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 I’d like to make myself believe that planet earth turns slowly - Syd Moon

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MessageSujet: I’d like to make myself believe that planet earth turns slowly - Syd Moon   I’d like to make myself believe that planet earth turns slowly  - Syd Moon EmptyVen 2 Avr - 18:41

    Le grande clairière, c'est quoi ? La grande clairière c'est un lieu ou il y'as beaucoup de faunes et de flores. Un endroit que les randonneurs aiment ou ceux qui sont passionés par la nature, tout simplement. Ici, les amoureux y font leur piques-niques ou même les familles voulant sortir leurs enfants, trop incontrolables dans leur maison situer en plein coeur de la ville. Ici, les animaux vagabondent en toute libérter, loins des chasseurs ou tueurs. Loin de la pollution, du bruits des voitures dans les embouteillages un lundi matin ou un vendredi soir. Ici, le seul bruit que l'on puisse entendre, c'est simplement la brise du vent dansant avec les feuilles et les oiseaux sifflant une douce mélodie. Les gens viennent ici histoire de s'eloigner de la civilation et des problèmes du quotidien qu'on rencontre dans notre travail, dans notre vie social et famillilale. Un être humain ne peut pas vivre dans le brouha toute sa vie, il as besoin de calme et de répis a un moment donné. Ce que actuellement, j'ai besoin. Oui, j'ai besoin de me vider l'esprit, respirer de l'air pure et fraiche et laisser mes problèmes chez moi. Partir la tête vide, et ne penser qu'as soi.

    Aujourd'hui, comme pour chaque jour de la semaine, je me levais. Je ne suis pas très flemarde et donc je ne traine pas dans mon lit à des heures tardives comme 10heures ou 11heures du matin. Non non, très peu pour moi. Par-contre, je me couche a des heures qui n'ont pas de nom. Je dort très peu, j'ai jamais réussis a dormir plus de 7heures. Etant petite, je me souviens que ceux qui m'ont élevés m'avaient emmener voir un médecin car ils trouvaient sa pas normal. Le médecin disais que j'avais dûe subir un choc à ma naissance, ce qui perturberais mon sommeil. Ayant aucunes photos, aucuns actes de ma naissance, on ne seras jamais quel choc j'ai pu avoir. Celui d'avoir quitter ma vrai mère surement ? Pour le moment, c'est la seule hypothèse que j'avais. Je me leva vers les coups de 7h / 7h15. Je ne savais pas trop pour être franche. Je pris un petit déjeuner léger : Juste une tasse de café et je partie me doucher puis m'habiller. Une fois ma douche prise, je pris soin d'allez dans ma chambre, serviette autour de mon corps, pour sélectionner ce que j'allais me mettre aujourd'hui. J'opta pour un tee-shirt long et un jean qui a la coupe d'un slim accompagné de ballerines noirs. Je laissais mes cheuveux se bouclés naturellement et détachés. Je changeais mon pansement sur mon poignet droite, dont la blessure commençait a cicatrisée petit à petit mais la douleur est toujours la.

    10heures, je ne savais plus quoi faire a par le ménage ? Je regardais l'état de mon appartement et je le trouvais en bordel, mal rangé et très peu ordoné. Je deteste savoir que chez moi, c'est une porcherie. C'est pire que chez Damon, limite. Alors, prenant un aspirateur et le branchant, je me mise a faire le ménage à fond dans toutes les pièces de la maison mais par ou commencer ? Je choisis au hasard et cela tomba sur ma chambre. J'aspirais la saleté, ranger les vêtements désordonés, changant les draps de mon lit et le refessant de façon a se que sa soit propre. Je fis la poussière aussi et également les vitres dont j'apperçue des traces de doigts. Une fois cette pièce terminer, j'attaqua la salle de bain, puis ensuite la cuisine pour finir au salon. Je ne vais pas vous décrire ce que j'ai fait pendant presque deux heures et demi non plus ! C'est pas interessant et cela n'est pas très utile.

    12heures et trente minutes, l'heure à laquelle je décidais enfin de manger. Je ne me préparais à manger. Je ne me fis que un plat de pâtes et steack haché. C'est pour vous dire à quelle point je n'ai pas très faim, et cela fait quelques jours que je ne mange très peu. Il m'arrive de sauter quelques repas aussi, mais bon, je sais ce que je fait quand même. En ce moment, je sentais ma tête tourner, et des nausées qui remonter. Je suis pas encore anorexique, je manque juste de nourriture et de sommeil mais je n'ai pas vraiment la force et l'envie de me re-saisir. Je sais qu'une seule personne peut m'aider à remonter la pente et malheureusement, elle n'est plus la. J'y est crue en ses belles paroles, à ses promesses. J'ai crue que chaques baisers étaient signe qu'il serais à moi pour le restant de mes jours et que ses caresses et le faite qu'il me prenne dans ses bras me disaient qu'il me quitteraist jamais. Comme toute fille amoureuse, j'ai crue en son amour pour moi. Je préfère plus croire en rien actuellement, peur de tomber encore plus de haut. Peur de souffrir une seconde fois. Peur de me retrouver seule au monde, encore une fois, tout simplement.

    Je me devais arrêter de penser a lui, a ce qu'il m'as apporter dans ma vie pendant l'idylle de quelques semaines et à tous ses souvenirs avec lui. Je devais me re-saisir et changer d'air. Alors, je me débarbouiller le visage, pris de quoi écrire et un appareil photo et mon sac et je partit en direction d'un lieu calme et paisible : La grande clairière. Cela fessais quelques temps que j'avais pas écrit ou même fait une description d'un lieu nouveau. Je voulais me replonger dans ce pourquoi je me suos battue : Le journalisme. C'est mon métier, ce dont pour quoi j'ai travailler, et ce dont pour quoi j'ai tout reconcer pour le faire. Je fus très vite arriver a destination avec ma voiture. Je me garais sur le parking et je marchais, carnet et sac a la main, le regard se perdant dans la beauté de la nature. Je marchais, encore et encore, cherchant une roche sur laquelle me poser ou bien même un banc. Ce n'est que en marchant pendant encore quelques secondes que je vis un tronc d'arbre tombé par-terre où je décidais de m'installer pour écrire tranquillement. Je contemplais l'endroit qui m'entourer, avec toutes ses arbres, cette verdure, ses animaux et même cette beauté que mère nature à crée. Tout ca m'inspirait et je me lis à décrire la nautre dans laquelle je m'était engoufrée.

    Ecrivant, encore et encore, je ne captais plus le monde qui m'entourer. L'inspiration qui me revenais soudainement, je ne pouvais pas me douter de ce qu'il m'arriverais prochainement. La suite des événements est très rapide et choquante. J'aurais jamais penser que cela aurais pu m'arriver et j'ai une sorte de trou noir à un moment. Je vous raconte ce dont je me souviens : Je continuais d'écrire, quand soudainement, je pris mon appareil photo pour prendre une photo. Je me levais de mon tronc d'arbre et je me dressais face à cette splendeur qui innondée mes yeux. J'appuyais sur le bouton pour prendre la photo et la, au même moment, le bruit d'une bombe se fit entendre. Effectivement, une bombe était caché sous le sol et un détonateur devait être enclanché. Je fis un saut spectaculaire et j'attérisais dans un buisson. Je ne savais pas ce qu'il s'était passer ni pourquoi ca c'est déclanchée mais je me retourvée inconsciente dans le buisson qui as amortie ma chute. J'avais du mal à ouvrir les yeux, et même à reprendre connaissance mais j'entendis quelqu'un me parler, quelqu'un qui essayer de me réanimer. Je ne pu prononcer que quelques mots d'un ton à peine audible.

    « Je vais ... bien »
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Sydney Ian Moon
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MessageSujet: Re: I’d like to make myself believe that planet earth turns slowly - Syd Moon   I’d like to make myself believe that planet earth turns slowly  - Syd Moon EmptyMar 6 Avr - 23:58


    De plus en plus dur de ce lever, quand on a pu de raison de ce lever pourquoi le faire ? Se débattre pour mieux retomber et puis ce relever, encore et toujours en essayant de garder la tête haute. Tout ce qui me constitué en avait pris un coup, lassérer, écorcher pour finir par être brûler jeter au feu. C 'était si facile de chercher, et de chercher sans trouver. Je savais pourquoi j'étais briser en mille. Je savais que je devais arrêter d'un songeait et pourtant sa me rattraper. C'était étrange, comme ci on m'avait enlever une partie de moi, Auréa s'était endormie dans la chambre de Damon. Et ça me fessait vraiment bizarre de ne plus dormir avec elle. De ne plus sentir son odeur se balader dans mes narines, son sourire qui donne envie de se lever. Son regard remplie d'innocence, ses iris ombrés se dilatés parce qu'ils sont si sensible à la lumière. J'étais heureux qu'elle soit heureuse avec Damon. Les opossées s'attiraient peut être vraiment, ils étaient totalement différent et il s'annimé l'un l'autre. En y songeant bien, j'étais peut être trop semblable avec elle pour que cela fonctionne réelement. Je savais qu'elle avait eu raison, je ne lui en voulais pas. Elle rayonnait de plus en plus, et c'était grâce à lui, elle s'épanouissait. Au final, je me rendais compte que ce n'était pas ça mon problème. J'avais le pouvoir de façonnais le temps et les volontés , les souvenirs. Ca me dépasser, c'était trop puissent pour moi, pour mes mains. Dirigé une personne c'était quelques chose, dirigé ses volontés. J'avais pas envie d'échouer et de faire quelques chose de mal, au final tout cela atrophier mes muscle. Pour quelqu'un qui en ce moment avait du mal a se gérer soit même, gérer les autres était bien entendu paradoxale. J'avais décider de reprendre la photographie, quelques clicher, quelques arrêt du coeur mal placé. Mon reflet commençait a me faire peur, je me fessais peur a me laisser mourir sous ces pensées obscure. Fallait que j'arrête, me changer les idées. Je me préparais, et je disparaissais a l'aube.

    Je marchais sans vraiment comprendre ou j'allais. A vraie dire c'était toujours comme ça quand je n'arrivais pas a trouver l'inspiration, je vagabonder jusqu'à temps que l'inspiration vienne me chercher. Plus je m'enfonçais, plus je m'éloignais du New York avec ses façades miroitante. J'aimais l'architecture New Yorkaise, surtout Manhattan mais rien de tel que les bâtiments Européen qui manquer déjà a mon coeur d'Anglais. Je m'enfonçais dans une clairière éloigner de la ville. Je mettais mes lunettes de soleil, Wayfarer noir. Mes bronchites se rétractaient pour s'ouvrir de plus en plus rapidement, c'était le printemps qui naissait, fessant revenir les problèmes respiratoire. Je sortais mon paquet de cigarette machinalement. J'accrochais ma cigarette au bout de mes lèvres et cherchant comme d'habitude mon briquet qui c'était enfoncer dans une de mes poche. Je le sortais non sans difficulté, et allumé cet bouffer de poison. Je voyais au loin des familles, des couples, tout ça me rendait assez nostalgique. Je repensais a tout ce qui c'était passer ces derniers mois, ces dernières années. Et tout semblait étrangement flou, a voir que je m'étais blesser moi même. Je m'éloignais de tout en se moment et de tout le monde, c'est ce que je savais faire de mieux pour me poser et faire des bons choix. J'étais peut être un de c'est solitaire refouler.

    J'étais conscience que je titubais comme un daltonien ne sachent plus apprécier aucune couleur qui venait se présenter a lui. J'étais rongé de l'intérieur, semblable a un fantôme. Tout s'effilait entre mes doigts sans que je comprenne pourquoi. Une accumulation bordélique venait s'agglutiner sur mes épaules. J'étais pas prés. Pas prés, pour regarder les étoiles mourrir dans les yeux de quelqu'un, pas prêt pour risquer d'avoir mal. Je plantai mes murs, mon indépendance revenait au galops. Je m'étendais au sol avec un fatalité désobligeante, une sale habitude que je cessais pas de répéter. Je passais la journée la dans cet endroit paisible, trop paisible. Les chants des oiseaux m'agaçaient profondément, ils pouvaient pas chantés un autre moment, bien sur que non. « LA FERME » J'avais certainement utilisé la mauvaise intonation, utilisé mon pouvoir sans m'en rendre compte, ou alors je les avais tout simplement effrayer, mais ils avaient cessé leur chant du bonheur qui m'exaspérer tant.


    Je m'amusais avec le temps a l'accélerer pour voir les nuages qui défilé plus rapidement devant, c'était affolant comment je pouvais faire cela avec une telle aisance. Tout défiler devant moi avec une telle rapidité . J'étais absolument certain, que quelqu'un pouvait voir le ciel défiler aussi rapidement que moi. Je pouvais pas être le seul a pouvoir faire cela. J'avais avancer le temps jusqu'au milieu d'après-midi. Sa ne me fatigué même plus d'utiliser mes pouvoirs. A croire que je m'y étais rapidement accommodé. Je me levais pour traverser une grande aller parsemer d'arbres, aussi étrange les uns que les autres. J'avais une imagination sur développer, et ca me rappeler quand j'étais avec Auréa et Kasey. Un jour d'octobre, on avait retrouver des vieilles cassettes. Auréa avaient voulus qu'on regarde son dessin animé favori, Alice aux pays des merveille. Kasey ressemblait a la jeune Alice. Même si avait décidément plus l'age de regarder des dessins animée, en quelques heurs nous nous étions replongeait dans notre enfance. J'avais jamais vue ce dessin animé, ni même lu le conte, car a vrais dire c'était l'un des plus paradoxal. Cet allée ressembler a celle du dessin animé, et sa me remémorer cette histoire avec ce lapin qui était toujours en retard. Peu être que je l'étais aussi, en retard. Je réfléchissais un instant, et je me rendais compte que dans beaucoup de mes photographies il y avait une omnie présence d'axe linéaire. Pourquoi les chemins droit m'intrigué t'il autant? J'avais la réponse en moi, j'essayais d'y pensé, surment pour voir l'autre bout, voir l'horizon qui s'écrase au bout du chemin. J'avais toujours imaginé que si on demander a quelqu'un de se mettre a l'autre bout du chemin et qu'on lui crier assez fort, ils pouvaient nous entendre. Il suffisait juste de pousser ses poumons , et d'ouvrir ses tympans. Les perceptions étaient quelque chose de renié par l'être humain. On ne capter même plus l'effet de l'odeur de quelqu'un, c'est que lorsqu'on la perd que son odeur nous manque. Je pouvais pas m'empêcher de regarder et de toucher ses troncs d'arbes qui m'intrigué, leurs arabesque étaient si uniques. Quand on y réfléchissais les arbres avaient ce dont de nous maintenir en vie .

    J'entendais un bruit assourdissent qui raisonné dans échoc redondent, je savais pas ce que c'était . J'avançais en courant pour voir au loin ce qui c'était passer, je voyais une jeune fille étendu dans les buissons. C'était Rosalinda, je la connaisais bien on avait déjà travailler ensemble. C'était une journaliste d'exception, et une fille formidablement gentille. Son visage était inerte au sol, l'inquiétude montait dans mes poumons. « Réveille toi réveille toi bordel Rosalinda » , j'essayais mon possible pour la faire respirer. Son teint était vraiment très pâle s'en était inquiétant. Elle me semblait si vulnérable étendu de cette manière. Elle avait un pansement sur le poignet droit . Qu'est-ce qui c'était passer ? Je dresserais sa ceinture et dégager un peu ses vêtements pour qu'elle puisse respirer plus correctement. Je sentais pas son pou, a vrais dire j'avais jamais su prendre le pou d'une personne. Je posais ma tête non loin de son visage en regardent si son abdomen s'élever. Et c'était le cas, elle respirait.
    Citation :

    « Je vais ... bien »


    « J'en suis pas si sur... prend ton temps, évite de parler calme toi, garde tes forces. »


    Je carressais tout doucement son visage pou la rassurer, j'essais de tester si elle avait des réflexes et visiblement oui. Elle n'avait donc rien de casser, j'étais tout de même inquiet pour ses membres et surtout son poignet qui était déjà bander. Qu'est ce qui avait bien pu ce passer ? Je savais pas, mais c'était sans doute quelques chose de violent pour qu'elle se soit retrouver au sol.

    «  Ta mal quelques par ? »


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MessageSujet: Re: I’d like to make myself believe that planet earth turns slowly - Syd Moon   I’d like to make myself believe that planet earth turns slowly  - Syd Moon EmptyMer 7 Avr - 12:59

    Etendue, inerte, sur le buisson, je combattais contre l'envie de rejoindre la lumière blanche. Tous ont essayer de la décrire, de la comprendre mais on ne peut en parler que quand on arrive a la voir. Certains disent qu'elle réussit à t'envouter et que si tu succombe à son charme, c'est que tu est prêt a mourrir. La vie est étrange a des moments. On naît pour reproduire et ensuite pour mourrir. On doient profiter de tout sans pour autant dépasser les limites. On as qu'une vie, certains diront plusieurs, certains croivent en la réincarnation. Personellement, je trouvais sa stupide. Je ne vais pas mourrir pour me réincarner en grille-pain, c'est débile franchement. Mais chacuns ses croyances. Je dis toujours que la vie qu'on as, elle est unique et qu'il faut la transformer en ce que l'on veut qu'elle soit. Tous peuvent être maître de leur destin, même si tu dérappe, si tu sombre dans la déprime, tu peut toujours te relever et faire ce que tu veut de ta vie, c'est qu'une question de volonté et de courage. J'étais toujours entrain de combattre contre cette lumière blanche, donc. Je sentais une fragence qui ne me deplaÎsait pas, bien au contraire. Je sentis une présence près de mon visage, quelqu'un qui essayer de me réanimer. Qui est donc ce bellâtre qui essaye de me sauver la vie ? Qui veut pas ma mort mais ma survie ? Je l'entendais me parler et mesyeux commençais a se réouvrir.

    « J'en suis pas si sur... prend ton temps, évite de parler calme toi, garde tes forces. »

    Ce timbre de voix, cette fragence, cette présence, tout redevenait à peu près en place dans mon esprit et je découvrit très vite qui sais. A mon plus grand soulagement, ce n'est pas Benjamin, ni Thomas, ni Damon, non. C'est Syd Moon, un photographe qui as un incroyable talent. Ses photographies sont superbes, et on sens qu'elle raconte quelque chose, qu'elles s'expriment et qu'elles veulent nous montrer quelque chose qu'on aurais pas vue avec nos propres yeux. Il est très généreux, gentil, adorable, craquant, il as cette part de mystère en lui qui nous donne envie de le connaître. J'ai travailler à ne nombreuses reprises avec lui et chaque reportage à ses côtés furent exceptionelle. Alors, je me mise a le regarder. Il me caressa le visage et me parla. Je sourit d'un sourire très faible et en m'aidant de ses bras, je me releva et je me dégagais de se buisson qui commençait fortement à me piquer avec toutes ses branches. Je n'étais pas très très présentable, et je devais faire pitié. Sentiment que je déteste qu'on ressente pour moi et que je déteste reçevoir pour les autres! Alors, il continua de me parler.

    « Ta mal quelques par ? »

    Suite à cette question, je m'examinais tout le corps. J'avais quelques griffures et mon bandage sur ma main semblait tenir mais ca me fessais mal, très mal. Quand à ma tête, je n'ose pas imaginer comment je suis coiffer, ni ce que j'ai sur le coin de la figure mais elle me tournait légérement alors je posa ma tête sur ma main, comme piur la stopper de bouger. Je regardait Syd qui semblait s'inquièter pour moi. il ne fallait pas, je vais bien, je ne suis pas morte. Alors, n'arrivant pas à marcher correctement, je m'aida de Syd qui m'estroca sur jusqu'as une pierre pour qu'on puisse s'assoir. Je m'asseya doucement et il se mis à mes côtés. Je me laissais tomber dans ses bras, n'ayant plus la force de combattre pour rester droite. Je ne veut pas le gêner, ni le perturber et j'espèrer que je ne le gêner pas. Alors, raclant ma gorge, je répondit à Syd, pour mettre fin à ses inquiètude.

    - Ne t'en fait pas, je n'ai rien de casser. Juste la tête qui me tourne un peu et ma main qui me fait mal mais ce n'est rien .... Je ... J'ignore ce qu'il sait passer Syd. C'est arriver trop vite. Je me souviens juste d'une explosion quand j'ai appuyer sur le bouton de mon appareil photo pour prendre la photo, ensuite trou noir.

    Je relevais ma tête, j'étais paniquée et perdue de plus savoir ce qu'il m'étais arriver, alors, comme pour me délivrer d'un poid lourd, je me mis à lui demander quelque chose avec un ton désemparée, et d'une fille complétement perdue.

    - Aide-moi Syd, je t'en supplie aide-moi.
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MessageSujet: Re: I’d like to make myself believe that planet earth turns slowly - Syd Moon   I’d like to make myself believe that planet earth turns slowly  - Syd Moon EmptyJeu 8 Avr - 13:53

    Quoique que l'on puisse faire sur cet terre cela restera une poussière de sable, un grain minuscule et insignifiant, mais il est apparemment vital de le faire. Un grain allié au autres crée une étendu de sable, une étendu d'action indéfinissable. Nos vies sont liés l'une à l'autre , dépende d'une chaîne qui s'épuise a l'infinie et qui ce relie. Sans un élément de cet chaîne, le cycle se rompt. Certain homme, sont né pour laisser une trace, marquer l'histoire. D'une bonne façon, ou d'une façon un peu plus destructrice. Si certain homme aurait retenue leurs action, l'homme n'aurait pas connu certaine atrocité. L'histoire ne peut pas être refaite, tachons juste de ne pas refaire les mêmes atrocités. 7 Avril 1994, Automne 1941 , 6 Août 1945 , 11 Septembre 2001 des dates, des chiffres, des échos de douleurs, rien que par la décision des hommes. Tout aurait pu se dérouler normalement ses jours là, tout aurait pu être calme. Ca n'a pas été le cas. L'importance du souvenir est considérable, il ne faut pas le nié. On doit refaire notre présent, on doit avancer, avec son passé. J'admire l'importance des photographies qui nous remord ses instants de douleurs. De pouvoir ce dire que l'on peut s'enfuir dans le temps, c'est de pouvoir évanouir toutes les douleurs. Imaginez- vous pouvoir empêcher les pires horreurs du monde moderne en quelques seconds? J'avais regarder des photographies de James Natchway dans la matinée avant mon départ. Le fait de savoir qu'il y a des hommes comme lui sur cet terre, c'est a la fois une épine qui se retire de ma poitrine et une idéalisation. J'étais certainement le seul a comprendre tout cela sous cet angle. Expliquer ma façon de voir a Hyde? C'était l'échéance de savoir qu'il en avait rien à faire des autres. Expliquer a Damon? Il est bien trop occuper a étouffer ces secrets. Expliquer à Aurea ? Elle me comprendrait, mais elle ne pourrait rien faire et de plus elle était occupé a chercher les secrets de Damon. Je me soumisai rarement aux règles qu'on m'avait imposer dans ma vie. Je préférais avoir mes propres règles, j'avais envie d'en parler. Il n'y a qu'une seul personne qui avait la sagesse et l'intelligence pour me répondre. Il avait été le père qui ma manquer durant mon adolescence. Les raisons de son absence était toujours secrète, on en parler pas. Pourtant il fallait que je le face revenir. Le moyen qui me venait a l'esprit était tout simplement la provocation. Je sortais de mes songes pour en revenir à la situation. J'avais honte de mettre perdu quelques seconds dans ces pensées étranges et pourtant c'était toujours comme ça en se moment que je vivais les choses.

    Citation :

    Ne t'en fait pas, je n'ai rien de casser. Juste la tête qui me tourne un peu et ma main qui me fait mal mais ce n'est rien .... Je ... J'ignore ce qu'il sait passer Syd. C'est arriver trop vite. Je me souviens juste d'une explosion quand j'ai appuyer sur le bouton de mon appareil photo pour prendre la photo, ensuite trou noir.

    Sa voix semblait anormalement faible, mais assez pour me réveiller. Elle ne comprenait ce qu'il s'était passer et visiblement elle était sous le choc. Encore sous le traumatisme, fallait qu'elle se détende, je regardais aux alentour essayant de comprendre ce qui c'était passer. C'était un mystère qui resterai sans doute irrésolue. Les troues noirs, j'avais toujours aimé se phénomène des astres, mais il n'était pas question de cela ici j'oubliais donc mon habituel rêverie. Les troues noires étaient quelques chose de commun dans le cerveau humain, une amnésie lacunaire partielle, d'ou la perte de conscience. J'avais appris ça en lissent quelque bouquin d'Auréa qui traîner, ayant une très bonne mémoire j'avais pu enregistrer et m'en souvenir. Mes pouvoirs guidés ma vie s'en était impressionnant. Souvent aprés ses traumatisme de se genre et suivie d'une crise d'épilepsie, une sorte d'électrochoc du cerveau. Fallait réellement qu'elle se calme, je savais pas comment gérér un cas épileptique.

    Citation :
    - Aide-moi Syd, je t'en supplie aide-moi.

    Bien sur que j'allais l'aider, j'allais en aucun cas l'abandonné. J'avais conscience que j'étais un vraiment étrange mais j'allais tout de même pas la laisser dans cet état. Je la pris dans mes bras sans vraiment lui demander l'autorisation. J'essayais de la rassuré «  ça va aller t'inquiète pas, calme toi » Je l'emmenais un peu plus loin, la ou je m'étais allongé au par avant. Tout y était calme, il n'y avait personne. Les jonquilles commençaient a s'élever et elle pourrait ce calmer tout en était paisible. Il y avait une petit étendu d'eau et le ruissellement pouvait être quelques chose de positif pour qu'elle regagne ses esprits . Elle se blottissais contre moi. Je l'avais toujours vue sous l'angle de la fille forte, elle avait ses faiblesse comme chacun d'entre nous. Je la déposai au sol, et je caressai tout doucement ses cheveux.


    - Ca va aller, t'es en sécurité ici, il t'arrivera rien. Cherche pas a comprendre ce qui c'est passer sa reviendra tout seul. Tu sais que tu peux compter sur moi.


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MessageSujet: Re: I’d like to make myself believe that planet earth turns slowly - Syd Moon   I’d like to make myself believe that planet earth turns slowly  - Syd Moon EmptySam 10 Avr - 19:55

    Ta beau faire des efforts, ils ne seront jamais vus par la bonne personne. Ta beau t'acharner, tout le monde s'en ficheras. Ta beau te battre, encore et encore, c'est comme parler à un mur : c'est débile et ca sert a rien. Quoi que l'on fasse, ca seras jamais assez mais pourtant, on nous donne aucune règles quand on entre dans le jeu de la vie. On nés, et ensuite, on doient se débrouiller comme des grands pour tout construire, tout batir. Gare aux coups de vents qui surgissent de nul part, et protège bien tes biens car tout peut s'envoler du jour au lendemain et sa annonce la fin du jeu pour ses personnes la. Oui, je parle bien de la mort. Vivre pour ensuite mourrir et tout ca pour quoi ? Pour nous montrer tous les sentiments qu'il puisse exister. Nous montrer ce que c'est la véritable souffrance comme le pure bonheur. Certains ont marquer l'histoire du monde en fessant des inventions, des guerres, des combats, des chefs d'oeuvres mais on les as remarquer que a leur mort. A croire que les êtres humains ne servent qu'as faire évoluer le monde et quand leur tâches est terminer, ils les éjectent pour faire place à d'autre. Nous sommes que de simples employés du monde, recrutés par la vie. On est soumis aux lois mais certains on réussis a nous obtenir certaines libertés. Dans la vie, on as pas toujours se qu'on obtient, et certains se battent pour avoir des choses qu'ils auront jamais. Ils ne faudraient pas leur dire que cela ne sert a rien ? Qu'ils usent leur temps dans se monde débilement ? Je ne pense pas. On peut voir cette lueure d'espoir dans ses gens et je sais que sans ca, ils auraient tous abandonner et déclarer forfait et seraient partit rejoindre les autres perdants de se jeu sans queue ni tête.

    J'ai toujours eu du mal a trouver la notice, les astuces pour réussir ma vie. Certains l'ont trouver et maintenant, ils vivent paisiblement. D'autres croivent que c'est en mourrant qu'on est le plus heureux. Comment peuvent t'ils savoir sa ? Un mort est venu leur dire ? Personne ne peut savoir ce qu'il endure au paradi, comme en enfer. Moi, on ne m'as jamais donner d'indice de survie pour rester sur Terre et c'est seulement quand je fus en âge de poursuivre ma vie seule que tout à commencer a s'effondrer, tout simplement car je n'avais pas la force nécéssaire pour porter la misère du monde sur mes épaules. Je me suis de nombreuses fois rétamée mais j'essaye de me relever et le faite d'avoir trouver des proches pour sa, ainsi que l'amour, ca ma beaucoup aidée. Mais voila, la vie a voulue voir si je serais forte face à un de ses piàges et il as fait revenir l'ex petite amie de Benjamin : Alice. Il l'aime encore, voir certainement plus que moi, et il est partit la retrouver, me laissant seule. Maintenant, je suis à terre et je n'arrive plus a me relever. Je ne comprenais pas ce que j'avais de moins qu'elle ? Je n'est pas fait souffrir Benjamin en partant loin de lui, je l'ai rendue heureuse. Je l'ai aimée, je l'ai écoutée, je l'ai soutenue, je l'ai fait vivre encore un peu plus longtemps. Je ne comprenait vraiment pas, sincèrement. Et voila qu'aujourd'hui, je me retrouve blesser sur un buisson, a moitié inerte. Si Syd n'aurais pas était là, je pense que j'aurais décider de ne pas m'en sortir, et que je serais partie rejoindre tout ceux qui on perdu face à ce jeu stupide qui n'est que la vie. Il me porta, et m'entraina près d'un endroit très paisible et agréable à regarder. Où les jonquilles poussaient et l'eau coulait tranquillement. Je restais dans ses bras, qui tentait de me protèger. Il m'allonga au sol et me calma, grâce à sa voix si harmonieuse et appaisante. Je le sentais me caresser les cheveux et cela me fessais étrange de me dire que c'était un autre que Benjamin qui me tennait dans ses bras.

    - Ca va aller, t'es en sécurité ici, il t'arrivera rien. Cherche pas a comprendre ce qui c'est passer sa reviendra tout seul. Tu sais que tu peux compter sur moi.

    Ses paroles attégnèrent mon coeur et sa me boulversa. Je fus si boulervsée qu'une larme coula sur mon visage mais Syd me le voyais pas, car je m'était enfouie dans ses bras qui commencer a me calmer. Son odeur, sa voix, ses caresses, j'en avais vraiment besoin. Je respirais cette fragence si délicieuse mais j'avais peur de m'en rendre dépendante. Ses paroles, j'avais du mal a les boires comme si c'était de l'eau mais je m'y forçais d'y croire. Je sentais dans sa voix qu'il ne me mentais pas, et qu'il serais la pour moi, que je peut compter sur lui. Alors, sentant ma larme s'arrêter de couler, je me mise a le regarder et je commençais à me perdre dans son regard si profond. Je ne pensais plus à personne d'autre qu'as Syd a se moment là. Je ne comprenais pas se qu'il se passait mais je laisse faire le destin, en espérant qu'il ne me refasse pas tomber de haut cette fois-ci. Seul mes envies me controlaient et je laisser l'une d'entre elle agir. Je déposais ma main sur son visage, et je me mise à lui caresser tendrement la joue. Une sorte de remerciment de ma part ? Je ne pense pas. Juste une envie soudaine de croire en quelque chose d'autre. Cette scène, cette ambiance, ce visage, cette douceur, cette odeur, tout ca me rendit moins nerveuse, et je commençais sincèrement a me détendre. Je fus si détendue que je commençais a avoir des flash back mais je me contenter de fermer les yeux pour ne pas les voirs. Je voulais pas savoir se qu'il s'est passer maintenant, je me sens si bien dans ses bras, et mon index qui touchait cette peau si délicate et douce. Maintenant, une autre envie envahie mes pensées et je la laisser faire. Je rapprocha mon visage du sien, et se fut ma main entière qui se posa sur sa joue. Nos lèvres furent qu'as quelques centimètres l'une d'elle et mon envie fue plus forte que la raison et je l'embrassa, d'un baiser tendre et affecteux. Je ne savais pas comment il allais réagir, mais je m'en fichais, j'ai goûter à ses lèvres si tentante et j'apprécier se baiser. Espèrons qu'il le prolonge et qu'il me chasse toutes mes pensées rien quand restant avec moi.
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MessageSujet: Re: I’d like to make myself believe that planet earth turns slowly - Syd Moon   I’d like to make myself believe that planet earth turns slowly  - Syd Moon EmptySam 17 Avr - 18:37

    Tout ce qui finissait par me toucher venait me détruire. Je n'étais pas un héros a abattre, on me cherche pour une seul raison me détruire. Je n'étais définitivement pas Jesus, même si mes pouvoirs grandissait en moi comme un vaste entendu d'eau, qui ne fessait que s'accroître. J'avais envie de crier mais mes secrets étaient bien garder, parce que j'y croyais. Je ne pouvais plus me montrer comme une cible, c'était a mon tour de chercher et de détruire. Pour m'enfuir, dire de me laisser partir, éclater en million de pièces. L'oppression était présente a chacune de mes respirations. Elle posa ses doigts d'un douceur infinie sur mon visage, et c'est la que mon regarde se perdait définitivement dans ses yeux bistres, noisette qui me fixé sans s'arrêter.

    A cet instant je comprenais pas ce qu'il se passer, elle rapprochait son visage du mien. Je sentais son souffle capturé le mien, elle déposa ses lèvres contre les miennes, s'amusant avec ma langue. Une provocation audacieuse de sa par, qui donner le point de départ a mes pulsions. Je continuais les jeux qu'elle avait commencé. Mes sentiments se perdaient et il en rester aux mêmes points. Je prenais mes aises sur son corps, me laissent ébahi par ses courbes. Je la caressé avec douceur, sans arrêter de l'embrasser. Ne songeant pas qu'elle voulait tout simplement m'embrasser, juste parce qu'elle était perdu a son tour. J'étais alanguie sous ses poses alléchante, je me sentais totalement hébété. Attirer par son odeur qui ne fessait qu'accroître le désire charnel que j'éprouvais pour elle. L'arôme fruité de son épiderme, qui ne fessait que me provoquer. Mes sens affûtés, adrénaline s'échouait dans mes muscles. Je pouvais pas contrôler mes mains qui se promener le long de son corps. Elle me laissait faire, je prenais ses hanches avec la plus grande délicatesse qui puise exister. Ma langue s'amusait dangereusement avec la sienne. Je sentais posséder son souffle, sa poitrine se tendait contre mon torse. Mon coeur funeste boxer dans ma poitrine laissent mes lippes se promenaient le long de son cou, profitant a chaque seconde de la douceur arrogante de sa peau. Mes mains entraient en contacte avec ses hanches et tout de suite elles devenaient plus hargneuses et cela de façon totalement incontrôlable. Je me permettais de l'étreindre de plus en plus fort, sans la forcé a quoique ce soit en caressant doucement le bat de ses cuisses en remontant tout doucement. Je savais que si j'approchais mon corps trop prêt, je pouvais me sentir presque mort contre elle. Je savais que ses vêtements n'allaient pas tenir une minutes de plus, si je m'écoutais. Fallait que je me ressaisisse avant que j'aille plus loin. Fallait qu'on m'aide avant que je me retrouve en elle. C'était contraire a la moral.

    Sans doute parce que j'étais encore jeune. Je donnais tout ce que je posedais, en perdant le contrôle. La vie n'était qu'un jeu. Il fallait juste savoir qu'a ce jeu, il n'y avait aucune regèle. Juste une moral, qu'on nous avait inculquer. C'était néfaste surtout pour elle, et si elle s'attachait? J'entraînais un blasphème envers son corps et son ame. J'avais peur de devenir dépendant, accroc aux contactes physique. Je sentais qu'elle ne comprenait pas pourquoi je m'étais arrêter, et je me devais d'être sincère avec elle. J'enlevais mon t-shirt pour lui montrer quelque chose qui s'était incruster sur ma peau.

    - Rosalinda, je dois être sincère avec toi. Regarde "heartbreak hotel". Je peux pas m'engager dans une relation, je suis pas prêt a aimer. Pas prêt maintenant, les deux seules filles que j'ai aimé son parti, et j'ai plus envie de souffrir de cet façon. Et je suis désoler d'avoir commencé.. tu m'attire vraiment .. vraiment, mais je suis pas ce que tu cherche, tu vaux beaucoup mieux que ça.

    Tout s'étranglé en moi, je me sentais horriblement con. Sur mon torse il y était inscrit le prénom d'Auréa au niveau du coeur. Sur mon bras il y avait toujours inscrit 21 grams ce poids qui ne cesser d'être inscrit en moi. J'étais définitivement un introverti, dans une période assez sombre. Je remettais mon t-shirt, horriblement gêner. Heureusement, j'avais eu cet prise de conscience qu'il fallait que je m'arrête. Elle ne méritait pas ça, elle valait beaucoup mieux que ça. Je ne savais pas comment elle allait prendre ce que je venais de lui dire. Je pouvais pas me servir de son corps, comme ça. Surtout que c'était une fille particuliére, c'était mon ami avant tout. J'étais instable, totalement. Je me permettais pas de m'attacher aux femmes. Je m'étais accorder a Kasey, et elle s'était enfuie comme une poussière qui s'écraser dans le vent et depuis je n'avais plus aucune confiance. Auréa m'avait laisser pour une raison, c'était qu'on était trop jeune on s'était sans doute trop aimé, en étant trop semblable et je ne pouvais pas la combler de la maniéré dont Damon la combler actuellement. Je comprenais mieux ce qu'elle voulait me dire maintenant. Dans le sens ou j'avais besoin de profité de la vie, sans attache. Elle avait sentie ça en moi, je ne pouvais pas m'endormir sur ses positions qui pousser a l'esclandre. J'avalais mes remords difficilement. J'avais connu l'amour, sous tout ces angles, et je voulais m'en délié. Est-ce un mal qui pouvait m'empoisonner? Soit Rosalinda comprenait ce que je venais de lui dire, et elle se vexait et j'en étais désoler, ou soit on continué dans l'ambiguïté.

    Je n'osais plus la regarder tellement je me sentais con. J'étais sans doute ambitieux dans mon esprit, prés a plongeait dans les vises inimaginable. Quelqu'un de paumé comme moi, n'était pas la solution pour elle. J'étais toujours cet dynamite qui n'attendez que l'étincelle pour imploser. La question de la solitude ne me fessait pas peur, j'y étais confronté depuis ma naissance parce que la vie ne s'arrêter pas qu'on soit seul ou accompagner. J'ouvrais mon paquet de cigarette pour une énième fois de la journée, j'étais presque prisonnier de mon poigne qui s'adonne a chaque fois prés de mes lèvres. Je l'approchais de mes lèvres, a croire que ma cigarette était le seul amour qui me rester. Je pouvais l'allumai et la fumé sans un refus de sa par. Je brûlais le bout comme un seconds instint tellement c'était mécanique. Si je fumais c'était sans doute pour irrité et éloigner les autres m'enfermer dans cet épaisse fumé. Irrité les beaux yeux des femmes s'approchant de trop prêt. Tout devait tellement dés illusoire que j'essayais de me concentré sur tout ce qui nous entourer, pour éviter de la regarder. Son regard qui allait sans doute être assaillant de haine, ou de méprit. J'avais pourtant tellement envie d'elle, mais je n'avais pas le droit de me servir comme ça.

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MessageSujet: Re: I’d like to make myself believe that planet earth turns slowly - Syd Moon   I’d like to make myself believe that planet earth turns slowly  - Syd Moon EmptyDim 25 Avr - 12:26

    Je ne l'avais embrasser seulement par envie. Et aussi car j'étais perdue dans mes sentiments, dans mes pensées et que le seul moyen de faire taire ses voix dans ma tête c'est d'en embrasser un autre, un autre que lui. Je sais que dans la vie, on auras toujours des déceptions et qu'on doit pas se stopper car on as un coup de blues. C'est stupide, complètement inconscient de faire sa. On peut blesser des gens avec nos paroles, même si on pense pas qu'ils nous aimes. De toute manière, on est pas dans la tête des autres, donc sais pas l'importance que tu as pour eux. Mais quand quelque chose de te bouffe de l'interieur, c'est dur de remonter à la surface. Mais je sais que un jour, j'y arriverais et que je reprendrais ma vie normalement. Ou bien alors, ma vie s'arrêtera une fois pour toute. Je ne pourrais plus penser, ni respirer et ni même aimer et encore moins souffrir. N'est pas la belle vie ca ? Vivre au paradi en tant que ange surveillant ses proches du haut d'un nuage. Une fois morte, on ressent plus aucun sentiments, c'est ce qui évite de souffrir : ne pas avoir de sentiments! Mais prenons un regard extérieur a tout ca, est-ce que le faite de ne pas avoir de sentiments n'est pas pénible ? A quoi sa sert de vivre si l'on as pas de sentiments ? La personne qui en as pas doit être un mort-vivant car ses les sentiments qui nous font vivre encore un peu plus longtemps chaque jours.

    A mon plus grand étonnement, il prolongea mon baiser et je m'amusais à jouer sensuellement avec sa langue. Ses baisers et ses caresses étaient si douce et puissante à la fois, et cela me fit oublier Benjamin en l'espace de quelques secondes. Il joua avec mon corps, s'amusant à dessiner mes courbes. Il m'embrassa encore et encore, tout en me caressent doucement et cela suffit pour provoquer mes frissons. Je savais pas ce qu'il se passer, ni même se que je m'appreter à faire mais je le fis et je peut vous avouer que cela fait du bien de faire quelque chose qu'on aurais jamais imaginer de faire. Puis, tout en continuant notre provocation à s'embrasser et se carresser, il me pris délicatement mes hanches. Mon coeur battais très fort, j'ai même eu l'impression qu'il allait sortir de ma poitrine. Nos corps n'allaient pratiquement faire plus qu'un si l'on continuer comme ca. Mon souffle était très faible et j'avais dû mal à reprendre mes esprits mais je m'en fichais de ca, j'étais bien, enfin! Alors, je l'embrassais encore, et de plus en plus tendrement et sensuellement. Mes doigts se promenairent sur le long de son torse et suivaient les courbes de son corps mais sans que je ne comprenne pourquoi, il se reprit et se stoppa.

    Je ré-ouvrit les yeux et je rester encore un peu allonger. Quand à Syd, lui, s'asseya et je sentis comme gêner. Je repris doucement mon souffle et je posais ma main droite sur mon coeur. Je me releva, pour être assise à ses côtés. Que se passais t'il ? Il a réaliser que je suis pas son genre ? Que finalement, je l'attire pas tant que sa ? Que je suis pas quelqu'un de bien pour lui? Non, je ne devais pas me perdre dans mes pensées et je me pinçais légérement pour reprendre mes esprits. Heureusement, mon geste, Syd ne le vit pas. Il enleva par la suite son tee-shirt et pris la parole, en me montrant quelque chose.

    - Rosalinda, je dois être sincère avec toi. Regarde "heartbreak hotel". Je peux pas m'engager dans une relation, je suis pas prêt a aimer. Pas prêt maintenant, les deux seules filles que j'ai aimé son parti, et j'ai plus envie de souffrir de cet façon. Et je suis désoler d'avoir commencé.. tu m'attire vraiment .. vraiment, mais je suis pas ce que tu cherche, tu vaux beaucoup mieux que ça.

    Il remis rapidement son tee-shirt, honteux. J'étais encore sous le choc de ses paroles et je n'avais pas pris la peine de regarder correctement son tatouage, je n'avais jeter qu'un bref coup d'oeil. Non pas que cela ne m'interesser pas, mais que je ne comprenait pas l'importance de me montrer sa. Il dit ne pas être prêt à aimer, et que les deux seules femmes qu'il à aimer se sont enfui. Il a donc peur de sa ? Que la prochaine qu'il aimeras partira ? Il me connait mal, très mal. Jamais je ne pourrais partir loin et seule de la personne que j'aime. Cela me serais impossible à faire. Je veut pas le forcer à aimer, si il m'aime pas, il m'aime pas mais qu'il sache que moi je partirais pas. Je ne suis jamais partie quand j'était avec Benjamin, surtout que c'est lui qui m'as quitter alors que je croyais en son amour pour moi, que notre relation aurait durer longtemps. J'aurais aimer que notre idylle ne s'arrête jamais mais il faut être réaliste, on est pas dans les contes de princesses où elles finnisent heureuse, marrier et avec beaucoup d'enfants. Je ne suis qu'une pauvre femme trop débile pour croire que un jour, son idylle amoureuse pourrait se terminer comme dans les contes.

    Je le voyais dévier mon regard et s'allumer une cigarette. Je ne savais pas comment réagir si ce n'est que je suis juste surprise, sous le choc de ses paroles. Depuis qu'il m'as embrasser, je voulais recommencer. Oui, j'ai envie de lui mais ce n'est pas réciproque apparement. J'ai l'impression que je suis une petite fille qu'on veut préserver de la société. Mais moi, je ne demande qu'as être confronter à cette merdique société. Je veut avoir ma place parmi les autres et non vivre derrière eux. Depuis toute mon enfance et adolescence, on m'as menti, cacher cette douloureuse vérité, et maintenant, j'enchaîne les souffrances. Je pense que si l'on m'aurais dit la vérité quand j'étais en âge de comprendre, j'aurais encore moins souffert maintenant. A l'interieur de moi; ma tête à des multitudes de pensées noires, de craintes, de dodoutes, de souffrances et mon coeur est brisée en milles morceaux mais j'aimerais que quelqu'un prenne tous les morceaux de mon coeur et qu'il tente de le recoller, et qu'il prouve qu'il seras toujours là pour prendre soin de lui. Alors, ne pouvant pas laisser se silence envahir les lieux encore plus longtemps, je mis ma main sur son visage et délicatement, je le foçais à me regarder. C'est ainsi que mes yeux se plonger dans les siens et on pouvais lire sur mes yeux que je veut juste lui parler calmement. Je pris une boufée d'air avant de lui répondre.

    - Tu sais Syd, je ne suis pas comme elles, je ne partirais pas moi. Je peut pas m'imaginer laisser tomber la personne que j'aime, ca se fait pas et puis, l'amour est plus fort que tout donc malgré les situations, on reste quand même à côté de la personne qu'on aime. Je comprend que tu ne soit pas prêt à aimer mais tu sais, tous le monde est unique et différent donc des filles biens, tu peut en rencontrer. Sache que je te forçerais jamais à m'aimer, car l'amour ne se contrôle pas. Mais c'est idiot de se bloquer car deux filles t'ont biriser le coeur. Puis, tu ne sais pas ce que je vaut, et qui te dis que t'est la personne qu'il me faut ? Je m'en fous de ce que est, moi j'ai envie de toi, tout simplement. Je ne serais pas ici, entrain de te parler si tu ne m'attirais pas. Ne redis pas que tu n'est pas ce que je recherche car t'est encore mieux que mes attentes Syd


{ désolée du temps et de ma réponse pourrable :/
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MessageSujet: Re: I’d like to make myself believe that planet earth turns slowly - Syd Moon   I’d like to make myself believe that planet earth turns slowly  - Syd Moon EmptyDim 23 Mai - 17:06


    Je me suis toujours dit que quelque par il y avait une infini d'âme qui n'attendait qu'une seule chose être libérer. La libération de soit même dépend de la personne elle même étant donné que chaque être humain est né différent. Qu'est-ce que je fessais a m'emprisonner sous ces questions ? Malsain était un mot qui convenait parfaitement. C'était malsain de chercher sans arrêt des réponses pour s'arrêter de vivre. Pour s'arrêter de respirer, pour s'arrêter a tout ce qui était pour s'enfermer dans ces questions perpétuelles et infinie. Je me considérais comme un messager, avec mes images et mes mots mal placé, malade. Malade ayant des symptôme disproportionné certainement bénin. Les symptômes qui me caractérisé le mieux était une complexité inexplicable ayant atteint le stade de la torture psychique quotidienne de plus une douleur m'affecte l'âme. Un handicape qui ce répété sans cesse, amusent et déroutant. Je m'assignai au coma d'Hypoxie cérébrale avec des chocs cardiaque, et une insuffisance respiratoire, je me sentais vivre que lorsque mon corps prononcé différente syncopes par spasme pour réveiller mon âme. Sûrement était-je devenu un hypocondriaque.


    Malgré tout ça, sa main s'épancha sur mon visage j'étais coincé, je voulais pas qu'on me voit et elle me regardait de cette façon, je ne pouvais pas me délier sans dommage collatérale. Je devais rester et assumé. Les dommages étaient les mêmes que ca soit pour moi ou pour elle. Je sentais son épiderme s'en foncé avec une suavité déconcertante sur la mienne. Qu'est-ce qui était en train de ce passé ? La réponse était assez simple, elle fessait n'être l'envie. Plus je la regardais plus ces yeux se reflétaient dans les miens. Par principe, on ne me bloquer pas du regard comme ça car c'était quelque chose que les gens n'osaient pas faire. Pas avec mon caractère désinvolte qui me permettait de me cacher de tout sentiment. J'habitais dans une bulle sous pression, mal oxygéner. C'était remplie de détonation, certes dérangeant mais c'était la maison de mon âme souiller.

    -Tu sais Syd, je ne suis pas comme elles, je ne partirais pas moi. Je peut pas m'imaginer laisser tomber la personne que j'aime, ca se fait pas et puis, l'amour est plus fort que tout donc malgré les situations, on reste quand même à côté de la personne qu'on aime. Je comprend que tu ne soit pas prêt à aimer mais tu sais, tous le monde est unique et différent donc des filles biens, tu peut en rencontrer. Sache que je te forçerais jamais à m'aimer, car l'amour ne se contrôle pas. Mais c'est idiot de se bloquer car deux filles t'ont biriser le coeur. Puis, tu ne sais pas ce que je vaut, et qui te dis que t'est la personne qu'il me faut ? Je m'en fous de ce que est, moi j'ai envie de toi, tout simplement. Je ne serais pas ici, entrain de te parler si tu ne m'attirais pas. Ne redis pas que tu n'est pas ce que je recherche car t'est encore mieux que mes attentes Syd


    Sa voix s'égosillait en différente ritournelle composé de tonalité fébrile, d'autre aguerrie sensible a un tempo de charme. Je ne parlais pas, je pouvais pas répondre à ça. Les mots ne me venaient pas, elle avait raison c'était idiot de renoncé a l'amour sous prétexte d'être brisé. Et elle ouvrait ma vision des choses, comme lorsqu'un nouveau né ouvre ces yeux pour la première fois, il crie. J'étais en phase de crier avec moi même, contre moi, et non pas contre les autres. Je n'étais pas en mesure d'argumenter contre ces dire car il était vrai, j'essayais juste de ne pas me mêler aux autres. Elle parlait d'attirance, je la ressentais également. Cédé ? Je ne voulais pas devenir un de ces mecs qui couches sans état d'âme avec la première venu pour ce faire une jolie collection ou pour oublier ces malheurs. Tout simplement, parce que j'avais trop de respect pour l'être humain, que j'avais eu la chance de connaître une fille qui est maintenant l'une des plus belle femme qui m'avait appris ce respect de la femme, l'être humain en général, toute vie humaine. Je me respectai pas moi même. Elle me fixé de façon provoquant, c'était claire que j'avais dis que j'étais pas prés a m'engager dans une relation durable. Je me retrouvais pas moi même, comment je pouvais donner or que je ne savais pas le faire. Je ne voulais pas de l'amour, pas maintenant. Elle s'approcha de moi, encore plus prés, de plus en plus proche de ma peau, tout en continuant a me regarder de cette même façon qui me fessait me sentir faible, affamé. J'étais prés a vaciller sous ces formes. Son teint argenté brillé sous les rayons de soleil qui s'amusait a nous narguer, sa beauté était nordique, quelques chose d'assez paradoxale pour moi étant donné que j'avais toujours était attiré par l'exotisme du sang chaud et de la peau d'or. C'était assez étrange, je ne savais pas ce qu'elle aimait ce qu'elle voulait. Je savais juste qu'une attirance nous émanter. Ces lèvres s'accordèrent aux miennes, comme un filin enchanteur.

    Elle s'approchait encore, jusqu'à s'installer sur moi, ma dextre s'amusait a grignoté c'est hanches, elle gagnait du terrain sous ces vêtements, elle me laissait faire. Elle continuait a me regarder avec ce même regard d'envie , presque dangereux pour moi d'entravé la pureté de sa peau. Mes lèvres gouttaient son col sans état d'âme . J'avais envie d'éclaté ma bulle et de me voir vivre en elle, même si c'était pendant quelques minutes. L'armé des sens se réunissaient en moi pour combrattre mon « ça » selon Freud la libido est un flux d’énergie dont le Ça est la source. L' attirance primitif des être humain, l'attache invisible nous liant les un aux autres. Être son propre ennemie pour combattre cette sources, plus elle me touchait plus elle me tuait. Elle retira mon t-shirt tout en se liant délicieusement a ma peau. Je suivais ces mouvements avec minutie comme pour enregistré chaque forme qui pouvait lui être attribué. J'enlevais son t shirt avec la même ardeur qui me posséder, mon souffle s'envoler dans sa nuque. Je me laissais partir contre son corps comme un mort s'attachent au souffle de vie qui puisse lui rester. Elle s'attachait au creux de mes omoplates, je la fessais basculé avec une frénésie exceptionnel.

    Je touchais aux lyrisme de sa peau, tout en retirant ces vêtements , je la voyais dans un même état seconds que moi, s'emparent de mes vêtements. Je savais que mon regard changeait, devenant celui du mal , atténué par des variantes humaine que mes caresses se fessaient de plus en plus audacieuse sur sur son bassin, entreprenant de descendre dans l'abîme de son être . Vivre sa vie comme le dernier instant présent, ses iris scintillaient de par mon frôlement de chair. Je continuait de m'amuser avec sa langue qui se lié a la mienne, mes lèvres s'emparaient de sa nuque. Elle laissait jouer ma main dans son intimité, ivresse de l'expression de son visage me fessait continuer. L'allience de sa chaire qui m'ensorcela tout simplement, sa température allant en crescendo me donné des frissons. Elle me vendait une partie de sensation forte et tout ça gratuitement, je m'en sentais pas méritant. Elle s'attaquait a chaque partie de ma peau avec un cran qui me surprenait



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MessageSujet: Re: I’d like to make myself believe that planet earth turns slowly - Syd Moon   I’d like to make myself believe that planet earth turns slowly  - Syd Moon EmptyLun 24 Mai - 20:11

    Il répondait pas, avais-je raison ? Avais-je tord ? Je n'en savais rien. Son silence me bloquait. Cependant, j'espère avoir raison et que mes paroles lui fasse un dé-clique dans sa tête. Que sa lui fasse prendre conscience que, dans la vie, on à pas tout sur un plateau d'argent, qu'on doit chercher et prouver qu'on le veut, qu'on le mérite. C'est depuis mes 18ans que j'ai appris à raisonner comme ca, à vivre comme ca : A chercher encore et encore, sans m'arrêter. J'avoue que depuis cette idylle avec Benjamin, j'ai perdue vraiment confiance en moi et que j'ai du mal à remonter à la surface mais il suffit d'un rien pour obtenir un tout. Il faut que je soit prête à tourner la page sur lui, sur notre histoire qui finalement n'était rien. Je l'aime, mais apparemment pas lui et c'est cela qui me désole. Il m'as dit qu'il m'aimait, que je dois pas en douter mais pourtant, c'est se que je fais. J'avais espérer que je lui fessais oublier Alice, que c'était finit pour de bon mais apparemment, non. Il l'aime d'un amour inexpliquée que je n'arrivais même pas à comprendre. A croire que c'est la femme qu'il a attendu toute sa vie, depuis toujours. Ayant honte de mettre perdue dans mes pensées et ne sachant quoi faire, je laissais mes envies prendre le dessus sur ma raison, cédant à la tentation que son charme me provoquait.

    J'étais très très proche de lui et j'aurais eu envie de ne former qu'un qu'avec son corps. Est-ce légale de se servir de quelqu'un comme ca ? Est-ce normal d'être autant attiré par un homme qu'on considère comme un ami ? Est-ce logique que je fasse sa ? Je ne savais plus rien et je préférée laisser mes pensées de côté, laissant mon envie parler et faire tout le boulot. Je rapprochais dangereusement mes lèvres des siennes et je l'embrassais, jouant sensuellement avec sa langue. C'est à se moment là que j'ouvris " le bal " , que nos envies se rencontrèrent et commençaient à danser, comme deux amants se retrouvant après une semaine d'absence. J'aurais jamais crue qu'il continuerait à jouer au jeu que j'avais volontairement commencer. Il me laissa être au dessus, du moins, au début. Il capturas mon souffle comme j'ai capturais le sien. Des baisers sur la nuques, des caresses tout le long du corps, tel une danse parfaitement maitrisée. J'avais la tête qui me lançais, et qui me fessait atrocement souffrir mais je ne voulais pas tout gâcher, tout arrêter. Alors, je laissais passer tout en tenant de me soigner avec ses baisers. Ne pensant plus à la douleur, mais plus à l'ardeur que je mettais dans mes gestes, j'avais l'impression qu'elle fut partie. Ce n'est seulement qu'une impression et plus je mettais de l'ardeur, plus j'avais mal. Je retirais son tee-shirt d'une telle rapidité qui réussit à m'épater et il fit de même avec le mien. Je ne voulais plus qu'il n'est de vêtements sur lui. Je voulais sentir son corps sur le mien, ses mains sur mes hanches et ses baisers embrassant ma peau nue. Il me fit basculait en fessant en sorte que je sois sous lui. Je le laissais me contrôler tout en mettant du mien dans nos actes. Je l'embrassais, puis je laissais ses baisers courir tout au long de mon corps. Je ne savais plus quoi pensée et de toute manière, il était trop tard pour faire machine arrière. Je le laissais me contrôler et commencer les jeux sexuellement attirant et plaisant. Faire l'amour dans un champ excite les fleurs. J'avais le souffle coupait, les mains moites et tremblantes, le cœur à 100 à l'heure. Ce n'est pas ma première fois pourtant mais c'était tout comme. Pourtant, j'avais de expérience avec sa, et se n'est pas la première fois que je couchais avec un mec comme ca. Mais ce n'est pas un mec, c'est le mec. Il est avant tout mon ami, mon collègue de travail et je suis entrain de faire l'amour avec lui. Si un jour on m'aurais dit que je ferais l'amour avec Syd, j'aurais rigoler, je serais amusée mais pourtant, c'est ce que je fais. Mais bon sang, quesque je fabrique !?! Je suis complètement perdue mais je préférée ne plus y penser, ou au moins, pas pendant que je couche avec lui. Je jouissais de bonheur et de soulagement, en sortes, le laissant maître des commandes.


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