La soirée continuais son court, et je restait avec mon frère de cœur, Thomas. J'étais venue avec Benjamin et Lena mais tous deux partirent vers le buffet, pour parler sans doute. Je ne jetais que des brefs coups d'œil vers celui dont je suis amoureuse. Cette rencontre a littéralement changer une partie de ma vie. Maintenant, la confiance était quelque chose que je commençais a ré-apprendre. Je voulais avoir confiance en lui, sincèrement. L'envie étant plus forte que la haine, j'ai une confiance aveugle pour Benjamin, sincèrement. J'espèrer pas qu'un jour, il parte, pour toujours et loin de moi. Je le voulais pas, je le supporterais pas. Je devais éviter de penser au pire et penser au meilleur.

La soirée commençais a prendre fin et benjamin me pris par la taille pour m'emmener dans un taxi. Je disais au revoir à Thomas et partit avec lui. Benjamin ne me regarda pas pendant tout le long du chemin. J'étais inquiète, angoisser mais je tenter de le dissimuler du mieux que je pouvais. Je me demandais se qu'il se passais, si la conversation avec Lena n'avais pas un rapport ? Il descendit et m'ouvrit la porte. On étaient devant son building ou il résidait. Il me regarda, anxieux. Me ramena contre lui et me dit

- Il faut que je te parle Rosie...

Je détestais cette phrase " Il faut que je te parle " . Cela annonçais jamais rien de bon. Que voulais t'il me dire ? Avais-t'il réaliser qu'il ne m'aimais pas, finalement ? Ou alors qu'il devais partir, loin de moi ? Je m'imaginais le pire et non le meilleur. A quoi sa servais de penser au meilleur alors que ca annonce que du pire. Je le regardait, anxieuse a mon tour. J'enlevais mes pensées de ma tête avant de lui dire, droit dans les yeux.

- Tu veut plus de moi ? C'est sa ?

" Comment peux - tu penser une chose pareille?! C'est donc que tu doutais de mon amour? Sais-tu au moins ce que j'éprouve pour toi? ... écoute, j'ai quelque chose à te dire, quelque chose qui me hante et que tu te dois de savoir, mais, à moins que tu le décides toi même par la suite, cela n'a rien avoir avec une rupture... Je t'ai parlé d'Aprilia tu te souviens? Et bien, là-bas, j'ai acquis une sorte de don, comme en ont reçu d'autre personnes là bas. Moi, ...je peux ... argh... je peux prédire la mort, la voir, c'est fou je sais mais c'est surtout très douloureux. Je me devais de te mettre au courant, je te dois la vérité, bien que je préfèrerai te préserver de tous ça. Pardonne mon manque de délicatesse, c'est qu'il m'est difficile d'avoir goût en la vie encore aujourd'hui à cause de ça. ... mais avec toi, la douleur s'évapore, je ne me suis pas senti aussi bien depuis fort longtemps tu dois me croire... ne me fuis pas, je t'en prie."

En me disant sa, il reculas un peu. Voilà ! J'avais peur maintenant ! En entendant le début de ses paroles. Je voulais pas qu'il crois que je doute de son amour, surtout pas ! J'aurais mieux fais de ne rien dire, cela aurais était mieux. Il continuas son récit et me parlas de son don : Celui de prédire et voir la mort des autres. J'en était choquée. Ce don devais être un supplice pour lui. Je pourrais pas vivre avec sa dans la tête. Je respectais Benjamin pour sa, et je trouvais sa courageux de sa part de vivre avec sa. Il aurais pu mourir a cause de sa, mais jamais je l'aurais racontée et ma vie serais rendue au point de départ : La dépression et la haine.

Je le regardait, il attendait une réponse de ma part mais je mémoriser ses paroles dans ma tête. La fin me surprit " ne me fuis pas, je t'en prie " . Comment pouvais t'il pensais que je partirais ? Bien au contraire, c'est pas son don qui me feras partir d'ici et loin de lui. Je resterais avec lui, jus qu'as la fin de ma vie. J'en fait la promesse. Je sais que, entre nous deux, sa duras très longtemps. Ce que j'appréciais dans tout sa, ce fus sa franchise envers moi. Il n'en était pas obligé mais, il l'as fait. Alors, me rapprochant de lui et en mettant mes mains autour de son cou, je lui dit avant de l'embrassais doucement.

- Je resterais quoi qu'il arrive Mon amour. C'est pas un don qui vas me faire partir loin de toi.

" Tu es folle tu sais, mais formidable!"

Il rigolais et je souriait. Je n'était pas folle mais juste amoureuse. Comment ne pas l'être quand c'est lui votre prétendant ? Benjamin I. Break est un jeune homme drôle, gentil, intelligent, beau, gentleman, charmeur, attentionné, modeste, fidèle, un petit peu jaloux mais c'est ce qu'il fait son charme. Benjamin est tout simplement l'homme idéale, l'homme parfait. Je pourrais vous comptez ses infimes qualités toutes la nuit mais ce n'est pas le moment de parler de tout cas.

Il m'avais embrasser avec telle passion que stopper se baiser était dur, très dur. Il me regardait, et me gardait dans ses bras. Il me regarda en se mordillant la lèvre et avec un sourire en coin. Qu'avais t'il derrière la tête ? Je ne savais pas, sincèrement. Alors, d'un geste brusque, je me retrouvais sur son dos et on montaient les marches jus qu'as devant chez lui. Il garda sa main autour de ma taille et m'attira de nouveau contre lui. Penchant sa tête pour m'embrassais dans le coup, il dit juste après

" Tu n'as plus le choix maintenant, tu restes!"

Je rigolais légèrement. J'avais pas l'intention de partir comme ca. J'allais pas le laisser tomber alors qu'il venait de me dire son don et puis, partir alors qu'on as rien de prévu dans la soirée. Je veut rester avec lui ce soir, et tout les jours également. Sa présence est devenue comme une drogue pour moi. Sans ma dose du jour, je meurt. Alors, je l'embrassais tendrement et de plus en plus intensément. Je sais pas comment la soirée allez se déroulée mais j'aime déjà le commencement. On se stoppais et mes paupières restaient closes quelques secondes. On rentras chez on se posa sur le canapé après avoir enlever nos blousons respectifs. Je le regardais, souriante et je dit, d'un simple souffle

- Je t'aime

" Pour toujours dis-tu... je dois te donner ça alors..."

Il s'était levée, se qui attira ma curiosité. Il mis un jeu de clefs dans mon blouson. Je compris très vite qu'il m'avais offert les clefs de son appartement. Voulais t'il que je vive avec lui ? Ca m'en avais tout l'air. On voyais alors sur mon visage, un sourire. Pas n'imorte lequel, un comme j'en fesais a mes parents, ceux que j'aimais faire souvent avant ce jour. Je devais absolument leur parler, m'expliquer avec eux. Mais, pas toute seule, j'en ai pas le courage. Je voulais que Benjamin vienne avec moi mais je n'osais pas lui demander, je voulais pas l'embêter avec mes simples histoires. J'irais seule, tampi. Je partirais une bonne semaine, histoire de bien m'expliquer et m'excuser ? Je devais vers sa. Absolument. Maintenant que je suis tomber sur celui qui compléteras ma vie jusqu'au restant des temps. Celui qui a fait battre mon coeur, Je me devais de faire de ma vie, une vie parfaite. Avec ses défauts, cela vas de soi.

Quand il revenu près de moi, il me déposa un baiser. Ses lèvres collés au mien, son odeur près de moi, son corps à côté du mien, tous ses petites choses, cela me firent frissonées de plaisir. Nos baisers devenaient de plus en plus passionées. Le soleil était entrain de se coucher, pour laisser place a la Lune pour faire son spectacle de nuit. On étaient l'un sérré contre l'autre. On s'étaient endormis comme ca, ma tête sur son torse. Nos peaux collés l'une a l'autre, ne formant plus qu'un.

Au petit matin, le soleil ébouissais toute la picèe, réveillant surement Benjamin car, d'un coup, je ne sentait plus la chaleur de mon corps sur le mien. Je me réveillais doucement. Après cette belle nuit passée, je me sentait de bonne humeur. Alors, en frottant mes yeux, je le vis de dos. Assis entrain de regarder le plafond sur se lit blanc. Je m'asseyais et posais mes bras autour de sa taille et ma tête sur son épaule gauche. Je souriait et l'embrassant doucement dans le cou, je répondit

- Sa fais longtemps que tu est levé ?

" Je n'en sais rien, depuis que le soleil c'est levé sûrement... hum Rosie, je te remercie déjà pour cette nuit magique! (il m'adressa un clin d'oeil complice.) Ensuite, j'aimerai que tu fasses quelque chose pour toi, sinon pour moi, maintenant que nous sommes ensemble, je pense vraiment que tu devrais renouer les liens avec ta famille... pardonne moi, je ne sais pas bien comment te suggérer ça, mais ce sont tes parents, ils ont fait une erreur, mais ils t'ont élevé depuis ta naissance, tu ne peux pas les tenir autant à l'écart de ta vie, c'est trop douloureux, pour eux comme pour toi d'ailleurs. Et puis, pour être honnête, je suis conscient d'être interdi de revoir les miens, je n'aurai jamais ce privilège. Toi, si... je donnerai tout pour avoir ta chance. Sache que je me ferai un plaisir de t'accompagner, si tu le souhaites bien évidement... je compte juste te rendre complètement heureuse, mais je ne veux surtout pas t'offencer."

Je ne bougeait pas. Je laissais mes bras autour de son torse et ma tête sur son épaule. Il fit un demi-tour pour me déposer un baiser. Je le prolongeait avec plaisir. Puis, je le laisser parler. Ses aproles étaient vrai, totalement vrai. J'ai une chance que Benjamin n'as pas : revoir mes parents ! Depuis cette découverte sur ma famille, je suis en froid avec eux. J'avais pas encore réussis à leur pardonner de ce mensonge. Je savais pas quoi faire et encore moins quoi penser. Dans ma tête, tout se mélanger et j'était bel et bien perdu dans mes pensées.

A croire que Benjamin lisais dans mes pensées les plus en-mêlée. Juste avant sa proposition, je pensais justement a ca. A ce qu'il vienne avec moi à cette dure épreuve. Je suis soulagée qu'il me le propose. Cela voulais dire qu'il serais toujours là pour moi. Alors, restant dans cetet position, très confortable et non déplaisante, je le regardait et je lui répondit, d'une voix très dur à décriper, car je ne laissais aucun sentiment passer, sauf peut-être lui du soulagement et de la .. peur ?

- Je sais que, tôt ou tard, je devrais allez les voirs. Je .. je sais pas quoi leur dire quand je les verrais. J'ai peur Benjamin ! Peur que tout ce passe mal, ou peur qu'il me rejette. Tout simplement. Ce qui serais logique, vue la façon dont j'ai réagit. Je baissais légérement la tête et je repris Je serais ravie que tu vienne avec moi, surtout que j'aurais besoin de toi Je relevais la tête et je la reposais sur son épaule.