Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.


 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  Connexion  
-36%
Le deal à ne pas rater :
WD_BLACK Disque SSD Interne 2 To – SN770 NVMe PCIe 4.0 x4 ...
109.99 € 171.72 €
Voir le deal

Partagez
 

 Century of hurt - Maxim.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Damon M. Tallis
Damon M. «
    Dust in the wind.

Damon M. «  Dust in the wind.
Damon M. Tallis


Century of hurt - Maxim. Empty
MessageSujet: Century of hurt - Maxim.   Century of hurt - Maxim. EmptyVen 9 Avr - 15:32

Je haïssais cette histoire, cette histoire qui se répétait sans cesse dans mes cauchemars, cette histoire qui était malheureusement mienne. Je l’avais peinte avec des couleurs tellement mornes, tellement mortes que je m’étais perdu dans leur distance, dans leur inexpressivité. J’étais devenu comme elles ; Inexpressif. Comment ai-je fait pour en arriver là ? Un sentiment d’incompréhension s’était approprié de mon comportement. Ces derniers jours, je ne cessais d’être entre deux eaux. Indécis, les mains légèrement tremblantes. Je ne me sentais pas bien, la vision du futur que ce cauchemar m’avait soufflé me donner envie de vomir. Je ne savais pas quelle heure exacte il était mais le quartier était encore éteint, le ciel pleurait, le vent soufflait timidement. La chaleur d’Auréa sous la paume de ma main qui effleurait son corps, mon front contre le sien et ses yeux fermés par le sommeil. J’essayais d’effacer ce cauchemar qui m’avait réveillé, j’essayais de me dire que ce n’était qu’un rêve, un rêve qui s’obstinait à me hanter. Le bout de mes doigts se perdait sur les traits de son visage endormi, son odeur faisait du bien à mon cœur endolori par les regrets. Je ne voulais pas croire que je puisse la mêler à mes démons, je ne voulais pas qu’elle souffre de cette douleur qui me rongeait. Il ne fallait pas qu’elle souffre pour moi et je priais pour que ça n’arrive pas. Parcourir son corps encore et encore me faisait oublier ces fantômes qui revenaient parfois, faisait taire ce murmure qui ne répétait que ces 8 lettres. Coupable. Le regret venait enfin frapper à ma porte et au même instant, ma main s’était arrête à l’endroit de son cœur. Aucun autre son n’était aussi beau pour moi que les battements de son cœur, aucun mot, aucune phrase ne dépassait ce tambourinement qui la faisait vivre, qui la rendait réelle et vivante, qui me donnait une raison, une raison de continuer.

J’embrassais son front sans la réveiller, je la regardais encore pour graver son image dans ma tête, pour pouvoir l’emmener partout avec moi, pour pouvoir me dire que je l’aimais plus que n’importe qui, que n’importe quoi. Son âme était tellement pure, la mienne tellement sale. Je ne comprenais pas pourquoi elle était restée, pourquoi elle me donnait toute cette sérénité, pourquoi elle ne lâchait pas ma main alors que j’avais déjà heurté son cœur… Elle m’exorcisait, quitte à se blesser. Auréa ne savait presque rien de mon passé si ce n’est que de mon passage à Aprilia. Il y avait une personne qui m’avait rongé le cœur en prenant la fuite, une personne à qui je m’étais ouvert pour finalement sentir la chute violente contre le sol. J’avais aimé cette personne d’une force aussi brûlante que le feu, d’une vitesse aussi invisible que le vent et j’avais encore le mal d’elle, elle me donnait des vertiges et ses yeux me faisaient encore du mal. Je quittais le lit et décidais d’écrire pour tenter de vider tous cela, toutes ces choses qui ne s’avouaient pas. Je noircissais les pages avec ma rancœur, celle qui naît de mon âme et de toutes ces fois où l’on m’a poignardé. Je me noyais dans les aléas de cette histoire scandaleuse, dans les aléas de mon histoire. J’avalais les mots. Mes mots ? J’inscrivais mes paroles dans le temps, je les gravais dans la pierre comme pour me rappeler d’où je venais. Le visage étincelant de ma mère illuminait mes iris, les échos des éclats de rire de mon frère lorsqu’il n’était qu’un gamin se bousculaient tous dans ma tête et l’image de mon père qui s’en allait était l’ombre imposante du tableau… Les lettres valsaient dans ma tête. Comment ça tournait dans ma tête… Comment ça tourne depuis tant d’années… Les phrases sans sens s’enchaînaient toutes, je ne comprenais pas pourquoi j’écrivais tout cela mais je l’écrivais malgré tout. Les mots qui s’alignaient me faisait refaire marche-arrière et me permettait de chercher qu’est-ce qui avait tout foutu en l’air. C’était sans doute pour ça que j’écrivais, pour comprendre ce qu'il avait bien pu se passer.

Mes mots ne suffisaient pas, j’avais beau noircir cette feuille, mon passé restait toujours là, je pouvais sentir son souffle tiède. Il m’étouffait. Je laissais tombé le stylo et regardais Auréa, je ne savais pas la définir, je ne savais que ressentir ce besoin constant d’elle à mes côtés, celui de la serrer contre moi jusqu’à ne plus savoir si j’étais elle ou moi, la sentir encore et encore. Il fallait que je trouve une solution, que je règle ces problèmes, que je sache où aller. Je m’écoeurais d’avoir ces secrets. Ce rôle que je m’étais façonné était en train de me tuer. Je me tuais moi-même… Je quittais la chambre pour prendre une douche, il était 4h17 mais je n’arriverais plus à dormir. Je laissais l’eau inonder mes mauvais songes, briser mes pensées. J’avais cette envie de sentir ce liquide en moi, celui qui me déconnecterait de toute cette paranoïa, de tous ces changements d’humeur ingérables. J’observais mon bras, je touchais la veine qui avait été transpercé tant de fois et je me rendais compte que j’étais dépendant. Ces changements d’humeur, cette agressivité, cette susceptibilité, cette distance que je mettais entre moi et les autres… Je savais d’où ça venait… Je sortais immédiatement de la douche, m’habillais et descendais dans le salon. Le fait de prendre conscience que j’étais en manque me rendait anxieux… Je n’avais plus rien, rien de quoi me calmer. Je supposais qu’ils avaient tout jeté et je sentais que je m’énervais, je ne tenais pas en place. Je changeais d’endroit toutes les dix secondes enchaînant les cigarettes mais rien ne me calmait. Je prenais ma veste et m’en allait, je claquais la porte nerveusement et réfléchissait à ce que je m’apprêtais à faire. Je pouvais très bien me procurer ce qu’il me fallait, me défonçait et assouvir ce putain de manque ou me rendre chez quelqu’un, quelqu’un qui connait ce que je ressens, quelqu’un qui hante mon passé et avec qui je pourrais en parler sans retenue. J’avais toujours le visage d’Auréa en moi, je voyais toujours les éclats de sa peau d’or étincelaient sous mes doigts et c’est cette vision qui m’avait poussé à faire mon choix. Je ne céderais pas à la poussière d’Ange, aussi brillante soit-elle.

Il n’y avait qu’une personne à qui je pouvais parler de ça sans me sentir mourir sous la honte, je n’avais nul part d’autre où aller, je ne savais pas parler de ces choses-là avec d’autres personnes. J’entrais dans la voiture, démarrais et partais vers le studio de Maxim, je ne savais pas si elle allait me laisser entrer chez elle mais il fallait qu’on se parle, sans rien, sans personne. J’étais toujours en colère, mon cœur avait été cerné de perles vermeilles car elle l’avait fait saigné, elle m’avait fait saigné. Revenir et s’excuser me semblait tellement trop facile, elle avait brisé une histoire merveilleuse, j’avais peut-être ce besoin de lui faire comprendre que je n’oublierais jamais, qu’elle m’avait marqué d’une cicatrise ineffaçable. Elle savait pourtant que j’étais rancunier, que je ne donnais qu’une fois mon cœur mais elle avait risqué, elle avait risqué de me perdre car elle n’avait pas eu confiance en moi alors que j’aurais tout fait pour qu’elle soit heureuse… Il fallait que je lui parle de ma vie actuelle, de tout ce qu’il s’est passé et je voulais qu’elle me dise qu’est-ce qu’il s’était passé de son côté, j’avais besoin de comprendre entièrement et pas à moitié. Elle avait perdu ma confiance, elle avait mis elle-même cette distance entre elle et moi. Je ne pouvais pas lui pardonné, malgré que mes souvenirs causer des troubles, mon cœur était à Auréa. Je lui avais donné le soir de mon retour de Russie et je n’allais jamais lui reprendre, car Auréa était ma renaissance. Le monde commençait à se réveiller dans la ville, je n’allais pas la prévenir de mon arrivée cette fois, j’allais débarquer chez elle comme ça, je prenais le risque de me faire virer. Je me garais et sortais de la voiture, toujours avec mes nerfs qui me faisait trembler. J’entrais dans l’immeuble et prenais l’ascenseur. Je n’avais jamais été chez Maxim, c’était la première fois que j’allais visiter l’endroit où elle vivait… C’était elle qui venait toujours à la maison. L’ascenseur s’arrêtait à son étage, j’arrivais devant la porte, je respirais profondément avant de sonner… Et lorsque je reprenais un peu mon calme, je sonnais. La porte s’ouvrait.

- Je te dérange ? J’aimerais qu’on parle un peu, si tu le veux bien…
Revenir en haut Aller en bas
Maxim L. Ivanov-Woods

DARKNESS GIRL ♣
Story of broken heart .

Maxim L. Ivanov-Woods


Moi =D
▬ Relations:
▬ Armes & Pouvoirs: Peut redonner ou prendre la vie d'une personne par la pensé

Century of hurt - Maxim. Empty
MessageSujet: Re: Century of hurt - Maxim.   Century of hurt - Maxim. EmptyVen 9 Avr - 23:29

Century of hurt - Maxim. F9hx5u Century of hurt - Maxim. 312z774
« DAMON M. TALLIS &MAXIM L. WOODS »

L'amour n'a aucune limite on a beau le haïr on finit
toujours par l'aimer malgré notre destruction totale …




Deux heures du matin, l'alarme retentit dans toute la pièce obscur de la chambre, volet fermé, couverture sur elle ne voyant même pas si une personne en dessous se retrouve seul le bruit du réveil se fait entendre qui ne cesse d'augmenter. Insupportable voilà ce que devait sembler penser la jeune femme qui ne passa que sa main tentant de chercher en vain ce maudit réveil pour l'éteindre avant de finir par enlever la couverture posé sur elle et d'un geste elle fini par le jeter de l'autre côté de la pièce exaspérer d'être sorti de son sommeil. Les yeux à peine ouvert elle poussa un simple soupir avant de refermer les yeux ne voulant qu'une chose : Dormir malheureusement c'est quelques minutes plus tard ou du moins ce qu’elle croyait qu'elle se réveilla le front en sueur faisant à nouveau le même cauchemar qui la hantait chaque jour depuis plusieurs années. C'est d'un bond qu'elle sortit de son lit s'asseyant sur le bord se répétant sans cesse que ce n'était qu'un mauvais rêve rien de plus peut-être pour s'en convaincre elle-même. C'est dans un regard qu'elle chercha son réveil pour voir l'heure se rappelant qu'il se trouvait à l'autre bout de sa chambre et prit alors son portable qui indiquant déjà presque huit sept heures et demi ce qui la surpris elle qui pensait n'avoir dormi que quelques secondes. Elle reposa furtivement son portable sur la table de nuit et décida de se lever d'un coup, mais fut soudainement prit d'un vertige et d'une migraine qu’elle se ressaya un bref instant posant sa main sur sa tête laissant la douleur passer et quand ses esprits lui revint elle se releva ouvrant les fenêtres pour laisser le soleil entrer et surtout faire échapper cette odeur de renfermer qu’elle-même ne pouvait plus supporter une seule seconde. Après un geste de sa part elle se dirigea vers la partie de son studio lui servant de salon se frayant un chemin face à la horde de vêtements qui se trouvait à terre. Arriver a destination elle ferma d’un seule coup ses yeux qui ne supportait pas la vu du jour. D'un geste elle mit son bras pour se couvrir et partit dans la salle de bain, en se regardant dans le miroir elle-même ne semblait plus se reconnaitre. Elle était loin la toxico, drogué, agressive qui avait habité cet appartement pendant de longues années. C'est en entendant le son de son portable que celle-ci sorti de ses pensées et alla voir qui lui avait laissé un message. Elle le prit dans ses mains et vit la photo qui accompagnait le nom de la personne qui lui avait laissé le message qui n'était autre que son frère. Soudain un petit sourire se dessina sur son visage avant qu'il ne décide de l'ouvrir ...


10 av. 2010 ▪️▪️ 07.50 pm ▬ Message d’Aleksandr

Hey ma jumelle devine qui c'est non pas besoin tu n'as qu'un seul et unique parfait jumeaux c'est-à-dire moi. Devine qui a encore gagné prévue quelque chose de génial pour cette semaine ? Un indice il est très intelligent et tu l'aime plus que tout bien sure tout ça c'est moi comme toujours. Demain tu me réserves ta journée et tu m'offres un beau cadeau pour te faire pardonner de ton absence trop longue. Je passe plus tard je t'aime et amuse toi au lieu de rester à la maison...


Après avoir lu et répondu au message de son frère celle-ci jeta le portable sur le lit se rendant compte que de l'heure si matinale et décida de se rafraichir sous une bonne douche bien froide car il n’y avait que ça qui arriver a bien la réveiller. Elle entra très vite dans la douche laissant l'eau l'apaiser, c'est ce qu'elle aimait, sentir le contact de l'eau qui lui procurait une sensation d'apaisement, appuyant ses main sur le bords fermant les yeux et ce pendant une dizaine de minutes ou elle finit par stopper la douche se dirigeant avec cette serviette autour d’elle dans le coin chambre de son studio prenant quelques affaires qui lui venait directement en main et ainsi elle mit un tee-shirt blanc ainsi qu'un jean sur avant de ramasser les affaires qui trainaient là ou elle avait dormi , elle fit une petit grimace en voyant l'était de sa chambre avant de repartir après un bref petit ménage si on peut le dire. Après un bref moment de solitude comme elle en connaissait tellement la jeune femme mit ses mains dans ses poches sans trop savoir quoi faire aujourd'hui. Sortir ? Quel importance elle était peut être de retour depuis peu, mais il fallait l'avouer sortir n’avait jamais était son activité favorite. A la différence de son frère cela l'importait bien peu. Le soleil était à peine visible face à la vu de la ville qu’elle pouvait apercevoir de ça fenêtre. Elle attrapa son ipod le mettant sur ses oreilles tout en allumant une cigarette marchant sans trop savoir pourquoi. Un bruit la sorti de ses pensées, elle enleva alors les écouteurs de ses oreilles puis reconnue la sonnette de son appartement. Elle regarda alors l’heure, huit heures… Une chose était certaine ce n'était pas Aleksandr qui avait l'habitude de rentrer sans même prendre la peine de préciser qu'il était là. Elle fuma une dernière fois sa cigarette avant de l'écraser et se dirigea vers la porte et quand il voulu voir qui ça pouvait bien être il ne vit presque rien, la lumière n’était pas allumer et Maxim n’arrivait pas à distinguer quoi que se soit. Elle ouvrit alors la porte et fut plutôt surprise quand elle distingua enfin Damon.

▬ « Je te dérange ? J’aimerais qu’on parle un peu si tu le veux bien… » avait-il laisser échapper laisser échapper, elle ne répondit pas tout de suite surprise de le voir la, devant la porte de son appartement. Il n’était jamais venue ici durant toute leur relations, il n’avait jamais mit les pieds dans cette appartement et il n’avait d’ailleurs jamais demandé à le voir. Mais aujourd’hui tout avait changé et il semblait avoir besoins de réponse.
▬ « Non tu ne me dérange pas, entre. » avait-elle fini par dire voyant un silence gênant qu'elle ne supportait pas avant de laisser entrer le jeune homme. Elle ferma la porte derrière elle avant de retourner vers lui et ne pu s'empêcher de remarquer combien il était divinement beau.

▬ « J'imagine que tu sais déjà ce que tu veux savoir, alors pose moi toute les questions que tu veux. »

Maxim avait reprit son assurance devant le jeune homme sans montrer combien elle avait du mal à ne pas la regarder et décida de rallumer une cigarette pour se détendre tout en proposant une boisson à Damon qui la rejoignit s'asseyant pas très loin d’elle sur le canapé.
Revenir en haut Aller en bas
Damon M. Tallis
Damon M. «
    Dust in the wind.

Damon M. «  Dust in the wind.
Damon M. Tallis


Century of hurt - Maxim. Empty
MessageSujet: Re: Century of hurt - Maxim.   Century of hurt - Maxim. EmptyMar 13 Avr - 15:13

Century of hurt - Maxim. 2iboy0j
Baby loves to dance in the dark 'cause when he’s looking she falls apart.
When it ’ s so wrong what you did but I still feel this way.
This is my heart, and I won’t allow that disrespect. Baby,
Don’t look at me like that ,I don't belong to you.Runaway.
And If you’ re wondering if I’m staying answer is No Way.
    Draw those flames
    before her.

J'avais pu lire sur son visage qu'elle n'avait pas prévu une seule seconde que j'allais arrivé comme ça chez elle, j'avais toujours eu l'habitude de la prévenir avant, de lui donner rendez-vous via sms mais il n'était plus question d'habitude à présent. Je ne voulais plus jouer comme avant, j'avais besoin de comprendre ce qu'il s'était passé réellement, si elle avait rencontré quelqu'un, si elle avait tenté de m'oublier comme moi j'avais essayé de le faire. Elle était rester figée quelques instants avant de me répondre enfin, je ne savais pas si j'étais capable de la regarder assez longtemps sans ne rien ressentir mais mes sentiments n'arrangeront plus rien. C'était mon coeur, elle l'avait détruit et je n'étais pas le genre de personne à accepter ce genre de manque de respect. J'avais passé la totalité de mon adolescence avec elle, j'étais tombé amoureux de ses yeux bleutés, elle me faisait vacillé avec un simple regard et elle le savait mais je m'étais fait empoisonné, c'est toujours lorsqu'on est le plus accroc qu'on vous retire votre besoin. C'était dangereux, l'amour était dangereux. Il nous pousse à faire des choses folles, meurtrières, insencées, sans qu'on hésite une seule seconde. J'avais toujours pris mes distances avec chacune des filles que j'avais aimé car je savais pertinemment qu'elles avaient le pouvoir de me détruire. Ma fierté me sauvait à chaque fois, je ne plierais jamais devant une femme. C'était inconcevable pour moi. Maxim et moi avions l'habitude d'explorer le sombre, c'était une part de nous qui s'obstinait à nous faire souffrir et on aimait ça. C'était assez difficile à comprendre, il fallait le vivre pour comprendre ce système. Nos love games avaient toujours été poussés au maximum. On avait prétendu que c'était simplement pour s'amuser mais à chaque fois que le jeu allait trop loin, on avait mal silencieusement mais c'était ce que nous voulions. C'était ce qu'on avait toujours voulu. Elle ne laissait pas le temps au silence de s'installer et m'invitait à entrer dans son studio. J'étais impatient sans l'être réellement, je n'étais jamais entré dans ce studio. Je n'avais jamais demandé à y venir non plus et j'y été à présent. Cela faisait un an, seulement un an. Je revoyais des choses en flash back, j'avais été tellement proche d'elle avant et maintenant c'est à peine si on osait se regarder...


J'entendais la porte se refermer après mon entrée, c'était risqué ce que je faisais, je le savais, je jouais avec le feu. J'étais en train d'essayer de me prouver à moi-même que je pouvais être fidèle. Je n'avais jamais été un homme stable sentimentalement parlant, je passais d'une fille à l'autre, sans remords, sans regrets et je m'effaçais de leur vie aussitôt. Jusqu'ici, j'avais toujours été volatile, briser le coeur de filles ne me faisait pas de mal mais tout avait changé, enfin c'était ce que je pensais à cet instant. Il y a un an, j'aurais sûrement trompé Auréa, je serai rentré chez moi de la façon la plus naturelle du monde et j'aurais recommencé le lendemain mais Auréa était cette fille qui rendait mes sentiments fidèles, je le ressentais au fond de moi. Maxim était partie s'asseoir dans le canapé, je la rejoignais rapidement. Elle avait allumé une cigarette, je pouvais sentir ses tensions mais son visage restait impassible, je me rendais compte à quel point elle était bonne actrice. J'avais toujours aimé sa façon d'être mystérieuse, elle en jouait et ça m'attirait inlassablement. Elle m'avait proposé quelque chose à boire mais j'avais refusé, je n'avais besoin de rien. Je voulais juste lui parler, me tester. Je me forçais à mettre mes souvenirs de côté, je me forçais à ne pas tout détruire encore une fois. Je savais que je n'avais plus le temps de réfléchir, ni même le temps de penser comme j'avais l'habitude de le faire à l'excès. Je devais dire les choses comme elles étaient et arrêter de tourner autour de la chose durant trois heures. J'avais du mal à séparer mes sentiments et mes envies, c'était difficile pour moi car j'avais toujours été impulsif, agissant en fonction de ce que je ressentais. Je me sentais pris par les sentiments, ça me rendait ingérable et je redevenais l'ami du silence. J'aurais aimé partir encore une fois, n'importe où. Loin d'eux. Loin de tout mais je ne pouvais pas mais je ne voulais pas me sentir enfermé. Je ne savais pas si j'étais capable de vivre comme ça, avec cette impression de me faire voler ma liberté car c'était la chose la plus précieuse que j'avais. Je ne voulais pas appartenir. Je voulais donner, c'était très différent.

« J'imagine que tu sais déjà ce que tu veux savoir, alors pose moi toute les questions que tu veux. »

Maxim avait vu juste, je savais exactement les questions qui tournaient dans ma tête, elles m'avaient tellement nargué que je ne pouvais que les connaître. Je ressentais ce besoin de tout savoir et il n'y avait que Maxim qui pouvait me donner les réponses que j'attendais. En réalité, je ne savais pas comment m'y prendre avec elle, il fallait que je me situe à nouveau. Il fallait que je lui parle d'Auréa, lui dire que je n'aimais qu'elle malgré les souvenirs qui restaient toujours en moi, qui me ramenaient au passé inconsciemment. Je ne peux pas m'empêcher de ressentir, je ne peux pas faire abstraction d'un passé qui me tiens à coeur, ça m'est impossible et tant pis si je ne suis qu'un incompris. Je n'ai jamais cherché à ce que l'on me comprenne. Je ne voulais pas me laisser dévoré. Je suis un solitaire endurci, Maxim le savait, surement car elle était pareille. Ce comportement engendrait souvent des blessures à notre entourage, c'était sans doute égoïste mais c'était ça ou l'explosion. Comment pourrais-je leur faire comprendre ça ? Je n'ai jamais réellement su m'exprimer et lorsque je le faisais, on ne me comprenait pas. Une sorte de misanthropie était en moi, ancrée en moi et personne n'avait jamais trouvé le remède. J'avais beau rire, j'avais beau faire semblant. Au fond, je savais que personne ne pourrait m'approcher de trop prés. J'ouvrais la porte à Auréa pourtant, naturellement. C'était nouveau pour moi. Je n'étais peut-être pas fait pour aimer une personne mais je ne me voyais pas arrêter de l'aimer, elle. Elle était toujours dans ma tête, pourquoi je m'obstinais à essayer de comprendre alors que ce n'était en réalité que des sentiments ? Pourquoi ça me faisait mal de l'admettre.. ? C'était quoi la différence ? Pourquoi j'étais comme ça ? Pourquoi je me faisais toujours planter par n'importe quel moyen ? Chacune de mes actions avaient un sens. Je ne faisais rien sans raison. Comment les choses se seraient passées si Maxim m'avait emmené avec elle ?

- Pourquoi tu ne m'as pas emmené avec toi ? Où est-ce que tu as été ? Est-ce que tu as rencontré quelqu'un là-bas ? Est-ce que tu as tenté de m'oublier ? Pourquoi tu ne m'as pas appelé ? Pourquoi tu n'as pas eu confiance en moi ?

Je sentais mon coeur se fissurer encore une fois, je le sentais fragile malgré cette inexpressivité que j'affichais à longueur de temps. La douleur n'avait pas toujours besoin de parler, la mienne était muette. Je regardais Maxim dans les yeux comme pour lui faire savoir que j'en avais assez de toute cette agitation et surtout de toute l'incompréhension qui me rendait malade. Je n'attendais pas qu'elle m'aide, je voulais juste comprendre, avoir des réponses à ce qui me posait problèmes. Elle n'avait pas eu le droit de me laisser tomber, je l'aimais. Elle le savait. Pourquoi etait-elle partie si je la rendait heureuse ? Je savais qu'elle ne m'aurait pas fait de mal mais son ignorance a été pire que tout. Je ne pouvais pas tolérer ça, je le rejetais, je rejetais cette idée, ce qu'elle m'avait fait car cela faisait parti de mes blessures et j'en avais assez des blessures. Pourquoi l'humain s'obstinait à infliger ça ? Je ne comprenais pas le monde, il se détruisait et il semblait continuer. Je n'étais que son reflet. J'étais la banalité incarnée et je me détestais. Je ne me ressemblais plus et personne ne comprenait, n'arrivait à me convaincre alors j'attendais, sans trop savoir pourquoi. J'étais épuisé, je n'avais rien demander. Je voulais juste m'en sortir. Je ne disais rien car la pitié n'était pas la chose dont j'avais besoin. Je repensais à Aleesha, à qui j'avais brisé le coeur. Est-ce qu'elle allait partir ? Est-ce qu'elle avait été sérieuse en me disant qu'elle allait s'effacer... ? Elle ne me pardonnerait jamais... Je l'avais cherché.


Spoiler:
Revenir en haut Aller en bas
Maxim L. Ivanov-Woods

DARKNESS GIRL ♣
Story of broken heart .

Maxim L. Ivanov-Woods


Moi =D
▬ Relations:
▬ Armes & Pouvoirs: Peut redonner ou prendre la vie d'une personne par la pensé

Century of hurt - Maxim. Empty
MessageSujet: Re: Century of hurt - Maxim.   Century of hurt - Maxim. EmptyLun 31 Mai - 22:31

Century of hurt - Maxim. 2gxhc48

DAMON & MAXIM




    « Pourquoi tu ne m'as pas emmené avec toi ? Où est-ce que tu as été ? Est-ce que tu as rencontré quelqu'un là-bas ? Est-ce que tu as tenté de m'oublier ? Pourquoi tu ne m'as pas appelé ? Pourquoi tu n'as pas eu confiance en moi ? » Elle aurais aimé pouvoir reculer encore un peu plus cette instant, rester cacher seul dans son appartement en attendant qu’elle ai le courage de répondre a toute ces questions sans verser une seule larme mais il ne lui avait pas laisser le temps. Il avait besoins de réponse après cette longue années d’absence et elle le comprenais et imaginer qu’a sa place elle aurait voulue exactement la même chose. Pourquoi elle ne l’avait pas emmener avec elle ? Elle ne le savait même pas vraiment mais c’était de toute les choses qu’elle avait fait ce qu’elle regretter me plus. Ils étaient heureux et elle avait mit fin a leur bonheur parce qu’elle ne se sentait pas assez bien. Avec le temps elle s’était très bien rendue compte que c’était l’acte le plus égoïste au monde. Ou elle était aller ? A Paris, un endroit ou elle était certaine que personne n’irait la chercher. Les premiers jours là bas n’avait pas était les plus simple d’ailleurs elle ne s’était jamais réellement habituer à la capital française et a ses habitants. Seul quelque endroit avait retenue son attention et il n’ était pas rare de croiser Maxim sur les bords de seine un clope a la bouche observant tout les couples mains dans la mains pensant a celui qu’elle avait laissé derrière elle et qui lui manquer terriblement. Si elle avait rencontré quelqu’un ? Non en tout cas il n’y avait eu personne dans sa vie sentimental mais seulement un bande de russes exilé a Paris qu’elle avait croiser un soir. Trois filles et quatre garçons, elle s’était particulièrement bien entendu avec Leonilla bien moins extravertie que les autres mais beaucoup moins tordu que Maxim. C’était d’ailleurs la première fois qu’elle s’entendait aussi bien avec une fille puisque jusque la elle n’avait côtoyer quasiment que des garçons. Elle avait trouver en Leo une confidente et cette dernière était d’ailleurs la seule a savoir pourquoi Maxim avait quitter les siens. C’est Leo les soir ou Maxim n’allait pas bien qui trouver les mots pour la calmer, la rassurer et si Max’ en est là aujourd’hui c’est en partie grâce a cette fille qu’elle n’oubliera jamais. Si elle avait tenté de l’oublier ? Non. Même l’alcool et la drogue n’effacer pas Damon de ses pensé. Il n’y avait pas un jour ou en se réveillant elle toucher l’oreiller d’a côté pour voir si il était la et pas une nuit ou elle ne rêvait pas de lui. Pourquoi elle ne l’avait pas appeler ? Elle avait a de nombreuse reprise voulue appeler, les soirs surtout ou quand elle était seule et que toute ses pensés se tourner vers lui. Appeler juste pour entendre sa voix… Oh oui elle aurait tant aimer le faire mais n’avait jamais oser. Pourquoi elle n’avait pas eu confiance en lui ? Si seulement il s’avait qu’au monde il était surement l’une des personnes en qui elle avait le plus confiance. Son seul problème c’était elle, c’était en elle qu’elle n’avait pas confiance. Il n’y avait pas plus mal dans sa peau que Maxim Louna Woods et ça la rendait malade. Comment pouvait elle se battre contre elle-même sans faire mal a l’autre ? Elle n’avait jamais trouver la réponse. Alors elle était partit sans rien dire et avait commise la plus grosse erreurs de ça vie. « Je ne sais pas Damon… J’aurais dut t’emmener si tu savait comme je regrette tout ce que j’ai fait. J’étais à Paris et non je n’ai rencontré personne la bas, je n’ai chercher personne ou même répondue a aucune avance je ne voulais personne d’autre que… »Elle se coupa nette dans ça phrase elle ne savait pas si elle avait le droit de dire qu’elle n’avait jamais aimé elle qu’elle n’aimerais jamais que lui âpres tout ce temps. Et elle se demandait d’ailleurs comment il aurait put la croire après qu’elle soit partie comme une voleuse le laissant seul. Et pourtant elle prononça se mot, il voulait la vérité et de son coté elle ne voulait plus rien lui cacher. « Personne d’autre que toi… et je sais que je n’ai pas le droit de te dire ça et que tu ne m’aime surement plus après tout ce que j’ai fait mais je ne peu pas garder tout ça pour moi Damon. Mon exile m’auras au moins aider a grandir et a comprendre que même si je ne suis pas comme les autres ça ne me donne pas le droit de tout garder pour moi. Je ne t’ai pas appeler parce que je ne voulais pas te faire encore plus mal que ce que j’ai put faire et parce que j’ignorais tout de la réaction que tu aurais put avoir… si seulement tu savais comme j’ai rêver d’entendre ta voix, de te voir, de te toucher… Si seulement tu savais comme tu ma manquer Damon ! Si seulement tu imaginer comme je me sens mal a l’idée d’avoir put te blesser… »Plus les mots sortait de ça bouche et plus les larmes venait se disperser sur ses joues. Elle s’était promis de ne pas pleurer, pour lui parce qu’elle n’avait aucune excuse et que pleurer n’allait pas arranger les choses et pourtant elle n’arrivait plus a contenir ses larmes. « Comment peut tu pensais que je n’avais pas confiance en moi ? La seule personne en qui je n’ai pas confiance et de qui j’ai peur c’est moi… je suis mon pire ennemi aussi étrange cela puisse paraître depuis maintenant un peu plus d’un ans je me bas contre moi-même. Et je veux que tu sache que ce qui nous est arriver n’ai en aucun cas de ta faute mais seulement de la mienne et je suis prête a en assumer toute les conséquence. »


Spoiler:
Revenir en haut Aller en bas
Damon M. Tallis
Damon M. «
    Dust in the wind.

Damon M. «  Dust in the wind.
Damon M. Tallis


Century of hurt - Maxim. Empty
MessageSujet: Re: Century of hurt - Maxim.   Century of hurt - Maxim. EmptyJeu 3 Juin - 0:54

Century of hurt - Maxim. Xlfbc2 Century of hurt - Maxim. 24g4xp4
Stop the world, I wanna get out. I need an escape away from this crowd.

C'était toujours les même choses qui repassaient dans ma tête, les même souvenirs qui refusaient de disparaître une bonne fois pour toutes. J'étais en train de réfléchir, à des choses inutiles, des complications, des problèmes que je créais seul. Depuis qu'elle était parti, je crois que j'avais oublié la simplicité alors je décidais de laisser aller, de tout laisser aller et d'aviser ensuite. Je devais lui paraître certainement brusque, trop impatient mais ces questions étaient souvent les raisons de mes migraines. J'avais l'impression que les murs se resserraient autour de moi, que l'air m'échappait. Tout semblait être contre moi, oui, tout. Je le méritais peut-être mais je ne savais pas si j'étais assez fort pour supporter ça. Pour sentir cette sensation, ces vertiges. Est-ce que j'avais besoin de ça ? De ces complications ? Putain, non mais je ne trouvais pas l'issue, je me sentais coincé. Pour la première fois de ma vie. Le fait qu'elle soit de retour, le fait qu'elle me trouble encore autant me rendait nerveux, anxieux. Je ne pouvais pas. Pourquoi ? Parce qu'Auréa alors qu'est-ce que j'étais censé faire ? J'aurais voulu ne plus rien posséder. Ne plus rien avoir. Plus aucune attache. Juste ma peau. J'éttoufais, gardais ma colère en moi et je regardais les autres se pavanaient de tous leurs exploits alors que j'en avais rien à faire. J'étais sans doute dur, sans doute tranchant mais j'avais l'impression d'être une bombe à retardement. Je n'arrivais pas à me calmer, je n'étais plus capable de rien lorsque ma colère me balayait. Mon sang coulait trop vite, passait à travers mes artères violemment. Ma cage thoracique s'affolait toute seule. J'étais tellement loin d'eux. Pourquoi s'accrochaient-ils ? Je ne savais pas si c'était le manque qui me faisait penser de pareilles choses ou si c'était réellement ma colère. Je ne savais plus rien. Je ne contrôlais pas et ça m'insupportait. Tout autant que je m'insupportais moi-même.

J'étais venu jusqu'à Maxim par instinct, sur un coup de tête comme si mon subconscient refusait de me laisser l'effacer définitivement. Ce n'était pas une bonne idée, j'étais en colère, la haine me dévorait et je me pointais chez elle. Elle n'était pas au courant de ce qu'il se passait, elle n'était pas au courant de toutes les choses que je vivais en ce moment et je ne pouvais pas lui en vouloir au final car sa liberté était importante pour elle, je le savais et je tenais assez à elle pour la laisser partir si elle le désirait réellement. Je ne savais pas ce que je faisais ici, je ne savais pas ce que je faisais tout court et je me sentais brûlé. J'avais l'impression que ces chaînes qui me retenaient n'étaient en fait que celles que je me mettais moi-même. Je crois que j'étais malade, simplement et purement malade. Plus rien ne m'intéressait si ce n'est que ma chambre, l'encre, le papier et le silence. Je ne voulais plus entendre mes propres battements, le moindre son m'exaspérait. J'étais la lamentation personnifiée, j'aurais aimé me brûler, être sourd et muet. Je voulais disparaître, j'enviais les fantômes et c'était lamentable. Les pensées se nouaient entre elles sans que je ne puisses les arrêter, j'étais avec Maxim, j'attendais des réponses, j'espérais que la colère se dissipe. J'avais envie de hurler, de tout briser juste pour que cette rage me quitte. Je voulais évacuer. Oublier mais on ne me le permettait pas. J'imaginais déjà les choses que l'on pensait de moi, celle qu'on préférait dire en mon absence. Je savais ce qu'ils pensaient mais ce qu'ils ne savaient c'est que rien ne changerait. Maxim m'avait fait mal en partant, c'était un fait réel mais si elle était partie, c'est qu'elle avait mal avant moi et que je n'avais rien vu... Je n'étais donc personne pour la blâmer, personne pour lui interdire d'avoir essayé de reprendre son souffle. Je la regardais dans les yeux, toujours avec cette intensité qui m'habitait lorsqu'elle se perdait dans mon regard et je l'écoutais en respirant le plus profondément possible.


« Je ne sais pas Damon… J’aurais dut t’emmener si tu savait comme je regrette tout ce que j’ai fait. J’étais à Paris et non je n’ai rencontré personne la bas, je n’ai chercher personne ou même répondue a aucune avance je ne voulais personne d’autre que… Personne d’autre que toi… et je sais que je n’ai pas le droit de te dire ça et que tu ne m’aime surement plus après tout ce que j’ai fait mais je ne peu pas garder tout ça pour moi Damon. Mon exile m’auras au moins aider a grandir et a comprendre que même si je ne suis pas comme les autres ça ne me donne pas le droit de tout garder pour moi. Je ne t’ai pas appeler parce que je ne voulais pas te faire encore plus mal que ce que j’ai put faire et parce que j’ignorais tout de la réaction que tu aurais put avoir… si seulement tu savais comme j’ai rêver d’entendre ta voix, de te voir, de te toucher… Si seulement tu savais comme tu ma manquer Damon ! Si seulement tu imaginer comme je me sens mal a l’idée d’avoir put te blesser… »

La sincérité qu'il y avait dans sa voix agissait comme un pansement, j'avais l'impression que la vérité que je croyais percevoir me faisait du bien. C'était un espace d'air avant de retourner mes peurs, ma vie. J'étais fatigué des cris dans ma tête, je ne savais pas si les gens voyaient que j'étais fatigué de tout. Délavé par les mensonges, abîmé par les choses que je n'arrivais pas à rejeter. J'en été même arrivé à retenir mes propres pensées. Les gens devaient sans doute croire que je le fais exprès, que je cherche les problèmes et peut-être qu'il y avait une part de vrai dans tout cela mais tout ce que je ressentais était la fatigue. Une rechute, quelque chose dans ce genre. Vivre avec son mal, c'est ce que je m'efforçais de faire ou est-ce que je pouvais dormir ? Baisser les armes ? Je ne savais pas, j'étais venu ici en espérant trouver une solution. Je ne parvenais pas à détacher mon regard du sien. J'aurais aimé qu'elle voit l'état de mon coeur, qu'elle voit à quel point je n'étais pas apte à comprendre que je me perdais et il n'y avait qu'à ces mots que je m'accrochais à l'instant. Je voyais sa peine, ses larmes descendaient le long de ses joues. Ni elle, ni moi n'avions eu de chance, je connaissais son histoire, elle connaissait la mienne et nous étions trop blessés pour en parler, c'est pour cette raison qu'on ne disait rien, qu'on s'effaçait et qu'on laissait la place aux autres. Peut-être qu'on était trop fragiles pour vivre ici, peut-être je n'en sais rien mais je n'étais pas lâche et elle ne l'était pas non plus. Les explications qu'elle me donnait me rassuraient d'un côté et me faisait mal de l'autre car plus rien ne serait plus jamais comme avant, je n'étais plus seul. Elle aussi, elle m'avait manqué. Je l'avais cherché dans les nuits trop longues. Mon coeur me faisait mal encore lorsque je me rappelais de notre façon d'être étranges. Loin des autres, complètement dans un autre monde. J'avais besoin d'une pause, de quelque chose qui pourrait m'endormir. Loin, très loin de tout. Je touchais son visage encore une fois en essuyant les larmes qui éteignait la lumière dans ses yeux, il ne fallait pas qu'elle baisse les bras. Il ne fallait pas qu'elle pleure, elle avait des trop jolis yeux pour ça.

« Comment peut tu pensais que je n’avais pas confiance en moi ? La seule personne en qui je n’ai pas confiance et de qui j’ai peur c’est moi… je suis mon pire ennemi aussi étrange cela puisse paraître depuis maintenant un peu plus d’un ans je me bas contre moi-même. Et je veux que tu sache que ce qui nous est arriver n’ai en aucun cas de ta faute mais seulement de la mienne et je suis prête a en assumer toute les conséquence. »

Elle n'était toujours pas guérie. Elle avait toujours ce mal d'elle-même et ça me faisait mal de comprendre que je n'avais pas pu l'aider, que je n'avais sans doute pas été à la hauteur. Je pensais à Sydney qui me prenait pour un égoïste, c'est sans doute ce que j'étais. Un putain d'égoïste qui ne pensait qu'à sa souffrance mais qui ne savait pas comment faire pour s'en défaire. Comment aider les autres si on ne sait pas comment faire pour vivre convenablement ? Comme faire pour ne pas être ce que je suis ? Un misanthrope, quelqu'un de sale mais qui avait un coeur. Peut-être qu'il battait faiblement mais il battait. Je ne voulais pas voir ces larmes sur le visage de Maxim plus longtemps... On n'échappe pas au destin, ce qu'elle a fait allait sans doute lui servir un jour. Il fallait que je cesse de me prendre pour un martyrisé. J'avais des bleus au coeur mais les bleus, ça part toujours. Je ne comprenais pas pourquoi je me sentais si calme soudainement, là, à caresser son visage pour qu'elle cesse d'avoir mal, en la regardant dans les yeux comme si c'était la première fois que je la voyais. Je lui souriais sans réellement savoir pourquoi, je voulais simplement qu'elle se sente en sécurité. Elle ne devait pas se damner pour une erreur, je n'étais pas si cruel. Je ne pouvais pas rejeter ses explications, ses mots, sa sincérité. Elle avait assez payer et sa présence me redonnait un peu de force. Je n'avais pas beaucoup dormi, la fatigue s'étendait dans mes muscles mais je ne voulais pas encore partir. J'avais des chose à lui dire, des choses à vivre. Malgré les blessures. Malgré tout, je suis vivant. Cette phrase revenait sans cesse en moi : " Je suis vivant. "

- Et si je ne sais pas ce que sont les conséquences ? Je voudrais que tu ne saches pas pleurer, je voudrais que tu sois souriante tout le temps car tu as déjà assez souffert comme ça. Je ne peux pas te juger, je ne le ferais pas. Je voulais simplement comprendre et j'ai compris. J'ai eu mal mais ça fait parti du passé. Je ne peux pas te dire ce qu'il se passera dans l'avenir mais j'aimerais savoir quelle est ta vision. Qu'est-ce que tu pense qu'on deviendra ?

Spoiler:
Revenir en haut Aller en bas
Maxim L. Ivanov-Woods

DARKNESS GIRL ♣
Story of broken heart .

Maxim L. Ivanov-Woods


Moi =D
▬ Relations:
▬ Armes & Pouvoirs: Peut redonner ou prendre la vie d'une personne par la pensé

Century of hurt - Maxim. Empty
MessageSujet: Re: Century of hurt - Maxim.   Century of hurt - Maxim. EmptyJeu 3 Juin - 21:24

Century of hurt - Maxim. 2wrnu6a Century of hurt - Maxim. 28byzy8

DAMON & MAXIM


♠️ On à tous besoins d'être sauvé un jour ou l'autre.



    Voilà, tout était dit pourtant elle ne se sentait pas soulagé. Cette boule au ventre qu’elle traîner depuis son retour n’avais pas disparu. Elle lui avait tout dit, il était au courant et la seule chose qui hantait à présent son esprit était l’idée qu’il ne veuille plus entendre parler d’elle. Oui c’était maintenant la chose qui lui faisait le plus peur, un simple rejet de la part de Damon pourrait avoir de lourde conséquence sur la vie de Maxim. Tout les efforts qu’elle avait fait, tout ses sacrifice rien de tous ça n’aurait plus aucune importance si il n’était pas la. Sans lui, elle savait très bien qu’elle ne résisterait pas a l’envie de reprendre de la drogue et donc a s’autodétruire comme elle l’avait jusqu'alors toujours fait. Il était ça raison d’avancer, la seule personne pour qui elle avait envie de se battre et sans lui la vie ne valait pas le coup d’être vécue. Et pourtant elle était partie loin de lui, à l’époque c’était à son avis la seule solution… elle n’était pas une personne fréquentable et Damon mérité mieux. Comment aurait elle put le rendre heureux ? Alors qu’elle s’était toujours considérer comme une moins que rien, une personne trop différente des autres pour pouvoir être accepter… une fille a problème. Oui à l’époque elle n’était rien d’autre qu’une fille a problème et aujourd’hui encore malgré tout c’est effort elle avait l’impression que ça situation n’avait pas réellement changé. Oui elle avait réussie à arrêter la drogue et toutes ses conneries mais au fond elle savait très bien que tout c’est problèmes n’était pas réglé. Elle avait pourtant décidé de revenir, vivre loin de Damon & Alek était devenu insupportable et même si elle ignorait tout de ce qu’il l’attendait elle avait pris le premier avion est débarquer du jour au lendemain presque comme elle était partie. Partie en laissant la seule personne qu’elle n’avait jamais aimé et qu’elle aimerait surement toujours. Aujourd’hui il n’y avait plus que le regret et les larmes. Des larmes qui ne cessait de se reprendre sur son visage, Damon s’avança alors vers elle et toucha son visage… une première depuis plus d’un an. Et alors, elle se sentit revivre comme si les dernier mois qui était passé n’avait était qu’un reflet d’elle-même, comme si pendant tout ce temps loin de lui elle n’était qu’une sorte de morte-vivante qui avançait sans but précis. Puis un sourire illumina son visage qu’elle observait depuis quelque instant et la boule au ventre qu’elle traîner derrière elle avait disparu, si simplement qu’elle avait dut mal a y croire. Un simple geste de la part de Damon et Maxim se sentait revivre tout ce résumé à ça. « Et si je ne sais pas ce que sont les conséquences ? Je voudrais que tu ne saches pas pleurer, je voudrais que tu sois souriante tout le temps car tu as déjà assez souffert comme ça. Je ne peux pas te juger, je ne le ferais pas. Je voulais simplement comprendre et j'ai compris. J'ai eu mal mais ça fait parti du passé. Je ne peux pas te dire ce qu'il se passera dans l'avenir mais j'aimerais savoir quelle est ta vision. Qu'est-ce que tu pense qu'on deviendra ? » Un large sourire vient se déposer sur les lèvres de Maxim dés que Damon avait prononcé quelques mots. Il ne lui en voulait pas mieux encore il voulait la voir, la savoir heureuse, il ne voulait plus qu’elle souffre. Elle aurait aimée pouvoir lui promette que oui, elle ferait de son mieux pour être heureuse et que le mot souffrance ne ferait plus partie de ça vie… mais elle en était incapable. Depuis le début de ça vie elle avait cumulé plus d’instant malheureux que la plupart des hommes. Pour elle la signification du mot bonheur ne se résumé en un mot : Damon. Depuis toujours, elle ne c’était jamais sentit aussi heureuse et épanouie que dans c’est bras, qu’à c’est côté. Mais elle ne savait pas ce qu’il voulait, ce qu’il attendait de leur relation aujourd’hui c’est pour cela qu’elle ne pouvait lui promettre d’être heureuse. Ce qu’ils allaient devenir ? Elle n’en avait pas la moindre idée, depuis le début elle n’avait jamais put planifier l’évolution de leur relation. Devenir ami ? Non ils le savaient très bien tout les deux, ils étaient bien plus que ça. Damon & Maxim, Maxim & Damon presque un mythe et même si ils rencontraient des difficultés, même si leur histoire semblait voué a l’échec elle avait foie en eux. Même aujourd’hui malgré tout ce qu’elle avait fait, elle savait qu’il n’y avait que lui qui pourrait la rendre pleinement heureuse, qu’il n’y avait que lui qu’il l’attirait de cette façons là, qu’il n’y avait que lui et qu’il n’y aurait jamais que lui. «Je n’en sais rien. Tout ce que je sais c’est qu’on est Damon & Maxim et que l’un ne va pas sans l’autre en tout cas moi je ne vais pas sans toi. Je ne sais pas ce que tu veux, ni ce que tu attends de moi, de nous. Je sais seulement que pour moi rien n’a changé, que tu es toujours le seul & l’unique… »


Spoiler:
Revenir en haut Aller en bas
Damon M. Tallis
Damon M. «
    Dust in the wind.

Damon M. «  Dust in the wind.
Damon M. Tallis


Century of hurt - Maxim. Empty
MessageSujet: Re: Century of hurt - Maxim.   Century of hurt - Maxim. EmptyVen 4 Juin - 18:47

My heart is wanted.
Century of hurt - Maxim. 2s8fma0 Century of hurt - Maxim. 2rh8vx3
Century of hurt - Maxim. 11goc5c Century of hurt - Maxim. Vqoaiw

Beaucoup de choses ont débarquées dans ma vie durant cette année, beaucoup d'imprévus se sont réalisés sans que je ne puisses rien changer et aujourd'hui, j'étais face à tout ça, face à tout ce que je n'avais pas su contrôler. Pourquoi était-il nécessaire pour moi de tout contrôler ? Pourquoi j'y m'était tant d'importance ? Je continuais à chercher même si je savais que je ne trouverais jamais. Mon père avait raison sur une chose, être soi-même est la seule chose que l'on est censé faire. C'était aussi la chose la plus difficile pour moi. Je ne m'ouvrais qu'à peu de gens et je ne le faisais que rarement car j'étais le contraire de ce que je montrais. Est-ce que Maxim est partie car elle ne voulait pas me mentir ? Comment s'était-elle senti durant tous ces mois... C'était la question qui me touchait le plus. On ne choisit jamais la vie que l'on aimerait avoir. C'était sans doute facile de rejeter la faute sur le destin, facile de penser comme je le faisais en ce moment même mais quelque chose n'allait pas, quelque chose n'était pas juste et c'est sans doute ce quelque chose qui faisait de moi ce que je suis aujourd'hui. Elle souriait toujours, elle souriait et je ne pouvais m'empêcher de penser à ces moments où je n'avais attendu que ce sourire, celui qui était sous mes yeux. C'est comme si je ne me rendais pas compte qu'elle était de retour, qu'elle était là. C'est comme si je n'y croyais pas et pourtant c'est ce qu'on appelait la réalité. J'étais bousculé, carrément bousculé et ça ne s'arrêtait pas depuis tous ces mois. Sans elle, sans Aleksandr. Sans personne. Je n'arrivais sans doute plus à suivre. Je ne savais plus trop où j'en étais, ni ce que j'étais. J'étais là, c'est tout. Je n'étais pas encore certain qu'elle allait rester, je n'étais sûr de rien avec Maxim. Elle était insaisissable. Le temps semblait avoir plus de valeur lorsque je me rendais compte qu'elle pouvait partir du jour au lendemain sur un coup de tête. Les secondes avaient tellement plus de sens lorsque le temps nous est compté, je supposais que le temps de la présence de Maxim était compté lui aussi. L'imprévisible se résumait à elle, c'est sans doute pour cette raison qu'elle ne m'avait jamais promis de rester.

Et pourtant j'aurais voulu qu'elle le fasse. J'aurais voulu qu'elle me promette de ne jamais me laisser mais elle ne l'avait pas fait, pour ne pas me mentir. Pour ne pas me faire espérer sauf que c'était l'inverse qui s'était produit, j'avais espéré. Aussi longtemps que je l'avais pu. Tellement fort que j'en été arrivé à penser que j'étais accroc, que je devenais paranoïaque et que j'effrayais les gens de cette façon. Ce n'est pas les autres qui me dérangeait en réalité, c'était la réponse que je n'avais pas pu avoir, l'attente qui me rendait complètement dingue. Sans exagérer et puis j'ai lâché prise et j'ai eu mal, toujours avec cet espoir pourtant. Je ne disais rien, je me contentais d'attendre qu'elle sonne à ma porte, qu'elle me prenne dans ses bras et qu'elle me dise qu'elle était revenue sauf que quand j'ouvrais la porte, il n'y avait personne. Chaque mot que l'on me disait me fissurer un peu plus le coeur, ce n'était même plus un coeur. C'était une passoire. Il était troué, éclaté, ensanglanté mais je ne disais rien. Il y avait toujours ce silence qui était en moi. Je ne pouvais pas changer de vie, je n'y arrivais pas et même si c'était injuste, je continuais à me battre. En attendant, je voulais que les saignements s'arrêtent et ils s'arrêtaient par moment. Ils s'arrêtaient grâce à Auréa mais se déclenchaient encore trop souvent. On ne pouvait pas nier que les choses avaient changées. Je ne pourrais jamais nier que j'aime Auréa. On ne peut pas nier non plus que j'étais rassuré de voir Maxim, de pouvoir la regarder. Ce n'était pas ça qui me rendait faible, c'était les sensations qu'Auréa pouvait ressentir. J'avais l'impression que plus j'avançais avec elle, plus je lui faisais mal et je ne voulais pas remplir ce rôle. Je ne voulais pas lui faire mal, je voulais qu'elle le comprenne. Je ne voulais pas partager la vie de la personne que j'aime si je la rendais malade, autant qu'elle soit libre, sans attache pour éviter qu'elle se meurt sous mes yeux. Je savais au fond de moi que je n'étais pas fait pour les relations. Je me braquais, je me forçais, je me faisais mal et je faisais mal... La réalité, c'est que j'étais désabusé et que je n'arrivais pas à ressentir une autre sensation.


« Je n’en sais rien. Tout ce que je sais c’est qu’on est Damon & Maxim et que l’un ne va pas sans l’autre en tout cas moi je ne vais pas sans toi. Je ne sais pas ce que tu veux, ni ce que tu attends de moi, de nous. Je sais seulement que pour moi rien n’a changé, que tu es toujours le seul & l’unique… »

Toute cette année sans elle m'a fait comprendre que je ne me foutais pas autant des gens que je le disais, que je leur donnais de l'importance et que ma confiance avait été salie encore une fois mais moi aussi, je salissais leur confiance, celle des gens qui m'étaient proches, en ne disant rien lorsque j'étais blessé, à continuer à jouer ce rôle. Je ne savais pas si c'était de ma faute, si c'était de la leur. Je savais juste que personne n'était blanc et que ma rancune était souvent démesurée. J'avais trop d'orgueil pour ne pas les blesser à mon tour. Donnant, donnant. Mais je me sentais incapable de me venger de Maxim et je ne le voulais pas car je savais pourquoi elle avait réagi comme ça à présent et je savais aussi qu'elle était fragile malgré tout ce que les autres pouvaient penser. Je n'allais pas lui déclarer la guerre, je ne voulais pas être stupide. La méchanceté me paraissait tellement inapropriée et inutile sur le coup. J'estimais que j'avais passé l'âge. Je n'avais pas vu qu'elle allait mal et je m'en voulais pour ça. J'avais toujours essayé de la rendre heureuse depuis le début même lorsque rien n'était sérieux entre nous, je m'efforçais de pas faire n'importe quoi. Je me retrouvais en elle, c'était étrange comme sensation, cette osmose qu'on pouvait avoir sans même se parler une seule fois. Elle savait ce que je pensais et même si elle n'en était pas sûre, je savais qu'elle le percevait. C'était impossible qu'elle ne me comprenne plus. J'avais passé tellement de temps avec elle auparavant que je n'avais pas peur de ce qu'elle ressentait, je savais que c'était une personne formidable et qu'elle était aussi perdue que moi depuis toujours. Elle avait raison, on était ce qu'on était et on s'appréciait tel que nous étions mais on avait évolués, chacun de notre côté et j'avais rencontré Auréa, j'étais tombé amoureux d'elle et il fallait qu'elle le sache. Je ne savais pas non plus ce que nous deviendrons, je savais juste qu'il y aurait toujours ce lien, inexplicable, cette sensation que le monde s'arrête à quelques paroles ou quelques gestes. Elle disait que j'étais le seul et l'unique, que rien n'avait changé... Quelque part, elle me touchait encore avec sa sincérité, sa façon de me parler et de me considérer. Seulement j'avais encore changé et je ne savais pas si elle connaissait celui qu'elle avait en face d'elle à présent, je ne savais pas si elle était resté la même. C'était nos souvenirs qu'on chérissait. Quand était-il du présent ? Je savais le mien.

- Je pensais aussi que l'un n'allait pas sans l'autre, vraiment j'y croyais mais quand tu m'as laissé et que j'ai vu que je pouvais tenir, je me suis dit que toi aussi, tu devais sûrement tenir et c'est sans doute ce que tu as fait. Tu as tenu sans moi même si ça a été douloureux. Je vais pas te cacher que j'ai cru devenir dingue... Le temps passait et tu ne revenais toujours pas, à un moment, j'ai lâché prise. Je me suis fait une raison mais les souvenirs... Je n'arrive pas à les oublier, bien que j'essaye. Je suis avec quelqu'un actuellement et je l'aime... Elle ne connaît pas ton existence, elle ne sait pas que tu es là, ce que tu représente pour moi. En réalité, elle ne me connaît pas vraiment mais tout ce qu'elle me fait ressentir, c'est fort. Tellement fort que je pense avoir besoin d'elle mais tu es là et je ne peux pas faire comme si ça ne me faisait rien, ça me fait quelque chose... Ca fait quelque temps maintenant que je suis perdu, que je retiens beaucoup. Je ne veux pas te blesser Maxim et je te dirais juste que je ne sais pas quoi faire.
Revenir en haut Aller en bas
Maxim L. Ivanov-Woods

DARKNESS GIRL ♣
Story of broken heart .

Maxim L. Ivanov-Woods


Moi =D
▬ Relations:
▬ Armes & Pouvoirs: Peut redonner ou prendre la vie d'une personne par la pensé

Century of hurt - Maxim. Empty
MessageSujet: Re: Century of hurt - Maxim.   Century of hurt - Maxim. EmptySam 5 Juin - 0:14

Century of hurt - Maxim. 2im71o0 Century of hurt - Maxim. Oub7g8

♠️ DAMON & MAXIM


PS : je t’aimerai toujours.



    « Je pensais aussi que l'un n'allait pas sans l'autre, vraiment j'y croyais mais quand tu m'as laissé et que j'ai vu que je pouvais tenir, je me suis dit que toi aussi, tu devais sûrement tenir et c'est sans doute ce que tu as fait. Tu as tenu sans moi même si ça a été douloureux. Je vais pas te cacher que j'ai cru devenir dingue... Le temps passait et tu ne revenais toujours pas, à un moment, j'ai lâché prise. Je me suis fait une raison mais les souvenirs... Je n'arrive pas à les oublier, bien que j'essaye. Je suis avec quelqu'un actuellement et je l'aime... Elle ne connaît pas ton existence, elle ne sait pas que tu es là, ce que tu représente pour moi. En réalité, elle ne me connaît pas vraiment mais tout ce qu'elle me fait ressentir, c'est fort. Tellement fort que je pense avoir besoin d'elle mais tu es là et je ne peux pas faire comme si ça ne me faisait rien, ça me fait quelque chose... Ca fait quelque temps maintenant que je suis perdu, que je retiens beaucoup. Je ne veux pas te blesser Maxim et je te dirais juste que je ne sais pas quoi faire.» Il avait raison, même si elle n’avait jamais eu aussi mal, même si elle avait cru a de nombreuse reprise qu’elle ne tiendrait jamais. Elle avait vécue loin de lui pendant une longue année, certes dans des conditions loin d’être rêver mais les faits était la et elle aurait beau faire tout et n’importe quoi, plus rien ne serait jamais comme avant. Il avait eu mal et à l’ instant où elle l’avait entendue prononcer ces mots elle sentit son cœur se fendre en deux. Il avait eu mal à cause d’elle et ça elle ne pourrait jamais se le pardonner. Les souvenirs… Il y’en avait tellement et il ne s’était pas passé une journée sans qu’elle pense a tout les moments qu’ils avaient passés ensemble depuis la première fois ou leurs regards c’étaient croisés. Cet instant avait changé la vie de Maxim a jamais, elle avait commencé à vivre quand Damon était rentré dans ça vie. Comme elle il ne les avait pas oublié mais lui par contre avait rencontré quelqu’un, quelqu’un qui l’aimait. La Maxim eu l’impression qu’on venait de piétiner son cœur devant ses yeux et qu’on le lui montrer le résultat en lui criant à la figure « Bien fais pour toi tu n’avais qu’a pas partir ! » Oui c’était exactement ce qu’elle pensait à cet instant précis. Au fond elle l’avait bien cherché, elle se sentait bête d’avoir put croire que tout serait facile qu’elle aurait seulement besoins de temps pour que tout redevienne comme avant. Plus bête encore, elle n’avait même pas imaginé qu’il y avait quelqu’un d’autre… elle n’avait plus qu’une seule envie se mettre sous sa couette et pleuré toute les larmes de son corps. Puis il eu c’est mot « Ce que tu représente pour moi » six petit mots qui allait tout changer dans l’esprit de Maxim. Il ne l’avait pas totalement oublié elle en avait la preuve, un infime espoir fit alors son apparition chez elle tout n’était peut être pas perdue. Oui mais il aimait aussi cette fille, et ça personne ne pouvait lui reprocher et d’une certaine manière Maxim l’apprécier parce qu’elle au moins était capable de rendre Damon heureux chose qu’elle n’avait pas réussi à faire. Il disait être perdue et elle le comprenait, elle avait souvent eu l’impression que Damon était une version d’elle au féminin. Il était tout les deux mystérieux, difficile à suivre, torturé et secret et l’un comme l’autre n’était pas du genre à se confier facilement préfèrent de loin garder tout pour eux. « Oui j’ai tenue sans toi c’est vrai, mais ce n’était pas moi Damon. Je n’ai été que l’ombre de moi-même pendant un an, sans toi je n’avance pas de la même manière. J’espère que cette personne fait ce que moi je n’ai pas su faire : te rendre heureux. Mais je veux que tu sache que je serais toujours là, quoi qu’il arrive, n’importe où, a n’importe qu’elle heure… toujours. Quoi que tu fasses tu ne me blesseras jamais Damon et même si ça arrivait je ne pourrais pas t’en vouloir. »
Revenir en haut Aller en bas
Damon M. Tallis
Damon M. «
    Dust in the wind.

Damon M. «  Dust in the wind.
Damon M. Tallis


Century of hurt - Maxim. Empty
MessageSujet: Re: Century of hurt - Maxim.   Century of hurt - Maxim. EmptyLun 7 Juin - 13:23

Century of hurt - Maxim. 13yo6xw Century of hurt - Maxim. 9r4v90
    ▬ MAXIM & DAMON ▬
    You are the loneliest girl in the world, I'll watch you die a thousand times again. You are the loneliest girl in the world and I just want to make it go away, and I just want to make it go away.

Blesser Maxim en lui disant la vérité n'était pas mon but. Je voulais simplement être franc avec elle comme elle l'avait toujours été avec moi. J'avais su vivre avec son absence au fil des jours même si ça n'avait pas été facile, j'avais tenu. Je ne lui en voulais pas réellement aujourd'hui, c'était plus à moi que j'en voulais car elle ne m'avait parlé de rien. Elle était resté là à souffrir devant moi sans que je ne comprennes sa douleur. J'étais sans doute trop sous l'emprise de tous les sentiments qu'elle m'avait fait ressentir. Ils coulaient encore un peu dans mes veines mais tellement discrètement qu'ils n'étaient plus aussi perceptibles qu'avant. Au fond, je ne savais pas si un jour on se retrouverait elle et moi. Elle était partie en Europe tout ce temps et même si elle ne le disait pas, elle devait se douter de ma réaction, des conséquences que tout cela allait engendrer. Dans chaque problème relationnel, il n'y a jamais qu'une seule personne à blâmer. Ce sont les deux qui doivent être blâmer, je devais avoir laisser passer une douleur, une douleur que je n'avais pas vu, que je n'avais pas su éteindre. On s'était fait mal sans en prendre conscience et peut-être que ce recule lui a permis de diminuer la passion... Du moins, si elle avait été aussi élevée que la mienne. J'essayais de me convaincre que tout ce que j'avais vécu à ses côtés étaient des souvenirs à présent mais pourquoi ces souvenirs me manquaient toujours, aussi indétectables soient-ils ? Je n'avais jamais voulu briser des coeurs, faire couler des larmes. J'étais juste maladroit. C'était stupide mais c'était la réalité.

J'avais repassé notre relation comme un film que je n'arrivais plus à arrêter, c'était devenu blessant, obsessionnel et je me faisais peur de ressentir autant d'attachement. L'attachement me faisait peur mais seulement lorsque je prenais assez de recule pour comprendre la distance qu'il y avait entre celle que j'aimais et moi. Maxim était arrivé à un stade de rapprochement phénoménal sans qu'elle ne le veuille réellement, ce lien qui me reliait à elle s'était fait sans que je ne voye rien. Elle était apparue et depuis ce jour là, elle n'était plus jamais sorti de mon esprit. Elle était toujours quelque part en moi même si je ne me l'avouais pas à moi-même. J'aimais trop Auréa pour lui faire ça, j'avais trop besoin de ce souffle mélangé au mien pour avancer. Maxim connaissait aujourd'hui la partie la plus essentielle de mon présent et j'espérais qu'elle ne m'en veuille pas, qu'elle ne soit pas blesser et qu'un jour elle puisse oublier la douleur que j'avais pu lui faire ressentir en lui disant que je n'avais pas été apte à l'attendre et que mon coeur s'était fondu dans l'âme d'une autre femme, pas n'importe laquelle, la femme. Elle savait que je ne m'ouvrais pas, que je n'officialisais presque jamais. Auréa était celle qui me redonnait vie, celle en qui j'avais laissé une confiance aveugle, tellement aveugle que je me faisais des films tout seul de peur de la perdre. Jamais je ne pourrais effacer Maxim de ma mémoire, ça, j'en était certain et je ne savais pas ce qui nous attendait. Je voulais simplement qu'elle soit heureuse même si c'était avec un autre que moi, même si ça me toucherait de la voir dans les bras d'un autre. Je savais que si je venais à être en face de cette situation, le passé viendra m'infligeait un pincement au coeur, une douleur que je ne pourrais pas décharger. On était arrivés là, mon regard était celui qu'on avait craint le plus, celui du temps qui a changé.


« Oui j’ai tenue sans toi c’est vrai, mais ce n’était pas moi Damon. Je n’ai été que l’ombre de moi-même pendant un an, sans toi je n’avance pas de la même manière. J’espère que cette personne fait ce que moi je n’ai pas su faire : te rendre heureux. Mais je veux que tu sache que je serais toujours là, quoi qu’il arrive, n’importe où, a n’importe qu’elle heure… toujours. Quoi que tu fasses tu ne me blesseras jamais Damon et même si ça arrivait je ne pourrais pas t’en vouloir. »

La voix de Maxim semblait s'affaiblir à chacun de ses souffles, je pouvais imaginer ce qu'elle ressentait, je pouvais imaginer la douleur que je causais en ne faisant rien pour l'effacer. C'était cruel n'est-ce pas ? Peut-être l'étais-je. J'étais conscient que l'espace entre l'amour et la haine était extrêmement court. J'avais cette sensation de me trouver entre les deux. Est-ce que j'aimais ou je haïssais ? La vengeance nous rend ce que les gens nous ont pris. Un coeur froid ne ressent pas de pitié, pas de compassion mais la glace pouvait se fissurer et ça faisait mal. Je me perdais dans des pensées sans doute scandaleuses mais c'est ce que je ressentais, c'est ce qu'on me faisait ressentir et j'en avais assez, depuis trop longtemps mais je restais là. J'étais là même si j'en souffrais. Les choses que je pensais d'Auréa pouvait être tellement contradictoires en une simple fraction de seconde. Elle me mettait face au sol avec tellement de facilité, j'avais tellement mal, c'était mon orgueil qui me sauvait et pourtant elle n'avait qu'à me prendre dans ses bras, qu'à me prendre la main pour que je me sentes l'homme le plus apaisé du monde. Elle aspirait mon âme, elle m'enlevait ma vie mais la rendait plus forte simultanément. Est-ce que j'avais le coeur assez solide pour ça ? Pour entretenir ce genre de relation ? Je n'en savais rien, c'était la première fois. Tout me semblait trop décisif. Je n'étais pas apte à choisir, je voulais vivre. Vivre libre. Ce que Maxim me disait me brouillait encore plus que je ne l'étais, la relation que j'avais entretenue avec elle semblait tellement parfaite. Jamais aucune embrouille, aucun mal. La plénitude, la passion, les sensations. Rien d'autre mais pourquoi alors ça n'avait pas fonctionné ? Elle disait qu'elle n'avait pas su me rendre heureux alors que c'était le contraire, je ne m'étais jamais senti aussi fort, sans doute trop fort, trop sûr de moi. J'étais tellement loin de celui que j'étais à présent. Il fallait savoir perdre pour gagner. Avec Maxim, je gagnais sans cesse. Je ne savais plus si l'estime que j'avais pour moi-même s'affaiblissait ou si c'était la vérité ? Est-ce que je me trompais ? C'était elle, elle m'avait comblé ce qu'elle disait était faux.

- Tu mens. Tu mens en me regardant dans les yeux. Tu sais que j'étais bien, tu le sais que j'étais bien avec toi, c'est moi qui n'a pas vu ce que tu avais. C'est de ma faute mais je devais être aveuglé par ce que je ressentais. Ca me semblait incassable, la seule personne qui aurait pu briser ça, ce n'était que toi Maxim. Tu l'as fait, j'ai accepté. Il y a des choses qui m'habitent encore mais je ne sais plus. J'attends, je réfléchis et je crois qu'il y a rien de plus difficile. C'est tout ou rien. C'est moi ou eux. Je ne sais pas si tu me comprends, ça m'étonnerait fort d'ailleurs mais je ne te laisserais pas même si un autre venait à prendre ma place, jamais t'entend ? Je suis derrière toi depuis le début. Le temps ne changera pas ça. Tu peux me faire confiance.
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé




Century of hurt - Maxim. Empty
MessageSujet: Re: Century of hurt - Maxim.   Century of hurt - Maxim. Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

Century of hurt - Maxim.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» Absence de Maxim
» Pill for the ride { Damon ; Maxim ; Aleksandr
» MAXIM ◊ « Je suis devenu tout ce que je méprisais »
» Maxim •• Don't imagine you know me caus im worse
» You'll never take me alive [ Maxim, Alek, Damon ]

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
 :: bordel à trier-