J'allumais machinalement mon ipod, quand tout ce casser la gueule il devenait mon amant. Je déroulais mon menu, jusqu'à trouver ce que je cherchais enfin, « Where is my mind? - The Pixies », Je mettais mes écouteurs dans mes oreilles, j'entendais ces vibrations de voix qui fessait trembler mon conduit auditif. Auréa avait eut la bonne idée de me mettre un bocal, un poisson sur mon bureau. Il avait pas l'air triste, ou alors il cachait bien son jeu. Je le déposais au pied de mon lit et je m'allongeais sur celui-ci , la tête a l'envers. Je l'observais faire ces ronds en me demandent quand il allait cesser. Je me demandais s'il était capable d'entendre ces vibrations. J'approchais mes écouteurs du bocal et j'observais, le sang me montait légèrement au cerveaux mais au final, ca me fessait du bien. Mon esprit s'échappait dans l'air et ma raison c'était tue dans ma boite craniénne. Je renfonçais les écouteurs dans mes tympans, j'avais eu le mécanisme de sortir une clope de ma poche, je la mettais a ma bouche machinalement, je sortais mon briquer sans sensation particulière. Ca n'avait plus de sensation, même pas une nuance de satisfaction. Je jetais la clope dans le bocal, t'être que la nicotine lui ferait de l'effet.
Tant que je ne parlais pas, tant qu'aucun son ne sortait de ma bouche.. toutes les possibilités étaient envisageable, tous les choix étaient les bons et je n'étais pas en faute. C'était difficile pour moi de bien comprendre tout ce qui ce passer, je ne voulais pas décevoir, pas encore une fois. Je n'ai jamais rien eux d'exemplaire.. bien au contraire, j'ai toujours été un paradoxe à cotés de ces pompes. Je savais aussi que l'on pouvait m'entendre sans que j'ai a dévoiler ce sons, en connaissent mes habitudes, mes goûts, ma façon de me tenir, tout cela on pouvait aisément imaginer ce que je ressentais. Cependant, il y avait toujours cette chose en moi qui se voilé dés qu'on voulait l'approcher, comme un obturateur à rideau, les plus rapides de tous ayant la capacité de laisser passer très peut de lumière. Je ne pense pas que sa soit un défaut que de vouloir que très peut de personne puisse vous voir vraiment, c'était ma protection. Je jetais toutes les photographies que j'avais pu faire ces derniers mois sur le lit. Elles étaient vides de message, je me relevais puis, j'observais c'est ce qu'il fallait faire pour ne pas renouveler les mêmes erreurs, regarder derrière soit et apprendre de ces fautes. La porte s'en trouvera pour laisser apparaître une ombre, je n'arrivais pas a délier la voix, je m'asseyais sur la chaise de bureau et Damon s'asseyait sur le rebord de mon lit.
- On a grave merdé mais si c'était à refaire, je le referais sans hésiter. Tout ça, ça nous a rendu plus fort tu sais et je voudrais pas que ça se brise, pour rien au monde.
Je souriais naïvement parce qu'il y avait une part de soulagement. Une sorte de poids qui se détache du coeur. Je n'étais clairement pas du genre a aimer les conflits, bien au contraire ils me fessaient peur ces conflits, surtout quand ils étaient avec ces personnes si spéciale a mes yeux. Damon était bien plus qu'un frère pour moi seulement on avait tous les deux de nombreux problèmes de communication. Le fait qu'on est été blesser, nous a fait nous cacher derrière des murs. Je ne voulais pas qu'il se sente obliger, c'était la raison pour laquelle je n'avais rien dis.
- Je pense aussi qu'on en ressort plus fort, je veux pas non plus que ça se brise mais ce que je ne veux pas par dessus tout, c'est te decevoir.