Thème Premier
→ Veuillez choisir un sujet parmi les deux présentés. Si vous désirez prendre les deux sachez qu'un seul sera retenu, le meilleur. Chaque participant devra envoyer un Message Privée à Aleksandr Ivanov , moi en l'occurrence pour éviter toute dispersion avertissant ainsi sa candidature. Un délai d'une à deux semaine est accordé. Une fois votre sujet fait , veuillez le poster à la suite de ce message. Merci d'avance.

→ Nous n'imposons aucun règlement si ce n'est que le nombre de ligne ne doit pas non plus se situé vers la centaine , pensez à ceux qui vous lises. Sinon libre à vous d'en écrire une vingtaine , une cinquantaine.

Quand Jordan ouvra les yeux, le soleil venait à peine de pointer à l'horizon. Il créait une immense flamme dorée qui se déposa sur la joue du jeune homme. Jordan se leva, s'assit sur son lit deux minutes, bailla bruyamment, et s'extirpa enfin de ses couvertures. Comme tous les matins, il pris une douche froide, se brossa les dents, étala une bonne dose de gel sur ses cheveux noirs, puis enfila sa tenue de travail qu'il avait rapidement repassé. Il s'installa à la petite table de son appartement pour prendre un petit déjeuner anglais. Il en avait toujours pris, car il savait que dans son métier, il fallait que sa musculature soit résistance pour se faire remarquer et monter en échelon. Mais ce n'était pas un jour comme les autres, non. C'était un terrible jour, et il ne s'y attendait pas. Après avoir vérifié qu'il avait bien son balluchon que lui avait confié son chef de section, il se dirigea vers le mur du fond, et donna trois coup puissants avec son avant-bras dans celui-ci. La réponse ne fut pas longue à arriver, et cinq coup lui prévint qu'Antony n'était pas tout à fait près.



- Dépêches-toi Anthony ! On va être en retard ! Le commandant va nous demander de faire cent pompes de plus que les autres !


- Oh mais c'est bon ! lui cria une voix grave et puissante. De tout de façon on les fera sans problème ! On s'entraine tous les jours pendant deux heures, alors je crois que ça va aller !


Jordan renonça. Il attrapa son sac, pris une bouteille de Whisky, puis claqua la porte derrière lui. Il entra chez son voisin, qui était couché par terre à caresser son chat gris.



- L'homme qui murmurait à l'oreille des chats ! lança Jordan d'un air moqueur. Ce n'est qu'un chat errant, tu sais bien que si on attrape quelque chose de mauvaise à cause de lui, le commandant va nous tuer !

- Mais nan ! T'en fais pas je l'ai lavé hier soir. On y va ?


Jordan déteste les chat, et en particulier celui-ci. A chaque fois, il ignorait complètement Jordan.Mais aujourd'hui est un grand jour, et lors des grands jours, chaque fait étrange à sa place. Sans aucune raisons, l'animal se jeta sur le jeune homme, et le griffa du mieux qu'il pu, et grâce à sa musculature épaisse, Jordan se fit simplement mordre à l'épaule.



- Sale chat !


Après avoir soigneusement fermé à double-tour leurs portes respectives, tous deux se dirigèrent vers la vieille cage d'escalier rouillée. Ils y entrèrent, comme à leur habitude, et la cage du trente-deuxième étage grinça. Elle criait, criait, criait, quand les deux hommes se sentirent avalés au fond de l'enfer. L'ascenseur accélérait de plus en plus, et finalement, s'écrasa contre le sol, laissant un trou béant. Jordan était inconscient. Anthony connaissait les gestes de premiers secours, et les appliqua à la lettre. Il allait attraper son téléphone, quand il aperçut le chat qui les observait silencieusement. Jordan reprit rapidement conscience, et après une série de cris de douleur, il se releva.





- An-tho-ny... Conduis-moi à l'hôpital...




- Oui, oui, t'inquiètes pas mon vieux.


Il le pris par l'épaule, quand il remarqua une barre de métal plantée dans sa cuisse ruisselante de sang. Il savait qu'il ne fallait pas la retirer, sinon l'hémorragie deviendrais incontrôlable. Il conduisit le blessé à sa voiture, puis mis le contact, Il dépassa un bus en queue de poisson, faillit dégommer une moto, et finalement, ils arrivèrent à l'hôpital. Anthony attrapait Jordan par l'épaule... Bam ! Une ambulance venait de percuter la petite voliture de plein fouet.





Un chat venait de passer, provocant l'accident. Il avait voulu les prévenir, mais ils n'avaient qu'à écouter...
Il regarda les deux morts, un agréable sentiment de satisfaction se lisait dans ses yeux jaunes. Il l'avait fait. Il avait tué les deux salopards qui ne l'avaient pas nourris le matin même.

Au boulevard du cœur rien ne m'attends , du moins plus maintenant. Et si je n'étais plus là , qui verrais mon absence ? Je ne suis ni plus ni moins que la porte battante de mon logis. Oui , la porte battante. Vous savez cette chose inutile et qui en plus nous emmerde. Qui me regrettera après tout ? Mes amis , je n'en suis pas si sûr ? Mon ex compagne me direz-vous ? Elle n'en n'aura point l'occasion ou du moins pas lui … Je pensais être l'incontournable passerelle jusqu'au bonheur. Je ne désigne pas le bonheur mais cette pancarte qui vous indique le bon marécage à prendre , la gourde en plein désert , le messie ! Il me faut aller plus loin que cette petite ville, ici ils ne peuvent pas comprendre mon rôle, leurs vies sont trop infimes pour que je puisse les aider, je dois porter mon âme aux services des grandes villes peuplées, je vais dédier ma vie aux autres, je me rallie à leur cause, je sacrifie ma vie pour apporter à tous le pouvoir qui m'ait conférer. Je vais faire de votre vie un pur bonheur, une bouffée d'air nouvelle chaque jour, je vais vous ouvrir les yeux mais pour cela il me faudra commettre l'ultime acte : le sacrifice. Tu es là. et comme chaque soir tu avance au près de ton poste, l'allume et fredonne des airs. Je souris en te voyant au loin. Tu sais , les souvenirs des moments passés à tes côtés sont intactes. Je ne suis pas un monstre en quête d'une proie bien spécifique non , je suis cet homme que vous apercevez dans la rue , cet homme qui a perdu tout espoir, je suis votre votre père , votre fils, votre frère , votre ami. Je suis le mal aimé. Celui qui ère en vous attendant , en l'attendant. Il y a maintenant plus de six mois que je souffre. Ma souffrance s'est engouffré au fond de mon âme. Je suis l'être meurtris qui peuple cette terre, un poison parmi tant d'autre et aujourd'hui je vais lui rendre la monnaie de sa pièce. Un jour tout cet amour c'est transformer en haine. Je songeais être immunisé contre toi et tes effets secondaires indésirables. Mais ce jour là , je crois bien m'être menti à moi-même, ce jour là, mon comportement de garçon serviable, gentil et mignon c'est modifier en un homme désobéissant, insociable & désagréable. Le sadisme m'avais envahit je côtoyais ma part de méchanceté pour enfin parvenir à esquisser un véritable sourire pas celui que j'utilisais pour paraître heureux, non le véritable qui fonctionnait grâce à mon cœur. L'attente interminable me paraissait mortuaire, elle l'a été d'ailleurs. Alors quand je t'ai vus te trémousser par delà la fenêtre , avec ce garçon derrière toi , près à ce que tu le chevauche ce fut comme une tranchée creuser entre mes omoplates, une épine dans l'échine. Cette sensation me dit qu'il faut en finir , non avec moi mais elle , lui nous. Les fils qui me retenaient se sont abrégés. Le cœur entaillé & posé sur la tableau en deux morceaux bien distincts. J'ai le code barre de la mort sur la nuque ...

Je suis face à toi , tu es surprise. Tu le chevauche , il tremble. Un sourire s'esquisse. Que tu es belle ainsi , que tu es laide sur lui. Que tu es belle ainsi. Que tu es laide sur lui ! Le fracassant , je ricane. Contemple ce que tu m'as fais faire , contemple son visage. En me reniant , tu l'as tué. En me reniant , j'ai dû renier une partie de moi-même , une partie qui s'avérait primordial pour lui , une partie que tu as détruites , et donc par conséquence tu en es directement responsable. Ma vie sans toi n'est plus rien, tu étais le soleil de mes nuits, l'ange de mes propres démons. Je t'aime ... Si seulement j'avais sûs te le dire avant, j'en étais inapte, le voilà donc je t'aime, je t'aimais & je t'aimerais toujours …

L'amour & la mort son vraisemblablement deux procédés semblables par delà leurs différences. Ton image n'arrive à s'envoler, le regret l'embelli & m'enlaidis. C'est toi que j'entends lorsque le vent me murmure tes caresses, c'est toi que je vois lorsqu'un voile apparaît la nuit pour mieux te voir. Pareil à un ange démoniaque... tu m'as pris au piège. La mélodie retentissait toujours aussi mélodieuse, à ce chant s'ajoutait un accompagnement secret à peine perceptible mais constant. Un murmure strident amalgé à ma souffrance, un murmure révoltant comme envoutant, une parfaite osmose instrumentales, du moins pour moi. Ton sourire est trompeur comme ton visage angélique. Tu es un ange déchu des cieux non par amour mais par la haine qui t'envahit. Mon regard t'a saturé tout comme mon cœur, présentement mes yeux verraient partout le vide, je ne désire rien qui puisse être éclairé par ton être. Voilà c'est dit, tu n'es plus la source qui m'enivrais, désormais j'aspire d'un autre bonheur qui n'est plus toi. J'aspire le bonheur de le tuer. Tu riais autrefois de ma peine, cette-fois ci c'est moi qui te rirais devant ton visage meurtri. Je rirais tellement fort que j'en ferais fuir les mouches, je rirais tellement satanique ment que le diable lui-même aura peur de mes méfaits. L'univers m'appartiendra ! Finalement, ta à échouer dans ta mission, tu n'as pas réussis à complètement m'anéantir ! Mes yeux, comme les tiens, sans t'apercevoir se sont ouverts, j'ai cru avoir trouvé ma raison, en fin de compte tu n'étais qu'un poison. Je sais maintenant différencier le bien du mal, assez pour dire se que tu symbolise. J'ai vu le mal partout où le bien faisait son apparition, plongé dans mon propre abîme, je n'avais pas remarqué que clarté qui t'éblouissait n'était qu'empreinte du diable. Je te maudis autant que j'ai pus te bénir. Je n'étais qu'à tes yeux, un de tes caprices, maintenant je suis un affront. Déshérité du trône, je t'ai succédé avec un malin plaisir à te regarder t'assombrir dans les ténèbres, tu m'as exilé de ta vie, très bien qu'il en soit ainsi car maintenant j'ai fais de même tout en ricanant de ta malédiction, qui est le pardon. L'âme à ses désirs mais lorsque les désirs vous ensorcellent vous n'êtes que poussière, un simple mouton exerçant tout se qui ait dans la mesure du possible pour les satisfaire. Incompris, l'homme aspire plus grand bonheur qu'il n'a, c'est pourquoi il est malheureux sans même savoir qu'il l'ait. Oui, j'ai sus comprendre ce que jamais auparavant ma conscience ne voulait adonner déduction. Je n'étais qu'un jouet pour toi, tu n'es qu'une marionnette pour moi. Toutes ses larmes ont cessés depuis bien longtemps, mon cœur n'a plus le mal de toi, le sort que tu m'as projeté s'en est allé tout comme les souvenirs. Je cherchais vainement dans le ciel se que voulait bien signifier le mot justice maintenant je sais que la justice n'existe que par la vengeance.

Noyé dans la lumière ou perdu dans la nuit, je ne savais que faire. Ton souffle s'intensifiant , la peur t'envahissant , ma main cheminant lentement vers toi. Cédant de battre au souffle qui m'aspire, elle eut ma raison. Esclave de mon cœur, je sentis des frissons me parvenir. Doucement tu t'approche , lentement je recul. Je ne comprends pas. Ce corps gisant au sol , l'avait-elle omit ? Elle pencha alors sa tête pour me déposer un tendre baiser , la laissant explorer ma bouche humant ainsi sa tendre fragrance intérieur. Je ne comprends pas. J'ai mal , un mal terrible , ma vision s'accentue au trouble, le froid s'incruste peu à peu dans chaque parcelle de ma peau.. Je croyais avoir trouvé le remède contre toi , à croire que ton venin persiste encore, je sombrais dans un profond sommeil. Les yeux clos, je n'aurais jamais cru que la mort soit si douce & cruelle à la fois. Héritiers du malheur que nous avons-nous même produit, victimes de nos propres envies l'homme se plein des méfaits qu'il à lui-même enfanter. L'éternelle douleur est la plaidoirie de tous alors qu'au fond nous la connaissons tous. Je suis fier d'admettre que tu as eu raison de moi. Au pays des lumières, il n'y a que l'ombre qui persiste, silencieuse, vous ne vous rendrez jamais comte qu'elle vous observe, qu'elle vous manipule jusqu'à ce que vous y ayez goutez. Elle vous guette jusqu'à' ce que vous trébuchiez. Elle vous envahit jusqu'à vous épuiser autant moralement que physiquement. Elle n'attend qu'une chose, votre propre autodestruction, elle n'attend qu'une chose votre fin. Et vous stupide personne vous laissez abuser par celle-ci, trop digne pour solliciter de l'aide de vos proches, trop avilissant pour admettre votre erreur. Tu m'a eus, ce n'était qu'une question de temps.

Je me perds dans un abîme de noirceur, dans une profondeur sans fin et sans fond.
Je la regarde mais ne la vois pas. Je ne veux pas.
LA voir me plonge dans une terreur sans nom, une dépression sans fin.
Je me perds moi qui avait tout gagné. Je vois la terminaison nerveuse extrasensorielle et irréelle de cette union sans fondement ni loi.
Je suis fou. Pas d’elle. Je suis fou. Tout simplement. Réellement sans cheminement.

LA voir me plonge dans une terreur sans nom, une dépression sans fin.
J’ai mal. Mal du mal que je lui fais.

La souffrance, chose irréelle et surnaturelle d’un cœur sourd qui dépérît devant cette vie qui fuit.
À cause de moi, loin de moi.
Je vois le commencement du jamais. J’entends les soupirs las de l’ennui sans toi.
Je les hais, je te hais, je ME hais.
Moi qui suis le début de la fin. Moi qui suis le point noir de sa vie.
Tel un naufragé en pleine tempête je me vois me débattant,
ahanant suppliant que la mort te laisse à moi.
Où vais-je ? Je cours, cours autour de ces gens que je hais de te faire ainsi du mal,
de te laisser ainsi souffrir.
J’ai envie de mourir moi le monstre engendrant le mal; ton mal.
Je suis le démon, toi l’ange; la martyre.
Je me méprise à travers tes iris effrayées.

LA voir me plonge dans une terreur sans nom, une dépression sans fin.
J’ai mal. Mal du mal que je lui fais.

Je sens les fondations de notre navire couler délibérément. J’ai beau y faire, jeter tous les seaux…
Où suis-je ?
Toutes les notes de mon piano ne serviraient pas à te ramener à la raison de la vie.
Tu as choisi. Choisi le mal.
Choisi ton amante d’un court instant: la mort.
Est-ce ma punition ? Tu veux me voir mourir une nouvelle fois avec toi ?
Est-ce cela que tu veux ?
Je ne suis rien.
Le bateau sombre, nous à l’intérieur. Je jette l’eau hors du ponton et toi tu en rajoutes…
Voilà que tu pleures. Ils en rajoutent tous toujours un peu plus.
Je me méprise à travers ton regard larmoyant.
Moi, pauvre héritier de ta folie, moi aux croyances trop encrées dans un espoir fou
et risible d’une vie qui n’amènera que tourment et horreur.
Toi, ma traitresse délicieuse, moi, ton bourreau furieux.

LA voir me plonge dans une terreur sans nom, une dépression sans fin.
J’ai mal. Mal du mal que je lui fais.

Mais voici que le bateau se noie, doucement dans la marré rouge que coule ton sang sur mes points,
Et déjà en un dernier baiser tu pousses ton dernier sanglot, expire ton dernier soupir.
Voici maintenant que je stagne là, moi le marin fou,
au beau milieu du naufrage sanguinaire que j’ai causé.
Déjà je te rejoins, vide de la vie que je t’ai hotté de mes mains…

Voir SON cadavre me plonge dans une terreur sans nom, une dépression sans fin.
J’ai mal. Mal du mal que je lui ai fait.

...

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U-C

{ Il y a eu un problème dans le sondage qui a eut un immense beug je tente de réparer ça dès que possible et distribuer les récompenses :D