Sujet: Code Gead 79048 { Ouvert à tous Dim 21 Fév - 14:49
C o d e G e a d 79048.
« Vous vous plaigniez de votre monde, je me plains de ne pas en faire partie. »
Citation :
« Mission accomplit mon caporal. Quand pourrais-je avoir l'honneur d'obtenir votre grâce et ainsi partir du centre ? » « Jamais. » « Mais vous me l'aviez promis ! » « En effet. »
A peine l'homme eut-il finit ses quelques mots , qu'il sortit un colt de son veston , le pointant contre l'homme, il tira aussi tôt sans même attendre une réaction du spécimen. Il le tua. La balle le transperça de plein cœur, le sang jaillit de toute part quand au capitaine il ordonna de faire le nettoyage dans les plus bref délais, puis partit sans même se retourner laissant ainsi le corps du jeune homme. Celui-ci n'avait effectuer aucun mouvement pour se défendre , aucun geste , rien et pourtant il avait put prédire sa mort, l''intention de cet homme. Pourquoi n'avoir pas réagit dans ce cas ? Pourquoi ne pas l'avoir exterminer ? Simplement parce qu'il était un soldat , un soldat contraint à la mort depuis le départ ou ci celle-ci ne l'attendait pas , la fuite oui. Fuir pour sa survie , fuir pour sa vie , est-ce là une véritable vie ? Il ne me semble pas. L'homme est le plus dangereux animal , ce centre en est la preuve formelle. C'est ainsi que décéda alors ce jeune homme, il n'éprouvait ni de remords , ni de fierté et encore moins de peur envers cet immonde caporal au contraire. Il se nommait Alexandro pour ses proches, et 2930D pour le centre tel une plaque d'immatriculation en tout cas , c'était le principe. Il s'appelait Alexandro , ce n'était qu'un humain pour certains , un cobayes pour d'autre mais avant cela c'était un Homme. Un homme pourvus de sentiments, un homme possédant des rêves ,des désirs , des ambitions. Mais tout cela , « ils » n'en n'avait rien à faire , ce ne sont que des opportunistes ne pensant qu'a leurs personnes et leurs sciences , se foutant royalement de ce que pourraient ressentir leurs cobayes, ils ne considèrent que comme des moins que rien alors qu'ils ne sont en aucun supérieur à eux. Il s'appelait Alexandro, il est mort. Mort pour avoir accomplit sa mission , mais où est donc la morale là dedans ? Il n'y en as pas , tout simplement. Il est mort pour avoir capturé une certaine « Alison Steward ». Une humaine qui bientôt ne deviendra qu'une cobaye , ci ce n'est déjà fait. Une humain qui à partir d'aujourd'hui n'aura plus jamais le droit de voir le soleil se lever , qui n'aura plus le droit aux délices de la vie , aux merveilles que celle-ci puisse nous offrir , non désormais il sera une Spécimen. Une expérience parmi tant d'autres , une poussière. On ose dire par la suit « Je suis le maître de mon destin , le capitaine de mon âme. » néanmoins nous n'avons pas toujours le choix , bien que la société veut nous faire croire le contraire , elle nous leurre, nous trahis. Cette société qui accepte ses actes immorales , cette société qui fraude mais dissimule ses preuves. Cette société qui nous pousse à réussir mais qui au fin de compte prédit notre échec. Oui cette société qui n'ordonne pas l'arrêt des centres , cette société qui est totalement complice de leurs crime car oui , je vous le dis tout bas : Cette société nous tuera un jour ou l'autre ! Elle nous classe dès notre naissance , anéantisse nos rêves , nos familles ,nos vies. Elle nous tue en quelques sortes puisque maintenant notre vie n'est qu'un enfer. Oui , je vous le dis tout haut cette fois-ci , je m'appelle Alexis, Alexis comment me demanderez vous ? Et bien je n'en ai aucune idée. Le prénom que je vous cite n'ai même pas celui qui m'a été donné à la naissance, il m'a été donné par des spécimens comme moi , en recherche d'identité , en recherche de réponse. Je m'appelle Alexis , et aujourd'hui j'ai vu un de mes frères mourir pour avoir accomplie une mission qui lui avait été donné. Mourir parce qu'il avait respecter et réussit à bien les ordres qui lui avait été confiés. Quel justice, il y a t-il en cela mes chères frères , mes chères sœurs , mes chères amis ! En tout cas ,j'ose espérer en avoir en dehors de ce centre. Cela fais deux ans et vingt-quatre jours que l'on m'a enfermer en ce monde infâme. Cela fais deux ans et vingt-quatre jours et 18 heures que je vis un véritable enfer. Je me souviens avoir eut une famille, une femme , un enfant mais rien de plus. Je n'y arrive pas , je le voudrais mais je ne peux pas. Ici , je n'ai ni le droit de pensée , ni le droit de parler , ni le droit de demander. Je n'ai le droit à rien qu'a me résoudre au silence. Silence qui devient votre meilleur allié avec le temps ; votre meilleur ami. Mais cette fois-ci , j'entends des pas , plusieurs pas. A en juger, je dirais qu'il y a trois personnes. Une femme , deux hommes. Je ne tarde pas à le découvrir , la porte s'ouvre, une femme est jetée à nous. A terre ,elle ne bouge pas , ne parle pas.
Citation :
« Mademoiselle ? »
Elle ne répond toujours pas. Nous craignons sa mort , enfin craindre est un bien grand mot , nous y sommes habitués depuis le temps. Il est rare d'accueil des femmes dans nos cellules. Oui , nous hommes devont être séparés d'elles à moins qu'on nous le demande. La plus part du temps , c'est pour nous reproduire. Reproduire des êtres qui seraient encore plus puissant que nous le sommes. Ici nous les nommons les christa. Alliance de deux spécimens , et anti-christa alliance d'un spécimen avec un humain. Étrangement cette accouplement de spécimen/humain enfantent des êtres encore plus puissant que nous le sommes déjà. Oui , ils sont leurs solutions , cependant lorsque nous leurs seront inutile je crains le pire : l'extermination de notre race. Car oui , maintenant il est question de race. Les humains , les spécimens , les Christa et les Anti-Christa. Nous devons nous battre pour arriver à nous fin mais une chose est sûr ; le monde perrira dans les ténèbres. L'enfer nous accueillera le sourire grand aux lèvres riant de notre stupidité , cupidité. L'homme en veut toujours plus qu'il n'en a , mais à quoi bon au final ? Nous tressaillirons tous lorsque les anges de Satan viendrons nous récupérer , nous subirons nous même les conséquences des actes que nous avons occasionnés. Nous sommes de simples pions et cette arrivante aussi. Néanmoins , contrairement à nous, elle est déjà morte. Son visage pâle révèle bien des attentions. J'en suis certain , elle ne dort pas , elle est bien consciente mais veut mourir. Malheureusement pour elle , ils ne la laisseront pas ainsi , ils ne la laisseront pas autodétruire, ils préféreraient le faire eux même, minable qu'ils soient ! Minables sont les humains ! Je demande grâce à seigneur , qu'il puisse un jour reproduire homme meilleur que nous le sommes. Nous ne sommes qu'un brouillon , ne ne pouvons être qu'un brouillon, un vulgaire chiffon malpropre. Les jours outrepassent , l'arrivante bouge, nous regarde , parle. Elle est passé dans la salle d'opération : Dorénavant , c'est une des nôtres. Elle n'aura plus le choix , le choix c'est nous !
Un jours plus tard … Encore … Sous un masque indescriptible , personne n'avait prémédité l'action qu'allait produire la jeune femme, à savoir : prévenir ce qui était auparavant les siens, et les nôtres. En effet , sous ma plus grande surprise bien avant d'être parmi nous , elle connaissait notre existence , ce qui est totalement défendu. Ils nous étaient strictement interdis de révéler notre véritable nature. Qui plus ait , nous serions immédiatement en danger après tout , nous nous distinguons des autres, et comme vous le savez , ceux qui ce distinguent ont toujours du mal à s'intégrer. Elle les avait prévenus. Ils étaient venus la secourir cependant ils n'avaient pas prévus être pris au pièges. Tel un renard pourchassé , ils se sont fais attrapés, châtiés. Je les observe de mon coin, comme tout le monde ici d'ailleurs. Ils ne sont pas comme nous , ils sont moins puissant , moins sages , moins mûres. Lorsque j'examine minutieusement leurs visages , le coup de grâce. Ils sont nos ennemis. Après leurs fuites à Aprilia, les éducateurs nous ont appris à les haïr , les mépriser. A priori , leurs méthodes de tortures n'ont pas fonctionner avec moi. Je les reconnais certes , néanmoins je ne les méprises pas, ce qui n'est pas le cas de tout le monde. Leurs têtes est mise en jeu , ils ne leurs restent plus beaucoup de temps , c'est certain.
Sujet: Re: Code Gead 79048 { Ouvert à tous Dim 21 Fév - 16:44
•Réveille toi...m'ordonnai-je intérieurement.
Je voulais m'éveiller, tout ceci ne pouvait être réel. Je fermais mes paupières, et de toutes mes forces, je recherchais l'échappatoire à ce terrible cauchemar. J'essayais, et chaque tentative se concluait par un échec. Je rouvris mes paupières en prenant soudain conscience que je ne me réveillerais jamais. C'était fini. Un désespoir profond s'immisça en moi, rongeant chaque partie de mon âme. Des larmes coulèrent sur mes joues, et je sentis la douleur prendre possession de mon être tout entier, elle me poignardait, littéralement, effaçant toute la lumière qui régnait et laissant place aux ténèbres les plus sombres... Je réalisais alors que tout ce que j'avais enduré auparavant, n'étais rien, rien comparé à ce que je ressentais à l'instant.
J'entendis le moteur de la voiture s'arrêter. Le trajet semblait avoir durer une éternité. Aussitôt, ma portière s'ouvrit. Deux hommes me saissisèrent immédiatement par les bras, empêchant le moindre mouvement. Ils me serraient si fort que j'avais l'impression qu'ils pouvaient briser mes os en une seule pression.
Doucement! m'écriai-je
Pour seule réponse, l'un des deux hommes me gifla de sa main puissante et l'étau dans lequel il me tenait se resserra.
Ferme la. gronda l'homme.
Je ne prononça plus aucun mot, comprenant qu'on ne m'écouterait pas. Jamais personne ne m'avait gifflé de cette façon. Je me sentais humiliée, traîtée comme une moins que rien. Non, ce n'était pas qu'une sensation, j'étais humiliée, j'étais traîtée comme une moins que rien. On m'entraîna vers une immense bâtisse aux allures d'usine désaffectée. Il faisait nuit et je levai les yeux au ciel. Les étoiles brillaient, plus étincelantes les unes que les autres. Elles se refletaient dans mon regard qui avait perdu tout son éclat. J'admirais ce spectacle magnifique, inscrivant chacun des détails dans mon esprit, puis les étoiles disparurent. Les deux hommes qui me tenaient fermement de chaque côté venait de pénétrer dans l'enceinte du bâtiment. A l'intérieur, tout était gris et noir, et il y régnait une atmosphère inquiétante. Où suis-je ?Qu'allait t il advenir de moi ? Je l'ignorais...Après tout, plus rien n'avait d'importance désormais... Un coup de feu résonna sans que je puisse en déterminer la provenance. Les hommes continuèrent leur route, comme si cela n'avait rien d'anodin. Ils m'entraînaient toujours un peu plus loin, marchant d'un pas assuré entre les sinistres couloirs. Je n'avais pas d'autre choix que de les suivre, sans dire un mot. Ils s'arrêtèrent enfin devant une porte à barreaux, l'ouvrirent et m'y jeterent violemment à l'intérieur, fermant derrière moi, un rictus terrifiant dessiné sur leurs lèvres d'un rouge sang. Je ne me suis pas relevéeet je suis restée ainsi, couchée sur le sol froid, immobile. Je n'étais même plus certaine de pouvoir bouger.
Mademoiselle ?
Je demeureais silencieuse. Je n'avais plus la force de parler tant ma gorge est serrée. Une larme solitaire glissais sur mon visage. On m'avait volé ma liberté, on me l'avait arraché. On m'avait privé de tout ce qui me restait. Le temps semblait s'être arrêté, je n'entendais plus maintenant que le son de ma respiration et les battements de mon coeur. Je perdis toute notion du monde qui m'entourait. Je ne me sentais pas en sécurité, aussi je me recroquevillai, ramenant mes genoux sur mon ventre et je fermais les yeux. Un bruit de pas se rapprochait, et on glissa quelque chose dans la cellulle. Derrière moi, je sentis qu'on mangeait. Je n'avais pas faim. Je n'avais pas soif. Je n'avais envie de rien, mis à part, le souhait de mourir... J'étais là, tel un petit animal chétif, emprisonné et perdu.
Les jours passèrent, tous semblables aux autres.Je n'avais toujours rien avalé, rien bu, et je n'avais toujours pas dormi. Je me laissais dépérir à petit feu, volontairement. Je passais mes jours et mes nuits, à chanter des chansons dans ma tête. Je les enchaînaient, connaissant chacune de leurs paroles. J'entendais les instruments, la voix du chanteur, le son de la guitare... La musique était toujours présente, m'accompagnant une fois de plus, ne semblant jamais vouloir m'abandonner. Le fantôme de l'enfant m'avait quitté. Depuis mon arrivée dans cet endroit lugubre, je ne l'avais plus revu et je devais avouer que sa présence me manquait. Etait t il une illusion, ou bien plus que cela? Au fond, je m'en fichais. Il avait toujours été là pour me guider, alors pourquoi ne venait il plus me voir? Je me mis alors à penser à toutes les personnes, que je ne reverrais surement plus. Penser à eux, me remémorer leur visages, me déchira le coeur... Je cessai donc. En utilisant le reste de mes forces, je me redressais et soulagea mes muscles qui s'étaient ankylosés. Je m'asseyais et m'adossai contre un des murs de la pièce. Nous étions plusieurs détenus dans la même cellule, et j'étais la seule femme. Devant moi, plusieurs individus, me dévisageaient, le regard empreint de tristesse. J'avais l'impression qu'ils savaient quelque chose, quelque chose que j'ignorais encore. Je lisais dans leurs yeux sombres, la douleur et la souffrance. Sur ce point, nous étions semblables. Des bruits de pas dans le couloir, de plus en plus proche. Une femme en blouse, les cheveux attachés en un chignon stricte, s'arrêta devant la cellule.
Alison Steward. prononça t elle d'une voix douce. Venez avec moi, pour vous c'est fini, vous rentrez chez vous.
Mes yeux s'équarquillèrent, et une lueur sembla se raviver. Je me relevais et me dirigeais vers la porte. Les mots qu'avaient prononcés cette femme aux allures de médecin résonnaient dans mon esprit " Vous rentrez chez vous". Je ne savais plus quoi penser, pourquoi m'avait t on garder captive si c'est pour me relâcher après quelques jours. Avait t on fait une erreur en m'enfermant? Je l'ignorais, et à vrai dire, je n'en avais guère. J'allais rentrer chez moi, et c'était là l'essentiel. Cette femme me souriait d'un air confiant, lumière parmi l'ombre. J'accordai un dernier regard à mes co-détenus, en croisant mes yeux saphirs, ils baissèrent les leurs d'un air grave. J'avais à nouveau cette impression, qu'il savait quelque chose que j'ignorais. Un frisson parcourut mon corps, quelque chose se tramait, quelque chose qui m'échappait. La femme me regardait toujours, un sourire éclatant dessiné sur ses lèvres fines. Elle me tendit sa main, que je saisis. Elle referma la porte de la cellule derrière moi, et j'eus un pincement au coeur en quittant les autres. Je partais, tandis qu'ils restaient. La femme en blouse m'emmena avec elle et je la suivais, soulagée de mettre un terme à tout ceci. Nous passâmes devant la porte d'entrée, celle que j'avais emprunté lors de mon arrivée. Mais la femme ne s'arrêta pas, resserant sa prise autour de ma main.
Mais , c'est ici la sortie. déclarai-je
Je m'arrêtais net, libérant ma main de celle de la femme en blouse. Son sourire éclatant disparut, laissant place à un sourire sadique.
Je sais. siffla t elle entre ses dents
Mon coeur fit un bond dans ma poitrine. Instinctivement, je me précipita vers la porte, lorsque deux gardes s'interposèrent, me barrant la route. La respiration haletante, je regardais autour de moi, recherchant une issue. Mes bras tremblaient, je paniquais. Soudain, je saissisais le regard abbatu de mes co-détenus, ils savaient que je ne sortais pas. Mais, je ne me laisserai pas faire, je ne voulais pas retourner dans la cellule, je voulais revoir le soleil, la lune, les étoiles. Je voulais rentrer chez moi. Je voulais partir là ou personne ne me trouverait, loin d'eux, loin de cet endroit qui m'effraie, loin de cette souffrance continuelle... Loin....La femme en blouse s'avança vers moi, et m'attrapa par les épaules. Je reculai de quelques pas, l'empêchant de prendre prise sur moi.
Menteuse! m'exclamai-je d'une voix déchirante. Vous aviez dit que je partirais! Menteuse!
Elle s'avança encore vers moi, le regard menaçant. Je la repoussais à nouveau. Elle fit un signe aux deux gardes près de la porte, qui aussitôt vinrent vers moi. Je fis non de la tête. Non, je ne voulais pas, je ne voulais pas. Je reculais, tandis qu'ils pressaient le pas, s'approchant dangereusement de moi. Et la porte était là, la porte vers la liberté, à quelques mètres seulement. Cette liberté qui me tendait les mains. Je n'avais rien à perdre. Les prenant par surprise, je me dirigeais vers la porte. J'y étais presque, je pouvais presque la toucher. C'est à ce moment que je sentis une décharge électrique me traverser tout le corps. Je m'affalai sur le sol, gémissant de douleur. La femme en blouse, pointait son taser vers moi, me regardant avec mépris. Je lui rendis un regard plein de haine. Elle riait à présent en me regardant dédaigneusement. Je n'avais plus de force pour me relever et lui cracher au visage.
Amenez la, en salle d'opération.ordonna t elle
Les deux hommes, voyant que je n'avais plus la force de marcher, me prirent dans leurs bras, et m'emmenèrent, sans que je ne puisse me débattre.
La suite, je n'en avais qu'un vague souvenir. Je me souvenais du lit d'hopital, les sangles attachées autour de mes poignets et de ma taille, l'infirmière et l'aiguille, s'enfonçant dans ma chair tendre. Je me suis réveillée ici, avec l'impression que ma tête allait exploser, dans cette même cellule. J'ignorais ce qu'ils m'avait fait, j'ignorais même encore ce qu'ils me veulent... Mais personne ne semblait vouloir me donner de réponses. A mon réveil, ceux qui partageaient la cellule avec moi, ou plutôt cette cage, me regardaient differemment. Ils détenaient les réponses, les réponses à ses questions qui me tourmentaient. Alors nous avons parlés, et ils m'ont tout racontés sur ce terrible endroit qu'est Aprilia...mon pouvoir, l'opération... J'étais comme eux à présent, ce qu'il appelé un Spécimen. Ici, je n'étais qu'un animal pour eux, un animal dont ils étaient les propriétaires. Comme mes partenaires de la cellule, je possédais un tatouage, un code barre sur la nuque. J'étais marquée. J'étais à eux, peut être pour toujours...
Dernière édition par Alison Steward le Dim 25 Avr - 20:16, édité 8 fois
" Mais par pitié, sois prudent! Et donne moi de tes nouvelles!" m'avait dit Benjamin avant que je parte.
Il ne m'avait pas retenu, sans doute par le fait que, comme il avait dit, ce serait criminel. Seulement, en partant, en faisant des actes, l'une des personnes que j'aimais avait souffert par un acte de ma part. Oh rosie, rosie, un jour, pardonne-moi de ce que j'ai fait. Benjamin pouvait pensait tant qu'il le voulait, mais de nous deux, c'était moi le monstre. Je marchais a l'opposé d'où il était. Mes yeux s'embuait, mes larmes coulait en silence, dans un silence pesant. Je marchais sans vraiment avoir de but. Je savais au fond que j'avais fait une erreur. Une erreur, car c'est comme si je cherchais une aiguille dans une bote de fouin. Si je n'avais pas une sorte d'égaux mal placé, j'aurais couru, couru a toute allure et me serait mis a genoux devant benjamin & rosie leur demandant pardon. Mais je ne le fis pas, je marchais. Je passais mes journées à chercher, je n'avais pas de photo, seulement quelque renseignement que j'avais pu avoir par des gens un peu partout.
Cela dura plus d'un mois, un mois ou je ne dormais pas, je ne mangeais presque rien et je fumais beaucoup, buvant du café et de l'alcool a tout va. Je me laissais vraiment aller, mais je gardais une certaine hygiène sur moi, ne me laissant pas pousser la barbe par exemple. Mon téléphone, que je n'avais pas mis à la poubelle, avait beau sonner, je ne décrochai pas. Je savais qui était les personnes qui m'apellait et je ne voulais pas donner de renseignement. Mais quelqu'un dont je n'avais plus eu de nouvelle m'apellait en insistant. Je décrochais, et j'avais eu raison.
Je m'en souviens, ou plutôt j'essaye de m'en souvenir. J'étais dans l'espèce de taudis que j'avais loué en Russie, et Alex était stressé au téléphone, ne sachant pas où trouver Alison. Chose qui me fit tout autant paniqué car, elle était une personne bien particulière dans mon monde et savoir qu'il y avait peut-être un danger, peut-être quelque chose d'inquiétant me mettait tout autant mal. Après avoir raccrocher avec Alex, c'était a mon tour d'appeler alison, de perserverer. j'appelais, appeler, pour au final, toujours entendre sa messagerie. Elle avait coupé son téléphone ? alex ne la voyait plus alors qu'il était son meilleur ami, je ne comprends pas...Et tout se mit en ordre, comme un puzzle fini. Ils l'avaient....
Je ne suis pas paranoiaque, ou alors si, dite moi que je suis parano, qu'elle est a une soirée et qu'elle est chez elle. Dite moi qu'ils ne l'ont pas, qu'il n'ont pas toucher cette ange venu du ciel...Je n'y croyais pas. Je ne voulais pas y croire et pourtant, quand Alex me rappela et me dit qu'il avait fait tout les endroits qu'elle aimait, chez elle & autres, il ne la trouva pa. Je lui dit alors de me rejoindre en Russie. Le temps qu'il arriva, je cherchais par des connaissances a mes connaissances, des armes et tout autre chose qui pourrait m'aider. Je suis allé à l'aéroport le chercher, nous sommes monté dans un taxi et soudain, le black out totale...
Tout ce dont je me souviens, c'est de mettre reveiller ligoté a une chaise, alex attaché derrière moi. Je relevai la tête, et trois costard-cravate, en l'occurence des hommes du centre étaient devant moi, me regardant.
"-Monsieur Henderson je présume ...
- Vous présumez bien...
- Numéro d'identification : 63226
-...Thomas aussi, ça marche."
Je ne cherchai pas la confrontation, seulement plusieurs choses n'était pas à leurs places. La première, pourquoi je n'entends aucune voix dans ma tête. La deuxième, comment ils m'ont retrouvé sachant que j'ai tout fait pour que justement, ils ne peuvent pas. Et la dernière, qu'es ce qu'y allait se passer ? Je les regardais, tout ceci ne me parraissait pas normal. Je rêvais ? pourquoi alors, Alex était accroché. Le coup que l'un des hommes me donna, me fit vite comprendre que j'étais bien révéilller, et que tout cela se passait.
"Ne faite donc pas le malin, spécimen 63226..."
Je me taisais donc, et les laisser accomplir les ordres donner. Toujours aucune voix, pourtant, il ne me semblait pas avoir tout bloqué à mon esprit. Je fermais les yeux, essayant d'écouter, mais rien. Je réouvrais les yeux, et regardait un peu partout. On était dans une pièce ou quelque chose du genre, je tournais ma tête et voyais qu'alex était toujours la tête baisser. J'essayais d'assembler les pièces pour me rapeller, mais rien ne venait, rien du tout. Un totale trous noir... Pendant ce temps, les trois hommes se regardaient, parlant vraiment a voix basse. L'un d'eux, croisa mon regard et s'approcha de moi, me prenant par ce qu'il me restait de cheveux en disant aux deux autres :
"- Et celui-ci ? On le laisse éveiller ?
- Il a le sérum qui lui coule dans le sang, techniquement ses dons ne marchent pas. Taylor, l'autre spécimen est doté de dons qui pourrait nous être fatal."
Je n'écoutais plus la discution, restant sur les propos que l'un d'eux venait de sortir. Un sérum capable de nous diminuer nos dons ? C'est peut-être pour ça que je ne pouvais plus rien entendre...Ils continuaient toujours à parler, tandis que moi, je cherchais des réponses de ce qu'il s'était passé. Rien ne m'aurait laisser présager qu'il allait m'endormir à l'aide de drogue ou je ne sais trop quoi.
J'allais m'enervé, mais je sentais tout mon corps se redire, et mes paupières s'allourdisait, tellement que en quelque instant, je me retrouvais dans le noir complet...
Dernière édition par Thomas Henderson le Sam 27 Fév - 1:27, édité 4 fois
Sujet: Re: Code Gead 79048 { Ouvert à tous Mer 24 Fév - 16:39
Requiem For a Dream .... Welcome, to My Nightmare...
J'avais beau essayé de me réveiller, mais rien n'y faisait. Noir, il faisait tellement noir. Mais après tout, je n'avais pas dormi depuis des semaines, le temps parraissait tellement long quand pendant des années, vous entendiez toute les pensées de chacun, et là, vous vous retrouvez avec les autres, c'est-à-dire, pas grand choses. Le noir était toujours là, mais quand enfin, j'ouvrais les yeux, le spectacle ne me plaisait toujours pas. J'étais dans une pièce, un peu comme celle chez les policiers, avec la vitre devant moi, sauf que j'étais allongé, et mes mains était bloqué par des truck bizarre, comme on donne chez les fous. J'étais pas fou, mais c'était pour que je ne puisse pas bouger. J'ouvrais les yeux, lever un peu ma tête, pour m'apercevoir qu'une femme était là, habillé comme un garçon manqué, la tête complétement chauve. Elle était dans un coin, et quand je levais ma tête, elle s'approcha de moi, pour pouvoir planter ses yeux dans les miens. J'aimais vraiment pas ça, alors d'instinct, je fermais volontairement les yeux. Elle rigolait et me dit alors, chewing gum dans la bouche :
"- Fait pas la gamin, le doc' va arriver. "
Quel doc' ? Je ne demandais même pas où j'étais, je le savais déjà. Je réouvrais les yeux, et forçais sur mes bras pour m'échapper, en sentant que j'étais sous perfusion. Encore des trous dans mon bras, super...Je regardais en l'air, et rien n'avais changer, c'était toujours aussi sinistre, et un vrai plaisir d'être là. Quand le médecin entra, il regarda la fille garçon et lui dit :
"- Pendant son sommeil, as-t-il bougé?
- Un vrai mort ...
- Reste, je vais appeler les autres pour commencer..."
Commencer ? Commencer quoi ? Et où était Alex ? J'avais beau bouger la tête, forcer sur mes bras, rien ne changeait, et le bruit du chewin gum resonnait dans la pièce blanche. Je soupirais, et chercher désesperement un moyen pour m'échapper. Quand elle vint éclairer ma lanterne en disant :
"- Ici, t'es dans un espace de réabilitation à la vie au centre. Tu vas souffrir, on va faire venir quelqu'un pour avoir des info sur tes potes. Ensuite tu vas encore souffrir, puisqu'ils vont s'éclater à te mettre des tonnes de drogues, de produits et autre dans le corps, puisque tu es de l'ancienne génération et enfin, on va tout te faire oublier, histoire que tu ne te souvienne même plus du nom que t'avais dehors. Enfin, je pense qu'avec toi, ils seront plus sado qu'avec ton pote, puisque ton pote, ils vont juste le garder dans une pièce isolé. Toi, ils vont s'éclater..."
Elle avait dit ça comme si c'était rigolo de me voir souffrir.Et elle avait ce petit sourire narquois que je n'aimais pas. Elle plantais toujours ses yeux dans les miens, tandis que je me débattais pour essayer d'enlever ce qui me bloquais.
"- Monsieur Thomas Henderson, Fils de Helena Henderson & de...Tiens tiens, je n'avais pas vu cette information...Vladimir Shelev hein. Et tu te rebelle contre nous, quel gachis. Si ton père voyait ça...
- C'est bête, il ne peut pas....
- Enfin bref, Spécimen 63226, pouvant lire dans les pensées. Un niveau plutôt élevé par rapport à certain que j'essaye de développer ici...."
Il continuait à lire ses notes, tandis que je me débattais tout autant. À quoi cela servait ? À rien...Malheureusement. Je soupirai et relevai un peu ma tête pour m'apercevoir que nous n'étions pas 3, mais plusieurs dans la pièce. Ils devaient tous être des spécimen à part le doc', vu qu'ils étaient tous pareil. Le doc finit et grâce a je ne sais quoi, releva la chose sur laquelle j'étais allongé. Ils me regardaient tous avec mépris, mais je m'en fichais. Un jeune homme s'approcha, regardant le doc', il mit ses mains sur mon front. Je compris assez vite ce qu'il voulait, et j'essayais de mettre une barrière sur mes souvenirs, pensant à n'importe quoi d'autre. Cela marcha apparemment, puisque le jeune homme enleva ses mains, avec une haine au visage contre moi. Je preferais qu'on me fasse souffrir, plutôt que par ma faute, mon entourage soit chassé comme des misérables qu'ils ne sont pas. J'haletais par l'effort assez mentale que je venais de faire, surtout qu'à cause d'un produit dans mon sang ne me permettait pas d'utiliser mon don. Le doc soupira, et tourna la tête pour faire avancer un autre spécimen. Le docteur, tandis que s'approchai le spécimen me dit avec un soupir:
"-Je suis au regret de directement passer par la case douleur Monsieur Henderson. Cela durera un moment, et Aymerick ici présent, excele dans cette discipline...Spécimen Aymerick, faite comme bon vous semble, mais laissez les organes vitaux tout de même, que je puisse ensuite lui administrer ce qu'il faut. Le spécimen Elisabeth fera le reste mais tout de même. Ai-je votre parole, que vous n'allez pas faire comme avec l'humain de l'autre fois ?"
Le spécimen du nom d'Aymerick était à présent juste devant moi, et avec un sourire sadique dit qu'il promettait. Le docteur m'enleva les bracelets, mais je compris tout de suite que cela ne servait à rien de courir. Je me reculai, me faisant bloquer dans un coin, tandis que Aymerick était devant moi et commençait. Il entrai dans mon crane, me faisant souffrir intérieurement. Je criais, j'avais mal, mais surtout, mon foie, ou d'autre organe me lachait. C'était lui, c'était son don : la douleur intérieure. Il en prenait un malin plaisir tandis que je souffrais, que le sang me coulait de la bouche, que je ne pouvais plus bouger, me laissant aller par terre. Le sang me coulait de la bouche, tandis que mes yeux s'embuait, bientôt, je sombrai, tandis que mon corps se faisait malmener.
Et encore une fois, le black out totale. Tout ce dont je me souvenais? Plus rien,je ne me souvenais plus de mon prénom, d'où je venais, ni même où j'étais. Je ne savais plus rien, et quand je rouvris les yeux, j'étais dans une pièce blanche, les cheveux rasé, habillé d'un tenue étrange. J'ouvrais les yeux, me levai du par terre, la pièce était petite, il n'y avait rien mise a part moi.
A présent, j'étais une coquille vide, sans souvenir, plus rien....
Dernière édition par Thomas Henderson le Sam 27 Fév - 1:30, édité 3 fois
Sujet: Re: Code Gead 79048 { Ouvert à tous Mer 24 Fév - 17:32
On essaye d’oublier, d’avancer mais …
Aprilia. Un mot qui sonne plutôt bien quand on le prononce ! On pourrait croire que c’est le nom d’un lieu paisible, sans problèmes, l’endroit idéal en somme. On pourrait … Peu de monde connaît ce mot qui semble banal. Et heureusement d’ailleurs ! En revanche, pour ceux qui ont le malheur de le connaître, Aprilia à souvent tendance à rimer avec enfer, douleur, prison … etc. Même vos pires ennemis ne vous souhaiteraient pas le malheur d’atterrir là-bas, du moins, s’il le connaissent …
- Ça, c’est le passé mon vieux ! Maintenant il faut voir l’avenir, même si on n’en sort pas tout à fait normal … - Je ne suis pas sûr que ça soit terminé, franchement ! - Pourquoi ça ? - Je sais pas … Ca paraît trop facile … On est encore jeunes, ils vont sûrement … - Pfff penses ce que tu veux, mais pour moi, c’est réellement finit !
Quelques mois après cette discussion, les deux interlocuteurs avaient chacun continué, comme ils le voulaient cette fois. Enfin avoir cette liberté ! Celle que tous, je dis bien tous, auraient aimé avoir. Aucune barrière autour d’eux, pas de surveillance, pas de maltraitance, pas de lavages de cerveau, nan, rien ! La vie n’était pas la vie là-bas. Mais ça, comme avait si bien dit l’ami, c’était du passé … La liberté était devant eux, la prison derrière …
Ethan avait finit par croire à tout ça ! Il avait pu pendant de longues années, être libre ! Une chose dont il avait rêvé maintes fois quelques années en avant. Et même s’il avait prit conscience que c’était enfin la réalité, il ne se sentait pas libre. C’est seulement en grandissant, que petit à petit, il avait enfin ce sentiment si agréable. Et puis, d’année en année, il redevenait normal, le garçon qu’il devait être, avec ou sans Aprilia. Il s’était enfin fait des amis, une place dans la société Canadienne ! Tout ça, grâce à un homme dont il était redevable. Un homme qui l’avait recueillit chez lui, et l’avait élevé comme son propre gosse. Sûrement une des personnes les plus importantes de sa vie…
Parmi ses personnes, il y avait aussi Alison. Une jeune fille qui était allée vers lui dès le début. Ils s’étaient tout de suite bien entendu, créant un lien fort. Durant une période même, ces deux là étaient inséparables ! Tout en grandissant, les deux adolescents avaient gardé une amitié dure comme fer. Un soutien dont Ethan avait besoin, bien qu’il lui avait toujours caché un lourd secret : Aprilia. Et cela, pour à la fois la protéger, mais aussi, à la fois parce que ses souvenirs si douloureux, que rien qu’à y repenser, le jeune en avait mal au cœur …
Maintenant adulte, les deux jeunes gens avaient continué leur route, tout en restant l’un pour l’autre. Ils avaient pour habitude depuis un moment de, se revoir le fréquemment possible. Ils ne se mettaient aucune date. C’était plutôt quand l’un était libre, il appelait l’autre pour savoir s’ils pouvaient se voir. Seulement, à l’heure où je vous parle, Ethan n’avait reçut aucun de coup de fil de la part d’Alison depuis belle lurette. Plus de deux semaines, c’était certain. Le jeune homme avait déjà essayé de la joindre de nombreuses fois, les appels arrivant toujours sur la messagerie. Bizarre ! Elle qui à toujours pour habitude de répondre au téléphone … Ethan ne pouvait arriver à la conclusion qu’il lui était arrivé quelque chose. A moins qu’elle ait voulu s’isoler quelques temps, être coupée du monde … mais elle l’aurait sûrement prévenue avant …
Le jeune homme ne voyait qu’une solution : appeler l’entourage de la jeune femme, pour essayer d’avoir de ses nouvelles. Et c’est ce qu’il fit. Il appela le monde qu’elle et lui avaient en commun. Après quelques appels, Ethan commença à s’inquiéter de plus en plus. Personne n’avait eu de ses nouvelles récemment, même Thomas, une personne aussi proche d’Alison, n’en avait eu ! Il décida donc après avoir raccroché, d’aller à tous les endroits que la jeune femme avait l’habitude d’aller. Partout ! Mais, cela ne donna aucun résultats … Après avoir été sûr d’avoir fait tous les endroits, le jeune Taylor décida donc de rappeler Thomas. Il s’assura auprès de se dernier avoir cherché partout, sans l’avoir retrouvé. Tous deux étaient inquiets pour elles, et ne comptaient pas rester à rien faire. Mais au fond de lui-même, Ethan était persuadé que le cauchemar referait surface, et que la disparition d’Alison avait un rapport avec … même si c’était la dernière chose qu’il espérait. Etant toujours au téléphone avec Thomas, décidèrent d’agir. Le jeune homme raccrocha, avant de vite attraper quelques affaires, et les fourrer dans un sac. Il fila ensuite à l’aéroport rapidement, direction : la Russie …
Quelques heures plus tard, Ethan arriva enfin à l’aéroport. Thomas devait sûrement l’attendre. Le jeune homme regarda donc aux alentours, jusqu’à trouver son ami. Au départ, les deux jeunes hommes n’étaient pas proches l’un de l’autre. Mais avec leur relations en commun, ils s’étaient vu quelques fois, et avaient finit par bien s’entendre ! Bref ! Après avoir rejoint Thomas, les deux amis entrèrent dans un taxi, mais ce fut la dernière chose dont Ethan se souvint …
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… quand le passé refait surface …
- Le cauchemar recommence, j’en suis sûr … - Mais non, tu rêves là ! - Nan, crois moi, je t’avais dit que ce n’était pas terminé … je te l’avais dit …
Ouvrant légèrement les yeux, Ethan n’eut pas besoin de réfléchir. Où était-il ? Sûrement au lieu qu’il appelle souvent « L’enfer sur Terre ». Allongé sur le sol sale et sombre, le jeune homme tourna son regard dans tous les sens. A droite, un mur, à gauche, un mur, en haut, un mur, en bas … encore un mur, plus une porte qu’on ne pouvait pas enfoncer, à première vue. Aucune fenêtre à aucun des murs. Le plafond aussi sale que le sol. Un très faible lumière, pas assez suffisant pour éclairer toute la pièce, convenablement, laissant des coins sombres …
Combien de temps allait-il croupir ici ? Comment allait-il sortir de là ? Est-ce que la pièce était surveillée ? Mais surtout où était Thomas ? Que des questions s’ajoutant les unes aux autres, la plupart n’ayant pas de réponses. Essayant de penser clair, Ethan se releva difficilement. Il regarda de nouveau la porte, mais ne s’en approcha pas. Qui sait, si elle était piégée ? Mais de toutes façons, s’il voulait s’enfuir, il serait obligé de la toucher. Ses dons ne lui serviraient pas à grand chose dans cette pièce. Enflammer quelque chose ? Il n’y avait rien à brûler. Il ne savait même pas si brûler la porte lui servirait à quelque chose. Se multiplier ? Ca ne l’aiderait pas à sortir. Alors comment faire ? … Après un moment de réflexion, le jeune Taylor finit par tenter quelque chose. Tant pis, qui ne tente rien n’a rien ! Fermant les yeux et se concentrant, Ethan avait pour objectif d’utiliser les flammes pour dégrader la porte. Mais, rien ne se produit. Le jeune tenta une seconde fois, puis une troisième fois, avant de laisser tomber. Il essaya ensuite de se multiplier, histoire de voir d’où venait le problème. Et comme il l’avait « prédit », son don ne fonctionna pas. Soit il n’avait plus ses dons, soit il ne pouvait pas les utiliser ici …
Cherchant un autre moyen de s’échapper, la porte s’ouvrit violemment. Ethan par réflexe, s’éloigna de celle-ci, même s’il aurait préféré sauter sur l’occasion pour fuir. Restant attentif à ce qu’il se passait, cela lui rappela soudain de nombreux souvenirs douloureux. Non, il ne voulait pas revivre ça, et allait tout faire pour que ça ne se reproduise pas, encore une fois. Chassant toutes ces pensées négatives, il vit trois hommes entrer. Un garde restait derrière, dans le passage de la porte, histoire d’être sûr de ne pas avoir de fuite.
- Alors, bien dormi ? - … - Je dois prendre ça pour un oui ? - Prenez-le comme vous voulez, mais allez vous faire voir ! - Je suis content de vous revoir parmi nous, spécimen 59992 - Je ne suis plus votre joujou, j’ai un nom maintenant ! - Ça c’est ce qu’on verra, Taylor, c’est ce qu’on verra !
Faisant un signe de tête envers les deux hommes l’accompagnant, l’interlocuteur d’Ethan quitta la pièce, le garde prenant soin de bien fermer la porte. Le jeune spécimen regarda alors tour à tour les deux hommes étant avec lui dans la pièce, tout en reculant légèrement, du moins, jusqu’à ce que le mur le stoppe. Voyant les deux hommes continuer d’avancer, le jeune Taylor se sentit prit au piège. Il imaginait déjà d’avance ce qui allait se passer, et ne voulait pas se laisser faire. Après avoir esquissé un sourire sadique, un des deux hommes commença par donner un coup de poing, touchant Ethan en plein dans le ventre. Ce dernier se plia en deux, avant de se redresser, et d’essayer de rendre le coup. Se libérant du peu d’espace dans lequel les deux l’avait piégé, le jeune homme aperçut un code barre dans la nuque des deux personnes. Il aurait du y penser avant ! Deux spécimens en frappant un autre. Mais pourquoi faire ? Pas la peine de chercher trop loin, c’était même évident …
Les coups s’enchaînèrent les uns après les autres. Ethan les encaissait plus ou moins, et n’arrivait pas à se défendre. Les deux spécimens étaient bien plus fort que lui. Ils connaissaient de nouvelles méthodes de combat, mais surtout, ils étaient deux, contre un. Mais ça ce n’était que la première partie de la série de torture dont le brun allait être soumis …
Les coups cessèrent enfin, Ethan était plié en deux, à terre. La porte s’ouvrit à nouveau, avec le même homme que tout à l’heure. Il rappela les deux spécimens vers lui, et leur ordonna de quitter la pièce. Les deux obéirent, et l’homme s’approcha ensuite du jeune Taylor, saignant des blessures qui lui étaient infligées.
- Dîtes nous ce que nous voulons savoir, et je mettrai fin à toute cette souffrance. - Vous pouvez toujours courir ! - Tant pis pour vous, spécimen 59992 ! - Ethan …
L’homme donna un coup de pied dans le ventre d’Ethan, avant de quitter la pièce, laissant le jeune homme mal en point … Ethan n’avait plus qu’à espérer que ce cauchemar cesse, et qu’il arrive à se libérer d’une quelconque manière, même s’il avait encore peu d’espoir …
Aleksandr Ivanov † ▬ Excorcise me.
Moi =D ▬ Relations: ▬ Armes & Pouvoirs: Contrôler ton existence
Sujet: Re: Code Gead 79048 { Ouvert à tous Mar 2 Mar - 20:40
Citation :
« Écoute moi bien, si tu ne me dis pas immédiatement où Vladimir se trouve ,je n’hésiterais pas à te tuer ! »
« Vous vous croyez plus fort que nous , vous vous pensez meilleur , finalement vous n’êtes qu’un échec d’Aprilia, tuez moi et vous ne les retrouverez pas. Nous savons tout deux ce que vous ne ferez pas. »
« Vous ne connaissez rien de moi , vous n’êtes que … » « Ici tu es peut-être fort , tu es le fameux Aleksandr Ivanov mais au autre tu es notre proie. Crois tu vraiment que nous te lâcherons vous et les autres traitres que vous êtes ! Votre tête est mise à prix , bientôt nous vous récupérons tous et vous ne pourrez rien contre … »
« Ferme ta putain de geule ! »
Les mains sur le crâne , Aleksandr ne savait que faire , pour la première fois de sa misérable vie , il n’avait aucun moyen de pression, il savait pertinemment que le spécimen qui se situait face à lui avait raison , il ne leurrait pas , à quoi bon après tout ? S’adossant contre le mur , il s’essuya une perle de sueur qui lui dégoulinait tout doucettement le long de son visage pour parvenir vers ses lèvres.
Citation :
« Tu es mort d’avance et tu le sais. »
« J’ai dis ferme ta geule enculé ! »
Sur ce , le mafieux électrocuta quelques secondes le jeune homme jusqu’à ce que celui-ci se ressoude au silence , laissant ainsi Aleksandr réfléchir.
[b] « Tu crois pouvoir les sauver ? Tu crois pouvoir sauver le monde ? Regarde autour de toi 543D103 , regarde ce que tu apporte. En voulant faire le bien tu ne produits que le mal , tu es mal. Tu te crois bon , mais au fond de toi tu sais pertinemment qu’une force inébranlable vit en toi , une force que tu ne peux contrôler. Tu es mort , il n’y a rien d’humain en toi , tu es l’un des notre , un de nos chefs , tu ne peux renié tes racines , ils t’ont choisis ! 543D103 tu as été créer pour être le descendant … »
D’un regard furtif mais décisif , Aleksandr leva la main vers le jeune homme attaché à un rondin de bois. Une lumière irradia soudainement la salle , lorsque la lumière fut , le mal partis , le spécimen promptement disparut. Pris d’une migraine , le mafieux hurla de douleur , les mains sur les extrémités du visage , à deux doigts des cheveux , il ne comprit pas immédiatement ce qu’il se passa , où étais donc passé cet homme ? Et qu’adviendra-t-il de lui ? Il n’avait pas ce don , ce n’était pas lui. Il ne comprenait pas ce qu’il se passait , il ne comprenait pas ce qu’il faisait ,il ne comprenait ce qu’il devait faire.
Se concentrant longuement sur un plan , Aleksandr prit son cellulaire , envoya un message à un de ses meilleurs alliés : Damon. En attente de réponse , il songea soudainement à une chose qu’il avait entendu parlé quelques jours auparavant par un de ses collègues. Se levant brusquement , il alla directement dans l’immense bibliothèque qui se trouvait derrière son bureau , examina les livres jusqu’à trouvé celui qu’il lui fallait , feuilletant page par page, il comprit enfin comment retrouvé son ennemi , l’empoisonneur de ses songes , l’homme qui avait détruit sa vie à jamais. L’illumination eut , il savait dorénavant comment le retrouvé , où plutôt où le cherché , tout devenait soudainement plus net. Il était dans un des nouveaux centres qu’il avait construit , un centre qu’Aleksandr ainsi que quelques un des siens surveillaient. Comment avaient-ils put ne pas voir cela ? Dimitri savait certainement ce qu’Aleksandr comptait faire , il l’attendait s’en était certain.
Après cette soudaine prise de conscience , une réunion fut entreprise. Une fois tous les spécimens réunis , le jeune homme les observa minutieusement , les classa par pouvoir , et leurs expliqua finalement ce qu’il comptait enfin entreprendre une fois arrivé là-bas. Bien sûr , le mafieux se servira tout d’abords des plus faibles ensuite des plus forts. Tout avait été astucieusement réfléchis. Il était temps d’établir son plan, il devait d’or et déjà commencé mettre son plan à jour.
C’est pourquoi il alla donc sur le terrain accompagné de quelques un d’entre eux , les alentours étaient assez vastes , assez vastes pour qu’il n’y ait aucune surveillance, ci ce n’est qu’une bonne vingtaine de gardes. Ce centre était l’un des moins surveillé , sûrement par le manque de spécimen qu’il s’y trouvait. Examinant ainsi les alentours , ils repartirent à leurs bases et prirent soin de tout vérifié une dernière fois.
Chose faite , ils attendraient qu’un voile d’obscurité apparaisse pour attaqué les premiers. Une fois la nuit apparut , Alekandr vérifia une dernière fois son cellulaire , Damon n’avait toujours pas répondu. Cela lui sembla assez étrange puisque celui-ci lui répondait habituellement quelques secondes après.
Observant une dernière fois sa tanière , il ne put s’empêcher d’écraser son dernier mégot contre le fauteuil , cette nuit serait la sienne , celle où il pourrait enfin assouvir son désir de vengeance , cette nuit serait d’ailleurs sûrement sa dernière. En tout cas pour les autres car oui , ce soir là Aleksandr n’allait pas seulement abattre son pire ennemi mais il allait aussi se faire passé pour mort. Tôt dans la matinée , il avait pourchassé un homme , et l’avait tué de main froide. Cette homme avait exactement les même mensuration que lui. Il le prit par ses poignets , le frotta contre le sol et le colla contre son vulgaire fauteuil. Aleksandr comptait une tonne d’ennemi voulant sa mort, cela paraitrait alors vraisemblable. Il avait alors déposé de l’essence partout dans la salle , le mégot écrasé contre le fauteuil forma alors un nuage de flamme. La pièce explosa, Alekandr avait disparut.
Seul les êtres qui le suivirent jusqu’au nouveau centre connaissait son existence , car dorénavant ils le croyaient tous défunts. Dans la nuit , ils s’étaient donc tous préparé autant psychologiquement que physiquement. Ils étaient alors une bonne vingtaine d’hommes. Sur le terrain , dès les cinq premières minutes où ils s’aventurèrent dans l’inconnue , des soldats parvinrent et tentèrent de le tuer , par malchance un d’entre eux fut blessé. Sans même se retourné , Aleksandr l’abandonnement à son triste sort. Il entendit alors quelques grommelant d’un des siens , se retourna brusquement , l’empoigna contre un arbre.
« Si tu as quelque chose à dire , dis le moi maintenant ! Non rien tu es sûr ? Car écoutez moi bien vous autres , je ne veux pas de faibles, il nous aurait retardé et même grillé ! Son sang se serait imprégner partout sur le sol , voulez vous vraiment êtres pris à cause d’un seul d’entre nous ? Maintenant avançons , Mike tue le. »
L’homme en question partit donc en arrière , et tua l’être qu’Aleksandr jugea de faible. Avançant , d’autres soldats du centre les attaquèrent , assez rapide , plus rapide qu’eux d’ailleurs c’est pourquoi plus d’un en resta cette fois-ci. A quelques mètres de l’entrée du centre, le mafieux fit avancer deux d’entre eux , ceux-ci se firent décapité immédiatement. Fixant ainsi les extrémités des zones Mike remarqua deux tours , dans celle-ci deux gardes munit d’une arme pour le moindre étrange , avertissant immédiatement Aleksandr , celui-ci nomma un des siens qui se rapprocha , ferma les yeux et en une seule seconde , les deux hommes tombèrent à terre. A l’aide d’un autre spécimen, Alekandr entra dans l’abyme du diable. Le spécimen en question possédait un don pour le moindre spéciale , celui de l’invisibilité. Ainsi il put dissimuler le groupe de spécimen que le mafieux avait prit à ses côtés. De là , sous sa plus grande stupéfaction , Aleksandr vu quelques un de ses amis dans le centre : Alex Taylor ainsi qu’Alison Stewart. Il se devait de les libéré , cela en était un devoir. Néanmoins , cela viendra après il ne pouvait rien faire pour l’instant. Approchant encore de son but , le mafieux décida se séparé , c’est ainsi qu’un groupe fut visible , ce groupe avait pour ordre de suivre ses amis et ainsi de les aidé à s’échappé quant à Aleksandr et les autres ils continuèrent leurs routes. Chemin séparé , il pouvait tout de même avoir une connexion avec l’autre groupe, ainsi il n’eut aucun problème à les abandonné de toute façon il l’avait déjà prévu. Touchant sa vengeance , il ne restait qu’une porte à ouvrir pour se retrouvé nez à nez avec celui dont il avait temps désiré voir, celui qui lui avait volé toute humanité.
Citation :
« C’est ici que notre chemin se sépare, vous allez délivrez toutes personnes ayant une once d’humanité , tuez les autres. Mike viens par là … »
« Oui ? »
« Une fois chose faite , tue les tous , je ne veux aucune preuve de ma survie, personne de dois savoir que je suis vivant me suis-je bien fais comprendre ?»
« Bien évidemment monsieur. »
« Bonne chance. »
« Que Dieu vous bénisse. »
« S’il fusse qu’il existe … Attention à toi Mike, oué attention à toi ...»
Sur ces quelques mots , les deux hommes partir vers le destinées , ouvrant la porte qui se situait face à lui , il entra. Refermant la porte avec grand soin , il fut surpris de voir qu’il était attendu. Les mains jointes en arrière , le dos tourné , Vladimir était bel et bien là.
Citation :
« Je me suis demandé quand est-ce que tu arriverait spécimen 543D103 »
« Comment est-ce … »
« Mike . Quelques menacent et le tour et joué . Je dois dire que je ne m’attendais pas à cela venant de toi , je te croyais comment dire plus intelligent , solitaire. Pourquoi lui ? Ne me cache rien , je sais que les autres sont ici , je sais cependant que tu comptais à ce que Mike les tue ,mais je ne comprends pas pourquoi lui , pourquoi lui laisse tu la vie sauve. »
« Il faut de tout pour faire un monde non ? »
« Toi et ton humour, j’avais oublié la finesse de tes phrases. »
« Je vais te tué. »
« Faudrait-il déjà que tu me trouve. »
En pleine incompréhension , Aleksandr tourna la tête , il était encerclé par le reflet même de Vladimir.
Citation :
« Comment ? »
« Tu crois êtres le seul à être dotés de dons surprenant ? Tu n’es pas comme les autres 543D103 ni ton ami d’ailleurs , et je compte bien que tu comprennes que je ne fais pas référence à Mike… »
« Damon, si tu touche à un seul de … »
« Calme toi , j’ai d’autres desseins pour vous »
« Pourrais-je savoir lesquelles ? »
« Toi et lui avez un lien unique , tout comme tu l’as avec ta sœur. Au départ , nous avons considéré votre section comme un échec jusqu’à découvrir ce que certains d’entre vous êtes capables de faire , de produire , et je dois dire que tu es l’un de mes préférés , un de mes élus Aleksandr. »
« Je ne comprends toujours pas , où veux tu en venir ? Quels élus ? Puis pourquoi Alison ? Il n’était pas des n’autres. »
« Il faut bien accroissez de temps à autres. Maintenant si tu le veux bien , je dois me retiré. »
« Jamais ! »
D’un geste , le jeune mafieux bondit sur sa proie comme pour la dévoré et ainsi lui arraché la vie et sans même un mouvement Aleksandr fut propulser à travers le mur. Le choc fut tellement violent qu’il ne put se relever, ses paupières se fermèrent. L’obscurité prit place.
Sujet: Re: Code Gead 79048 { Ouvert à tous Mar 23 Mar - 0:18
Mieux vaut régner en enfer que de servir au ciel. Mieux vaut servir au ciel que de régner en Enfer mais lorsque le bien est mal et que la barrière est franchie qu'est-ce-donc ? »
Psaumes 34 b { La sainte bible.
Je bénirais l'Éternel en tout temps , sa louange sera continuellement dans ma bouche. Mon âme glorifiera en l'Éternel ; les débonnaires l'entendront , et se réjouiront. * J'ai cherché l'Éternel ; et il m'a répondu , et m'a délivré de toutes mes frayeurs. Ils ont regardé vers lui et il ont été illuminés , et leurs faces n'ont pas été confuses. Cet Affligé à crié ; et l'Éternel l'a entendu , et l'a sauvé de toutes ses détresses. * L'ange de l'Éternel campe autour de ceux qui le craignent , et les délivre. Venez fils , écoutez-moi : je vous enseignerai la crainte de l'Éternel. Garde ta langue du mal , et tes lèvres de proférer de la tromperie ; Retire toi du mal , et fais le bien , cherche la paix , et poursuis là.
L'extinction de la race humaine approche , de nouveau être feront leurs apparition plus puissant , plus fort , plus rigoureux. Ces êtres constitueront le monde. Un idéal utopique. Tous à la tête d'une même et seule personne : Vladimir Shelev , célèbre mafieux Russe, chercheur hors paire , personne se voulant être Dieu. Il n'y aura plus de chaos , plus de guerre , plus de déchéance , violence. La paix sera alors à l'honneur et le mal se terrera du fond de ses ténèbres il ne pourra survenir par le futur. Il faut retrancher la terre ainsi que leur mémoire. Il faut tué la race humaine pour qu'une seule ne puisse exister celle des spécimens , des personnes dépassant toutes vos espérances , des personnes dotés de dons, des personnes qui feront la différences. Il n'y aura rien de comparable avec les humains , il n'y aura rien de comparable avec eux. Ils sont la lumière qui vous illumine chaque jour , il seront vos ténèbres d'ici quelques jours. L'Éternel est près de ceux qui ont l'esprit abattu , l'Éternel sauve ces êtres là. Le mal fera mourir la part de méchanceté qu'il y a un chaque être humain, et ceux qui haïssent le juste en porteront la peine. Vladimir Shelev , conservez ce nom du fond de votre mémoire , car bientôt il sera à la tête du monde préservant sa race, la race qu'il à lui même créer. Il réparera les dégâts commis par les humains par le même moyen que les humains l'ont imposé. Il réparera les os brisés , les cœurs fendus, il sera là pour vous mais vous ne serez jamais là pour lui. Vous , serviteurs de Dieu , serviteurs de Vladimir , il vous rachètera votre âme à une seule et même condition qui est celle-ci : Vous ne serez tenu coupable de ce chaos s'il puisse que vous vous rachetiez. Méditez longuement sur cette simple phrase et alors peut-être le seigneur vous illuminera, alors peut-être comprendrez vous la véritable raison de ce carnage.
« Espèce de malade ! Libère moi ! »
« Éternel, conteste contre ceux qui contestent contre moi ; fais la guerre à ceux qui me font la guerre. Saisis l'écu et le bouclier , et lève toi à mon secours. Tire la lance, et barre le chemin au-devant de ceux qui me poursuivent ! Dis à mon âme : Je suis ton salut !.Que l'ange le chasse comme tout être misérable semblable à cet homme. Qu'il soit châtié, purifie le de ta douce lumière, qu'elle illumine ses yeux à le rendre aveugle , qu'elle illumine son être à le tué. . »
« Qu'est-ce que vous faîtes , lâchez moi ! »
« Juge le selon ta justice, ma justice. Fais donc preuve de bonté, ton jugement sera grand abime, cet homme se réfugie sous l'obscurité de tes ailes , il ne demande pas la lumière c'est pourquoi je te l'amène ici en cet humble demeure, c'est pourquoi je l'exécuterais pour toi. Entends mes prières mon seigneur , entends-les. Amen. »
« Enculé ,je vais te faire ravalé tes paroles de merde connard détache moi ! Putain c'est quoi sa ! A l'aide !!!! »
« Désormais dort mon enfant ,le mal est passé , désormais dort et éveille toi parmi les anges qui nous entoure, unis ta force à la notre. Le mal est passé. »
S'hydratant du sang de sa victime, l'homme murmura quelques défuntes paroles. Un rituel plus précisément, celui de l'ultime sacrifice, un rituel qui s'avérait sacré cependant , un événement vînt à perturbé ses plans. En faisant la requête d'enlever une certaine jeune femme , Vladimir avait attiré quelque uns de ses spécimens qui s'étaient échappé quelques années auparavant. Des spécimens qu'il recherchait depuis lors. « Monsieur , ils sont arrivés. »
« Très bien , maintenant partez je dois me préparé. »
« Mais monsieur , votre fils … Thomas il »
« Ne soyez pas ridicule mon vieil ami , si notre seigneur avait voulut que j'eus un enfant , ce ne serait certainement pas lui, maintenant partez , vous m'épuisez. »
Une fois qu'il se fût préparé , le mafieux voulut tout de même apercevoir son « fils » , descendant pour atterrir jusqu'au sous seul, là derrière une baie vitrée , il le vit. Murmurant quelque paroles à peine auditive , il demanda à entré dans la salle. Certaines personnes le lui déconseillèrent fortement, cependant Vladimir n'était pas le genre de personne à qui ont donnait des ordres ou plutôt conseil. Il attendit alors un instant , puis par la suite décida de le voir plus tard lorsqu'il aurait omit son évasion. Une fois l'opération terminé , le jeune spécimen se retrouva dans une salle , une salle vide dont les quartes murs étaient peint en blanc signe de pureté , d'innocence , la couleur du seigneur. Entrant dans la salle , le jeune homme fut tout d'abord apeuré , s'agenouillant de sorte à lui faire face, le mafieux commença son fameux discoure , un discoure que le jeune Thomas avait entendu tout le long de son apprentissage , apprentissage qui s'avérait assez long.
« Éternel , sauve cet être , délivre le du mal , incline donc ton oreille vers lui et murmure lui quelques douces paroles , chasse ses démons intérieurs , fais le échapper de la main de l'oppresseur , du malin. Son âme dans l'abandon à besoin de suivre le bon chemin , purifie le à nouveau fais de sa vie , ma vie , fais de son être, mon être. Prête l'oreille à mes paroles seigneur , et fais de mes paroles ta méditation. Sois attentif à la voix de ma supplication.
Alors comment 63226, comment te sens-tu ? Tu as eu une longue nuit , notre Seigneur as sauvé ton âme des ténèbres, malheureusement tu t'étais égaré vers le Malin , il a sut de séduire , tu n'as pas sût le refusé. Maintenant tout ira bien petit , tout ira bien. Exhausse mes requêtes et ton âme sera alors purifié. »
Dans un murmure de conviction , l'homme partit laissant seul sa brebis égaré, le regard hautain il devait alors se préparé à une deuxième visite. Visite qui ne sut venir quelques heures après. Il se situa là , dans une salle , une salle nue. Postez devant une vitre, les mains jointes au derrière de son dos. Lorsque la porte se ferma, Vladimir leva les yeux au ciel , pencha délicatement la tête en signe de remerciement avant de taquiner son « invité ». Chose faîte , il lui révéla tous ce dont Aleksandr devait savoir , ou voulait savoir.
Parla suite , le jeune spécimen tenta un acte tout à fait prévisible en bondissant sur lui , chose qu'il n'aurait jamais dût faire avec Vladimir , heureusement pour lui , il était son élut. Bien que le jeune spécimen bondissa sur lui tel un animal sauvage , celui-ci le propulsa à travers un mur et le Seigneur vaincu une fois de plus. La lumière est la clé , la lumière est le Seigneur et le Seigneur ne peut perdre un combat.
Sortant de la salle , il fut appelle à ses gardes. Il ordonna aussi tôt la fermeture de toute l'enceinte du centre ayant prévoyez la fuite qui se préparait. Ils se mirent donc en troupe à la recherche de ses spécimens voulant évadés leurs compères. Vladimir lui à l'aide d'un de ses alliés prit sous son aile le jeune Aleksandr et l'emmena hors de l'enceinte dans un endroit dont aucune personne ne connaissait l'existence, une fois que son « ami » l 'eut aidé , Vladimir prit une mûre décision , il fallait se débarrasser de lui , à une seconde de la fin , son gagdet électronique sonna , lorsque le mafieux prit connaissance de quoi il s'agissait il décida de le maintenir en vie , du moins jusqu'à capturé un deuxième spécimen , le fameux « Damon Tallis. »
Revenant donc au centre, il vu alors que le Seigneur l'avait abandonner , abandonner lors de cette bataille puisqu'on l'informa que les spécimens vagabondaient dans le centre. Voulant mettre fin à tous ce chahut , le mafieux s'énerva, ce qui ne fut pas bon signe, pas bon signe du tout , demandant pardon à l'Eternel il usa le don qu'il posséda à une fin strictement personnel ou plutôt un sentiment assez désagréable qui n'est autre que la colère.
Une lumière scintillante prit place dans l'enceinte aveuglant ainsi toute les personnes s'y trouvant, marchant à reculons il chercha tant bien que mal le jeune homme mais à ce moment précis , des spécimens le virent dont son jeune enfant « Thomas Hendersen. » C'est d'un sourire malsain que Vladimir disparut dans la lumière laissant ainsi les ténèbres s' emparés de son centre, le chaos régnait, mais au nom grand jamais le mal vaincra , car la voix du seigneur est là à les bercer, son regard orienté sur ses minables créatures , Vladimir laisserait donc l'Éternel décider du sort du centre ainsi de ce qui s'en trouvait à l'intérieur...
Damon M. Tallis Damon M. «
Dust in the wind.
Sujet: Re: Code Gead 79048 { Ouvert à tous Ven 26 Mar - 14:13
Je pouvais entendre mes tempes battre à la chamade, je pouvais clairement sentir une pression démesurée qui agissait dans ma boîte crânienne. J’étais allongé, sur du carrelage. Ma peau était en contact avec cette froideur que le carrelage a pour caractéristique. Je me sentais rempli d’hématome, j’avais le goût de sang dans la bouche. Des picotements agressifs ne cessaient de s’exercer sur une partie de mon bras, c’était comme si ma peau était brûlante à cet endroit précis. J’ouvrais difficilement les yeux, la blancheur de la pièce où je me trouvais m’éblouissait bien trop fort et ma migraine augmentait à cause de cette saleté de lumière. Je respirais faiblement et à chaque inspiration, j’avais la sensation qu’on m’arrachait les côtes. Aucun son ne venait perturber le silence de cette salle blanche… J’essayais vainement de me rappeler où j’étais, pourquoi je ressentais cette douleur infernal mais rien ne me revint. C’était comme si on m’avait enlevé ma mémoire, j’étais comme un aveugle égaré dans une immense ville. Je me redressais difficilement, après quelques minutes j’arrivais finalement à m’adosser contre le mur. Je commençais à reprendre conscience. Est-ce que je m’étais drogué ? J’avais doublé la dose ou quoi ? Je ne comprenais rien. Mes paupières étaient quasiment ouvertes à présent et même si mon mal de tête me rendait dingue, je devais voir où j’étais et si j’étais seul. Ma première intention avait été de regarder au sol… Syd était allongé, Hyde aussi. Qu’est-ce que c’était ce cirque ? Ils avaient l’air dans le même état que moi, on s’était battu ? Et où était Auréa ? Je regardais ensuite en face de moi et je vis cette vitre miroir. Je reconnaissais ce sol glacé, ces murs vierges sans fenêtre. Je me rappelais maintenant. On était à Aprilia.
La colère me remettait debout directement. C’était pas possible bordel, je voulais qu’on me dise que j’étais en train de rêver, que ce n’était pas possible, que j’allais me réveiller mais non rien. Je me dirigeais vers Syd directement et essayais de le réveiller. Il fallait qu’on sorte, j’allais pas supporter ça encore une deuxième fois. Je le bousculais légèrement et je l’entendais grommelait des choses incompréhensibles. Je lui laissais quelques minutes pour récupérer et fit de même avec Hyde. En attendant, je cherchais un moyen de sortir d’ici. Il n’y avait aucune sortie, mise à part la porte qui n’était ouvrable que de l’extérieur… Bien sûr, j’aurais dû m’en douter. J’examinais ensuite la porte pour essayer de comprendre leur système mais je ne voyais définitivement rien. Dans mes souvenirs, il y avait différentes cellules à Aprilia. Ceux de séjour, ceux des redressements et ceux d'isolations. Je pense qu’on était dans une cellule d’isolation, ce qui signifiait donc que nos pouvoirs étaient clairement diminuer. Vu dans l’était dans lequel on nous avait mis, la force ne nous aiderait pas non plus, on était donc pris au piège, forcés à attendre que la porte s’ouvre. J’en avais assez de ce cirque et je commençais à hurler des vulgarités pour qu’on m’ouvre cette putain de porte mais je n’eus aucune réponse. J’essayais ensuite de briser le miroir mais ça aussi, ça n’avait servi à rien. Hyde me disait de me calmer, qu’il suffisait d’attendre, je lui hurlais dessus car je n’avais aucune envie de crever dans ce centre de merde. C’est Syd qui me calmait, il s’était levé et m’avait mis contre le mur.
- Ecoute, si tu te calmes pas je peux t’assurer que c’est moi qui va te calmer mon vieux.
On se regardait droit dans les yeux durant quelques minutes, j’étais en colère, je ne comprenais absolument rien, tout ce que je savais c’était qu’on était de retour à Aprilia, je ne connaissais pas la raison, tout ce que je voulais c’était me barrer d’ici car on était mals, on était même très mals. Syd et moi sommes des évadés, Hyde nous avait appris que Vladimir avait créer une nouvelle race, entièrement soumise à Aprilia et que cette race avait été créer principalement pour nous retrouver et nous exterminer. Je ne savais pas si il avait conscience à quel point on était dans la merde mais ma colère ne nous donnerait pas de réponse. Je me libérais de l’emprise de Syd et m’asseyait dans un des coins de la pièce. J’essayais de me rappeler d’un détail, de quelque chose qui pourrait m’en dire plus sur la raison de notre présence ici. Mais je ne me souvenais de rien, ça me frustrait… Les brûlures que je ressentais sur une partie de mon bras m’intriguaient. Je vérifiais que je n’avais rien et à mon grand étonnement, c’était un tatouage qui été en train de cicatriser. Des compresses cachaient le tatouage, j’observais les bras d’Hyde et de Syd. Ils avaient la même chose que moi. Pourquoi on nous avait tatoués ? J’étais perplexe, complètement. J’avais l’impression de tomber sur la planète Mars. Les questions qu’on devait se poser étaient : Pourquoi on était ici et qui nous y avait emmenés. Malheureusement, c’était des questions sans réponses. Je ne savais pas si les pouvoirs de Syd étaient fortement diminués mais je savais que je ne pouvais pas exercer les miens ici, j’avais essayé mais j’étais beaucoup trop fatigué pour me concentrer d’avantage. Je regardais les garçons et ils semblaient aussi perdus que moi.
- On a des nouveaux tatouages…
Ils regardèrent ensuite l’endroit où avait été fait le tatouage mais aucun d’eux ne me répondait. Je supposais qu’ils ne comprenaient rien non plus, tout ce que l’on pouvait faire c’était attendre, attendre quelque chose de positif ou de négatif. Je refusais de croire que tout allait recommencer, qu’on allait encore subir toutes ces conneries, je n’avais jamais rien demandé. Je me demandais pourquoi on me lâchait pas deux minutes, juste le temps que j’apprenne ce qu’est la vie, le temps que je comprenne pourquoi on chercher tellement à me déstabiliser pour des choses qui ne me regardent même pas. Je tournais comme un lion en cage, je n’arrêtais pas de me lever, de m’allonger, de m’adosser, de m’asseoir à longueur de temps, j’étais nerveux. Je voulais qu’ils viennent, qu’ils me butent si ça les amuse tant mais qu’ils me foutent la paix définitivement. Je ne parlais pas aux autres et même si ils parleraient, je ne savais pas si je saurais répondre. Perdre le contrôle était tout ce que je faisais là, en ce moment, alors pourquoi je m’arrêterais. J’essayais de me calmer en pensant à Auréa, je me demandais si elle était saine et sauve, si elle n’était pas en danger, j’essayais de me rassurer en me convaincant moi-même qu’elle était en sécurité. Si jamais ils l’ont touché, je me jurais de leur faire payer de la pire des façons. Je les tuerais, c’était certain. Plusieurs heures s’étaient écoulées, le silence était encore devenu Roi et tant mieux, j’étais pas vraiment d’humeur à taper la discussion. Je me remettais assis dans le coin dans lequel j’avais été, j’avais un bracelet autour de mon poignet. Il y avait une étiquette à l’intérieur où il y était inscrit : DM134X5. Mon numéro. Ma saloperie de numéro. Je savais très bien quel était ce bracelet, c’était ce qui nous permettait de nous identifier, de passer d’un endroit à un autre dans le centre. C’était la carte d’identité des spécimens, leurs numéros. Je soupirais en me rappelant les habitudes que j’avais pris ici et je me disais que c’était pas possible, il fallait que je sorte.
Je pensais à toutes sortes de méthodes, des techniques qu’on m’avait appris ici et pour moi c’était clair, je sortirais quitte à me battre physiquement pour ça. Hyde ne semblait pas si soucieux que ça mais c’était normal la façon dont il agissait, je savais qu’il n’avait pas peur et je l’enviais d’être aussi neutre, d’avoir tellement le contrôle de soi. Je trouvais ça utile et j’aurais voulu être lui ne fusse que quelques heures. Je ne savais même pas quelle date il était, ni l’heure. On était tous seuls dans cette pièce, aucun autre spécimen. Je ne voulais pas être captif à nouveau… Je ne voulais pas du tout et ça me foutait en l’air d’être ici à attendre le déluge mais je n’avais pas le choix. Le temps passait à une lenteur tuante. Je continuais à fixer mon propre reflet dans le miroir, je n’attendais plus rien et je ne croyais pas au miracle. La porte s’ouvrait mais je ne bougeais pas. Je restais toujours dans cet état étrange de vide total. Je savais qu’ils allaient nous démonter de toute manière. On était recherchés, on était des cibles à abattre et je redoutais les nouveaux spécimens. Je redoutais ce que je ne connaissais pas car Vladimir était fou et sa folie poussait les autres à devenir fous. Il brisait des vies, je me demandais seulement pourquoi nous ? Pourquoi Syd ? Pourquoi Hyde… ? Qu’est-ce qu’on avait de si étranges… Je ne disais toujours rien, je ne regardais même pas la personne qui entrait. Tout ce que j’avais perçu ce que ses cheveux étaient blond platine et qu’elle était suivi de plusieurs autres personnes, ensuite je concentrais de nouveau mon attention sur mon reflet que je n’arrivais même pas à distinguer avec le rien qui était à côté de moi. Je voulais faire abstraction de mes blessures corporelles, je devais m’être lassé de sentir chaque hématome, chaque violence qu’on m’avait infligé. J’essayais de me dire qu’elles n’existaient pas et bizarrement, j’y arrivais.
Sujet: Re: Code Gead 79048 { Ouvert à tous Lun 29 Mar - 13:21
Je sentais que l’on me bousculait, je reconnaissais la voix de Damon. Je n’avais pas de mal à me réveiller mais je restais allongé dans cette pièce vide et entièrement neutre. Je connaissais cet endroit, j’y avais déjà été lorsque j’étais encore au centre. J’étais absolument sûr que nous étions à Aprilia, je ne savais juste pas pourquoi. Syd était à terre et commençait à se réveiller lui aussi. Il était dans un mauvais état et Damon n’était pas très bien arrangé aussi. On aurait dit qu’ils s’étaient battus. J’étais dans l’incompréhension mais en réalité, ça m’importait peu. Je restais couché et tournais la tête pour voir un immense miroir, je ressentais une certaine douleur de part et d’autre sur mon corps mais je n’avais aucune contusion, aucune blessure. Je supposais que mes pouvoirs avaient dû réparer tous les dégâts que les gardes avaient causés. Je me redressais mais restais tout de même assis au sol. C’était étrange, je ne me rappelais de rien. Être au centre ne me dérangeait pas plus que ça, je n’en avais rien à faire, d’être ici ou ailleurs. Ils ne m’effrayaient pas. Ils ne me commandaient pas. Ils ne me faisaient rien. Ils n’existaient même pas. J’observais Damon se mettre en colère. Il semblait fasciné par la porte, on aurait dit qu’il essayait de la comprendre. Il pourrait toujours essayé, il n’arriverait à rien. C’était une cellule d’isolation. Nos pouvoirs étaient presque inexistants ici et ils s’étaient arrangés pour qu’on soit faibles. Après avoir regardé minutieusement la porte, il s’était mis à hurler toutes sortes d’insultes, à frapper dans les murs, à s’énerver comme un fou.
Il essayait ensuite de détruire le miroir mais rien ne bougeait. Tout était d’une sérénité énervante pour lui, il était stupide. Impulsif. Il fallait qu’il se calme. Je me levais à mon tour pour essayer de le raisonner, de lui dire qu’il suffisait d’attendre, qu’on ne pouvait rien faire ici mais il continuait à hurler, à me dire qu’il ne voulait pas crever ici. Je pouvais comprendre sa colère alors je le laissais cracher son venin. Je le laissais hurler car je savais que ça lui faisait du bien quelque part mais Syd ne semblait pas réellement du même avis. Il s’était levé pour le mettre contre le mur. Etrangement, la violence de Syd calmait une nouvelle fois Damon. Nous avions une façon différente de le calmer, Syd avait la provocation et la brutalité, j’avais le vidage et la raison. Les deux étaient efficaces mais celle de Syd était clairement plus rapide. Après la légère altercation, Damon se repliait sur lui-même dans un coin de la pièce. Je savais qu’il haïssait ça, le fait d’être en captivité comme un animal. Ca le rendait mal à l’aise, stressé et oppressé. Je n’avais jamais su comment Syd voyait ça mais moi, je me sentais un peu comme à la maison. Le silence ne m’effrayait pas. L’isolation non plus. Être coupé du monde n’était pas forcément négatif. Je savais que je n’étais pas fait pour les relations humaines. Je n’étais pas fait pour les relations tout court. Une partie de mon bras était anormalement chaude, c’est là que Damon nous fit une remarque.
- On a des nouveaux tatouages…
Je regardais automatiquement mon bras et c’était vrai, il semblait être en train de cicatriser. C’était amusant, pour la première fois je n’avais pas de réponse à ce qu’il se passait. Je n’avais aucun souvenir de ce qu’il s’était passé la veille, d’ailleurs je ne savais pas depuis combien de temps nous étions ici. J’observais Syd, il semblait se poser des questions aussi et je remarquais qu’on avait tous récupérer nos bracelets. Une question tournait dans ma tête, pourquoi ils ne nous avaient pas tués tout de suite ? Pourquoi l’isolation ? C’était plutôt bon signe si nous étions en isolation, cela voulait dire qu’ils ne voulaient pas directement notre peau. Pourtant Damon et Syd étaient recherchés. Ils étaient des cibles pour les nouveaux spécimens. Et moi, j’étais dans cette pièce aussi, je n’étais pas évadé ou recherché. Aprilia m’avait donné la permission de sortir et de ne jamais revenir. Il devait y avoir une raison. Les tatouages confirmaient mes idées. On devait être liés, d’une façon ou d’une autre mais je décidais d’attendre. J’étais persuadé qu’on sortirait. Donc à quoi bon courir dans tous les sens alors que la patience pourrait nous donner les réponses attendues ? Les heures s’étaient fanées lentement et Damon avait beaucoup bougé pour sûrement tenter de se calmer et pourtant au bout d’un moment, il s’était mis à part. Il était resté immobile.
Syd bougeait aussi mais je pense que c’était seulement pour essayer de faire passer l’ennui, moi je m’étais adossé contre le mur et je surveillais Damon. Je n’aimais pas le voir comme ça, il fallait qu’on trouve le moyen pour qu’il arrête de se torturer l’esprit comme ça. Je ne le reconnaissais plus ces derniers temps, il semblait prêt à lâcher et pourtant lorsqu’Auréa n’était pas loin, il semblait vraiment bien. Elle agissait comme une magicienne sur lui, c’était surprenant. Je soupirais discrètement en regardant le plafond immaculé quand la porte s’ouvrait d’un coup assez brutal. Une jeune fille blonde entrait dans la pièce et je voyais la silhouette d’Auréa la suivre. J’étais assez surpris, je m’attendais plutôt à des spécialistes. Aleesha et Hayden étaient là eux aussi. Ils étaient venus nous chercher, c’était l’essentiel. Je me demandais qui était cette fille blonde, au maquillage assez provoquant. Elle était un peu intrigante. Damon ne bougeait toujours pas, il continuait à fixer le miroir avec un air de mort vivant, il ne devait pas se rendre compte qu’Auréa était là. Je me dirigeais vers lui et Auréa me suivait, je le bousculais un peu pour qu’il se rende compte qu’elle était là, qu’ils étaient là et qu’ils allaient sans doute nous sortir de là. Il me regardait et Auréa prenait son visage entre ses mains ensuite. C’est ce qui lui fit reprendre conscience, il se levait brusquement et la serrait assez fort contre lui, il ne se gênait plus à cause d’Aleesha apparemment. Il devait lui avoir avoué, j’en été content pour Auréa, pour eux. Ils ne méritaient pas de cacher ce qu’ils ressentaient l'un pour l'autre. Je les laissais se retrouver pour me diriger vers Syd qui demandait des explications à Aleesha et à Hayden. J’écoutais la conversation assez attentivement.
- On a su où vous étiez grâce à Hayden mais vous feriez mieux de parler de ces choses-là une fois que vous seriez de retour à New-York. Et surtout ne dites rien à Damon pour le moment, ça risquerait de tourner assez mal. On vous expliquera tout plus tard. Il y a un deuxième problème, assez conséquent en soit car d’autres spécimens, on était attrapés. Et surtout une humaine, je pense que c’est la raison de la présence de ces spécimens ici, il faut qu’on les fasse sortir, je pense. Enfin, je ne pense pas que Damon voudrait les laisser au centre en tout cas. Auréa est passée chez Thomas pour savoir s’il était déjà parti en Russie et elle a trouvé une lettre qui expliquait que son amie, Alison Steward, s’était sûrement fait enlever par Aprilia. Il a ajouté que si jamais on le cherchait, il serait là-bas avec un certain Ethan Taylor, ne sachant pas s’ils s’en sortiraient. On a réussi à entrer ici grâce à Hell qui est la jeune fille qui nous accompagne.
Après le discours d’Aleesha, j’en conclu qu’Hayden devait être une des raisons pour laquelle on s’était retrouvés ici et j’étais d’accord sur le fait qu’on devait en parler plus tard, quand les choses se seront calmées. Pour le moment, on devait aller libérer des gens que je ne connaissais même pas. Honnêtement, j’aurais préféré partir directement mais Damon s’était immiscé au fil de la conversation et avait catégoriquement refusé de partir sans eux. Il avait convaincu Syd de l’aider à les faire sortir avec nous, Auréa ne partirai pas sans Damon donc elle était du même avis que lui. On était donc à la recherche de ses personnes emprisonnées. Hell était la raison de notre possibilité d’évasion, c’était assez bien de sa part, d’aller libérer des gens qu’elle ne connaissait même pas. Je ne pense pas que je l’aurais fait. Syd était en train de mettre au point des plans avec Aleesha, Damon, Auréa et Hell. Hayden semblait soucieux… Il avait l’air pensif, j’avais l’impression étrange qu’il se sentait coupable de ce qu’il se passait à présent. Il était étrange, je n’avais pas confiance en lui, pas du tout. Son comportement provocateur devait dissimuler autre chose… De grave vu l’expression de son visage. Syd se rapprochait de nous, il semblait être sûr de ce qu’il s’apprêterait à faire. On sortait tous à l’extérieur de la cellule en attendant quoi faire. Aleesha disait qu’il ne fallait pas traîner. On était sortis de façon étrange. Auréa et Aleesha étaient devant les spécimens ; Moi-même, Damon, Syd et apparemment Hell. Hayden était aux côtés des filles, ça ressemblait à un transfert de cellule. On passait assez inaperçu dans le centre de cette façon, c'était une bonne chose. On devait sûrement se diriger vers l’endroit où étaient les autres pour les libérer à présent.
Sydney Ian Moon
◘Spiritual Birth
Moi =D ▬ Relations: ▬ Armes & Pouvoirs: Maîtrisse les souvenirs.Controle les volontés. Maîtrisse le temps grâce aux images.
Sujet: Re: Code Gead 79048 { Ouvert à tous Ven 2 Avr - 18:42
Le point zéro pour moi c'est le retour à la naissance , des racines ancrées dans le sol poudreux qui s'effondre sous nos pas créant des abîmes de feu. Mon coeur se soudait lentement au silence pesant de cette pièce. L'atmosphère pouvait se comparer à la dramaturgie de l'aube bouleversant la symphonie du temps. Un pressentiment aux nuances obsédante demeurai dans l'ombre de mes pensées. La pièce aux allures de pureté venait s'impose a moi. Mon corps était en mauvais état, mes lèvres laissaient sortir mon liquide visqueux qui circuler normalement dans mon organisme . Damon, Hyde étaient la avec moi s'étendent comme des soldats aux sols. Damon et moi avions l'air mal en point tabasser comme des animaux. Hyde était physiquement en bon état, c'était sûrement ses pouvoirs qui l'avaient protéger. On ressemble a des condamnés marchant vers leur mort, attendant les dernières absolutions. Damon m'empêchait de me concentrer, il tournait comme un lion en cage, qui ne pensait qu'a une seul chose s'échapper pour attaquer. Un vrai chien de garde bien dresser en ferai tout autant. Il hurlait contre ces portes close qui n'allait définitivement pas s'ouvrir au sons de sa voix. Pourquoi on était de retour dans ce centre de malheur? J'avais la tête endolorie , tout mes nerfs étaient atteint. Les violents maux de tête venaient s'étendre dans tout mon crâne. Hyde essayait de calmer Damon avec un calme qui l'honorer, mais connaissent Damon ce n'était définitivement pas comme cela qui fallait s'y prendre. Il continuait a s'agiter, je me levais d'un pas nerveux pour le planter contre le mur. Je le fixais en l'attaquant du regard.
- Écoute, si tu te calmes pas je peux t’assurer que c’est moi qui va te calmer mon vieux.
Il comprit directement le message et il alla se calmer dans le coin de la pièce. J'avais cet impression de le punir, même s'il était plus agé que moi je me permettait de le remettre aisément à sa place. Je me remettais en mémoire les paroles de Confusius se regarder scrupuleusement soi-même, ne regarder que discrètement les autres. C'était totalement vrai je ne pouvais pas me permettre de juger Damon et d'ailleurs je n'allais pas m'amuser a le faire. Heureusement que ses paroles étaient toujours dans le coin de mon cortex cérébrale. Je laissai passer quelques seconds pour réfléchir a ce qui c'était passer. Mes pouvoir étaient affaiblie dans cet salle de malheur. J'avais définitivement mieu a faire qu'a rester ici a compter les seconds qui s'écouler. J'étais devenu le fils du temps, et je savais bien que chaque seconds pouvaient être précieuses. Je me refusai a rester cloîtré la sans rien dire. Je me consentrai non pas sur le fait de comment étions-nous arriver la, mais plutôt comment en sortir. Je sentais mes pouvoirs dans mon sang, il était toujours la. Affaibli mais omni présent. Plusieurs façon fusait dans mon esprit, la première étant de profiter que les pouvoir d'Hyde n'était pas trop affaiblie pour crée une métamorphe de carte électronique, la seconds si la première était un échec c'était de tout faire pour énerver Damon pour que ses pouvoirs d'électricité se révéler et qu'il face court-circuiter l'ensemble du centre. J'avais déjà trouver l'argument au coin de ma tête, l'argument qui pouvait le mettre dans une colère noir c'était sans doute qu'on touche a sa famille, ou a Auréa. Le mixte parfait étant Hayden et Auréa. Ca aurai était parfaitement désinvolte de faire cela, mais a cette instant de crise il fallait bien se creuser le cerveau pour trouver une solution un temps soit peu réalisable. Ma troisième solution était d'attendre qu'un garde ouvre, et le forcer grace a mon pouvoir qui était vraiment diminuer a le forcer a nous donner au moins sa carte, on l'aurai affublé de coup et tout ce serait certainement bien passer. J'avais une dose d'inquiétude sur Auréa, elle était passer ou? Je savais que le centre allait la laisser en dehors de tout ça. Et qu'elle viendrait nous sauver de ces ennuies j'avais confiance. - On a des nouveaux tatouages...
J'étais abasourdie par ce qu'il venait de dire, je ne ressentais vraiment rien a mon bras, c'était ma tête qui était trop occupé a souffrir le martyr. J'étais troublé quand je regardai mon bras, je n'osais pas encore examiné les traces qu'on pouvait m'avoir fait au bras. Ils ne se dérangeaient vraiment pas pour nous tatoué comme de la viande fraîche allant à laboratoire. J'essayais d'avoir une réminiscence de ce qui c'était réellement passer, mais tout était assez flou. On avait du s'introduire dans mon cerveau. Mes souvenirs, je savais les contrôlées et les sélectionnées. J'explorais, fouinais le moindre souvenir que je possédai datent de la veille. Ca y est, quelques souvenir me revenait assez expressément, Damon était partie sans vraiment nous expliquer pourquoi il partait une nouvelle fois en Russie. Hyde était renfermer sur lui même comme a son habitude, j'avais tanter d'avoir une conversation avec lui sur le fait de socialisé. On avait reçus commander des pizza et j'avais le souvenir qu'une personnes était présente, je ne me rappeler pas de son prénom... son visage se dessiner brutalement en face de moi. Si j'avais eu un crayon et du papier j'aurais pu recrée son visage rien quand la visualisent., je m'évertuai a trouver des réponses, je marchais en essayant de trouver. Tout ce qui me rester en mémoire, c'était que Damon c'était casser de la maison pour partir je ne sais ou, il nous avait prévenu qu'il allait revenir rapidement. Ahhh tout ce mélanger, tout était dans le désordre. Un puzzle qu'il fallait reconstitué. Damon était absent. Hayden jubilé de son absence, c'était certain, il essayait d'avoir des conversations avec Auréa qui l'envoyer sur les roses avec sa répartie a elle. La jeune fille était blonde et elle parlait beaucoup avec Auréa... C'était la jeune fille du bal. Au bal, j'avais danser avec elle et on avait retiré nos masques, elle avait un prénom qui défier les ténèbres elle s'appelait Hell. Je l'avais emmener dans ma chambre pour lui montrer mes photographie on avait parler toute la nuit de pas mal de chose. Auréa était plutôt malade et elle était rester étrangement avec Hayden pour parler de certaine choses . Hyde avait parler avec Hell & moi et il avait protester qu'il était fatigué. J'avais ce souvenir qu'Hell et moi nous nous étions endormie a force de parler... et ensuite le néant complet. Damon ce torturé a sa manière ,Hyde s'en fout é, et je me torturai a ma manière. La porte s'ouvrait quand je voyais justement le visage de Hell se dessiner sur la façade de la porte. J'eus un sourire presque amusé. Auréa était juste dans son ombre, bien entendu elle se dirigeait directement sur Damon. Elle était pale de visage sa ne lui ressemblait pas, elle avait du s'inquiété. C'était la personne la mieux placer pour s'occuper de lui. Je vis également l'arrivé d' Aleesha et d'Hayden, je leurs demandai tout de suite ce qu'il se passait laissent Damon reprendre ses esprits.
- On a su où vous étiez grâce à Hayden mais vous feriez mieux de parler de ces choses-là une fois que vous seriez de retour à New-York. Et surtout ne dites rien à Damon pour le moment, ça risquerait de tourner assez mal. On vous expliquera tout plus tard. Il y a un deuxième problème, assez conséquent en soit car d’autres spécimens, on était attrapés. Et surtout une humaine, je pense que c’est la raison de la présence de ces spécimens ici, il faut qu’on les fasse sortir, je pense. Enfin, je ne pense pas que Damon voudrait les laisser au centre en tout cas. Auréa est passée chez Thomas pour savoir s’il était déjà parti en Russie et elle a trouvé une lettre qui expliquait que son amie, Alison Steward, s’était sûrement fait enlever par Aprilia. Il a ajouté que si jamais on le cherchait, il serait là-bas avec un certain Ethan Taylor, ne sachant pas s’ils s’en sortiraient. On a réussi à entrer ici grâce à Hell qui est la jeune fille qui nous accompagne.
Hayden était au courant des spécimens ? Il savait ou été Aprilia ? Oui plus tard c'était pas le moment , D'autres spécimen a sauvez... il fallait y aller et vite. Il ne fallait pas arriver trop tard. Hell m'avait ouvertement parler du centre et de la façon dont il avait changé ça vie... je comprenais pas comment elle avait changé d'opinion. Peut être le fait est que on nous avez enlever avait jouer. Elle passait devant moi , et elle fonçait droit dans le mur. Je comprenais pas , elle allait ce le prendre en plein visage, mais elle continuait sereinement, on voyait son corps de délié en des millions de petites particule qui s'éclater dans l'air. Quelques instant plus tard.. elle réapparaissait comme ci elle avait traversé le mur.
- Il y a 4 salles, dans une des salles j'ai vue une femme, dans les deux autres deux hommes séparés et aussi un laboratoire. Rien pour ouvrir la porte... pas de serrure pas, pas de lecteur, pas de lecteur adn. Rien. - On peu crée la serrure.
C'était Hayden qui avait enfin ouvert la bouche. Hell hôcha la tête s'approcha de la porte et elle ouvrit les yeux , et on pouvait sentir l'atmosphère se réchauffer. Un contour au niveau de la porte ce dessiner et la porte tomba du coté opposer ou nous, nous trouvions. Auréa avait donné une sorte d'échantillon a Damon et a moi même , je l'ouvrais et j'hésitais a le boire ça avait quasiment une texture rougeâtre , comme du sang mélanger avec quelques chose. Je fessais une grimace de dégoût mais elle me regardait toujours de cet manière avec un insistance. Je buvais donc ce qu'elle m'avait donner . Étrangement en quelques seconds mes blessures se refermer, mon mal de crane disparaissais au fur et a mesures . Il n'y avait personne pour surveiller c'était étrangement calme, un couloir c'était dessiné. Hell pouvait visiblement voir ce qu'il se passait a l'intérieur des cellules elle nous indiquait ou était la femme, les hommes et les laboratoires. On se séparer mais les cellules étaient fermer. Elle était électrique, a carte. Aucune des filles posséder la carte, c'est la première fois qu'elles s'aventuraient par ici. J'allais devoir énerver Damon. Je demandai discrètement a Hell de tenir Auréa eloigner. Je savais qu'il allait pas s'énerver sur moi pas ce concentré sur moi. Pas ce concentré sur Hayden car c'était son sang qui les liées. Et Auréa était protéger par Hell. Je regardais Damon avec un regard haineux, c'était malsain ce que j'allais faire mais on avait pas le choix pour que les portes exploses .
- Damon, t'es qu'un gros junkie, je veux plus que tu t'approche d'Auréa elle est mieux sans toi. En plus ton frère s'occupe vachement mieux que tu pourras jamais t'occuper d'elle. Il lui parle d'une façon que tu pourras toujours tanter d'égaler mais t'y arrivera pas. Tu te casse toute le temps, tu es encore parti tu crois qu'on le vois pas que dans la nuit tu te barre pas ? D'ailleurs tu te souviens plus hier soir mais elle était malade et c'est ton frère qui c'est occuper d'elle. Tu es rentré, elle s'était endormie dans sa chambre Damon. Le truc con c'est que c'est lui qui nous a tous drogué comme des cons, t'être qu'il l'avait rendu malade aussi, t'être qu'il ce l'est faite . Aleesha, Auréa Apparemment c'est de Famille Damon, ton coeur il s'est une passoire tu peux pas être fidèle a une seule femme, t'es incapble d'aimer une seul femme ou d'aimer tout cour. On va partir de ta maison je pense que ca sera mieux pour nous.
Au fils de mes mots je le voyais blesser totalement blessait ses pupilles s'humidifiées. Son corps se contracter, j'entendais Auréa qui commençait a essayer de parler. Je la figée pour pas qu'elle aide Damon a se calmer. De même pour Aleesha. Je pouvais pas provoquer les pouvoirs de Damon avec mon propre pouvoir de volonté. Donc je l'obliger a l'énerver. Et visiblement ca fonctionner . Ses mains électrisées un peu plus chaque seconds Les portes explosaient simultanément et je laissais vite Auréa reprendre vie. Elle le prenait dans ses bras et elle essayait de le rassuré elle avait vraiment peur ca se lisait dans son visage. Elle voulait pas qu'on utilise les pouvoirs de Damon comme ça . J'aimais pas ce que je venais de faire , mais j'avais pas le choix.
- Tout ce que je viens de dire est faux Damon ... Désoler fallait que tu t'énerves.
J'étais sur qu'il me pardonnerai avec le temps, on avait pas ce temps de se préoccupé de ça. Auréa avait posé son front sur celui de Damon et avait pris ses mains entre visage même si elle était plus petite, plus faible. Je savais qu'il n'allait rien lui faire et que ca ne changerai rien entre eux. Tout ce que j'avais dis été faux ou presque. Il se calma et il caressa le visage d'Auréa. Je les pressai c'était pas le moment . Damon avait l'air encore en colère et il prit Hayden par le bras et se dirigea vers une porte. Je me dirigeai avec Aleesha vers la première porte, Hyde, Helle et Auréa partie d'un autre coté . Aleesha et moi étions plutôt inquiet sur ce que nous allions trouver. On passa les ombres et on aperçus une jeune fille brune totalement inerte , je mettais ma tête prés de son visage pour voir si elle respirait. C'était le cas, son ventre s'élever légèrement son souffle était faible mais il était présent. Il fallait qu'on la sorte d'ici au plus vite, je la portais délicatement vers la sortie.
Auréa Eden
Sunburn ▬ She burns like the sun.
Moi =D ▬ Relations: ▬ Armes & Pouvoirs:
Sujet: Re: Code Gead 79048 { Ouvert à tous Sam 3 Avr - 0:29
Citation :
Avant ;
C'est doux plissements qui se trouver au fond de mon âme me guider a ouvrir mes paupières. Mon coeur s'irradier au rayon du soleil qui venait faire scintillé dans la pièce. La veille, je m'étais endormi dans la chambre d'Hayden, on avait parler pas mal de temps.. au final je m'étais endormi et Hayden était redescendu. Dans la nuit, Damon était revenu de son voyage et visiblement il m'avait ramener dans sa chambre, j'étais totalement déboussoler. Je me souvenais de ses yeux céruléen qui c'était fixé sur moi, ses doigts qui c'étaient mêler dans mes cheveux, je m'étais ré-endormie sous ses souffles et dans ses bras. Pourtant au petit matin, il avait disparut. Il était sûrement en dans le salon ou quelques choses comme cela, il devait être exténué par le voyage qu'il avait effectué. Je me sentais un peu mieux que les autres jours, j'avais été fiévreuse sans raison apparente. Je devais passer dans la chambre de Sydney pour me laver et pour récupérer des affaires de change. Je traversais donc le couloir pour arriver dans la chambre de Syd, j'y allais a pas de velours pour ne pas le réveiller. Tout le monde le savait dans la maison, il fallait faire attention au réveille de Syd sinon, il pouvait devenir insupportable. Sydney n'était pas dans sa chambre, mais Hell y était par contre. J'eus un pincement au coeurs, et je me posai déjà pas mal de question. Elle avait la même tenue que hier soir et visiblement elle était endormie comme une bébé. Hell était une nouvelle connaiscence, on l'avait invité hier soir a passer la soirée avec nous. Elle était vraiment sympathique et c'est la première fois que je me m'entendais si bien avec une fille. Je prenais mes affaires et la jeune fille ce réveilla, je lui demandai ou été passé Syd, elle me dit qu'elle n'en n'avais aucune idée qu'elle c'était endormie en parlant avec lui. Ca ne m'étonner pas vraiment, Sydney était le genre de garçon avec lequel on pouvait avoir des conversations longues sans s'ennuyer une seule se seconds.
Je prenais mes affaires, je me dépêchais d'aller à la douches . J'adorais prendre cet sensations de l'eau qui venait réveiller les sens des le matins. Hayden est moins avions beaucoup parler et il s'était excuser dont la façon qu'il m'avait pris en otage, mais que tout ça l'inquiéter réellement qu'il ne voulait pas que son frère et des ennuies. On avait encore faillit ce quitter de mauvaise entandeur quand il avait fait encore des allusions déplacer sur le fait est que Damon était comme son père, même s'il s'était repentie, le geste avait toujours était fait. Que Damon suivait en réalité le même chemin que son père, mais au moins son père avait changé les choses. Je m'étais braquer, je lui avait promis que tout aller s'arranger et que je ne le laisserais pas. Ses mots, je ne pouvais pas les oubliés « je suis incapable de toucher quelqu’un d’autre que toi, parce que tu me fais ressentir des choses que je pensais être mortes » Je savais pas bien ce que Damon était partie faire en Russie, mais j'avais confiance. Il n'avait pas de compte a me rendre il était libre de chacun de ses déplacements mais il m'aidait pas vraiment a comprendre ce qui le rendait si mal. Je m'habillais plus décontracté aujourd'hui, j'étais encore pas très bien. Je mettais un t shirt a Sydney ce qui donner quelques chose de trop grand pour moi, avec un slim un petit boléro et sa irais très bien certes c'était pas vraiment très attirent mais j'avais envie de rester au lit car a chaque fois que je me levais j'étais prise de vertige et de nausées . C'était certainement du aux changement de température ambiant .
Damon, Sydney, Hyde , aucun des trois n'étaient présent. Aleesha était planté dans le salon d'un regard désoler. Je savais pas ce qu'il se passait. Tout cela ressemblait a un dangereux simulacre. Je demandai a Hayden ce qui s'était passer il était sous le choc, la tête entre ses mains. Mon estomac se noué et ce doué plus le silence se fessait dans la pièce. Que ce passer t'il avec les trois personnes qui m'avaient adopter, qui était comme ma famille. Je commençais a trembler , on venait me taillader le coeur avec ce silence. « Dite moi ce qui ce passe , Hayden dit moi ce qui se passe » après plusieurs minutes, Hayden venait devant moi, il s'était approprier mon visage dans ses mains et il me regardait vraiment horrifié. Comme si je devais m'attendre au pire « Je te demande pardon Auréa, je voulais vraiment pas que ca se passe comme ça, on avait un marcher, ils l'ont pas tenu. Ca devait pas ce passer comme ça je t'assure. Je devais juste les endormir et il devait leur faire un tatouage c'est tout après ils m'ont promis de vous laissez tranquille. Ils les ont emmener je sais pas pourquoi mais ils l'ont fait, je suis désoler » je ne lui laissai même pas le temps de finir sa phrase,je déliai mon regard du sien je prenais les clé de la voiture de Sydney et je claquai la porte après moi . Il fallait que je réfléchise, que je me pose. Mon coeur n'arrêter pas de tambouriné dans ma poitrine dangereusement je voulais pas réalisé que Aprilia les avaient enlevées de nouveaux. Je me dirigeais vers l'appartement de Thomas. Il m'avait dis que si je n'allais pas bien je pouvais y aller, c'était le cas. Ca n'allait pas. Je pouvais pas craquer pas comme ça. Une fois chez Thomas, je découvris une lettre... celle ci expliquer qu'il était partie pour Aprilia également pour délivré une de ses amies. Cela fessait de nombreux jour qu'il n'avait pas donner de nouvelle il devait être en danger. J'étais prise en tenaille par tout ce qui se passer. J'étais en colère après Hayden mais il avait l'air si désoler que je n'arrivais même pas a lui en vouloir.
J'étais revenue à la maison, Hayden était toujours dans le même état. Je me présentais devant eux même si j'avais une peur immense pour ce qui se passer pour eux. « Ils sont tous ce que j'ai . J'ai pas le droit de les laisser comme ça. Vous tenez plus ou moins a un d'entre eux, alors je vous demande de m'aider. En plus Thomas et Ethan son partie et ils sont toujours pas revenue. Je crains le pire. J'ai besoin d'eux Hyde , Syd et Damon c'est ma famille, j'irais les chercher avec ou sans votre aide, mais je vous avoue qu'avec votre aide sa sera plus facile. » ... Tous les trois avaient l'air plus ou moins convaincus Aleesha était plus au moins en train de réfléchir « Comment ? Le temps qu'on prenne l'avion qu'on arrive, il sera déjà trop tard.. » J'avais eu le temps de travailler sur Kasey quand elle était encore au centre sans savoir que c'était elle. J'avais encore des échantillons a l'étage j'en été quasiment certaine. « Pour l'aller, j'ai des échantillons... C'est de Kasey , il a le pouvoir de se télé porter logiquement si on prend cet échantillons on l'aura pendant quelques heurs quelques minutes. Ca suffira pour arriver la bas, après on avisera » Hayden me regardait et me lanca : «ils sont en cellule d'isolation, il faut de quoi les soignés ... » Hell lui rétorqua aussitôt « Mon sang ca les guériraient non ? »J'avais des tats de pics qui se créaient en moi a l'idée qu'on pouvait leur faire du mal. Je savais que Syd encaisser bien les coups mais j'en savais rien pour Hyde ni pour Damon. J'avais presque envie de crier, mais c'était impossible, pas maintenant . « on y va , vite »
J'étais définitivement pas prête a laisser les larmes coulaient pendant qu'ils souffraient. J'étais pas prête a me laisser tombé. Mon âme s'animait par l'espoir et par la volonté de ne pas lâcher prise, de ne pas les laisser. On pris un peu des échantillons pensent tous a une seul chose les cellules d'isolation d'Aprilia. Hayden avait mis sa main dans la mienne, au premier contacte je l'avais directement repousser, il avait pourtant reprise et je la lui avais serrer. La réalité était que j'étais totalement affolée. Peur de ce qu'on aller voir. J'avais appris au fils des jours a ré-ouvrir mon coeur et c'était dur pour moi de faire ça. Et de ne pas savoir ce que l'on pouvait trouver a l'arrière de ces portes me rendaient nerveuse. J'essayais de cacher tout cela temps bien que mal et pourtant des blessures ce crée partout en moi. C'était la première fois de ma vie que , j'avais ce stresse qui s'installer dans mon thorax. Chaque souffle m'épuiser, je respirai pour eux . On arriver devant une porte close et on pouvait voir a travers les mirroires Damon a terre. Durant quelques seconds j'étais paralyser, Hayden me tira vers la porte, Hell l'avait ouverte. Je me précipité vers Damon qui était en mauvaise état . Il ne me voyait pas . Hyde essayer de le faire réagir mais sans raison , il semblait vidé de toutes expression. Son regard était éteint , j'agrippais sa peau contre mes phalanges et je le regardais. Je voyais peu a peu l'ambroisie de ses yeux reprendre forme. J'avais besoin de retrouvais sa peau contre la mienne, sa présence qui me combler dans une totalité avec une tel commodité . Même le voir de loin, de savoir qu'il allait bien, j'en avais besoin.Enfin, il réagissait, il se levait et il me serrait contre lui. Je sentais son coeur battre faiblement, j'avais eu si peur pour lui, que je ne voulais pas quitter ses bras. Je me blottissais contre lui et je ne voulais plus en sortir, mais il le fallait. Chacun de mes membres tremblaient, mes yeux était humides mais ce n'était pas le moment de pleuré, je ravalais ma salive brusquement. Et les larmes n'avaient pas eu le temps de couler. Je le regardais il était remplie d'hématomes. L'échantillon des pouvoirs d'Hell n'allait pas marcher ici étant donner qu'on était en salle d'isolation. Il fessait partir ma boule de stresse horrible qui me rongeait de l'intérieur. Sydney parlait avec Aleesha. Damon et moi rejoignons leur conversation, il fallait sauvé les autres spécimens. J'avais toujours cet peur pour Thomas. C'était mon ami, visiblement il était la depuis plus longtemps que Syd, Damon Hyde. Cet boule de stresse revenez dans mon ventre. On sortait et on arriver devant une grande porte close. Hell continuait a avancer et elle passait visiblement a travers, elle se mis a nous faire une liste de se qu'elle avait pu voir. Elle avait une vision thermique et donc pouvait visualisé la chaleur des corps humain.
- Il y a 4 salles, dans une des salles j'ai vue une femme, dans les deux autres deux hommes séparés et aussi un laboratoire. Rien pour ouvrir la porte... pas de serrure pas, pas de lecteur, pas de lecteur adn. Rien. - On peu crée la serrure.
Hayden avait émit une idée intelligente et Hell ouvrit les yeux et fessait littéralement chauffer la porte. On passer dans la salle suivante. On avait quitter la salle d'isolation, je donnais les échantillons aux garçons pour qu'ils soit soigné . Sydney me tirait une mauvaise tête, il était vraiment têtu. Si je lui donnais c'est qu'il y avait une raison. Toutes les portes étaient fermer. Je comprenais pas ce que Syd fessait mais Hell me prenait contre elle. Syd prenait sont regard hautain et provocateur, j'aimais pas ça. A quoi il jouait cet idiot, la vie d'autres personnes étaient en danger.
- Damon, t'es qu'un gros junkie, je veux plus que tu t'approche d'Auréa elle est mieux sans toi. En plus ton frère s'occupe vachement mieux que tu pourras jamais t'occuper d'elle. Il lui parle d'une façon que tu pourras toujours tanter d'égaler mais t'y arrivera pas. Tu te casse toute le temps, tu es encore parti tu crois qu'on le vois pas que dans la nuit tu te barre pas ? D'ailleurs tu te souviens plus hier soir mais elle était malade et c'est ton frère qui c'est occuper d'elle. Tu es rentré, elle s'était endormie dans sa chambre Damon. Le truc con c'est que c'est lui qui nous a tous drogué comme des cons, t'être qu'il l'avait rendu malade aussi, t'être qu'il ce l'est faite . Aleesha, Auréa Apparemment c'est de Famille Damon, ton coeur il s'est une passoire tu peux pas être fidèle a une seule femme, t'es incapable d'aimer une seul femme ou d'aimer tout cour. On va partir de ta maison je pense que ca sera mieux pour nous.
Je me débattais directement, et je criais a Syd d'arrêter ça . D'un seul coup, j'entendais tout. Ma voix ne sortait plus mon corps ne pouvait plus bougeait. Il m'avait figé, j'avais une colère contre qui ne fessait que s'étendre. Quelques seconds après, les portes étaient toutes exploser et je pouvais enfin reprendre possession de mon corps, j'allais vers Damon, pour le calmer. Il était encore électrique mais je m'en foutais. J'avais peur qu'il le croit, et visiblement il l'avait cru vue qu'il s'était énerver. J'agrippais ses cheveux et je serrais contre moi. Mon souffle se perdait totalement , j'avais mal et je voulais pas le perdre. Mon coeurs s'éclatait et je lui soufflais que c'était faux, que c'était lui et personne d'autre. J'avais mal, encore une personne qui me répéter que Damon n'était pas capable d'aimer une seul femme, je les croyais pas, mais au fils qu'on me le répéter sa blesser, car je n'avais jamais éprouver autant de sentiment comme ça. Je n'avais jamais cru quelqu'un comme ça a lui laisser mes souffles entres ses mains. Je posai mon front contre le sien et mes main c'était emparer une nouvelle fois de son visage. Je le regardais avec se mélange de peur extrême qui me rongeait et cet amour que je lui portai lui aussi extrémement fort.
- Tout ce que je viens de dire est faux Damon ... Désoler fallait que tu t'énerves.
C'était pas le moment, il y avait des personnes qui comptaient sur nous. Il effleura mon visage, j'en étais pas vraiment rassuré mais Syd nous presser. On pouvait pas en parler, on en parlerai plus tard.. Hyde me tirait vers lui et Damon prit Hayden avec lui. Ils nous séparaient brusquement, mais on avait pas le choix. Mon estomac se retournait tellement j'avais peur. On se dirigeait vers une salle obscure. Et j'apercevais les traits de Thomas, il était conscient mais il grommela des choses incompréhensible , je lui fessais boire le restant d'un échantillons c'était le dernier. Ses hématomes disparaissaient quelques seconds après.
- Thomas, C'est Auréa , t'inquiète pas ca va aller on va te sortir le la.
Je pouvais pas m'empêcher de pensé a ce qui venait de ce passer avec Damon. La façon dont il était, en faite il m'avait parue distant. Depuis que j'étais arriver au centre, même m'avait serrer contre lui il semblait distant. Je prenais conscience que je m'étais attaché a lui, trop vite et trop fortement. Qu'il avait pris une importance colossale alors qu'il pouvait repartir comme des notes musiques glissent sur une partition. Je m'étais enfermer dans ses yeux, donner a lui sans me poser de question. Sydney avait raison sur une chose, il y avait toujours quelques choses qui nous empêcher d'avancer. J'étais pas prête pour retomber, a cause de ça. Pas prête pour me refaire éclaté le coeur. On prenait Thomas pour l'emmener vers la sortie, Hyde et Hell le tenait quand ma curiosité me pousser dans la chambre des laboratoire.
- Allez y je vous rejoindrais
Je posais les pieds dans une anti-chambre de pureté. La lumière était à giorno , j'ouvrais une seconds porte sans me demander ou était les autres. Le silence monté quand je voyais sur le mur se dessiner des tats de schéma . Disposer de plein de cage toute vide. Une seul était occupé par un petit étre velus, j'ouvrais la cage sans me poser de question et je prenais cet être dans mes bras. Il avait l'air mal en point , c'était un petit chien sur lequel on avait effectué des testes , il s'imbriqua au creux de mon bras. Je fermais la cage et je fis demi tours . Aleesha était venue me chercher elle me disait qu'on devait partir et vite. On rejoignai les autres pour sortir de la.
Damon M. Tallis Damon M. «
Dust in the wind.
Sujet: Re: Code Gead 79048 { Ouvert à tous Sam 3 Avr - 19:07
Je sentais de l’animation autour de moi mais je ne voulais pas me débattre, j’avais été sûr à cet instant que c’était les spécialistes, les gardes, les médecins, les chirurgiens qui venaient observer leurs très chers animaux. Je les connaissais, je savais qu’ils ne me lâcheraient pas. Je savais comment m’y prendre pour sortir, je l’avais fait une fois. J’étais capable de le faire deux fois. Tout reposait sur la force militaire établie par la manipulation. Je l’avais appris ici. J’avais suivi cette formation et elle était infaillible si on savait s’y prendre, c’était grâce à cette combinaison que j’avais réussi à m’échapper. Faire croire à l’ennemi qu’il possédait la victoire et observer son comportement jusqu’à ce qu’il se sente en total confiance. Alimenter sa jubilation pour ensuite diviser les intentions et enfin reprendre la victoire pendant qu’il pensait la savourer. C’était exactement ce que j’avais essayé de faire moralement et j’avais réussi. J’avais testé cette méthode à chaque mission que l’on m’avait forcé à exécuter et à chaque fois, je revenais à la base avec les félicitations de ce qu’on appelait ici : les autres. Etrangement, ils n’étaient plus brusques dans leurs mouvements. Je ne les écoutais pas, je ne les entendais pas. Apparemment, ils préféraient la douleur mentale à présent… Mais d’un seul coup, je percevais une chaleur sur ma peau, une chaleur que j’avais appris à connaître sur le bout des doigts. Un regard se glissait dans le mien, je le reconnaissais, c’était Auréa. Je soupirais de soulagement, elle était venue, elle était là. Je posais ma main sur une des siennes qui s’était emparé de ma visage et essayait de me reprendre. Auréa était saine et sauve, elle était sûrement venue nous sauver. J’avais été stupide de ne pas y avoir pensé plus tôt. Je me relevais et elle se blottissait contre moi. Je la serrais contre moi comme pour reprendre des forces, comme pour me dire que j’allais bientôt me réveiller et que rien de tout ça ne s’était passé. Je ne comprenais toujours pas pourquoi nous étions arrivé ici mais je ne cherchais pas tout de suite à comprendre. Je sentais Auréa tremblait, je ne voulais plus qu’elle s’inquiète. On était là, encore en vie. Elle était dans mes bras, les choses allaient tellement vites. Elle gérait ça à sa manière. Tout allait s’arranger, c’était ce que je me répétais silencieusement dans mon esprit. Il ne fallait pas que je me laisse abattre de cette façon.
Les yeux d’Auréa étaient comme embués… Je me sentais mal à l’aise de voir à quel point elle s’était fait un sang d’encre. J’essayais de la rassurer du regard, j’essayais de calmer son cœur qui semblait s’être écorché. Il fallait qu’elle s’accroche le temps qu’il fallait. Je savais qu’elle allait le faire, qu’elle allait réussir à tenir jusqu’à ce qu’on reprenne le court de notre existence. Je respirais son odeur, c’était comme une évasion. Mon corps était ici mais mon âme était dans la sienne et aucun autre endroit n’était plus divin que celui-là. Je pouvais remarquer qu’Aleesha, Hayden et une fille blonde étaient présents. Qui était-cette fille ? Je prenais la main d’Auréa pour qu’on les rejoigne au court de leur conversation. C’était grâce à la personne que je ne connaissais pas qu’ils avaient réussi à entrer et Sasha avait avancé que d’autres spécimens devaient être sauvés. J’entendais le nom d’Alison Steward ensuite… Je me raidis un instant, je connaissais cette fille… C’était celle qui m’avait intrigué et dont je me sentais proche sans la connaître. Je ne pouvais pas la laisser ici avec les autres, Thomas et Ethan qui étaient certainement venus pour lui venir en aide. Après quelques plans faits à une vitesse remarquable, on sortait de la cellule d’isolation. On avait marché jusqu’à ce qu’on arrive face à une grande porte, la jeune fille blonde ne s’arrêtait pourtant pas de marcher et traverser la porte en question. Je comprenais aussi tôt, qu’elle aussi était comme nous. Quelques minutes plus tard, elle retraversait le mur et nous détaillait ce qu’elle avait pu voir derrière cette porte. J’enregistrais ce qu’elle disait : 4 salles séparées et un laboratoire. Elle avait aussi dit qu’il n’y avait pas moyen d’entrer dans la pièce et c’est là que mon frère avait proposé la création de la serrure, j’avouais que c’était intelligent. C’était aussi la chose la plus logique. L’air se réchauffait lorsque qu’Hell s’était mise à fixer la porte, apparemment elle était en train de nous autoriser l’accès direct à la salle qui se trouvait derrière cette porte. Auréa n’avançait pas tout de suite et s’arrêta un moment pour donner une fiole remplie d’un liquide épais et rouge, j’étais perplexe mais je lui faisais confiance. Syd n’était pas vraiment d’accord mais fini par boire l’échantillon lui aussi. De seconde en seconde, je sentais mon corps s’apaiser et mes forces revenir, je n’avais plus cette pression dans la tête, je ne ressentais plus ce vide et cette fatigue. C’était comme si ce sang renouvelait chaque partie meurtrie de mon corps. Après avoir ingurgité ce qu’Auréa nous avait donné, on rejoignait les autres dans le couloir qui se présentait face à nous. Aucun garde n’était présent dans ce couloir, je trouvais ça bizarre. Il y a un silence étrange qui s’installait, mon ventre se nouait une nouvelle fois. Syd me regardait avec haine, je comprenais pas ce qui lui prenait. Je le fixais, toujours dans ce silence. Hell éloignait Auréa sans que je saches pourquoi. C’ était quoi ce plan ?
- Damon, t'es qu'un gros junkie, je veux plus que tu t'approche d'Auréa elle est mieux sans toi. En plus ton frère s'occupe vachement mieux que tu pourras jamais t'occuper d'elle. Il lui parle d'une façon que tu pourras toujours tanter d'égaler mais t'y arrivera pas. Tu te casse toute le temps, tu es encore parti tu crois qu'on le vois pas que dans la nuit tu te barre pas ? D'ailleurs tu te souviens plus hier soir mais elle était malade et c'est ton frère qui c'est occuper d'elle. Tu es rentré, elle s'était endormie dans sa chambre Damon. Le truc con c'est que c'est lui qui nous a tous drogué comme des cons, t'être qu'il l'avait rendu malade aussi, t'être qu'il ce l'est faite . Aleesha, Auréa Apparemment c'est de Famille Damon, ton coeur il s'est une passoire tu peux pas être fidèle a une seule femme, t'es incapble d'aimer une seul femme ou d'aimer tout cour. On va partir de ta maison je pense que ca sera mieux pour nous.
Il me disait toutes ces choses en me regardant dans les yeux, il avait figé Auréa, figé Aleesha. Il touchait à chacune de mes faiblesses, ses mots étaient aussi tranchants que des lames de rasoir. Il savait très bien que ça allait me blesser, que ça allait me traverser le corps et l’âme en même temps. Apparemment c’était recherché. Je ne savais pas ce que je devais penser mais ces mots qui étaient sortis de sa bouche ouvrait une blessure, réveillait la haine. Je sentais mon corps se tendre violemment. C’était bien celui que je prenais pour mon meilleur ami qui me crachait ça à la figure, qui me traitait comme un chien. Plus il parlait, plus je ressentais la pression que j’avais ressenti à la soirée de la saint-Valentin avec Aleesha. Je me sentais pris par la gorge, rejeté et humilié. La colère reprenait le dessus, j’avais envie de tout casser, de hurler mais je me taisais… Mais c’était pire… La haine s’accumulait dans chaque partie de mon corps et la lumière des néons augmentait et diminuait en même temps que ma respiration. Tout ce qu’il venait de dire m’avait blessé et je n’arrivais pas à le cacher, je voulais pas pleurer, je ferais pas et je prenais la décision d’évacuer ça par la colère. Je transformais ma tristesse en haine. Tout mon sang n’avait fait qu’un tour à une vitesse étrange, je me sentais remplie à bloc, c’était comme si j’allais exploser sauf que j’arrivais plus à me contrôler que la dernière fois. Des arcs électriques se formaient du bout de mes doigts. Je cessais de le regarder car j’avais peur de mes pensées, ce que je pouvais lui faire, je ne voulais pas lui faire. J’aurais pu m’en prendre à Hayden mais ça aurait été se retourner contre mon propre sang. Hyde ne m’avait rien fait et lui faire du mal était hors de question. Je me concentrais sur les portes et je ressentais une intense chaleur remontait tout mon corps. Ce qu’il disait n’était pas juste, il pouvait pas s’attaquer à mes points faibles de cette façon… Les néons dansaient encore, j’essayais de me contenir mais je ne pouvais pas et l’électricité courrait toujours dans mes nerfs. Des circuits se dessinaient dans ma tête, je voyais des étincelles en jaillir. Je ne savais pas comment il avait fait pour me dire tout ça comme ça, avec ce regard en plus, avec ce détachement. Il avait été jusqu’à dire que mon cœur était une passoire et que je n’étais pas capable d’être fidèle, je repensais à mon père automatiquement… Et ça me faisait mal. Les portes de cellules explosaient toutes en même temps, l’alarme se déclenchait en même temps. Je tremblais de colère, j’avais l’impression que si quelque s’approchait à l’instant où j’avais fait explosé ses portes, je l’aurais simplement brûlé. Je ne savais pas comment j’avais fait explosé ses portes mais je sentais la colère descendre. Pourquoi il avait fait ça ? Je le regardais avec colère. Je n’arrivais même pas à le détester, il m’avait blessé pour que j’ouvre ses portes… Mais ces phrases étaient quand même sorties… Auréa me prenait dans ses bras, je la prenais contre moi alors que j’étais toujours en colère. La voix de Syd résonnait dans ma tête, les mots avaient toujours eu une signification bien précise lorsque c’est lui qui les prononçait. Il le savait… J’observais ensuite Auréa, elle me soufflait que c’était faux, qu’il y avait personne d’autre que moi pour elle. Je ne savais pas si je devais y croire, je connaissais Hayden. Je savais de quoi il était capable et nous n’avions pas les même qualités, ça m’écorchait qu’il m’ait dit ces choses… Il m’écorchait tout court. Elle récupérait mon visage, son regard m’aidait à reprendre mon calme, je ne voulais pas croire ces choses mais mon cœur s’était étouffé. C’était faux, je n’aimais qu’elle. Je ne voulais pas qu’il m’atteigne avec ça mais ces mots étaient encore là car mon père me hantait… Je voyais de la peur dans les yeux d’Auréa mais j’avais peur aussi, peur que ça tourne mal, j’avais cette sensation, ce pressentiment qui dévorait mon contrôle mais je devais tenter. Il fallait qu’on s’en sorte. L’alarme sonnait toujours et faisait augmenter l’anxiété. Je laissais glissé mes doigt le long de son visage, je ne savais pas pourquoi mais j’enregistrais ce moment dans ma tête si jamais le pire venait à arriver.
- Tout ce que je viens de dire est faux Damon ... Désoler fallait que tu t'énerves.
J’essayais de me dire qu’il l’avait fait pour le bien de tous mais ça m’avait peiné car c’était lui qui m’avait dit tout ça, c’était lui. Mon meilleur ami. Il enchaîna en nous disant qu’il fallait se dépêcher qu’on n’avait pas le temps, j’avais peur pour eux. J’avais peur pour ce qui allait se passer mais on n’avait pas d’autres solutions, Hyde prenait Auréa pour qu’ils aillent cherchés les autres. Je la regardais s’éloigner et me concentrer sur ce que je devais faire à présent. On avançait vers la cellule où était censé être Ethan. Avancer dans ses couloirs ne me faisait pas peur, soudainement je me demandais qu’est-ce qu’Hayden venait faire ici. D’où est-ce qu’il connaissait le centre, il savait qu’on était spécimen ? Tout en marchant, je le regardais avec un air interrogateur. Il soupirait et tournait la tête ensuite pour soupirer en me soufflant un : « Je t’expliquerais. » Je le sentais mal, quelque chose n’allait pas, je connaissais ce visage de culpabilité qu’il avait adopté mais j’effaçais ça de ma tête, ce n’était pas le moment. On entrait enfin dans la cellule. Il y faisait sombre et c’était sale. Ethan était à terre, il semblait mal en point. Je m’approchais de lui et m’agenouillais en l’aidant à se redresser, il saignait, il avait mal lorsqu’on le touchait à certain endroit. Il fallait qu’il se calme tout était fini maintenant. Hayden lui donna un échantillon, c’était la même mixture que j’avais avalé quelques minutes plus tôt. Il reprenait des formes, sa peau se soignait, c’était visible. Les alarmes étaient toujours activées, il fallait se dépêcher. Ethan semblait être en pleine forme à présent. En s’agrippant à ma main pour se relever, Ethan avait retiré ma bague inconsciemment. Elle avait roulé dans le fond de la pièce dans un coin, Hayden accompagna donc Ethan jusqu’à la porte pour qu’il s’en aille. Ethan était hors de la cellule mais Hayden était resté avec moi à l’intérieur, les gardes arrivés. Je trouvais enfin ma bague et la reprenait mais c’est là que les portes se refermèrent automatiquement. Hayden et moi étions comme paralysés. Les autres étaient à l’extérieur. On était enfermés dans cette cellule et mes pouvoirs ne fonctionnaient pas. J’étais horrifié. Hayden l’était aussi…
Sujet: Re: Code Gead 79048 { Ouvert à tous Sam 1 Mai - 2:10
Je partirai et je resterai Seulement vêtue de toi Souviens-toi encore Quelques fois de moi Et ne leur pardonne pas
Get me out of this place Before I drown in your deep pink water
•J'avais froid dans cette cellule. Et j'étais sans cesse parcourue par des frissons. Quel jour étions nous aujourd'hui? Quelle heure était t il? Combien de temps s'était écoulé depuis mon arrivée? Je n'en avais aucune idée et à vrai dire, réfléchir me demandait trop d'efforts. Je me sentais m'affaiblir de plus en plus, ce qui était plutôt bon signe. Car cela signifiait que j'allais pouvoir bientôt quitter cet endroit, d'une manière ou d'une autre. C'était pour moi la seule façon de m'enfuir, de m'échapper de ce lieu austère. Le seul moyen de ne plus avoir mal, de ne plus souffrir.C'était la seule solution qui mettrait fin à tous mes tourments. Je pensais souvent à ceux que j'allais laisser derrière moi, ils me manquaient énormément. J'avais envie de les serrer dans mes bras, de leur dire combien ils comptaient pour moi, de leur dire tout ce que je n'ai jamais su leur dire. Mais il était trop tard maintenant, j'étais seule et ils n'étaient pas là. A présent, pour moi l'essentiel était qu'ils restent en sécurité et je priais pour qu'on ne leur fasse pas de mal. Je passais une main dans ma nuque à l'endroit où était censé être mon tatouage et j'essayais d'en dessiner les contours. Je ne sentais rien, à part une sensation de vive brûlure. Puis, je laissais retomber mon bras le long de mon corps. J'étais toujours allongée sur le sol dur, recroquevillée sur moi même. Cette position m'apaisait et d'une certaine manière elle me rassurait aussi. J'avais à peine la force de me lever, et rester ainsi posée de cette façon était tout ce que j'avais pu trouver de confortable en un endroit aussi inhospitalier. Je n'avais toujours pas dormi, et je n'avais toujours rien avalé mais je n'en souffrait pas. Même si les premiers jours d'abstinence furent difficile, mon organisme semblait s'être accoutumé à ce nouveau mode de vie, si on pouvait l'appeler comme ça. Ne pas boire était le plus difficile, ma gorge était sèche et parler devenait impossible. Et puis parler pour dire quoi? Je n'avais plus rien à dire, plus rien.
Parfois, j'avais l'impression de ne plus faire partie de ce monde terrifiant qui était le centre d'Aprilia. Je compris assez vite que en réalité je perdais connaissance, cela ne durait que quelques minutes, parfois plus, mais étrangement j'aimais ça. Durant ces instants, j'étais transférée dans un autre monde ou je vivais encore ma vie d'autrefois, je revoyais les gens que j'aimais, je faisais de la musique, et tout cela semblait si réel. J'aurais préféré perdre connaissance pour de bon, et ne plus jamais me réveiller, mais je n'y parvenais pas, tout du moins pas encore. Mon corps possédait surement quelques dernières ressources afin de me maintenir en vie. Combien de temps allait t il tenir? Je n'en pouvais plus, vraiment. Je n'arrivais pas à placer de mots sur ce que je comptais faire. Pour moi, ce n'était pas du suicide, je ne voulais pas mourir, mais c'était plutôt une forme d'échappatoire. Et j'étais déterminée à aller jusqu'au bout. Tant pis pour eux, s'ils comptaient me donner un pouvoir, sans m'expliquer en quoi il consiste, et me garder en réserve afin de m'utiliser pour je ne sais quelle mission ou expérience, ils ne m'auront pas, jamais. Je ne voulais pas être comme tous ces Spécimens qui ne juraient que par ce lieu maudit, j'ignorais comment on avait pu les forcer à obéir, car une chose était sure, ils n'étais pas là de leur plein gré. Mes voisins de cellule avaient remarqués combien fragile j'étais. Je savais que leur intentions étaient bonnes, ils ne voulaient pas me laisser dépérir ainsi, mais je n'avais pas le choix, je ne voulais pas rester ici, une seconde, une minute, un jour de plus. J'avais bien essayée de me battre au début, mais cela n'avait rien donné. Me battre pourquoi? Car, il n'y avait aucun espoir que je puisse sortir d'ici un jour, aucun. J'avais toujours été quelqu'un de persévérant, qui n'abandonnait jamais, mais ici c'était différent. J'aurais pu me battre de toutes mes forces, cela n'aurait rien changé, j'en étais plus que certaine. Mais je n'avais plus de soucis à me faire, tout sera bientôt terminé, ce n'était qu'une question de temps. Je pris une profonde inspiration et au même moment, je me sentis partir, m'envoler vers ses instans qui ne duraient pas longtemps, mais que j'appréçiais réellement. Je m'abandonnais, littéralement, quittant pour une durée de temps indéfini ce monde, ne craignant qu'une seule chose, y revenir.
{...}
Les coquelicots étaient d'un rouge flamboyant, et le blé n'avait jamais été aussi doré. J'étais là, allongée à comptempler les nuages cotonneux. Et il était là aussi, à mes côtés. Je pouvais encore sentir sa main dans la mienne. Je connaissais par coeur la pureté des traits de son visage, et j'aurais pu en dessiner les contours les yeux fermés. Son regard s'ancrait en moi, sans jamais vouloir s'en décrocher, et j'aurais pu rester ici à ses côtés durant des heures. Je n'avais plus mal, et je n'avais plus peur.Tout paraissait si réel que je pouvais même sentir la caresse du vent sur mon visage et la senteur des fleurs de prairie mais une voix en mon intérieur, ne cessait de me répeter que je rêvais,et que ce que je voyais n'était que le fruit de mon imagination. Je faisais taire cette voix qui voulait briser cet instant. Peu m'importait. Réel ou imaginaire, j'aimais ce que je voyais et je ne voulais pas effacer ces images qui faisaient s'emballer les battements de mon coeur.Il me manquait, terriblement et j'aurais tant voulu que ces images soient réelles, mais tant pis. Pour rien au monde je ne voulais quitter cette illusion qui me permettait de le rejoindre.C'était tout ce que je demandais.
Combien de temps était-je rester inconsciente, étendue dans ce champ de blé? Je ne savais même plus si j'étais encore consciente, si j'étais encore vivante. Etait-ce grave de ne pas savoir si l'on fait encore parti de ce monde? Ma vision avait subitement changée et Thomas ainsi que les coquelicots s'étaient effacés. Je m'étais accrochée à eux tant que je pouvais mais quelque chose de plus puissant était parvenu à les faire disparaître...Je pouvais distinguer à présent, ce ciel d'un bleu nuit, parsemé de milliers d'étoiles, toutes étincelantes. La clarté de la lune m'éblouissait. Encore plus étonnant, je sentais l'air qui s'imisçait dans mes poumons. Il me semblait même que j'avais frissonné. J'avais froid et avais à nouveau cette sensation de brulure dans ma nuque. M'aurait t on droguée? Etais-je sortie? Je fermai mes yeux et les rouvrit aussitôt, le rideau scintillant était toujours présent. Je ne pouvais détacher mon regard de la voute céleste, cela faisait si longtemps que je n'avais pas vu les étoiles, ni la lumière. Mais quelque chose m'échappait encore et je commençai à paniquer. C'est alors que la brise sembla s'intensifier et un frisson me traversa. Les sensations étaient trop réelles pour que ces images ne soient que des illusions. Je ne comprenais pas et ne pas comprendre ce qu'il se passait ne faisait qu'accentuer ma frustration. Le vent se leva, et sa froideur me pénétra à nouveau. Je l'entendais chuchoter dans mes oreilles, ce n'était pas des mots que je pouvais distinguer, mais des sons, des sons qui incroyablement, m'apaisait. Je repris mon calme. Je réalisai alors que je le paysage autour de moi avançait ou alors c'était moi qui bougeait, mais je ne me sentais pas marcher. Je levai les yeux et aperçut le visage d'un jeune homme qui m'était inconnu. Il n'avait pas l'air d'avoir de mauvaises intentions, et puis j'imaginais que c'était lui qui m'avait libérée de cet endroit. Alors comme ça, j'étais vraiment sortie? J'étais enfin libre? Apparemment oui, et j'espérais sincèrement que tout soit fini. J'aurais voulu que mon séjour dans ce centre ne soit qu'un terible cauchemar, mais mes souvenirs étaient trop intactes pour qu'il en soit autrement. Qu'est ce qu'on m'avait fait là bas ? Et surtout, comment m'en étais-je sortie? Surement encore trop affaiblie pour réfléchir, j'abandonnai l'espoir de trouver une réponse. Je me sentais vide, de toute énergie, de toute lumière, de toute émotions. Je m'endormis pour la première fois depuis bien trop longtemps tout en rêvant de lendemains meilleurs. Après tout, que pouvais-je faire d'autre?Je n'étais même pas capable d'expliquer ce que j'avais vécu ces dernières jours, entièrement incapable car seulement le fait d'y songer me faisait frémir. Tout était resté gravé, à jamais.
Dernière édition par Alison Steward le Mar 6 Juil - 1:33, édité 1 fois
Sujet: Re: Code Gead 79048 { Ouvert à tous Dim 2 Mai - 0:58
So I run and hide and tear myself up I'll start again with a brand new name And eyes that see into infinity I will disappear
C'était la fin. Une jolie fin, comme celle de Roméo et Juliette. Sauf que Roméo, lui, n'était pas seul et n'était pas enfermé quelque part. C'était une belle fin pour mourir, seulement voilà, je ne suis pas mort. Je suis en vie, dans un sale état mais en vie. Soudain, mes yeux s'étaient ouvert, comme choqué de cette révélation : je suis en vie. A vrai dire, je ne sais pas où je suis, je ne sais pas pourquoi je suis dans une pièce blanche avec un lit fait, je ne sais pas qui je suis, je ne sais pas quel jour on est. Je ne sais rien, je suis aussi vide qu'une coquille d'œuf qu'on vient de casser en deux. Mes yeux sont ouvert, mon corps est trop lourd, bouger me fait faire trop d'effort. Achevez-moi, ai-je envie de crier. Mais je ne le faisais pas, tout était trop lourds que ce soit mes paroles ou mes gestes. Je refermais les yeux, et soudain, une drôle de sensation s'empara de moi. Mon cerveau, du moins une partie, semblait être déconnecté. L'autre et mon subconscient commençaient tout deux a danser, danser une danse du passé. Ils cherchaient à combler les trous de ma mémoire, mais je n'en sais rien, je ne ressent rien, pour moi, je dors, je suis dans le noir. Seulement ce noir me fait plus peur qu'il ne me fascine, et les cris qui s'échappent alors de ma gorge, montrant ainsi que tout se chamboule prouve que oui, je suis en vie.
< It doesn't hurt me Do you want to feel how it feels?>
Les heures ont passées, mais je ne sais pas combien. Je me suis rendormi dans l'obscurité, pour me réveiller avec un peu de soleil. Un nouveaux jour était là, bientôt suivi par d'autre. Emprisonné comme un oiseau en cage, toute la journée, je passais mon temps par terre, les yeux vides, un silence totale se faisait. Qu'il soit dans mon crane ou dans la pièce, c'était le même. J'étais bon pour la casse. Seulement voilà, des personnes mal avisé ne pensaient pas comme moi, elles voyaient en moi plus un rat de laboratoire qu'un humain. Chaque jour, un médecin venait m'ausculter, comme si j'étais malade. Seulement voilà, quand vous ne trouvez pas de but a votre vie, que vous ne savez pas pourquoi vous respirez, pourquoi vous voyez, qu'elle était l'importance de savoir que votre corps allait bien ? Aucune pour moi, pour eux par contre, ils y voyaient quelque chose que je ne comprenais pas.
Je ne voulais plus rien comprendre, plus rien. J'étais au point ou plus rien ne pouvait arriver de pire. Mon corps était trop lourds, mes os me pesait, je ne pouvais pas bouger. Mon cerveau était vide, je ne savais même pas mon prénom. Es ce normal ? Je ne crois pas. Si mon cerveau voulait chercher, il s'arrêtait aussi vite. Je ne suis plus que le fantôme d'un être que personne ne connait. Oui, voilà, c'est ça. Plus besoin de chercher loin. A présent que les journées passent, les choses changent. Un garde vient me voir chaque jour, et me relève de par terre. Je ne comprend jamais, mais je le laisse faire, trop épuisé physiquement pour crier. Du moins c'est ce que je voyais, car dans la nuit, mes cris se faisaient entendre. Je hurlais mon désespoir, je le hurlais tellement fort qu'il aurait fallut m'étouffer avec un coussin pour ne plus entendre ses bruits horribles qui provenait de ma gorge. Et chaque jour, je me lève, avec l'impression d'avoir dormi convenablement. Personne ne me fait de remarque, que ce soit le garde qui vient chaque jour me relevait, m'apporter a manger & parfois des livres, ou que ce soit ce vieux médecin qui chaque jour m'ausculte dans un silence totale. Quand enfin ma voix se fait entendre ce sera au médecin que je poserais alors cette ultime question:
< Qui suis-je ?>
Il ne me répondit pas, seulement une visite viendra un jour me perturber. Un homme vint à moi, qui suit par terre. Je ne le connais pas, et dans l'état ou je suis, si il me faisait du mal, je ne pourrais rien faire. Je ne sais pas qui était cette homme, et ses paroles me faisait un peu froid dans le dos.
« Éternel , sauve cet être , délivre le du mal , incline donc ton oreille vers lui et murmure lui quelques douces paroles , chasse ses démons intérieurs , fais le échapper de la main de l'oppresseur , du malin. Son âme dans l'abandon à besoin de suivre le bon chemin , purifie le à nouveau fais de sa vie , ma vie , fais de son être, mon être. Prête l'oreille à mes paroles seigneur , et fais de mes paroles ta méditation. Sois attentif à la voix de ma supplication. »
Je fus impressionner par ses paroles et il me semblait les avoir vu sur l'un des livres que le garde m'avait apporter. Je les lisais pour trouver quelque chose d'intéressant a faire, mais cela me lassait au final. Mais ce que venait de dire cette homme allait tourner en moi comme du linge dans une machine à lavé. « Alors 63226, comment te sens-tu ? Tu as eu une longue nuit , notre Seigneur as sauvé ton âme des ténèbres, malheureusement tu t'étais égaré vers le Malin , il a sut de séduire , tu n'as pas sût le refusé. Maintenant tout ira bien petit , tout ira bien. Exhausse mes requêtes et ton âme sera alors purifié. »
J'étais beaucoup trop faible pour parler à nouveaux. Alors je restais à le fixer. Qui est 63226 ? Cette série de chiffre m'apparut soudain, puisqu'elle était gravé au nouveaux de poignet. Je le fixai à présent, pendant des heures, des jours. Ainsi je n'ai pas de prénom, pas d'humanité, pas de parents qui m'attendent bien au chaud, rien. Juste une série de chiffre. Quand le garde, le lendemain vint, je lui dit alors:
< 63226...>
Le garde me regarda comme si il ne comprenait pas. Je lui montrais mon poignet, et encore une fois il ne comprit pas. Je le regardais, et je me demandais ce qu'il ne comprenait pas. Ce n'est pas comme cela que ça marche ici ? Apparemment je n'ai pas compris. Mais quand il revint, un miroir a la main, je pus alors constater mon visage, ce visage blanc, ce visage creux. Le garde me montre via des miroirs mon nouveaux tatouage au niveaux de la nuque. C'était étrange, car je ne ressentais pas de brulure. A vrai dire, j'étais dans la contemplation. Je voulais voir ce qu'il y avait écrit, car il ressemblait a celui au poignet.
< Tu es un sans numéro, un sans nom...> venait soudain de se faire entendre de la voix du médecin qui était entrer sans que je le vois. Ce que j'y compris ? Qu'il pouvait faire de moi ce qu'ils voulaient, je n'étais plus rien. Je pouvais être rien et tout à la fois. Mais pour le moment, je n'étais rien.
Mes journées étaient toute les même, parfois deux spécimen me rendaient tour à tour visite. Tout deux tenaient des discours bien différent. Parfois, je restais dans un silence de mort, préférant contemplait mon poignet, ce qui était encrée dans ma peau. La nuit, je hurlais dés que mes yeux se fermaient, mais je ne m'en rendais toujours pas compte. Je ne savais toujours pas qui j'étais, et si j'avais pu, je me serais donner la mort depuis longtemps. Mais je ne le fis pas, car un événement va alors tout faire basculer.
Je ne sais toujours pas qui ils étaient, tout ce dont je me souviens, c'était d'une voix, une voix féminine qui me disait : - Thomas, C'est Auréa , t'inquiète pas ca va aller on va te sortir le la. J'étais trop amoché pour comprendre ce qui se passait, et qui était Thomas ? J'avais beau essayer de parler, rien ne sortait encore. Des bras me soulevèrent et je ne comprenais toujours pas. J'aurais voulut dire de me laisser là-bas, a l'agonie de mes pensées, dans mon corps déchirer et meurtri, mais à la place, je me laissais allez dans un Black out totale...
Tout ce dont je me souviens ? c'est de mettre réveiller sur un canapé...Mon cauchemar commençait...
Aleksandr Ivanov † ▬ Excorcise me.
Moi =D ▬ Relations: ▬ Armes & Pouvoirs: Contrôler ton existence
Sujet: Re: Code Gead 79048 { Ouvert à tous Dim 2 Mai - 11:20
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