« Une petite citation »

Le Japon. Ces paysages magnifiques. Ces grattes-ciel immenses. Un pays qui peut sortir tout droit d'un film de science fiction. Un pays magnifique pour Marc & Elisabeth de Vallois, un couple de jeune marié qui vivait en France. Tellement magnifique qu'ils y sont allés pour leur voyage de noce. Et après leur voyage de noce, ils ont même décidé de s'y installer. D'accord, ils ne savaient absolument pas parler japonais, mais ils allaient l'apprendre sur le terrain après tout ! Et puis ils savaient parler anglais et l'anglais n'est-elle pas une des langues les plus parler au monde ? Ils allaient certainement s'en sortir avec ça ! Et effectivement, ils s'en sont sorti. Marc de Vallois était devenue professeur de littérature dans un centre étranger à Tokyo. Quant à Elisabeth, elle avait réussi à trouver un emploi dans une agence de presse pas très loin de leur maison. Dès qu'on les voyait, on savait très bien qu'ils étaient parfaitement heureux. Qu'ils vivaient dans un bonheur absolu. Mais il manquait quelque chose à ce bonheur. Un enfant. Oui, après deux ans de mariage, ils avaient décidé qu'il était désormais temps pour eux d'avoir un enfant. Et c'est à peine un an après cette décision que la petite Charlotte Miyako de Vallois vit le jour. Ça y est, les de Vallois avait tous pour être heureux. Rien ne pouvait gâcher leur bonheur. Il vivait dans leur bulle où régnait la joie et la bonne humeur. Mais il fallait agrandir cette bulle. Oui, parce que quatre années après la naissance de Charlotte, Elisabeth apprenait qu'elle était encore enceinte. Un deuxième enfant, une bénédiction pour cette famille.Tous prédestinait à cet enfant à être unique. Commençons déjà par le jour de sa naissance ! C'était le quatorze février. Jour de la Saint-Valentin. La tradition veut que ce jour-là, les femmes offre des boîtes de chocolat à leur prétendant. Elisabeth arrivait presque au terme de sa grossesse. La petite fille, oui parce que c'était encore une petite fille, devait arriver dans un peu plus de deux semaines. Le ventre de la future mère était aussi énorme qu'une montgolfière ! Ce jour-là, monsieur de Vallois attendais son paquet de chocolat avec impatience. Sauf qu'il ne reçut pas ça, mais un bien plus joli cadeau à la place.« Euh .... Je crois que tu vas devoir m'offrir quelque chose qui a trois fois la valeur d'un séjour à la maternité, le mois prochain ...» Attention parenthèse culture pour les incultes ! Oui, parce qu'au Japon les hommes doivent offrir, en retour de la boîte de chocolat offerte par les femmes, quelques choses d'une valeur de trois fois supérieur à ce qu'elles leur ont offert. « Comment ça ? AAAH MAIS NON, ELLE DEVAIT ARRIVER QUE DANS UNE SEMAINE !! » Oui, parce que maintenant le futur père avait remarqué que sa femme venait juste de perdre les eaux, et en plus de ça sur leur nouveau tapis. « C'est une date théorique .... Et là, la petite a décidé de venir avant cette date .. AAH ÇA FAIT MAL !! » « Maman va avoir le bébé ? » Et la ptite Charlotte dans tout ça, ne savait pas ce qui était en train de se passer. Il faut dire que du haut de ces quatre ans et demi, presque cinq, elle voyait juste que sa mère avait mal au ventre et on lui avait dit que si un jour elle avait vraiment mal au ventre, elle allait avoir le bébé. « Hein ? ... Euh oui le bébé arrive ! LE BÉBÉ ARRIVE !! Va chez les voisins et dis que j'emmène maman à l'hôpital pour qu'on récupère le bébé !» Et c'est dans cette panique que l'ainée de la famille allait chez les voisins car son père lui avait dit. Alors que les deux futurs parents allèrent à la maternité. Et le moins que l'on puisse dire ce que ce n'était pas l'accouchement le plus rapide du monde loin de là. DIX HEURES ! Elisabeth a souffert dix heures ! Il fallait croire enfin de compte, la petite voulait rester bien au chaud. Mais c'est après ces dix heures de travail que cette adorable petite fille naquit. Et cette petite fille se prénommait Léonore Yûki de Vallois.


A vrai dire elle avait une vie tout à fait enviable imaginait un peu le tableau ; vous avez 5 ans et vous avez la chance d’être trilingue et de vivre dans un pays étrangers. En plus de ça vous avez des parents qui s’aiment tellement qu’ils rendent jaloux tout les gens les apercevant et enfin vous avez une grande sœur qui est un modèle : un mentor. Une sœur qui vous traine partout avec elle sans jamais se plaindre ; comme ce soir la après l’école. Soir ou la vie si parfaite des de Vallois bascula complètement. Les souvenirs de cette fin d’après-midi sont flou ; Yuki se souviens seulement qu’elle rentrer de l’école mains dans la main avec sa sœur ; il devait être au alentour de 15 heures quand elles s’engagèrent dans la petite impasse menant à leur immeuble quand sortit de nulle part cette homme débarqua. Bizarrement il aurait put s'en prendre à Yuki la plus jeune des deux mais non il jeta sont dévolue sur Miyako qui entre temps avait eu la bonne idée de mettre ça petite sœur à l’abri de cette homme mysterieux. Le dernier souvenir de Yuki concernant Miyako et le regard que celle-ci lui a lancé quand l’homme la fait grimper dans une voiture noire aux vitres tintés ; elle était en danger et pourtant toute son attention se porter sur le fait que sa petite sœur ne sois pas non plus en danger. Voila le dernier souvenir de Yuki concernant sa sœur ; depuis il n’y a pas un jour ou elle ne revoit pas le visage de cette homme ou elle ne se demande pas pourquoi c’est à Miyako qu’il s’en est pris et pas à elle.

CHAPITRE II

L'adolescence

« Une petite citation »

Trois ans ; pendant trois ans on a cherché sa sœur sans relâche sans jamais trouver la moindre piste. C’est donc sans surprise que l’affaire fini par être classé ; Yuki avait alors huit ans et le bonheur qu’elle avait connu jusqu'à c’est cinq ans était maintenant révolue. Sa mère avait perdu le goût de la vie un an après la disparition de Miyako son père quand à lui avait pendant un temps mener ça propre enquête et ils avaient finalement décidés d’un commun accord de quitter le Japon. Tout était devenue trop douloureux là-bas ; chaque coin de rue leur rappeler leur fille aîné. Au matin du 15 avril 1998 Yuki embarquer dans un avion destination : Paris. Paris ville de l’amour ; Paris ville lumière… Paris une ville ou Yuki ne c’est jamais sentit chez elle. Elle en a fait pourtant des efforts ; elle a tenté de s’intégrer dans toutes les différentes écoles ou elle a put aller et même c’est grands-parents n’on jamais réussi à l’amadouer. Plus le temps passé et plus l’obsession de son père devenait la sienne. Elle passer des heures seule dans sa chambre a remonté les pièces du puzzle ; se retournant encore et encore la tête cherchant des signes avant coureur quelque chose qui aurait put expliquer tout ça. Mais rien ne venait et elle s’en voulait. Il y’a bien une période ou elle a oublié un peu tout ça une période ou elle a retrouvé son bonheur perdu ; elle avait alors 16 ans et pour la première fois de ça vie elle aller connaître les joies de ce qu’on appelle l’amour. Il s’appelait Julien c’était l’un de ses français pur souche qui ne se prenait pas pour n’importe qui il fallait bien l’avouer. D’ailleurs la première fois que Yuki avait croisée son chemin elle l’avait jugé arrogant et sans grand intérêt et pourtant U.C

CHAPITRE III

Et la vie d'adulte

« Une petite citation »

U.C