à l'intérieur de son immeuble. Dix-sept heures , l'homme se réveille enfin , s'apercevant qu'il n'a plus sa bouteille à la main , il demande alors à son fils s'il ne l'a pas vus. L'enfant ne répond pas. L'homme cri , les larmes inondent les yeux de l'enfant mais il ne pleurera pas , du moins pas devant son père. Aujourd'hui , sa tante passera le chercher , son père ne prendra pas la peine de lui parler , il ne veut plus avoir affaire à elle , ni à personne d'ailleurs. Il embrassera son fils , et profitera de ce temps libre pour inviter quelques connaissance à lui.
    La boussole à l'intérieure de sa poche, il l'a sort. Après avoir consommer plusieurs bierre ainsi que quelques mélanges d'alcool , il décidera de s'isoler , et de consommer entièrement la substance qui s'y trouve à l'intérieur. La tête tourbillonnante , sa main se pose sur une rempart , il glisse , s'affale dans les escaliers. A terre , ses amis partirons effrayés, un d'entre eux osera toucher son pouls. Un liquide blanchâtre sortant de sa bouche , des tremblements convulsifs , les yeux complètements rouges , il en déduit une overdose. Appelle la police et par peur s'en ira avec les autres. Son corps sera retrouvé par sa sœur ainsi que son fils. Il se retrouvera à l'hôpital. Nom du client : Ivanov , prénom : Aleksandr. Ici pour une overdose ainsi que de sévères lésions à la tête, patient inconscient pour le moment , ni mort , ni vivant.





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MessageSujet: Re: « God is dead. Life is a bitch. ▬ »    « God is dead. Life is a bitch. ▬ »  EmptyMar 9 Nov - 22:33




« Max... Alek est dans le coma » lui dit Ethan au téléphone. Blêmissant, elle est un incapable de répondre. Puis soudain, celle-ci disparaît dans un faible écran de fumée, se volatilisant comme par enchantement. Le téléphone retombe, se cassant au sol.

Devant la porte, elle reste là, immobile. Ne pouvant bouger. Si elle s'avance, elle fondera en larmes. Alors elle se retient, se contentant d'observer ce corps presque sans vie. C'était la première fois qu'elle le revoyait depuis qu'elle avait foutu le camps de sa vie, c'est-à-dire depuis près d'un an et demi. Bon Dieu qu'il avait maigri... Ses joues étaient beaucoup trop creuses, son visage beaucoup trop pâle. Mais qu'est qui s'était passé pour qu'il en arrive à là? Allongé dans ce lit d'hôpital, victime d'une overdose? Alek que t'est-il arrivé pour que tu te laisses mourir à ce point là? Fébrilement, Max s'approcha d'Aleksandr. Il paraissait si serein... Un vrai ange endormi. Elle ne s'était jamais lasser de le regarder dormir, dans le temps. Un temps tout aussi éphémère que lointain désormais. Son cœur se serra au moment même où les souvenirs affluèrent en masse dans son esprit. Elle l'avait aimé. D'un amour sincère et sans limite. Et il lui avait rendu la pareil... Encore aujourd'hui, celle-ci se demandait comment elle avait eu le courage de le quitter. Si on pouvait du moins qualifier cela de courage; car ceci s'apparentait plus à de la stupidité qu'au courage. Oui, elle a été stupide. Stupide de l'avoir aimé. Stupide de l'avoir fui. Stupide pour tout simplement avoir été ce qu'elle est. Seulement voilà, Max avait beau dire tout ce qu'elle voulait, elle avait encore Aleksandr Ivanov dans la peau. Comme si son nom et son visage lui avaient été tatoués au fer rouge, en plein milieu de son cœur. Un an et demi s'était écoulé mais elle ne l'avait toujours pas oublié. Alors elle était revenue il y a six mois pour essayer de recoller les morceaux. Mais ce soir là, voir Alek avec une autre femme et un enfant l'avait pétrifiée. Les voir ainsi par la fenêtre, en train de dîner tranquillement dans le salon, lui avait fait réaliser les choses. C'était fini. Elle, Max Evans, faisait désormais partie de son passé. Et ça, ça l'avait blessée, du plus profond de son âme. Alors elle avait tourné les talons, sans lui avoir parler, sans qu'il l'ai vue. Décidant de quitter définitivement la vie d'Aleksandr. Puis, il y a eu ce coup de fil...

La jeune femme s'approcha de son ex-compagnon. Elle approcha ses lèvres de son front et y déposa un baiser. Le contact de leur peau la fit frissonner. Dieu qu'il lui avait manqué... Chaque particule de son corps était en manque de ce contact. Elle avait bien sûr eu d'autres partenaires après Alek, mais aucun n'avait vraiment su combler le vide laissé par celui-ci. Et le pire, c'est que au final, c'était elle même qui s'était infligée cela. Elle l'avait fuit par peur de l'aimer; et voilà le résultat. Le voilà dans cet état, dans cet hôpital. Peut-être que si elle était restée, elle lui aurait éviter ça. Peut-être que si elle était restée, c'est elle ce soir-là, qui se serait retrouvée à la place de cette femme, à coté d'Alek et de son fils. Pathétique... La voilà maintenant en train de penser aux choses pour lesquelles elle avait fui le jeune russe. Elle n'avait jamais voulu fonder une famille. Seulement voilà, comme à chaque fois qu'elle se retrouvait à coté de lui, elle débloquait complétement. Et le fait qu'il soit sur ce lit d'hôpital n'arrangeait rien. Doucement, elle s'allongea à coté de lui, prenant bien soin de pas toucher à tous ces fils qui le reliaient au monitor. Elle plaça sa tête au creux de son cou et posa sa main gauche sur son cœur à lui, guettant le moindre battement comme pour s'assurer qu'il était encore en vie. Elle ferma les yeux, attendant quelques secondes pour les rouvrir. Il ne bougea pas. Qu'est ce qu'elle espérait? A quoi pensait-elle? Qu'elle arriverait à le réveiller rien que par sa seule présence? Les larmes envahirent ses yeux. Elle avait envie de hurler sa douleur. D'agiter ce corps, de le baffer jusqu'à ce qu'il se réveille. Mais elle n'en fera rien. Elle se releva du lit. Posant son front contre le sien , les yeux clos, elle lui murmura, d'une voix attristée:

« Pardon. Pardon d'être parti comme ça. Mais si j'ai été capable de ça, ça veut probablement dire que je ne te méritais pas. A ce titre, peut-être que mon avis t'importe peu mais... » Elle se tut pendant deux secondes, se retenant de pleurer. Mais une larme parvint néanmoins à s'échapper, percutant tel une perle sur l'une des paupières du jeune homme. «  S'il te plait: réveilles-toi. Beaucoup de personne ont besoin de toi. J'ai besoin de toi... J'ai besoin de te savoir en vie. Je tiens à toi, même si mes actes t'ont fait penser le contraire. Je m'en irais Alek. Juste... Fais en sorte de sortir de ce trou noir dans lequel tu es. Penses à ton fils. Penses à celle que tu aimes. Penses à Maxim, Damon... Ils ont besoin de toi tout comme tu as besoin d'eux. Alors s'il te plait... Ne baisses pas les bras. Alek.. Je...» Mais elle ne continua pas. Il était maintenant beaucoup trop tard pour dire une chose pareille. Elle avait déjà assez causé de dégâts, il était hors de question qu'elle continue sur sa lancée. Alors autant se taire et vivre avec. Après tout, c'est ce qu'elle a voulu non? Elle l'embrassa à nouveau sur son front. Un baiser tendre et douloureux à la fois, qui semblait sceller sa promesse de partir définitivement. Comme si c'était la dernière fois qu'elle le revoyait. Plus d'Alek et Max. Plus de Max et Alek. Il était temps qu'elle commence à dissocier ces deux noms. Pour son propre bien à elle. Résolue, Max se leva et recula d'un pas. « Prends soin de toi Alek. »

Elle n'attendrait pas son réveil. Car oui il se réveillerait; elle le connaissait suffisamment pour pouvoir affirmer qu'il se battrait pour rester en vie. Sûrement pas pour elle, mais pour son fils et la femme qui partageait à présent sa vie. Elle se retourna pour laisser ses larmes couler. Sa décision était maintenant prise. Alors lèves la tête Maxine Evans. Ravales tes sanglots et dégages. Dégages de cette chambre. Dégages de cet hôpital. Et surtout dégages de sa vie...
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Maxim L. Ivanov-Woods

DARKNESS GIRL ♣
Story of broken heart .

Maxim L. Ivanov-Woods


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MessageSujet: Re: « God is dead. Life is a bitch. ▬ »    « God is dead. Life is a bitch. ▬ »  EmptyJeu 11 Nov - 1:22


GOS IS DEAD. LIFE IS A BITCH ☂
...

« God is dead. Life is a bitch. ▬ »  2ufedeq


‘‘ I WILL NEVER LET YOU FALL
I'LL STAND UP WITH YOU FOREVER
I'LL BE THERE FOR YOU THROUGH IT ALL
EVEN IF SAVING YOU SENDS ME TO HEAVEN ’’





    Je m’appelle Maxim Louna Ivanov-Woods. Dans ma vie j’ai connue plus de bas que de haut, et je pense que ma pile de mauvaises choses était plus grande que son opposée. Je pensais avoir connue le pire, c’était avant cette matinée d’octobre.
    Je me voyais encore le supplier de revenir, le supplier de ne pas me laisser, le supplier de ne pas me condamner à mort, le supplier de ne pas partir. De rester encore un peu. « Alek ! » hurlais-je à pleins poumons. Les sanglots dans ma voix. Mais il continuait à marcher, à marcher sans se retourner vers moi. Il était parti, il m'avait laissée, seule, tremblant sous la pluie, sans espoir, sans plus rien à quoi me raccrocher, il m'avait abandonné après m'avoir laissé croire qu'il était prés à me pardonner. J’hurlais dans le noir le plus complet, encore le même mauvais rêve. Un mauvais rêve qui résumé parfaitement ma situation et que je ne cessais de le faire depuis que mon chemin avait recroiser celui de mon frère. J’avais espérer qu’avec le temps les choses auraient fini par s’arranger mais plus il passait et plus la situation semblé s’empirer. Il ne m’adresser pas la parole, ne m’accordait même pas un seul regard lorsque j’aller chercher Sasha : à ses yeux j’étais morte et j’avais bien conscience que si je n’essayer pas d’arranger la situation, j’aller le perdre à tout jamais. En attendant d’avoir une idée lumineuse je me contenter de passer chercher son fils pour notre promenade quotidienne. Sasha ou un ange tombé du ciel, tout sembler si simple avec lui. Il suffisait qu’il mette sa main dans la mienne pour que j’oublie mes problèmes. C’était comme un sorte d’instinct maternelle, je me sentais comme obligé de mettre tout mes soucis pour ne me concentrer que sur une seule chose : son bonheur. Et je me doutais bien que sa vie ne devait pas être facile tout les jours. Alek pouvait faire tout ce qu’il voulait il lui manquer quelque chose qu’il ne pouvait pas lui donner : sa mère biologique. Peut être que c’était pour ça qu’il m’avait fait confiance si facilement ; dés le premier instant il avait cru en moi tout comme son père autrefois.
    Dimanche : 10h30 comme chaque dimanche depuis un peu plus d’un mois maintenant je me prépare à passer une journée devenu typique et pourtant toujours aussi magique. Un petit déjeuner, et une douche express et me voilà sur le chemin de l’appartement d’Alek. Comme d’habitude je ne sais même pas si il va prendre la peine de venir sur le bas de la porte pour me saluer ou simplement pour savoir à quel heure Sasha seras de retour et pourtant comme d’habitude je garde l’espoir qu’il prononce enfin d’autre mots. Arriver devant la porte je sonne même si comme d’habitude la clé se trouve dans mon sac et comme d’habitude c’est Sasha au comme trois pommes qui m’ouvre sauf que ce n’est pas un grand sourire qui recouvre son visage mais du soulagement mêlée à de l’horreur. « Ca fait trois fois que j’essaie de t’appeler tata ; Pourquoi tu répondais pas ? Il se passe quelque chose avec papa… il ne bouge plus. J’ai peur. » dit-il les yeux remplie de larmes. Sans perdre une minute de plus je demande à Sasha ou il se trouve et me dirige à tout allure vers sa chambre. Il est étendu sur le sol , comme mort. Il ne me faut pas longtemps pour comprendre que tous ça est dut à la drogue. Je m’approche de son corps et instinctivement prends son poult , son cœur bas lentement mais il bas.. Ce qui aurait sans aucun doute rassurer la plupart des gens vivant sur cette planète me fais paniquer. Je ne peu rien faire ; il est bloquer entre la vie et la mort et je suis inutile. Les larmes viennent submerger mon visage ; puis un cris de Sasha me ramène à la réalité. Je sors mon portable et appelle et compose le numéro tout en rassurant comme je le peux Sasha , l’ambulance était sur les lieu à peine 5 minute après.
    Attendre… encore est toujours , faire les 100 pas ce sentir inutile et avoir peur surtout. 12 h sonne a la pendule ; deux heures qu’on attend et toujours pas de nouvelle. Je n’ai prévenue personne trop dépasser par les événements mais maintenant que Sasha a enfin réussi à s’endormir et qu’il n’y a plus aucun Chewing-gum à porter de main j’attrape mon téléphone et compose le numéro de la seule personne qui me viens en tête : Damon. La panique ne m’a pas quitter ; j’essaie temps bien que mal de la dissimuler mais je ne peu m’en empêcher, maintenant que Sasha dors plus rien ne peu retenir mes larmes. Une ; deux ; trois , quatre, cinq sonneries et ça boîte vocale se déclenche « Damon .. C’est Alek il est à l’hôpital dans le coma , je ne pouvais rien faire. J’ai peur.. Et je ne savais pas qui d’autre appeler. Je n’ai même pas put prévenir Aleesha ; Sasha et avec moi. J’ai besoins de toi. » Un docteur arrive enfin et apporte les première nouvelle avec lui ; je ne m’étais pas tromper Aleksandr à belle est bien pris de la drogue et selon le docteur se n’est pas la première fois. Il ajouta ensuite qu’il fallait maintenant attendre qu’il se réveille, qu’il n’y avait rien d’autre a faire et que si je le souhaiter je pouvais aller le voir. Je pris Sasha dans mes bras tout en essayant de ne pas le réveiller et me dirigeai vers la chambre indiquer quand dans le couloir je reconnus Max. Max ou l’une des fille qui avait le plus compter pour Alek. Instinctivement je criais son noms elle était la première que je voyais depuis l’accident et même si nous n’étions pas forcement très proche j’étais comme soulager ; je n’étais plus seule. « Max je t’en prie ne pars pas , Alek à besoins de toi il à besoins de toute les personne qui compte pour lui et je sais que tu en fais partie. Il faut que je mette Sasha autre part mais s’il te plait , reste. » Je rentrais alors dans la chambre et déposer alors Sasha sur un fauteuil et m’installer sur une chaise à côté d’Alek ; j’attrapais la mains d’Alek et pour la troisième fois de la journée les larmes coulé le long de mon visage.







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Damon M. Tallis
Damon M. «
    Dust in the wind.

Damon M. «  Dust in the wind.
Damon M. Tallis


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MessageSujet: Re: « God is dead. Life is a bitch. ▬ »    « God is dead. Life is a bitch. ▬ »  EmptySam 13 Nov - 19:52

Beaucoup de choses avaient changé, beaucoup de chose n'étaient plus du tout les même et bon Dieu qu'est-ce que ça m'énervait. Je n'aimais pas la brutalité et tout ce qu'il s'était passé depuis un an était vraiment trop brusque. Je m'étais perdu en route et à présent, il n'y avait que des souvenirs de celui que j'étais avant. J'étais quelqu'un d'autre et je ne parvenais pas à m'y faire. Je restais bloqué dans un malaise, face à un mur immense. Je refusais, pourquoi le refus était la chose que je ressentais le plus. Ma mère m'a toujours dit d'écouter mon coeur, quel cliché mais aujourd'hui je comprenais mieux ses paroles. Ca me sautait aux yeux. Mais je n'avais pas la capacité de remonter le temps. Je ne pouvais pas leur décrire mes sentiments, cela ne servirait à rien. J'en été bien conscient. J'imaginais toujours la fin de chacune des choses qui me constituait et mon esprit fusait dans un brouillard imposant. Ecrire était tout ce que j'étais capable de faire, parler de mes sentiments ne se passerait pas sans disputes et je n'avais plus le coeur à me disputer, non. C'était trop tard et j'avais l'étrange sensation de me rendre. A l'intérieur, je criais que je ne voulais pas me rendre. Je n'avais rien demandé, l'ampleur était immense et je ne ressentais même plus la peur. Je ne voulais plus rien sentir à vrai dire.

Je restais des heures dans ma chambre, avec ce carnet qui était le seul à connaître mes brûlures, la haine qui dormait en moi et toutes les choses que je ne supportais pas ici bas. Lorsque je me relisais, j'avais l'étrange sensation de lire un écorché terriblement critique et ironique mais je n'en avais rien à faire. La stricte vérité était dans ce livre, la seule vérité. Ma vision des choses et ça n'avait pas besoin de lecteur. Car il n'y avait que du sang entre mes lignes. A présent, je ne répondais plus aux appels de mes proches, mon portable étant constamment éteint. Je ne consultais plus mes mails, je ne parlais plus à personne et personne ne venait me déranger. Je ne savais absolument pas comment ils allaient, comment leur vie évoluait et c'était triste à dire mais je ne parvenais pas à y penser. Lacéré par les choses passées, fissuré par la saturation de choses auxquelles je n'avais pas vraiment eu le choix. Je restais là sans l'être, comme un tableau accroché au mur. Les seuls sons aux alentours n'étaient que le frottement de mon stylo contre la page blanche. Peut-être que l'écorché que je lisais était ce que j'étais réellement, oui, j'en été de plus en plus certain.

Mon portable était sur mon bureau, éteint, me narguant presque à continuer ce jeu qui n'était malsain que pour moi. Je ne demandais pas à ce que l'on me comprenne. Je demandais à ce que l'on me laisse décider de ma propre existence. Encore en ce moment, je ne sais pour quelle raison j'ai allumé ce téléphone mais je l'avais fait comme un instinct que je n'étais pas capable d'expliquer. Après des jours de silence radio. La première chose que j'avais fait était de consulter ma boîte vocale et je tombais sur une voix qui m'était familière. C'était Maxim, en pleurs, me disant qu'Alek était à l'hopital. A cette nouvelle, le sang dans mes veines circulait plus vite, le stress pouvait bien résumer mes sentiments. Directement après avoir écouter son message, j'appelais Aleesha pour lui annoncer la nouvelle, elle semblait aussi étonnée que je l'étais et elle raccrocha après m'avoir dit qu'elle essayerait de passer au plus vite. Je lâchais mon stylo, mettait mon portable dans ma poche arrière et descendait les escaliers assez rapidement. Auréa était en bas avec Syd et Hyde.

- Je viens d'écouter un message de Maxim. Alek est à l'hopital, j'y vais. Tu m'accompagne ou tu préfére rester à la maison ?

- Je t'accompagne.

En mettant ma veste, je prenais mes clés de voiture et toujours ce paquet de cigarette qui ne me quittait presque jamais. Ca me faisait du bien de savoir qu'Auréa était présente pour moi à tout moment, même dans les plus difficiles. Je prenais conscience que la confiance que j'avais en elle augmentait à mesure qu'elle me prouvait sa présence. Après qu'elle ait mis sa veste, je disais aux garçons qu'on serait de retour dans la soirée. Puis je prenais sa main jusqu'à la voiture et je la remerciais en même temps, ça comptait qu'elle soit là pour moi, plus que je ne l'aurais pensé, plus que je ne pouvais me l'avouer mais c'était comme ça. On ne pouvait pas nier les évidences et mentir, je l'avais assez fait tout au long de ma vie. En fait, je ne savais plus de quel côté aller et elle était la seule personne à comprendre ce que j'attendais. J'avais peur que cette attache que j'avais avec son âme me consumme. Le temps où je n'avais pas de liens aussi forts me manquait dans le sens où je n'avais plus la même liberté. C'était pour cette raison que ma colère éclatait en millions de morceaux sous leurs yeux, sans jamais que je ne m'excuse comme je le devrais. Je ne savais pas quel sens de la liberté elle avait mais ma liberté, c'était ce qui me faisait vivre...

La route vers l'hopital s'était faite rapidement, je ne voulais perdre aucune minute car quoi que je puisses en dire ou en penser, Alek restait une des personnes qui m'était les plus proches et seul moi savait à quel point j'avais besoin de notre amitié, de ce lien si étrange que j'entretiens avec lui depuis mes 15 ans. Les années étaient vite passées et notre amitié s'était effritée après divers problèmes mais nous étions toujours là, je ne savais pas pour combien de temps encore mais nous étions là et c'était tout ce qui m'importait dans l'instant. J'avais vécu trop de chose avec lui pour le laisser tomber dans ce néant, je savais que tout allait mal,que nous étions loin de la constance d'Aprilia et que ce trop plein de liberté nous faisait perdre nos moyens. J'en venais à penser qu'au temps d'Aprilia nous étions encore innocent. L'âme pure et le coeur sûrement trop d'espoir. Ensemble. C'était le mot d'ordre. Je ne pouvais pas briser ça. Je me garais dans l'immense parking et sortais de la voiture en ne cessant de me demander dans quel était j'allais le retrouver... J'étais inquiet. C'était trop tôt pour qu'il me laisse, des flash back se perdaient dans ma mémoire, éclairant mes iris un peu trop fort.

Une fois que nous étions entrés, Auréa me suivait toujours de près. Je demandais à l'acceuil la chambre d'Alek, une fois information donnée, je me dirigeais vers l'ascenseur. J'appréhendais tout ça, je n'aimais pas ce qu'il se passait et quelque part j'avais envie de courir loin de cet hôpital mais je ne pouvais pas, je me devais d'être présent. Pour Alek mais aussi pour Maxim. Si elle m'avait appellée, c'était qu'elle était vraiment paniquée et je refusais de la laisser seule avec un enfant en plus de ça. L'alarme de l'ascenseur nous disait que nous étions arrivés à l'étage demandé. Je sortais le premier et ouvrais la porte de la chambre. Alek était allongé, blanc comme un mort, les joues creuses d'une douleur qu'il dissimulait depuis trop longtemps. Maxim était à côté de lui, sa main dans la sienne. Elle semblait guetté le moindre mouvement. Ses joues étaient humides. Un petit garçon était dans le fauteuil, je n'avais pas mis longtemps à comprendre que c'était le fils d'Alek, celui dont il ne cessait jamais de me parler. Sans doute la force majeure d'Alek. Auréa entrait après moi, je la regardais puis regardais le sol ensuite. Je ne me sentais pas bien de les voir dans cet état. Max était assise dans un autre fauteuil, l'air aussi abattue que nous. Je la regardais quelques instants, puis me dirigeai vers Maxim. Elle n'arrêtait pas de pleurer et moi j'étais complètement muet face à ce spectacle. Je séchais ses larmes, du mieux que je le pouvais du moins et je la prenais dans mes bras en lui disant qu'il tiendra le coup. Je savais très bien que ça ne changerait rien mais j'avais foi en Alek, il avait surmonter pire. Je croyais en lui, je voulais que les autres en fasse autant. Puis je me détachais d'elle. Je me mettais contre le mur en prenant la main d'Auréa. Je n'avais même pas compris que c'était la première fois qu'Auréa était dans la même pièce que Maxim.
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