Light years away ▪

Light years away ▪ . ♦ « I think that I cried for days but now that seems light years away and I'm never going back to who I was that life seems like light years away Light years away »

L' Eos Erigeneia était fendu en quelques morceaux spectrale dans la maison. Incompréhensible que les rayons ce soient cachées sous la lune et pourtant il était en train de se mourir, se meurtrir en silence. C'était en faite si simple, c'était si limpide que j'avais du mal à le saisir moi même. Un jour, je ne me souviens plus exactement la date ni l'heure, je me souviens juste qu'on était là, encore des enfants . Elle m'avait dit avec ce regard noir au delà de l'infini que l'amour n'exister pas. Je l'avais mal pris parce qu'a cette époque je l'aimais comme un prête prie dieu mais j'avais mûri et compris que l'amour ou ce que l'on désigné comme cela, n'était pas que ce mot, c'était bien plus. C'était ça qu'elle avait voulu me dire, j'en étais persuader maintenant, vu comment Auréa se dilapidée l'estomac comme une condamnée a mort. J'entrais dans la chambre, le son qu'avait émis la porte m'avait fait pensée que je l'avais sans doute réveillée mais le drap dans lequel elle s'était enfermée n'eus aucune réaction. Elle ne fessait que dormir sous ces couvertures, s'enfermant dans un linceul, le sien. J'avais sans doute perdu un frère et la raison pour celle je l'avais perdu n'était rien d'autre que celle pour laquel on était lié, le fait est qu'on soit frère sans l'être vraiment, le sang nous aurait peut-être sauvé. Il était dans le mien, c'était sur.. J'avais quelques chose dans ma poitrine, une plaque de métal qui s'était engloutie dans mon thorax. Il ne m'avait rien dit, il avait juste fait semblant je pensais que la confiance entre nous était plus forte. Je voulais le retrouver mais je ne savais pas comment ? Même Auréa ne savait pas. Je ne savais pas ce qu'on fessait ici, dans sa maison on était peut être plus les bienvenues. Ces murs étaient les siens, non les nôtres. Je pouvais avoir tous les murs que je voulais et pourtant c'était ici que je me sentais le plus à l'aise avec ma famille, même si elle était en période de crise. Je m'asseyais au bord du lit sans un mot, je regardais la fenêtre en attendant qu'elle réagisse. Je n'étais pas celui qu'elle attendait et sûrement qu'en faite elle n'attendait pas, elle se contentait juste d'être. Il était peut-être partie se faire une ligne quelque part, ca me bouffé .

Après une dizaine de réaction, toujours rien. Je pense qu'on aurait pu passée des heurs comme ça.. Elle avait cette patience que je n'avais pas. Ma famille me manquait je me sentais arraché de l'intérieur, les regret pris de partout, je n'avais pas été la quand il fallait pour eux et maintenant tout s'écroulait. Ce n'était pas possible, pas pour moi. J'enlevais les couvertures dans lequel elle s'était abrité comme un foetus dans le ventre de sa mère, je n'aimais pas ça. Elle se débattait pour retrouver son cocon. C'était impossible qu'elle gagne a ce jeu avec moi, je tirais ses jambes qui ne tenait même pas par elle même, elle était brûlante. Je la portais jusqu'à la salle de bain. Elle n'avait pas beaucoup de vêtement sur elle qu'importe, je la mettais sous la douche et elle tomba instinctivement a terre. On avait perdu quelques choses, pourquoi je n'étais pas dans le même état qu'elle ? J'en savais strictement rien, je m'installais dans le même silence qu'elle. J'actionnais l'eau froide pour qu'elle puisse se rafraichir.

_ Tu peux pas rester comme ça Auréa, tu peux pas.

Elle restait toujours dans la douche avec cette air de petite fille coupable, la tête baissée . Bordel, ce que j'aimais pas la voir mourir et s'éteindre comme ça. Je ramenais dans la salle de bain des docs martins, un short et ce qui apparaissait comme étant un vieux t-shirt a Damon tant pis s'il m'en veut, elle prendra quand même, j'avais pris ce que j'avais sous la main. Auréa m'avait parlé qu'elle voulait retapée la cave pour en faire un petit endroit calme ou se poser. Je la sortais de la douche, elle n'avait pas bougée et elle était frigorifié. Je lui demandais de mettre ces vêtements, elle était vide. Elle ne me répondait pas, j'insistais pour qu'elle se bouge. J'avais pensé un quart de seconds à l'habiller, mais de 1) je me serais pris un revers par Auréa, 2) je me serais fait encastré la tête dans la fenêtre par Damon. Tenant à mon être et surtout à ma tête, je la laissais seule dans la salle de bain. Auréa dépêche j'ai pas que ça a faire.Elle avait du me répondre d'aller me faire voir ou un truc du genre... j'avais l'habitude en ce moment qu'elle m'envoie sur les roses comme pas possible, fragile mais quand il fallait mordre elle était d'attaque. Auréa était ressortie de la salle de bain et c'était directement mise sous les couvertures, manque de peau pour mademoiselle, je la pris sur mon dos pour descendre jusqu'à la cave.

_ Bon on lui fait la surprise ou alors tu vas rester toute la journée dans ton lit a déprimer ?

Chaque particule de mon corps se fanait, je les sentais périr comme ça. Juste là, dans ce lit qui n'était pas vraiment le mien, c'était celui de Damon mais au fur il était devenu le mien également... enfin c'est ce que je pensais. La réponse au comment ? J'en avais pas la moindre idée.. je savais juste que chaque soir, je mis endormais avec Damon, chaque soir je me serrais contre lui pour dormir. Ce n'était pas vraiment une routine car tous les matins, je me demandais si au soir j'allais encore dormir ici ou si j'allais émigrer ailleurs. C'était un jour sans, un jour sans oxygène, un jour ou le manque le dévoré, ou il était partie en furie en voulant me montrer que je n'étais rien, il ne m'avait pas regardé une seule fois dans les yeux, j'étais impuissante et j'encaissais... Je l'avais voulus, j'acceptais. A quoi bon bougeait ? A quoi bon se lever ? Je n'avais plus la force de le faire, l'énergie était partie, il ne restait qu'une certitude inéluctable qui ne pouvait s'éteindre. Cette certitude que l'on réclame pendant les insomnies les plus folles... vous savez quand vous étes sure que quelques chose ne peut s'éteindre si vous vous pressez de soufflet dessus, je tenais ma respiration. Je m'accrochais a cette certitude bien qu'usée, esquintée a l'intérieur tellement j'avais mal de son mal. Il ne m'avait rien demandé mais on n'a pas besoin de demander a quelqu'un de nous aimer. Le noeud dans mon estomac se resserrait d'un cran, un de plus. Je me sentais tellement faible et pas vraiment à la hauteur. Ca me vidait de sentir que je ne l'étais pas... C'était des mauvaise pensées, des mauvaises qui n'avais sans doute rien à faire en temps de crise. J'avais tellement froid à l'intérieur de moi, j'étais gelée et je sentais mes phalanges brûlante... C'était une illusion, oui, sans doute comme ce que j'étais à ce moment là. Je n'allais pas toujours dans cette éternité qui n'était pas la mienne et puis tout m'était égale, les conséquences étaient déjà tombée. Je voulais rentrer... Je me laissais dans ces draps, couvertes sûrement protégée du temps, continuer sans lui était impossible. Le souffle de vie était partie avancent fantomatiquement à travers ce lit ignorant ce troue le néant qui m'empoignait, je mourrais uniquement dans mes rêves en tendant la main pour la sienne.

J'avais cette envie de marcher, marcher en rond mais j'avais perdue la capacitée de tenir debout : par ma volonté. Je voulais sentir mon coeurs battre, pourquoi ne raisonnait-t'il pas dans ma poitrines ? Étais-je morte ? C'était un cauchemar de le voir partir dans cette état.. est-ce seulement vraie ? J'aurais du le retenir, j'aurais du le rattrapée mais je ne l'avais pas fais... je savais qu'il avait besoin de se retrouver face à lui et je n'étais pas concernée par cela, c'était un combat contre lui même certe je n'approuvais pas mais ce n'était pas mon corps et je ne pouvais malheureusement pas le faire pour lui. J'aurais bien voulu avoir ce pouvoir de supprimé toute les drogue de ce pays et des autres pays pour ne pas que ca l'empoisonne mais ce n'était pas l'antidote. Atrophie se crée dans ma contradiction et l'illusion de grincement de porte se détona dans mes oreilles, c'était Sydney. J'étais morte à l'intérieur qu'on me foute un peu la paix, qu'on me laisse a cette otarscie que je m'imposais. La plénitude reniais sur mes muscles comme une anesthésie générale puis quelques minutes plus tard je sentais qu'on essayer de me retirais à ce qui me protéger de la lumière, qu'on tirais dessus comme sur un rideau ; Laisse ça et va t'en. Sydney entreprit de lié ces mains contre moi pour me porter et je ne voulais pas, je me débattais pour rester à attendre dans le lit. Malheureusement pour moi, il avait réussie. Je me retrouvée sous la douche contre le mur et je ne tenais pas.. Oh non, je ne voulais pas tenir sans, je voulais m'endormir jusqu'à un nouveau réveille. Je n'avais même pas accordé un regard a Sydney... pas une parole parce que je criais déjà à l'intérieur.

_ Tu peux pas rester comme ça Auréa, tu peux pas.

Il avait actionné l'eau froide et sa voix raisonné dans la salle de bain, de toute façon on ne pouvait rien y changer. Il m'avait ramené des affaires, j'avais l'air d'une assistée, je voulais être dans les couvertures.. il me demanda de me changeait et il ferma la porte derrière lui.. j'en avais pas envie, je n'avais pas envie de m'habillais pour faire je ne sais quoi, rien ne servait vraiment chaque chose retournerais à la cendre , j'avais plus la force de restait sur ces jambes... je me retrouvais au sol, sans un mot, juste là, de cette façon. « Auréa dépêche j'ai pas que ça a faire » ; «Non, je me dépêcherais pas» Il avait prit un t-shirt qui ne m'appartenais pas, il était usé par l'usage du temps et des lavages à répétition... J'étais peut-être comme ça... sans savoir pourquoi j'enfilais les vêtements et a la fin de cette journée mais sentiment pour lui ne changeront pas. Je lassais les chaussures puis je me relevais doucement... doucement c'était la manière dont je devais fonctionnais à ma vitesse. Je n'avais aucune idée pourquoi il fessait ça... je sortais de la chambre pour me retrouvais avec ma couvertures quand celui-ci eu le reflex de me porter sur son dos pour m'emmener à la cave.

_ Bon on lui fait la surprise ou alors tu vas rester toute la journée dans ton lit a déprimer ?

- D'accord... on s'y met.

m'avait-t'il seulement laissé le choix ? J'avais envie de faire de cette cave qui avait servie a Sydney pour faire des développements un endroit plus personnel, c'était vide.. il n'y avait rien ici. J'espérais juste que mon attention ne paraîtrait pas déplacé. Je ne savais pas ce que l'on pouvait faire ou ne pas faire si sa ne plaisait pas on remettrait tout dans l'état dans lequel la cave était auparavant... Il fallait un endroit ou on puisse s'asseoir, des livres, beaucoup de livre... j'adorais ça lire, des Cds car la musique restais quelques chose de vitale pour chacun d'entre nous. Je voyais des pots de peintures disposé aux pieds de Sydney, il y avait pensé.

- Je voudrais qu'il y est un phoenix sur le mur, en noir et argent

Light years away ▪ . ♦ « We're only young and naive still, we require certain skills . The mood it changes like the wind hard to control when it begins »

- D'accord... on s'y met

Je voulais voir disparaître cette tristesse et cette fatigue qui ce lissait sur son visage. Son rire, devait raisonner dans cette cave quoique qu'il m'en coute. C'était certain qu'il y avait des passades plus dur que d'autre dans un couple, mais ca ne devait pas les abattre. Ce qui existait entre deux humains restaient quelques choses d'assez étrange, les électrisations pouvaient parfois nous faire du mal, mais on en sortait toujours un peut plus fort. J'avais pour optique de ne pas laisser tombé qui que ce soit, pas comme on avait pu le faire avec eux dans le passer, ni comme mon père m'avait fait. J'avais sortis des sacs poubelles, j'avais appelé Hyde et Kasey au cas ou ils voulaient venir nous rejoindre dans l'améngement de la cave. Je mettais mon ipod sur des petites enceintes qui traînaient dans ma chambre sortant ma playlist Happyness. Oui, la musique était vitale pour le morale et je savais que sa aller faire son effet et m'effacer cette moue qu'il lui gonflait le visage. J'avais déjà préparé les pots de peintures, elle m'en avait parler un soir ou on était a deux dans le salon sur le canapé. J'avais bien retenue qu'elle voulait un endroit, pour Damon et elle, autre que la chambre surtout pour lui en faite, pour qu'il puisse se retrouver un peu seul s'il en avait l'envie.

- Je voudrais qu'il y est un phoenix sur le mur, en noir et argent

_ T'es pas exigeante toi , t'aurai pu me demander un pélican, non tu passe directe au phoenix. On va un peu tricher pour le faire parce que je suis pas jesus et ca sera pas symétrique.
_ HYDE TU VEUX PAS VENIR FAIRE UN PHOENIX EN PEINTURE DANS LA CAVE AU LIEU DE REGARDER LES FEUX DE L'AMOUR ?

J'avais ma petite idée pour faire un phoenix comme elle le souhaitait, c'était le système d'un sténopé comme quoi être débrouillard et curieux pouvait servir enfin a quelques chose. Je sortais une pellicule morte de chambre photographique, une 6x6, elle était transparente. J'allais sur internet puis Auréa sélectionna un phoénix en feu que je décalquais sur la feuille transparente pour ensuite la positionner face a un miroir, prés d'une lampe mettant le tout sur une plaque de verre. Sa se projetais sur le plafond, mais pas sur le mur. Je sentais que ca allait être galére. Auréa colla la pellicule sur la plaque de verre et on mettait tout cela a la verticale, bon bien sûr ce n'était pas très nette il aurait fallu une lentille mais on voyait les contours c'était l'essentiel. On débarrasait le mur de tout ce qu'il y avait, je mettais du son sur mon Ipod . J'avais réussi a lui décrocher un sourire en applant Hyde. Je lui confiais que si on l'appelait pas il pouvait pas savoir qu'on aller faire atelier peinture cette aprem. J'ouvrais les pots de peinture, elle commençait a dégager ce qui se trouvait sur le mur je sortais les pinceaux et j'avais mis le son a fond. Je mettais les doigts dans la peinture grise métallique et rouge, je m'approchais d'elle et je lui en mettais sur le visage, deux traits de chaque cotés.

_ Oublie se qui te tracasse, ça va aller t'inquiète pas.. On a une cave a retaper sa devrait t'occuper. Je suis sur que ça lui fera plaisir, mais je pense pas qu'en te fessant du mal, tu lui fasse plaisir.

» 1000 years

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