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 Non non, mon nom n'a aucun lien avec ce bon vieux Jimi!

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Monsieur Fifou
Mad Ones are Mad Lovers.
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Monsieur Fifou


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MessageSujet: Non non, mon nom n'a aucun lien avec ce bon vieux Jimi!   Non non, mon nom n'a aucun lien avec ce bon vieux Jimi! EmptyVen 7 Mai - 20:34

____________ ◇Identity ◇___________







♦️ ·•· ♦️ Elias Matthiew ♦ ·•· ♦
♦ ·•· ♦ Hendrix ♦️ ·•· ♦️
feat Robert Pattinson.



Non non, mon nom n'a aucun lien avec ce bon vieux Jimi! 35n6g41
© Bazzart


Identity






◇ AGE : 21 ans.
◇ EMPLOI : Etudiant en socio', occupe un poste de libraire pour payer ses études et occupe son temps libre à la musique.
◇ NATIONALITÉ : Née à Londres, a fugué à NY.
◇ PARTICULARITÉ : Il s’est fait tatouer le prénom de son frère décédé sur l'épaule de son bras gauche.
◇ GROUPE :
Spécimens évadés.






____________ ◇Story ◇___________







CE N‘EST PAS TOUT DE MOURIR, IL FAUT MOURIR A TEMPS.
- Jean - Paul Sartres -

Darain mon frère, mon ami. Le temps passe mais ton image reste, est - ce normal? J’ai l’impression qu’elle se fixe de plus en plus profondément dans mon esprit, je ne peux m’en défaire. Cette salle image de toi, le coup violacé, étalé sur le marbre dure de la maison familiale, inerte, vide. J’aimerai qu’elle disparaisse à jamais. Ce fut une belle journée aujourd’hui, tu l’aurais apprécié, j’en suis certain. Nous sommes passés te rendre visite, puis nous sommes rentrés, silencieux, comme chaque année depuis quatre ans. Celle - ci fut sans doute la plus spéciale, pour moi du moins. Moi qui vis dans ton ombre, m’imprégnant de chaque trace que tu as laissé après ton départ. Les bougies se sont éteintes au contact de mon souffle, les lumières se sont ensuite rallumées et j’ai alors découvert le visage radieux de maman, fière de garder son deuxième fils encore une année. Vint et un ans Darain, nous sommes égaux désormais, à la différence que tu es mort et que je vis encore. Je vis dans le chagrin et l’incompréhension de ton geste, dans la douleur de t’avoir découvert ainsi. Les mots m’échappent, me pèsent lourdement. Toi tu les aurais trouvé sans mal les mots qu’il faut, tu as toujours eu un tact incontestable pour mettre des mots, des citations et des histoires en tout genre sur tes pensées. Je me souviens de ce bouquin sur l’antiquité, les mythes et les querelles des dieux avec lequel tu me tapais constamment sur la tête jusqu'à ce que je le lise de vive voix… Je l’ai offert à Lina aujourd’hui. Elle m’a fait don d'un joli sourire en retour. Je l’aurai amené dans ma cavale si j’avais pu, tu le sais. Je suis conscient que la vie commence mal pour elle, elle me manque. Son frère ainé lui manque. Tu nous manque. Mais un jour nous serons quittes, j’en suis sûre. Oh ne m’en veux pas, je suis pratiquement certain que tu regrettes ce que tu as fait lorsque tu vois l’état dans lequel tu as mis la famille… en lambeaux, répandus un peu partout au grés du vent… Mais à quoi bon t’en vouloir? Je n’ai pas l’âme aux reproches aujourd’hui, c’est notre jour après - tout. Bon anniversaire mon frère.

Qu’ais - je fais après - ça? Je crois que je me suis perdu à mon tour. Je me suis mis à boire, à sortir, à trainer, à fumer. Comme toi. En fait, je me laissais envahir par une sensation nouvelle et fort plaisante: celle de la liberté. J’étais libre. Plus rien ne me rattachait à quoi ou qui que ce fut. Ma mère veillait sur Lina, mon père ne comptait sur personne, moi je cultivais ta mémoire, et c’était bien ainsi. Un matin en me réveillant, je me surpris moi - même en jetant un coup d’œil sur la vieille pendule. J’avais dormi, ce qui était déjà surprenant, mais mieux, j’avais dormi une journée entière. Je sentais les flux de l’alcool tourmenter mon alène, l’odeur des mégots la solliciter vicieusement. Comme chaque jour qui m’était permis de vivre, je me rendis sur la terrace au sommet du bâtiment pour contempler les nuages. Eden et sa légendaire vitalité m’empêchèrent à nouveau de songer au pire. Mon grand saut dans le vide ne se ferait pas non plus aujourd’hui, j’allais devoir vivre encore un temps. Complètement bourré, défoncé ou simplement un peu plus crétin que d’habitude, il insista pour qu’on sorte. Il faut dire que notre modeste appartement n’a rien de très saint, on y manque d’air mais on y est bien. Ce n’est pas le pavillon bourgeois de maman ou le bureau sophistiqué de papa, mais il y reigne une grande sérénité fort apaisante. C’est chez moi, j’y suis tranquille. J’aime la compagnie d’Eden, enfin du moins je l’aimais. Un gars simple, sans lendemain, qui se fichait de tout à l’exception de s’amuser avec ses amis. De vivre bien comme il disait constamment. Un paradoxe assez osé si on en croit les théories de grands philosophes comme Socrate pour qui la vie bonne réside dans la modération des plaisirs... La soirée était tombée doucement sur la grande ville aux milles lumières et je me perdais dans l’admiration des astres nocturnes, régnant en maître dans l’immensité du ciel urbain. J’eu une pensée pour toi, espérant que tu sois une de ces étoiles sintillantes, que tu brillais pour moi, pour nous tous qui t’aimons bien plus que tu ne l’as cru. Puis ces types ont surgi de nulle part. Pressentant que quelque chose de malsain se tramait, j’écartai doucement la jolie serveuse qu’avait dégoté Eden, ne prêtant pas garde à ses avances. Eden, toujours le mot pour rire. Il criait son amour pour la rue qui supportait nos pas nonchalants et nos rires saouls, et moi, j’avançais vers ces mecs entrain d’infortuner deux musiciens sortant du bar. Mon point cognait part instinct, répondant au sentiment insupportable de haine pour ceux qui, injustement, venaient de dépouiller deux innocents. Je frappais encore et encore, m’adonnant aux coups, sans répit. Je sentais leur sang couler sur mes points jusqu’ à ce que des bras traitres me projettent vers l’arrière. Ce sang qui n’était pas le mien, je le maudis et cracha à la figure du flic qui venait de laisser filer ces connards. C’était toujours pareil…
Pourtant j’allais bien, Eden pétait littéralement les plombs dans la cellule, moi je riais de ses emportements. Il appela mon père, je sortis dans la nuit, plus énervé de lui devoir encore une dette que d’avoir tabassé un type que je ne connaissais même pas et de m’être mis mon seul et meilleur ami à dos.


C'EST SEULEMENT QUAND ON A TOUT PERDU
QU'ON EST LIBRE DE FAIRE TOUT CE QUE L'ON VEUT.
- Fight Club -

« He… Hen… Hendrix… » La femme me regardait avec insistance, je lisais en elle comme dans un livre ouvert. Elle pensait que je n’oserais pas aller jusqu’au bout, que je lâcherai mon couteaux, laissant la lame de métal raisonner sur le sol. J’étais un spécimen, on n’arrête pas un spécimen! Je m’avançai, elle trembla comme une feuille, honteuse. J’étais venu dans ce centre de mon plein grés. Je venais de tout perdre, d'échapper à mes attaches, je voulais juste faire quelque chose de ma peau. J’aspirai à devenir quelqu’un, tout simplement et bêtement. Là - bas, ma force physique et mentale, ainsi que ma vitesse se décuplèrent à une allure folle, bien plus rapide que je ne l’aurai cru. Je faisais mon hors là loi, souvent accompagné par ma seule amie du centre, m’échappais je ne sais où dès que l’on tentait de m’ordonner quoi que ce fut, à chaque fois que l'on essayait de me dresser. Ma belle Bonnie, spécialiste malgré toi tu parlais de fuite, tu me comptais tes rêves, tes désires, comment se déroulait ta petite vie avant d'attérir ici. Je t’aimais tant, si tu savais… Tellement que je t’ai tué. Tu n’arrêtais pas de te plaindre, de me dire que tu ne pouvais pas partir alors que je n’attendais que toi. Je ne te comprenais plus. Tu criais m’aimer, ne vouloir que moi, partir pour toujours, que ce centre était un véritable enfers. Mais tu ne faisais rien, refusais mes avances. La dernière nuit, je me suis extirpé de l’emprise des gardiens de cellules pour venir te rejoindre. Nous faisions cela souvent, toi tout particulièrement quand tu te glissais dans mes draps pour te blottir contre mon torse. Puis nous restions là, imperturbables, silencieux. Quand je suis parvenu à ta porte ce soir - là, en l’espace d’une seconde j’ai cru te haïr. Je t’ai surpris dans les bras de ce monstre, ce grand monsieur d’affaire qui dirigeait la majeure partie du centre. Traitresse, tu étais si belle quand tu riais, si douce quand tu parlais, si têtue toujours, si tout… si vivante. Je t’aimais en parfait aveugle et toi tu profitais de ma bénédiction. Tu défendais le clan adverse, toi, mon idéale, mon ange brun, ma dulcinée. Je revois la scène toutes les nuits où mes yeux sont trop lourds pour restés en éveil: moi basculant en avant, couteaux en main, toi projetée au sol et mes mains serrant ton coup. Je restais là, embrassant tes lèvres et observant tes larmes couler pendant que mes mains resserraient leur emprise déjà trop puissante. Je ne fléchissais pas, déterminé à te garder à jamais, à ne pas m’infliger le supplice de te voir aux crochets d’un autre que moi. Je ne bougeais pas, te serrant contre moi en traversant ton estomac, sentant quelques secondes plus tard ta peau se glacer sous mes doigts maculés de sang.





____________ ◇Personality ◇___________





SI JE NE DISAIS RIEN,
LES GENS S'IMAGINAIENT TOUJOURS LE PIRE.
- Fight club -

Cleptomane, insomniaque à tendance schizophrène, en marge de la société, solitaire, il y'en a long à dire sur Elias. Un garçon banal en apparence si on écarte son physique ténébreux et son charme mystérieux. Etudiant en socio', ses études ne l'intéressent pas franchement. Ce qu'il préfère dans sa routine c'est son job à la bibliothèque. Vrai librairie et playliste ambulante, il prend plaisir à feuilleter et classer tout ouvrage ou CD qui passe entre ses mains. Depuis sa sortie d'Aprilia durant l'incendie, il n'a revu que sa petite sœur dont il prend soin comme de la prunelle de ses yeux, ainsi que sa mère même s'il évite toujours de s'éterniser. Son séjour dans le centre n'a pas répondu à ses attentes. Il a connu l'amour et ses déboires, la trahison, son pouvoir l'a rendu cleptomane et lui a permis de tuer une femme, et pour couronner le tout, il est toujours aussi meurtri par la mort inattendue de son frère. Il a maintenant atteint l'âge que venait tout juste d'avoir celui - ci lorsqu'il s'est suicidé, pendu à la poutre de sa chambre, dans la maison de famille. Elias est resté très traumatisé par la découverte de son cadavre, par la perte de son grand frère, son confident, son modèle. Depuis, il noie ses peines dans l'alcool et la cigarette et les virés avec son colocataire Eden.

Mais El' est un gars bien, il traverse juste une période douloureuse qu'il a du mal à gérer de part les souffrances qui s'accumulent. Oui, Elias Matthiew Hendrix devrait être un exemple pour la justice. Ce n'est pas un lâche, il ne provoque pas la mort comme son frère, il reste pour ne pas briser les siens. Il se contente d'attendre la mort, que sa venue l'apaise, il n'en a pas peur. Il fait souvent des braquages, armé ou pas, juste pour céder à ses tendances cleptomanes. Il suffit que la boutique lui tape dans l'œil et il ne peut pas résister... Mais il ne fait jamais de mal à personne, il est bien trop fin et rapide pour cela. Une fois, alors que le gérant de la caisse se pétrifiait sous la menace du révolver, Elias lui a simplement balancé "Il faudra bien que tu admettes, fric ou pas, que tu mourras un jour. Et ce jour là, de toute façon tu seras seul!" Les mots lui vinrent tout seul, l'égarant de son but premier, mais il s'en fichait. Il passa la nuit au poste et comme à chaque fois son père le fit sortir sans qu'il n'ai rien demandé. D'ailleurs, le soir même, il ne serait pas impossible de le retrouver en pleine bagarre dans un bar, juste pour tirer quelques gars d'affaire, histoire de régler le compte de ces gangues qui pourrissent les bonnes âmes. Gandhi disait que, peut importe ce que vous fassiez dans la vie, ce sera insignifiant, mais qu'il était important de le faire. Elias est l'exemple même de cette sage citation. Dans le fond, il espère juste que quelqu'un lui redonne une raison de s'accrocher à la vie... de se sentir enfin vivant.







____________ ◇Reality ◇___________






◇ Prénom : 473978
◇ Age : 16 et demi ^.^
◇ Double compte ? : Peut - être, peut - être pas.
◇ Comment avez vous connu ce forum ? : WAW depuis sa création! Wink
◇ Idée d'amélioration , remarque ? : Hum nope, nouveau perso' donc je refais ma fiche! smilies





Dernière édition par Elias M. Hendrix le Mar 14 Sep - 21:27, édité 12 fois
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Aleksandr Ivanov
Excorcise me.
† ▬   Excorcise me.
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MessageSujet: Re: Non non, mon nom n'a aucun lien avec ce bon vieux Jimi!   Non non, mon nom n'a aucun lien avec ce bon vieux Jimi! EmptyDim 9 Mai - 12:09

Nouveau personnage très intriguant !!

Au faite en passant j'ai lu ton rp avec Dantes sur Y-D J'aime ! T'as fais un peu de psychologie au départ j'adore ! C'était mon petit H-S xD
Super présentation comme d'habitude de toute façon Aprilia n'a que des membres qui écrivent bien Wink
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MessageSujet: Re: Non non, mon nom n'a aucun lien avec ce bon vieux Jimi!   Non non, mon nom n'a aucun lien avec ce bon vieux Jimi! EmptyLun 10 Mai - 17:24

Ha j'avais pas vu ton petit message! ^^
Merciii :D ça me fait très plaisir, et je suis contente que tu aimes ma fiche! <3
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MessageSujet: Re: Non non, mon nom n'a aucun lien avec ce bon vieux Jimi!   Non non, mon nom n'a aucun lien avec ce bon vieux Jimi! Empty

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