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 « Tell me you love me Come back and haunt me » ▬ Aleesha S. Vadianova

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Aleksandr Ivanov
Excorcise me.
† ▬   Excorcise me.
Aleksandr Ivanov


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MessageSujet: « Tell me you love me Come back and haunt me » ▬ Aleesha S. Vadianova   « Tell me you love me  Come back and haunt me  »  ▬ Aleesha S. Vadianova EmptyLun 21 Juin - 19:22

« Tell me you love me
Come back and haunt me »




« Ce fut comme une apparition , c'est alors qu'un
déchirement se produisit dans ma poitrine (…)
Après elle , elle était la deuxième à être si belle ,
soit la première depuis une éternité. »




Quelqu'un m'a dit un jour , que l'acte d'amour le plus parfait était le sacrifice , arriver à dissimuler ses sentiments sous une vague d'amitié alors voilà , je n'ai jamais pus oublié son premier regard, je n'ai jamais pus oublié son visage si parfait à mes yeux , je n'ai jamais pus oublié un instant passé avec elle pour la simple et bonne raison que depuis tout ce temps , je l'aime, je l'aime comme un fou , comme un soldat et pourtant … Après notre « rupture » , j'avais virevolté avec d'autres femmes , j'avais aimé , désiré et parmi elles , une seule avait compter hormis Aleesha, Max Evans , mais à coup sûr , je fus de nouveau abandonné. J'étais perdue entre l'ombre et la lumière , un agneau au milieu de la forêt , aussi vulnérable qu'un enfant. Par moment alors , comme pour me réconforter je pensais à cette femme si leste à mon goût, son rêvait un paysage , ses lèvres n'étaient que le fruit de ma stupide imagination. Je l'avais désiré , je l'avais aimé et sans le savoir moi-même je l'aimais encore. Perdue dans la prunelle de ses yeux , j'étais un véritable gosse qui ne savait juger par lui-même. Parfois , il suffit d'une personne ,d'un regard , d'un seul sourire pour savoir à quel point l'on aime une personne. La vie exigeait un fort changement cette fois-ci , je n'avais jamais pris la peine d'admirer cette fois autre pour l'objet qu'elle représentait pour moi auparavant. D'un désir libertin était né un amour enfoui , ce fut comme une transition , une véritable métamorphose , mais je savais , je savais que jamais elle ne m'aimerait. Je n'étais pas le genre de type que l'on pouvait aimé bien au contraire, victime et témoin était mes ex-compagnes.
Je ne l'avais jamais remarqué , je n'avais jamais remarqué que parmi toutes ces femmes, seules celle-ci avait sut allumée la flamme jusqu'au bout , flamme qui n'était d'ailleurs toujours pas éteinte bien au contraire , elle resplendissait de plein feu dans le ciel annonçant ainsi un nouvel avenir au jeune homme du moins , un nouvel objectif.

C'est un soir parmi tant d'autres qu'il sut qu'elle ne serait jamais une simple amie , ou encore une ex alors qu'elle était bien gentillement entrain de lui préparer un sandwich en guise de repas , il s'aperçut qu'elle n'était pas aussi banale que ça . L'élégance se portait en elle, sa taille si fine reflétait une musculature qui lui donnait alors des airs de pianistes. Le dos droit, elle était resplendissante , ce fut comme si elle avait dérobée la lumière du jour pour ce l'approprier. Je n'aurais jamais remarqué ces détails auparavant je dois l'avoué ,j'avais toujours été attiré par cette femme , je lui avais même montrer mes faiblesses, mais jamais je ne m'étais autant confié qu'en ce jour, face à elle , j'étais un véritable gamin , les yeux pétillants , cette femme m'hypnotisais complétement. J'avais longtemps balayé l'image de son corps gracieux , inceste à Max , je ne pouvais songer à autre qu'elle. Je m'étais donc enfermé dans une image qui ne devait être révéler au grand publique comme pour cacher un secret honteux , je prenais ceci comme inceste et je ne pouvais faire cela à Max. Aleesha était une des rares personnes à qui je me confiais , étrangement , elle était sûrement la deuxième personne à savoir qui j'étais réellement , à savoir ce que j'étais. Ses baisers ardents d'autrefois quant à eux me réchauffaient le cœur , de cette pensée j'arrivais à survivre , de cette pensée j'arrivais à l'aimé. Par le passé , je commençais déjà à l'aimé , d'une autre manière , mais tout de même cependant voilà , je ne pouvais faire semblant d'ignorer mon meilleur ami , mon frère : Damon Tallis. J'avais mis terme à notre relation aussi vite que celle-ci s'était elle même engendrer , ajouter à cela , Aleesha m'avait mentit sur ce qu'elle prétendait être , j'avais été trahis par la personne que j'appréciais le plus à l'époque , le cœur déchiré , le lien qui nous avais unis autrefois avait été rompus aussi vite que l'on froisse un tissu ou un cœur mutilé.

Mais ce fut comme un automatisme , avec le temps je m'étais rapproché d'elle , une nouvelle fois étant passé de l'amant à l'ami , de l'ami au colocataire. Une force étrange me rapprochais d'elle , comme un magnétisme ,je ne pouvais vivre loin d'elle. Je n'avais pas encore pris conscience que cet amour ne se relevait pas qu'a une simple confidence mais bien plus. J'avais toujours considéré que notre relation d'autrefois n'était qu'un passage de notre vie , un passage ni bien, ni mal mais un passage primordial, du moins c'est ce que je voulais croire. J'avais toujours songer à ce qu'elle ressentait , j'en étais vite arriver à la conclusion qu'elle ne pourrait ressentir autre lien que du désir , de la passion. Comme je l'ai dis précédemment , je ne suis pas le genre de type que l'on peut aimé , je n'ai pas le temps pour puis de toute façon qui pourrais-m'aimer ? Je ne suis que la porte battante d'un logis , la gâchette d'une arme prête à tirer à n'importe quel instant, enfin de compte, j'étais moi même prisonnier de mes vices.



Comme chaque lundi , je lui rends visites. Je suis un vagabond, je n'aime pas me poser pour la simple et bonne raison et que je ne m'attache pas. Les sentiments , les amis , ce n'étaient pas une vie pour moi , j'étais quelqu'un qui se devait d'être quelqu'un un stupide mouton de Vladimir soit de la société, j'étais comme les autres , comme eux, sans cœur. Chaque personne que l'on autorise à entrer à l'intérieur de soi , chaque personne qu'on s'autorise à aimer est quelqu'un que l'on risque de perdre , je m'étais promis d'arrêter toute souffrance inutile dont l'amour primordialement. Je ne prétends pas être exceptionnel loin de là, la douleur n'habite pas seulement ma petite personne au contraire je ne suis qu'un flocon capable de s'écraser en moins de deux sur le seul et faire de ce qu'il était ce qu'il ne sera plus , je ne suis qu'une sous-merde de la société , une poussière, une vulgaire substance organique pourrissant l'atmosphère et le monde avec, je suis ce connard qui abat sans pitié , qui ruine des familles entières et qui pourtant ose se plaindre , en réalité, je ne suis qu'un tas d'amas en décomposition , les vermines viendrons me terrasser et moi je serais là souriais naïvement à l'idée de la revoir la haut , à l'idée de pouvoir rêver d'elle. J'aimerais lui murmurer comme je ne vis qu'a l'idée de la retrouvé tout ces débuts de semaines mais je ne peux pas , je ne dois pas. La douleur est une chose bien complexe , elle se manifeste sous différentes formes mais au fond nous ressentons toujours ce même pincement , cette légère irritation ,cette douleur lancinante. Nous la supportons chaque jour, puis il y a une douleur que l'on ne peut ignorer et qui chaque jour s'intensifie , une douleur qui fait disparaître le monde entier , la façon dont cette douleur est gérer ne dépend strictement que de nous , on l'ignore , l'affronte , l'anesthésie , on ne peux l'ignorer éternellement un jour il faudrait l'assumer un jour il le faudra...
Chez moi , le sentiment de douleur intense avait promptement disparut laissant place à se sentiment amer qu'est l'amour , pourtant les mêmes symptômes , les mêmes conséquences.

A la porte , je l'attends , un paquet de sushi entre les mains. Elle ouvre. Totalement ensorcelé par la beauté de ses yeux, j'aurais pus m'y noyais pour l'éternité. Ce fut comme une apparition , le reste du monde se mit soudainement à compter pour du beurre je ne voyais que par elle , je sentais déjà des frissons me parcourir l'échine. Mon cœur s'était alors animé ôtant ainsi ce sentiment amer et le laissant derrière la porte, l'éternité ne m'attendrais pas. Tout recommencer, faire d'une page emplit de rature , une page vierge, voilà le souhait que je prononçais dans ma tête. Son prénom , je le murmurais chaque jour , chaque heure , tel un baiser incessant , j'aimais à savoir qu'elle était là , autour de moi , guettant chacun de mes mouvements mais tout ça n'était qu'imaginaire , l'idéal vaut mieux que le réel.

Chez elle , ou devrais-je dire chez nous , je déposa les sushis sur la table , observant ses mains, je rêvais pouvoir les toucher comme autrefois , pouvoir les sentir s'empresser sur mon dos , sentir ses ongles s'enfoncer dans ma peau , goûter sa douleur par ses lèvres , faire de son malheur le mien.
S'adossant contre le sofa , mon corps frôla le sien , ma main se déposa sur la sienne. Immédiatement je l'ôta , geste malencontreux de ma part , j'affichais un mince sourire destiné à fondre ma gêne. Il fallait que je parle , il fallait que je fasse de cet incident un oubli. Il ne fallait pas qu'elle sache , qu'elle sache que je l'aime.

 «Au faite j'attends toujours mon sandwich au beurre de cacahuète enfin je dis ça mais je dis rien» 


Dernière édition par Aleksandr Ivanov le Mer 23 Juin - 1:07, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: « Tell me you love me Come back and haunt me » ▬ Aleesha S. Vadianova   « Tell me you love me  Come back and haunt me  »  ▬ Aleesha S. Vadianova EmptyMer 23 Juin - 0:55

Cela faisait quelques temps maintenant que j'avais quitté l'Amérique pour revenir aux sources. La vérité m'avait brûlé les yeux, je mettais noyer dans la lave des paroles de Damon en ce qui concernait notre relation. Sa brutalité m'avait montrer à quel point tout avait changé. J'avais eu besoin de sa violence pour comprendre qu'il ne m'aimait plus. Je n'avais jamais eu le coeur brisé auparavant, c'était la première fois, la plus difficile par conséquent. Tout était allé très vite, comme d'habitude ces derniers temps. Je me rappelais de ses yeux qui m'avaient désarmés, de sa voix qui se perdait dans des hautes octaves qui remplaçaient les souvenirs de ses murmures. Aussi stupidement que possible, la situation m'avait foudroyé. La déchirure m'avait réduit à un tas de cendres oubliés comme l'étaient nos souvenirs, pour lui. C'était cette nuit où j'avais cru mourir sous le poids de son rejet. C'était mon monde qui s'était brisé au rythme des mots qu'il m'avait craché au visage. Il était le seul à pouvoir me démolir le coeur de cette façon, le seul à pouvoir me rendre infirme. C'était aussi cette nuit où j'avais tout quitter. Sans avertir mes parents, sans avertir personne. Je voulais que ce poids dans ma poitrine s'enfouisse au plus profond de moi-même, je voulais peut-être même qu'il meurt. J'avais eu la sensation d'être une voleuse en partant de cette façon, sans même que mes parents soient au courant. Toute ma vie, je m'étais sentie engluée dans la solitude, Damon avait été la seule personne à laquelle je m'étais accroché, la seule ou presque. Il y avait eu Aleksandr, avec lequel j'avais eu une relation mais le destin a fait que je ne devais pas y croire. A présent, nous étions amis. Il dormait dans l'appartement dans lequel je m'étais installé mais rien ne se passait. C'était en tout bien, tout honneur. C'est comme ça que nous avions pu rester en bons termes. J'avais toujours pensé qu'Aleksandr pourrait très bien me rendre heureuse mais nous ne pouvions pas, moralement c'était impossible. Il ne passait à la maison que le Lundi, ça me permettait d'oublier cette peine de coeur qui s'obstinait à traîner en moi comme un vieux débris. La complicité d'Aleksandr remplaçait le venin qui coulait dans mes veines.

Les jours passaient sans que je ne leurs donne une réelle utilité, j'avais pris un congé maladie en simulant une douleur musculaire. Je n'avais plus la tête à dessiner, il m'arrivait d'oublier de laisser apparaître ce faux sourire sur mon visage pour faire comme tout le monde, pour paraître normale. Je n'avais personne qui se souciait vraiment de moi, du moins je ne l'avais pas vu. Je restais souvent immobile dans le fauteuil du salon, à me perdre à travers la fenêtre. Je ne pleurais pas malgré toutes les fois où je l'avais voulu. Il était tellement loin de moi à présent, il était heureux, amoureux. Amoureux d'une autre que moi. D'une femme que j'avais apprécié énormement auparavant. Je connaissais suffisament Auréa pour savoir qu'elle allait ne lui donner que de la chaleur, celle dont il a toujours manquer à l'abus, celle que je n'avais pas su lui donner non plus. Aleksandr arrivait à me faire penser à autre chose, à me redonner du souffle rien qu'en me faisant rire. Je n'avais voulu voir personne si ce n'est que lui, je n'étais pas le genre de fille à avoir des millions d'amis. Parfois, il m'arrivait d'aimer ma transparence. Être invisible était une chose que j'avais appris à apprécier avec le temps. Je me sentais exister quand Alek était à mes côtés. C'était le seul homme qui avait réussi à effacer Damon. Il était spécial pour moi. Il avait sa place, j'éspérais qu'il le savait. J'avais cherché la fuite lorsque j'avais pris le premier avion pour Moscou mais je ne me rendais pas compte que je fuyais la fatalité, je ne me sentais pas capable de la supporter plus longtemps. Je ne savais pas que se faire briser le coeur était à ce point douloureux. C'était comme si le temps s'était stoppé à ma chute, la chute qui n'en finissait pas. J'en avais assez d'être fragile sous ses yeux azurs, je le haïssais de m'avoir déchiqueter le coeur de cette façon et pourtant, avec le temps, j'avais compris. J'avais accepté. Lorsque j'avais vérifié ma boîte mail, je retrouvais des messages de Damon. Il ne cessait de me répéter qu'il était désolé mais qu'il n'était pas commandant des sentiments aussi puissants, qu'il voulait que l'on reste amis malgré tout ce que l'on avait traversé et qu'il refusait ma destruction sous prétexte que je ne comprenais pas. Il y avait encore bien d'autres choses dans ces mails et c'est en les relisant encore et encore que j'avais compris qu'il était temps pour nous de passer à autre chose et qu'il ne pourrait le faire sans mon accord.

La douleur s'effaçait à chaque fois que j'échangeais des rires avec Alek, j'étais impatiente de le revoir lorsqu'il s'en allait et il me manquait d'avantage lorsqu'il n'était pas présent. Une simple personne pouvait parfois nous redonnait l'envie de vivre, nous faire oublier nos peines et nous donner l'envie de prendre un nouveau départ. C'était ce que signifiait Alek pour moi, il était cette personne qui était présente pour moi, la seule qui me prenait dans ses bras lorsque l'envie de vivre s'échappait de mes souffles. J'aimais sentir la chaleur des mains sur mon visage ou sur mes mains, sa peau était sans doute le plus rassurant des foyers. Lorsqu'il m'entourait de ses bras, je me sentais en sécurité. Par moment, j'aurais voulu l'embrasser, lui dire qu'il me faisait trembler un peu plus mon coeur à chaque fois qu'il me touchait, qu'il prononçait mon prénom. Il était celui qui me rassurer, il ramassait les morceaux d'un coeur meurtri. Je m'étais sentie déchue, je me sentais importante dans ses iris. Bien sûr, j'avais cette peur au fond de moi qui me disait qu'il allait s'en allait, qu'il n'était là que pour un temps et pourtant j'avais foie en lui car l'apaisement qu'il me donnait me réconfortait lorsque j'étais seule, dans les pièces vides de cet appartement où je m'étais exilée. Je crois que j'avais besoin, tout simplement, j'avais besoin de sa présence pour me reconstruire. Nous étions amis mais je pouvais m'empêcher de le voir autrement, de le voir comme celui que je voulais à mes côtés lorsque je me réveillais le matin. Aleksandr était quelqu'un qui effaçait son histoire. Moi-même je ne la connaissais pas mais je décelais un chagrin terrible en lui, un homme froissé, brisé par un souffle de violence qui ne cessait de le bousculer. Je voulais être la personne qui étouffait ces souffles, ceux qui le détruisaient lentement car aucun humain ne méritait de souffrir de la sorte. Surtout pas Aleksandr. Il me guérissait, j'éspérais pouvoir le guérir même si je n'étais que son amie. Je connaissais Alek, il était très apprécié de la gente féminine et les femmes qui l'avaient cotoyées étaient nombreuses. Je ne me faisais aucune illusion à ce sujet. Aujourd'hui, nous étions Lundi, pour mon plus grand bonheur. Alek m'attendait au salon et j'étais en train de lui préparé un sandwich au beurre de cacahuète. Je m'étais laissé enlisée dans mes pensées en préparant un sandwich, à cette pensée, je souriais bêtement. Je paraissais moins livide lorsque l'odeur d'Alek s'infiltrait dans mes poumons, j'aurais voulu que cette odeur soit mon seul oxygène. Je le rejoignais dans le salon, avec son sandwich disposé sur une assiette. Il m'attendait dans le sofa, je m'asseyais à côté de lui et c'est à cet instant que j'avais senti une chaleur sur ma main, une chaleur qui avait l'habitude de m'enivrer et de m'adoucir. En quelques secondes, mon coeur s'était mit à vibrer à une vitesse surprenante. Cette sensation s'était volatilisée aussi rapidement qu'un frôlement, je m'étais tourné vers Aleksandr. Il me souriait, mon coeur battait toujours intensément et en brisant l'atmosphère il prit la parole.

« Au faite j'attends toujours mon sandwich au beurre de cacahuète enfin je dis ça mais je dis rien. »

J'avais émis un léger rire à cette réflexion même si j'étais troublée par ce que j'avais ressenti. Je trouvais la situation étrange et gênante et pourtant j'aurais aimé qu'elle dure plus longtemps. J'avais toujours été proche d'Aleksandr malgré ce qu'il s'était passé. Des frissons qui tombaient en rafale dans mon corps... Peut-être était-ce seulement le fait que je me sentes mal qui me faisait ressentir des choses étranges, peut-être que je recherchais simplement quelqu'un à qui m'accrocher. Je ne savais pas exactement pourquoi mon coeur disait à mes sentiments de s'actionner de cette façon. Il fallait que je chasses ses idées de ma tête, que j'arrête avant de me faire des films. Je lui avais répondu en riant, comme si je n'avais jamais rien sentie, comme si la chaleur n'avait jamais été présente. Je mentais.

- Tiens, le voilà ton sandwich même si tu ne le mérite pas.

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MessageSujet: Re: « Tell me you love me Come back and haunt me » ▬ Aleesha S. Vadianova   « Tell me you love me  Come back and haunt me  »  ▬ Aleesha S. Vadianova EmptyMer 23 Juin - 22:56

« Tell me you love me
Come back and haunt me »




« Ce fut comme une apparition , c'est alors qu'un
déchirement se produisit dans ma poitrine (…)
Après elle , elle était la deuxième à être si belle ,
soit la première depuis une éternité. »




Je n'étais pas conscient à l'époque de l'amour qui me consumait , je m'étais toujours noyé dans le passé plaignant une vie oubliée, une vite éteinte pour l'éternité. Une nuit d'été alors que l'ouragan s'étalait sur cette paisible mer , alors qu'un souffle céleste berçait mon âme ; en cette nuit étoilé , j'ai découverts ma pierre précieuse alors que les astres scintillaient dans la voie lactée de mille et une splendeur, je contemplais ses minuscules choses au loin qui s'emparaient peu à peu de mon souffle jusqu'à ce qu'une seule retienne mon attention, c'était elle. Soudain , cette nuit emplit de rêve se déchira en une lueur d'espoir , la lumière m'avait inonder mes yeux désormais voilés , je savais que je ne verrais qu'a travers son cœur , tout n'était qu'une question de durée. Elle m'illumina tellement fort que je dus fuir le ciel mais à mon retour, la comète s'en alla aussi vite qu'elle m'était apparut pour s'en volé vers sa destiné , le noir repousse les ténèbres, pour ainsi faire apparaitre l'aurore , détruisant ainsi toute trace d'obscurité de ses rayons lumineux , mon paradis n'est plus , l'ange avait déployer ses ailes, le jour c'est enfin lever.

Contre toute atteinte , elle est revenue , du moins je suis allé à elle, elle m'avait attendu. J'ai sus ouvrir la porte de son cœur mais n'es pas sus y prendre la place que je désirais parmi toutes celle qui m'étais proposé. Je voulais être l'indispensable à sa survie , une personne aimé mais je savais pertinemment que cette place ne me serais jamais approprié , les personnes comme moi n'ont pas le droit au bonheur , il faut nous l'interdire pour notre propre sécurité. Enfin de compte , nous ne sommes pas si déshumaniser que cela , nous avons du chagrin , des regrets. Contrairement aux êtres humains normaux , notre seule préoccupation n'est pas le bonheur à l'état pur mais la création d'un objectif afin d'avancer dans le domaine professionnel. Moi, j'aurais tout fait pour ne serais-ce que goûter a son breuvage qui m'extasiais tant autrefois. Embraser ses lèvres tout comme mon cœur l'était d'elle ,capturer ses instants de bonheur afin de les enfermer à l'intérieur d'une capsule et pouvoir les admirer chaque jour de mon éternel plaidoirie.

Les fantômes me hantent, je n'arrive pas à détruire le mur qui me retient, je n'arrive pas non à en construire un nouveau , il me manque des pièces , des pièces indispensable à sa construction. Il faut que je choisisse les bonnes pièces, on ne peut pas revenir en arrière , il faut faire un choix. Choisir la vie , choisir un petit boulot , choisir un domaine, choisir une femme , choisir une famille , choisir un appartement puis une maison , choisir le mobilier, une putain de télé , un lecteur dvx , une table basse, un canapé , une cuisine , une voiture , un chien , un chat. Remplir les impôts , remplir la mutuelle , remplir un papier d'engagement , remplir sa vie , la choisir. Choisir son avenir , choisir sa mort , choisir sa vie , choisir son avenir , choisir sa vie , la choisir. J'aimerais la choisir , mais je ne peux , le sacrifice d'un amour est bien plus beau qu'un éternel supplice. Je me suis mentis à moi même ce jour là , ce jour où je l'ai abandonné , ce n'était pas vrai , notre histoire n'était pas tout à fait terminée, elle ne le serait pas jusqu'à ce qu'elle sache , qu'elle sache que mon âme lui est voué. Je ne veux pas , je ne veux pas ne pas faire partie de sa vie , c'est tellement frustrant de devoir jouer les indifférent que j'en ai mal au cœur. J'ai l'impression de me planter un couteau, une pointe infime de douleur , du sang. J'aurai aimé tenir sa main un peu plus longtemps , j'aurais aimé être celui qu'elle aimait , mais je ne pouvais l'être. Impossible. Il fallait que je me débrouille , il me fallait les bonnes pierre , il fallait que je me reconstruire un mur , un mur qui serait mon échappatoire , mon bonheur.

A côté d'elle je l'admire secrètement, c'est officiel je l'aime. J'aime tout d'elle, j'aime son sourire , ses cheveux , son visage, j'aime la façon dont elle se comporte , la façon directe qu'elle à de me faire comprendre les choses. J'aime sa tâche de naissance placé sur sa hanche, j'aime ça façon de marcher , de courir. J'aime aussi ses lèvres , j'aime à savoir que par le passé elle gobait les miennes. J'aime ça façon de sourire , de rire, j'aime ses dents. J'aime à la regarder dormir du moins faire semblant , j'aime son expression naturelle , je crois que je l'aime tout simplement. J'aime sentir mon corps contre le sien , j'aime me sentir avec elle , je suis bien. J'ai la vague impression de renaître, elle apaise mon souffle et le confond au sien , ap&aise mes pensées et les font siennes.

J'ai ce regret amer qui demeure en moi depuis tant d'année , j'ai ce putain de chagrin qui ne veut pas s'effacer et la seule chose ou plutôt devrais-je dire personne qui arrive à me retire cet abominable sentiment c'est elle. Elle cueillait les éclats de mon cœur , les rassemblaient et les faisaient s'envoler au loin , là où tout est possible là où le bonheur pousse par millier. Elle avait littéralement coloré cette vie qui fut mienne , cette vie trouble et chaotique. J'étais perdue entre un monde chaotique et son monde, ma boussole détraquer , affichait la mauvaise direction , une direction où l'humaine condition n'existait qu'a travers les rêves, en face , elle, elle était là , ma boussole à la main, elle était la seule à savoir la lire. Elle m'avait apprit à aimer sans le savoir et par la même occasion à vivre. Chaque lundi était une nouvelle bouffée d'air , un air qui se récidivait chaque semaine durant lesquelles mon cœur palpitait à toute allure si bien que j'en crus en perdre la raison.

Avant de l'aimer , ma vie était plutôt bien , je n'en n'avais pas à m'en plaindre si ce n'était le meurtre de ma femme du moins soit disant ainsi que l'enlèvement de mon fils , j'étais habitué à la douleur , la douleur demeurait en moi maintenant je ne sais plus , je ne sais pas. Elle est entrée dans ma vie, et maintenant j'ai peur de ne plus pouvoir vivre sans elle. Chaque seconde loin d'elle me paraît être un,:l véritable supplice alors oui je l'aime c'est décidé. J'ai appris à m'aimer à travers l'amour que je le voue , il y a plusieurs manière d'aimer , moi , je l'aime à en crever.
Désormais j'avais compris , la haine n'est qu'une foutue chimère qui ne pense qu'a vous envahir afin de mieux s'enivrer de vous , de mieux vous abattre. C'est alors que j'ai laissé la lumière envahir mes yeux pour ne voir que l'innocence du monde dans lequel je vivais. Mes yeux se sont rompus des glorieux sacrifices d'autrefois pour apercevoir qu'enfin de compte je m'étais noyé dans l'éternel perdition du sang par le sang.

Non seulement ce péché là mais aussi une certaine gourmandise envers les femmes. Je n'étais jamais rassasier , constamment en pleine séduction , c'était mon seule moyen de pouvoir enfin m'évader non par les femmes mais par le désir qu'elles me donnaient l'amour d'un soir, j'étais désir , chaque soir , chaque jour. J'enjolivais une femme , la séduisais , la fascinais mais aucune d'elles ne m'apportaient ce que je recherchais l'amour. Je voulais recommencer une vie , émietté mon passé pour qu'il ne devienne plus que poussière , je haïssais mon passé , ma vie. Aleesha quant à elle , elle m'aidait. Elle ne le savait pas mais une chose est sûr c'est que c'est dans son sourire que j'ai vu mon avenir, dans ses yeux que se sont fondés des objectifs. Je me fortifiais une nouvelle image non désiré d'ailleurs et ça , ça ne me plaisais pas forcément , j'avais peur. J'appréhendais ce que je ne connaissais pas, j'avais toujours demeuré dans un abime impitoyable où j'étais le vainqueur , personne ne m'avait jamais vaincu , j'étais le gagnant.
L'amour était le seul élément où je ne triomphais pas , je ne savais pas aimer , après tant d'années , avais-je réellement aimer ? Mes sentiments pour Aleesha s'était renforcer à mesure que son souffle se mêlait au mien , que son corps se confondait à ma chaire.

Il me faut construire un empire , un château de lego , quelque chose qui puisse tenir.. Sous ma plus grande surprise , Aleesha me prépara ce que j'avais exigé bien que ce n'était que plaisanterie. Étrangement , ce simple geste me fit comprendre qu'au moins une personne tenait à moi , qu'au moins une personne pourrait me regretter après ma mort. Je souriais naïvement , elle était si belle ainsi qu'il me fallait me tranquilliser mais ce fut tout le contraire qu'il se passa lorsque son corps frôla le mien , une vague de désir venait de monter en moi , telle la braise , ma chaleur corporelle était monter à son plein. Des frissonnements parcoururent mon corps encore ardent, mes mains quant à elles se crispèrent contre mes genoux enfonçant mes ongles contre la peau , je n'avais pas mal. J'avais reçus au cœur comme une commotion électrique , il me semblait même qu'il jaillissait des étincelles dans ma poitrine lorsque mon regard se tournait de nouveau vers elle.

Elle avait émit un léger rire cristallin , c'est alors que je ferma les paupières comme pour y retenir les deux lueurs bleuâtres qui s'y étaient perdue, puis voulant résister à ce vertige oppresseur je les ré ouvris , elle parla.

Citation :
« Tiens, le voilà ton sandwich même si tu ne le mérite pas. »


Sa réplique elle aussi me fit rire , un léger son sortit de mes lèvres , un gloussement. Soudain , je ne sais par quel folie, je me leva brusquement la plaquant contre le canapé , toujours cet éclat de rire scintillant de mes lèvres. Mes mains gambadaient en tout bien tout honneur le long de son coeur de sorte à lui faire quelque chatouillement , visiblement le chose avait marché puisque j'avais sus déclencher en elle le plus mirifique des sourires le sien. On m'avait souvent parler d'ange , je n'y avais jamais crus maintenant je peux affirmer qu'ils existent ,elle était l'ange de mes démons , le démon de mes anges la source m'enivrant tout en me détruisant. J'étais persuader au fond de moi même que le précipice qui me descendait depuis si longtemps pouvait comme disparaître subitement , du moins à ses côtés il n'était plus là. Elle a le visage d'un ange , elle aime faire le bien, j'ai le sourire du diable ,j'aime voir le sang couler , je suis un tueur , quand l'opposé se rencontre, ils se consument l'un à l'autre , du moins le malin s'était fait prendre à son propre piège. Une fois le rire cesser , nous nous étions adosser de façon convenable si je puis dire , droit comme un piquet , un rire aux lèvres je ne peux me retenir plus longtemps , suivie d'un délicat sourire de la part d'Aleesha , j'étais au paradis.

Je m'étais alors levé , lui demanda de prendre ma main , elle me suivit. Je connaissais l'appartement par cœur , j'avais pris soin d'installer une chambre qui demeurait close lors de mon absence , cette chambre était mon repère , la seule chose qui me comprenait , la seule pièce où j'arrivais à m'isoler tout en gardant un peu d'amour , amour que j'avais acquéris grâce à elle. Dans mon repère , je me sentais libre , ici dans ma ville natale , Moscou. Ce fut comme-ci le soleil éclairait le chemin à prendre , ce fut comme-ci j'avais une conscience. Ma main empoignant la mienne , je l'emmena alors dans ma forteresse, mon échappatoire , mon geuloire. Certain y trouveront un vide , d'autre une souffrance ou encore un bonheur , pour moi c'était tout. Ma souffrance, mon bonheur , une certaine vague de tout enfin de compte. La serrure une fois ouverte , je posais mes mains sur son visage , ses yeux. Sa vision fut mienne , mon souffle sien. Il y a peu , j'avais reçus un appel de son patron qui ne fut autre qu'un de mes clients en tant que célèbre mafieux, visiblement elle souffrait de je ne sais quoi , mais c'était faux. J'étais le seul à connaître sa peine , sa tristesse. La raison de mon départ fut aussi la raison de cette vague de tristesse qui la chagrinait tant. J'avais envie de la rendre heureuse , lui rendre l'appareil comme le dirait l'expression mais j'y étais incapable. L'enthousiasme n'arrivait à se dégager de moi , comme-ci un bouclier la renfermer sur moi même pour m'empêcher d'étaler mes sentiments. Mes mains sur son visage , j'inhalais la délicieuse fragrance qui s'y dégageait , je touchais sa peau si exquise à mon goût , l'envie de savourer à sa peau me démangeait. La faisant avancer à l'aide en même tant que moi , j'ôtais mes mains de son visage , un sourire vainqueur aux lèvres , j'exposais le monde dans lequel je vivais qu'il soit souffrance ou bonheur , je m'étais mis littéralement à nue. En face de nous , un magnifique piano K. Kawai. La noirceur de l'instrument me faisait aussi bien tressaillir que ma main collé à celle d'Aleesha. C'était un bel instrument autant le dire toute de suite , il occupait dans ma vie une place primordiale , grâce à cet instrument c'est la vie que je créer , c'était ma mélodie. J'apportais ma touche personnelle à chaque symphonie , chaque harmonie. Je m'avançais doucement touchant ainsi les touches sous peu taillées dans le bois tendre. Délicate était les touches , et aussi mélodieuse que les symphonies qu'Aleesha même m'inspirait. M'adossant contre ce qui me servit de siège , d'un regard chenapan j'invitai l'ange à participer à ce qui fut ma seule véritable distraction ainsi que refouloir , mon piano , ma vie. Tout comme moi , il avait un passé, celui-ci appartenait à mon père biologique , père que j'eus aimé par dessus tout d'ailleurs. J'avais réussis à le retrouvé après avoir fuit Aprilia. Sous ses aspects robustes et solides, il pouvait bien paraître indestructible , ce n'était qu'un objet tout comme moi j'étais un homme. Un piano rassemble un ensemble de pièces complexes tout comme ma personnalité l'était , au fond , nous n'étions pas si différent l'un de l'autre , il était mon souffre douleur , mon meilleur ami , mon frère , mon père. En la faisant entrer dans cette pièce , j'étais conscient que je prenais un risque , je n'avais jamais exposer pareil chose à une personne pas même à ma jumelle , personne n'était au courant de mon activité , de ma passion envers le piano , maintenant , elle était au courant , je lui ouvrait non seulement la porte de mon repère mais aussi de mon cœur. Je jouais ma mélodie , comme on tombe amoureux tout n'était qu'instinct , tout ne se résumait qu'a elle. C'est alors qu'il se fit un abondant de silence à l'entour et la majeure partie du reste de mon de se mit à compter pour du beurre, son regard croisa alors le mien le temps d'étinceler un instant , personne ne m'avais jamais regardé ainsi auparavant , de façon aussi perçante qu'elle le faisait , si bien que j'en crus m'y noyé pour l'éternité , j'observais l'assombrissement hypnotique de ses yeux bruns. Soudain mon cœur se mit alors à palpiter plus intensivement sous mes côtés, ce fut comme si ma vie se remplissait d'un seul cou, ce fut comme si des écailles me tombaient sur les prunelles , j'éprouvai la sensation d'un aveugle qui recouvrait subitement la vue. J'étais vivants.


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MessageSujet: Re: « Tell me you love me Come back and haunt me » ▬ Aleesha S. Vadianova   « Tell me you love me  Come back and haunt me  »  ▬ Aleesha S. Vadianova EmptySam 31 Juil - 13:54

Des tas de ressentis se mêlaient en moi, me rendaient confuse de mes mouvements pourtant si monotones autrefois. Je ne savais pas si Aleksandr était le responsable de la confusion qui s’était éprise de mon corps mais c’était de cette chose dont j’étais victime. Il exécutait sur ma personne une sorte d’envoûtement. Je savais pertinemment que je n’étais pas la seule à bénéficier de cet enchantement et c’était triste de le comprendre, triste de me dire que peut-être je ne valais pas plus qu’une de ces autres filles qui l’adulait tant. C’était sûrement la raison qui me poussait à garder mes distances, je ne ressemblais pas à ces femmes qui changent d’hommes comme de vêtements. J’étais plutôt du genre à mépriser ce genre de comportement, déplacé à mes yeux. A présent que Damon m’avait arraché à lui, je me sentais pleine d’une liberté nouvelle, quelque chose que je n’avais jamais réellement connue, à vrai dire. Aussi loin que ma mémoire me le murmure, j’avais toujours été cette fille enfermée dans une cage dorée. Mes parents étant de riches personnes, ils m’avaient inculqué une éducation stricte mais leur présence n’était qu’un simple reflet dans une eau déjà assez trouble.

J’étais toujours celle qui restait seule, celle qui se faisait absorber par l’intérêt des autres, leur laissant leur profit écoeurant et brûlant comme de l’acide. Il m’arrivait de les haïr, de penser les pires atrocités du monde en ce qui les concernaient. Ils le méritaient amplement mais non, aucun mot ne percer mes lèvres si bien soudées. Qu’ils aillent en Enfer, si j’avais pu, je les y aurais poussés. Aleksandr n’était pas comme ces personnes répugnantes, son honnêteté les désarmer et les rendaient impuissants. Il se faisait haïr pour la simple raison que sa vérité était dérangeante. Il restait droit avec l’être qu’il était et j’admirais ça. Le temps avait passé et je m’étais rendu compte que mes pensées s’étaient révélées être les bonnes. Tout ça n’était que supercherie et ça m’inquiétait. J’essayais une nouvelle fois d’oublier, de penser à autre chose mais je n’arrivais décidemment pas à me concentrer suffisamment. J’avais entendu un léger rire émanait d’Aleksandr et ça remplissait l’amertume de mon esprit, ça remplacer ma colère contre ses individus stupides. D’un geste imprévisible, Aleksandr s’était mis à me chatouiller, ce qui provoquait mes rires et sourires qui semblaient s’être dissous auparavant. Il avait finalement cessé de me foudroyer de rires, ma respiration était haletante mais j’avais ris, grâce lui. On se remettait convenablement, essayant de calmer nos enfantillages.

Rien ne pouvait décrire l’apaisement présent, c’était comme une fin à tout le vacarme que j’avais connu. Plus rien ne m’importait tant qu’il était ici et non avec quelqu’un d’autre. Il me rassurait, rien que par sa présence et ça ne s’expliquait tout simplement pas. Aleksandr s’était levé et j’avais pris la main qu’il m’avait tendue. J’avais très vite compris qu’il m’emmenait vers la pièce qu’il considérait comme sa chambre, c’était étrange. Normalement, je n’avais pas le droit d’y entrer et j’avais respecté son choix. J’en été arrivé à la conclusion que cet endroit devait être important pour lui s’il désirait que personne n’y rentre. Le fait qu’il m’y emmène me touchait extrêmement. Les rapprochements que me faisaient ressentir Aleksandr avait l’habitude de me faire trésaillir, me faire tomber dans le ravin d’une incompréhension agréable mais pourtant suspecte. Jamais je ne l’avais repoussé, du moins pas jusqu’à présent. Lorsque nous étions arrivés dans sa chambre, ses mains s’étaient approprié mon visage, on avançait et il découvrit enfin mes yeux. Son sourire était grand, le mien discret comme toujours. Dans sa chambre était exposé un piano, j’étais loin de me douter qu’Aleksandr était musicien. Je crois même que ça ne m’avait jamais frôlé l’esprit mais ce n’était pas pour me déplaire. Avec Damon, j’avais vite eu l’habitude d’un acharnement que seuls les musiciens comme lui connaissaient.

J’étais certaine au fond de moi qu’Aleksandr excellait dans ce domaine, comme dans tous les domaines par lesquels il passait. C’était un être unique, tellement riche mais si peu connu du reste du monde. C’était comme s’il refusait de se montrer à son meilleur jour, comme s’il cachait la vérité. Sa perfection était nichée au creux de son cœur, seulement qui voudrait écouter le cœur d’un meurtrier ? Personne ? Et bien si. Moi, je n’avais pas peur de tout ces bains de sang, de toute cette cruauté qu’il était capable d’émettre. Ce n’était que des apparences habillement manœuvrées ayant pour but de fausser les pistes mais avec moi, ça ne marchait pas. Je voulais connaître le vrai Aleksandr, celui qui m’éblouissait et me donnait envie d’aimer. Je savais qu’il était quelqu’un part, si près mais tellement éloigné en même temps. Cet homme-là n’était pas visible, non et je ne sais exactement pour quelle raison. Je m’y faisais, à quoi bon si il ne le désirait pas ? Je n’aimais pas infliger une pression telle qu’elle soit. Je me contentais d’être Aleesha, ni plus, ni moins. J’étais égarée, est-ce que ma peine me rendait attachée ? Je n’avais rien à dire, je ne faisais qu’observer comme toujours. Ma parole était un temple auquel peu avait l’accès. Je ne sais plus exactement pourquoi tout ceci se passait. Je le regardais, voilà. Sans aucun son, aucun mot.


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MessageSujet: Re: « Tell me you love me Come back and haunt me » ▬ Aleesha S. Vadianova   « Tell me you love me  Come back and haunt me  »  ▬ Aleesha S. Vadianova EmptyDim 1 Aoû - 22:16

« Tell me you love me
Come back and haunt me »




« Ce fut comme une apparition , c'est alors qu'un
déchirement se produisit dans ma poitrine (…)
Après elle , elle était la deuxième à être si belle ,
soit la première depuis une éternité. »




    Aleesha , un refrain qui ne cessait de résonner aux creux de mon cœur. Je pouvais rester éveillé juste pour l'entendre respirer , pour me voir voler. J'aurais pus passer le restant de ma vie dans ce doux abandon , me perdre à jamais dans cet instant d'immense jouissance. Le monde entier ne vivait qu'a travers ses yeux sablés. L'envie de s'emparer de son être était irréversible , nos destins devaient se sceller , c'était inévitable, une évidence même. Ce fut comme-ci le reste du mon de se mit à compter pour du beurre , comme si je ne pouvais voir qu'a travers l'océan de ses baisers. Par son amitié , elle avait de moi cet être à part , cet être unique. Personne auparavant ne m'avais regarder de façon aussi perçante. Le soleil des vivants m'envoyaient ses ailes , ce fut comme-ci à l'intérieur de mon thorax s'émanait comme une douce mélodie la prouesse d'un avenir meilleur.
    Son regard , perspective d'une reconstruction intérieur qui quant à elle se délectait de mon être, elle m'avait littéralement réparer. J'embrassais ma douleur d'autrefois et faisais de celle-ci ma force , ma puissance. Les yeux levés vers le ciel , signe d'un nouveau départ s'apprêtant à refermer une page désormais close , la pluie salée qui s'abattait habituellement sur mes joues n'étais plus que vagues sécheresses.
    Le royaume du possible est présent en chacun de nous, il suffit simplement dis croire. J'étais vivant , et cela plus que jamais ! Aleesha est mon nouveau départ mais si j'en étais arriver ici aujourd'hui ce n'était pas seulement grâce à cet ange, un second était apparut , Sasha , mon fils. Ses deux personnes m'avaient totalement rebattis , je n'étais le même homme qu'auparavant , j'en étais conscient. Osant franchir le cap de l'inconnu et de l'oublie , me créant ainsi un nouveau monde , un monde où la terreur serait anéantit , où l'individualisme n'existerait pas , un monde où l'ont plante des graines d'amour et non de haine , un monde meilleur. C'était comme un choc dans ma poitrine, une légère commotion que venait tout juste de subir ma poitrine. En route , j'avais perdue ma lumière ne tentant jamais de renouveler la première , je m'étais perdue dans un abime sans fond. Au dessus même de mon chevet ,j'en avais trouver une seconde , il ne me restait désormais plus qu'a maintenir une légère pression sur l'interrupteur pour que celle-ci s'allume. Ayant fermer les yeux bien trop longtemps sur le monde qui m'entourais, je m'étais forcé une carapace ou rien ne pouvait ni entrer ni ressortir d'ailleurs. Voyant les paysages défilés sous mon nez , les montagnes à perte de vue , l'océan , la nature , ces trésors que je n'avais pas sus voir , Quelques buissons , des pierres , de grosse roche , puis au là-bas , au loin , la mer. Agréable senteur de l'immortelle beauté , je ne l'avais jamais côtoyé jusqu'à ce jour mais il me fallait prendre un nouveau chemin, et le seigneur l'avait déposé bien gentillement devant mes yeux. Le soleil s'étendant dorénavant à perte de vue dans mes yeux baignés par un nouveau souffle , je voyais désormais les faisceaux lumineux du seigneur s''offrir à moi. La jeune femme était apparue une première fois , première fois où je n'avais pas sus ouvrir les yeux , cette fois-ci , elle m'avait complétement irradié de son bonheur me le faisant ainsi partagé par l'immense douceur de ses baisers. La terre entière s'était alors stopper laissant ainsi au monde prendre une douce figurine parsemé de tendresse, si bien que l'ivresse même m'avais envahit. J'avais enfin trouver mon héroïne et contrairement à ce que l'ont pouvait penser ce n'était ni dans de stupide bd , ni chez un marchant de drogue que je l'avais trouvé , non mais au boulevard du cœur. La vie me semblais soudainement immaculé d'un bonheur sans frontière, d'un sourire sans mensonge. Pour la première fois de ma vie,j'étais véritablement heureux, comme tout le monde le sait ,le bonheur n'est pas à long terme mais éphémère. J'avais toujours survécus grâce à un seul et même sentiment qui n'était autre que la souffrance, elle m'avait constituée , accompagnée dans ce monde mené strictement par la haine ainsi que l'avarice d'une condition humaine désormais éteinte. Dans un monde sans aucune bonté, dans un monde où les plus forts sont triomphateurs , j'avais sus me ranger parmi les plus grands mais jamais mon cœur ne m'avais suivis dans cette quête insensé qu'était le monde en lui-même.

    Citation :

    Aleesha S. Vodianova :

    « Je veux que tu sois quelqu'un de bien, je ne veux pas que tu sois celui qu'on déteste parce que je sais que tu te fais du mal en te montrant comme ça.

    Aleksandr Ivanov :
    Comment tu peux le savoir ?

    Aleesha S. Vodianova :

    Parce que je te regarde dans les yeux et je vois que tu as mal au fond. »

    Ses paroles , source primaire de mon existence , je m'élevais peu à peu dans un cercle vicieux , dont je n'aurais quitté pour rien au monde. J'avais toujours été de ses personnes ne pouvant croire en l'humaine condition , ne pouvant croire aux miracles , aux anges. Cette fois-ci , je ne pouvais prétendre le contraire puisqu'un ange veillait sur moi , puisqu'elle veillait sur moi. Le jour s'était subitement levé dans ma poitrine , à l'ombre d'un vieux chêne , je ressentais alors un déchirement se produire dans ma poitrine, après elle , elle était l deuxième à être si belle , si douce , soit la première depuis une éternité. Elle était mon désir le plus désespéré soit mon unique contentement. Elle était le feu brûlant mon plaisir ,l'eau enflamment mon tourment , la glace expiant mon souffle. Tout simplement la chaleur de ma réapparition , le commencement et la vie , la lumière du jour et l'obscurité de la nuit , elle était tout. Complètement malade de ses baisers , je sentais cet amour me consumer au plus profond de mon être autant intérieurement qu'extérieurement. Entre lui ruines de mon emprisonnement , un sourire vainqueur aux lèvres, le bonheur me souriait enfin , tous ce qu'il me restait à faire était de lui sourire en retour.
    Aleesha était une de ses personnes préférant se taire , s'abstenir comme on dit , et pour tout dire , j'étais intriguer. La passion , le désir , la sérénité et l'amour m'envahissaient lorsque mes yeux gambadaient dans les siens, je me sentais renaître.


    « Aleesha , tu connais le dicton " Fuis moi je te suis. Suis moi je te fuis. " Moi je crois que dans tous les cas je te suis et le pire dans tous ca c'est que je sais pas pourquoi. Enfin si. »







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