Because the night __# [Pv Alice]

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La nuit était bien tombée au centre ville, seulement ce n'était pas cela qui allait faire que la vide serait plus tranquille bien au contraire. Maintenant il y avait toute la populace nocturne qui allait s'y mettre. Bref, on pouvait dire que le jeune Julian Fuller en faisait partit. Il avait passé une dure journée, bourrée en motivation ironiquement parlant bien sûr, seulement la nuit était toujours l'un de ces moments préférés d'une journée. Ce soir là, il avait bien l'intention de sortir un peu prendre l'air, mais surtout pour se noyer un petit coup dans un verre d'alcool en discothèque et pourquoi pas faire une charmante rencontre pour pimenter sa journée. Depuis quelques temps il avait le blues. Il n'arrêtait pas de repenser à Alice, dur d'oublier cette fille avec qui il avait vécu une aussi grande et belle histoire d'amour. Lui qui pourtant n'avait jamais cru au grand amour, et pourtant. Il était heureux d'être resté son meilleur ami, seulement c'était dur quand même et le lui cachait. Il avait du mal à se l'avouer mais il avait encore des sentiments plus que très fort pour elle. Quelques uns de ses potes lui avaient conseillé d'aller se lâcher et se changer les idées un peu en boite et comme tout mec qui écoute ses amis, il y alla.

Le jeune homme s'était donc fait tout beau pour l'occasion, se revêtant d'une belle chemise blanche légèrement entrouverte et d'un jeans noir délavé. Julian entra à l'intérieur de la discothèque, l'ambiance battait son comble. Il avait pas mal de monde, dont des tas de personnes entassés soit au bar soit sur la piste de dance au milieu. Il avait deux étages et quelques petites parcelles de ci de là. Julian observa les environs d'un œil rêveur puis alla se trouver une petite place près du bar. Il se laissa tomber sur une des chaises et commanda un martini rouge avec glaçons. Une belle et charmante jeune femme était assise à côté de lui. Il lui lança un de ses charmants sourires avant que celle-ci ne rougisse comme une tomate. Julian en rigola presque. Il attrapa son verre et en bu une bonne gorgée sans lâcher la demoiselle des yeux. Il se pencha légèrement sur elle pour lui demander à l'oreille si elle voulait danser avec lui. La jeune fille accepta timidement. Julian termina son verre et se leva, attrapant la belle blonde par la main pour l'emmener avec lui sur la piste.

Ils commencèrent à danser ensemble sur un bon morceau de pop, la fille se débrouillait plutôt bien et Julian commençait déjà à s'éclater. Quand le morceau se termina, le jeune homme lui vola rapidement un baiser puis l'a quitta quelques secondes pour retourner au bar. Seulement c'est en s'approchant du bar qu'il reconnut une jeune femme assise, plus particulièrement Alice, sa meilleure amie et ex petite amie. Son cœur fit un bon dans sa poitrine et il se retourna aussitôt. Il ne savait pas quoi faire bizarrement. Allait l'a voir ou faire comme si il ne l'avait pas vu...

L’heure était à l’obscurité, en cette nuit étoilée. Les astres resplendissaient dans la voie lactée tandis qu’Alice abasourdis par les traîtres mensonges de cette infâme terre décida de s’aérer un peu les esprits. C’est donc accompagné d’un groupe d’ami qu’elle chemina en direction d’une discothèque nommer « le Sun ».
Une fois arrivé à destination, Alice s’approcha immédiatement du comptoir histoire de boire quelques verres pour omettre ses soucis ainsi qu’oublier son ex compagnon : Julian Fuller qui n’étais ni plus ni moins devenu son meilleur ami bien que la brune désirait plus qu’un simple attachement éphémère.
Oui, la jeune femme était encore éprise de lui, néanmoins elle s’était résolue à n’être qu’une amie et rien de plus. De toute façon elle était persuadé que Julian l’avait déjà effacé de sa mémoire auprès d’une autre femme, comme a son habitude. C’était déjà mieux que rien : l’avoir a ses côtés étaient formidable et pour rien au monde elle n’aurait voulu le perdre.
C’est donc par cette pensée qu’elle se fit servir plusieurs verres de Vodka Red Bull avant de rejoindre ses amis et enfin se divertir les pensées.
Alice se trémoussa pendants de longues et interminable minutes auprès de ses amis, surtout d’un certain dénommer Dean : un chasseur qu’elle avait rencontré lorsqu’elle traquait quelques créatures maléfiques dans la forêt.
C’est donc a ses côtés qu’elle fit une danse accolée avant de reprendre un autre verre mais cette fois-ci de Malibu coca-cola.
Une fois la commande terminer, elle remarqua qu’un homme était poster a ses côtés et l’observais cependant elle ne voulait pas tourner la tête trop brusquement pour apercevoir son visage. C’est donc tout en finesse, qu’elle se joignit à lui.

-Julian ? Mais qu’est se que tu fais là ?

A peine eut-elle le temps de poser sa question qu’une femme le rejoignit tout en l’embrassant de pleine bouche. Ecœurer, Alice baissa la tête et entrepris le chemin du retour d’un pas lent et indistinct. Une leur luisante avait envahit ses yeux.

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L'ambiance battait toujours son comble dans la discothèque et de plus en plus de personnes rejoignirent la piste de danse laissant ainsi quelques places au niveau du bar ou des canapés qui ornaient les recoins des pièces. Alors que le jeune homme s'apprêtait à se rapprocher du bar pour se prendre une nouvelle boisson, il tomba sur Alice. Comme par hasard il tombait sur cette fille, celle qui possédait toujours son cœur et qu'il aimait. Apparemment ils semblaient toujours avoir les mêmes idées en tête tous les deux. Elle le salua et lui demanda se qu'il faisait ici. Julian lui souri chaleureusement s'apprêtant donc à lui répondre quand la précédente blonde revint à la charge l'embrassant à pleine bouche et par pure surprise.

*Pitié non pas maintenant !!*

Le jeune homme repoussa gentiment la blonde puis alla rattraper Alice juste à temps passant devant elle. Il retenta de reprendre la conversation l'air un peu navré.

- Hey attend... excuses moi c'était pas trop prévu...

Il se demanda un instant pourquoi Alice avait réagis comme ça au quart de tour face à cela alors qu'ils n'étaient plus ensemble. D'un côté si c'était lui il aurait sûrement fait de même mais venant d'Alice ça l'étonnait assez. Il se sentait tout de même assez c*n maintenant. Il soupira un instant et reprit :

- Je suis tout aussi surpris que toi de te voir ici Alice ! J'étais venu ici avec des potes.... et toi ?

Le jeune homme regagna très rapidement Alice puis survint face à elle d’un air affligé et s’excusa du comportement qu’il avait put avoir envers l’autre demoiselle or il ne s’y attendait pas néanmoins voir Julian dans les bras d’une autre était toujours aussi douloureux pour Alice. Elle se questionnait d’ailleurs sur la réaction de Julian. Pourquoi s’excusait-il après tout ils n’étaient plus ensemble, chacun s’était résolu à être de simple ami … La brune acquiesça donc d’un sourire pour ne pas paraître effaré face a la situation. Elle n’osait plus parler, par peur de bafouiller quelques mots jusqu'à se qu’il lui pose une question une fois son temps de paroles écouler.

- Idem, je suis venu prendre un peu l’air puis pour tout te dire si je ne serais pas venu avec eux, ils m’auraient sans doute obligé ou encore ils seraient rester a mes côtés dans mon appartement.

Soudainement, entendre la voix de son cher et tendre avait ravivé l’étincelle dans ses yeux. Comme si leur entourage n’était plus présent, elle ne voyait que par lui jusqu’au moment où Dean parvint a leurs côtés pour lui proposer une danse. Elle déclina son offre tout en restant aimable prétextant un mal de crâne horrible.
Ils allèrent donc s’assoir près du comptoir tout en ne cessant de se scruter l’un à l’autre du regard.

-Alors, comment sa va le boulot ? Je voulais m’excuser pour la derrière fois de t’avoir posé un lapin mais je travaillais sur une affaire et je n’ai pas put me libérer tu m’en veux ?

Face a la mine renfrognée de son ex compagnon, Alice entama une accolade a se dernier pour se faire pardonner tout en l’embrassant sur la joue en toute amitié tout honneur bien sûr . En tout cas , elle se mentait a elle-même sur se sujet la . . .

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A vrai dire, Julian n'avait pas même remarqué tout de suite qu'il venait de se laisser un peu emporter par la précipitation. Il venait de s'excuser d'avoir embrasser une fille alors qu'il n'était plus avec Alice. Il se baffa intérieurement tentant de se remettre un peu les idées en place mais en vint. Finalement, la belle brune semblait ne plus trop lui en vouloir, tant mieux, il se sentait déjà incroyablement rassuré. C'est fou comme son comportement avait changé depuis l'apparition d'Alice. Cette dernière lui raconta un peu plus en détail comment elle était atterrit ici et Julian finit par lui sourire doucement, ne cessant de quitter son regard noisette et ténébreux de celui de la demoiselle qui avait des yeux incroyablement envoutant. Elle était toujours aussi belle, même de plus en plus de jours en jours.

Une nouvelle étincelle avait aussi pris place dans le regard de Julian. Seulement quelque chose vint perturber cet instant en l'espace de quelques secondes. Un autre homme vint proposer une danse à Alice. Machinalement, Julian fusilla du regard le type comme si le malheureux venait de poser le pied sur une mine prête à exploser. Heureusement, la belle brune refusa l'offre du jeune homme proposant ensuite à Julian de s'installer avec elle au bar, évidement il ne refusa pas et l'a suivit. Suite à cela, elle lui demanda comment allait le boulot. Il lui souri malicieusement lui répondant :

- On va dire que ça peut aller... un peu la routine mais bon...

Elle s'excusa ensuite pour le lapin qu'elle lui avait mis la dernière fois. Il est vrai que depuis ce fameux coup du lapin Julian en avait assez voulu à Alice ayant pensée qu'elle cherchait à l'éviter mais entendant des excuses de sa part, ses remords venaient de s'effacer. Il garda son petit sourire et dit :

- Oh t'en fais pas je comprend et je t'en veux pas !

Elle l'embrassa sur la joue, Julian sentit son cœur rater un battement mais le cacha malgré lui avec difficulté. Son sourire s'intensifia. Il voulu poser sa main sur le comptoir sauf que maladroitement celle-ci se posa sur celle d'Alice pendant un instant. Cela fit comme un choc électrique. Il l'écarta, tentant de ne pas rougir dangereusement puis opta de suite pour reprendre la parole :

- Et toi ton travail ?

Julian me répliqua très plaisamment de ma dernière interrogation tandis que je le contemplais du coin de l’œil tout en l’écoutant. Sa voix éraillée m’avait terriblement manqué, il m’avait manqué ne serais-se quelque jours sans le voir en était trop pour moi.
Habillé d’une chemise blanche futilement entrouverte accompagné d’un jeans noir délavé, il s’était pris soin de s’approprier à la soirée qui s’annonçait probablement formidable. Il était d’une beauté inégalable se soir là, comme à son habitude d’ailleurs contrairement à moi.
Je n’avais eu aucune envie de m’accommoder pour une simple discothèque puis pourquoi ferais-je donc sa ? Personne ne m’attendait de toute façon. J’étais vêtu d’un simple jeans taille basse temps des cerises que je venais de m’acheter tantôt. Un jeans que je trouvais superbe ainsi qu’un décoltée assez branchée.

Julian m’expliqua ensuite qu’il n’avait pas à m’en vouloir. Bien sûr qu’il m’en avait voulu ! Le connaissant, il devait sûrement être très remonté contre moi. Puis il fallait avouer, que mon travail m’avait bien arrangé, c’était une excuse toute a fait valable et véridique. Bien que nous fussions meilleur ami, j’avais du mal à me concentrer sur une chose qui ne se relevait pas d’une simple discussion.

Lorsque l’accolade fut achevée, je rejoignis mon tabouret. J’avais eu la chance de pouvoir sentir son corps contre le mien ainsi que l’arôme qu’il émanait. Bien que se ne soit qu’un geste d’ami, je m’en contentai amplement, c’était tellement bon de pouvoir partager quelque chose en sa compagnie. Mon cœur battait la chamade alors que la main de Julian se déposa sur la mienne pendant un cours instant, un cours instant où nos regards ne cessèrent de se quitter, comme hypnotiser.
Je l’observais avec admiration, il m’éblouissait tellement que cela en devenait effrayant. Plus je l’examinais et plus je voyais la chance que j’’avais eu de l’avoir a mes côtés a l’époque seulement, malheureusement. Je me questionnais toujours sur la cause de notre séparation bien que cela était évident, nous aurions put faire face a cette situation a l’époque néanmoins nous en avions décidé autrement a croire que le destin ne prévoyais aucune avenir pour nous. J’immergeai mon regard énamouré dans le siens, il ôta sa main de la mienne en dégageant une tiédeur qui me produisait quelques frissonnements.
Julian s’empourprait face à cet acte déplacé non prémédité quant a moi, je me sentis mal à l’aise.

-Comme toi la routine quoi ! M’efforçais-je d’hurler dans se vacarme interminable.

L’endroit n’était pas très approprié pour discuter, c’est donc d’un geste tout à fait accommodé que Julian me proposa de sortir, j’agréais d’un sourire. Il me prit alors la main, sous le regard anxieux de mes compagnons qui savaient pertinemment mes sentiments pour mon ex compagnon. Il est vrai que je l’avais aimé, que je l’aime et que je l’aimerais toujours. A l’époque comme maintenant d’ailleurs, je ne croyais pas en l’amour éternel après tout, cela nous paraît tellement invraisemblable lorsque nous somme jeune ou seule. La rencontre de Julian m’a permis d’y croire du moins jusqu'à se que nous rompions.
C’est donc d’un pas vif, que nous parcourions la foule et ainsi déguerpir de cette pièce asphyxiante. Une fois dehors, nous nous assenâmes aux coins de rues pour enfin se conter quelques anecdotes à la belle étoile.
Je commençais à frissonner sous l’effet du vent, comme sotte que je fus j’avais omis de prendre une veste. Je m’accolai tout en délicatesse de mon ex petit ami tout en lui expliquant la raison de se rapprochement. Je ne voulais pas qu’il cogite des choses totalement absurdes … avec réflexion pas si absurde que sa …

- Au faite, ton don sa va mieux ? Tu arrive à le contrôler maintenant ?

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Malgré tous cela, l'ambiance, la musique, le monde autour, Julian n'était concentré que sur une seule chose. Plus particulièrement sur une seule personne, Alice. La belle brune était toujours aussi magnifique, peu importait la façon dont elle était vêtu car dans tous les vêtements, tous les états, et dans tous les cas elle restait belle. L'idée de ne plus être avec elle n'était pas encore avalé par Julian, il se demandait même encore pourquoi il n'était plus avec elle. Il savait pertinemment que c'était de sa faute seulement il était peut-être trop tard maintenant pour l'a récupérer. Peut-être qu'elle ne l'aimait plus ou avait déjà trouvé un nouvel amour. Rien que le fait d'y penser lui compressa le cœur. Non pour le moment le jeune homme ne se sentait pas près à prendre le risque de foncer dans un mur, mais le moment ne tarderait sûrement pas à venir. Julian était conscient qu'il n'avait vraiment pas un caractère facile, son côté impulsif devait insupporter Alice. Le problème étant aussi que depuis leur rupture, il ne s'est jamais excusé une seule fois de son comportement, sûrement dû à son orgueil.

Quand sa main prit contact avec celle d'Alice, un frisson parcourra le jeune homme. Ce n'était pourtant pas la première fois qu'il lui prenait la main, mais cette sensation lui avait tellement manqué. Lui rougissait à peine et elle était mal à l'aise. A chaque fois qu'il croisait le regard de la belle brune, il était très difficile de s'en séparer. En gros, chaque instant aussi proche d'elle était un vrai supplice. Ces sentiments ne partiraient donc jamais ? Il venait donc de lui demander comme se déroulait son travail et elle lui cria comme lui, que c'était la routine.

Ce vacarme qui au départ l'amusait commençait maintenant à l'embêter. Il proposa alors d'un signe tout à fait accommodé à Alice de le suivre pour aller discuter un peu dans le calme, dehors. Machinalement, il lui saisit la main et l'amena jusqu'à l'extérieur. Une fois dehors, il ne se rendit même pas vraiment compte de la fraicheur qu'il y avait ayant presque toujours chaud. Seulement ça ne semblait pas être le cas d'Alice. Elle vint se couver dans ses bras, Julian ne répondit pas non. Il souri à la question de la jeune femme et répondit :

- Oui on peut dire ça ! J'ai fais des gros progrès... à vrai dire ces derniers temps j'ai plus travaillé mon pouvoirs qu'autre chose.

Il s'écarta légèrement de façon à pouvoir noyer son regard ténébreux dans celui d'Alice, un sourire malicieux aux coins des lèvres. Il est vrai qu'au début, Julian avait quelques problèmes avec son pouvoir, brûlant tout est n'importe quoi. Mais à présent il s'en sortait nettement mieux. Il leva doucement une main de façon à l'a mettre entre eux. Il serra le poing et le desserra de façon à faire apparaître une petite boule de feu assez intense pour réchauffer la demoiselle.

Il me conta que ses temps-ci, il s’était centraliser sur son pouvoir afin de le développer.
J’avais perpétuellement envié mon ex-compagnon sur son don. Je trouvais sa capacité à produire du feu vraiment palpitant. Surtout très pratique et impressionnante. Cela me rappela de bon souvenir à l’époque où notre destin était scellé.
Il s’éloigna délicatement de manière à exercer son don, sous mon regard admiratif. Une étincelle jaillit soudainement de son poing formant ainsi une sphère de feu. Il s’accola de nouveau a moi, une flamme encore allumée pour me tiédi. Pensive, je dirigeai encore mon regard sur le sien comme si le lien qui nous unissait autrefois était encore présent. Personne ne m'avait jamais épié ainsi auparavant, de façon aussi perçante.
J’observais l’assombrissement hypnotique de ses yeux bruns. Mon cœur se mit à palpiter à ses côtés, je sentais mes joues s’empourprer et détourna mon regard du sien.
Je me résolu néanmoins à m’allonger dans ses bras protecteur. Ses bras m’emprisonnèrent et émanaient une douce chaleur. Il se fit un abondant silence à l'entour, et la majeure partie du reste du monde se mit à compter pour du beurre.
J’avais retrouvé l’être aimé, mon Julian, mon amour … Il m’avait tellement manqué, pourtant la distance n’était pas se qui nous séparait loin de là.
A l’époque où notre amour était réciproque, du moins jusqu'à la rupture, Julian comme moi traversions une étape de la vie que l’on pourrait qualifier de difficile, les étapes qui ont suivirent on été fatale. Depuis j’avais choisis de l’oublier. Un passé qui me remontait a la gorge si je n’y prenais pas garde , une douleur qu’il fallait étouffer autant que possible, en évitant tout ce qui était susceptible de la mettre à nouveau en éveil mais s’était trop tard il était de nouveau rentrer dans ma vie.

-Julian, je peux te poser une question ?

Soudainement, je frissonnai sous l’annonce de ma demande. J’espérais trouver des réponses toutefois je ne voulais pas pour autant le mettre mal a l’aise ou quoi que se soit d’autre.

- Qu'est se qui a fait qu’on en soit arrivé là ?

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Il est vrai qu'au tout début, Julian était plutôt effrayé par ses propres pouvoirs. D'autant plus qu'il ne savait pas vraiment comment s'en servir, et qu'il se sentait encore plus différent des autres. De plus, son pouvoir est très puissant et quand on ne sait pas le manipuler cela peut faire d'énormes dégâts. Le jeune homme avait même parfois l'impression que son pouvoir jouer un peu avec son tempérament. A présent, il se contrôlait beaucoup mieux étant presque à l'aise avec, et puis il a toujours su qu'Alice aimait ses pouvoirs. C'était sa source de motivation. D'ailleurs il utilisa son pouvoir pour réchauffer un peu plus la jeune femme tout en l'a rapprochant un peu plus de lui. Un geste qui était resté machinal pour lui. Si n'importe qui les voyait ainsi, on pouvait presque les prendre pour un vrai petit couple. Julian ne manquait pas d'avoir chaud avec son pouvoir mais la chaleur d'Alice était unique et incomparable. Elle était dans ses bras et elle ne semblait pas s'en plaindre. Depuis déjà quelques bonnes secondes, plus aucune question ne traversa l'esprit de Julian, là il n'avait pas la tête à ça. Il profitait du moment présent.

- Oui, vas-y je t'écoute !

Le jeune homme se mit à noyer son regard ténébreux dans celui bleu azur de son interlocutrice. Elle voulait lui poser une question. Comme souvent, Julian appréhendait toujours un peu quand Alice s'exprimait ainsi envers lui, il l'a connaissant par cœur et savait que quand elle s'y prenait de cette façon c'est que c'était pour rentrer dans un sujet pas très évident. C'est là qu'elle lui demanda se qu'ils avaient fait pour en arriver là. Elle aussi se poser la même question ? Exactement la même galopait dans la tête de Julian qui baissa légèrement les yeux. Depuis leur rupture, tous les deux n'avaient pas encore remis les pieds sur ce sujet. Serais-se enfin l'occasion ? Une petite lueur de nostalgie traversa les yeux de Julian.

- J'en sais rien...

Il n'en savait rien. Il ne savait surtout pas trop quoi dire. Il savait que tout était de sa faute, il s'en voulait tellement qu'il n'osait pas s'en excuser ni même tenter de récupérer Alice. D'après lui, elle pouvait mériter mieux. Le jeune homme soupira doucement défiant à nouveau le magnifique regard de la demoiselle :

- Dans tous les cas rassures toi, rien n'était de ta faute...

Un regard tourmenté par le bonheur d’innombrables commémoration, un souvenir qui n’est ni plus ni moins qu’un souvenir et rien d’autre. Le souvenir du bonheur n’est plus le bonheur bien au contraire. Des actes qui probablement ne s’exécuteront plus jamais laissent toujours une trace derrière eux.
Tout comme Alice, Julian ne savaient quoi répondre à sa question. A vrai dire ils ne s’étaient jamais pris le temps de discuté de la cause de leurs rupture, préférant laissez le passé derrière soit pour ainsi avancer vers l’avenir. La jeune brune aperçut une lueur de mélancolie franchir les yeux aveline de Julian. Il débuta la parole pour se rendre fautif, se qui était totalement faux. Alice se sentait autant coupable que lui après tout dans un couple nous somme deux.
Puis si quelqu’un devait être en tort, sa ne devait certainement pas être lui mais elle. En effet la jeune Alice n’avais jamais su divulguer ses sentiments envers une personne : sûrement par peur des représailles. C’est d’une délicatesse qu’elle saisissait son visage entre ses mains pour lui déposer quelque caresse de réconfort l’obligeant ainsi à relever sa tête et lui faire face. Son visage a quelque centimètres a peine du siens, elle inhalait sa fragrance fruité. Un liquide déambula de sa joue à présent rosé …

-Tu sais Julian, je n’ai jamais sus te dire les mots qu’il fallait, j’ai toujours eu peur de t’avouer mes sentiments. Je crois que j’avais peur de ton appréhension. Maintenant je suppose que c’est trop tard … Mais tu n’es pas fautif de se qu’il c’est passer … Tu sais je me souviens de la première fois où je t’ai vu. Tu avais débarqué derrière moi me faisant sursauter, tu m’as demandé l’heure, tu étais vêtu d’un simple jeans de Play Boy avec un col en V manche longue, les cheveux en l’air. Immédiatement on a bien accroché, on a passé la journée ensemble ainsi que la soirée. Au début j’avais longuement hésité, sachant pertinemment quel genre de personne tu étais, en tout cas que les gens jugeait. Mais je ne pouvais pas refuser, je ne voulais pas refuser … On a été chez toi, tu as fais la cuisine : des spaghettis bolognaise, d’ailleurs elles étaient un peu trop carboniser, du coup tu avais commandé une pizza quatre fromage mais sans aucun fromage a l’intérieur. Nous avions attendons patiemment devant la télévision se racontant quelques ragot sur la vie alors qu’on ne se connaissait à peine. On c’est endormi l’un sur l’autre avachi sur le canapé … Les soirées qui suivirent furent toute aussi intense les une des autres.
Je me souviens de la première fois où tu m’as embrassé. Je t’avais convié à une journée entre ami, tu as tout de suite accepté. Une fois là-bas, tu as voulu te balader un peu ne supportant plus l’atmosphère qu’avait instaurée le compagnon d’une de mes amies. Main dans la main, on s’était isoler près d’une forêt, le soleil resplendissait … Et toi tu étais là face à moi, tu à commencer à mettre de la musique, une douce& symphonique musique puis tu m’as observé droit dans les yeux et t’es approché pour me déposer un somptueux baiser.
Je me souviens de la première fois où nos corps se sont imprégné l’un comme de l’autre. Nous avions pris notre temps, tu n’étais pas comme les « autres » disaient, tu étais bien plus qu’un simple charmeur.
Je me souviens de toutes ces fois ou l'on s'est regardé dans les yeux, de tous ses sourires, de toutes ces fois ou tu m'as demandé si ça allait, de toute ces fois ou j'ai douté, ou j'ai récriminé pour toi ainsi que ces nombreuses fois où je me sentais bien grâce à toi. Je me souviens du manque que je ressentais quand tu n'étais pas la, de la sensation que j'avais quand mon cœur battait à tout rompre.
Je me souviens aussi de nos premières disputes, des moments difficiles que nous avons put traverser ensemble mais je me souviens surtout de toi et moi Heureux.
Je me souviens le jour où nous avons rompu. J'ai eu du mal à me faire une raison, pourtant il le fallait, nous ne pouvions plus continuer comme sa … Chacun avait eu sa dose de problème a l’époque, s’en fut trop pour notre couple …
Tu sais, j’ai mal de passer à coté de toi, de te regarder et de me dire que plus jamais je vais pouvoir vivre ces moments.
C'est frustrant de devoir jouer à l'indifférente, de devoir jouer le rôle de ta meilleure amie ; je t'ai aimé oui, tellement fort que te rayer de ma vie m’est impossible même si cela me fais du mal. J’ai beau tournée la page, je ne t’ai jamais oublié. Je n’ai jamais compris pourquoi je t’accordais toute cette importance, pourquoi je t’idéalise, pourquoi je serais capable de toute de pardonner, pourquoi je t’aime.

La jeune femme dévia le regard ténébreux de son amoureux, honteuse Alice se leva brusquement pour fuir cette situation déplaisante …

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Le jeune homme ne tarda pas à sentir les mains d'une douceur infinie d'Alice se déposer délicatement sur son visage de petit démon. Ce petit démon qui était devenu d'un seul coup un ange auprès de son ex petite-amie et censée meilleure amie. Oui il s'en voulait de leur rupture et a toujours certain que cela venait de lui, de sa jalousie, de sa possessivité. Il redressa la tête quand elle lui caressa doucement le visage, et défia à nouveau le regard de la belle brune. Il aimait tant quand elle lui faisait cela. Cherchait-elle à l'envouter un fois encore ? C'était déjà dur pour lui de lui résister ou d'essayer de tourner la page depuis leur rupture, mais le fait de se retrouver aussi proche d'elle rendait les choses encore plus difficiles qu'elles ne l'étaient. Julian poussa un petit soupire écoutant alors sagement tout se qu'Alice lui déclara. Alors là, il fut touché en plein cœur. Au fur et à mesure des paroles de la demoiselle, un sourire à la fois enfantin, joyeux mais nostalgique s'affichait sur son visage.

Oh que oui il se souvenait lui aussi de tout cela, de leur première rencontre, leur premier rencart, leur premier baiser, leur première nuit intense ensemble, leur première dispute... Le genre de souvenirs que Julian était sûr de ne jamais oublier et surtout qu'il ne voulait pas oublier. Tout ça lui manquait tellement. Seulement venant de la bouche d'Alice, cela le surprenait. Alors elle ne l'avait pas oublié non plus ? Quand elle eut finit, elle cita un "je t'aime" et aussitôt à cette entente, Julian tiqua. Avait-il bien entendu ? Non sûrement une hallucination, ça y est il devenait parano. Encore sous le choc de la magnifique déclaration d'Alice, qui l'avait profondément touchée, il ne réagit pas vraiment sur le moment. Cependant, on ne pouvait pas manquer cette étincelle qui brillait dans son regard ténébreux. Il était si proche de son visage, elle était si belle et envoutante. Il aurait bien aimé l'embrasser cependant il se l'était interdit, et puis elle ne voulait peut-être pas de ça. Il ne fallait peut-être pas aller trop vite ni faire un faux pas.

Le jeune homme avait encore la gorge bloquée mais réussit à se ressaisir doucement. Ses deux mains allèrent chercher celles d'Alice, son regard toujours agrippé au siens. Il souri légèrement. Il avait vraiment l'impression d'être un adolescent tout timide avec elle ou dans ce genre de situation un peu embarrassante. Sa langue se débloqua à son tour, et enfin il réussit à retrouver l'usage de la parole. C'est d'une voix douce et chaleureuse qu'il lui répondit doucement :

- Oui, moi aussi je me souviens parfaitement de tous ces moments Alice... et jamais je ne pourrais les oublier ! C'est toi qui m'a appris à vivre, du moins je vivais déjà avant de te connaitre mais se que je veux dire c'est qu'avec toi c'était encore plus fort ! Tu es celle qui me connait le mieux et qui a surtout chercher à me connaître jusqu'au bout sans jamais me juger ! Saches que chaque secondes que j'ai vécu avec toi, qu'ils aient été bon ou mauvais, étaient les meilleurs moments de ma vie.

Julian entrelaça délicatement ses mains avec ceux d'Alice, intensifiant un peu plus son sourire et sans modifier le peu de distance qu'il y avait entre eux.

- Après notre rupture... il m'était difficile de te voir seulement comme une meilleure amie, pendant tout ce temps ce fut une véritable torture pour moi. Je ne cessais de prendre sur moi. Comment peut-on considérer une femme qu'on aime comme un fou comme sa meilleure amie ? Je m'en veux parce que... je ne comprend pas comment j'ai pu être idiot au point de perdre la femme que j'ai jamais autant aimé et avec qui j'ai partagé d'aussi belles choses durant toutes ces années...

Alice avait distingué un sourire enfantin s’afficher sur le visage de son beau et ténébreux « Meilleur ami » bien qu’il conserva son côté nostalgique, il était toujours aussi captivant.
Les fines raies de lumière qu’émanaient les candélabres fessaient briller ses yeux dont la couleur aveline ressortait telle de fins cristaux immaculés de pierres précieuses.
Leurs visages à quelques centimètres a peine, charmaient l’un comme l’autre.
Nul n’osait exécuter un mouvement sûrement par crainte de briser l’ambiance qui s’était instauré.
Soudain, les chaleureuses mains de Julian progressèrent jusqu'à celle de la belle qui ne protesta pas, bien au contraire.
On aurait put les amalgamer avec quelques adolescent, sa n’aurait sans doute rien changé. La similarité était imminente. Deux adolescents sous l’apparence de deux être parfaitement mature.

Elle écouta attentivement le discours de se dernier tout en s’imposant quelques questions sans aucune réponses. Il paraissait réellement sincère, les mains du jeune homme s’entrelaçaient de plus en plus subtilement a celle de la brune.
Son visage dorénavant enfoui dans le torse de son ex compagnon, elle inhalait sa fragrance si envoutante tout en l’entendant. Elle ferma les paupières comme pour y retenir les deux lueurs bleues qui s'y étaient perdues, puis, elle voulut résister à ce vertige oppresseur.
Que feriez-vous si la seule chose qui vous maintenait encore en vie pourrait vous la rendre aussi pitoyable que vous l’êtes déjà ?
Avait-il encore des réels sentiments pour la belle ? On aurait put le croire néanmoins, il avait employé ses verbes au passé

-Moi aussi Julian, Moi aussi …

Après quelques minutes de courtes poses, la jeune demoiselle se dégagea difficilement de l’emprise de son idéal. Elle le fixa intensément dans les yeux, une lueur larmoyante y reflétant …

-Tu sais, il m’est arrivé un truc pour le moindre étrange hier, alors que je prenais ma douche. Une terrible impression de soif et de trop-bu, de faim et trop-mangé, de sommeil et d’excitation mais surtout d’une extrême lassitude de vivre. Un jour je t’ai dit que c’était fini, que j’étais complètement immunisée contre toi et tes effets secondaires indésirable … Mais se jour là, je crois bien que j’ai t’ai menti … Et que j’ai menti a moi-même par la même occasion…
J'ai toujours cru que le jour où je t'ouvrirai mon penchant pour toi, je dirai des mots tellement magnifiques qu'ils te couperaient le souffle, que mon cœur battrait tellement vite que j'aurai eu l'impression que d'une minute à l'autre il aurait pu exploser. Et là, à ce moment précis je suis juste déçu, je ne sais ce que je vais dire, et les phrases que j'imagine dans ma tête semblent tellement ridicules ... Et je pense à présent que tu rirais si je te les dialoguais ... Comment te le dire ? Un simple je t'aime suffirai non ? Mais tu me connais une fois la chose entamé je me sens le devoir de finir mon travail correctement. Enfin, j'aurai tellement voulu que ce moment soit prodigieux, comme dans un film a l’eau de rose, celui que l’ont avait regardé lors de notre rencontre, t’en souviens-tu ? Tu riais de leurs répliques quant a moi je t’écoutais paisiblement, observant chaque trait de ton visage mais il n’est pas question de te décrire notre soirée non ... J’aurais tellement voulu, une scène comme celle-ci, qui paraît ridicule à la télé mais qui serai pour moi parfaite. Vois-tu, ouvrir mon cœur est vraiment difficile maintenant que j'y pense. Alors je vais te dire «Simplement» ceci, sache que la seule personne qui fait accélérer les pulsions de mon cœur c'est toi, le seul visage qui me fait sourire dès que j'y pense c'est le tien, la voix qui me fait fondre n'est pas celle d'un vulgaire chanteur non c'est juste la tienne. La première fois que ton regard a croisé le mien, j'ai su que mon cœur n'allait battre que pour toi et toi seule. Je n'ai pas eu tort, à présent, aucune personne ne m’a fais autant d’effet que toi. Ca m'a paru tellement facile de me contenter d'un tes sourires au début et maintenant, je ne vis que pour ces petits moments de bonheurs sans importance pour toi. Maintenant rien ne sera pareil, une fois que je t'aurai ouvert mon cœur, la vision que tu as de moi sera juste différente je le sais, mais garder ce sentiment était beaucoup trop pesant. N'oublie jamais, s'il te plaît, que je t'aime et ce depuis longtemps déjà. Je n’arrive plus à une simple amie Julian, celle a qui tu confie tout tes secrets, je n’arrive pas a te voir avec autre que moi, il m’en est impossible Julian, je suis désolé …

Après un moment décisif de la conversation Alice respira une bonne bouffé pour annoncer se qu’il allait assurément être le plus dire à dévoiler.

-J’ai réservé un vol pour Paris demain a neuf heures. Je retourne voir ma famille et compte bien y emménager. Je ne peux plus rester une seconde de plus dans se foutu pays, pas avec tant de souvenir …

Les yeux noyés plein de larmes, Alice s’approcha de son meilleur ami et l’embrassa tendrement sur la joue respirant pour la dernière fois son odeur enivrante, ressentant pour la dernière fois la chaleur qu’émanaient ses mains, entendant pour la dernière fois son cœur battre au rythme du siens.
-Enrevoir Julian.

Invité Moi =D ▬ Relations: ▬ Armes & Pouvoirs:

Les mains toujours entrelacées dans celle de sa belle et magnifique "meilleure amie" il l'écouta silencieusement, respirant son odeur, cette odeur qui lui avait tant manquée. Il avait l'impression de rêver, d'être de nouveau avec elle, le genre de rêve qu'il faisait presque chaque nuit. Elle lui manque tellement. Le jeune homme continua de l'écouter pensivement, se laissant bercer par sa douce voix qui l'envoutait tant, quand tout à coup son étreinte se desserra lentement. Julian plongea son regard dans le siens, l'air interrogateur. Elle lui annonça d'un coup qu'elle avait réservé un vol pour Paris pour demain matin. Le cœur de Julian manqua un battement et son estomac tout comme sa gorge se compressa dangereusement. Non, ça ne pouvait pas être possible !

Sa gorge était tellement serrée qu'il n'arrivait plus à dire un mot. Alice vint lui déposer un baiser sur la joue, lui citant un "au revoir". Julian, encore sous le choc, semblait devenir de plus en plus pâle. Elle ne pouvait pas le laisser, ni partir ! Elle était tout pour lui. Il l'aimait tant ! Seulement là sur l'instant aucun mot n'arrivait à sortir de sa bouche. Plus il voyait Alice partir, plus il avait l'impression de mourir à petit feu. Les yeux ténébreux du jeune homme, en tant normal dur à cuir, se remplissaient de larme progressivement. Sentant ses jambes devenir trop faible pour le porter. Il se laissa tomber à genoux, et s'appuya contre un mur pour reprendre son souffle.

Il mit plusieurs bonnes minutes pour s'en remettre. Elle n'était plus là, et lui n'avait même pas réussis à réagir. Il se maudit intérieurement. Il se sentait si mal. Il devait l'a retrouvé à tout pris ! Il n'avait plus rien à perdre maintenant, son cœur était en train de saigner et de souffrir, le moment ou jamais de l'ouvrir à son tour. Cela avait été l'un des gros défauts de Julian, ne jamais trop oser dévoiler ses sentiments. Pour une fois, il allait s'ouvrir et retrouver la femme de sa vie. Il tenta de se redresser sur ses jambes, repartant à son tour...

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Because the night __# [Pv Alice]

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