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 « There comes a time where you fade to the blackness » ♦ Libre.

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MessageSujet: « There comes a time where you fade to the blackness » ♦ Libre.   « There comes a time where you fade to the blackness » ♦ Libre. EmptyMer 20 Oct - 16:21


There comes a time where you fade to the blackness.
« There comes a time where you fade to the blackness » ♦ Libre. Tumblr_laiisrpp6q1qb2xuuo1_400

    Allongée, je ne pense plus à rien. Je n'ai que des pensées pour mon père, et aussi pour celle qui à fait de ma vie un enfer, qui ma maltraitée et qui ma fait devenir si fragile à l'époque. Je ne regrette pas sa mort, mais je regrette juste les circonstances de sa mort. Si la police décide de me retrouvée ? Je fais quoi moi ? Certes je suis devenue plus jolie qu'avant, et j'ai beaucoup changer mais cela s'arrête là. Je suis toujours Amaryllis Céleste Hellstorm, jeune fille devenue femme. Mon caractère à beaucoup évolué et je le trouve paradoxal à l'ancien. Est-ce le fait de changer de ville et de vie qui ma fait rendre celle que je suis actuellement ? Je pense. J'ai beaucoup grandie, surtout dans ma tête et je prends mes faiblesses pour en faire un force, c'est comme ca, et je m'en contente. Je suis là, allongée dans mon lit et en pleure. J'écoute Airplaines en boucle, ne pouvant pas changer de musique car je n'en ai pas la force. Seule, loin des regards des autres, je me lâche et je commence à craquer pour ensuite m'endormir et reprendre ma vie comme si de rien n'était. Je devais arrêter de m'apitoyer sur mon sort, c'est malsain pour ma santé de faire sa mais pourtant, je continue. Accrochant mon Ipod shuffle à ma ceinture, je me levais et je décidais de me faire un petit encas. Je n'avais pas faim, c'est juste histoire de m'occuper. Je vis mon paquet de cigarette sur la table alors j'arrêtais toute activités pour prendre une cigarette et fumer. Je sortit mon clipper et je l'allumais. Tirer sur elle était un vrai plaisir, intense. Je la savourais avec un plaisir exquis, et je la termina en l'écrasant dans le cendrier. Retournant aux fourneaux, je terminais mon sandwich au jambon/fromage et je m'installa sur mon canapé, zappant les chaînes. Rien d'intéressant à la télévision, je pris mon ordinateur et je consulta le net. Que de la publicité, encore et encore. Sauf se mail qui m'intrigua beaucoup.

    « There comes a time where you fade to the blackness » ♦ Libre. InvisDe Aloysia S. Eivenhower
    À plaisir-solitaire@live.fr

    Ma chère Amaryllis, je ne comprends pas ton départ précipitée mais surtout que tu ne m'en ai pas parler. Je suis extrêmement attristée par tout ca, je croyais que tu était ma meilleure amie. Je ne sais pas si tu est au courant mais ta mère fut retrouver morte dans sa chambre. D'après le médecin légiste, il s'agirait d'un accident tout bête. Elle aurait trébuchée sur un de tes vêtements. Je leurs ai parler de ce que ta mère te fessait subir et ils vont sûrement ouvrir une enquête sur cela, mais il faut ton consentement. Accepte les de t'aider Amaryllis, il faut que justice soit faite. Écrit-moi ma petite A. , tu me manques. Tellement de choses se sont passés, et il faut que je t'en parle.

    Je t'aime,
    A&A ♥


    C'est en pleure que je me retrouvée à lire ceci. Elle me manque tellement, c'est si différent sans elle mais à New-York, j'ai fais ma vie. J'ai Damon, Alison, Auréa, Hyde et tout les autres. Je n'ai plus une mais plusieurs personnes dans mon entourage qui sont là. Mais elle était un chapitre à elle toute seule dans ma vie, je peux pas faire comme si de rien n'était. Puis, le fait qu'elle est des problèmes m'inquiète. Que se passe t'il ? Qu'a t'elle ? Elle a besoin de moi mais je ne suis pas là. Je décidais de lui répondre, et de prendre une décision.

    « There comes a time where you fade to the blackness » ♦ Libre. InvisDe Amaryllis C. Hellstorm
    À Aloysia-brokenheart@hotmail.fr

    Ma petite Aloysia, si tu savais comme tu me manques, comme j'ai besoin de toi. Je suis partie très vite pour des problèmes personnelles, ceux qu'on peut pas dire, même pas à sa meilleure amie. Je veux que, même si l'on se voient plus, tu me parle de tes soucis. Je veux savoir ce que tu as, je veux t'aider. Je ne souhaites pas voir la police Aly, et puis, elle est morte ma mère, sa sert plus à rien. Je ne souhaites pas non plus être la pour son enterrement, je suppose qu'il est déjà fait de toute manière. Enfin bref, le chapitre de ma mère est tournée, oublions. Je veux te revoir, vite. Je vis actuellement à New-York, tu peux toujours venir habiter avec moi, je suis toute seule.

    Je t'aime aussi,
    A&A resteront A&A ♥



    Mail envoyé. Je refermais le PC, le posait sur la table, j'éteignais mon Ipod, et je le mis également sur la table. Je filais prendre une douche, il fallait que je sorte. Je ne sais pas qu'elle heure il est au passage mais je m'en fou. Je pris une douche d'une demi heure et je décidais de mettre une robe avec un leggings et des ballerines pratique pour la marche. Je pris mon sac, mit mon ordinateur dedans, ainsi que mon Ipod, mes cigarettes et mon clipper et je pris mes clefs et je partis en direction d'une ruelle.

    Je marchais, encore et encore avant de me poser sur un banc, assez éloignée des gens et tranquille pour lire ou faire ce que j'ai envie. Les gens passent sans même te regarder, le côté avantageux de New-York. Je pris mon portable et je consultais l'heure : neuf heures et trente-deux minutes a.m. Il est hyper tôt, j'avais due faire une insomnie pour me lever aussitôt, pas possible. Je vis un starbuck juste en face de moi et je décidais d'aller y prendre un cappuccino. Une fois rentrée dedans, je commandais ma boisson à emporter et je repartie sur mon banc. Oui, je m'attribue les bancs dans les rues. Savourant cette boisson exquise, je pris mon paquet dans mon sac et je m'alluma une cigarette. Je regardais les gens, sans vraiment les regarder et je ne fis pas attention à la personne qui s'approcha de moi. J'étais perdue entre la délicieuse odeur de ma boisson et le plaisir intense de ma cigarette.
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Auréa Eden

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MessageSujet: Re: « There comes a time where you fade to the blackness » ♦ Libre.   « There comes a time where you fade to the blackness » ♦ Libre. EmptyJeu 28 Oct - 19:41




    « There comes a time where you fade to the blackness » ♦ Libre. Amaaurea1



    L'aube venait s'écraser sur la fenêtre, pour une fois j'étais levée la première. Mes paupières s'ouvraient avec le reflet de son visage, si paisiblement endormit sur le ventre. Les traits de son enfance usé se dessinait et moi je les voyais apparaître avec une fascination qui était sienne. Sa peau blanchâtre brillait sous les rayon du soleil, parfois c'était dur de s'endormir mais quand on le fessait on était dans un autre monde certainement en sécurité. Je me demandais à quoi il rêvait, juste comme ça par curiosité. Je laissais le temps s'engloutir quelques par de loin, ne m'arrêtant pas de respirer sa flagrance, les molécules même connus de mon odorat me surprenait encore. Il ne fallait pas le réveiller chose pas facile quand on sait qu'il avait le sommeil fragile. Je posais mes lèvres sur sa joue tiède avec la plus grande douceur fessant attention de ne pas le déranger, je me glissais sans un bruit vers la salle de bain. Je passais sous la douche, chaque goutte s'échouait sur ma peau qui paraissait hermétique, avec un peu d'imagination on aurait pu comprendre que cette douche n'en était pas uniquement une. C'était un endroit pour se retrouver soit même, pas uniquement face a son corps mais aussi face à ces songes. Ma colonne vertébrale se plaça dans le coin du mur regardent les gouttes couler . Je sortais de la douche pour enfiler une robe et rien que la couleur me fessait penser a un macaron, la texture était de mousseline j'adorais passer mes doigts entre les fils. Stupide sûrement inutile j'avais ce besoin de sentir tout ce qui m'entourais en dessous de mes empreintes, frôler, sentir la friction qui agissait comme un produit magique. 

    J'avais saisis une pomme dans la cuisine, je m'amusais avec elle. Trop grande pour tenir toute entière dans ma main, si elle ne tombait pas je la mangerais. Étonnant ? Une partie de la population fait régime, une autre partie meurt de faim, j'avais décidé de manger juste à ma faim. Je la jetais et la rattraper sans cesse, je mettais un noeud pour tenir mes cheveux. Tout était si calme, on aurai jamais deviné qu'il avait parfois toute cette agitation. Je sorti de la maison, bordel il fait froid.. je rentrais immédiatement enfilant une veste en cuire, je refis un test en entrouvrant la porte pour comprendre qu'il était plus sage de mettre aussi une écharpe. Je ressortie enfin prête a combattre le froid. Ca me dévorer les jambes a travers le collant, j'eus un sourire d'illuminé, parfois certaine sensation plus ou moins désagréable nous fond sentir qu'on est vivant, Némo me suivi mes jambes s’activèrent... je ne savais pas ou j'allais, ni même si j'allais quelques par, j'avançais juste en m'amusent avec cet pomme.

    Il y avait se quelques chose de magique a New York, cette chose que je m'y sentais chez moi. Mes yeux se perdirent dans le ciel blanc d'automne, stérile de tout nuage ou alors tout simplement invisible. Ma peau était devenue blanchâtre comme les nuages et mes doigts devenaient rouge, ça me gênait pas. Je ne connaissais pas bien les rues de New York et j'avais bien du marcher pendant une heure, pris le metro, avoir monté et descendu deux escalators juste parce que j'aimais les escalators... enfin ca m'amusait et puis tout ces personnes étaient tellement occupé a regardait leur portables, leurs journal que personne n'avait remarquer qu'une jeune fille avec un chien dans son sac s'amusait dans les escalators. La société c'était transformé en une bulle d'individualiste, aveugle. Je m'amusais à faire glisser mes doigts sur la rampe, marchant l'un devant l'autre. Une jeune fille était assise sur un banc, je la connaissais.. enfin indirectement, je la connaissais parce qu'on m'avait déjà parlé d'elle et j'avais déjà vue des photos.... je m'asseyais à coté d'elle. J'avais complètement oubliée son prénom, je ne savais pas si c'était bien de lui parler, je ne voulais pas la déranger, elle était paisiblement en train de fumé et de boire un chocolat ou un café. J'hésitais, j'étais assez timide quand la personne m'était inconnus, je ne savais pas comment abordé, Némo sorti de mon sac, pour aller vers elle.. parfois les choses se passent sans qu'on est besoin de faire quoique ce soit. Némo était assis sur le banc à la regarder, il y avait de quoi. Elle était magnifique, ces yeux étaient vert de jade et ces lèvres étaient dessiné à la perfection. Je remettais Némo dans mon sac, en le caressent .


    - Excusez-moi de vous dérangez , il a pas l'habitude de voir autant de monde en une journée... Hum quitte a passer pour une folle, votre visage me parait familier ... vous connaissais Damon Tallis ?

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MessageSujet: Re: « There comes a time where you fade to the blackness » ♦ Libre.   « There comes a time where you fade to the blackness » ♦ Libre. EmptyVen 29 Oct - 12:34

    J'y repensais sans cesse, sans arrêt. Le pourquoi du comment refit surface dans ma tête. J'avais cette impression qu'on espionne. Ce n'est qu'une impression, certes mais cette impression est horrible. Le fait de savoir que Aloysia savait que ma mère est morte me rendit toute étrange et je me remplis aussi vite d'émotions inconnues qu'un verre d'un alcoolique en pleine soif. Je voulais pas qu'on sache la vérité sur cette histoire mais elle ne restera pas secrète très longtemps. Tentant de me remémorer mes souvenirs d'enfances, quelque chose me réapparue à l'esprit.


    ▬ Flashback ▬



    Seule dans ma chambre, je lisais des livres. Non pas des bandes dessinées mais des livres d'écrivains très peu connus. J'aime lire, cela m'occupe l'esprit et m'évite de penser à mon père, ainsi qu'a la souffrance que me fait ma mère au quotidien. Tranquille sur mon lit, j'entendis soudainement quelqu'un crier mon nom. Instinctivement, je refermais mon livre, me levais et je me dirigeais vers le salon. Il y'avait une petite fille, qui semblait avoir 2/3ans d'écart avec moi, et un homme tenant la main de ma mère, tout deux assis sur le canapé. J'étais dégoutée par cette scène. Elle n'aimait pas cet homme et elle n'aimait encore moins mon père. Cet home est riche, alors elle l'épouse et s'arrangera pour le tué. Comme cela c'est produit pour mon père. J'avais de la rage dans mes yeux, la petite fille avait tellement peur que elle s'écarta de moi, pour faire un câlin à son père et se mit à parler dans une langue inconnue pour moi. « Papà, ho paura » Qu'a t'elle dit ? Je le savais même pas et ni ma mère à l'occurrence. Ils commencèrent une conversation dans leur langue d'origine et avec ma mère, nous nous regardions d'un air incompréhensif. En ayant marre de servir de potiche, ma mère interpella se jeune homme lui demanda se qu'il passe. Il répondit que sa fille s'ennuyait juste alors, ma mère proposa à la petite de jouer avec moi. Soufflant, je fis signe à la petite de venir dans ma chambre. Elle me suivit, tout timidement. Je la regardais, et je lui dis

    « Comment t'appelle-tu ? »
    « Maddalena »
    « Moi c'est Amaryllis, contente de te connaitre Magdalena ... euh Maddalna .
    ... Bon tu sais quoi? Je vais t'appeler Maddie. Sa te gênes pas ? »


    Elle se contenta de hocher la tête en guise de réponse positive à ma réponse. Finalement, jouer avec quelqu'un de plus jeune que vous n'est pas désagréable et je l'aimais bien cette petite. On se voyaient assez régulièrement à cause de nos parents mais jamais nous n'avions habités sous le même toit. Puis, il fut un temps ou je ne la vis plus. J'avais 14ans, et depuis je ne sais pas ce qu'est devenue la jeune Maddie.


    ▬ Fin du Flashback ▬



    Je voulais savoir ce qu'elle est devenue, cette jeune fille. Elle doit avoir quoi ? 18/19ans maintenant. Elle doit avoir bien grandit. Je tirais sur ma cigarette mécaniquement tout en buvant juste après quelques gorgées de mon café. Sans m'y attendre, un petit chien venait près de moi. Je souriais et je terminais ma cigarette puis je la jetais dans le cendrier publique juste à côté. Tenant le café entre mes mains, je vis une jeune femme s'assoir à mes côtés. Elle reprit son chien, toute gêner qu'il soit venu m'embêter. Elle me regarda, semblant me contempler comme si l'on cherchait un trésor sur mon visage ou alors comme si elle m'avait reconnue. Je ne l'a connais pas moi, mais c'est une jeune femme resplendissante et sa beauté est très spectaculaire. « Excusez-moi de vous dérangez , il a pas l'habitude de voir autant de monde en une journée... Hum quitte a passer pour une folle, votre visage me parait familier ... vous connaissais Damon Tallis ? » Surprise, telle fut le sentiment que je ressentit en premier puis je me mis à rire. Son acte est très audacieux, j'aime bien. Elle ne devait pas être une amie comme les autres, non mais quelqu'un de très spéciale. Surement sa petite amie. Damon ne laisse pratiquement personne regardait dans son téléphone ou fouillait dans ses affaires, voir même personne. Je souriais, cessant enfin de rire. Elle est si jolie et semble si gentille que je lui répondis.

    « Ce n'est rien, ce chien est adorable ... Et .. hum .. si, je le connais même très bien. C'est mon meilleur ami. Pourquoi cette question ? »
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MessageSujet: Re: « There comes a time where you fade to the blackness » ♦ Libre.   « There comes a time where you fade to the blackness » ♦ Libre. EmptyLun 1 Nov - 1:09

    « There comes a time where you fade to the blackness » ♦ Libre. Amaaurea2


    Les gens continuaient de trotter autour de nous comme une bande de marionnettes dépourvue de toute intelligence ce suivant les unes aux l'autres comme des ignares, à l'instant j'aurais voulus qu'une pluie d'acide leurs tombent sur la tête et même si elle m'aurait tombée sur ma propre tête.. ça m'était égale au fond. Je flottais lorsque j'étais accompagner dans ce monde de rapide, je flottais, je ne nageais pas. J'étais à la surface et je me laissais porter. J'ouvrais parfois les yeux en fixant les cieux qui fessaient grèves, et parfois je les refermais a une vitesses inimaginable. La temps ? Absent. Une pause intertemporel qui s'éclatait dans mes organes, une stupéfaction aveugle criant non accompagner d'un accent funeste, c'était la mort de mon attention envers l'extérieur qui bougeait pour se terminait dans un bain de sang écumeux . Je préférais flotter à cet surface avec mon sang de poison de l'héautontimorouménos. Oui Je n'allais pas la manger cette pommes, je le savais déjà en la prenant que je ne la mangerais pas.

    Étrangement dans cette rue, les gens qui passaient été absent que je me sentais plutôt décalée. On pouvait tous leurs inventer une vie propre à chacun. Lui, le mec avec le slim, là-bas, qui ne quitte pas des yeux une seule seconds la jeune fille a qui je viens d'adresser la paroles, pourrait étre par exemple un traficant de film porno et qu'il cherchait à aborder des jeune filles. Le gars typiquement en manque qui voudrait assouvir ces besoins mais trop frustré pour le faire, emprisonner dans une timidité trop ancré pour osé entretenir une conversation avec elle. Au-delà de ces atouts, il semblait être en position de refus vue qu'il ne semblait pas ouvert à la communication. Pourquoi traficant de film porno? La plus part des gens de nos jours sont attiré par les gadgets du marcher qui s'en découle et a vrai dire j'en savais rien pourquoi je lui avais imaginé cela, il avait une tête de vicieux, pervers d'où le fait et que j'ai imaginer le fait qu'il soit dans le milieux de la pornographie mais en faite ça pouvait aussi être des choses de ce genre de vente. Cette fille, là-bas qui pleurait comme un muffin dé séché était en train de pleuré à cause d'un seize sur vingts, oui c'était vraiment frustrant un seize.. tellement loin de la perfection des vingts. Quatre énorme points... elle fera mieux la prochaine fois, ce qui me fessait dire ça? Le fait est qu'elle soit en tenu impeccable, assise de façon droite les cheveux parfaitement attacher, son uniforme d'écoliére parfaite, sans doute aussi la feuille qu'elle tenait dans les mains avec écris seize sur vingts et le fait qu'en pleurant elle appel sa mère pour s'en plaindre. Non je n'étais pas critique.. juste j'aimais jouer de mon imagination quand il y avait des temps de pause et qu'ils était des fournis, certes il était bon tous d'une certaine manière mais c'était mon imagination, ce qui laissé paraître qui les caractérisées.

    Ce que je dégageais, j'en savais rien mais je pouvais l'imaginer... un sac avec un chien, originale et avec un besoin de repaires. Un air paumé qui se promène sur mon visage, c'était que je ne savais pas où aller, c'était passable. La fatigue lisible en dessous de mes orbites, incontestablement troubler par quelques choses m'empêchant de correctement dormir. Couleur de ma robe, l'envie de voir les choses d'une façon positive, mais aussi fantaisiste et enfantin. Et si on observer vraiment bien on pouvait vite remarquer que je n'étais pas doué dans la communication avec les personnes que je ne connaissais pas... Elle riait, elle avait un rire cristallin, je ne savais pas ce qui la fessait rire, sûrement la façon dont je l'avais abordé son rire me donner envie de rire avec elle. Je souriais à mon tour en regardent mes chaussures.

    « Ce n'est rien, ce chien est adorable ... Et .. hum .. si, je le connais même très bien. C'est mon meilleur ami. Pourquoi cette question ? »

    Plus de 8 391 881 habitants a New York et je tombe miraculeusement sur la meilleure amie de l'homme qui fessait trembler mon coeur. Si on me disait que New York n'était pas magique, je lui répliquerais illico un menteur et sûrement un ignorant aveugle. Ces informations se transmettait dans ma cervelles, là réponse me fit pincer les lèvres. Le moins que l'on puisse dire c'est que physiquement il savait s'entourait de belle amie, en effet elle était sublime au premier à bord mais pas seulement, en plus de ça elle avait une voix au échos d'idylle enfantine adorable à l'oreille, j'avais envie d'entendre a nouveau sa voix sortir de sa bouche. Pourquoi cette question? Je ne savais pas vraiment, c'était ma curiosité qui avait parler et aussi parce que ça me paraissait plutôt mal polie d'ignorer quelqu'un qu'on pense connaître même si c'est de vue... et si je l'avais vue via Damon, c'était que c'était quelqu'un d'important pour lui et de spéciale. En effet, rien quand la regardent il m'était impossible de décoder quoique ce soit mise a par le fait est qu'elle fumait. Mon imagination ne jouait pas là puisse que c'était du réelle, la raison était que j'avais bloqué. Il m'avait déjà parler de cette jeune fille si spéciale a ces yeux.

    «  Je vous ai vue enfin en photo et il m'a déjà parler de vous mais je ne me rappel plus votre prénom, je m'appelle Auréa Eden, voici Némo... et vous ? »

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MessageSujet: Re: « There comes a time where you fade to the blackness » ♦ Libre.   « There comes a time where you fade to the blackness » ♦ Libre. EmptyMar 2 Nov - 20:02

    J'étais là, à côté de cette jeune fille et de son chien. En générale, je n'aimais pas se genre de filles qui se baladent en robe et leur chien dans un sac, je les trouves superficielles mais cette fille semblait être l'exception des filles avec un chien dans leur sac. Elle semblait si fragile et si gentille que t'avais envie de lui dire : Viens, je t'héberge chez moi. Non pas qu'elle est pauvre, juste qu'on a l'impression qu'elle vit les pires malheurs du monde et que son visage est si pure et charmant qu'on a envie de la sauver. C'est étrange mais c'est comme cela. Je ne savais pas quoi faire pour m'occuper les mains maintenant. Le café finit, je mis cinq bonnes minutes avant de le jeter à la poubelle juste à côté. Me remémorer ses souvenirs me donnait envie de déprimer seule ou de prendre le premier vol pour Los Angeles voir même pour le Mexique. Je serais tentée de faire les trois de toutes façon mais je ne pouvais pas, elle était là, à côté de moi et elle voulait entamée une conversation avec moi. Cela ne me déplait pas, au contraire. Elle m'empêche de faire une énorme erreur. Elle est une sorte d'ange gardien, un ange gardien que mon père m'a envoyé pour ne pas que je fasse les plus irréparables des erreurs. Je pense souvent à lui, et je me dis que je me dois d'aller le revoir, surtout que c'est bientôt son anniversaire. Je regardais la jeune demoiselle, et je ne prêtais pas attention aux autres. Je sentais tout de même un regard posé sur moi. J'arrive à sentir le regard des gens sur moi, qu'ils soit de l'autre côté de la rue ou non. Je retournais ma tête vers la personne qui semblait me dévorer des yeux et je le fixais jusqu'à temps qu'il baisse enfin les yeux. Mon regard était très expressif et cela marcha, il partit de son banc, regardant le sol. Je reposais mon regard sur la jeune femme, mais c'était un regard qui ne tuerait même pas une mouche, bien au contraire. Je souriais. J'ai toujours souris aux personnes qui me parlaient. C'est quelque chose que mon père m'avait apprit. « Je vous ai vue enfin en photo et il m'a déjà parler de vous mais je ne me rappel plus votre prénom, je m'appelle Auréa Eden, voici Némo... et vous ? » Prénom original pour un chien, j'aime beaucoup et cela me rappelle le film : Le monde de Némo. Bon dieu que-ce que ce film à pue me bouleverser. Je trouve l'histoire très émouvante mais amusante à la fois et cela montre que au final, il faut toujours écouter ses parents. Les personnages de l'aquarium sont très atteints de la cervelle, mais j'aime. Puis Dory, quelle phénomène celle là. " Nage droit devant toi, nage droit devant toi " . Elle cache beaucoup de choses au fond d'elle mais elle reste optimiste et courageuse. C'est de loin mon personnage préférée. Enfin bref, la je m'écarte du sujet. C'est donc Auréa Eden, ce nom me disait vaguement quelque chose mais impossible de me rappeler. Pourtant, sa tête et son nom m'évoquer quelque chose, c'est sure. Je tendis ma main tout en me présentant.

    « Je m'appelle Amaryllis Hellstorm mais si vous voulez m'appeler surnom du style Ryllis ou Ama, vous pouvez. »

    Je souriais et on se serraient la main. Je continuais de lui sourire tout en tentant de me rappeler où est-ce que j'ai bien pue entendre se nom. Obligatoirement, c'est chez Damon mais quand? Bonne question. Au pire, je lui demanderais quand je passerais chez lui dans la semaine. Quelque chose me chiffonna. Pendant tout le long, on s'est vouvoyer alors que je déteste sa quand on est entre " jeunes " de notre âge. Enfin, elle semble avoir moins de 22ans. Je lui donnerais 19/20ans. Je la regardais et je repris, avant qu'elle n'est pue dire quoi que se soit.

    « Sa te gênes si l'on tutoie ? Je déteste le vouvoiement, j'ai l'impression d'avoir pris dix ans de plus d'un coup et c'est assez flippant. »
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