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 Ivanov's family |- Aleksandr.

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Aleksandr Ivanov
Excorcise me.
† ▬   Excorcise me.
Aleksandr Ivanov


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MessageSujet: Ivanov's family |- Aleksandr.    Ivanov's family |- Aleksandr.  EmptyMer 1 Déc - 17:36



Jesse EzekianJohanson
Jamie Dornan





Complexe ♦ Double personnalité ♦ Tantôt doux , tantôt colérique ♦



    SWEET STORY

Je crois bien ne jamais avoir été comme tous le monde. Enfant déjà , je me rangeais du côté du mal. J'étais une personne solitaire , aimant me procurer un certain plaisir en me détruisant que ce soit extérieurement ou intérieurement. Je n'ai jamais été une personne semblable aux autres. J'aimais me faire du mal , me battre tout seul contre un mur , me faire pisser le sang. Je crois enfin de compte que c'était ma dose d'héroïne. La plus part des enfants du sexe masculins jouent à de simple jeu vidéo ou aime observer les filles, moi je n'étais pas ce genre d'enfant. Je n'ai jamais compris la jouissance que cela pouvait leur procurer mais je devais être un enfant normal, on me disait d'imiter, pour sûr je ne pouvais rien faire d'autres de toute manière. Puis l'enfance finit , place à l'adolescence , les premières pulsions , les premiers dérapages non avec moi même mais contre les autres. Enfant violent on me plaça dans un centre de redressement ce qui n'arrangea certainement rien. Au fond de moi, javais toujours eux ce manque qui me bouffais jour après jour. Ma mère était morte depuis mon plus jeune âge, c'est mon père qui dut m'éduquer, enfin éduquer était un bien grand mot le concernant. Il se nommait Loan Johanson, il ne s'occupa guère de moi , me délaissa , j'étais son crève-cœur , j'en étais certain. J'avais toujours sentis au fond de moi , que … Que je n'étais pas seul , quelque chose ou quelqu'un veillait sur moi et c'est cette chose qui me mena au merveilleux métier de chirurgien . Découper la chair , la sentir rompre entre mes scalpels étaient une sensation inné. J'étais fais pour ça , depuis mon enfance je me savais destiné à quelque chose , et cette chose c'était ça une certaine passion pour la chaire , pour le sang … J'étais un chirurgien des plus renommés qu'il soit dans mon état.
Un jour je fus appeler par un centre nommer «Aprilia » ,ont me fis des tests , une prise de sang et le tour était jouer , scalpels à la main je pouvais tous faire , exactement tout jusqu'à ce qu'un jour le directeur même du centre vînt à m'interpeller lors d'une opération. Je ne compris pas immédiatement la raison , il me posa toute sorte de question , des questions sans nulles réponses. Peu de temps après , il m'apprit avoir une famille. Un demi-frère ainsi qu'une demie sœur. Un était un célèbre mafieux ayant des dons titanesque , l'autre était une simple junkie. Je n'avais jamais eus de véritable relation avec les humains , ils sont trop abrutis par notre société , trop domestiqué. Je ne les aimais pas , mais quelque chose me disais , me forçais à retrouver cette famille ! Vladimir me fila toute les informations qu'il avait à sa portée. J'étais certain de plaire à mon frère ! C'était un tueur tout comme moi , nous étions fais pour nous entendre que voulez-vous ! J'ai réussis à rentrer dans son clan , il ne me voit pas , ne me souris pas. Je suis un fantôme, une âme errante. Je l'observe , l'examine. Je dois dire qu'il est la première personne qui me fait atteindre un véritable sourire aux creux de mes lèvres. C'est assez amusant je dois dire ! Ma sœur ? Elle ne m'intéressais guère , pas de temps pour une p*tain de Junkie ! Puis mon père , ce fameux Loan … Que dire lui ? Il voulut rejoindre le centre Aprilia , je l'aida après tout c'était mon père j'avais beau le haïr , je voulais absolument qu'il soit fier de moi. Il y entra en tant que garde de la milice. Quoi qu'il en soit je suis toujours en quête d'une famille , je suis certain qu'un jour je réussirais à aimer une femme , a avoir des enfants et qui sait mon grand frère pourrait être leur parrain …

Après tout , je suis le maître de mon destin , le capitaine de mon âme.
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je suis le maître de mon destin, le capitaine de mon âme.


Dernière édition par Aleksandr Ivanov le Dim 5 Déc - 20:29, édité 6 fois
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MessageSujet: Re: Ivanov's family |- Aleksandr.    Ivanov's family |- Aleksandr.  EmptyMer 1 Déc - 17:49


LoanJohanson
Gerard Butler





Sage ♦ Désir de vengeance ♦ Sportif ♦



    SWEET STORY

Quelqu'un à dit un jour , « Homme libre que nous sommes , homme dévasté que nous serons , homme libre nous toussaillerons. »
Étrangement , Loan n'avait jamais cru en cette phrase , elle résonnait sans cesse mais n'avait aucun impact sur lui. Vous savez pourquoi ? Tout simplement parce qu'il savait pertinemment que ce n'était qu'un leurre , un vulgaire mensonge. L'avenir affirmera son état d'esprit , l'avenir sera un bien triste monde. Loan vînt au monde alors qu'une tempête s'annonçait. Sa mère avait souffert plusieurs heures durant laquelle elle caressait l'espoir de le voir naître. Son père quant à lui nommer Johan , tenait fermement la main de sa femme exciter par le désir d'avoir engendré un enfant et de pouvoir l'éduquer en la compagnie de sa délictueuse femme. Un amour fusionnel , passionnel, un mariage réussit. L'enfant naquit donc sous le nom de Loan , Loan Johanson. Dès son plus jeune âge, il se distinguait des autres enfants l'entourant. Toujours en mal de soit , en mal du monde. Lorsque ses camarades s'amusaient , il était là , en compagnie de son professeur contestant ses idées , agréant d'autres. C'était un enfant fort intelligent pour son âge , assez avancé. Tendance bagarreuse , sa personnalité était encore très confuse à l'époque. A l'adolescence , il se calma quelques peu. Sortant comme n'importe quelle personne ,s'amusant comme n'importe qui néanmoins il se devait de jouer la comédie. Tout cela l'épuisait , il sentait qu'il n'était pas fait pour cela , il sentait que quelque chose le dévorait , il voulait se défoulé , il voulait hurlé au monde son état d'âme mais qui le comprendrait , il n'était qu'un enfant , un simple et banale enfant. Johan était un enfant assez isolé , il avait des amis certes , cependant il ne leur prêtait guère attention préférant ainsi être aux côtés de sa famille ou étudiant toute sorte de matière. Lorsqu'il atteignit les seize ans environs , ce fut une tout autre époqus. Le monde avait évolué ou plutôt régresser. La manipulation, la domination , la soumission , voilà ce qui régnait sur terre. Loan avec directement comprit ce que le monde adviendrait avec le temps , puis ... Le temps outrepassa , Loan devînt un brillant homme d'affaire , un avocat plus précisément.. Avec le temps il voulut commencer les choses sérieuses. Un beau soir , il rencontra alors une musicienne. Il fut directement absorbé par son regard océan , tellement bien qu'il crut s'y noyer à l'intérieur. Lorsqu'il voulut la revoir ,celle-ci déclina son offre cependant il s'entêta à la revoir à tout prix , lorsque chose fut faite , il s'aperçut d'une chose. La femme était enceinte, c'était une jeune femme encore fleurit ayant de nombreuses années devant elle contrairement à Loan qui quant à lui commençait à se faire vieux . Il lui promit de toujours veiller sur elle ainsi que de ses enfants qui seront siens. Deux jumeaux , à leurs naissances Loan nomma son fils Aleksandr , quant à sa femme elle nomma la petite fille Maxim. Désormais, Loan était une personne comblé jusqu'au jour où sa fille fut enlever puis vînt le tour de son fils. Sa femme quant à elle fut assassinée après avoir été séquestrée , violée. Heureusement pour lui son dernier fils nommé Jesse fut sain et sauf. Ce dernier venait tout juste de naître et n'avait que quelques mois , son frère ainsi que sa sœur ne s'en souviennent certainement pas. Par la suite , il entreprit donc des recherches pour en déduire que le seul fautif se nommait Vladimir Shelev. Ayant déjà lu ce nom quelque part , il retourna sa maison en entier avant de ne découvrir son prénom dans le journal intime de sa femme. C'était le père de ses enfants. Éprit par cette haine envers Vladimir, il s'adressa à plusieurs professionnels afin de le combattre. Les années passèrent et il ne manqua pas de s'améliorer bien au contraire , il était devenue un professionnel dans le domaine , il en fit d'ailleurs son métier , garde de la milice besognant pour le gouvernement au nom de qui , de quoi ? Au nom d'un centre nommé Aprilia dirigé par ce fameux Vladimir Shelev,il lui fallait a tout prix gagné sa confiance, une confiance gagnée c'est un homme vaincu..
Ivanov's family |- Aleksandr.  36817700786
Il n'était que farce de la société , il avait vu son véritable visage.


Dernière édition par Aleksandr Ivanov le Dim 12 Déc - 11:13, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Ivanov's family |- Aleksandr.    Ivanov's family |- Aleksandr.  EmptyJeu 2 Déc - 22:40


Amery SwanIvanov
Kristen Bell





Sensuelle ♦ Prudente ♦ Rebelle ♦ Stratégique



    SWEET STORY

Elle a 17 ans et elle est considérée comme une putain , une pute , une prostituée , une péripatéticienne si vous préférez ce terme , qu'il en soit ainsi. Elle donnait son corps pour un peu d'or , pénétrations parfois forcées, elle se devait de céder. Son corps n'était que distraction, qu'un jouet, vous savez le joujou avec lequel on aime s'amuser puis balancer aux ordures. Pendant qu'ils prenaient leur pied, elle se devait d'endurerr. Son corps souillé, elle rêvait d'oublier mais chaque soir la même chose l'attendait, brisant peu à peu ses rêves d'enfants car oui après tout ce n'était qu'une enfant, elle n'avait que 17 ans.
Une putain excessivement maquillée pour ne pas dévoiler certaines blessures physiques et paraître plus âgée. Ici c'est pas comme dans un livre ou autre connerie, ici, il faut savoir tout accepter, c'est la dure réalité de la vie, une gosse de 17 ans faisant les trottoirs depuis déjà un an. Nous ne sommes pas dans ses putains de films qui ne font que mentir, non ici c'est la vraie vie, ici tout commence et tout finit. En face du trottoir son oncle et son foutu père l'observant, l'examinant d'un air à la fois protecteur et pervers, près à la cogner si elle tentait de se rebeller, près à la toucher une nouvelle fois. La plus part de ses clients sont quinquagénaires, des pédophiles, des hommes en manque, sûrement la tête dégarnis, le ventre ballonnant mais le plus intéressant n’est pas leurs caractères physiques mais plutôt leurs métiers: flic, avocat, juge, chirurgien, médecin… La nuit se dessine peu à peu dans les petites ruelles. Ce soir comme chaque soir , elle s'enverra en l'air avec un inconnu et son corps lui sera esclave le temps d'une soirée. Ce soir comme hier, comme demain, elle vendra son âme au plus offrant. Les macs fixent un prix et puis voilà la putain des rues qui sillonnent les trottoirs et vient arborer les hommes pour assouvir leurs envies. Elle n'est pas heureuse, son corps n'en est que preuve. Son corps est souillé, son âme affaiblie par des mots tous aussi répugnants les uns que les autres, son cœur exténué par les cris de douleurs confondus aux cris de plaisir, elle n'est qu'une fille de joie dont personne ne se préoccupe réellement, une fille de plaisir, une fille de baise… Dans le froid, seule la solitude l'accompagne, meilleure alliée, pire ennemi, elle se doit d'être en tenue, une mini jupe pour être alléchante, un corsage mettant en valeur ses formes pour être aguichante. Elle a froid. Un homme viendra ivre comme souvent, ne voulant perdre son temps, un coin de ruelle fera l'affaire, et elle cédera, elle en sera obligée. Elle doit se laisser faire ,sinon elle sait ce qui l'attend chez elle. A cet instant comme toujours elle se sent vidée, sans aucune âme, aucun sentiment si ce n'est que du dégout. Attendre voilà ce qu'elle doit faire, attendre qu'il finisse, attendre que tout soit enfin terminer. Elle n'ose imaginer ce qu'il est en train de lui faire, ses mains rugueuses sur sa douce peau délictueuse, ce corps emboité au sien, ses lèvres replets dans son cou… Elle voudrait le frapper, l'insulter, le repousser mais elle ne peut pas, son père et son oncle la puniraient. Une fois son besoin terminé, il l'a payera une véritable misère et repartira. Au passage, elle aura le droit à quelques insultes toutes aussi poignantes les unes que les autres. Il l'insulte, mais il reviendra, un client est un client, il reviendra elle en est certaine, peut-être pas ce soir mais demain, après demain où un jour qui s'en suivra. Retournant sur les trottoirs, elle a mal que ce soit physiquement ou mentalement. Sentant les larmes envahir ses yeux, elle les conserve, il le faut. Qui voudrait d'une fillette qui pleurniche après tout ? Son père est un putain d'ivrogne, sa mère, elle ne sait pas, du moins elle ne sait plus. Elle ne se trouve ni jolie, ni intéressante. Dans ses yeux, une étincelle de pureté et d'amour inavouée envers un garçon de sa cité, un jeune homme qui venait tout juste d'arriver. Il se nommait Aleksandr, grand, brun, élancé, trois an de plus qu'elle mais pourquoi s'intéresserait-il à elle ? Puis non, elle s'inclinerait de nouveau lorsque leurs rregards se croiseront. Elle ne connaissait que son prénom, mais cela lui suffisait à croire en un monde meilleur, un monde moins dégeulasse que celui dont elle avait l'habitude de fréquenter. En elle, on percevait une joie incontestée mais aussi une profonde cicatrice que l'on distinguait dans son regard meurtri. Son visage où il fut si rare d'avoir un véritable sourire est d'une pâleur inavouable. Elle n'est encore qu'une enfant et pourtant son corps est déjà sali depuis plusieurs années. Lorsque son visage meurtri se pose sur un quelconque miroir pour refléter sa personne, elle ne voit alors que des défauts, le côté négatif de son aspect, c'est à croire qu'elle en a oubliée sa beauté. Elle se demande a qui elle pourrait plaire si ce n'est autre qu'a son père et tous ses hommes quadragénaires. Elle aime la vie, elle l'aime plus que tout bien que celle-ci puisse se présenter amèrement devant elle, elle sait qu'un monde meilleur existe, elle en est certaine et pourtant le monde dans laquelle elle vit n'est que déchéance, et cette fille c'est moi.
Il est l'heure, je suis prête. Cette fois-ci, c'est mon oncle qui s'occupe de moi. Il prétend devoir me laver, me raser… Il me maquille, rouges à lèvres pourpres pétant, des yeux de biche , sous vêtements sexy qu'il me fait essayer à de nombreuses reprises. Son regard perfide en dit long, ses doigts fourchus aussi. Il tâte le terrain, me met une jupe de quoi laisser mes cuisses à l'air, attirant ainsi tous les regards. Ses mains se glisse vers mon ventre avant de remonter vers mes seins, j'ai l'habitude, je ne dis rien. Mon père lui gueule, il préfère laisser la marchandise aux acheteurs et non à lui … Je mets un décolleté laissant ainsi mes épaules à l'air libre elle aussi. Des talons hauts, un dernier coup de fond de teint dissimulant mes cernes, et une nouvelle soirée débute. Je m'allume une clope, elle me brûle les lèvres, je la jette. Je commence à être en manque, il me faut de la drogue tout de suite! Et pour ça il me faut faire la pute de luxe. Maintenant j'ai 18 ans. J'arrive dans un hôtel, quelques clignements de cils et j'attire déjà un client, un homme la soixantaine, ça me conviendra pour ce soir. Je leurs dirai quelques mots, des battements de cils, des caresses incessantes puis le tour et joué, le temps expire, il me redonnera de l'argent pour un supplément, des préliminaires interminables et ainsi de suite jusqu'à l'acte. Je suis assez chanceuse je dois dire, mon âge attire toute sorte de clientèle, vieux, jeune, de tout! Ils ont tous de quoi me payer, et de quoi m'assouvir, car oui ils ont tous l'habitude de junkie ici. Ils ont l'air de penser au fond d'eux que je ne suis qu'un bout de chair que l'on dévore et à qui l'on ne prête aucune attention. Ils ont raison. Seulement, ce qu'ils ne savent pas, du moins ne pensent pas, c'est que je suis un être humain tout comme eux ... Eux, qui sont sur le point de rentrer chez eux. Eux, qui ont une vie, une famille, une femme, des enfants. Eux, qui sont heureux et pourtant insatisfaits au lit quand ils sont avec leur épouse et qui viennent nous voir encore et encore. Certains cherchent du réconfort auprès de nous, de moi, des putains. Aux creux de nos bras entre nos jambes, nos cuisses… Ils ont leurs moyens de s'exprimer libre à eux de choisir. Ils pensent être quelqu'un pendant que nos corps ne font qu'un, il pense être invincible, supérieur. Ils se sentent plus fort. Mais ce genre de personne ne pense jamais à nous, ils claquent leurs billets mais se demandent-ils ce que nous , filles de joies pensons ? Prennent-ils le temps d'y songer entre deux caresses animales et sans amour, entre deux coups de reins emplis d'inimité, si ils prenaient simplement le temps je n'aurais qu'a leur répondre que cela me plaît je dois l'avouer maintenant. Certaines personnes trouvent ça « perfide » mais avec le temps ont apprend à ne plus penser à ses choses répugnantes qui nous dégoutaient. Nous sommes des femmes libres, goutant au plaisir de cette toute nouvelle liberté. Nous sommes des merdes pour certains, des sales putains pour d'autres et pourtant … Ne vous demandez vous pas pourquoi ils viennent sans cesse dans nos bras, entre nos jambes? Nous sommes indispensables à certains, nous sommes leurs doses d'héroïne, leur drogue. Nous sommes désirées, le temps d'une nuit certes, mais désirées tous les soirs, toutes les nuits contrairement à vous. Nous faisons jouir, hurler de plaisir les hommes ou encore des femmes parfois, même des gamins. Nous sommes maîtresses de leurs corps, de leurs orgasmes, de leurs désirs. Et pour celles qui comme moi réussissent, nous gagnons assez d'argent pour prendre soin de nous mais ne me prenez pas pour une folle car mon métier, je l'aime, du moins j'ai appris à l'aimé. J'étais une putain délaissée arpentant les trottoirs toutes les soirées, maintenant je suis une putain de luxe et je dirige tout le business! Enfin, jusqu'au jour où un dingue me tombera dessus certainement, avec son flingue, son couteau suisse qui sait. On me retrouvera peut-être dépecée, vidée de mon sang, mon cœur … Une bande de cons se réuniront, quelques masques tomberont, et une personne dira « Ça ne fera toujours qu'une pute de moins ». J’aurai pu finir comme ça oui, mais mon père et mon oncle ne me frappaient plus, ils préféraient me caresser certes, mais c'était déjà ça. Puis je ne sais pourquoi mais tout changea cette nuit… Je repartis de l'hôtel à pieds, mes talons me faisaient mal, j'avais décidée de les enlever, ôtant ma perruque au passage, je la rangeai précieusement dans mon sac. Je cheminais le long du canal et voilà que j'entendis des pas, j'accélérais… Sûrement un SDF ou un pauvre fou voulant me faire peur, sûrement cette accroc de John. Puis merde, j'étais une putain j'avais pas peur !Je me retourna mais rien, puis BOUM en pleine gueule , ce gamin tss ….
« Tu pourrais faire attention connard ! »
« Excuse moi , je ... »
Et là ce fut le comble , c'était le type de ma cité sur qui je craquais depuis plus d'un ans mais qu'elle putain de putain j'étais ! beau jeu de mot de trouvez-vous pas? Mon regard âcre ne cessait de le dévisager, il me replaça une mèche rebelle.
« C'est 500 la nuit, t'as de la chance chéris je te fais un cadeau là! »
« Et combien pour la vie?! »
« Ne me fais pas perdre mon temps gamin! »
« ça marche, 5OO euros, je t'invite au resto! »
« Je m'en fou où tu veux chéris tant que c'est toi qui paye ! »

Il m'emmena dans un restaurant de sushi non loin , j'adorais les sushis, c'était mon plat préféré, je m'excusa et alla me repoudrer le nez. Il fallait être psychopathe pour accompagner une putain dans un restaurant et s'afficher ainsi au grand publique, quoi que ça ne serait pas très judicieux. Il y avait une minuscule fenêtre, il fallait que je m'en aille à tout prix, je tentai de l'ouvrir de toutes mes forces jusqu'à ce que la porte retentisse, c'était lui. Je lui donnai la permission d'ouvrir, il avait payé, je devais tout accepter sans condition. Il empoigna ma main, je ne comprenait pas ce qu‘il attendait de moi! Je devais faire mon job, de toute façon il avait deviné qui j'étais alors… Puis, je ne pouvais pas résister à son charme, ça faisais un an que ce mec me plaisait, une putain d'année de putain! Je me colla d'un bond contre son torse, ma main chemina le long de son torse jusqu'à son pantalon où je tenta d'ouvrir sa braguette mais là ce fut le comble de l'ironie, il me repoussa! J'étais complètement paumée. J'étais rouge de rage mêlée à un sentiment d'extrême honte, jamais auparavant quelqu'un avait refusé mes avances !
« Qu'est ce que tu me veux putain?! »
« Te parler? »

Il s'en alla, je resta là, dans les toilettes jusqu'à le rejoindre. Je m'assis timidement… Je n'osai le regarder de nouveau dans les yeux, j'avais l'impression qu'il me foudroyait et tentait à tous prix de me mettre mal à l'aise. Un serveur arriva et nous passâmes commande. Il me demanda mon avis, j'acquiesçai à sa proposition. Personne ne m'avait jamais demandé ce que je désirais. Il me demanda qu'elle boisson je désirais boire, je répondis qu’il devait choisir. Le client est rois. Mais il n'était pas comme les autres, il insista. Je commanda donc une verre de coca cola, il parut content de mon choix. Je ne compris pas ce qu'il attendait de moi … Je tremblait, il me fallait ma dose… Il le remarqua et me prit la main. Son sourire me calma, sa voix m'apaisa. Il pris alors un truc à emporter et m'emmena dehors. Il faisait froid. Posant son blouson sur mes épaules dénudées je le remerciai, et nous continuions notre chemins, ses bras m'encerclant, me réchauffant. Nous atterrissions dans une cabane non loin de la cité, il l'ouvrit et me fit découvrir son paradis, sa vie. Il s'assit à mes côtés, me pris dans ses bras puis me donna de la nourriture que je m'empressai d‘avaler. J'avais tellement faim que je ne m'apercevais même pas qu'il ne me restais que la peau sur les os. Mes tremblements eurent cessés, la dope attendra ce soir, j'arriverai à m'en passer. Il me regarda de ses yeux azulejos, il était si parfait que je n'osais m'imaginer à ses côtés. Cela faisais un an qu'il était dans mon champs de vision , un an que je retenais mon souffle à ses côtés, un an que je me songeais inexistante à ses yeux. Ce soir, c'était ma soirée, ce soir il me faudrait profiter. Malheureusement, je tombai de fatigue et bientôt mes paupières se fermèrent, les songes arrivèrent, les anges m'emportèrent.
D'étroits faisceaux lumineux parvinrent sur mon visage, je m'éveillais. Il n'était plus là. Posés sur le chevet, croissants, pains aux chocolats, jus d'orange, puis une lettre. Je m'empressa de la lire, il me donna rendez-vous de nouveau dans cette cabane avec en prime plusieurs billets, de quoi rassasier mon père et mon oncle sûrement. Et comme les soirées qui suivront la fille que j'étais devenue changera de nouveau, l'amour naîtra et cette fille malheureuse vivant dans un monde contre utopique verra à présent ses rêves se réaliser, car à ses côtés elle savait qu'elle pourrait y arriver. Les mois passèrent et ils se fréquentèrent de plus en plus, osant maintenant s'afficher au cœur de leurs cités. Mais un jour s'en fut trop, le père de la jeune femme recommença à la battre… Effrayée, elle appela Aleksandr qui accourut aussitôt à son secours. Mais les choses ne se passèrent pas comme elle l'avait espérée. Il apparut ainsi, un revolver à la main, il se dirigea aussitôt vers la jeune femme mais le père de celle - ci lui fit affront.
« Alek mon garçon comment vas - tu aujourd’hui ? »
« Qu’est ce que vous lui avez fait ? »
« Baisse ton pistolet mon garçon, calme toi… Ce n’était qu’une p*te comme sa mère tu devrais le savoir toi! Tu l’as salie, tu as sali notre famille en la dévergondant! Et tu croyais que je ne le saurais pas, que ses frères et sœurs ne le sauraient pas? Que le quartier ne le saurait pas?

A cet instant, tout se passa brièvement. Un coup de feu retentit, l'homme eut un dernier sursaut de lucidité, une balle dans le cœur comme pour effacer sa douleur. Pétrifiée par ce massacre, elle ne pouvait produire un seul mouvement. Aleksandr partit directement dans la chambre de la femme prenant ainsi ses affaires et empoigna sa main pour s'enfuirent.
Amery ne ruminait pas, elle s’était résolue au silence, Aleksandr quand à lui, appela un de ses amis mafieux dont il avait de nombreuses fois évoqué le nom. L'homme vînt aux secours des deux amants aussi vite qu'il put. A ce moment précis, leurs vies changèrent à jamais. Elle avait une demeure à présent, un emploi stable et un homme prêt à tout pour son bonheur, bien qu'elle le savait continuellement en danger, elle l'aimait d'un amour profond, d’un amour dont elle n'avait jamais rêvé auparavant. Un soir, alors que le jeune homme rentra dans sa nouvelle demeure, elle se postait là, inerte un sourire béat aux lèvres: elle était enceinte. Les mois passèrent jusqu'à ce qu’elle accouche, ils eurent un fils: Adam. C'était Amery qui en avait décidé ainsi, du moins Aleksandr était tout à fait d'accords avec cette idée. Elle trouvait cela gracieux, un vrai prénom d'ange. Peu de temps après la naissance de leur enfant, Aleksandr décida de la demander en mariage, elle accepta. Mais leur union ne fut pas appréciée de tous, elle le voyait dans les yeux des collègues de son partenaire. Un jour d'ailleurs, un certain Dimitri Moeskie la menaça, menaça sa famille, son maris, son fils. En échange d'une paix qu'il devrait leur livrer éternelle, elle devait s'en aller, loin de tout ça, loin d'Aleksandr. Ils mirent donc en place tous les deux une des machinations des plus ingénieuses. A contre cœur certes… Elle demanda une dernière nuit, une dernière nuit avec son maris. Fêtant leur union, le couple fit un ébat amoureux , une mirifique nuit en la compagnie de l'être aimé, qui plus est, elle était à nouveau enceinte. Au beau matin, après leur étreinte amoureuse, d’étroits faisceaux lumineux franchissaient les rideaux endoloris pour se déposer sur son front. Elle l'observa, l'admira, le contempla une dernière fois d'un regard énamouré, elle l'embrassa sur le front. Saisissant sa main, Aleksandr la couvrit de baiser avant que celle-ci ne se lève pour allez s’humidifier un peu son doux visage angélique. En réalité, ce n'était que le début d'un futur complot. Dimitri était face à elle. Il lui fit avaler un cachet dont elle ne connaissait pas le nom puis peu à peu elle s'endormit... Lorsqu'elle se réveilla, elle était emplie de sang, non son sang à elle, mais du sang. Un nouveau cauchemar était sur le point de faire surface. Un maris perdu, un fils disparu, et bientôt un nouvel enfant déchu.
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« Ce n'est pas tout de mourir; il faut mourir à temps. » Sartre.
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